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Blog chaman ésotérisme

Blog chaman ésotérisme

Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

esoterisme

Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #magie noire, #travaux de magie, #Rituels de magie, #jean pascal Bruno, #Esoterisme, #Sorcier chaman, #entités, #haute magie

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Les dénominations des magies, rouge, blanche, noire et même parfois verte, bleue ou pourpre, peuvent parfois être assez contradictoires ou obscures pour les profanes mais il faut savoir que même chez les initiés ces qualificatifs ne sont perçus que comme des notions purement conventionnelles et n’apportant pas toujours la plus grande des clartés ou une vérité absolue de ce qu’elles représentent exactement, et ceci à juste titre. En effet, et par exemple, qu’en est-il d’une magie dite blanche, donc sensément positive et axée sur le soin, sur la divulgation (la révélation) et sur l’apport d’énergie, alors qu’elle sera assurément bénéfique pour une personne en ayant eu la satisfaction d’en avoir eu recours en connaissant une vérité cruciale sur une situation, alors que d’un autre côté, cette même magie aura apporté à une autre personne cette même révélation de vérité avec la venue de multiples déboires provenant de ce dévoilement dans cette même exacte situation ? Comme nous le voyons, même la plus anodine des magies, la plus positive en soi aura sa propre part d’ombre portée par la face cachée de l’envers visible de sa médaille étincelante. Comme le dit l’initié de haute magie : chaque situation pourra être perçue différemment, voire inversement, selon la position relative d’où on la regardera, selon l’angle de vue qui y sera porté, selon l’intensité toute relative qui permettra ou non d’entamer la superficialité d’une vérité sous la surface d’une réalité simplement visible. Il en ira de même des méthodologies utilisées en magie, donc des rituels qui y seront associés et par conséquent des typologies des magies intégrées dans les travaux. En d’autres mots, les magies telles qu’elles sont présentées de manières simplifiées ne sont pas toujours celles que l’on pourrait penser ou croire ni celles qui auront les effets escomptés en fonction de l’attente de leur dénomination initiale.

En magie d’ailleurs, tout est presque question de dévoilement de secrets ou d’interprétation de situations pour agir en conséquence, tout peut donc être lumineux et positif lorsque l’on regarde le soleil mais d’autant plus ténébreux si l’on se retourne pour percevoir l’ombre portée par cette même lumière : l’obscurité n’existerait pas sans cette même éclatante luminosité, et inversement, de même le Bien tel qu’il est envisagé et sensiblement perçu n’existerait pas sans sa ténébreuse part contraire que représente le Mal. L’un sans l’autre ne signifie rien, c’est de la toute relativité de leur éloignement ou proximité que l’on pourra juger de leur puissance relative, en bien ou en mal, selon des principes basiquement humains en fonction de curseurs éthiques ou moraux à géométries variables en fonction des époques, les traditions et les zones géographiques correspondantes. Ainsi, la plupart des rites animistes des sociétés dites primitives, lesquels sont généralement d’ordre sacrificiel, seront qualifiés comme autant de rituels dignes de figurer dans le registre de la magie noire au regard de nos sociétés dans presque toutes les obédiences magiques modernes ou contemporaines. Le sacrifice, c’est-à-dire le don du sang versé ou bien sa représentation symbolique, se rapporte presque directement au domaine de la sorcellerie avec ses rituels destructeurs, sortilèges, malédictions et autres sorts délétères. Pourtant, dans un registre plus naturel le sang représente aussi une vision physiologique de la vitalité et de l’énergie, à l’exact opposé de la mort et de la destruction… Comme nous le voyons, tout reste relatif encore une fois selon le "sens" que nous donnons, mais aussi selon l’autre sens, c’est-à-dire le positionnement initial sur une même notion, que l’on soit du côté face ou bien du côté pile. Et il est très rare qu’une pièce tombe sur la tranche et y reste bien longtemps…

Alors qu’en est-il de la magie noire exactement avec cette notion fondamentale de relativité du bien et du mal ? L’application des rituels sera-t-elle perçue uniquement selon l’axe du Mal ou sous d’autres angles moins extrêmes ou radicaux ? Enfin, cette magie noire aura-t-elle ses propres limites dans son application et surtout des risques non seulement pour le praticien qui opère mais aussi pour le demandeur, initiateur et commanditaire ? Ces questions sont presque toutes intimement liées, elles ne prennent sens que lorsque l’on replace dans un contexte spécifique les travaux de magie pour en percevoir la réelle portée, les limites qui en bornent l’horizon des possibles, ainsi que les éventuels risques à envisager (et donc à déjouer). Demeure aussi le mode opératoire de cette même magie noire dont les rituels s’apparentent plus à des invocations d’entités qu’à de simples évocations de forces élémentaires ou primordiales au service de ceux qui les appellent… Notons qu’en magie noire lesdites entités ne sont pas naturelles ou purement terrestres mais proviennent plus généralement de régions dimensionnelles normalement inaccessibles au commun des mortels puisque les travaux de magie noire s’exercent selon des processus cérémoniels où une assemblée (de sorciers ou d’assistants) associe la puissance nécessaire pour non seulement ouvrir une brèche vers cette dimension mais aussi en encadrer ce qui en sort pour en maîtriser le potentiel immensément magique qui se présente. Ainsi, même si c’est effectivement un praticien expérimenté qui sera le contact d’un commanditaire désirant des travaux de magie noire, il est assurément clair qu’il ne pourra jamais agir seul mais sera secondé par plusieurs assistants expérimentés, autant qu’il en faudra nécessairement en fonction de l’importance de la tâche à effectuer ou de l’ampleur de "la solution" à trouver.

Ce n’est pour ma part qu’avec une assemblée constitue de fidèles assistants, pour la plupart d’un excellent niveau, que je me prononce en amont d’une part sur la faisabilité des travaux de magie noire, d’autre part sur l’exact processus et parcours à effectuer pour réaliser avec la pleine et entière maîtrise l’ensemble de ces travaux de A à Z, du début à la fin de ceux-ci, puisque et il faut le souligner : des travaux de magie noire engagés ne peuvent pas être interrompus sans avoir été finalisés, ceci est une règle de haute magie dont il faut instamment informer le demandeur pour que justement personne ne court un danger (chocs en retour maîtrisés) dans cette manœuvre délicate qui pourrait s’illustrer ou s’imager à un plongeon du haut d’une falaise (l’on n’arrête pas le mouvement amorcé). Les champs d’application de la magie noire sont aussi bien entendu la toute première des préoccupations lorsque l’on me soumet une problématique, ainsi rien n’oblige l’utilisation d’une puissance démesurée si l’on peut avant tout y remédier avec d’autres moyens plus adaptés, tels que ceux qu’offre les magies plus conventionnelles (mais certes aussi moins radicales) que la magie blanche qui s’axe principalement sur le bienfait d’une énergie vitale amplifiée et sur ses rituels de révélation qui sont à la base de la plupart des résolutions classiques, de même pour la magie dite rouge par convention qui aura comme "périmètre" celui de l’amour, des relations sexuelles et de la libido (avec effectivement toutes les problématiques liées à ce domaine : jalousie, infidélité, impuissance, etc.). Notons, pour la forme, qu’il existe une magie bleue (généralement associée dans bien des cas à la magie blanche) qui aura comme principale tâche la protection de la personne par des rituels du même nom. Idem en ce qui concerne la magie verte (souvent intégré à la blanche) qui utilisera les énergies élémentaires ou telluriques pour agir à des fins de soins ou de rééquilibrage.

Enfin, il existe, et ceci nous intéresse bien plus, une magie intermédiaire entre la magie rouge et la magie noire que l’on appelle "magie pourpre" par convention afin justement de mieux imager cette lisière infime qui vient parfois à orienter les travaux vers des rituels plus radicaux, voire brutaux dans leur formulation et faisant appel en dernier recours, uniquement en ultime nécessité, à des entités plus puissantes pour obtenir des résultats. La magie noire peut et même devrait se qualifier comme un recours utile dans certaines situations extrêmement difficiles où le demandeur est lui-même en danger initialement et par conséquent en urgence (à bien analyser tout de même) d’une action radicale pour contrer le Mal par le Mal. Cette possibilité d’utiliser la magie noire dans des cas d’urgence ou d’extrêmes complexités se doit d’être effectués avec la plus grande des prudences car comme vous le savez il ne faut jamais confondre vitesse et précipitation, c’est ici la règle d’or à suivre que de toujours effectuer les travaux par paliers successifs, tout comme le ferait notre plongeur (évoqué précédemment) pour remonter à l’air libre et réussir son action, du début à la fin sans dommage. Pour finir je tiens à préciser qu’il n’existe presque pas de limites dans les travaux de magie noire, seules sont les entités qui s’y associent (par la force de cohésion de l’assemblé) seront à la hauteur de la résolution de ce qui devra être effectué, par contre le piège réside dans la démesure des demandes et justement dans le fait qu’il n’existe pas de limite d’action de ces entités si on ne les maîtrise pas… Étant sorcier-chaman depuis plusieurs décennies maintenant, je reste assez expérimenté avec l’ensemble de mes assistants pour juger jusqu’où nous devons aller afin de ne pas tenter le diable, en sachant ceci : que le diable se cache non seulement dans les détails mais qu’il sait surtout nous faire croire qu’il n’existe pas ! Par conséquent : un sorcier expérimenté et bien averti par sa longue expérience en la matière en vaut largement dix !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

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Dès que l’on parle de "magie sexuelle", le profane devient dubitatif et presque inquiet avec l’air interloqué en pensant immédiatement à mal, il imagine d’emblée une mauvaise action, une sorte d’envoûtement libidineux avec des rituels dignes des films d’horreur scabreux où une victime intégralement pervertie s’adonne à de diaboliques automutilations ou vices innommables et dégradants, pourtant au risque de décevoir ceux qui s’attendent à de croustillantes révélations il n’en est rien, ou presque… En effet la magie dite sexuelle se présente plutôt comme une aide du plus grand secours pour les couples en perte de désir et de libido, ou bien, plus largement, pour toute personne ayant un problème d’acceptation des besoins de son corps, lequel ne serait pas en phase ni avec son esprit ni dans son quotidien en terme de relation amoureuse. Exit donc les phantasmes à propos de la magie rouge, elle propose des solutions, ne force personne à agir contre son propre intérêt ou besoin, n’a strictement rien à voir avec une autre magie, bien plus pernicieuse effectivement : la magie noire…

Approfondir et expliquer les rituels de magie rouge revient finalement à mieux accepter sa sexualité et à aborder aussi ce que le ou la partenaire désire véritablement pour restituer ou conforter l’harmonie d’un couple épanoui dans une relation pleine et entière, durable et sans aucun tabou réciproquement inacceptable, ni pour l’un ni pour l’autre. En ce sens la magie sexuelle apporte l’équilibre, resserre des liens d’acceptation d’une relation ouverte qui n’a rien à voir avec des entraves, bien au contraire la magie rouge apaise les esprits et soulage les corps en y exaltant l’attraction naturelle dont la révélation devient une réelle expérience ésotérique agissante, tantrique dans sa définition plus affinée puisqu’elle rapproche l’essence même du féminin et du masculin, du yin et du yang.

