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Blog chaman ésotérisme

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Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

reincarnation

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Nul ne peut se mettre strictement à la place d'une personne dont le couple est en situation de crise et proche de la rupture, car le contexte précis, les personnalités en présence et les causes ainsi que les effets induits font que l'ensemble de ces paramètres (en comptant ceux qui adviennent en surcroit de manière cumulative) en complexifient de facto l'analyse et la compréhension sans pour autant pouvoir donner des réponses finalement pleinement satisfaisantes. C'est, du moins, l'avis le plus couramment exprimé par les spécialistes dits "profanes", c'est-à-dire la cohorte habituelle de psy et de sociologues de la question qui, et c'est tout à leur honneur tout de même, ne s'arrêtent qu'au visible et descriptible selon les dogmes que la science leur impose, ne s'arrêtent finalement qu'au substrat le plus superficiel d'une individualité étudiée in situ dont ils ignorent les dimensions supérieures échappant à leur courte vision trop terre-à-terre pour les prendre en compte au-delà des prérogatives et du décorum de leurs fonctions corporatistes. Loin d'affliger ces spécialistes qui sont utiles, puisqu'ils tentent de "soigner" les maux de la vie, il n'en demeure qu'ils ne savent véritablement les "guérir" que dans de très peu de cas et encore moins en expliquer avec discernement et assurance toutes les sources et les raisons subtiles qu'ils se gardent bien d'exprimer ouvertement puisqu'ils n'en ont strictement aucune idée et qu'ils n'ont d'ailleurs jamais tenté d'en étudier la réelle provenance exacte. Seul peut-être C. G Jung, dans une vision plus ésotérique et moins normative, a-t-il pu aborder la question de manière plus approfondie comme l'initié qu'il était, avec ce que l'on sait aujourd'hui en retour de sa sagacité spirituelle éclairée : les reniements acharnés de ses pairs qui l'ont presque tous immédiatement banni de leur très docte cercle de fausses certitudes, apprises et répétées maintes fois au fil du temps, tels d'illustres perroquets savants si fiers de leurs plumes académiques décrépies. On en a d'ailleurs aussi vu dernièrement les effets pervers dans un autre "domaine médical réservé"…

Mais soyons pragmatiques et restons parfaitement lucides, loin de dire que la psychologie et la sociologie ne servent à rien, bien évidemment, il faut néanmoins effectivement remettre ces belles disciplines, là où elles s'accordent le mieux pour coexister : pour l'étude de cas improbables, pour la cogitation d'ego scienteux ex nihilo, pour l'amassage invraisemblable d'une montagne d'hypothèses tordues construites sur des terrains marécageux où chaque idée finit par être engloutie tout au fond du marais pour s'y décomposer lentement, mais sûrement. On ne compte ainsi plus chaque jour qui passe toutes les nouvelles méthodes et théories inapplicables, tous les discours de parfaits sophistes tournant en rond avec autant de mots creux que de slogans publicitaires répétés en boucle, et surtout tout ce temps perdu où des personnes en demande d'aide se voient instamment formatées dans le moule de la doxa médico-socio-psychologique, à coup de drogues médicamenteuses incertaines, voire dangereuses, et de lavages de cerveaux pour en oublier leurs problématiques mais aussi pour nier la spécificité de leur individualité ainsi totalement dissoute avec leurs questionnements légitimes initiaux, et c'est ici le pire… Ce constat implacable reste valable pour chaque personne devenant un "patient" (du latin "celui qui endure, qui souffre") comme pour le couple, qui s'apparente étymologiquement à un duo de personnes liées par une relation (généralement "amoureuse"), et dont on connait les potentielles "crises de couple", durables ou ponctuelles, évitables ou inexorables, douces et sans conséquence ou bien plus dures avec une fin dite tragique pour celui qui l'a subit, souvent crescendo : rupture, humiliation, isolement, dépréciation, dégradation, dépression, voire jusqu'au suicide social ou physique.

