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Blog chaman ésotérisme

Blog chaman ésotérisme

Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

travaux de magie

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Lorsque l’on parle d’Égrégore généralement un grand silence advient dans l’assistance, que l’on soit entouré de personnes profanes, c’est-à-dire relativement moins averties en matière d’ésotérisme, ou bien que ces mêmes personnes soient au contraire déjà assez avancées sur le chemin d’une initiation occulte, voire déjà praticiennes expérimentées de l’Art Royal que représente la haute magie opérative. C’est en effet que le terme intrigue et même inquiète assurément les néophytes car il résonne avec force et grande autorité; idem pour les initiés, ils en savent trop pour ne pas ignorer toute la puissance des Égrégores, ce terrible jeu d’ombres invisibles qui se cachent dans des dimensions qui ne sont pas nôtres, ils connaissent en effet ces émanations trop souvent incontrôlables et dangereuses, d’autres fois plus malléables ou conviviales se laissant créer ou maitriser si l’on en a conjointement le savoir-faire ainsi que le don et la véritable Connaissance. Il s’agit effectivement, lorsque l’on parle d’Égrégore, d’un phénomène crucial en ésotérisme, d’un des grands mystères que l’on cherche à taire ou à cacher au commun des mortels de peur qu’ils ne s’alarment à la moindre pensée furtive un tant soit peu déplacée ou secrète…

Car c’est justement de "pensée" dont il s’agit, ou plutôt de ce que certains ésotéristes appellent "forme pensée", d’autres y voient la manifestation d’une "entité artificielle" créée par l’ensemble des idées résiduelles ou fixes qui nous passent par la tête, autant dire que l’Égrégore nait de nos pensées, qu’il s’en nourrit et grandit autour de cette pensée, qu’il en devient à la fois autonome en passant d’individu en individu mais aussi dépendant puisqu’il puise sa puissance de nos affects, de nos désirs, de nos idéaux mais également de nos traits d’esprit, de nos théories intellectualisées, de nos sentiments, bons ou mauvais… Dans ce sens, l’Égrégore formera cet agrégat invisible de tout ce qui émane de nos esprits, il sera personnel ou collectif, il sera "dans l’air" comme l’idée que l’on croit soudain pouvoir attraper alors que c’est lui qui vient à nous et peut-être nous impose sa Loi et ses préceptes.

En magie et durant les rituels ce sont aussi des "formes pensées", des symboles actifs, qui seront à l’œuvre pour passer de notre volonté bien orientée (la "pensée magique") à une dimension intermédiaire qui en prendra note pour ensuite "rebondir" sur notre monde, à notre niveau de réalité. D’où l’importance essentielle de bien non seulement comprendre le phénomène mais aussi, pour l’initié, d’en user lors des travaux de magie qui opèrent via divers rituels spécifiques. Expliquer le fonctionnement intime des rituels est impossible, d’une part car l’on ne peut pas démontrer ce que l’on ne peut pas voir ou quantifier de manière logique, d’autre part parce que le phénomène n’obéit pas toujours strictement à notre volonté, sauf si justement l’on sait dompter ou apprivoiser les "mondes intermédiaires" (comme le dirait le célèbre ésotériste René Guénon [1]) et ses très diverses entités, dont les Égrégores qui en constituent une partie importante et plus facilement "saisissables et intelligibles" que les entités autres, plus basses et beaucoup moins coopératives comme les démons, assurément négatifs, ou des entités plus hautes qui, mêmes extrêmement positives, ne pourront absolument pas transgresser les Lois Karmiques qu’elles doivent suivre à la lettre et pour lesquelles elles existent de par leur intrinsèque nature plus céleste.

En parlant de "Triple Égrégore d’Envoûtement" la haute magie nous enseigne qu’il est justement possible de dompter avec sagesse, rigueur et subtilité ces "formes pensées", du moins trouver une association cohérente de rituels très ciblés pouvant orienter leur puissance, notamment dans un domaine à la fois important dans l’existence et foisonnant en termes d’idées fortes et de pensées récurrentes : dans l’immense et incontournable domaine de l’Amour. Sur ce terrain extrêmement prolifique des relations amoureuses coexistent pêle-mêle tous les paramètres essentiels dans chacun de ses principaux retranchements, à savoir : au niveau psychique (de l’équilibre d’attraction entre "désirer et être désiré"), au niveau affectif (de la gestion de l’ensemble des sentiments amoureux) et au niveau sexuel (de la tension exercée par la libido sur le corps). Ainsi toute la gamme existentielle humaine se trouve incluse dans ces trois sphères formant le socle d’un solide trépied, sous la forme des espérances, des perspectives et des besoins concrets en termes d’amour. Agir sur ces trois axes primordiaux c’est agir sur l’ensemble du domaine, exercer une série de rituels s’orientant sur ces mêmes trois axes c’est se garantir d’une action complète lors de travaux de magie bien temporisés, successifs et interdépendants, lesquels sont effectués en général en groupe avec des assistants qualifiés (de trois à cinq en ce qui me concerne, et, par ailleurs pour un maximum de treize personnes mais uniquement en "coven" [2] lors de cérémonies strictement wiccanes).

L’appellation exacte de "Triple Égrégore d’Envoûtement" s’explique donc par l’élaboration de travaux de magie sous l’effet exclusif de cette triple orientation avec trois types de rituels généralement issus de la magie rouge (magie générique de l’amour, des sentiments, du désir et de la sexualité); mais parfois, en ce qui me concerne, il m’arrive d’adjoindre si besoin des rituels annexes et complémentaires si leurs action ritualistique le confère, à savoir via la magie blanche qui permet un assouplissement psychique en apportant l’énergie nécessaire (à des fins de constante et ferme volonté durant les travaux) ainsi qu’une part de protection de l’ensemble du processus, lequel, je le répète, pourra s’avérer assez long sur ses trois phases successives pour un résultat optimum, en moyenne un mois pour chacune des étapes. Deuxième terme important, celui qui n'est pas toujours compris immédiatement par la personne qui demande les travaux : "l’envoûtement". Il s’agit ici effectivement du terme technique en la matière, il est issu des "katadesmos" [3], c’est-à-dire des "tablettes de défixion" de l’antiquité (en Grèce) qui avait pour but principal de s’attribuer l’amour d’une personne (ou d’en rejeter les avances, d’en éloigner la concurrence, parfois aussi de satisfaire une vengeance amoureuse…).

