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Blog chaman ésotérisme

Blog chaman ésotérisme

Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

spiritualite

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Le sujet est vaste, souvent ignoré par notre mode de vie qui ne laisse que peu de choix ou de temps pour son étude et son apprentissage, le thème de la spiritualité reste encore à la marge des préoccupations de nos contemporains, surtout en Occident où la matérialité du monde se présente comme la seule alternative rationnelle à la réalité de celui-ci. Pour autant, et pour paraphraser André Malraux en d’autres de ses mots : "Je n’exclus pas la possibilité d’un événement spirituel à l’échelle planétaire au XXIe siècle." (1) Dans ce sens, et a contrario d’une certaine tendance actuelle, un revirement pourrait intervenir, peut-être en réaction à un monde déshumanisé, afin qu’un renouveau spirituel puisse émerger et s’établir en toute sagesse et sérénité pour en calmer les trop nombreux tourments et autres infernales désillusions mondialistes, voire aussi pour déjouer les délires transhumanistes en embuscade ou les hallucinants "désirs" de guerres…

Mais pour le profane, et même pour certains initiés : qu’est-ce donc que cette "spiritualité" dont on parle tant sans jamais oser en signifier clairement la véritable profondeur, ou l’altitude ? L’on ressent de suite que, de bas en haut, et inversement, à la manière d’un Hermès dans sa table (2), une dimension transparaît alors sur plusieurs niveaux au-delà du voile, du gouffre vers les sommets cette spiritualité aurait-elle justement la fonction initiatique d’un passage de l’un vers l’autre, ou bien de projection d’une vérité plus absolue que celle du commun des mortels ? Et justement, comment donc vouloir et pouvoir bien "s’équiper" pour une telle ascension en apparence si indiscernable ou si sensiblement hermétique ? Avant d’y accéder, il faut déjà comprendre un tant soit peu en quoi correspond "la spiritualité", ce que ce simple mot qui le désigne reflète de sens, mais aussi dans quelle direction il emportera celui qui s’y confronte et ce qu’il lui apportera. Effectivement, pour le profane la spiritualité sera telle une vision aussi vaporeuse qu’un brouillard sur une route de nuit, elle n’aura pas de correspondance tangible dans le quotidien pour spontanément s’affirmer avec un intérêt utile ou pragmatique, c’est qu’elle dépasse en effet cet aspect utilitaire accordé aux choses matérielles, elle ne s’en détache pourtant pas puisqu’elle explique cette même matérialité, celle de tous les possibles, en la transcendant.

La spiritualité sert donc de guide, c’est une expérience à la fois personnelle et intégralement universelle dans cette capacité à tout expliquer, dans cette accession à de multiples solutions autres que celles qui s’inscrivent dans un matérialisme pragmatique, ceci en dépassant ce dernier ou en le surmontant pour en avoir une hauteur de vue plus large, plus proche d’une vérité amplifiée par une sagesse bien plus éclairante. En d’autres mots la spiritualité permet d’accéder à une hauteur d’esprit qui s’apparente à une démultiplication de la conscience pour en dévoiler les liens intimes entre le soi et le monde, pour ainsi en trouver les chemins évolutifs les plus adaptés à la personne et s’y engager avec plénitude et sérénité. Il y a donc dans une juste démarche spirituelle la volonté pleine et assumée, non seulement de faire évoluer son esprit sur des horizons plus élevés et vastes, mais d’en percevoir clairement "les plans invisibles" qui s’en dégagent par les biais d’une révélation qui n’appartient qu’à soi. C’est aussi pour cette dernière raison qu’il est si difficile pour les uns et pour les autres d’en exposer une unique définition générique tant il n’y en a que de multiples et strictement personnelles qui façonnent chaque individualité dans sa propre recherche spirituelle, de ce fait y accéder c’est accéder à son véritable Soi, à une dimension plus haute de son Être, à son unification et à son édification.

Vouloir définir un "mode d’emploi" en ce qui concerne la spiritualité demeure tout aussi complexe car il existe une infinité de biais, tous intimement personnels et fonctions de l’histoire de chaque individu dans son propre contexte et entourage pour en trouver les bons chemins à emprunter singulièrement. Néanmoins, et de manière plus générale, une personne commence à s’intéresser à l’aspect spirituel de sa propre existence lorsqu’elle perçoit la nécessité d’en trouver un sens, rien de moins simple que de chercher un sens à sa vie, à tenter de comprendre ce qui a été entrepris par et pour soi-même, à se demander si l’instant ultime où l’on se pose la question n’est finalement pas déjà un début de conscientisation pour accéder au commencement d’une interrogation plus profonde, devenant elle-même sa propre dynamique de recherche, de simple curiosité ou semblant hasard l’on entreprend une quête de soi et du monde avec cette immense et vertigineuse vision qui s’ouvre soudain à l’esprit pour aller encore plus loin. Certes, tout le monde ne dispose pas de ce type d’automatisme naturel qui déclencherait, du jour au lendemain et sans vraiment prévenir, cette mystérieuse étincelle interrogeant au plus profond de soi, bien au contraire, ce sont encore une fois des circonstances personnelles qui occasionneront cette chance ou cette opportunité de s’engager sur cette voie d’ouverture d’esprit.