Tout comme une alchimie subtile, la relation amoureuse doit absolument être abordée comme une infinie et complexe émulsion contenant plusieurs substances interagissantes, immédiatement réactives et ayant de multiples potentialités en devenir selon les ingrédients se retrouvant dans le creuset ainsi constitué. Parfois explosives, parfois inertes ou passives ou bien encore électriques et catalysantes, ces réactions subliment à la fois les corps comme autant de particules en mouvement et excitent les esprits pour envisager d’autres expériences, d’autres formules alchimiques compatibles pour tenter, pourquoi pas, de trouver une sorte de pierre philosophale dans cette conjugaison entre matière, pensées et volonté de les mêler. La magie rouge représente donc cette formulation, une voie royale avec ses secrets, une révélation de ce que chacun représente pour l’autre dans le devenir d’une sublimation dont on aura trouvé les bons éléments à distiller pour réussir l’expérience. Pour l’initié c’est cette vision d’un code caché, d’une matrice invisible qui intervient dans ces rituels de magie rouge pour assurément débloquer une problématique où l’attraction amoureuse se trouve figée, inactive ou entravée par quelques éléments perturbateurs qu’il faudra intégralement extirper de la relation pour lui redonner pleinement son attractivité initiale et son élan d’harmonie à la fois sensuelle et spirituelle.

C’est cette double propension à agir sur plusieurs niveaux, sur le corps et sur l’esprit, qui permet à la magie sexuelle de positionner en excellente phase et très naturellement ces deux aspects humains indissociables dans leurs essences étant à même de se transmuter encore plus haut en terme de fréquence, c’est-à-dire de transformer l’acte sexuel et l’intrinsèque volonté d’agir à deux en une expérience spirituelle duale, celle, que de manière profane ou plus triviale l’on appelle tout simplement "l’amour". Bien entendu il n’est pas toujours aisé d’expliquer sous cet angle les rituels de magie rouge à une personne en urgence de demande d’aide, souvent désorientée par une expérience amoureuse difficile (éloignement de l’être aimé, infidélité, doute) ou blessante (rejet, dédain, rupture), il faut alors passer par une étape de réparation ou de soin psychique, entrevoir des travaux commençant par une série de rituels de magie blanche pour rétablir non seulement une confiance en soi mais aussi restituer une énergie vitale assez satisfaisante pour passer à une étape plus active, celle justement de la magie rouge à part entière. C’est pourquoi tout ce processus s’apparente à des "travaux", à une reconstruction de la personne, à l’établissement d’une architecture personnelle pouvant soutenir le poids de sa propre histoire pour pouvoir envisager positivement une suite, c’est-à-dire pour envisager un futur où le corps et l’esprit accepteront de renouer avec une expérience amoureuse, où de facto et dans cette capacité à la réaliser ils trouveront ce même futur déjà anticipé et sur le point d’advenir.

Les processus de réalisation, ou en d’autres termes les processus pour transformer et modifier un futur non encore imaginé, sont en ce sens des rituels, des orientations existentielles que le praticien capte essentiellement pour la personne demandeuse d’une aide pour concevoir son propre schéma, son propre édifice via cette complexe alchimie que l’on nomme la magie. Le praticien n’est que le réactif dans ce processus, il représente le catalyseur, avec son savoir-faire, de cette expérimentation magique qui n’appartient qu’à la personne demandeuse d’en utiliser ses propres ingrédients (son histoire, ses capacités, ses qualités, ses orientations) pour trouver sa propre volonté de transmutation et sa propre voie, certes parfois plus inconsciemment mais toujours inscrite dans la réalité qui grave en toutes lettres la formulation de ce qui devra advenir. Les rituels de magie rouge agissent donc comme de puissants révélateurs de potentialités, en magie sexuelle (ou rouge) ces révélateurs abordent des orientations effectivement plus axées sur l’attraction, le désir et la libido, via une énergie vitale restituée en vue d’une projection vers l’autre, c’est-à-dire vers une union au sein d’une relation dite amoureuse. L’ensemble de ce chemin représente, du début à sa finalité, les "travaux de magie", ce en quoi beaucoup de profanes s’interrogent sur leur définition exacte.

J’espère vous avoir un tant soit peu éclairé sur la magie rouge, sur les processus en oeuvre qui ne sont pas souvent expliqués simplement ni d’ailleurs faciles à aborder au quotidien pour en diffuser la réalité tangible d’un travail que l’on qualifie d’ésotérique alors qu’il serait presque plus juste de lui attribuer une orientation plus naturelle, notamment en amour où l’attraction n’est pas un mythe mais une réalité que personne, je pense, ne remet en cause !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

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"Le sexe est une drogue et l’amour est son dealer", une phrase sans équivoque aucune qui résumerait assez bien la situation réelle inscrite au coeur même de notre génome depuis le début de l’Humanité si ce n’était, qu’à notre époque instable où le wokisme (1) ambiant bât son plein, ceci en toute désorientation, instrumentalisation et destruction mentale téléguidée, qu’il est devenu bon de nous expliquer avec grande force de conviction que finalement chacun est strictement libre de se revendiquer sexuellement sous n’importe quelle bannière, réfléchie ou non, sans exception, de celle asexuée à celle non genrée, en passant par la posture de se prendre très sérieusement pour une licorne, pour un elfe, plus "raisonnablement" pour tout autre animal domestique, sauvage ou à défaut imaginaire si on le souhaite, du moment que le choix est assumé en toute "véritable conscience personnelle"… Vouloir confondre le libre arbitre éclairé et une liberté infinie complètement en dehors des clous de la réalité, voilà ce à quoi nous arrivons lorsqu’une société est devenue définitivement malade de ses propres impossibles désirs égotiques qu’elle projette sournoisement sur ses gentils administrés afin de les promener au pays d’Alice et de ses Merveilles pour qu’ils ne réalisent pas (ou plus du tout) qu’ils sont devenus les instruments d’une volonté de masquer toutes vérités pour les noyer dans une illusion globale formatée à l’échelle d’un monde devenu unifié sous l’égide de ce nouvel ordre que l’on voudrait nous imposer, ou plutôt encore mieux : que l’on voudrait nous vendre au prix le plus cher, celui d’une très désirable idiocratie (2) libertarienne à l’excès et généralisée à tous les étages.

Mais n’est-ce pas finalement là le comble d’un ultralibéralisme forcené et apparemment inarrêtable, lequel après avoir happé goulument l’ensemble du marché des biens à la consommation existants et des ressources de la planète, se mettrait aujourd’hui soudainement aussi à dévorer ses propres potentiels consommateurs jusqu’au bout de son extraordinaire folie furieuse ? Chacun sera libre de juger de la pertinence de se questionner en répondant à cette formulation sociétale qui nous éclaire sur la triste fin de règne d’une pseudo-élite intellectuelle, financière et politique qui cherche à nous perdre définitivement dans ses fantasmes et dans ses déviations idéologiques dignes des meilleurs canulars, sauf que le débat semble bien sérieusement à "l’ordre du jour" surtout pour le meilleur du pire à venir si un sursaut de lucidité n’intervient pas assez rapidement pour ouvrir les yeux des rêveurs éveillés intoxiqués par ces fumeuses dérives savamment instillées. Mais dans tous les cas soyons certains que cette perte de conscience institutionnalisée sera très vite rentabilisée par ceux qui ont lancé avec une réelle malignité cette mode pour décérébrés volontaires, qu’ils en feront un surcroit de pouvoir sur ces pantins faussement libérés qui se seront pris au jeu en pensant en suivre les règles que d’autres ont écrites pour eux afin de mieux les asservir. Mais ici, après cet aparté, n’est pas principalement le propos puisqu’il est question de sexualité et de libido et non des dérives instrumentalisées que l’on cherche à inculquer aux plus faibles esprits ou aux non suffisamment avertis des incroyables malversations et innombrables aberrantes élucubrations de nos dénommés dirigeants.

De même que durant des siècles la sexualité a été relativement durement réprimée au quotidien et presque totalement bannie du débat public sous couvert d’une douce religiosité et d’une amère moraline (3), l’on a progressivement vu s’éloigner toute l’intelligence naturelle du corps à s’exprimer selon ses propres capacités à réguler une libido de manière stable et harmonieuse, engendrant ainsi diverses maladies mentales et autres déviations morbides dont se sont vite emparés les adeptes d’une psychanalyse freudienne pour tenter d’en rationaliser les effets. À défaut d’équilibre naturel, c’est bien l’inverse qui a eu lieu avec des notions de péché mortel purement inventées pour manipuler les masses et leur faire porter tout le fardeau d’une faute originelle elle-même véritablement digne des meilleurs contes de fées revisités… Il n’est donc pas illogique d’avoir vu, à l’extrême, un renversement des dites anciennes "valeurs" de nos jours à des fins paradoxalement identiques, en ce sens, toujours le même, qu’il faut cette fois-ci contrôler en laissant chacun non pas dans un carcan serré de dogmes moraux mais au contraire dans l’infinie dilution de normes amorales dans le but de faire perdre tout repère. En ésotérisme, et les initiés ne le savent que trop bien, ces deux extrêmes se recoupent sous un seul idiome hermétique, celui du "Solve" et du "Coagula" (voir note /!\), c’est-à-dire les deux principes inverses qui permettent la dislocation et le chaos : dissoudre (dans l’acide) ou figer (dans le marbre), autant dire que d’un côté comme de l’autre personne ne résiste longtemps à cette alchimie, luciférienne s’il en est une, par excellence…

C’est justement par le décryptage ésotérique, celui que l’on n’apprend pas à l’école, ni dont on parle sur les médias, que les initiés (terme générique nullement prétentieux de la part de ceux qui ont suivi un réel et long chemin initiatique) ont pu aborder les complexes méandres du corps, de l’esprit, de la sexualité et des puissantes forces naturelles qui tendent à maintenir la cohésion harmonieuse d’un individu réellement libre de ses choix au regard des défis à affronter non seulement dans sa propre vie mais aussi en côtoyant celle d’autrui, ceci en une difficile sérénité à assurément respecter au milieu du chaos ambiant et de l’entropie des systèmes complexes dont nous faisons tous partie. De corps, c’est-à-dire de matière, de forces qui s’exercent, c’est-à-dire d’énergies qui se diffusent, et d’espace comme terrain de jeu : voici ce en quoi chaque initié est confronté pour comprendre le monde selon des Lois universelles, à la fois physiques, psychiques et spirituelles, ce qui pourrait trop certainement échapper au commun des mortels bataillant la plupart du temps non pas pour entrevoir la complexité du monde et en saisir toute la quintessence par l’étude, mais pour tenter de s’extraire de complications technocratiques sans cesse assénées, véritables fléaux modernes que nos sociétés ont su générer pour nous "simplifier" la vie, avec la certitude aussi qu’ils suivent des principes lucifériens pour dissoudre nos esprits et figer notre liberté d’agir et de créer. Un peu d’humour sur ce point ne fera pas de mal pour comprendre d’autant plus facilement les enjeux en présence où nous sommes les premières victimes de nos propres systèmes d’organisation modernes et du "progrès" que nous revendiquons si haut et fort avec une telle démoralisante fierté d’en être les bienheureuses victimes dépravées !