En ajustant sur l’aspect psychique d’une personne pour en définir l’exact profil, en captant le meilleur levier affectif de cette même personne et en exerçant une pression sur sa libido, les travaux bien menés de bout en bout auront cette puissante faculté d’associer trois Égrégores complémentaires pour un résultat difficile à déjouer sur ces trois axes car tous complémentaires et entrelacés dans la psyché humaine. Comme si cela ne suffisait pas, et dans un but d’ultime renforcement en fin de travaux j’utilise parfois une légère touche de magie noire mêlée à la magie rouge, ce que communément l’on appelle en termes d'élaboration mixte une "magie pourpre", ceci aboutissant à la plus puissante combinaison de rituels d’amour ! Bien évidemment le "Triple Égrégore d’envoûtement" se doit d’être adapté à chaque personne demandeuse (et à sa cible) ainsi qu’un contexte précis qui se présente; dans ce sens je reste à votre disposition pour en discuter librement avec vous selon le but que vous recherchez pour en établir le meilleur processus complet !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

Note [1] René Guénon : Ésotériste et philosophe orientaliste français  René Guénon, né le 15 novembre 1886 à Blois, en France et mort le 7 janvier 1951 au Caire, en Égypte, est un auteur français, « figure inclassable de l'histoire intellectuelle du XXᵉ siècle ». Il a publié dix-sept ouvrages de son vivant, auxquels s'ajoutent dix recueils d'articles publiés à titre posthume, soit au total vingt-sept titres régulièrement réédités. Ces livres ont trait principalement à la métaphysique, au symbolisme, à l'ésotérisme et à la critique du monde moderne. (dixit Wikipedia)

Note [2] Coven : Un coven (mot anglais) désigne, dans le contexte du néopaganisme anglo-saxon, une réunion de sorcières, ou par métonymie leur lieu de réunion habituel. Un Coven Wicca est considéré comme une petite société véhiculant les croyances sorcières établies dans la religion wiccane et dans laquelle on partage des connaissances théoriques et pratiques sur les arts de la magie et de la sorcellerie. L'utilisation de ce terme, dans sa forme actuelle, est associé aux seules personnes pratiquant le culte de la sorcellerie. (dixit Wikipedia)

Note [3] Katadesmos : Une tablette de défixion (defixio en latin/ katádesmos en grec ancien), appelée aussi tablette de malédiction ou tablette d’envoûtement, il s'agit du type d'objet le plus répandu qui nous soit parvenu de la magie antique. L’objectif habituel de la défixion est donc de soumettre un autre être humain à sa volonté, de le rendre incapable d’agir selon son propre gré. », pratique dorénavant appelée envoûtement. (dixit Wikipedia)

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La réussite, tout comme l’argent ou la notoriété font tous les trois partie des aspirations recherchées par un grand nombre de personnes dans nos sociétés qui imposent un peu ces orientations où le succès est devenu un signe de valeur, qu’il passe effectivement par ces trois facteurs qui sont d’une certaine façon assez proches si l’on en analyse leur teneur réelle, en effet : la réussite engendre généralement le fait de gagner beaucoup d’argent, ce qui apporte une certaine notoriété. Avant de continuer notons tout de même que ce raisonnement reste tout relatif car cela dépend du contexte en présence et de l’état d’esprit qui en résulte, principalement du vôtre en particulier, mais ceci est une autre histoire. Ce qui nous importe aujourd’hui est de savoir comment tout réussir, ou presque, du moins surtout comment provoquer la chance pour qu’elle permette qu’à chaque pas l’on se dirige un peu plus vers la réussite, que ce soit lors d’un examen quelconque ou pour n’importe quels concours et circonstances. Vous me direz que c’est impossible, que la chance est un paramètre qui ne se maîtrise absolument pas ! Erreur, vous avez tout faux, la chance se provoque, elle peut d’ailleurs vous accompagner durant de nombreuses années, et même toute votre vie si vous savez en prendre soin. Voyons comment et pourquoi, les deux étant intimement liés…

Tout d’abord, une chose importante à savoir avant d’entrer dans le vif du sujet, c’est que la réussite des uns n’est pas forcément celle des autres, que vous êtes unique, que vos désirs, vos projets et vos échelles de valeurs ne dépendent que de ce que vous en pensez, que des objectifs que vous vous êtes fixés selon le sens que vous avez donné à la réussite de votre vie, rien d’autre n’a d’importance que de savoir suivre sa propre voie, de cocher les cases que l’on croit bonnes pour soi, d’écouter sa voix intérieure pour se rendre compte de la valeur que l’on donne aux choses, aux événements et aux personnes qui nous entourent. Ce petit préambule permet déjà à chacun de se rapprocher de ses véritables aspirations, normalement les vôtres ne sont pas forcément celles de votre voisin, même si bien entendu, encore une fois, la société semble pointer le doigt vers certaines valeurs communes dont la grande majorité sera d’accord d’en suivre les principes et orientations très génériques. Chacun sera juge, "en la matière", de ses propres choix.

Et c’est ici que le concept de chance prend toute sa forme, car finalement pour le profane, et de manière commune, la chance se trouve principalement être une valeur matérielle, or, pour l’initié il en va tout autre, d’une part la chance n’est liée à aucune matérialité en termes de but, d’autre part elle n’existe assurément pas à notre niveau existentiel puisqu’elle est intangible, immanente et d’une certaine façon apparemment imprévisible, au sens commun, ce qui nous la fait trop souvent prendre pour un heureux hasard. L’initié sait qu’il n’existe strictement aucun hasard dans l’existence, que chaque fait présent s’entend comme une référence au passé avec lequel il est intimement imbriqué mais aussi avec le futur dont la direction apporte déjà en elle le germe de ce qui adviendra… Mais ceci est encore peut-être une vue simplifiée, que peut-on penser d’une réalité où le temps ne serait pas linéaire, où, dans un absolu, le passé, le présent et l’avenir feraient partie d’une même matrice en mouvement perpétuel  sur elle-même ? Dans ce cas la chance ne serait pas une conséquence de tel ou tel cheminement au fil du temps, au contraire elle serait présente par essence, parce qu’il le faut, et prendrait une forme dont nous n’avons pas les mots pour en décrire la réelle teneur. Dans ce sens, forcément absolu et au-delà de notre matérialité existentielle, le facteur chance représente pour les initiés un aspect karmique d’un niveau supérieur, une direction dans une dimension plus élevée créant pour nous tous les possibles…

Même les mots ne sont pas anodins, dans l’expression "mettre la chance de son côté" l’on voit bien qu’il y a déjà un "état d’esprit" avec une volonté initiale de modification du contexte pour la mise en œuvre de la réussite. Donc aucun "coup du sort", aucun hasard dans cette volonté, ce serait plutôt, du coup, le résultat d’un autre type de sort, celui d’un vœu exaucé, d’une volonté affirmée et exprimée. En magie les rituels sont, d’une certaine façon, des mises en scène de demandes volontaires via la parole prononcée et la pensée méditative exercée dans un cadre symbolique à des fins de dépassement d’une situation, dite normale, pour atteindre une position supranormale. Depuis cette position l’on intègre alors la matrice des possibles, celle qui permet la réorientation de cette situation pour en redéfinir les paramètres selon la volonté d’une demande allant vers un but précis. Par conséquent la compréhension subtile de ce que représente ce que l’on appelle la chance peut s’orchestrer sous la forme de rituels ayant la capacité d’accéder à la matrice de création de la réalité pour en redéfinir des orientations possibles karmiquement parlant. En d’autres mots, l’orientation karmique de chacun, aboutissant à des contextes plus ou moins favorables dans l’existence, peut proposer, dans le cadre des possibles dont elle dispose de manière précise pour chacun, une voie plus "chanceuses" que d’autres sur simple "demande volontaire".

