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Blog chaman ésotérisme

Blog chaman ésotérisme

Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

marabout

Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #Chaman, #marabout, #sorcier, #Esoterisme, #haute magie, #ensorcellement, #exorcisme, #ombre et lumière, #Rituels de magie

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

On aura beau dire, à notre époque le simple quidam se sera tout de même senti un peu magicien depuis la sortie d'Harry Potter bien qu'il ne sache finalement strictement rien des véritables rituels et autres lois ésotériques qui régissent notre monde d'ici-bas, et bien au-delà… Pourtant la vulgarisation cinématographique, sans qu'elle apporte néanmoins plus de clarté dans la véritable pratique (bien au contraire) aura su assez bien entrouvrir les portes romancées de cet univers secret et complexe aux plus profanes, avec effectivement l'attrait de belles images et de jolies histoires parfois mêlées d'un suspens terrifiant parfaitement entretenu pour marquer les esprits aisés à distraire. Mais l'arbre cachant la forêt, dans la réalité les dangers sont légion, non seulement pour ceux qui s'aventurent en territoire inconnu, pensant faire apparaitre des entités fabuleuses et gentilles avec leurs petites baguettes magiques de bois, mais aussi pour ceux qui cherchent des praticiens dans le but de leur soumettre leurs trop difficiles questions existentielles ou leurs problèmes quotidiens trop lourds à porter et à résoudre. Le fossé est en effet abyssal entre l'illusion créée par une vision onirique de la magie et sa rude et stricte pratique qui ne pardonne absolument pas, ni au trop naïf qui y verrait un exutoire simple et facile, ni au trop ambitieux qui en exigerait ou rechercherait avidement un pouvoir exubérant, une gloire personnelle démesurée et toute la richesse du monde…

La réalité ésotérique de l'occultisme (ou plus généralement de l'herméneutique des codes magiques) se place dans une sorte de très astucieux "juste équilibre secret" au sens très précis que tout écart sera irrémédiablement sanctionné, que toute erreur aura des répercutions incalculables pour celui qui n'entrevoit que sa propre personne dans l'exercice de son art, car s'en est un, celui de constamment jongler au bord du précipice, entre d'un côté une dimension infernale qui n'attend qu'une petite baisse vibratoire pour dévorer l'apprenti sorcier maladroit ou trop orgueilleux, de l'autre l'extrême rigidité d'entités supérieures garantes du bon fonctionnement des rouages de l'ensemble de l'univers ne laissant légitimement pas celui ou celle qui s'élève un peu trop afin qu'il ne se désintègre pas dans ce flux irradiant de vérités impossibles à regarder en face, et encore moins à comprendre… N'oublions pas que notre dimension terrestre se trouve à ce redoutable carrefour, où, pour pouvoir l'emprunter, il faut avoir le bon "véhicule" (moyen pour progresser spirituellement) mais aussi en reconnaître les orientations pour ne pas se tromper de direction sur sa propre voie karmique à suivre. N'est pas maître en la matière qui le veut seulement.

De fait, certains se définissent sorciers, ce qui d'ailleurs et en ce sens reste assez peu explicite et troublant puisqu'il en existe de nombreux ordres qui pratiquent assurément dans des directions différentes, voire opposées, à savoir, du zénith au nadir : pour le bien (d'orientation néguentropique et altruiste) ou inversement pour le chaos (résolument tourné vers l'entropie du monde, et pour soi-même). Une multitude de variations ou de niveaux peuvent aussi coexister de manières complémentaires avec des capacités et connaissances tout aussi diverses qu'habituellement et plus anciennement cloisonnées dans des catégories de pratiques bien définies, ce qui constitue finalement de nos jours un très large éventail de types de praticiens. Faut-il d'ailleurs nommer par le même vocable de "sorcier" le druide, le mage, le démoniste, le nécromancien, le théurge, le chaman, ou pire, le simple marabout ? Dans la langue triviale du profane tous ces sorciers se confondent aisément et c'est ici un danger que de ne pas savoir les différentier avec soin ou avec sagesse si l'on en possède un tant soit peu car il en faut pour ne pas se faire duper par certains de ces sorciers qui peuvent parfois dissimuler leurs réelles capacités de nuisance avec une trop habile gouaille mêlée à une fausse culture piochée au hasard dans les écritures dites saintes. Il faudrait même d'autant plus se méfier qu'un sorcier ose trop ostentoirement revendiquer sa pratique magique au nom d'un Dieu, d'un saint ou d'un prophète, sachant qu'alors il dissimule assurément sa vraie nature puisqu'il "mélange" (principe satanique "solve") ce qu'il est coutume d'appeler le bon grain de l'ivraie.