Libido et sexualité, deux mots apparemment simples et concepts courants que tous revendiquent mais dont peu comprennent qu’il s’agit avant tout d’une gestion grandement qualitative de l’énergie qui ne s’arrête ni au physique pour en jouir, ni seulement au mental pour s’en contenter, mais dont le but est d’aller encore plus loin dans l’élévation successive, à l’image d’un minerai à raffiner et dont le métal précieux ainsi distillé apporterait en fin de processus "alchymique" la Pierre Philosophale, celle tant recherchée par les initiés s’exerçant à cette "œuvre au noir" (4) et dont certains lui ont trouvé une réelle application via l’Art Royal, c’est-à-dire via la Magie et ses très nombreux rituels opératifs. Bien entendu, nos sociétés modernes nous ont progressivement perdu dans leurs insolants méandres technoscientistes, ceci sous couvert du siècle des dites Lumières, celui d’un scientisme exacerbé certes très technicien et pratique mais s’éloignant résolument à grands pas des principes ésotériques pour s’y substituer complètement et laisser au loin de cruciales découvertes spirituelles de côté. Redécouvrir les processus élevés de la sexualité et de l’énergie qui s’en dégage via une libido sous contrôle par voie tantrique, c’est l’un des buts de la magie moderne que de restituer ces principes demeurés cachés au grand public de peur qu’il s’en serve pour libérer toute la puissance naturelle à sa disposition et ainsi jouir pleinement d’un libre arbitre recouvré, totalement défait des chaînes mentales apposées par nos sociétés en voie de dégénérescence rapide. Dans ce sens et afin de lutter efficacement contre la planification d’un nouvel ordre mondial non désiré ni désirable, il est nécessaire de retrouver une véritable voie initiatique dispensant un ésotérisme traditionnel digne d’une évolution spirituelle qui libère plus qu’elle n’asservit celui qui s’y prête, soyons donc nombreux à résister, retrouvons la liberté de ce feu sacré qui anime nos vies !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel



(1) Wokisme : terme apparu dans la littérature francophone à partir de la racine woke dans son sens péjoratif avec la terminaison -isme afin de "souligner ce qui serait son caractère idéologique, extrémiste et dangereux". Expression politique et polémique utilisée pour stigmatiser (à raison ou non) une vision radicale de la justice sociale et de la défense des groupes minorisés (qu’ils soient légitimés de manière rationnelle, ou non…).

(2) Idiocratie : mot composé de idiot et du suffixe -cratie. (généralement péjoratif) Régime politique dont le pouvoir souverain est sous le contrôle d’idiots (sous-entendu aussi : pour contrôler des idiots…).

(3) Moraline : dans l'œuvre de Friedrich Nietzsche, fait référence à la morale chrétienne, la morale dominante et bien-pensante, au XXIe siècle, on parlerait de "Morale de la pensée unique" ou de la pensée moralisatrice qui serait adepte d'une forme de terrorisme intellectuel (et qui l’est très certainement à juste titre…).

(4) Œuvre au noir : l'expression "œuvre au noir" désigne en alchimie la première des trois phases dont l'accomplissement est nécessaire pour achever le magnum opus. En effet, selon la tradition, l'alchimiste doit successivement mener à bien l'œuvre au noir, au blanc, et enfin au rouge afin de pouvoir accomplir la transmutation du plomb en or, d'obtenir la Pierre Philosophale ou de produire la panacée (remède universel à tous les maux humains).

/!\ Note complémentaire importante : les deux principes SOLVE et COAGULA font aussi partie des opérations alchimiques du Grand Oeuvre mais de manière équilibrée et successive afin d'extraire la quintessence qui en est la résultante, ils sont donc complémentaires et se doivent d'être "utilisés" ensemble et non séparément, auquel cas ils deviennent destructeurs et diviseurs, et aboutissent alors non pas à la quintessence unificartrice mais uniquement au pire déchet, à l'informe scorie de la plus basse extraction dont personne ne veut...
 

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Nous avons, généralement, une vision du monde avec ce sentiment de très grande complexité qui en émane et dont la logique humaine et ses diverses cogitations ne font que renforcer à l’extrême cet aspect à la fois confus et inextricable qu’ont les évènements à s’entrechoquer de manière compliquée selon des schémas souvent incompréhensibles à cette même logique. C’est ainsi, en effet, que la grande majorité des gens capte le monde par le biais d’une réalité entièrement reconstruite intérieurement par leurs facultés cognitives, lesquelles ont cette étonnante fonction d’accumuler consciemment mais aussi inconsciemment une immense foule d’informations hétérogènes pour tenter d’en construire une histoire, apparemment sensée à notre échelle, et par conséquent d’en accepter le résultat obtenu comme parfaitement conforme à la seule et unique vérité à concevoir. Pourtant cette vision profane du monde, et donc des choses qui nous entourent, est parfaitement fausse par définition puisque nous-mêmes ne sommes pas parfaits pour en élaborer une vérité totalement dénuée d’erreurs, que notre pouvoir de captation n’est que la résultante de sens que nous avons faillibles, et qu’enfin notre capacité d’analyse est elle-même grandement limitée, entachée d’inexactes interprétations et de convictions la plupart du temps notoirement infondées ou déformées.

Alors, comment oser comprendre que nous ne savons rien de ce que représente la Réalité, que nous ne voyons que l’illusion de celle-ci qu’à travers des filtres qui nous composent, et comment dépasser cette limitation qui nous empêche de voir l’invisible ou ce qui nous est caché ? C’est ici même la définition de l’ésotérisme que d’aller chercher ce qui semble parfaitement hermétique et occulté, d’aller au-delà de la superficialité qui nous subjugue par ses fausses images, par ses sons imprécis et ses ressentis infidèles, tel l’incohérent montage amateur d’un premier film d’auteur, forcément fictif,  simpliste et rudimentaire. De nombreux signes indiquent pourtant, qu’au-delà des limitations imposées par notre incohérence humaine à saisir l’entièreté de la Réalité, nous pouvons parfois à de rares instants percevoir l’envers du décor et les coulisses du film de l’existence, ce sont dans ces moments que surgissent, telles de surprenantes synchronicités (1), d’ultimes vérités auparavant cachées ou bien des portes qui s’étaient habilement dérobées à notre vue tronquée. Qui contrôle ces nouveaux espaces invisibles ou bien qui cherche à nous les dissimuler ? Et dans quel but malicieux ou bien inavoué ? Les initiés ont depuis des millénaires cherché ces réponses, elles sont à double tranchant, à la fois très proches de nous et si éloignées de nos concepts courants, elles appartiennent à ceux, qui humains ne veulent pas les dévoiler mais aussi à d’autres sphères qui nous en imposent le silence, chacun de ces deux pôles pour des raisons parfois diamétralement opposées…

Qu’il existe des mondes invisibles à nos sens, cela est démontré par la science et très communément admis, par contre ce qui l’est moins c’est que certains humains initiés à des pratiques "d’ordre magique" (pour utiliser à ce stade une tournure générique non différentiée) disposent de cette faculté, de ce don ou sixième sens si l’on veut, pour entrer en contact avec des environnements autrement inaccessibles au commun des mortels ainsi qu’aux entités qui peuplent ces nouveaux horizons. Qui sont ces initiés ? L’on pourrait épiloguer longuement sur toutes ces castes de sorciers, de magiciens ou de druides, voire de chamans pour tenter d’expliquer pour chacun leurs spécificités et leurs orientations, bonnes ou moins bonnes, mais le principal à retenir c’est que certains d’entre eux préfèrent ne rien dévoiler des dits secrets qu’ils ont pu acquérir alors que d’autres en font profiter plus librement des bienfaits potentiels à ceux qui en ont besoin. Pour cataloguer très sommairement : d’un côté des initiés de l’ombre, c’est-à-dire bien souvent issus des forces obscures et ne désirant conserver leur pouvoir pour ne servir égocentriquement que leur propre compte, de l’autre les initiés de la lumière ou plus prosaïquement des praticiens plus ouverts au partage afin d’exercer une magie plus bénéfique et lumineuse. Dans nos sociétés occidentales nous retrouvons ces schémas relativement dissociés, apparemment simplistes, à deux strictes facettes, noire et blanche, radicalement opposées ou très rarement réunies.

Notons rapidement (car il y en aurait beaucoup à dire) qu’il en est tout autrement dans les sociétés orientales, ou non occidentalisées, qui possèdent des doctrines plus mitigées, du moins dans cet aspect où le mélange du noir et du blanc n’est pas si radical, l’exemple le plus parlant étant l’image symbolique du Tao dans laquelle nous retrouvons un point noir dans la surface blanche et inversement un point blanc dans la surface noire, ce qui caractérise ainsi une vue plus nuancée non seulement de la vision du monde mais aussi des pratiques magiques ou spirituelles qui s’y rattachent.  Cette notion assez binaire que nous avons en occident est elle-même à l’image de nos sciences où tout est soit vrai soit faux, sans intermédiaire ou zone grise, tout comme l’informatique avec ses 0 et ses 1 qui ne laisse aucun entre-deux, quoi qu’avec les informations quantiques nous découvrons enfin qu’il existe aussi  une troisième voie, celle du ni l’un ni l’autre ou des deux à la fois ! Ce dernier point est en soi une révolution scientifique qui rejoint paradoxalement des concepts spirituels très avancés qui ont eu cours depuis des millénaires chez les hindouistes avec la Trimurti (2), pour ne citer qu’eux (au passage aussi : les hexagrammes chinois basés sur la transformation sont aussi un exemple de "non-binarité" et de modulation), de même dans bien d’autres dogmes où rien n’est ni complètement noir ou blanc. Ainsi, la spiritualité reste l’apanage plus malléable et ouvert des sociétés non occidentales alors que chez nous s’opère une scission très nette entre la sombre et sulfureuse sorcellerie, problématique "magie noire" de destruction orientée "Thanatos" (3) et la magie opérative blanche, ou rouge si plus orientée "Eros" (4), se positionnant en pleine lumière assurément positive et bénéfique pour résoudre des problèmes, sans en poser d’autres…

Mais, de ces faces cachées ou que l’on ne voudrait pas forcément voir au quotidien dans nos sociétés occidentales via des positionnements plus spirituels ou même magiques, il coexiste aussi la réalité véritablement invisible d’une toute autre nature bien plus inaccessible à nos esprit humains, c’est une réalité située sur une dimension non matérielle, un plan absolument inaccessible à notre entendement logique car son essence dépasse notre imagination et transcende notre esprit captif de notre matérialité. Nous parlons ici d’une dimension karmique, éthérique de haut niveau dont même les plus aguerris d’entre les initiés ne peuvent en concevoir la puissance et les buts qui ne s’énoncent que ne manière symbolique par delà notre compréhension. Cet autre monde véritablement invisible à tous ne nous est pourtant pas étranger, bien au contraire puisque c’est, d’une certaine façon, une autre partie de nous-mêmes, bien plus grande, qui s’y trouve avec une logique d’évolution dépassant de très loin nos quelques dimensions spatiales et temporelle pour définir un mode existentiel infiniment supérieur, immensément complexe et à des années-lumière de notre entendement le plus élaboré. Cet autre nous-mêmes faisant partie d’un Grand Tout doit être considéré comme la trame d’un tissu dont nous ne serions qu’un des multiples fils tissés par des Lois Universelles, véritables entités dans un univers inconcevable où les symboles sont plus vivants que nous-mêmes qui ne sommes qu’un reflet fugace sur la vague mouvante d’un océan infini. Les initiés, qu’ils soient de sombres engeances ou plus éclairés savent qu’une dimension éthérique nous surplombe à l’image d’un lecteur lisant une bande dessinée en passant d’une case à l’autre où nous serions platement inscrits.