Bien évidemment, chacun, c’est-à-dire tout le monde, ne sera pas en mesure d’effectuer cette "demande volontaire" que l’on pourrait aussi appeler sous une forme plus évidente : la prière. D’ailleurs, "prière" ou bien "mise en scène d’une volonté sous la forme d’un rituel", n’est-ce pas finalement la même chose ? Oui et non. La prière demeure de l’exercice de la personne qui l’exerce en vue de la voir s’exaucer, le rituel peut pour sa part avoir valeur d’intercession, ce qui signifie qu’une autre personne (a priori un "praticien" apte à le faire…) pourra mettre en œuvre cette demande volontaire, et ce généralement via un rituel de magie reprenant mot pour mot la teneur intrinsèque de la demande. Dans cette perspective l’on s’accordera que la plupart des personnes issues de nos sociétés dites modernes ou contemporaines ne sont plus du tout capables d’exprimer avec la force nécessaire la moindre pensée volontairement constructive avec la certitude de s’y tenir ou d’y "croire". Ces personnes se sont coupées de leur propre puissance de proposition karmique dont elles ont pourtant la capacité en temps normal d’en utiliser le potentiel, elles en ont perdu le savoir-faire, elles en sont restées au stade profane, bien souvent au rejet du sacré qui fait appel à cette capacité à la fois naturelle et surnaturelle de par le lien qui s’effectue entre les différentes dimensions de l’Être.

"Comment tout réussir" ou bien provoquer la chance pour y arriver ? Tout a été dit précédemment, le comment et le pourquoi. Maintenant effectivement même en ayant les réponses chacun sera juge de ses propres capacités à réorienter ses possibles, à établir ce lien karmique pour en trouver l’exacte bonne direction, mais assurément le pouvoir d’intercession existe et permet cette accession via la magie des rituels d’entrer en contact avec cette potentialité où la chance à disposition peut offrir cette réussite attendue. En qualité de sorcier chaman en exercice depuis déjà plusieurs décennies j’effectue très régulièrement ce type des travaux de magie durant lesquels chaque rituel est unique et permet d’intercéder pour chaque personne qui le désire afin qu’elle puisse exercer de manière plus sûre et efficace ce droit naturel à se relier aux exigences karmiques qui sont les siennes. Par conséquent n’hésitez pas à me contacter pour en discuter librement afin de ne pas passer à côté de votre chance, elle se trouve juste à portée d’une simple demande volontaire !
 

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

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Peu après la Saint-Valentin ("Fête des Amoureux" du 14 février) l’on pourrait très légitimement se poser une question assez fondamentale et très éclairante en ce qui concerne le rapport de proximité évident qui unit les relations amoureuses, et plus généralement celles du couple, avec les travaux de magie tant les rituels de magie concernant ce domaine sont présents et, d’une certaine façon, représentent la grande majorité des demandes de consultation. Alors pourquoi un tel engouement ou une telle synergie entre travaux de magie et problèmes de couple ? D’un point de vue profane il est vrai que l’Amour est un thème majeur, au même titre que la santé ou bien l’argent (relations professionnelles et travail inclus), mais c’est effectivement encore plus précisément la thématique du couple qui dépasse de loin toutes les demandes. L’on pourrait alors y voir deux réponses très basiques : d’une part que le simple fait d’être en couple apporte son lot de problématiques de tout ordre à régler, sur ce point il y a effectivement une longue liste à approfondir, d’autre part, et ici les initiés avancent aussi une approche intéressante : c’est que tout simplement les travaux de magie apportent des réponses très significatives et positives à cet ensemble de problématiques axées sur le couple, notamment avec la très efficace et puissante Magie Rouge, d’où ce regain et cet intérêt légitime pour s’y confronter afin d’obtenir des résultats probants.

C’est donc bien de la Magie Rouge dont il s’agit, la magie dite de l’Amour, de la sexualité et des sentiments, de quoi ravir tant les hommes que les femmes puisqu’ici l’Amour se décline le plus souvent au féminin en ce qui concerne les sentiments et certes de manière plus directe pour les hommes via la sexualité, une sorte de norme assez généralisée avec il est vrai des exceptions car les femmes s’intéressent assurément aussi à la sexualité tandis que les hommes ne voient rien à redire sur les sentiments, surtout en ce qui concerne la jalousie (sentiment d’ailleurs assez bien partagé entre les deux sexes !). Mais, faut-il le rappeler, ce sont avant tout les relations dans le couple qui focalisent l’attention, par conséquent il est parfaitement normal d’y trouver les composantes habituelles qui en constituent les pierres angulaires sur lesquelles repose l’édifice de la relation : la sexualité, le désir, la libido, les sentiments (tout l’éventail…), mais aussi d’autres liens plus subtils que les initiés sont peut-être les seuls à détecter pour résoudre les problématiques de manière plus profonde : l’intime relation karmique du couple, son rapport à la spiritualité en commun et l’énergie vitale ainsi générée par l’association de deux individus, des deux Ego, dans cette relation appelée "couple", une construction sociétale bien établie et encadrée dans ses carcans profanes.

La vision du couple et de sa relation peut ainsi être assez largement revisitée sous un angle ésotérique très pertinent dans des travaux de magie rouge bien menés avec la justesse d’une vérité habituellement invisibilisée sous des normes sociétales, morales et égotiques que les rituels pourront révéler pleinement afin de mieux comprendre les fondations mêmes de la relation du couple pour en trouver les essentielles réponses sur lesquelles cette relation repose véritablement. Ce ne seront alors pas forcément de sexualité ou de sentiments dont il sera question mais de la quintessence de leur source ayant abouti à la rencontre, puis à la relation plus durable, en équilibre ou non… La face karmique de la relation demeure en général secrète et dissimulée aux principaux partenaires qui ne savent pas toujours pourquoi l’Amour a réussi à les rapprocher, mettant trop souvent l’adage de cette incompréhension de l’Amour sur le compte qu’il est aveugle, alors qu’au contraire la relation amoureuse a bien suivi des lois karmiques très précises, justes et initiatiques dans leur démarche… Ce dernier point n’étant pas du tout, ou presque, connu des profanes assez peu au courant des liens subtils qui les ont fait se rencontrer.

Alors, le "pourquoi des relations de couple au coeur des travaux de magie" devient bien plus évident, surtout pour ceux, auparavant profanes, qui seront ainsi affranchis (prendront connaissance) de leur propre chemin karmique, de la signification des problématiques rencontrées dans le couple et surtout de l’aspect purement initiatique de celles-ci, "expérientiel et principiel", diraient certains initiés de haute magie en ayant la pleine Connaissance. De cette façon, les travaux de magie s’apparentent à des révélations, à un passage lui-même initiatique vers des horizons spirituels rehaussés dont le couple finalement bénéficiera (le plus souvent via l’un des deux partenaires en consultation) lorsque les problématiques ainsi révélées sous d’autres angles prendront toute leur signification et par conséquent leur réponse au-delà des simples superficialités profanes et sociales. Bien entendu, tous les problèmes du couple ne sont pas uniquement d’ordre karmique, la plupart du temps un couple dans la tourmente l’est aussi de par un contexte difficile ou parce que des concours de circonstances négatives viennent à se cumuler pour aboutir à un point de rupture ou de déséquilibre de la relation.