Le couple, ou plutôt la "notion de couple" devient d'autant plus complexe lorsque l'on élargit le cadre de référence avec ce ou ceux qui pourraient interagir, façon "simple sociologie profane du couple", avec le duo initial pour en révéler d'autres acteurs, ainsi d'autres types de relations actives apparaissent et peuvent assurément expliquer les crises ou du moins certaines problématiques importantes pouvant aboutir à une rupture et à une "perte de confiance morale" (plus ou moins forte) dans la relation de couple habituelle. C'est le cas de ce qu'il faut assurément appeler des bien nommées relations extra-conjugales avec les amants et les maitresses, seulement d'une durée d'un jour ou au plus long cours, ces relations seront perçues (selon les types de personnalité et d'éducation) comme amorales ou inversement parfois nécessaires, voire pour certains plus rarement comme un mode de fonctionnement presque normal du couple que de ne pas vouloir s'astreindre à l'uniformisation de la sexualité dans ce qu'elle propose de manière plus convenue, c'est-à-dire pour eux-mêmes comme couple à s'autoriser de ne pas se satisfaire sexuellement du seul conjoint ou partenaire. Dans ce dernier cas moins courant, la liberté purement sexuelle peut être comprise comme un renforcement du couple dans ce qu'il se permet cette liberté réciproque, ceci en tenant compte de certaines limites tacites ou plus explicites si besoin. Mais cette vision plus libertaire du couple n'est évidemment pas l'apanage de la très grande majorité, celle-ci restant cantonnée à la seule relation interdépendante réciproque, avec cet handicap relatif mais bien réel de voir littéralement voler en éclat la relation à la moindre incartade dont les dogmes sociétaux ou religieux ont su stigmatiser "la faute" depuis des lustres sur les populations dites "civilisées", comprendre "endoctrinées pour leur bien"…

Maintenant abordons la réalité sous un angle bien moins étroit, dans une vision certes plus ésotérique qui n'aura pas a priori l'approbation de tous les scientistes engoncés profondément dans leurs démonstrations matérialistes ou bassement corticales et psychiques, voyons le couple et sa relation comme je l'exprimais dans l'article précédent et dont la teneur dissipe toute confusion : le couple est un instrument, un outil pratique dans notre réalité terrestre (à notre niveau dimensionnel) de ce que chacun doit réaliser en "mission de vie" via le contrat karmique qu'il (le "soi supérieur" comme entité supradimensionnelle, ou apparenté de très loin au "surmoi" psy) devra suivre à des fins d'évolution par paliers en étant successivement "incarné", donc réincarné sous des individualités différentes cloisonnées (dont la mémoire est séquencée par période d'existence et généralement antérieurement non accessible par celle "présente"). Voilà qui en une seule phrase, sans palabres ni contournement inutiles, explicite la voie royale ésotérique qui généralement instaure la réincarnation (ou métempsycose) comme un fait établi expliquant pratiquement l'ensemble des problématiques ici-bas, dont celle, très importante, de la relation de couple qui participe activement à cette évolution karmique sur plusieurs vies. Je conseille de lire mes articles précédents afin d'entrer plus dans le dur du sujet si cela était encore nécessaire d'en apporter des informations plus étayées didactiquement en laissant de côté l'hermétisme des textes anciens qui l'explicitent sous une forme occultée et souvent marquée d'une religiosité très directe qui pourrait choquer car parfois assez éloignée de la douce et édulcorée spiritualité contemporaine telle que nous la concevons aujourd'hui.

Dans cette perspective la relation de couple prend alors une toute autre dimension, très loin des stéréotypes profanes où les liens sentimentaux préfabriqués par les habitus sociétaux deviennent soudain à l'image de ces lignes de code sous-jacentes dont il faut avoir les clefs pour en comprendre la portée réelle et la signification cachée, une initiation qui passe par un décryptage ésotérique aux yeux ébahis et incrédules des profanes encore sous le coup de l'imprégnation mentale qui leur a été inculquée depuis la naissance, par un rigoureux formatage générationnel. Très paradoxalement, les initiés ne nieront pas qu'un tel processus d'amnésie de ce que l'on peut appeler la surréalité (la réalité dimensionnelle vraie) soit un effet pervers de l'effacement de mémoire des vies précédentes au moment de l'incarnation, car en terme d'efficacité cette étape semble nécessaire pour la grande majorité des gens afin d'évoluer de manière crantée sans avoir souvenir d'étapes précédentes de leur existence qui pourraient sinon parasiter et fausser la nouvelle expérimentation d'incarnation sur d'autres voies à suivre, sur d'autres missions de vie selon des Lois karmiques encore plus complexes et difficilement appréhendables selon nos modalités dimensionnelles restreintes à notre niveau ici-bas. Sous cet angle la relation de couple se clarifie comme étant une fonction karmique, ses problématiques comme étant des expérimentations de mission de vie à suivre, qu'elles soient assimilées positivement ou négativement d'un point de vue profane sans décodage alors cela ne change rien, bon ou mauvais cela reste une initiation, une épreuve à passer, une case à cocher sur la mission.