Ceci dit, la plupart du temps il n’y a pas de hasard, le regard que l’on se porte sur soi-même, c’est-à-dire cette "réflexion" au centre de son propre miroir, s’effectue toujours à un moment opportun, que ce soit durant une rencontre qui sèmera le germe de l’interrogation spirituelle, ou bien celui d’un évènement troublant s’avérant jouer le rôle d’un essentiel catalyseur… Parfois la prise de conscience commence par un accident apparemment futile ou de second ordre dans la vie de la personne, puis, par les méandres subtils qui forment les possibles chemins sur lesquels l’existence s’appuie, vient l’instant fugace d’une sorte d’interrogation qui illumine la conscience en lui désignant une autre direction plus élevée dans sa propre vie et celle des siens. Des circonstances spéciales peuvent intervenir dans ce sens où l’on a une intime et certaine conscience d’entrer dans une dimension spirituelle plus affirmée ou nouvelle, par exemple lorsqu’une maladie, un accident ou une circonstance autre du même acabit sont très clairement perçus comme une interruption de la routine quotidienne avec l’étrange sensation que la suite des événements n’est plus écrite comme on l’aurait pensé habituellement. De cette désorientation naît généralement la recherche induite d’une redirection intellectuelle et spirituelle très différente de la précédente période d’existence, suivant un élargissement de la conscience, le début d’une élévation spirituelle réelle qui perdurera pour affiner son objectif de recherche d’évolution.

Les initiés, sans vouloir les différentier de manière hautaine ou discriminatoire en regard des plus profanes d’entre nous, disposent de cette élévation spirituelle propre à leur donner par bien des aspects intéressants les meilleures directions à des fins d’évolution, ils ont eu, plus ou moins, de cette première étincelle révélatrice la vision de leur moi réel, c’est-à-dire de ce qu’ils sont sur plusieurs plans d’existence, en des dimensions dites spirituelles supérieures que l’on pourra d’ailleurs appeler sous d’autres termes plus adaptés (ange gardien, entité tutélaire, djinn personnel, etc…). Chacun, dans cette posture d’initié, dispose aussi du choix, celui de son libre arbitre qui n’est lui aussi rien d’autre qu’une initiation en soi, celle d’effectuer des rituels simples, comme la méditation et l’étude de textes sacrés ou bien des travaux plus complexes comportant des applications relatives à la magie naturelle ou à des cérémonials plus poussés et plus contraignants s’ils en ont la volonté de s’y engager. Certains, mais encore une fois c’est leur choix, iront jusqu’à modifier leur alimentation ou prendre certaines substances en vue d’expériences psychosensorielles leur apportant des réponses qu’ils n’arrivent pas forcément à obtenir par des voies plus normatives. Sur ce point je ne recommande nullement ici cette utilisation qui reste néanmoins celle que la plupart des chamans ont pu expérimenter durant des millénaires, mais nul n’est chaman qui veut et l’itinéraire des initiés de haute magie est assurément parsemé de terribles souffrances avant d’arriver à une quelconque extase véridique et significative…

Pour finir, comme le disait Paracelse (3) : "Tout est poison, rien n’est poison, c’est la dose qui fait le poison", dans ce sens voyons aussi la spiritualité, la vraie, comme un soin de l’âme en sachant bien la doser, sans hasard, selon le besoin et la nécessité, forcément d’orientation karmique à ce niveau d’exercice infiniment complexe !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel


Note (1) : Propos rapporté par Brian Thompson dont Malraux lui aurait dit mot pour mot que le « XXIe siècle sera religieux ou ne sera pas » au cours d’une interview donnée à Verrières-le-Buisson en 1972. Marlaux ayant rectifié en 1975 que : "On m’a fait dire que le XXIe siècle sera religieux. Je n’ai jamais dit cela, bien entendu, car je n’en sais rien. Ce que je dis est plus incertain. Je n’exclus pas la possibilité d’un événement spirituel à l’échelle planétaire."

Note (2) : En référence à la Table d’Émeraude d’Hermès Trismégiste, voir le lien ici sur le blog

Note (3) : Paracelse (1493-1541), médecin, philosophe et alchimiste, mais aussi théologien laïc suisse.