Il est crucial de redéfinir aussi ce que sont les travaux de magie dans cette première approche plus classique ou basique où l’on cherche d’abord les facteurs de discordes visibles, les oppositions d’ego, les potentiels déséquilibres induits par des éléments extérieurs qu’il faudra distinguer et analyser. Ce ne sera que dans un second temps que les paramètres dits karmiques apparaitront, uniquement s’ils participent d’eux-mêmes à la résolution utile des problèmes ou bien à leur révélation pour en tirer une initiation, une évolution à la fois personnelle de l’ordre du spirituel tout en étant partagé au sein de la relation de couple ainsi renforcée par cet éclairage ésotérique rendu possible par les travaux de magie. Cet enchainement de rituels, d’actions, de révélations, de prises de conscience et enfin de résolutions successives, voici en quoi correspondent ces mêmes travaux de magie, que cela soit au niveau de l’individu qu’à celui du couple qui en est une extension désirée au niveau profane, planifiée à un niveau supérieur, celui d’une destinée karmique en commun.

Il n’est jamais simple d’expliquer à ceux qui n’ont jamais été en consultation pour des travaux de magie cet ensemble d’enchainements et de prise de conscience, il faut en effet en avoir la volonté d’en suivre les exercices, d’en désirer la levée d’un voile qui ouvre sur des horizons ésotériques pour le moins inconnus et parfois surprenants, il faut enfin vouloir en suivre les enseignements pour soi-même à des fins d’en faire bénéficier le couple puisque cette association de deux personnes n’est absolument pas un hasard mais bien une construction karmique qui se dévoile progressivement tout en gardant secret l’itinéraire à suivre, car l’épreuve du couple demeure une expérience existentielle, une initiation à part entière qu’il faut tenter de réussir à tous les niveaux, parfois intégralement, parfois encore de manière libératoire en faisant seulement les bons choix. Le sujet restant complexe, différentié selon les parcours de chacun et les contextes en présence, je reste bien évidemment à votre disposition pour en discuter plus en avant à des fins d’éclaircissement ou d’aide personnalisée !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel
 

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #magie noire, #travaux de magie, #Rituels de magie, #jean pascal Bruno, #Esoterisme, #Sorcier chaman, #entités, #haute magie

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Les dénominations des magies, rouge, blanche, noire et même parfois verte, bleue ou pourpre, peuvent parfois être assez contradictoires ou obscures pour les profanes mais il faut savoir que même chez les initiés ces qualificatifs ne sont perçus que comme des notions purement conventionnelles et n’apportant pas toujours la plus grande des clartés ou une vérité absolue de ce qu’elles représentent exactement, et ceci à juste titre. En effet, et par exemple, qu’en est-il d’une magie dite blanche, donc sensément positive et axée sur le soin, sur la divulgation (la révélation) et sur l’apport d’énergie, alors qu’elle sera assurément bénéfique pour une personne en ayant eu la satisfaction d’en avoir eu recours en connaissant une vérité cruciale sur une situation, alors que d’un autre côté, cette même magie aura apporté à une autre personne cette même révélation de vérité avec la venue de multiples déboires provenant de ce dévoilement dans cette même exacte situation ? Comme nous le voyons, même la plus anodine des magies, la plus positive en soi aura sa propre part d’ombre portée par la face cachée de l’envers visible de sa médaille étincelante. Comme le dit l’initié de haute magie : chaque situation pourra être perçue différemment, voire inversement, selon la position relative d’où on la regardera, selon l’angle de vue qui y sera porté, selon l’intensité toute relative qui permettra ou non d’entamer la superficialité d’une vérité sous la surface d’une réalité simplement visible. Il en ira de même des méthodologies utilisées en magie, donc des rituels qui y seront associés et par conséquent des typologies des magies intégrées dans les travaux. En d’autres mots, les magies telles qu’elles sont présentées de manières simplifiées ne sont pas toujours celles que l’on pourrait penser ou croire ni celles qui auront les effets escomptés en fonction de l’attente de leur dénomination initiale.

En magie d’ailleurs, tout est presque question de dévoilement de secrets ou d’interprétation de situations pour agir en conséquence, tout peut donc être lumineux et positif lorsque l’on regarde le soleil mais d’autant plus ténébreux si l’on se retourne pour percevoir l’ombre portée par cette même lumière : l’obscurité n’existerait pas sans cette même éclatante luminosité, et inversement, de même le Bien tel qu’il est envisagé et sensiblement perçu n’existerait pas sans sa ténébreuse part contraire que représente le Mal. L’un sans l’autre ne signifie rien, c’est de la toute relativité de leur éloignement ou proximité que l’on pourra juger de leur puissance relative, en bien ou en mal, selon des principes basiquement humains en fonction de curseurs éthiques ou moraux à géométries variables en fonction des époques, les traditions et les zones géographiques correspondantes. Ainsi, la plupart des rites animistes des sociétés dites primitives, lesquels sont généralement d’ordre sacrificiel, seront qualifiés comme autant de rituels dignes de figurer dans le registre de la magie noire au regard de nos sociétés dans presque toutes les obédiences magiques modernes ou contemporaines. Le sacrifice, c’est-à-dire le don du sang versé ou bien sa représentation symbolique, se rapporte presque directement au domaine de la sorcellerie avec ses rituels destructeurs, sortilèges, malédictions et autres sorts délétères. Pourtant, dans un registre plus naturel le sang représente aussi une vision physiologique de la vitalité et de l’énergie, à l’exact opposé de la mort et de la destruction… Comme nous le voyons, tout reste relatif encore une fois selon le "sens" que nous donnons, mais aussi selon l’autre sens, c’est-à-dire le positionnement initial sur une même notion, que l’on soit du côté face ou bien du côté pile. Et il est très rare qu’une pièce tombe sur la tranche et y reste bien longtemps…

Alors qu’en est-il de la magie noire exactement avec cette notion fondamentale de relativité du bien et du mal ? L’application des rituels sera-t-elle perçue uniquement selon l’axe du Mal ou sous d’autres angles moins extrêmes ou radicaux ? Enfin, cette magie noire aura-t-elle ses propres limites dans son application et surtout des risques non seulement pour le praticien qui opère mais aussi pour le demandeur, initiateur et commanditaire ? Ces questions sont presque toutes intimement liées, elles ne prennent sens que lorsque l’on replace dans un contexte spécifique les travaux de magie pour en percevoir la réelle portée, les limites qui en bornent l’horizon des possibles, ainsi que les éventuels risques à envisager (et donc à déjouer). Demeure aussi le mode opératoire de cette même magie noire dont les rituels s’apparentent plus à des invocations d’entités qu’à de simples évocations de forces élémentaires ou primordiales au service de ceux qui les appellent… Notons qu’en magie noire lesdites entités ne sont pas naturelles ou purement terrestres mais proviennent plus généralement de régions dimensionnelles normalement inaccessibles au commun des mortels puisque les travaux de magie noire s’exercent selon des processus cérémoniels où une assemblée (de sorciers ou d’assistants) associe la puissance nécessaire pour non seulement ouvrir une brèche vers cette dimension mais aussi en encadrer ce qui en sort pour en maîtriser le potentiel immensément magique qui se présente. Ainsi, même si c’est effectivement un praticien expérimenté qui sera le contact d’un commanditaire désirant des travaux de magie noire, il est assurément clair qu’il ne pourra jamais agir seul mais sera secondé par plusieurs assistants expérimentés, autant qu’il en faudra nécessairement en fonction de l’importance de la tâche à effectuer ou de l’ampleur de "la solution" à trouver.