Évidemment, faire comprendre l’ensemble de ce processus à une personne en difficulté, notamment en crise de couple ou en rupture sentimentale, sera assurément compliqué d'emblée sans passer par un travail conséquent où viendront comme une initiation ésotérique se décrypter les éléments de cette problématique, les sources de cette crise, les aspects finalement bénéfiques à long terme et surtout les potentialités infinies de rebond pour dépasser le stade de la crise et évoluer de manière plus consciente, certes peut-être pas au niveau d'un initié de haute stature mais comme un individu enfin libéré, enfin ouvert sur ce que j'ai l'habitude de nommer un horizon des possibles, une sortie par le haut de ce qui était un problème apparemment insoluble sans les bonnes clefs, une certitude que le "moi" peut aussi accéder aux conseils de son surmoi, ceci via des processus ritualistiques, ce que l'on conçoit trivialement dans le langage profane comme de la Magie opérative avec ses travaux de magie, ses praticiens et ses Connaissances ésotériques qui permettent de percevoir ce dialogue. Éviter, empêcher ou accepter la crise dans le couple en se résignant à n'en voir que les aspects strictement basiques s'apparente à s'exempter du codage de l'existence qui se trouve sous la surface du visible, c'est ne pas vouloir ou ne pas chercher à voir ce qui est occulté et que la voie ésotérique permet de décrypter pour résoudre radicalement ces problématiques existentielles conjugales, relationnelles ou amoureuses qui jouent des rôles karmiques essentiels mais effectivement cachés.

En qualité de chaman, je vous propose si besoin de trouver ces clefs, d'effectuer ce travail de décryptage via des rituels "de magie" (appelons-les avec la terminologie courante) et ainsi de vous orienter sur la voie à suivre, celle qui sera en accord avec votre mission de vie, celle que "l'on" attend de vous ! Pour me joindre dans le cadre de mon activité professionnelle et pour en discuter librement sans engagement, merci de suivre les informations sur ma bannière ci-dessous. À très bientôt !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel.

 

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #Amour, #Magie sexuelle, #envoûtement amoureux, #réincarnation, #karma, #ésotérisme, #spiritualité, #sexualité sacrée, #couple

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Comme vous le savez certainement, la perfection n'est pas de ce monde mais nous pouvons toujours nous y approcher le plus près selon nos possibilités propres, d'ailleurs, et si nous y réfléchissons plus en avant : l'acte de cette tentative de perfectionnement n'est rien d'autre qu'un véritable apprentissage initiatique qui aboutit à une évolution, soit personnelle au niveau plus spécifique de l'individu ou soit plus généralisée au niveau de l'humanité entière, ceci à la fois visiblement (matériellement et existentiellement parlant) et aussi de manière plus invisible (spirituellement et karmiquement parlant). Cette constatation est aussi valable pour chaque aspect différentié de l'ensemble de nos activités ici-bas, de la plus élémentaire et apparemment insignifiante à la plus primordiale et vitale selon les critères terrestres tels que nous les entendons habituellement. Parmi ces domaines d'activité importants l'Amour en est un spécial qui requiert une attention toute particulière puisque sa résonance influence conjointement notre présent et notre devenir de façon puissante et durable et selon quatre axes fondamentaux dont les profanes n'en perçoivent bien distinctement généralement que deux, voire trois dans le meilleur des cas : au niveau physique, psychologique, mental et spirituel. Ces quatre axes, chacun bien équilibré en rapport des trois autres, permettent aussi d'aborder une évolution karmique optimum et une existence plus sereine pour soi-même et pour le couple qui se trouve réciproquement en phase précisément en regard de ces axes et de leurs orientations. C'est ce que nous allons voir ensemble aujourd'hui.