 

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"Le sexe est une drogue et l’amour est son dealer", une phrase sans équivoque aucune qui résumerait assez bien la situation réelle inscrite au coeur même de notre génome depuis le début de l’Humanité si ce n’était, qu’à notre époque instable où le wokisme (1) ambiant bât son plein, ceci en toute désorientation, instrumentalisation et destruction mentale téléguidée, qu’il est devenu bon de nous expliquer avec grande force de conviction que finalement chacun est strictement libre de se revendiquer sexuellement sous n’importe quelle bannière, réfléchie ou non, sans exception, de celle asexuée à celle non genrée, en passant par la posture de se prendre très sérieusement pour une licorne, pour un elfe, plus "raisonnablement" pour tout autre animal domestique, sauvage ou à défaut imaginaire si on le souhaite, du moment que le choix est assumé en toute "véritable conscience personnelle"… Vouloir confondre le libre arbitre éclairé et une liberté infinie complètement en dehors des clous de la réalité, voilà ce à quoi nous arrivons lorsqu’une société est devenue définitivement malade de ses propres impossibles désirs égotiques qu’elle projette sournoisement sur ses gentils administrés afin de les promener au pays d’Alice et de ses Merveilles pour qu’ils ne réalisent pas (ou plus du tout) qu’ils sont devenus les instruments d’une volonté de masquer toutes vérités pour les noyer dans une illusion globale formatée à l’échelle d’un monde devenu unifié sous l’égide de ce nouvel ordre que l’on voudrait nous imposer, ou plutôt encore mieux : que l’on voudrait nous vendre au prix le plus cher, celui d’une très désirable idiocratie (2) libertarienne à l’excès et généralisée à tous les étages.

Mais n’est-ce pas finalement là le comble d’un ultralibéralisme forcené et apparemment inarrêtable, lequel après avoir happé goulument l’ensemble du marché des biens à la consommation existants et des ressources de la planète, se mettrait aujourd’hui soudainement aussi à dévorer ses propres potentiels consommateurs jusqu’au bout de son extraordinaire folie furieuse ? Chacun sera libre de juger de la pertinence de se questionner en répondant à cette formulation sociétale qui nous éclaire sur la triste fin de règne d’une pseudo-élite intellectuelle, financière et politique qui cherche à nous perdre définitivement dans ses fantasmes et dans ses déviations idéologiques dignes des meilleurs canulars, sauf que le débat semble bien sérieusement à "l’ordre du jour" surtout pour le meilleur du pire à venir si un sursaut de lucidité n’intervient pas assez rapidement pour ouvrir les yeux des rêveurs éveillés intoxiqués par ces fumeuses dérives savamment instillées. Mais dans tous les cas soyons certains que cette perte de conscience institutionnalisée sera très vite rentabilisée par ceux qui ont lancé avec une réelle malignité cette mode pour décérébrés volontaires, qu’ils en feront un surcroit de pouvoir sur ces pantins faussement libérés qui se seront pris au jeu en pensant en suivre les règles que d’autres ont écrites pour eux afin de mieux les asservir. Mais ici, après cet aparté, n’est pas principalement le propos puisqu’il est question de sexualité et de libido et non des dérives instrumentalisées que l’on cherche à inculquer aux plus faibles esprits ou aux non suffisamment avertis des incroyables malversations et innombrables aberrantes élucubrations de nos dénommés dirigeants.

De même que durant des siècles la sexualité a été relativement durement réprimée au quotidien et presque totalement bannie du débat public sous couvert d’une douce religiosité et d’une amère moraline (3), l’on a progressivement vu s’éloigner toute l’intelligence naturelle du corps à s’exprimer selon ses propres capacités à réguler une libido de manière stable et harmonieuse, engendrant ainsi diverses maladies mentales et autres déviations morbides dont se sont vite emparés les adeptes d’une psychanalyse freudienne pour tenter d’en rationaliser les effets. À défaut d’équilibre naturel, c’est bien l’inverse qui a eu lieu avec des notions de péché mortel purement inventées pour manipuler les masses et leur faire porter tout le fardeau d’une faute originelle elle-même véritablement digne des meilleurs contes de fées revisités… Il n’est donc pas illogique d’avoir vu, à l’extrême, un renversement des dites anciennes "valeurs" de nos jours à des fins paradoxalement identiques, en ce sens, toujours le même, qu’il faut cette fois-ci contrôler en laissant chacun non pas dans un carcan serré de dogmes moraux mais au contraire dans l’infinie dilution de normes amorales dans le but de faire perdre tout repère. En ésotérisme, et les initiés ne le savent que trop bien, ces deux extrêmes se recoupent sous un seul idiome hermétique, celui du "Solve" et du "Coagula" (voir note /!\), c’est-à-dire les deux principes inverses qui permettent la dislocation et le chaos : dissoudre (dans l’acide) ou figer (dans le marbre), autant dire que d’un côté comme de l’autre personne ne résiste longtemps à cette alchimie, luciférienne s’il en est une, par excellence…