Ce n’est pour ma part qu’avec une assemblée constitue de fidèles assistants, pour la plupart d’un excellent niveau, que je me prononce en amont d’une part sur la faisabilité des travaux de magie noire, d’autre part sur l’exact processus et parcours à effectuer pour réaliser avec la pleine et entière maîtrise l’ensemble de ces travaux de A à Z, du début à la fin de ceux-ci, puisque et il faut le souligner : des travaux de magie noire engagés ne peuvent pas être interrompus sans avoir été finalisés, ceci est une règle de haute magie dont il faut instamment informer le demandeur pour que justement personne ne court un danger (chocs en retour maîtrisés) dans cette manœuvre délicate qui pourrait s’illustrer ou s’imager à un plongeon du haut d’une falaise (l’on n’arrête pas le mouvement amorcé). Les champs d’application de la magie noire sont aussi bien entendu la toute première des préoccupations lorsque l’on me soumet une problématique, ainsi rien n’oblige l’utilisation d’une puissance démesurée si l’on peut avant tout y remédier avec d’autres moyens plus adaptés, tels que ceux qu’offre les magies plus conventionnelles (mais certes aussi moins radicales) que la magie blanche qui s’axe principalement sur le bienfait d’une énergie vitale amplifiée et sur ses rituels de révélation qui sont à la base de la plupart des résolutions classiques, de même pour la magie dite rouge par convention qui aura comme "périmètre" celui de l’amour, des relations sexuelles et de la libido (avec effectivement toutes les problématiques liées à ce domaine : jalousie, infidélité, impuissance, etc.). Notons, pour la forme, qu’il existe une magie bleue (généralement associée dans bien des cas à la magie blanche) qui aura comme principale tâche la protection de la personne par des rituels du même nom. Idem en ce qui concerne la magie verte (souvent intégré à la blanche) qui utilisera les énergies élémentaires ou telluriques pour agir à des fins de soins ou de rééquilibrage.

Enfin, il existe, et ceci nous intéresse bien plus, une magie intermédiaire entre la magie rouge et la magie noire que l’on appelle "magie pourpre" par convention afin justement de mieux imager cette lisière infime qui vient parfois à orienter les travaux vers des rituels plus radicaux, voire brutaux dans leur formulation et faisant appel en dernier recours, uniquement en ultime nécessité, à des entités plus puissantes pour obtenir des résultats. La magie noire peut et même devrait se qualifier comme un recours utile dans certaines situations extrêmement difficiles où le demandeur est lui-même en danger initialement et par conséquent en urgence (à bien analyser tout de même) d’une action radicale pour contrer le Mal par le Mal. Cette possibilité d’utiliser la magie noire dans des cas d’urgence ou d’extrêmes complexités se doit d’être effectués avec la plus grande des prudences car comme vous le savez il ne faut jamais confondre vitesse et précipitation, c’est ici la règle d’or à suivre que de toujours effectuer les travaux par paliers successifs, tout comme le ferait notre plongeur (évoqué précédemment) pour remonter à l’air libre et réussir son action, du début à la fin sans dommage. Pour finir je tiens à préciser qu’il n’existe presque pas de limites dans les travaux de magie noire, seules sont les entités qui s’y associent (par la force de cohésion de l’assemblé) seront à la hauteur de la résolution de ce qui devra être effectué, par contre le piège réside dans la démesure des demandes et justement dans le fait qu’il n’existe pas de limite d’action de ces entités si on ne les maîtrise pas… Étant sorcier-chaman depuis plusieurs décennies maintenant, je reste assez expérimenté avec l’ensemble de mes assistants pour juger jusqu’où nous devons aller afin de ne pas tenter le diable, en sachant ceci : que le diable se cache non seulement dans les détails mais qu’il sait surtout nous faire croire qu’il n’existe pas ! Par conséquent : un sorcier expérimenté et bien averti par sa longue expérience en la matière en vaut largement dix !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

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Lorsque le couple se trouve en difficulté ou bien désuni dans sa relation première, c'est-à-dire dans sa relation amoureuse initiale, alors c'est toute la cellule familiale, enfant(s) et prarents compris, qui s'en trouve complètement déstabilisée et fragilisée jusque dans ses fondements mêmes avec une possibilité d'effondrement ou d'explosion de l'ensemble de la structure relationnelle. Afin de ne pas en arriver à ce type d'extrémité où la situation pourrait aboutir à la dislocation complète de la famille, il sera nécessaire d'effectuer progressivement et très précisément une serie de travaux axés sur des rituels de restauration de la relation parentale dans un premier temps puis de consolidation de l'ensemble du tissu social de la famille, avec parfois aussi, en annexe, une magie plus offensive...


La principale cause de désunion et de déstabilisation de la relation de couple provient presque essentiellement de l'infidélité d'un des deux partenaires (voire des deux aussi), en ce sens ce sont les liens du couple qui se distandent ou qui se désagrègent au profit d'autres personnes extérieures qui en héritent. Vouloir resserrer ou bien recontituer les liens amoureux initiaux sera donc finalement une entreprise double : la première de re-légitimisation (rendre légitime de nouveau) du couple initial, la deuxième de déligitimisation (ne plus rendre légitime) la relation dite infidèle ou adultèrine. Il y a par conséquent deux actions certes opposées mais parfaitement complémentaires dans cette action de recontruction du couple initial et d'action sur l'infidélité à cibler aussi.


Deux actions, cela signifie de facto deux types de rituels différents, et ici deux types de magies aussi : l'une permettant d'effectuer un rapprochement et de "soigner la relation", l'autre étant plus "offensive" dans son action de déconstruction (pour ne pas dire de destruction) de la relation illégitime en question. L'on pourra aussi considérer que dans son ensemble la reconstruction de la relation de couple initiale pourra s'étendre à la famille au sens plus large, incluant les relations habiruelles parents-enfants s'il y a lieu, avec une évidente finalité de cohésion familiale retrouvée. Ce sera ici en grande partie à la magie blanche de fournir la plupart des rituels d'apport d'énergie positive pour ce faire, avec le soutien néanmoins assuré d'au moins un puissant rituel de magie rouge (magie de l'amour) centré uniquement sur la relation du couple pour sceller cette volonté de retour d'une relation non plus d'éloignement mais de rapprochement.


Par contre, en ce qui concerne la relation dite "infidèle", il faudra inversement agir avec des rituels de désunion, de rupture et d'éloignement, des objectifs à la fois partagés par deux magies dont l'une ne peut qu'être sensiblement proche de la magie noire ou bien alors d'une magie dite "pourpre" pour en signifier la proximité avec une magie rouge teintée du souffre de la magie noire. Il n'y a pas d'autre magie que celle de l'amour pour en orienter dans un sens ou dans l'autre l'activité, c'est-à-dire pour "faire ou défaire" une relation, et les praticiens de haute magie le savent bien : à toute magie correspond aussi sa face plus sombre qu'il faut parfois utiliser à dessein...


Dans cet ensemble complexe de travaux successifs, il sera judicieux de commencer par une première étape pleinement positive pour en tirer des conséquences pour la suite, en d'autres termes : commencer par la magie blanche pour tester les facteurs de cohésion de la famille sera cette première étape cruciale. Si le résultat s'avèrait améliorer, même de manière très minime la situation, alors la suite des travaux pourrait s'axer sur cette tendance prometteuse en continuant sur cette lancée; par contre, dans le cas inverse il faudrait alors passer à des rituels "plus incisifs" de l'ordre de cette magie pourpre qui permettrait une sorte d'insert "d'un peu de chaos" afin d'en voir toutes les cartes du jeu complètement rabattues, ceci pour obtenir une situation effectivement plus décousue qu'il sera aussi plus simple de "remettre en bon ordre" : après la pluie faisons apparaitre le soleil sur un paysage dégagé...