En commençant par le plus explicite des quatre, l'Amour physique n'a pas vraiment besoin de dessin ni de dessein en soi pour agir puisqu'il est fondamentalement ancré dans nos corps dans le patrimoine génétique de chacune de nos cellules pour créer cette attirance sexuelle induite dont nous savons tous qu'il est parfois difficile d'y résister sauf en y étant formellement entrainé en ajustant le mental et le spirituel (ou de manière plus prosaïque et morale selon le contexte historique et personnel). En Inde le Kamasutra s'exposait déjà ouvertement sur les murs des temples il y a plusieurs millénaires comme un enseignement à suivre, de nos jours le sexe est accessible pratiquement partout en quelques simples clics sur les écrans qui nous entourent, en cela rien n'a finalement changé, avec néanmoins des périodes historiques durant lesquelles la sexualité, ou plutôt l'acte sexuel, a plus été caché que véritablement réprimé car l'on ne peut pas aller à l'encontre d'une pulsion de vie essentielle à l'existence humaine qui doit jouer son rôle initial, celui de la procréation, mais aussi son rôle social en matière d'associations dans un sens plus structuré autour de la famille ou du clan. Ainsi les sociétés modernes se sont cristallisées sur des modèles purement conventionnels pour convertir la sexualité et lui attribuer d'autres buts pour justifier toutes ses lois, celles des groupes, des castes et des classes sociales. Même chez les peuples primitifs, une notion plus élargie et libre en découle pour la survie du clan face à l'adversité de l'environnement, ainsi la famille c'est le clan, la sexualité est multiple et sans exclusivité, elle appartient au clan et non à l'individu. Au-delà de ces notions conformistes, sociétales, claniques ou utilitaristes, l'Amour physique et la sexualité des corps apportent bien entendu aussi les notions de plaisir personnel et de satisfaction individuelle qui peuvent s'opposer aux premières citées et être plus ou moins réprimées ouvertement, mais ceci est une autre affaire liée à ce que l'on appelle la Liberté d'agir et plus largement à la Politique ou la Religion…

L'on pourrait voir dans notre second axe, celui de l'amour plus psychologique, déjà un empiètement sur le domaine de la relation à autrui avec cet angle de la Liberté individuelle d'aimer et ce que cela implique comme consentement réciproque au niveau plus spécifique de ce que l'on appelle les sentiments. C'est ici un axe beaucoup plus complexe que celui purement physique puisqu'il n'a aucun caractère d'obligation dans le sens où l'on peut aimer une personne sans que cela soit partagé en retour, ce qui effectivement entraîne assurément pour ce cas de multiples complications psychologiques dont chacun pourra sans effort en comprendre la portée et plus précisément la caractéristique qui se situe dans le ressenti, lequel cette fois-ci peut générer une douleur au niveau de la psyché, c'est-à-dire comme l'expression douloureuse d'une demande conjointe et fusionnelle du corps et de l'Ego. Inversement, l'acceptation réciproque apportera non pas le plaisir comme pour le corps mais la joie pour l'esprit et d'une certaine façon une première étape vers un bonheur partagé au-delà du "simple soi" mais toujours pour satisfaire deux Ego distincts bien accordés sur une même partition de sentiments réciproques. Cette apparente très bonne "entente psychique" entre deux Ego est ce que la plupart des gens appellent l'Amour afin d'en distinguer une certaine valeur supérieure à l'acte sexuel à proprement parlé, lequel est généralement partagé en complément (ou pas si cet "amour" est purement platonique, mais est-ce alors ici pour ce dernier vraiment encore le même type "d'amour" ?). Le champ d'exploration des aspects de cet axe de l'Amour étant sous l'égide des "sciences humaines" et de la psychologie pure, celui-ci se décline à foison en une multitude de sentiments induisant les meilleurs comme le plus sombres d’entre-eux, du bonheur complet à la plus profonde détresse pouvant aboutir à la dépression ou pire, au suicide des personnes les plus atteintes par ce mal-être, celui de ne pas être aimé en retour. Notons que les contraintes et affres de ce type d'Amour ont paradoxalement pu parfois générer des oeuvres d'art par effet de sublimation de la douleur psychique en une puissante création artistique, littéraire, picturale ou autre. En résumé, la part psychique de l'Amour n'est donc pas à négliger, elle représente un axe d'équilibre fondamental pour l'individu ainsi que sur l'ensemble de son activité potentiellement créatrice.