C’est justement par le décryptage ésotérique, celui que l’on n’apprend pas à l’école, ni dont on parle sur les médias, que les initiés (terme générique nullement prétentieux de la part de ceux qui ont suivi un réel et long chemin initiatique) ont pu aborder les complexes méandres du corps, de l’esprit, de la sexualité et des puissantes forces naturelles qui tendent à maintenir la cohésion harmonieuse d’un individu réellement libre de ses choix au regard des défis à affronter non seulement dans sa propre vie mais aussi en côtoyant celle d’autrui, ceci en une difficile sérénité à assurément respecter au milieu du chaos ambiant et de l’entropie des systèmes complexes dont nous faisons tous partie. De corps, c’est-à-dire de matière, de forces qui s’exercent, c’est-à-dire d’énergies qui se diffusent, et d’espace comme terrain de jeu : voici ce en quoi chaque initié est confronté pour comprendre le monde selon des Lois universelles, à la fois physiques, psychiques et spirituelles, ce qui pourrait trop certainement échapper au commun des mortels bataillant la plupart du temps non pas pour entrevoir la complexité du monde et en saisir toute la quintessence par l’étude, mais pour tenter de s’extraire de complications technocratiques sans cesse assénées, véritables fléaux modernes que nos sociétés ont su générer pour nous "simplifier" la vie, avec la certitude aussi qu’ils suivent des principes lucifériens pour dissoudre nos esprits et figer notre liberté d’agir et de créer. Un peu d’humour sur ce point ne fera pas de mal pour comprendre d’autant plus facilement les enjeux en présence où nous sommes les premières victimes de nos propres systèmes d’organisation modernes et du "progrès" que nous revendiquons si haut et fort avec une telle démoralisante fierté d’en être les bienheureuses victimes dépravées !

Libido et sexualité, deux mots apparemment simples et concepts courants que tous revendiquent mais dont peu comprennent qu’il s’agit avant tout d’une gestion grandement qualitative de l’énergie qui ne s’arrête ni au physique pour en jouir, ni seulement au mental pour s’en contenter, mais dont le but est d’aller encore plus loin dans l’élévation successive, à l’image d’un minerai à raffiner et dont le métal précieux ainsi distillé apporterait en fin de processus "alchymique" la Pierre Philosophale, celle tant recherchée par les initiés s’exerçant à cette "œuvre au noir" (4) et dont certains lui ont trouvé une réelle application via l’Art Royal, c’est-à-dire via la Magie et ses très nombreux rituels opératifs. Bien entendu, nos sociétés modernes nous ont progressivement perdu dans leurs insolants méandres technoscientistes, ceci sous couvert du siècle des dites Lumières, celui d’un scientisme exacerbé certes très technicien et pratique mais s’éloignant résolument à grands pas des principes ésotériques pour s’y substituer complètement et laisser au loin de cruciales découvertes spirituelles de côté. Redécouvrir les processus élevés de la sexualité et de l’énergie qui s’en dégage via une libido sous contrôle par voie tantrique, c’est l’un des buts de la magie moderne que de restituer ces principes demeurés cachés au grand public de peur qu’il s’en serve pour libérer toute la puissance naturelle à sa disposition et ainsi jouir pleinement d’un libre arbitre recouvré, totalement défait des chaînes mentales apposées par nos sociétés en voie de dégénérescence rapide. Dans ce sens et afin de lutter efficacement contre la planification d’un nouvel ordre mondial non désiré ni désirable, il est nécessaire de retrouver une véritable voie initiatique dispensant un ésotérisme traditionnel digne d’une évolution spirituelle qui libère plus qu’elle n’asservit celui qui s’y prête, soyons donc nombreux à résister, retrouvons la liberté de ce feu sacré qui anime nos vies !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel



(1) Wokisme : terme apparu dans la littérature francophone à partir de la racine woke dans son sens péjoratif avec la terminaison -isme afin de "souligner ce qui serait son caractère idéologique, extrémiste et dangereux". Expression politique et polémique utilisée pour stigmatiser (à raison ou non) une vision radicale de la justice sociale et de la défense des groupes minorisés (qu’ils soient légitimés de manière rationnelle, ou non…).

(2) Idiocratie : mot composé de idiot et du suffixe -cratie. (généralement péjoratif) Régime politique dont le pouvoir souverain est sous le contrôle d’idiots (sous-entendu aussi : pour contrôler des idiots…).

(3) Moraline : dans l'œuvre de Friedrich Nietzsche, fait référence à la morale chrétienne, la morale dominante et bien-pensante, au XXIe siècle, on parlerait de "Morale de la pensée unique" ou de la pensée moralisatrice qui serait adepte d'une forme de terrorisme intellectuel (et qui l’est très certainement à juste titre…).

(4) Œuvre au noir : l'expression "œuvre au noir" désigne en alchimie la première des trois phases dont l'accomplissement est nécessaire pour achever le magnum opus. En effet, selon la tradition, l'alchimiste doit successivement mener à bien l'œuvre au noir, au blanc, et enfin au rouge afin de pouvoir accomplir la transmutation du plomb en or, d'obtenir la Pierre Philosophale ou de produire la panacée (remède universel à tous les maux humains).

/!\ Note complémentaire importante : les deux principes SOLVE et COAGULA font aussi partie des opérations alchimiques du Grand Oeuvre mais de manière équilibrée et successive afin d'extraire la quintessence qui en est la résultante, ils sont donc complémentaires et se doivent d'être "utilisés" ensemble et non séparément, auquel cas ils deviennent destructeurs et diviseurs, et aboutissent alors non pas à la quintessence unificartrice mais uniquement au pire déchet, à l'informe scorie de la plus basse extraction dont personne ne veut...
 