C'est uniquement, avec un savoir-faire et une exprérience professionnelle, que les travaux peuvent être effectués au cordeau des justes rtituels pour s'ancrer dans le présent et y jouer leurs rôles actifs, plus efficacement et de manière optimum en fonction de la situation réelle. Il n'y a pas de "travaux types" écrits à l'avance, il n'existe que des modalités de processus magiques où chaque magie, blanche, rouge ou noire aura successivement sa place exacte, ou non, ceci selon les évènements précis qui en ordonneront l'utilisation pour en orienter le but final : ici la reconstitution de la relation du couple au sein de la famille elle-même reconstituée, redynamisée et stabilisée.


C'est dans ce sens que je pratique les travaux de magie en qualité de sorcier-chaman depuis déjà plusieurs décennies, lesquelles m'ont apprises que, seuls les rituels, effectués aux bons moments, selon des magies prafaitement choisies et dosées (avec une volonté pleinement partagée avec la personne demandeuse), seront dignes de restituer pour chacun leur potentiel optimum afin de réussir l'objectif final !


Jean-Pascal Bruno, sorcier-chaman professionnel

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Suite à vos demandes, voici un thème suffisamment complexe pour ceux, un peu plus initiés, qui se sentent l’envie de l’aborder plus frontalement en ayant déjà quelques bases afin d’aller plus loin dans la compréhension de ce qu’est "un symbole en magie" et par conséquent comprendre les processus ritualistiques qui en découlent… Donc, vouloir parler des symboles en magie c’est un peu comme tenter de traverser une étendue de sables mouvants tout en s’y enfonçant un peu plus à chaque pas pour s’apercevoir du véritable poids qu’impose le sens du terme et de ses correspondances multiples et changeantes. Comme le sable, le symbole glisse des mains pour s’éparpiller en mille grains selon le contexte en présence, au grès des vents, parfois même contraire au sens initial que l’on aurait voulu lui attribuer. Pourtant la magie n’existerait pas sans sa teneur symbolique, sans ces passages complexes et hermétiques qui permettent d’entrevoir une certaine réalité pour mieux en saisir l’essence et en prévoir la finalité. Toute l’intelligence du symbole tient dans sa multitude, il n’est jamais UN, il coexiste en chacun de ceux qui l’envisagent, il appartient à une lointaine sphère supérieure dont nous n’entrevoyons que le reflet d’une vérité parmi tant d’autres dans le prisme orienté de notre existence assujettie à notre imparfaite humanité. Un symbole peut ainsi rayonner d’une évidence qui lui donnera une signification, porter aussi une immense ombre cachée derrière l’éclat de cette lumineuse certitude qui s’expose à notre fugace entendement. Rien n’est donc jamais simple, immédiat et durable avec le symbole, il est de ce fait vivant et nous devons savoir l’apprivoiser au risque de mal l’interpréter et de le voir s’échapper au loin de notre intellect si allègrement versatile et inconstant.

En magie, et plus précisément durant les rituels, le symbole constitue l’élément essentiel de cette codification du monde pour mieux agir sur ce dernier, il devient ce qu’il représente, il en est le double éthérique, la substance vivante correspondant à la cible du but recherché, selon un contexte, un tempo et un espace précis. Comme nous le voyons, définir "le symbole" en magie ne peut passer que par la périphrase imagée puisqu’il n’existe en réalité pas physiquement comme une entité tangible appartenant à notre monde mais peut être néanmoins tout de même visible par "ce qui le représente", c’est-à-dire par un "élément symbolique" utile à celui qui va en user pour en faire émaner l’essence de ce qu’il devrait être au moment du rituel, avec le contexte imposé par celui-ci, dans le lieu consacré pour qu’il s’active et enfin en fonction d’une "orientation" prédéfinie : d’un point de départ initial préalablement bien analysé vers un but précisément ciblé, étudié et surtout désiré. Le symbole n’est par contre strictement rien sans l’indispensable volonté qu’il représente véritablement "ce qui doit l’être" à la fois pour l’opérateur du rituel (généralement le praticien parfaitement initié aux travaux de magie) ainsi que pour le demandeur par lequel (homme ou femme évidemment) le besoin de résolution d’une problématique se concrétise par la nécessité d’effectuer ces mêmes travaux de magie adaptés à cette résolution. Une volonté duale, celle du demandeur et du praticien, afin de concrétiser (ou cristalliser intellectuellement et psychiquement) ce désir de voir évoluer une situation dans un sens que chacun d’eux a bien saisi pour en entrevoir le contexte de départ avec l’ensemble de ses paramètres ainsi que ce fameux but recherché dont la clef est la résolution en elle-même.

Bien entendu, entre le contexte de départ et la finalité concrétisée par le but recherché il y a parfois un long chemin à parcourir ou plutôt un itinéraire à anticiper avec assurément plusieurs routes à emprunter, c’est exactement ce qui est défini par ces "travaux de magie" successifs pour y arriver, des travaux car c’est aussi une construction, de la première pierre jusqu’à la dernière de cet édifice mental qui aura ainsi circonscrit la problématique pour la résoudre en transformant la réalité par le biais d’une dimension intermédiaire symbolique agissante. De facto, l’on pourrait même dire que la magie s’apparente essentiellement à l’orchestration du ou des symboles utilisés dans ses rituels durant les travaux, la magie est d’ailleurs elle-même son propre symbole, celui que l’esprit agit sur la matière, que la réalité se plie finalement à la volonté si celle-ci est à la fois véridique et assez puissante pour s’exprimer pleinement sans entraves. Sur ce dernier point, la volonté est aussi énergie pour s’activer, elle nécessite une transformation ou plutôt une sublimation d’énergie vitale en énergie mentale que l’on appelle trivialement "volonté"… Tout le monde ne perçoit pas les situations existentielles avec la même force de volonté, bien au contraire nous avons tous selon notre propre essence personnelle des prédispositions pour désirer en puissance certaines choses plutôt que d’autres, nous sommes tous sur ce point différents en terme d’orientation de nos besoins, de nos désirs et donc de notre volonté d’agir en puissance dans une direction précise. La magie et ses rituels bien organisés dans des travaux spécifiques permettent chacun à leur niveau d’action de rétablir ou de focaliser l’orientation de cette volonté vers le but recherché pour résoudre une situation dite problématique (ou jugée comme telle par le demandeur).