Mais alors que vient donc faire le mental dans toute cette histoire d'Amour ?! Il est clair que l'humain ne se résout pas à sa seule composante sentimentale ou psychique, l'on peut même assurer que l'Ego complet se permet de réfléchir et de peser lourdement le pour et le contre, c'est ici la part du mental que de se réserver une partie importante de l'individualité qui prend en compte à la fois la préservation vitale de son corps mais aussi de son esprit résonnant sans cesse, c'est la part du Cogito de l'Ego, comme cette série de miroirs internes où se reflète la réalité du vécu au travers de son propre filtre dans une constante et implacable réflexion pour sentir qu'il existe bien, c'est le fameux "je pense donc je suis" que nous connaissons tous. Sans cette terrible dimension mentale de l'humain, celui-ci ne saurait absolument pas en capacité de se représenter lui-même comme une entité séparée du monde et donc agir selon son propre libre arbitre (relatif) pour jouer son rôle, son "persona" dans cette existence terrestre où il a, d'une certaine façon, "mission de vie". C'est ce mental qui crée en lui cette scission entre ce qu'il pense "être lui" et me monde qui l'entoure, il est dans cette perspective en mesure de se différentier aussi d'autrui, il entre en dualité avec tout ce qui n'est pas lui, en ce sens (pour les adeptes de la non-dualité) il est en contradiction avec la Vérité ultime du Tout et ne se représente que SA propre vérité qui n'est qu'une illusion égotique (la Mâyâ hindouiste). Le mental a donc cette double fonction de créer l'individualité qui se reconnaît comme telle ainsi que de voir en autrui une autre individualité différente avec laquelle interagir. Les grands initiés (orientaux surtout) voient dans "le mental" un obstacle à la réalisation entière et complète de la rupture du cycle des réincarnations, rupture primordiale afin d'évoluer au-delà de la dimension terrestre, du moins "planétaire" liée au matérialisme. Mais en même temps cette phase de "mentalisation", de différentiation permet de rencontrer autrui et donc d'en expérimenter l'Amour au sein même de cette différence mentale. Ce qui serait impossible dans le cas contraire. Le mental est donc une contradiction nécessaire à l'évolution sur une échelle de temps variable, au rythme des cycles de la métempsycose, jusqu'au moment ultime de la Libération de ce cycle (celui du Sâmsârâ) lorsque l'entité peut passer de l'humain à un autre état plus évolué dans une dimension vibratoire supérieure.

L'Axe spirituel de l'Amour vient d'être partiellement abordé dans cette perspective inconditionnelle assez complexe pour le profane de concevoir que la réalité de sa dimension terrestre n'est qu'une fausse représentation de la Vérité dite Absolue, que même les mots sont impropres à définir la véritable Vérité du soi dans le Tout dans ce sens où seule la non-dualité est une Réalité qui nous relie, c'est-à-dire que la dimension que nous expérimentons actuellement dans cet espace-temps terrestre est elle-même générée par la projection de notre mental au sein d'une matrice néanmoins commune à d'autres entités avec lesquelles nous entrons en contact sous des angles différents. Pour imager, notre esprit est comme absorbé par le film ou le jeu vidéo que nous voyons défiler devant nos yeux sur un écran matriciel holographique quadridimensionnel en étant certains (avec les autres "entités" qui sont dans la même salle "de vision" que nous) que nous vivons pleinement ce que nous voyons, ce qui est relativement vrai mais uniquement "terrestrement" parlant… Jusqu'à la fin de la séance ou nous "reprenons nos esprits", nous nous (r)éveillons alors. L'on pourrait aborder l'Amour spirituel sous une forme assurément pleinement karmique lorsque "nous", les entités qui sortent de cette salle de "projection de réalité", nous partageons avec force notre ressenti karmique et nos "expériences matricielles" pour en analyser le sens et peut-être y retourner si nous avons échoué à en comprendre certaines subtilités du "film de vie" que nous devions aborder… Expliquer la profondeur d'une dimension supérieure en étant soi-même "en représentation" (vous aussi actuellement) dans la matrice n'est pas chose aisée mais très drôle en soi si l'on y pense et nous pourrons certainement en sourire en "quittant la salle" le moment venu…