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #Amour, #Magie sexuelle, #envoûtement amoureux, #réincarnation, #karma, #ésotérisme, #spiritualité, #sexualité sacrée, #couple

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Comme vous le savez certainement, la perfection n'est pas de ce monde mais nous pouvons toujours nous y approcher le plus près selon nos possibilités propres, d'ailleurs, et si nous y réfléchissons plus en avant : l'acte de cette tentative de perfectionnement n'est rien d'autre qu'un véritable apprentissage initiatique qui aboutit à une évolution, soit personnelle au niveau plus spécifique de l'individu ou soit plus généralisée au niveau de l'humanité entière, ceci à la fois visiblement (matériellement et existentiellement parlant) et aussi de manière plus invisible (spirituellement et karmiquement parlant). Cette constatation est aussi valable pour chaque aspect différentié de l'ensemble de nos activités ici-bas, de la plus élémentaire et apparemment insignifiante à la plus primordiale et vitale selon les critères terrestres tels que nous les entendons habituellement. Parmi ces domaines d'activité importants l'Amour en est un spécial qui requiert une attention toute particulière puisque sa résonance influence conjointement notre présent et notre devenir de façon puissante et durable et selon quatre axes fondamentaux dont les profanes n'en perçoivent bien distinctement généralement que deux, voire trois dans le meilleur des cas : au niveau physique, psychologique, mental et spirituel. Ces quatre axes, chacun bien équilibré en rapport des trois autres, permettent aussi d'aborder une évolution karmique optimum et une existence plus sereine pour soi-même et pour le couple qui se trouve réciproquement en phase précisément en regard de ces axes et de leurs orientations. C'est ce que nous allons voir ensemble aujourd'hui.

En commençant par le plus explicite des quatre, l'Amour physique n'a pas vraiment besoin de dessin ni de dessein en soi pour agir puisqu'il est fondamentalement ancré dans nos corps dans le patrimoine génétique de chacune de nos cellules pour créer cette attirance sexuelle induite dont nous savons tous qu'il est parfois difficile d'y résister sauf en y étant formellement entrainé en ajustant le mental et le spirituel (ou de manière plus prosaïque et morale selon le contexte historique et personnel). En Inde le Kamasutra s'exposait déjà ouvertement sur les murs des temples il y a plusieurs millénaires comme un enseignement à suivre, de nos jours le sexe est accessible pratiquement partout en quelques simples clics sur les écrans qui nous entourent, en cela rien n'a finalement changé, avec néanmoins des périodes historiques durant lesquelles la sexualité, ou plutôt l'acte sexuel, a plus été caché que véritablement réprimé car l'on ne peut pas aller à l'encontre d'une pulsion de vie essentielle à l'existence humaine qui doit jouer son rôle initial, celui de la procréation, mais aussi son rôle social en matière d'associations dans un sens plus structuré autour de la famille ou du clan. Ainsi les sociétés modernes se sont cristallisées sur des modèles purement conventionnels pour convertir la sexualité et lui attribuer d'autres buts pour justifier toutes ses lois, celles des groupes, des castes et des classes sociales. Même chez les peuples primitifs, une notion plus élargie et libre en découle pour la survie du clan face à l'adversité de l'environnement, ainsi la famille c'est le clan, la sexualité est multiple et sans exclusivité, elle appartient au clan et non à l'individu. Au-delà de ces notions conformistes, sociétales, claniques ou utilitaristes, l'Amour physique et la sexualité des corps apportent bien entendu aussi les notions de plaisir personnel et de satisfaction individuelle qui peuvent s'opposer aux premières citées et être plus ou moins réprimées ouvertement, mais ceci est une autre affaire liée à ce que l'on appelle la Liberté d'agir et plus largement à la Politique ou la Religion…