Dans cette perspective de mise en garde, le plus dangereux de tous mais aussi le plus dissimulateur de tous sera celui qui s'intitule avec exubérance comme "marabout", souvent avec l'attribut de "Chérif" (descendant direct de Mahomet… ou avec le titre honorifique de "sidi" ou maître) car l'on ne pourra y voir qu'une double et sournoise traitrise : premièrement celle d'exercer (si c'est le cas) en dehors de ses terres coraniques sacrées (où loin de la proximité de sa mosquée qui aurait permis qu'il soit probablement un érudit religieux rattaché officiellement à ce lieu) ce qui d'emblée laissera apparaitre un doute réel s'il exerce dans nos contrées en dehors d'édifices strictement consacrés à l'Islam, puisque c'est sa religion d'appartenance; secondairement mais pas des moindres : la pratique de la magie est durement réprouvée par le Coran, par conséquent un sorcier "marabout" qui proposerait des sorts, des envoûtements, inversement des désenvoûtements ou diverses potions peu orthodoxes, serait en totale disgrâce au regard de sa propre religion, ce qui ne serait pas du tout bon signe si en plus il "tentait d'aider" une clientèle d'une autre confession religieuse. Dans ce contexte précis, le marabout ne pourra être qu'un charlatan, un homme de peu de foi et certainement soit un inculte des écritures dont il se revendique, soit un faussaire de celles-ci dans sa pratique, avec comme autre revers celui de corrompre indirectement toutes les personnes qu'il côtoie dans son exercice en prêchant une parole dissolue et tordue, donc parfaitement négative et terriblement nuisible…

Notons enfin que le terme arabe initial pour marabout est "mrabet", c'est-à-dire "soldat", un soldat forcément rattaché exclusivement au dogme de son pays ou de sa contrée islamique, et donc une sorte de mercenaire religieux qui tentera un prosélytisme forcené sur toute personne l'approchant puisque c'est son rôle que de vaincre les autres religions et de chercher à convertir de force s'il le faut. Même si d'apparence dans son discours le marabout, qui s'est présenté comme tel, n'apparait pas pour ce qu'il est, c'est qu'il est d'autant plus dangereux dans la dissimulation de ses intentions véritables : convertir et nuire aux autres dogmes, utiliser la tentation d'un discours faussé pour arriver à toutes ses fins. À l'opposé de cette démarche se situe le chaman qui respecte humblement et sereinement chaque homme et voit en lui le fruit de la mère Nature, de Gaïa la Terre dans son ensemble sans dissociation de dogme puisque c'est à l'Humain qu'il parle, aux forces telluriques et aux entités des esprits de ces mêmes ancêtres humains qui pourront venir en aide à qui le demande instamment.

Le chaman n'est pas un soldat, c'est un "medecin-man", un soigneur des maux du corps et de l'esprit, un éveilleur spirituel puissant qui apporte une sagesse d'ordre holistique à ceux qui la recherchent et qui grâce à lui la trouve le plus souvent par son intermédiaire au plus profond de leur âme et sans en être forcé par d'autre volonté que la leur propre. Chaman et marabout sont donc plus que différents, ils s'opposent assurément dans la conception même de leur expérience, de leur pratique et de leur savoir : pour l'un, véritables Connaissances ancêstrales de portée universelle, positive et altruiste, pour l'autre une trahison des écritures qu'il déclame sans en comprendre ni la portée ni le sens, ceci au seul profit de vouloir duper celui qui vient à lui pour demander de l'aide mais qui sera au contraire corrompu par tant de malice et de fausseté. Le marabout est effectivement un sorcier, si l'on veut lui attribuer ce terme générique, mais avec un adjectif qui le définit bien mieux : un "sorcier nuisible", à ne pas côtoyer !

Dans le cadre de mon activité professionnelle ou bien si vous avez des questions sur le thème de cet article (ou d'un autre, voir la liste sur la colonne de droite du blog), vous pouvez me contacter ci-dessous très facilement. À très bientôt !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel.

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #marabout, #Esoterisme, #occultisme, #magie africaine, #guérisseurs, #marabouter, #mise en garde