Face à ces mondes, intermédiaires ou plus éloignés nous surveillant de haut, l’exigence d’humilité est de rigueur pour ne pas sombrer dans une égocentrique folie furieuse ne menant qu’à la destruction de soi et d’autrui là où au contraire la direction qui nous est suggérée impose l’entraide et la concertation, le partage et la sérénité de l’esprit et de l’âme. Bien entendu, à chaque secret ésotérique il convient de modérer le pouvoir ainsi acquis et d’en faire bon usage, à défaut le pouvoir mal utilisé se retournera contre celui qui tente de s’en accaparer des bienfaits usurpés en oubliant qu’il n’est pas seul au monde, monde humain, monde symbolique de l’éther et monde karmique qui présuppose une initiation bien intentionnée pour perdurer et évoluer. Le profane, pour sa part, aura ce droit de regard et d’information sur ce que sa propre route existentielle lui promet, il pourra de lui-même trouver des réponses ou bien les demander avec les précautions d’usage aux initiés en ayant le droit et les capacités. En qualité de chaman je me suis engagé sur cette voie de l’entraide, elle requiert une grande vigilance face aux forces s’opposant au bien, de même qu’un savoir-faire et une Connaissance que je remercie de m’avoir donné une vision plus large du monde en pouvant élaborer des travaux et rituels utiles aux personnes demandeuses. Comme d’habitude je réponds à toutes les questions concernant cet article, donc n’hésitez pas à me joindre pour plus d’information !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel


(1) Synchronicité : la synchronicité est l'occurrence simultanée dans l'esprit d'un individu d'au moins deux événements mentaux qui ne présentent pas de lien de causalité physique, mais dont l'association prend un sens pour la personne qui les perçoit. Cette notion s'articule avec d'autres notions de la psychologie jungienne, comme celles d'archétype et d'inconscient collectif.

(2) Trimurti : dans l'hindouisme, la Trimurti (trois formes en sanskrit) est la partie manifestée de la divinité suprême qui se fait triple pour présider aux différents états de l'univers.  Les dieux Brahmâ, Vishnou et Shiva symbolisent respectivement la création, la préservation et la destruction.

(3) Thanatos : dans la mythologie grecque, Thanatos (en grec ancien Thánatos) est la personnification de la Mort.

(4) Éros : (en grec ancien Érōs) est la divinité primordiale de l’Amour et de la puissance créatrice dans la mythologie grecque.

 

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Confrontés chaque jour aux petits et grands chaos ordinaires de nos sociétés modernes, nos contemporains aspirent de plus en plus à se dégager d’un monde qui par bien des aspects leur semble sombrer peu à peu dans une indescriptible folie multiforme dont ils ne seraient plus véritablement les acteurs de leur propre vie mais plutôt devenus de simples objets employables et interchangeables perdus dans le vaste univers de la marchandisation, lequel controlé par des systèmes économiques et politiques qui seraient entièrement assujettis à ce culte du profit, à celui de la concurrence exacerbée et de la croissance forcenée à tous les étages. Il n’est donc pas surprenant de clairement constater qu’un mouvement inverse, basé sur une ouverture plus spirituelle, est actuellement en cours avec l’objectif affiché de revenir à des valeurs plus équilibrées, à des existences globalement plus en phase avec la Nature et dans un sens de partage positif plus altruiste. C’est surtout chez les jeunes que cette tendance est la plus visible, ce qui augure assurément d’un changement progressif des mentalités mais aussi finalement de l’ensemble du système même si le vieux monde voudra encore s’accrocher à ses anciens démons puisant leurs forces dans ce déséquilibre mental et sociétal instauré jusqu’ici et en cours depuis le début des civilisations avec comme point d’orgue notre siècle techno-scientiste finalement si chaotique et violent qu’il ne correspond plus à aucune attente réelle, à aucune volonté sensée d’aller encore plus loin dans l’accélération de cette folie.

Nul besoin de revenir sur la longue liste des très problématiques défis majeurs de notre époque, chaque ligne qui la constitue est un terrible danger potentiel, chaque mot de cette liste entraine un écocide ou même un génocide dans une partie du monde soumis à la guerre ou à l’indigence provoquée par les uns sur les autres. Tout ceci nous le savons parfaitement aujourd’hui, nous ne pouvons plus nous cacher derrière notre ignorance, celle de ne pas savoir alors que nous sommes sans cesse massivement informés à chaque seconde des moindres évènements sur toute la planète. Bien entendu le danger vient aussi de cette surabondance d’informations qui nous submerge, de la réalité des faits parfois (souvent) tronqués ou complètement déformés par certains afin d’en tirer soit un profit quelconque soit un destructeur pouvoir éphémère sur autrui. Mais tôt ou tard la Vérité surgit et les esprits s’éclairent plus durablement sous un nouveau jour, et c’est, depuis quelque temps déjà, un constat avéré de voir la grande majorité des populations du globe prendre enfin pleinement conscience de ces maux dont nous avons laissé envahir chaque parcelle de notre espace viable mais aussi de notre temps de vie, lequel reste néanmoins compté si l’on en juge des quelques minutes symboliques restantes sur ladite "l’Horloge de l’Apocalypse" (1), à bien considérer que même si elle ne représente forcément qu’une construction intellectuelle totalement subjective au départ, elle n’en reste pas moins une réalité fondamentale de plus en plus concrète et bien visible par ailleurs partout où notre regard se porte.

Spirituellement, puisque le mot est lâché, la perception d’une (r)évolution assez radicale est en cours, elle se caractérise par une prise de conscience existentielle qui pose plus de questions qu’elle n’y répond actuellement pour ceux qui viennent de s’éveiller, elle pousse chaque individu à se positionner non plus comme un centre dans le monde mais comme un point parmi tant d’autres reliés entre eux par les mêmes valeurs, par les mêmes ambitions de partage à la fois de cette ouverture d’esprit mais aussi de partage de connaissances. Rien n’a jamais strictement opposé la science à ésotérisme, l’une n’est que le reflet matérialiste et visible d’une réalité que l’autre conçoit à un niveau plus éthéré et moins accessible aux sens communs et aux instruments scientifiques, ainsi, et c’est une réalité corroborée par les faits, cette science en est arrivée aux limites extrêmes de la matière, elle frôle de plus en plus les portes quantiques des niveaux d’énergie de l’éther sans pouvoir néanmoins les franchir avec ses appareillages. Les initiés savent depuis bien longtemps que l’outil le plus performant et le seul qui soit dans cet interstice entre la matière et d’autres niveaux plus subtils reste l’Humain, sa grande capacité à transcender l'espace et le temps, son extraordinaire potentialité à dépasser toutes les limites s’il se place dans des états de conscience modifiée pour y parvenir, ce qu’aucun autre appareillage industriel n’arrivera à réaliser aussi bien et aussi loin en précision et en portée.

Dans ce sens, parler d’une époque dans laquelle nous entrons avec une nouvelle vision de la réalité, plus ouverte et véritable, semble apporter une plus grande compréhension du monde dans lequel nous vivons mais aussi et surtout une nouvelle manière d’appréhender la place de l’individu dans un tout, notre place à tous dans l’univers et par conséquent redéfinir le paradigme même du sens de la vie avec un nouveau corpus de paramètres plus proches d’une vérité existentielle universelle. À l’inverse aussi des forces contraires sont incroyablement à la manoeuvre pour s’opposer à cette vision transcendantale propre à l’humain, elles sont d’une tout autre nature basée sur une technicité faussement hybride, prête à vouloir parasiter l’humain dans sa propre perception, assidument dans une direction "transhumaniste", mot trompeur, où l’homme devient lui-même non plus sont propre instrument mais le support instrumental de la machine, de cette artificialisation du réel par "l’image déformée de la réalité", de la copie mimétique, du clonage numérique des attitudes humaines, d’un transfert vers la matière inerte de l’humain a contrario de sa libération de la matière pour la dépasser. Le progrès tel qu’il se présente est l’antithèse d’une ouverture, il se présente comme une intelligence malfaisante jouant contre l’intelligence humaine en tentant de phagocyter son mental, son attention et sa capacité de concentration, en deux mots : son ouverture d’esprit créatif et critique.

Un ésotérisme 2.0, dont découlerait un néo-chamanisme plus adapté à cette nouvelle menace de "faux progrès", serait lui-même basé sur des rituels autrement plus ciblés ou réajustés avec des travaux de magie comportant in situ cette notion de risque existentiel que nous fait courir le transhumanisme pour le combattre à la source et protéger l’humain de ce qui n’est rien d’autre qu’une involution dans la matière et le matérialisme, à comparer à une sorte de religion de la matière. Ce transhumanisme néfaste ne propose rien d’autre comme dogme que l’enfermement dans un scientisme ayant la forme d’un dictat de la pensée axée sur une réduction comportementale, encadrée dans des normes bornées, dans des algorithmes de formatage de l’intelligence naturelle au profit d’une intelligence purement artificielle… J’ai déjà parlé du danger de l’IA dans cet article si besoin pour mieux cerner l’ampleur du problème qui se joue actuellement de nous et peut-être dans le futur si nous n’agissons pas avant. Concevoir des magies plus holistiques, c’est-à-dire plus globales en prenant en compte la sournoise et maline menace de l’IA ainsi que celle plus générale du transhumanisme rampant qui l’accompagne, devient une nécessité pour tout praticien éclairé d’en saisir à la fois l’urgence dans son exercice mais aussi dans sa capacité à en expliquer les ravages à ceux qui disposent de cette conscience qu’un avenir désirable ne peut passer que par une évolution de l’humain en ce qu’il est intrinsèquement et non en dissipant son esprit par des subterfuges artificiels, tels des appareillages de virtualisation ou autres puces informatiques implantées…