L'on pourrait voir dans notre second axe, celui de l'amour plus psychologique, déjà un empiètement sur le domaine de la relation à autrui avec cet angle de la Liberté individuelle d'aimer et ce que cela implique comme consentement réciproque au niveau plus spécifique de ce que l'on appelle les sentiments. C'est ici un axe beaucoup plus complexe que celui purement physique puisqu'il n'a aucun caractère d'obligation dans le sens où l'on peut aimer une personne sans que cela soit partagé en retour, ce qui effectivement entraîne assurément pour ce cas de multiples complications psychologiques dont chacun pourra sans effort en comprendre la portée et plus précisément la caractéristique qui se situe dans le ressenti, lequel cette fois-ci peut générer une douleur au niveau de la psyché, c'est-à-dire comme l'expression douloureuse d'une demande conjointe et fusionnelle du corps et de l'Ego. Inversement, l'acceptation réciproque apportera non pas le plaisir comme pour le corps mais la joie pour l'esprit et d'une certaine façon une première étape vers un bonheur partagé au-delà du "simple soi" mais toujours pour satisfaire deux Ego distincts bien accordés sur une même partition de sentiments réciproques. Cette apparente très bonne "entente psychique" entre deux Ego est ce que la plupart des gens appellent l'Amour afin d'en distinguer une certaine valeur supérieure à l'acte sexuel à proprement parlé, lequel est généralement partagé en complément (ou pas si cet "amour" est purement platonique, mais est-ce alors ici pour ce dernier vraiment encore le même type "d'amour" ?). Le champ d'exploration des aspects de cet axe de l'Amour étant sous l'égide des "sciences humaines" et de la psychologie pure, celui-ci se décline à foison en une multitude de sentiments induisant les meilleurs comme le plus sombres d’entre-eux, du bonheur complet à la plus profonde détresse pouvant aboutir à la dépression ou pire, au suicide des personnes les plus atteintes par ce mal-être, celui de ne pas être aimé en retour. Notons que les contraintes et affres de ce type d'Amour ont paradoxalement pu parfois générer des oeuvres d'art par effet de sublimation de la douleur psychique en une puissante création artistique, littéraire, picturale ou autre. En résumé, la part psychique de l'Amour n'est donc pas à négliger, elle représente un axe d'équilibre fondamental pour l'individu ainsi que sur l'ensemble de son activité potentiellement créatrice.

Mais alors que vient donc faire le mental dans toute cette histoire d'Amour ?! Il est clair que l'humain ne se résout pas à sa seule composante sentimentale ou psychique, l'on peut même assurer que l'Ego complet se permet de réfléchir et de peser lourdement le pour et le contre, c'est ici la part du mental que de se réserver une partie importante de l'individualité qui prend en compte à la fois la préservation vitale de son corps mais aussi de son esprit résonnant sans cesse, c'est la part du Cogito de l'Ego, comme cette série de miroirs internes où se reflète la réalité du vécu au travers de son propre filtre dans une constante et implacable réflexion pour sentir qu'il existe bien, c'est le fameux "je pense donc je suis" que nous connaissons tous. Sans cette terrible dimension mentale de l'humain, celui-ci ne saurait absolument pas en capacité de se représenter lui-même comme une entité séparée du monde et donc agir selon son propre libre arbitre (relatif) pour jouer son rôle, son "persona" dans cette existence terrestre où il a, d'une certaine façon, "mission de vie". C'est ce mental qui crée en lui cette scission entre ce qu'il pense "être lui" et me monde qui l'entoure, il est dans cette perspective en mesure de se différentier aussi d'autrui, il entre en dualité avec tout ce qui n'est pas lui, en ce sens (pour les adeptes de la non-dualité) il est en contradiction avec la Vérité ultime du Tout et ne se représente que SA propre vérité qui n'est qu'une illusion égotique (la Mâyâ hindouiste). Le mental a donc cette double fonction de créer l'individualité qui se reconnaît comme telle ainsi que de voir en autrui une autre individualité différente avec laquelle interagir. Les grands initiés (orientaux surtout) voient dans "le mental" un obstacle à la réalisation entière et complète de la rupture du cycle des réincarnations, rupture primordiale afin d'évoluer au-delà de la dimension terrestre, du moins "planétaire" liée au matérialisme. Mais en même temps cette phase de "mentalisation", de différentiation permet de rencontrer autrui et donc d'en expérimenter l'Amour au sein même de cette différence mentale. Ce qui serait impossible dans le cas contraire. Le mental est donc une contradiction nécessaire à l'évolution sur une échelle de temps variable, au rythme des cycles de la métempsycose, jusqu'au moment ultime de la Libération de ce cycle (celui du Sâmsârâ) lorsque l'entité peut passer de l'humain à un autre état plus évolué dans une dimension vibratoire supérieure.

L'Axe spirituel de l'Amour vient d'être partiellement abordé dans cette perspective inconditionnelle assez complexe pour le profane de concevoir que la réalité de sa dimension terrestre n'est qu'une fausse représentation de la Vérité dite Absolue, que même les mots sont impropres à définir la véritable Vérité du soi dans le Tout dans ce sens où seule la non-dualité est une Réalité qui nous relie, c'est-à-dire que la dimension que nous expérimentons actuellement dans cet espace-temps terrestre est elle-même générée par la projection de notre mental au sein d'une matrice néanmoins commune à d'autres entités avec lesquelles nous entrons en contact sous des angles différents. Pour imager, notre esprit est comme absorbé par le film ou le jeu vidéo que nous voyons défiler devant nos yeux sur un écran matriciel holographique quadridimensionnel en étant certains (avec les autres "entités" qui sont dans la même salle "de vision" que nous) que nous vivons pleinement ce que nous voyons, ce qui est relativement vrai mais uniquement "terrestrement" parlant… Jusqu'à la fin de la séance ou nous "reprenons nos esprits", nous nous (r)éveillons alors. L'on pourrait aborder l'Amour spirituel sous une forme assurément pleinement karmique lorsque "nous", les entités qui sortent de cette salle de "projection de réalité", nous partageons avec force notre ressenti karmique et nos "expériences matricielles" pour en analyser le sens et peut-être y retourner si nous avons échoué à en comprendre certaines subtilités du "film de vie" que nous devions aborder… Expliquer la profondeur d'une dimension supérieure en étant soi-même "en représentation" (vous aussi actuellement) dans la matrice n'est pas chose aisée mais très drôle en soi si l'on y pense et nous pourrons certainement en sourire en "quittant la salle" le moment venu…