Comme d'habitude il est parfois nécessaire que je puisse approfondir ces données et je reste à votre disposition pour y répondre, ceci si besoin en accord avec le thème de cet article et plus précisément pour vous aider à mieux rééquilibrer les axes de l'Amour que je viens d'évoquer afin que votre relation amoureuse vous soit bénéfique à vous et à votre partenaire. Pour ne joindre dans le cadre de mon activité professionnelle (en qualité de chaman en exercice) merci de lire mes coordonnées sur ma bannière ci-dessous ! Je vous dis à très bientôt, comme simple lecteur ou comme artisan pleinement conscient de votre réalité en devenir afin d'évoluer karmiquement au mieux selon le libre arbitre imparti au sein de votre mission de vie actuelle !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #Allan Kardec, #spiritisme, #réincarnation, #médium, #esprits défunts, #Au-Delà, #vie après la mort, #doctrine spirite

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Allan Kardec (1804 - 1869) : "Naître, mourir, renaître encore et progresser sans cesse, telle est la Loi". En ce Week-End de la Toussaint ou Jour des Morts, comment ne pas mieux commencer, ceci par la fin, pour définir qui fut Allan Kardec puisque cette phrase n’est autre que l’épitaphe gravée sur sa tombe au cimetière du Père-Lachaise, lui qui consacra la plus grande partie de sa vie au spiritisme dont il en élabora précisément les contours, c’est-à-dire l’approfondissement d’une doctrine néo-spiritualiste pour l’époque, celle de la communication avec les esprits disparus, avec les personnes décédées. Le concept n’était pas nouveau en soi, déjà dans l’antiquité les grands prêtres égyptiens avaient théorisé la mort comme un passage, de même les Sybilles romaines entraient en contact avec les esprits durant les oracles et les druides celtes interrogeaient les ancêtres pour prévoir l’avenir. Mais le grand mérite d’Allan Kardec fut très certainement d’étudier avec la pensée de son temps, celle d’un XIXe siècle enfin apte à la vulgarisation des choses secrètes selon des méthodes apparentées au scientisme du moment, de cette époque où l’occultisme se devait d’être décrypté ou du moins explicité en dehors des dogmes strictement religieux avec des termes plus compréhensibles que ceux des anciens temps reculés dont l’hermétisme était l’apanage des seuls savants et érudits ou des "alchymistes" moyenâgeux entretenant l’obscurantisme pour en conserver toute la substance aux seuls élus, hauts dignitaires ou grands initiés. C’est donc avec cette volonté de modernisme qu’Allan Kardec fonda les bases du spiritisme dans la lignée de prestigieux prédécesseurs et de successeurs tout autant dignes de continuer son oeuvre dont aujourd’hui encore nous sommes fortement imprégnés par la profondeur de ses découvertes et de la terminologie qu’il a su élaborer avec soin.

Afin de bien replacer Allan Kardec dans son temps il est nécessaire de comprendre que les débuts de la révolution industrielle de la fin du siècle précédent sa naissance (XVIIIe) avait commencé à précipiter l’Europe dans un bouillonnement de nouvelles techniques, ceci en passant déjà par l’Angleterre puis quelques décennies plus tard en France et dans le reste du continent. Cette brusque accélération de l’histoire en terme de sciences et d’ingénieries, mais aussi de changement d’économies et de commerces, allait emporter dans son mouvement de modernisme ambiant un grand nombre de domaines dont ceux plus intellectuels, littéraires, artistiques et évidemment spirituels. C’est dans cette mouvance effectivement auparavant très progressive et lente que d’illustres initiés comme l’astrologue et mathématicien John Dee avait bien antérieurement ouvert la voie royale de l’occultisme et de la magie en conversant avec des anges, citons aussi l’incroyable scientifique mystique Swedenbord qui à la fin de sa vie était en relation avec des esprits et même avec dieu, ou bien encore plus proche Mesmer dont les bases du magnétisme et de l’hypnotisme ont pu commencer à dévoiler les secrets invisibles du fluide animal et vital. Il a donc existé des précurseurs importants dont les écrits avaient déjà pavé les marches d’une avancée spirituelle se détachant d’une orthodoxie religieuse chrétienne (et hébraïque) très peu encline à voir ses privilèges exposés au grand jour et sa doctrine concurrencée par d’autres discours plus révélateurs… C’est d’ailleurs un grand paradoxe que de voir le spiritisme rejeté par des dogmes religieux là où de multiples références divines sont expressément citées et confirmées par le spiritisme, ce que j’exposerai plus loin, mais peut-être que les tenants de la religion y ont justement vu une forme condamnable de nécromancie ou de sorcellerie…