La véritable "mise à jour" de l’humain passera plutôt par sa légitime volonté de dépassement et l’ouverture naturelle de sa propre conscience et non par l’intrusion d’un système informatique annexe dans sa chair pour lui dicter ses pensées et les formater dans une direction unique, forcément réductrice et amorphe comme le silicone. Elaborer un néo-chamanisme ce n’est évidemment pas renoncer aux Grandes Lois universelles, bien au contraire c’est aller dans le sens d’une accélération de cette conscientisation du monde qui est déjà en cours, de ce que certains appellent la "reliance" à d’autres réalités, non à celles de systèmes artificiels invasifs, à celles nous entourent de manière invisible rendus accessibles par une évolution déjà en cours, une accession à un degré supérieur de l’esprit, ceci en accord avec cette pluralité de mondes plus vastes nous environnant, s’ouvrant à nous et se présentant pour chacun le moment venu au terme d’une réelle prise de conscience plus globale. Certains manuscrits de la bibliothèque de Nag Hammadi (2) nous avaient déjà bien avant avertis de la puissance aveugle de ces Archontes dirigeant indument la matière, ils sont actuellement à l’oeuvre plus que jamais pour nous inféoder à celle-ci dans un ultime sursaut de "Luci-dité" en espérant nous tromper par de fausses promesses, par de faux espoirs de progrès, d’intelligences et de pouvoirs sur les éléments, sachons dès aujourd’hui démasquer leurs plans pour éviter cet avenir irradié et non radieux comme ils cherchent à nous le faire entendre et croire… Les néo-chamans sont d’ores et déjà à l’affût de leurs infâmes manigances, nous saurons prouver que leur rayonnement provient d’une fausse lumière déchue pour pleinement le déjouer et entrer dans une nouvelle ère où ils n’auront plus leur place. N'hésitez-pas à me contacter pour plus d'informations ou si vous avez besoin de travaux de magie et de ces rituels 2.0 !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 


(1) L’horloge de la fin du monde ou horloge de l'Apocalypse ("Doomsday Clock" en anglais) est une horloge conceptuelle créée en 1947, peu de temps après le début de la guerre froide, et mise à jour régulièrement depuis par les directeurs du Bulletin of the Atomic Scientists de l'université de Chicago, sur laquelle « minuit » représente la fin du monde, l'apocalypse. Depuis 2007, l'horloge prend également en considération les perturbations dues … à de « nouveaux développements dans les sciences du vivant qui pourraient infliger des dommages irrévocables », c'est-à-dire les risques liés aux nouvelles technologies (nanotechnologie, biotechnologie, etc…) - dixit Wikipédia

(2) La bibliothèque de Nag Hammadi est un ensemble de douze codex de papyrus reliés en cuir, et partie d'un treizième (un traité en huit folios), du milieu du IVe siècle. … Ces codex (les plus anciens connus), contiennent une cinquantaine de traités en copte, traductions de textes écrits initialement en grec ancien. Ils datent vraisemblablement du IIe au IIIe siècle. La majorité sont des écrits dits gnostiques, mais on trouve également trois textes de la tradition hermétique, dans la lignée du Corpus Hermeticum, et une traduction partielle de La République de Platon. La plupart de ces textes n'étaient pas connus par ailleurs, ou seulement de façon fragmentaire. - dixit Wikipédia

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En ésotérisme opératif, tout comme en psychanalyse, il est des grands mystères du psychisme humain qu’il est nécessaire d’aborder pour concevoir l’existence vécue ou celle en devenir, c’est-à-dire pour anticiper un futur potentiellement harmonieux pour l’un ou entrevoir si possible une orientation positive de la destinée pour l’autre… En ce sens, vouloir connaître les arcanes secrets d’un individu (ou bien de soi-même) c’est finalement tenter de comprendre non seulement l’aspect conscient qui caractérise cet individu pour en définir activement sa personnalité, mais aussi avoir accès, d’une façon ou d’une autre, à ce que l’on appelle couramment son inconscient, cette sorte de boîte noire très peu accessible en temps normal. Ainsi, les séances de psychanalyse et les travaux de magie ont finalement une presque exacte et même fonction, celle d’entrer dans les méandres de cet inconscient, d’y trouver des signes, d’en interpréter les pistes tout en ayant, tant pour la psychanalyse que pour la magie et l’ésotérisme des terminologies différentes avec des moyens distincts mais des buts parfois identiques : résoudre des problématiques existentielles, un programme souvent long et complexe selon la profondeur du défi en question puisqu’il faudra aller creuser assez loin pour y accéder et en trouver l’essence cachée ainsi que son intrinsèque réelle signification. Les désirs, relations amoureuses ou interactions sociales et professionnelles ne représentent que la partie strictement visible de cet iceberg existentiel d’un apparent quotidien dont on cherche à mieux en comprendre les itinéraires probables sur l’océan de la vie et tenter ainsi d’éviter de trop douloureuses embûches en trouvant des solutions acceptables et constructives.

Mais finalement qu’est-ce donc que cet inconscient ? Une pure invention psychanalytique freudienne permettant de regrouper en un seul terme tout ce que l’on ne sait pas ? Ou bien est-ce une réalité de la psyché humaine dont personne n’ose vraiment parler tant cela dépasse l’entendement ? Les initiés ayant une certaine connaissance ésotérique pensent que Freud avait effectivement perçu une relative part d’ombre (entendre cachée) du psychisme humain en y voyant un côté sombre dans son "ça" du refoulement des pulsions basses et dans son plus lumineux "surmoi" juge de paix essayant de réguler ces mêmes pulsions. Dans ce schéma véritablement hermétique dans sa double symbolique du "bas" (des mauvaises pulsions) et du "haut" (d’une bonne éthique moraliste) Freud voit donc un inconscient dirigé par deux forces opposées dont l’une régule l’autre pour replacer l’individu sur une certaine ligne normative ou plus normale, de cette normalité spéculative qui écarterait par le refoulement les attitudes et pensées non conformes à la vie en société avec autrui (interdisant pour exemples probants : le meurtre, l’inceste, le viol, etc.). Notons surtout que toute la construction freudienne du psychisme tiendrait selon lui sur l’unique et essentielle pulsion sexuelle comme source principale de son processus… En magie l’on sait effectivement que la volonté, le désir et la sexualité sont des moteurs de l’existence avec néanmoins comme sources initiales plurielles celles des énergies, vitale et psychique, qui jouent conjointement un rôle dynamique dans l’évolution avec une autre part énergétique bien plus subtile placée sur un niveau supérieur non accessible et d’ordre karmique qui jouerait ce véritable rôle de régulation, ou plutôt un rôle d’orientation discrète de la destinée via un libre arbitre bien encadré et pleinement assumé en amont…

Là, où Freud ne veut et ne peut percevoir que la seule réalité dite visible de l’existence matérielle qu’avec une conception structurelle psychique et uniquement intérieure à l’individu (consciente et inconsciente), l’initié ajoute une dimension, certes ésotérique, située bien au-dessus de ce psychisme basiquement mécanique pour élargir l’individu à un moi-supérieur, non pas le surmoi freudien mais un moi en dehors de la conscience et dont l’inconscient ne serait qu’un intermédiaire agissant selon des règles karmiques issues de cette dimension supérieure non matérielle. En ce sens, encore une fois pour le citer dans cet article, C. G. Jung, autre psychanalyste précurseur et dissident de Freud, avait effectivement dépassé les premières notions de ce dernier en comprenant cette dimension cachée dont il exposa ces propres archétypes, ces synchronicités et finalement toute l’architecture complexe de la psychologie des profondeurs associée un inconscient collectif plus élevé et proche de cette dimension supérieure d’orientation karmique ou d’archives akashiques propres aux ésotéristes. Ainsi l’ouverture d’esprit de Jung et ses recherches l’ont poussé à concevoir et à nous présenter une méthode psychanalytique axée sur des horizons bien plus larges avec des notions que l’on retrouve assurément dans le domaine de la magie et des principes ésotériques généraux.

Si l’on conçoit que l’inconscient suit des règles non plus morales mais karmiques, alors les logiques purement matérialistes et terrestres ne s’appliquent plus uniquement dans notre réalité restreinte mais s’élaborent sur plusieurs niveaux, dont celui du moi supérieur guidé par ces règles karmiques encadrant l’ensemble du psychisme humain pour la réalisation de son évolution. L’on comprend alors d’autant mieux des concepts de "persona", "d’animus" et "d’anima" issus de la psychanalyse jungienne qui font finalement référence au choix "apparent" de la personnalité du moi supérieur qui s’exprime au niveau matériel terrestre via la sexualité et la différenciation des sexes, féminin et masculin, deux postures complémentaires de l’entité supérieure qui s’apparentent ici-bas à deux typologies sexuelles corporelles, l’homme et la femme. Les initiés ayant cette connaissance ésotérique des "deux mondes", savent que cette sorte de kénose (abaissement ou projection du niveau supérieur vers l’inférieur) implique par cette perte de niveau un choix, celui de l’orientation sexuelle unique (du moins physiquement en grande partie et psychiquement non proportionnellement partagée) et donc du choix de cette posture de "persona" dite sexuée, une personnalité qui s’exprimera socialement selon ce choix, par défaut et par réduction.

Les relations amoureuses, les désirs et par conséquent toutes les interactions sociales seront régies par ces règles (subtiles, invisibles ou inconscientes au sens basique de la psychanalyse) venues d’en haut dont très peu d’initiés en comprennent les tenants et les aboutissants mais dont la magie et les rituels apportent des solutions parfois d’une logique symbolique surpassant celle qui est en cours au niveau terrestre et qui n’est évidemment pas toujours bien comprise, voire plutôt rejetée d’emblée, par les profanes qui ne disposent pas de cette connaissance ésotérique. L’inconscient doit donc être abordé non comme une notion de pulsions et de morale qui s’y oppose mais comme la main invisible du moi supérieur qui guide ses propres choix sur un niveau inférieur avec des règles différentes, non plus morales ni strictement éthiques au sens où nous l’entendons mais au sens karmique qui s’élabore selon une autre logique dépassant la norme existentielle, une autre norme supra-logique souvent difficile à comprendre selon notre entendement terrestre mais parfaitement adapté à notre courte mission de vie ordonnée par notre entité ou moi supérieur qui en suit l’évolution et en guide discrètement la conduite. La logique supra-normale et symbolique des rituels de magie permet d’aborder cette autre dimension supérieure et d’en traduire les aspects les plus compréhensibles et concrètement utiles à notre "réalisation personnelle" en accord avec la volonté supérieure de notre entité guide.

De facto, les travaux de magie doivent s’entendre comme de très précieux auxiliaires d’évolution, comme des outils traducteurs supra-logiques et assurément révélateurs permettant de réconcilier le "haut et le bas", comme l’aurait dit Hermès Trismégiste, dans cette quête existentielle dont chacun un jour se pose la véritable et seule question importante du "sens réel de la vie"… Je reste, si besoin, à votre disposition pour trouver cette quête de sens ou pour répondre à vos questions existentielles sous l’angle ésotérique qui participe le mieux à votre évolution !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel
 

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"Synchronicité", voici un terme presque barbare à l'entendre et certainement sorti du brouillard linguistique pour un très grand nombre de personnes, probablement pour vous aussi lecteur de cet article, et qui pourtant devrait assurément être gravé dans toutes les têtes bien faites tant ce qu'il représente demeure d'une importance capitale dans la vie quotidienne et dans la compréhension générale de l'existence ! Signaler d'emblée cette importance implique une explication adéquate pour que ce terme prenne forme et restitue toute l'intelligence de ceux qui l'ont à la fois pensé mais aussi étudié et expérimenté, principalement le psychanalyste, dissident de Sigmund Freud et son alter ego dans un sens plus spirituel, Carl Gustav Jung. Celui-ci définit la synchronicité comme suit : "J’entends par synchronicité les coïncidences, qui ne sont pas rares, d’états de fait subjectifs et objectifs qui ne peuvent être expliquées de façon causale, tout au moins à l’aide de nos moyens actuels". Pour aller plus loin et en d'autres mots : un "état synchronistique" représente une conjonction de pensées ou/et de faits apparemment indépendants et distincts (la non-causalité du phénomène) qui crée chez celui ou celle qui le vit une coïncidence ou un heureux hasard ayant comme finalité une puissante pensée explicite et originale pouvant changer radicalement sa vision du monde ou sa propre représentation dans ce monde. La synchronicité représente donc l'instant décisif d'une révélation personnelle, telle une étincelle de l'esprit, qui s'impose uniquement à soi et dont on n'aurait pas eu ni l'intuition ni l'aspiration intellectuelle d'en avoir eu une connaissance si claire et puissante en d'autres circonstances dites normales. En général, les synchronicités s'apparentent à des tournants décisifs en terme de compréhension existentielle pour potentiellement réorienter son libre arbitre et ainsi trouver une nouvelle voie, une nouvelle orientation à sa vie.