D’un point de vue plus concret et explicite, pour ceux qui aiment des exemples, il existe une multitude de types de symboles très actifs et efficaces qui peuvent être utilisés durant des rituels de magie; vous les connaissez certainement puisque personne n’en fait mystère, des images circulent sur tous les médias internet ou dans toutes les publications. Néanmoins, encore une fois à titre d’exemple, voici quelques "objets symboliques" qui permettent de poser les bases des rituels habituels les plus courants, du moins pour faire entrer dans un espace dédié aux travaux de magie une sphère symbolique assez représentative qui apportera la quintessence des rituels si la personne qui les opère dispose aussi d’une volonté exercée à en saisir tous les contours. Premièrement, comme déjà expliqué, il faut effectivement un lieu, celui-ci devrait préférentiellement se trouver dans un espace privé où très peu fréquenté, une pièce ou un petit espace dans une pièce où seul l’opérant aura accès pour que les divers objets qui y seront entreposés ne soient pas touchés ou même vus. Dans cet espace une table, de la dimension qui vous semble adaptée (certains aiment les petits guéridons, d’autres de grandes tables en bois massif ou en marbre, à chacun son choix), a priori ne prenez pas une table avec des éléments métalliques qui pourraient interférer par la suite avec d’autres objets. Sur cette table, et ceci est important, à vous d’y placer un tissu dont vous jugerez de la bonne couleur en fonction du rituel (je ne m’étends pas ici sur la symbolique des couleurs à utiliser ni de la matière), de plus à vous de voir si ce tissu dispose lui-même de symboles tracés ou pas… Il existe des tissus déjà ornementés de symboles magiques, je vous recommande vivement de créer les vôtres sur un tissu vierge. Ces symboles géométriques tracés sont évidemment infinis en types et formes, en puissance et objectifs, mais sachez que finalement ils ne seront efficaces que si vous avez foi en eux, alors créez vos propres "sigils" ou signes, ou bien utilisez sciemment ceux que vous connaissez et en lesquels vous avez toute confiance.

La véritable puissance des objets symboliques sera d’autant plus proportionnelle et efficace que vous aurez un rapport particulier avec ces objets, par conséquent il est préférable d’utiliser des objets ritualistiques strictement personnels, qui sont déjà assez anciens ou en votre possession depuis une assez longue période (de vieux objets familiaux par exemple), ou mieux : si possible les fabriquer entièrement vous-mêmes. Dans cette perspective n’achetez évidemment pas des objets fabriqués à la chaine, privilégiez les objets artisanaux ou uniques, voire parfois des oeuvres artistiques… Parmi les objets symboliques les plus emblématiques utilisés pour les rituels, pelle-mêle : des bougeoirs, des récipients (coupelle, bol, fiole, verre, etc.), des cristaux ou pierres de votre choix, des éléments naturels (bois, plantes, os, terres, liquides, etc.), des statuettes significatives (uniquement si elles ont un sens pour vous et dans le but recherché…), des encens ou autres parfums, des cordelettes ou fils divers, parfois des cartes de tarot (si les arcanes n’ont plus de secrets pour vous), des dagues rituelles ou autres objets pointus (uniquement si cela apporte un plus), enfin pour certains rituels il est nécessaire d’avoir des photos des personnes impliquées dans le rituel ou dans les travaux, d’avoir aussi certains de leurs objets personnels qui "symboliquement" apportent une caractéristique unique aux travaux. De même, chacun sera libre de prononcer ses formulations ou incantations si celles-ci renforcent le processus symbolique. La liste n’a pas de limite ou uniquement celle de votre imagination et surtout de votre volonté de voir dans ces objets symboliques une réelle puissance en action qui en émanera. Le principal n’est pas l’objet en lui-même mais la force de la représentation symbolique que vous en ferez en vue d’une projection mentale vers le but qui aura été décidé sur le chemin de la résolution. La puissance des rituels dépend d’abord de vous, de votre volonté, de votre puissance mentale et spirituelle à transcender l’objet pour en restituer son symbole actif puis le laisser interagir dans le cadre du rituel… Je reste à votre disposition pour en discuter, ou si vous préférez pour me demander de réaliser plus directement des travaux de magie pour vous, avec maîtrise, savoir-faire et déontologie.

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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Avant d’entrer d’emblée dans le sujet pour comprendre, connaitre, puis enfin résoudre des problèmes de relations amoureuses (visibles ou sous-jacentes), il est assurément important d’élargir le contexte en ne partant pas uniquement des individus mais surtout du chemin sinueux qui les a porté non seulement à se rencontrer mais aussi à suivre les contraintes anciennes et présentes qui permettent de bien mieux définir la réelle et complexe sphère agissante qui dirige leur vie. Cette importante "sphère d’information" est elle-même sous influences d’autres types de contraintes extérieures multiples, de décisions périphériques à leur propre histoire mais ayant une incidence réelle. Enfin, cet ensemble est lui-même soumis à de grandes lois universelles supérieures non écrites (celles qui sont d’un ordre plus hermétique, à savoir karmique). L’Histoire elle-même, avec un grand H, fait aussi partie intégrante des paramètres à suivre selon un déroulement structuré pour en comprendre les effets, diverses répercutions et conséquences sur les individus, sur ce point l’exemple sociétal abondamment théorisé et le plus explicite bien que déjà ancien pour le sujet qui pourrait nous intéresser serait celui de ladite "libération sexuelle" d’après mai 68 et des mouvements sociaux en France (et ailleurs dans le monde par ricochet jusqu'à aujourd'hui) qui en ont résulté. Mais, sans vouloir trop compliquer une situation déjà multiforme, évolutive et non formelle, chacun sera aussi plus ou moins réceptif à l’ensemble de ces changements et de ces diverses contraintes, ce qui modèrera (sans simplifier pour le moins) toute démarche uniforme et trop généraliste pour en tirer de trop rigides conclusions.

Pour résumer clairement et pouvoir ainsi commencer à mieux cerner génériquement le problème et y répondre : nous avons ici en place une sphère contextuelle très structurée ayant au moins quatre grands paramètres qui jouent sur l’humain : spatiaux (pays et traditions, lieux, déplacements, etc.), temporels (dates importantes, histoire personnelle, mouvements Historiques et politiques, etc.), la prise de conscience de l’intéressé lui-même face à ces paramètres avec son essentielle rétroaction (1) psychique (réponse à l’ensemble des affects, subis, acceptés ou rejetés, voire neutralisés, qui accentuent ou modèrent les causes et/ou les effets), enfin et pas des moindres, l’influence décisive mais discrètement induite (notoirement invisibilisée au profane) d’un niveau supérieur axé sur la mission de vie et la part d’orientation karmique (2) avec ses épreuves (initiatiques et existentielles), sa route (sa destinée) et ses chaines (selon dette karmique, positive ou négative). Une fois que ces éléments sont préalablement posés nous pouvons commencer à travailler pour connaitre une situation dans le cadre d’un contexte réel proche d’une vérité sensiblement objective et bien cernée, notamment en ce qui concerne ici plus précisément ce qui nous intéresse : les relations amoureuses et leurs problématiques, lesquelles sont souvent, par essence comme nous le savons, relativement compliquées à comprendre et à aborder…