Comme d'habitude il est parfois nécessaire que je puisse approfondir ces données et je reste à votre disposition pour y répondre, ceci si besoin en accord avec le thème de cet article et plus précisément pour vous aider à mieux rééquilibrer les axes de l'Amour que je viens d'évoquer afin que votre relation amoureuse vous soit bénéfique à vous et à votre partenaire. Pour ne joindre dans le cadre de mon activité professionnelle (en qualité de chaman en exercice) merci de lire mes coordonnées sur ma bannière ci-dessous ! Je vous dis à très bientôt, comme simple lecteur ou comme artisan pleinement conscient de votre réalité en devenir afin d'évoluer karmiquement au mieux selon le libre arbitre imparti au sein de votre mission de vie actuelle !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #spiritualité, #Chamanisme, #destinée, #rêve lucide, #Rituels de magie, #ésotérisme, #sphère étherique, #zone astrale

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Nous passons une grande partie de notre existence dans un état non conscient lorsque nous dormons et nous savons tous que nous rêvons même si beaucoup ne se souviennent pas de leurs rêves ou seulement de manière très parcellaire et fugace, mais seuls certains initiés savent que le domaine du rêve peut apporter des réponses, voire des solutions à nos problématiques existentielles, c'est alors toute une science et même un art que d'en dévoiler les secrets pour parvenir non seulement à se souvenir de nos expériences oniriques mais aussi et surtout d'entrer en pleine conscience dans cet univers pour en diriger les aspects les plus significatifs avec une ferme mais sage volonté pouvant amener à ce que l'on appelle "le rêve lucide". Diverses méthodes existent pour arriver à un tel exploit qui requiert néanmoins pour le simple profane qui s'y adonne une discipline à la fois complexe, régulière et souvent éprouvante puisqu'il faudra plusieurs années d'expérience pour commencer à percevoir des résultats satisfaisants. Dans de nombreuses traditions ancestrales le rêve, qu'il soit lucide ou non, est considéré comme une incitation à interpréter ou à suivre ce qui a été entrevu ou suggéré, cela peut être une simple information ou bien une forte recommandation, voire un avertissement… C'est en cela que le rêve dispose d'une extraordinaire capacité de dévoilement d'un futur qui pourrait arriver ou que l'on devrait éviter, certains y verront seulement la faculté que possède notre cerveau à compiler une grande masse d'informations pour en restituer une trame personnelle plus ou moins cohérente, d'autres, plus sages ou expérimentés, y verront quant à eux le message provenant d'une sphère mentale dans laquelle nous pouvons voyager et rencontrer des entités de très bon conseil (ou au contraire perturbatrices).

Dans tous les cas il y a un grand intérêt à se souvenir de ses rêves, ils sont le reflet de ce que nous sommes aussi mais vu sous un angle essentiellement "mentalisé" où l'expérience onirique aura su se défaire des lois d'une réalité matérielle trop étroite pour s'exprimer entièrement, ainsi c'est en totale liberté d'action que se meut la psyché dans cette dimension extra-corporelle ouvrant la porte à tous les possibles. Pour qui se souvient d'un de ses rêves, l'expérience ne laisse jamais insensible, elle apporte cette surprenante sensation d'avoir rencontré l'inconnu, d'être soudain sortie d'une mythologie personnelle vécue avec ses décors, son récit et ses personnages. Pour autant l'aspect le plus perturbant réside dans cette réminiscence que, d'où l'on vient de sortir, la réalité n'avait jamais été aussi puissante, aussi précise et cohérente. Mais le rêve s'efface rapidement sous le poids d'une autre réalité plus matérialiste qui replace presque instantanément ses propres logiques et son propre formatage comme si l'information se devait d'être de nouveau modelée à l'environnement immédiat pour être validée par le corps et par l'esprit dans une fusion parfaitement recalibrée. Ainsi il y a comme une incompatibilité entre deux mondes, entre deux réalités puisque celle du rêve existe aussi et que l'on ne peut pas affirmer qu'elle n'est pas réelle, elle dispose juste de lois et de règles qui sont différentes, qui s'entendent selon des prismes intellectuels et mentaux basés sur d'autres schémas, sur ceux qui appartiennent à la spiritualité et au détachement du corpus physique.