Parfois, et si l'on cherche à mieux comprendre a posteriori, par exemple une rencontre amoureuse, l'on s'aperçoit alors que cette rencontre était finalement le fruit d'une synchronicité, d'une complexe conjonction d'évènements et de pensées ou de décisions totalement séparées et indépendantes aboutissant pourtant de manière croisée à "un heureux hasard", celui de cette rencontre à ce moment précis dans ce lieu précis avec cet état d'esprit précis, et donc il s'agit pour ce cas assurément d'un tournant important dans la vie qui va par conséquent modifier le cours de l'existence et jouer sur la destinée de la personne. Bien entendu, il existe pour chacun de très multiples façons de voir se jouer ce type de synchronicités, dans le milieu professionnel ou autrement plus personnel, notamment dans des domaines liés à la création, à la recherche ou à l'art où s'exerce de manière encore plus puissante ce phénomène révélateur, unique et intime. Un autre exemple plus courant de synchronicité reste celui de la pensée très fugace à une personne, laquelle appelle au téléphone à l'instant même où cette pensée a pris forme. Télépathie, pensée créatrice, "heureux hasard" ou pure coïncidence, chacun y verra sa propre vérité ou explication, mais il est certain qu'au moment où l'on vit ce type de phénomène l'on comprend qu'il se passe quelque chose d'assez inhabituel, de très surprenant ou de relativement paranormal pour y prêter une attention toute particulière…

De même, les rêves, souvent très confus et peu explicites au réveil, peuvent alors avoir une réelle approche synchronistique lorsque l'on est confronté à une partie de leur signification supposée dans un évènement qui suit dans la journée, par exemple rêver d'une voiture de sport rouge et en voir une quelques heures plus tard accidentée sur le bord de la route peut effectivement entrainer un comportement de prudence qui vient alors immédiatement à l'esprit avec cette sensation de soudaine réminiscence du rêve et de la réalité qui s'entrechoquent encore plus puissamment comme une injonction personnelle à strictement accepter à la lettre. D'autres synchronicités, si celles-ci sont détectées comme telles par celui qui les perçoit, aboutiront à une prise de conscience immédiate qu'il faut suivre l'idée qui en résulte ou creuser le conseil qui en émerge ainsi avec cette intensité de vérité si immédiate, percutante et évidente.

Que doit-on penser de ce phénomène, comment l'interpréter et le détecter, ou même le provoquer ? Par sa définition même, la synchronicité reste totalement imprévisible puisqu'elle n'est rattachée à aucune logique de cause à effet pouvant programmer son arrivée et de facto sa composition. Donc l'on ne sait jamais quand une synchronicité arrivera ni ce qu'elle apportera comme message, l'on ne peut pas anticiper l'impensable non encore réalisé, l'on ne peut pas non plus devenir médium de sa propre vie aux dires des grands initiés puisque ce serait alors tenter de violer les Lois karmiques et aller à l'encontre de sa propre quête existentielle. Pour autant ce que l'on ne peut pas faire soi-même l'on peut le demander, en partie seulement, à ceux dont c'est le métier, c'est-à-dire aux professionnels des arts ésotériques, aux véritables initiés, mages, sorciers ou chamans, lesquels ont cette disposition à voir au-delà des limites imposées à soi-même pour en trouver des réponses ou des orientations. L'on peut alors interpréter la science ésotérique, celle des magies et des rituels comme une source intuitive où puiser des réponses d'ordre synchronistique apportant de précieux conseils à suivre si ceux-ci sont néanmoins disponibles (karmiquement tout ne peut évidemment pas être dévoilé puisque la quête personnelle représente la seule voie à suivre selon un libre arbitre bien encadré à l'avance…).

Certains "outils ésotériques" comme le tarot, les oracles ou le Yi-King peuvent être d'un grand recours s'ils sont bien compris et surtout utilisés dans cette perspective synchronistique pleinement assumée où ce n'est pas la logique cartésienne qui apporte des solutions mais où "d'heureux hasards" se présentent, qui dans les cartes de tarot et des ajustements des tableaux ainsi tirés, qui des hexagrammes du Yi-King auxquels ont aura une explication elle-même synchronistique étant mise en avant mais n'étant strictement compréhensible que par l'intéressé(e) et traduite par l'initié, lequel n'est que le "médium", c'est-à-dire l'intercesseur disposant de la Connaissance requise. C'est ici, encore très justement, toute la puissance mais aussi parfois l'ambiguïté de ces outils que de n'être reconnus et assumés dans leurs réponses que par celui ou celle qui les pose… Néanmoins, ce serait passer à côté "d'atouts chances" importants que de ne pas s'y intéresser et tenter d'en comprendre les subtilités, certes difficiles à détecter et à décrypter mais si intensément révélateurs une fois bien assimilés consciemment !

En ce qui concerne plus précisément le rituel de magie, il passe lui aussi par cette extraordinaire voie synchronistique qui, de par "la rencontre" entre la personne qui consulte et l'initié qui exerce avec son savoir-faire, apporte des réponses avec des éléments symboliques puissants parfois surprenants et en apparence illogiques au premier abord alors que tout est présent pour en extirper la quintessence du propos, l'éclairage des travaux et de leur finalité pour trouver la juste et exemplaire ligne à suivre. Que ce soit d'amour, de chance ou de conduite à suivre dans une situation compliquée, les rituels de magie sont dans ce sens une excellente opportunité d'obtenir à la fois un conseil d'une grande précision mais aussi de toujours se positionner en fonction de la destinée de la personne pour ne jamais la faire dévier de sa mission de vie, restant totalement en accord avec son propre libre arbitre d'en avoir accepté l'issu dans sa demande initiale mais aussi d'en respecter les aspects karmiques qui s'y réfèrent.

Le sujet de cet article étant encore une fois relativement complexe je reste à votre disposition pour en discuter ou même pour étudier avec vous ce que vous pourriez avoir ressenti comme une synchronicité mais sans en avoir compris l'intégralité du sens ou bien l'exacte orientation à suivre, dans cette optique d'éclaircissement vous pouvez me contacter (infos de contact sur ma bannière ci-dessous). Je vous dis à très bientôt avec cette certitude que vous avez lu cet article dans une posture synchronistique qui vous apportera aussi, j'en suis sûr, d'essentielles réponses !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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En notre époque si complexe et troublée nous pouvons nous poser l'essentielle question des limites à notre propre évolution, des limites de notre humanité comme "êtres vivants" sur une planète en péril par notre exubérante activité mais ne serait-ce pas plus simple d'orienter notre regard et notre esprit vers ce qui pourrait non seulement résoudre nos problématiques sociétales, environnementales et sociales tout en abordant à un niveau plus personnel notre substrat existentiel en passant enfin par l'accession à une véritable Sagesse, celle réelle qui aborde l'ensemble de nos questionnements et nous ouvre la grande voie royale de l'entendement humain dans l'universalité qui nous entoure ? Cette question, fondamentale même si elle ne se révèle pas à tous de manière si directe, sous-entend les notions radicales de Bien et de Mal, de ce que nous pouvons chacun en dire pour nous situer sur un curseur dont nous ne pouvons que très subjectivement en définir la trame et l'orientation réelle dans nos propres actions et pensées au quotidien. Penser ce curseur, penser ces orientations et penser ces limites, ce sont là finalement des processus que nous opérons à chaque instant sans pour autant en avoir une intime conscience bien calculée ou bien maîtrisée… N'y aurait-il pas effectivement d'autres mécanismes plus subtils à l'oeuvre qui s'immisceraient dans nos raisonnements et nos décisions ? Ne voyons-nous pas ici encore une certaine limite à l'intégrité de notre individualité et à ce que nous pensons être notre liberté dans l'élaboration de notre si précieux libre arbitre ?

De ces premières questions se dégagent a fortiori des éléments subtils et très discrets, quelques synchronicités dissimulées de-ci de-là, des paramètres existentiels cachés dans la matrice même qui nous constitue, c'est en ce sens que l'ésotérisme existe et tente de révéler à qui peut l'entendre et le concevoir que nous sommes "l'objet" d'une nature plus grande qui nous dépasse et fixe toutes ces limites, que cette nature surhumaine ne nous est pas totalement étrangère ou inconnue, que des failles dans le système permettent d'en apercevoir l'envers du décor pour en appréhender toute la valeur et la profonde portée. C'est le but même de la pratique ésotérique que de vouloir ouvrir des portes qui sinon resteraient fermées dans le monde profane, c'est à la fois un consciencieux travail énergétique sur soi pour avoir aussi le privilège d'éclairer une part du mystère de l'humanité dans ce qu'elle représente dans ce processus d'existence visible mais aussi en s'efforçant de percer quelques essentiels secrets de l'autre côté du miroir qui nous constitue. Pris dans le tourbillon de la vie quotidienne et de ses problématiques profanes, la grande majorité ne peut concevoir que cet envers du décor existe, chacun restant ancré à ses préoccupations du moment, figé dans l'instantanéité immédiate et superficielle des devoirs que l'on s'impose (ou qui nous sont imposés) comme une fixation du réel en une seule image sur un écran, encore une fois le mythe de la caverne de Platon n'est pas loin pour illustrer cette "réalité de surface".