Il faut savoir que le déclic du spiritisme d’Allan Kardec passe initialement par l’aventure surnaturelle des soeurs Fox aux USA, filles d’un pasteur, qui se disent alors en contact avec un esprit frappeur, l’esprit d’un homme disant (en répondant via des coups frappés dans le mur) avoir été assassiné dans la maison familiale et enterré dans la cave après que son corps ait été brûlé... La presse s’en étant emparée la nouvelle déclenche une immense ferveur "spiritualiste" après que des ossements ait été réellement découverts sur place, confirmant ainsi toute l’histoire bien que des soupçons demeurent après des révélations contradictoires et plusieurs voltefaces. Ce sont alors des millions d’Américains qui se passionnent pour le paranormal, lequel s’exporte rapidement d’abord en Angleterre puis en France avec Allan Kardec comme principal chercheur et surtout expérimentateur méticuleux. C’est donc en France que la terminologie exacte de "spiritisme" est codifiée précisément par Allan Kardec, elle utilise pour ce faire plusieurs méthodes qui passent toutes par un "médium", c’est-à-dire une personne apte à converser avec les esprits. Pour être plus précis évidemment ce ne sont pas les médiums qui parlent mais les esprits qui parlent au travers des médiums, ce point est important à noter puisque dès lors le médium n’est qu’un outil, un intermédiaire avec l’au-delà, en ce sens il rejoint de manière plus encadrée, bien que parfois violente, les transes chamaniques de certains sorciers vaudous qui conversent avec les ancêtres, mais sans avoir recours aux drogues associées à ce type de cérémonies rituelles.

Il existe principalement trois méthodes de spiritisme : le médium se laissant investir, "incorporer" par l’esprit qui utilise son corps pour s’exprimer directement de vive voix, de cette façon l’assistance note par écrit ce qui est dit, ce qui permet par la suite d’en analyser les réponses à un jeu de questions au préalable inscrites à l’ordre du jour. "Le Livre des Esprits" relate en plus de 1000 points ces questions-réponses avec une grande rigueur et surtout une très grande clarté sur "l’après-vie terrestre", ce à quoi je reviendrai ultérieurement, assurément une révélation pour ceux qui n’en auraient pas eu connaissance et dont je conseille la surprenante lecture, si explicite et fondatrice que le spiritisme apporte sur un plateau. Une deuxième méthode spirite consiste dans l’écriture automatique (ou aussi appelée psychographie), encore une fois un médium prête cette fois-ci sa main à un esprit qui rédige directement des réponses aux questions posées durant cet "entretien". Enfin, deux autres méthodes presque similaires car utilisant des objets comme intermédiaire avec l’assemblée, la fameuse séance de "table tournante", laquelle d’ailleurs ne tourne pas mais se soulève ou bien laisse entendre un bruit sourd (frappé) comme réponse à des questions simples de type oui ou non posées par les personnes qui sont autour de cette table (mains posées à plat dessus pour "faire passer le fluide"). Idem mais plus complexe avec la "planche ouija", une planchette gravée avec les lettres de l’alphabet et d’autre part un OUI avec un NON, ce qui permet à l’esprit de pointer une sorte de curseur en bois que plusieurs personnes de l’assistance touchent du doigt. Je laisserai de côté les émanations plus ou moins visibles de fantômes et d’ectoplasmes de tout bord qui me semblent très moyennement recevables car l’on doit aussi reconnaitre que cet engouement ait pu attirer un grand nombre de mystificateurs et d’escrocs profitant de la manne financière en promettant de revoir l’être aimé défunt et même de le prendre en photo (une technique alors aussi en plein essor).