Afin de comprendre spécifiquement la relation amoureuse qui lie deux personnes, commençons par vérifier les potentiels points de frictions, c’est-à-dire les points qui pourraient s’opposer à cette relation ou la rendre plus difficile. La tradition de chacun : il est clair que deux individus n’ayant pas les mêmes bases sociétales, religieuses, ou traditionnelles auront plus de mal à "s’identifier dans l’autre" et donc à y percevoir les essentiels points communs pour s’apprécier d’autant plus. Ne dit on pas qui se ressemblent s’assemble ? Ce n’est heureusement vrai qu’en partie, sinon personne ne serait en couple tant nous sommes tous différents, ce qui est aussi un élément non pas à charge mais à l’avantage de ceux qui s’unissent que de revendiquer des différences pour les apporter, les offrir, à l’autre. Voyons d’ailleurs immédiatement dans cette "offrande" un véritable rituel à part entière et au sens strict, même si cela n’est pas visible ou ressenti comme tel pour un profane, elle l’est déjà parfaitement identifiée comme telle pour un initié ! D’offrande à sacrifice, il n’y a qu’un pas qui n’aura pas échappé à la sagacité intellectuelle et ésotérique pour relier deux concepts véritablement clé en magie opérative afin d'effectuer des rituels puisqu’une demande ritualistique se base à la fois sur l’élaboration orchestrée d’appels symboliques (demandes, prières, invocations, communications, etc.) et de dons qui sont multiples. La notion de don peut être de deux types : matériel (un objet usuel ou plus symbolique, une mèche de cheveux, une sécrétion sexuelle, du sang, des animaux, des plantes, etc.) ou bien des dons immatériels : ne serait-ce que le temps de cérémonie et de méditation, des pensées imagées (puissance de la volonté), des paroles répétées (mantra), des symboles tracés puis utilisés (brulés rituellement, dissous alchimiquement, enterrés, lavés, déplacés ou orientés, etc.).

"Savoir, Oser, vouloir, se taire", résume clairement aussi l’action de la volonté d’agir magiquement selon l’ésotériste mage Eliphas Levi (3) qui en définit ici des principes à suivre qui parlent d’eux-mêmes sans avoir à approfondir longuement. Ce que l’on pourra utilement en retirer de sagesse ésotérique c’est qu’effectivement avant toute action, comme dit précédemment, il sera nécessaire de savoir, de comprendre et d’analyser un tant soit peu la situation et le contexte réel avant tout travail de magie, ceci semble une évidence. Oser, demande que l’on dépasse certaines limites, notamment les habitudes lorsque l’on est "en demande" puisque ce n’est qu’en rupture (légère ou radicale) de son mode de vie ou de penser que l’on pourra aborder un changement, ceci aussi tombe sous le sens, il n’y a que ceux qui ne tentent rien qui ne gagnent pas au change. Enfin, "vouloir" apporte la clé indispensable, tant de la part du demandeur que du praticien, en effet rien ne se fera sans une volonté" préalable à l’acte, que ce dernier soit d’ailleurs concret et profane ou plus ritualistique et ésotérique. De plus, pour les initiés la volonté représente aussi une "matière subtile" à part entière qui se transmute et entre en sublimation pour transformer la réalité et changer le cours des choses… Se taire ensuite, car la notion de secret développe une puissance occulte participant à l’appel de forces invisibles qui ne veulent ni être nommées ouvertement à tout vent, ni être même pensées ou représentées à un niveau profane, ce qui serait alors littéralement une profanation d'un rituel en cours, une dégradation des effets attendus et enfin une terrible offense envers les entités en présence ou ayant participé aux travaux.

Vouloir améliorer une situation amoureuse compliquée et qui pourrait dégénérer, voire aboutir à une rupture, c’est donc mettre en oeuvre toute un complexe processus à la fois long, énergétiquement parlant assez lourd à supporter, rigoureusement échelonné selon des principes et des concepts à suivre à la lettre, et enfin avec la plus grande discrétion qui soit, voire avec un secret absolu si besoin. Il est clair, net et précis que dans ces termes seuls les professionnels auront assez de connaissances ésotériques et magiques, d’expertise dans l’expérience en la matière et en l’esprit du don de pouvoir obtenir des résultats satisfaisants ou significatifs. Sans oublier la notion de tempo, de séquençage des rituels, des appels aux bonnes (ou plus spécifiques) entités et des modulations ou ajustements à effectuer souvent en temps réel : aucun profane en activité dans un monde lui aussi profane n’en aura la pleine capacité, le temps, le savoir-faire, l’énergie et la volonté affirmée selon les principes évoqués précédemment. Bien au contraire, en exposant ici très sommairement les notions ritualistiques, il est strictement déconseillé de tenter d’effectuer seul pour soi-même des rituels de retour d’affection ou d’autres d’ordre de la magie rouge, cela serait à coup sûr dommageable pour la situation et pour celui ou celle qui opère sans les bons outils ni les connaissances requises. Ceci ne signifie pas qu’un profane puisse tout de même s’intéresser à ces problématiques hermétiques, qu’il en étudie les concepts et qu’il puisse, à son niveau, en récolter quelques fruits positifs par une attitude lui permettant d’entrevoir une certaine sagesse de l’amour pour que sa relation de couple en soit réellement bonifiée. N’oublions pas que le libre arbitre allié à la volonté, bien orientée et persévérante, seront les meilleurs atouts pour la réussite d’un projet, d’autant plus si celui-ci apporte l’harmonie et la stabilité demandée. Dans ce sens, et ce qu’il faut avant tout principalement retenir et appliquer : soyez toujours à l’écoute des élans primordiaux de votre coeur, parfois plus que de votre mental analytique ou de votre intellect purement logique, il est le seul indicateur à suivre sur le chemin de vos sentiments si ceux-ci sont effecitvement véritables !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel



(1) Rétroaction :
Une rétroaction est une interaction dans laquelle la perturbation d’une variable provoque le changement d'une seconde variable, qui influe à son tour sur la variable initiale. Une rétroaction forme une boucle fermée dans un diagramme de causalité. Une rétroaction positive est un processus qui a pour effet d’accentuer les perturbations, le processus s'autoalimente, par exemple dans le cas d'une explosion. Une rétroaction négative est un processus qui a pour effet d'atténuer les perturbations et provoque un amortissement qui permet une régulation. Ce processus intervient aussi comme agent causal sur sa propre origine, la séquence des expressions de la cause principale et des effets successifs formant une boucle de rétroaction.

(2) Le Karma : est l'action sous toutes ses formes, puis dans un sens plus religieux l'action rituelle. C'est aussi une notion désignant communément le cycle des causes et des conséquences liées à l'existence des êtres sensibles. Il est alors la somme de ce qu'un individu a fait, est en train de faire ou fera. Le karma est propre aux religions et spiritualités orientales ayant adopté le concept de renaissance (parfois nommée réincarnation ou transmigration), lié au fait que les êtres renaissent en fonction de la nature et de la qualité de leurs actes, dans cette vie-ci, mais aussi dans d'autres vies qui se sont déroulées antérieurement. Ainsi tout acte (karmique) induit des effets censés se répercuter sur les différentes vies d'un individu, formant ainsi sa destinée. Dans l'hindouisme et le bouddhisme, le karma permet finalement de se libérer du cycle des morts et des renaissances qui sont des épreuves initiatiques à expérimenter, l’état de libération est appelé nirvāna. En occident : pour les kabbalistes modernes, le karma est une série d'épreuves que l'on s'est choisi juste avant sa naissance, le but de la vie étant de réussir ces épreuves. Pour les théosophes l'usage de ce concept se résume sous la forme d'une loi de rétribution ou loi de cause et d'effet (positive ou négative).

(3) Eliphas Levi : est un ecclésiastique français et une grande figure de l'occultisme du 19e siècle (1810-1875). Auteur de nombreux essais ésotériques, notamment de : "l’Histoire de la magie", "Philosophie occulte : fables et symboles" et "Philosophie occulte : science des esprits".


 

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