Personnellement je n’ai rien contre les marabouts, ces sorciers africains tribaux, mais je vais expliquer pourquoi il est risqué de se faire marabouter en occident et plus précisément en France. Il faut déjà bien savoir qu’il existe deux sortes de marabout, le premier est un ascète religieux, celui-ci étudie le Coran mais n’exerce aucune magie car cela est d’ailleurs strictement déconseillé et assez bien stipulé dans les Écritures (et les savants musulmans ont condamné unanimement la magie), le deuxième est un sorcier qui assure exercer une certaine magie en totale infraction avec les convictions qu’il dit avoir en suivant les Écritures auxquelles il se réfère généralement, il y a donc un premier problème déterminant assez simple à comprendre à ce niveau… Pour résumer, deux marabouts : d’un côté un véritable croyant et un exégète savant respecté chez lui, de l’autre un sorcier mystificateur qui emprunte aux textes sacrés la substance dont il se revendique alors qu’elle en interdit formellement sa pratique. La différence est donc fondamentale mais il fallait en quelques mots déjà bien la rappeler à ceux qui ne le savaient pas encore pour qu’il n’y ait aucune confusion possible. Ceci dit, la problématique du marabout-sorcier s’amplifie encore lorsqu’il se clame guérisseur ou professeur au nom de ses propres ancêtres tribaux, ce qui ne serait pas une polémique en soi dans son pays et au sein de son propre clan mais ceci devient effectivement strictement inapplicable en dehors de son cercle restreint, d’autant plus en dehors de son pays d’origine. Les coutumes des uns n’étant ni compatibles ni transposables dans toutes les contrées du monde et encore moins dans un occident riche de ses propres solides traditions ésotériques ou occultistes. C’est le sens de cet article, non pas d’attaquer le maraboutage d’Afrique (de l’ouest subsaharien, région de sa principale activité) mais d’en comprendre que son exercice typique n’est non seulement pas du tout adapté en dehors de son continent initial mais surtout aussi totalement inefficace ou voire dangereux en dehors de sa propre zone géographique et culturelle.

Inefficace, le marabout "guérisseur" car s’il avait sauvé de la maladie des "patients" dans nos pays cela se saurait et nous serions tous en train de boire des décoctions d’écorces et de prier les ancêtres du marabout pour nous sauver. Bien entendu il est plus que probable que certaines herbes locales soignent de la diarrhée ou de la fièvre dans les tribus africaines éloignées des centres-ville et que ces problèmes de santé soient gravissimes dans ces contrées démunies de tout où le moindre petit bobo peut hélas dégénérer en s’aggravant et même aboutir à une mort certaine. L’on comprend alors mieux la ferveur et la dévotion des habitants de ces villages pour leurs marabouts locaux s’ils peuvent soulager ces maux qui chez nous se résolvent en quelques heures avec un comprimé d’aspirine ou d’imodium. De même, pour des maladies bien plus terribles comme le cancer, l’on n’a jamais vu ni connu aucun cas sérieux de guérison en passant par un marabout, certainement aussi parce que les "patients" qui l’ont testé ne sont plus là pour en parler, ayant rejoint bien vite les ancêtres invoqués par ce même marabout, au doux pays des morts… Sur ce point donc aucun mystère mais que des certitudes, celles qu’il vaut mieux passer par un médecin sérieux que de passer de vie à trépas dans les mains d’un marabout guérisseur. Donc "exit" le guérisseur qui maraboute des clients plutôt qu’il ne soigne des patients !

Inefficace, le "professeur" marabout ou le "maître" marabout. Les titres, de maître et professeur, ont un sens bien précis dans nos sociétés occidentales bien structurées, mais apparemment ils ne doivent pas avoir la même signification pour le marabout qui s’en octroie plus le symbole d’un statut personnel que la valeur qu’il préconise vraiment, il faut donc se méfier des adjectifs qui font partie du décorum auto-attribué plus que de l’autorité légale que l’on attendrait d’un professeur ou d’un maître, d’autant plus que le marabout se dit voyant ou médium mais ne joue pas trop dans le didactique professorale dans ses propos toujours peu clairs ou très hypothétiques… Donc "exit" le professeur et le maître, surtout s’il s’arroge de superlatifs d’autant plus douteux : Grand Maître Marabout ou Grand Professeur Marabout, nous ne sommes pourtant ici ni au prestigieux Collège de France ni au Grand Orient chez les frères trois-points de la rue Cadet. Notons au passage que nos doctrines, savantes, académiques ou bien plus ésotériques et maçonniques, peuvent en toute légitimité historique user des titres que je viens brièvement d’exposer. Il n’y a assurément pas de mal à remettre d’aplomb les mots exacts pour ce qu’ils sont et d’en écarter illico le dévoiement de leur utilisation par des usages trompeurs et forcément malhonnêtes. Trop de personnes profanes ne font plus attention au sens premier des mots; l’afflux d’information généré par nos réseaux dits sociaux n’arrange rien et même aggrave la situation avec des non-sens, des fake-news, des déviations et des approximations, dans cette perspective nous ne sommes pas loin de l’univers dystopique de George Orwell qui dénature et même inverse le discours et le langage commun.