Parler d'ésotérisme n'est donc ni anodin, ni déplacé ou bien encore absurde ou illogique, c'est bien au contraire aller dans le sens réel du courant existentiel qui nous traverse et qui nous guide vers ce en quoi nous aspirons sans forcément le savoir consciemment, vers quoi nous devrions naturellement tendre pour nous réaliser selon un processus qui agit sur nous comme un catalyseur de volonté, de désir et de soif de puiser dans "l'expérience de vie" qui nous est impartie. En ce sens, les outils qui se présentent aux initiés dans la pratique de l'ésotérisme, et selon des modes très hétéroclites s'il en est, apportent des solutions qui se situent au-delà de la simple logique matérielle ou purement scientifique telle que l'on peut la concevoir aujourd'hui avec des protocoles formatés et rigides dans l'encadrement strict de leur domaines respectifs. Il est tout à fait normal de considérer que ces domaines scientifiques leurs soient réservés selon la logique en vigueur, ainsi personne ne remet en question la chute de la pomme newtonienne en ce qu'elle représente de l'attraction terrestre mais ce n'est ici que l'exemple d'une extrême composante visible et restreinte de la réalité, il en va de même de toutes les découvertes scientifiques qui n'ont finalement pour l'heure qu'envisagé la réalité que du point de vue de la matérialité, du plus grand visible que représente l'Univers au plus petit détectable qui se situe au coeur de cette matière subatomique. Pour tout le reste, au-delà de la matière, l'esprit, l'âme, et même la "simple" conscience de soi, ne pourront être explicités par des instruments scientifiques matériels puisqu'ils n'appartiennent pas au sens strict à une dimension physique et s'expriment par d'autres voies que celle de la matérialité pure. Le vent ne peut pas être vu et pourtant il existe bel et bien…

La pratique ésotérique s'exprime dans son cadre d'application, c'est-à-dire à un niveau supérieur de notre dimension existentielle qui en dépend directement et y est reliée, avec ses propres outils que sont, d'une part ce que l'on appelle trivialement la Magie comme processus et comme travail de base; d'autre part cette Magie agit via des rituels qui représentent des processus actifs ayant prise sur le codage de notre réalité tangible et sur nous-mêmes comme composantes terrestres de cette réalité. En terme de Magie il en existe plusieurs catégories selon les orientations et problématiques à cibler, ainsi celles qui nous concernent principalement aujourd'hui : la Magie rouge ou sexuelle dont l'évocation parle d'elle-même (magie de l'amour, du désir, de la libido et des sentiments, etc.) et la Magie Noire qui reste pour un grand nombre d'initiés et de profanes qui en ont entendu parlé une magie dite négative, ce qui n'est pas la bonne qualification puisque la Magie Noire est plus précisément une Magie de destruction ou de déconstruction, une précision très importante qui n'a donc rien à voir avec une orientation soit bénéfique ou soit négative, tout dépend de ce que finalement l'on en fait et comment on l'utilise, seul le but compte et celui-ci peut bien évidement s'avérer positif ou non… Je tiens encore une fois à faire comprendre que les notions de Bien et de Mal que nous avons sur notre plan d'existence n'ont pas les mêmes valeurs et doivent être perçues comme toutes relatives en fonction de paramètres bien plus élaborés incorporant un système d'une extrême complexité puisqu'englobant des notions d'interrelations et de temporalités longues dont nous n'avons pas conscience ou aucune possibilité d'en envisager l'existence in extenso ou le but "karmique" final réel.

Sur un plan supérieur au nôtre, tout comme l'image de poupées russes qui s'incorporent, notre matérialité y est intégrée et est échafaudée selon des schémas existentiels associés à ces orientations dites karmiques, lesquels d'une certaine façon gèrent la structure de notre réalité et de nos missions de vie. Dans cet ordre d'idée nous n'avons pas directement accès à ce processus supérieur sauf si nous passons par des voies détournées qui empruntent les mêmes codes que ce plan supérieur. Ces codes sont principalement "symboliques" (vus comme tels ici-bas) mais très actifs par effet de rebond en retour lorsque l'on sait les intégrer à des rituels de magie fonctionnant sur ce mode opératoire spécifique. Il existe bien heureusement des protections assez efficaces pour déclencher ou non ces "commandes symboliques" que représentent les rituels de magie afin que quiconque ne puisse intentionnellement ou non en détourner l'usage, ce qui représente une précaution bien utile, tout comme le fait qu'un enfant ne devrait pas pouvoir simplement réaliser une bombe atomique en quelques minutes… En ce sens, les protections se déterminent selon le degré d'initiation à l'ésotérisme dont le praticien est habilité à assimiler les notions ou bien dont "on" lui a confié le pouvoir (momentanément ou plus durablement). Ce "on" ne se situe pas ici-bas, cela s'entend bien, et ses décisions sont d'ordre karmique, déjà réglées sur une destination matérielle et temporelle bien orchestrée (ce que nous pouvons appeler "destinée").

Les magies, Rouge et Noire, sont soumises à des protections graduelles que seuls les initiés de haut niveau peuvent appréhender et pratiquer, ceci en accord formel avec les capacités qui leur sont attribuées et les besoins réels de réorientation de mission de vie de certaines personnes qui en auraient la nécessité selon un libre arbitre relativement bien "encadré" qui participe à l'élaboration de cette mission. Ainsi, "au-dessus" et à l'encontre du discours ici-bas de Démocrite et de Jacques Monod, rien n'est laissé au hasard, il n'y a que la nécessité qui prime selon des lois dont nous n'avons visiblement pas tous les clefs sur ce plan d'existence pour en ouvrir potentiellement les portes réservées au backstage de l'évolution. Il ne faut pas voir dans les initiés de haut niveau une sorte de classe supérieure au profane car la charge que porte l'initié est très lourde pour sa propre mission de vie avec de nombreux risques proportionnellement inhérents à sa capacité à modifier le cours des évènements, en effet la responsabilité d'une erreur d'interprétation ou d'une usurpation de sa fonction pour son propre compte pourrait avoir de graves conséquences sur plusieurs niveaux de son intégrité, mentale ici-bas, et spirituelle à un niveau supérieur. De ce fait sur ce point il existe aussi des limites à ne pas dépasser, des orientations dont les variations sont si étroites qu'il est parfois préférable de maitriser le délicat scalpel de la magie avec la plus grande humilité qui soit, associée à une longue et soutenue expérience de la pratique ésotérique dans sa pleine et entière connaissance.

Comme nous le voyons, la pratique ésotérique ainsi que celle de facto des rituels de magie qui en découlent sont très bien encadrés à tous les niveaux, avec néanmoins de réelles possibilités d'ajustements bénéfiques si ceux-ci sont cohérents et en accord avec les orientations karmiques des personnes qui en ont recours. Ce dernier point est à étudier avec la plus grande attention en cas de demandes de travaux de magie, ce que je me propose toujours de réaliser avant de commencer le lancement de rituels adaptés à la situation que l'on m'a exposée. Si cet article vous a apporté des réponses je m'en réjouis d'avance et je reste à votre disposition pour en discuter si vous avez des questions ou des demandes professionnelles, merci dans ce cas de me contacter directement, à très bientôt, ésotériquement vôtre !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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En amour il n'y a jamais aucune certitude, c'est ce qui en fait aussi une histoire à vivre la passion de manière dangereuse mais une chose reste néanmoins sûre : "s'aimer soi-même, c'est l'assurance d'une longue histoire d'amour" comme le dirait avec un peu d'ironie Oscar Wilde. Il est vrai que l'amour que l'on porte à autrui n'est, d'une certaine façon, que la projection du reflet égocentrique que l'on se porte à soi-même, sans vouloir en être l'unique garant ni vouloir en porter toute la responsabilité, ce qui démontre encore une fois toute la complexité de l'esprit humain pour se fourvoyer ou se perdre dans l'autre afin de mieux se retrouver ou tenter de s'y trouver… L'on dit bien "tomber amoureux" ou bien encore "aimer à en perdre la raison", justement tout ceci n'est peut-être pas raisonnable au sens premier du terme. Toujours est-il que l'humain cherche encore la bonne définition de l'amour après tant de siècles passés, depuis l'Antiquité (et même avant) jusqu'à nos jours, le dilemme demeure entier, comment expliquer quelque chose que l'on ne peut saisir, comment finalement comprendre et surtout accepter que nous sommes "codés" à la base même de notre génome pour ne pas pouvoir intégrer une explication puisque celle-ci réside en nous et dicte tous ses choix de manière impérieuse et souveraine. L'amour continuera encore longtemps à manipuler nos esprits, à nous commander pour trouver une sortie du labyrinthe, pour s'insinuer dans l'existence au sein même de notre vivant parcours.

Être en couple, ou aimer, s'apparente par conséquent à une quête de soi "en étant accompagné" pour définir toutes les contradictions qui nous composent intrinsèquement mais aussi toutes les potentialités existentielles qui se proposent à nous dans cet accord d'union révélateur. Les initiés en parlent avec d'autres mots plus ésotériques puisqu’en matière de révélation les flammes de la vie et de l'amour se ressemblent, l'on peut même affirmer qu'elles ne sont constituées que d'une seule et unique mèche, une sorte de fil l'Ariane à consumer en suivant les traces révélatrices qui en résultent et dont le "dessein" oriente vers la sortie, une sortie libératrice, en apparence seulement. D'autres, plus profanes, auront d'autres mots, d'autres définitions plus abruptes, telles celles qui définissent le couple ou la relation comme une sorte de "lien", donc d'enchaînement, non pas seulement d'évènements à deux mais de (lourdes) chaînes à porter à deux pour mieux avancer. C'est un peu dans ce sens que l'article précédent y fait allusion et explique tout l'intérêt de la relation amoureuse et donc du couple en terme d'évolution personnelle et spirituelle, l'on pourra ajouter aussi le précieux concept d'évolution karmique si l'on connait un tant soit peu les rouages invisibles qui nous gouvernent.

Vouloir "récupérer son ex-partenaire" c'est donc aussi vouloir récupérer une partie de soi-même ou vouloir récupérer une partie de cet investissement en temps et en histoire commune dont on sait consciemment (ou non) que c'est ce fil de vie, momentanément rompu ou sur le point de l'être, que l'on cherche à renouer pour continuer la quête et ne pas avoir à se retrouver de nouveau perdu au centre du labyrinthe sans ce fil conducteur déjà en place. Il est par conséquent parfaitement compréhensible de ne pas vouloir "lâcher prise" sur cet amour parfois vacillant comme la flamme qui le symbolise et l'éclaire, il est donc assurément vital d'en comprendre toute la quintessence de ne pas perdre le chemin déjà parcouru en couple et de trouver une solution à son problème. Dans cet ordre d'idée il est normal que de nombreuses personnes cherchent d'elles-mêmes à résoudre ces problématiques de couple qui les concernent en essayant d'en comprendre les causes intimes pour en définir des solutions viables qui permettront de "renouer le lien", de réparer le fil ténu qui retient encore l'autre pour soutenir ces chaînes de l'existence. Mais une véritable question se pose alors, une question qui n'est pas toujours prise en compte : peut-être qu'il serait préférable aussi, pour chacun, de reconstituer d'autres chaînons manquants avec d'autres personnes pour continuer à avancer sur des chemins plus adaptés mais différents… Alors se pose aussi la question existentielle d'une bifurcation nécessaire, celle de s'assurer comme l'alpiniste sur une autre voie à emprunter pour continuer vers le sommet sans avoir à trop sérieusement dévisser. C'est aussi, sur ce point, une solution à prendre en compte, seul(e) ou bien d'un commun accord plus éclairé.