Vouloir s'attacher à retrouver cet univers onirique où se cachent d'autres secrets sur nous-mêmes, c'est vouloir retrouver sa part de spiritualité qui se situe au-delà de la vision du commun, c'est s'approprier l'autre face de notre réalité avec ses codes et ses logiques, avec aussi des temporalités qui n'appartiennent pas à la physicalité d'ici-bas. Il y a donc une promesse de voir autrement, de voir plus loin et plus haut, et certainement d'en apprendre plus sur nous et notre devenir en entrant paradoxalement dans le monde des rêves, et sans vouloir ajouter à la confusion des termes en entrant dans ce sommeil dit "paradoxal". De ces quelques premiers constats l'on pourra comprendre pourquoi il y a un intérêt certain à se souvenir et ne pas boire l'eau du fleuve Léthé, ce fleuve infernal de l'oubli, afin de fixer toutes ces informations, même les plus invraisemblables puisqu'elles participent à la construction spirituelle de notre entière psyché et à notre devenir en qualité d'être plus complet. Mais il est vrai que notre monde matérialiste refuse catégoriquement son association avec l'onirisme tant les codes sont différents et parfois opposés, ainsi l'on nous apprend très jeune à ne pas "être un rêveur", à agir selon une logique mentale issue exclusivement du cartésianisme ambiant qui de ce fait nous oblige à "avoir" plutôt qu'à "être", à posséder l'extérieur de la matérialité plutôt qu'à entrer dans notre intériorité spirituelle pour la développer. Le chamanisme a su naturellement intégrer cette double facette d'une réalité à plusieurs niveaux sans en privilégier l'une par rapport à l'autre mais au contraire en tirer des leçons de la spiritualité issue des rêves pour apporter des solutions pratiques à mettre en oeuvre au quotidien.

Le chaman, de par son initiation poussée, est un voyageur de l'extrême en terre hautement spirituelle, il navigue avec son esprit sur des océans peuplés d'entités diverses qui tantôt lui prouvent leur gratitude, tantôt cherchent vainement à l'attirer vers le bas, vers cet astral où vivent des aberrations, des monstres et des démons. C'est évidemment en abordant les hautes sphères éthérées qu'il rencontrera les entités les plus emplies de sagesse qui promptement viendront lui proposer leur aide sans autre contrepartie que d'avoir effectué leur devoir. Bien entendu le profane ne peut se muer du jour au lendemain en un chaman expérimenté ou en un moine tibétain pratiquant le "yoga des rêves", par contre le profane peut consulter l'initié pour lui soumettre ses demandes afin de trouver des solutions propres à le faire évoluer selon le meilleur chemin de sa destinée, et parfois la solution est si simple et évidente que le profane n'en voit pas la proximité immédiate en ne regardant pas dans la bonne direction ou en pointant son regard sur un lointain horizon impossible à atteindre, ce qui trop souvent le décourage de continuer à chercher et surtout l'empêche de vouloir évoluer plus en avant. Ce travail sur soi, d'exercer avant tout sa volonté souveraine de suivre sa propre voie, il ne doit pas y renoncer, bien au contraire, le profane peut envisager des travaux via des rituels connus de l'initié que ce dernier pourra adapter à sa demande légitime. Ces travaux, qu'on les nomme "accompagnement spirituel" ou plus basiquement "travaux de magie", ne seront que des fondations désirées afin de construire par la suite sa propre architecture personnelle selon ses propres plans. Ainsi l'initié peut emprunter l'itinéraire onirique du demandeur, surfer sur ses rêves pour tracer la meilleure voie et la lui restituer, lui évitant les mauvaises rencontres en eaux troubles pour qu'il arrive à bon port bien accompagné par un équipage de confiance et de haut niveau.

La lecture lucide des rêves n'est pas l'apanage de tout un chacun, rares sont ceux qui non seulement réalisent cette haute potentialité spirituelle mais aussi qui savent en faire profiter autrui en prenant en charge la responsabilité karmique d'un tel don en accord selon les Grandes Lois ésotériques à suivre à la lettre. Étant chaman professionnel je dispose de cette Connaissance et du devoir d'en partager les ressources à ceux qui me le demandent dans le cadre de mon métier en effectuant des travaux et des rituels appropriés, par conséquent vous pouvez me soumettre vos requêtes afin que je trouve les meilleures voies de résolutions de vos problématiques en interrogeant les entités communes à nos sphères spirituelles et oniriques. Le monde que nous côtoyons chaque jour dans la physicalité que nous impose le matérialisme de nos sociétés n'est que la surface superficielle de la véritable Réalité qui se situe au-delà de la vision profane, donc j'espère vous apporter par mon savoir-faire une autre vision plus élevée depuis laquelle la plupart des tracas et embûches trouveront des réponses pour les dépasser et évoluer sur d'autres horizons plus sereins et bénéfiques. N'hésitez pas à me joindre pour en discuter de vive voix par téléphone ou en m'écrivant, vous avez mes informations de contact ci-dessous sur ma bannière de site ci-dessous. Je vous dis à très bientôt et soyez attentif demain à votre réveil en attrapant votre rêve avant qu'il ne s'éloigne trop vite !

Jean-Pascal Bruno, chaman professionnel

 

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