Mais que nous dévoile donc de si important et même primordial le spiritisme ? Puisque c’est avant tout cet aspect qui est le plus intéressant et non forcément la méthode pour y arriver. Hormis le décorum de la mise en scène qui en elle-même est déjà une approche peu banale (et néanmoins potentiellement dangereuse), le spiritisme nous expose tout un univers inconnu, celui des esprits, non seulement celui des personnes décédées mais aussi d’esprits supérieurs qui d’une certaine façon gèrent plus ou moins, en laissant une part de libre arbitre, le passage de la vie à la mort, l’entre-deux du "monde astral" où résident les esprits, ce qu’ils doivent et peuvent faire, le secret de la réincarnation et des missions de vie successives, que la Terre n’est pas la seule planète où les expériences de vie se déroulent, que d’ailleurs les "corps" ou incarnations futures peuvent être très différentes de celles que nous avons actuellement. Toutes ces révélations se font naturellement durant les séances de spiritisme relatées par Allan Kardec et l’on comprend vite pourquoi ses livres (principalement "Le Livre des Esprits" et le "Livre des Médiums") ont eu tant de succès et continuent d’en avoir à ce jour avec des détails qui déroutent encore dans les réponses, notamment sur certains aspects karmiques et vibratoires remarquables, très en avance pour l’époque. Bien entendu, comme je l’ai laissé entendre l’Église déconseille vivement de s’adonner au spiritisme, pourtant bien des réponses des esprits semblent assez en phase avec une vision quelque peu "angélique" et divine, ce qu’Allan Kardec ne réfute pas non plus. Il en va moins d’un autre érudit pourtant très initié, de René Guénon pour ne citer que lui avec son ouvrage ("L’erreur spirite"), étonnamment critique à l’égard du spiritisme et de la plupart des occultistes de l’époque, il y voit effectivement un danger pour les personnes non averties qui pourraient être "sous emprise" d’un esprit malin (d’un djinn) car le spiritisme peut aussi appeler non seulement de bons mais aussi de très bas ou très mauvais esprits, et sur ce point je ne peux que rejoindre son avertissement certainement déguisé ici en une implacable et acerbe diatribe, certes d’une grande rigueur intellectuelle de sa part du fait de son immense culture ésotérique mais aussi paradoxalement d’une grande rigidité inhabituelle…

Qu’en est-il aujourd’hui du spiritisme d’Allan Kardec ? D’excellents continuateurs (ou dans le même esprit) à citer comme Léon Denis (à lire "Dans l’invisible" 1903), Johannes Greber ("Le livre mystérieux de l’Au-Delà" ed. 1932 et seulement traduit en Fr. depuis 2005), ou bien ce livre incroyable : "Dialogues avec l’Ange" de Gitta Mallasz. On peut dire sans conteste que la doctrine kardéciste a marqué des générations d’ésotéristes et d’occultistes qui ont essaimé de par des réseaux différents mais adjacents, par exemple la théosophie moderne d’Helena Blavatsky (mixte de la théosophie métaphysique chrétienne de Jabob Böhme) qui selon moi s’y référence assez directement, ou bien aussi de l’anthroposophie de Rudolf Steiner plus récente et à l’origine de la vague du New Âge et de ce que l’on appelle de nos jours le Channelling qui n’est rien d’autre qu’une méthode d’auto-spiritisme, le médium est ici "un contacté". En aparté, il existe même la transcommunication, une méthode utilisant des appareils électroniques pour écouter les défunts (radio) ou les percevoir (télé). Mais assurément le pays qui actuellement a su perpétuer le mieux la doctrine spirite, devenue une véritable religion, c’est le Brésil qui est cher à mon coeur et dont Chico Xavier a été le plus digne représentant comme l’un des plus grands médiums de tous les temps, de très nombreux centres cultuels spirites et associations kardécistes pratiquent assidument la doctrine d’Allan Kardec avec des spécificités allant jusqu’à la chirurgie spirituelle aidée par des esprits-médecins ou des hôpitaux faisant appel à des médiums pour des diagnostics thérapeutiques !

J’espère vous avoir exposé à sa juste valeur l’immense et crucial travail d’Allan Kardec et l’histoire du spiritisme, je vous recommande bien entendu de lire les ouvrages de référence qui font autorité et dont j’ai parlé. Dans cette optique je reste à votre disposition pour répondre à vos questions dans le cadre de mon activité de chaman professionnel en exercice, notamment pour vous aider à résoudre des problématiques complexes via des rituels adaptés à votre situation. N’hésitez pas à me joindre au 06.09.11.94.56 (numéro direct et non surtaxé) ou bien à m’écrire depuis mon formulaire de contact qui s’ouvre en cliquant sur ma bannière de site qui est ci-dessous. Je vous dis à très bientôt, bonne lecture d’Allan Kardec et de mes autres articles (sur la colonne de droite de ce blog) qui pourront aussi certainement vous intéresser !

Jean-Pascal Bruno, chaman professionnel

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