Bien entendu, dans l'absolu tout ceci semble simple à appliquer et facile à concevoir, surtout avec clarté et limpidité lorsque l'on est extérieur au problème; il est effectivement très souvent difficile de trouver son chemin lorsque l'on est dans une situation elle-même qui jette lourdement l'obscurité sur soi et ainsi désoriente foncièrement le jugement et des décisions à prendre, c'est en cela qu'il est important, tout comme le nageur, trop éloigné du rivage, de résolument sortir la tête de l'eau pour mieux percevoir la rive et s'en rapprocher avec discernement sans paniquer. Afin de pallier à cet état de fait, et ne pas tâtonner dans l'obscurité, il est préférable de parfois chercher de l'aide ou du moins des moyens auxquels l'on n'aurait pas forcément pensé soi-même au moment le plus opportun. Il faut savoir que ce n'est pas un aveu de faiblesse que de rechercher des solutions que d'autres possèdent, c'est au contraire d'une grande lucidité que de prendre une bonne décision d'aller chercher des outils permettant de se constituer une représentation fiable apportant des solutions du même acabit. Comme abordé ici précédemment de manière rapide en deux mots seulement, le concept "d'évolution karmique" demeure crucial pour comprendre une démarche saine et efficace, d'un niveau certes complexe à assumer si l'on est profane, ceci afin d'aborder les véritables problèmes existentiels qui sous-tendent ceux qui sont plus communs et visibles au quotidien. Ainsi, sous un angle plus ésotérique, les problématiques, notamment celles des relations amoureuses, deviennent d'une très grande clarté avec une vision nette et brillante des décisions à prendre puisque d'une certaine façon l'angle karmique permet d'entrer dans ce code qui programme l'humain, non pas celui inscrit matériellement dans son génome mais celui, sur un niveau bien supérieur, qui en a fixé les règles essentielles et toutes les potentialités de perspectives évolutives à suivre…

Pour trouver des outils capables d'intégrer matriciellement ce que représente l'orientation karmique d'une personne et ainsi lui dévoiler (en partie seulement) quelques aspects significatifs dans un but de résolution de problème, il est nécessaire de passer par des voies non conventionnelles, par des méthodes plus ésotériques au sens premier, par des travaux dits "de magie" qui eux seuls permettent d'entrer supra-réellement dans le coeur de la problématique liée à la personne, ceci par des rituels ciblés ayant un rôle actif, bien que vus ici-bas comme de purs actes symboliques, lesquels apportent pourtant d'inestimables réponses et solutions à des fins fortement évolutives. Il n'y a pas à "croire" ou à dénier de tels travaux de magie, ceux-ci existent et permettent d'entrer en quelque sorte dans notre code source pour en modifier les paramètres potentiellement ajustables selon les Grandes Lois ésotériques qui régissent notre réalité. Dans cette perspective, je reste à votre disposition pour répondre à vos questions et vous proposer si besoin mon aide en qualité de chaman professionnel ayant l'expérience des différentes magies pouvant vous apporter des réponses et des solutions, en particulier dans le domaine des relations amoureuses et plus précisément de celles qui concernent le couple. Je vous dis à très bientôt en vous souhaitant de vouloir dépasser les murs de votre labyrinthe personnel pour en trouver la porte de sortie qui est la vôtre, véritable point focal de votre évolution karmique.

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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Quelques jours après la St-Valentin, devenue surtout une fête commerciale du niveau proche de gentils bisounours fortement assagis, il semblait logique, voire intéressant et même nécessaire d'aborder un sujet s'y rapportant directement mais dont très bizarrement le tabou sociétal qu'il génère implicitement n'ose pas du tout aborder de front, préférant digresser de-ci de-là sur la question précise : celui du tabou de la libido dans la vie amoureuse, dans la vie réelle tout court… Pourtant les relations de couple, mais aussi celles des célibataires recherchant l'amour, ne se limitent évidemment pas à l'échange de jolis bouquets virtuels de roses ou de petits coeurs sur les réseaux sociaux, il faut au contraire y voir une volonté affirmée de jouissance des corps et des esprits dont on sait qu'elle ne peut passer que par une extériorisation de cette libido dans la relation avec autrui, un acte à la fois fortement mentalisé en amont et in fine exprimé en aval par la sexualité. Or, contrairement à tout produit pouvant être acheté, cette libido n'est ni échangeable ni générée ex nihilo, elle demeure une essence issue d'une volonté personnelle intérieure de puissance à partagée, d'une attraction ou d'un magnétisme digne d'une alchimie qui ne se trouve sur aucun étal marchant. Comprendre cette puissance, en saisir les éléments constitutifs à l'image d'un art spagyrique, c'est donc aussi s'attribuer la recette secrète d'une vie amoureuse qui ne trahira pas son but, celui de satisfaire à la fois son propre désir mais aussi celui de la personne qui en est la cible, avec la réciprocité d'une attirance nécessaire pour en construire ce mouvement perpétuel que l'on nomme l'Amour.

Force est de constater depuis quelques années une sorte de transformation ou plutôt de transformisme évolutionniste de notre rapport à autrui en matière de relations amoureuses, l'on voit en effet une sorte de dilution des genres dans des méandres psycho-sociologiques peu clairs où les uns et les autres y perdent leurs repères au risque de ne plus se comprendre eux-mêmes comme individu sexué à part entière. Alors comment entrevoir un rapprochement quelconque ou une compréhension d'autrui dans cette configuration si confuse et perturbante ? Devons nous y voir, après analyse plus profonde, une autre volonté (peut-être cachée) d'asservir toute saine attraction en manipulant et brouillant les pistes dans un dédale de questionnements futiles contraires à un comportement naturel ? L'actualité, où se mêlent les questions de genre et de "vokisme" ambiant peu compréhensibles dans leurs buts réels, n'apporte que des réponses tronquées et des désillusions dont la grande majorité n'est ni concernée ni interpelée avec pourtant des répercutions importantes dans l'élaboration de la reconnaissance d'autrui dans l'environnement quotidien, et donc dans ce rapport ou justement les liens, sociaux, amicaux ou amoureux, en deviennent indiscernables, assurément flous, voire totalement intangibles pour certains. C'est dans ce constat de dérèglement des sentiments et des affects, et donc aussi de la libido qui s'y rapporte, que l'on ne peut que tenter de trouver une sorte de remède à cette perturbation existentielle, car s'en est une certaine et importante propre à désorienter les moins avertis, les plus jeunes ou moins aguerris sur la question… Il en vient alors effectivement à se demander, de manière pratique et "profane", comment relancer ou retrouver une vie relationnelle, sociale et amoureuse moins dégradée.

Certes, d'un autre point de vue plus ésotérique, les initiés auront parfaitement compris qu'il faut y voir un véritable piège sociétal, donc existentiel, et par conséquent en allant encore plus loin un piège relationnel ayant des répercussions sur des objectifs karmiques à suivre, objectifs qui seront de facto ralentis ou déviés de leurs buts initiaux d'évolution en empêchant les outils d'attraction de jouer leur rôle habituel à des fins de rencontres ou de liens amoureux (essentiels dans le processus de quête karmique). Il y a donc, d'une certaine façon, une insidieuse volonté de nuire à ce processus, un épais brouillard relationnel qui s'abat afin d'éloigner plus ou moins ceux qui devaient se rencontrer pour effectuer ensemble leur mission de vie de manière plus complète. Il faut bien ici percevoir cette activité contraire aux principes fondamentaux qui, il est vrai, après une assez longue période de quarantaine dont on ne peut reconnaitre que l'aspect négatif engendré, continue à s'ancrer vibratoirement de manière sensiblement durable et négative pour s'en inquiéter. Encore une fois, les profanes en la matière n'y percevront visiblement rien d'extraordinaire ou de très contraignant, ne verront pas le danger avancer progressivement car ils y seront déjà confrontés à la fois mentalement dans leur esprit en partie formaté et physiquement dans leur perte relative de libido et d'attraction. Retrouver cette potentialité ou la relancer en devient non seulement une saine orientation pour recouvrer un outil de développement personnel et spirituel au quotidien mais aussi pour atteindre de nouveau la capacité relationnelle contribuant à cet essentiel processus karmique dont finalement il est principalement question…

Sans entrer dans d'autres détails complexes ou bien aussi pointer directement du doigt de secrètes officines qui sont à l'origine des dérèglements dont il est question ici, mais en mettant tout de même en relation l'inexorable entrée d'intelligences non humaines dans notre quotidien, les I.A pour ne pas les nommer, nous voyons très justement notre propre essence d'humanité se confronter à d'autres logiques non naturelles nous éloignant ainsi lentement des fondamentaux qui nous constituent. Ainsi, et de manière bien plus clarifiée l'on voit que ces divers signaux faibles confrontés ensemble commencent à vouloir prendre le dessus en tentant de substituer l'humain au transhumanisme, ceci en voulant remplacer la force physique par le robot et notre intellect original et imaginatif par une intelligence artificielle formatée, uniformisée et généralisée, voire totalitaire dans un avenir proche si nous n'y prenons pas garde. Mais là ou l'artificiel ne pourra jamais entrer en concurrence avec l'essence de l'humanité, car il n'y a pas d'accès possible pour elle, c'est au processus même qui nous constitue et que les initiés connaissent sous la forme archétypale de conscience collective dont les archives akashiques sont les garantes de notre intégrité quels que soient les futurs "déboires" de la dimension physique qui y sont provisoirement attenants. Mais ceci est une autre histoire, celle, conjointement à notre problématique, d'une eschatologie programmée dont il n'est pas question aujourd'hui.

Après cette relativement longue introduction nécessaire pour comprendre le phénomène sur plusieurs niveaux, comme nous venons de le voir certes de manière très condensée et abrupte pour le profane qui n'a pas l'habitude de relier ces divers sujets entre eux, l'éloignement relationnel auquel nous sommes actuellement progressivement confrontés, ainsi que la diminution générale de l'affect et la perte de libido et d'attraction (que cela soit au sein du couple ou pour chaque individu même célibataire) peuvent être contrés de façon pratique d'une part en rejetant l'intrusion de logiques non humaines dans nos vies sociales (donc n'utiliser par exemple l'I.A que pour ce qu'elle est, c-à-d un outil évolué et non une fin transhumaniste en soi), d'autre part plus ésotériquement en comprenant l'utilité de l'aspect relationnel de l'humain en ce qu'il contribue à la bonne marche du processus karmique, notamment via l'attraction amoureuse et son biais principal qui la relie au corps avec la libido, véritable moteur du désir d'amour. Sur ce dernier point, l'accession à des solutions efficaces passe aussi par des résolutions d'ordre purement ésotérique dont on a l'habitude de nommer le processus "travaux de magie" et les outils spécifiques qui concernent le domaine de l'amour des "rituels de magie rouge" parfaitement adaptés afin de retrouver ou de développer le désir, la libido et par conséquent provoquer l'attraction entre deux individus. Résister à notre époque de confusion, c'est pallier au déficit relationnel que nos sociétés nous obligent à subir au nom d'un progrès qui n'en est finalement pas un, c'est une nécessité existentielle afin de ne pas laisser s'assombrir l'humanité qui est en nous.

Comme d'habitude cet article, plus didactique, soulèvera de nombreuses questions auxquelles vous le savez je suis à votre disposition pour y répondre, de même qu'en qualité de chaman professionnel je m'engage à vous aider avec les solutions que j'ai évoquées brièvement et qui sont ciblées en fonction de chaque personne ou chaque couple, notamment en matière de problème de relations amoureuses. N'hésitez pas, pour ce faire, à me joindre sur mon site (voir mes informations de contact ci-dessous). À très bientôt !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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