Risqué, et même dangereux, ce même marabout qui dit vouloir vous aider. La seule certitude en allant voir un marabout est qu’il va "vous marabouter" et non s’occuper de votre problème, et c’est l’unique méthode en sa possession que de vous persuader, en montrant le Coran comme preuve, qu’il va agir pour votre bien. Or, et je l’ai souligné précédemment, les Écritures condamnent la magie des marabouts, alors comment ceux-ci pourraient se prévaloir d’un savoir qui n’autorise pas leur pratique ? Pour entrer un peu plus dans les détails, un marabout n’utilise que la référence à ses propres ancêtres locaux, il tente de puiser dans une force de mort, laquelle qui plus est, va à l’encontre de la croyance de ceux qu’il dit aider, ce n’est tout simplement pas possible. Le marabout n’est rien d’autre qu’une sorte de nécromancien (transcription dans notre terminologie occidentale) faisant appel à ses propres croyances, à ses références culturelles qui ne sont pas les nôtres ici en Occident, à ses auxiliaires qui ne sont rien d'autre que des "djinns" (des "démons" dans notre terminologie). Le risque principal est donc d’aboutir à une interprétation erronée de la problématique soumise par une personne dans le besoin, car cette interprétation n’est pas basée sur votre culture profonde mais sur celle du marabout d’Afrique qui ne jure que par ses ancêtres locaux décédés et par des sbires démoniaques, lesquels ne sont assurément pas les vôtres. Il n’y a néanmoins aucun conflit culturel à avoir, chacun est libre dans ses choix et ses cultures, il y a juste un conflit d’identité culturelle ésotérique, cela n’est pas du tout la même chose, l’on n’impose pas une culture différente à autrui, d’autant plus si l’on utilise une "magie locale" qui n’a aucune référence ni méthode adaptée pour le consultant. La dangerosité réside donc dans cette inadaptation entre les moyens et la problématique généralement soumise, ce décalage culturel et identitaire d’une magie pouvant dénaturer l’essence même de la personne qui consulte par ce déphasage spirituel, lequel impose beaucoup plus qu’il ne sait résoudre.

Ce "maraboutage" correspond donc à une prise de contrôle sur la personne consultant par le marabout qui use de sa magie pour lui-même et pour ses ancêtres dont il perpétue la mémoire, et non pour le bien de celui qui n’est pas de son clan ou de son village, encore moins de sa culture si celle-ci est occidentale… Concevoir que le marabout de tel village en Afrique puisse exercer sa magie ancestrale dans son village semble logique, mais qu’il exporte (pour ne pas dire colporte) sa magie spécifique d’un autre temps et dans d’autres lieux semble totalement inadapté voire risqué. A chaque outil sa spécification, l’on n’enfonce pas un clou avec des aiguilles à tricoter et l’on ne tricote pas avec un marteau. De même, les magies occidentales et les diverses formes d’ésotérismes qui en résultent ne sont pas compatibles avec des magies typiques et locales, notamment les magies purement africaines issues des marabouts subsahariens. Le marabout se dit aussi sorcier dans le sens d’une sorcellerie orientée vers ses ancêtres avec cette pointe de nécromancie dont je parlais, il n’en va pas de même des sorciers occidentaux qui n’utilisent pas les mêmes flux, ni les mêmes méthodologies dans les rituels. Là où le marabout parle d’un "travail", il sait qu’il va travailler sur vous, contrairement au sorcier occidental qui va effectuer des "travaux" avec vous, toute la différence est ici subtile mais reste bien évidemment fondamentale quant au résultat. D’un côté la magie du marabout "vous changera" car vous serez le problème à gérer, de l’autre la magie occidentale changera votre contexte pour qu’il s’adapte à votre demande et à votre problématique.

Comme d’habitude un simple article ne serait approfondir une thématique aussi complexe et même polémique à souhait puisque chacun verra midi à sa porte, mais j’ai ici présenté un point de vue très largement partagé par la majorité de ceux qui exercent ce métier lié à l’ésotérisme et à l’occultisme pour une magie opérative plus ouverte sur le monde et respectant avant tout la volonté de la personne consultant pour son unique bien, c’est en ce sens que moi-même je conçois mon métier de sorcier-chaman exerçant en France depuis maintenant plusieurs décennies avec pour seul but de vous expliquer la valeur d’une Connaissance qui est universelle et donc qui se doit d’être partagée selon le niveau de chacun. Je reste à votre disposition pour toute question sur le sujet abordé ou sur un autre (voir les articles sur la colonne de droite de ce blog) sans oublier que vous pouvez me soumettre vos propres problématiques en sachant que je réponds à tous les messages si ceux-ci sont complets et précis. Pour ce faire merci de me joindre via mon formulaire de contact (qui s’ouvre en cliquant ma bannière web ci-dessous) ou bien en me téléphonant directement au 06.09.11.94.56 (numéro direct et non surtaxé). Je vous souhaite une bonne journée et à très bientôt lors de notre prochain contact (inscrivez-vous si besoin à ma newsletter pour être au courant des prochains articles édités).

Jean-Pascal Bruno

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