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Blog chaman ésotérisme

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Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

entites benefiques

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Lorsque l’on parle d’Égrégore généralement un grand silence advient dans l’assistance, que l’on soit entouré de personnes profanes, c’est-à-dire relativement moins averties en matière d’ésotérisme, ou bien que ces mêmes personnes soient au contraire déjà assez avancées sur le chemin d’une initiation occulte, voire déjà praticiennes expérimentées de l’Art Royal que représente la haute magie opérative. C’est en effet que le terme intrigue et même inquiète assurément les néophytes car il résonne avec force et grande autorité; idem pour les initiés, ils en savent trop pour ne pas ignorer toute la puissance des Égrégores, ce terrible jeu d’ombres invisibles qui se cachent dans des dimensions qui ne sont pas nôtres, ils connaissent en effet ces émanations trop souvent incontrôlables et dangereuses, d’autres fois plus malléables ou conviviales se laissant créer ou maitriser si l’on en a conjointement le savoir-faire ainsi que le don et la véritable Connaissance. Il s’agit effectivement, lorsque l’on parle d’Égrégore, d’un phénomène crucial en ésotérisme, d’un des grands mystères que l’on cherche à taire ou à cacher au commun des mortels de peur qu’ils ne s’alarment à la moindre pensée furtive un tant soit peu déplacée ou secrète…

Car c’est justement de "pensée" dont il s’agit, ou plutôt de ce que certains ésotéristes appellent "forme pensée", d’autres y voient la manifestation d’une "entité artificielle" créée par l’ensemble des idées résiduelles ou fixes qui nous passent par la tête, autant dire que l’Égrégore nait de nos pensées, qu’il s’en nourrit et grandit autour de cette pensée, qu’il en devient à la fois autonome en passant d’individu en individu mais aussi dépendant puisqu’il puise sa puissance de nos affects, de nos désirs, de nos idéaux mais également de nos traits d’esprit, de nos théories intellectualisées, de nos sentiments, bons ou mauvais… Dans ce sens, l’Égrégore formera cet agrégat invisible de tout ce qui émane de nos esprits, il sera personnel ou collectif, il sera "dans l’air" comme l’idée que l’on croit soudain pouvoir attraper alors que c’est lui qui vient à nous et peut-être nous impose sa Loi et ses préceptes.

En magie et durant les rituels ce sont aussi des "formes pensées", des symboles actifs, qui seront à l’œuvre pour passer de notre volonté bien orientée (la "pensée magique") à une dimension intermédiaire qui en prendra note pour ensuite "rebondir" sur notre monde, à notre niveau de réalité. D’où l’importance essentielle de bien non seulement comprendre le phénomène mais aussi, pour l’initié, d’en user lors des travaux de magie qui opèrent via divers rituels spécifiques. Expliquer le fonctionnement intime des rituels est impossible, d’une part car l’on ne peut pas démontrer ce que l’on ne peut pas voir ou quantifier de manière logique, d’autre part parce que le phénomène n’obéit pas toujours strictement à notre volonté, sauf si justement l’on sait dompter ou apprivoiser les "mondes intermédiaires" (comme le dirait le célèbre ésotériste René Guénon [1]) et ses très diverses entités, dont les Égrégores qui en constituent une partie importante et plus facilement "saisissables et intelligibles" que les entités autres, plus basses et beaucoup moins coopératives comme les démons, assurément négatifs, ou des entités plus hautes qui, mêmes extrêmement positives, ne pourront absolument pas transgresser les Lois Karmiques qu’elles doivent suivre à la lettre et pour lesquelles elles existent de par leur intrinsèque nature plus céleste.

En parlant de "Triple Égrégore d’Envoûtement" la haute magie nous enseigne qu’il est justement possible de dompter avec sagesse, rigueur et subtilité ces "formes pensées", du moins trouver une association cohérente de rituels très ciblés pouvant orienter leur puissance, notamment dans un domaine à la fois important dans l’existence et foisonnant en termes d’idées fortes et de pensées récurrentes : dans l’immense et incontournable domaine de l’Amour. Sur ce terrain extrêmement prolifique des relations amoureuses coexistent pêle-mêle tous les paramètres essentiels dans chacun de ses principaux retranchements, à savoir : au niveau psychique (de l’équilibre d’attraction entre "désirer et être désiré"), au niveau affectif (de la gestion de l’ensemble des sentiments amoureux) et au niveau sexuel (de la tension exercée par la libido sur le corps). Ainsi toute la gamme existentielle humaine se trouve incluse dans ces trois sphères formant le socle d’un solide trépied, sous la forme des espérances, des perspectives et des besoins concrets en termes d’amour. Agir sur ces trois axes primordiaux c’est agir sur l’ensemble du domaine, exercer une série de rituels s’orientant sur ces mêmes trois axes c’est se garantir d’une action complète lors de travaux de magie bien temporisés, successifs et interdépendants, lesquels sont effectués en général en groupe avec des assistants qualifiés (de trois à cinq en ce qui me concerne, et, par ailleurs pour un maximum de treize personnes mais uniquement en "coven" [2] lors de cérémonies strictement wiccanes).

L’appellation exacte de "Triple Égrégore d’Envoûtement" s’explique donc par l’élaboration de travaux de magie sous l’effet exclusif de cette triple orientation avec trois types de rituels généralement issus de la magie rouge (magie générique de l’amour, des sentiments, du désir et de la sexualité); mais parfois, en ce qui me concerne, il m’arrive d’adjoindre si besoin des rituels annexes et complémentaires si leurs action ritualistique le confère, à savoir via la magie blanche qui permet un assouplissement psychique en apportant l’énergie nécessaire (à des fins de constante et ferme volonté durant les travaux) ainsi qu’une part de protection de l’ensemble du processus, lequel, je le répète, pourra s’avérer assez long sur ses trois phases successives pour un résultat optimum, en moyenne un mois pour chacune des étapes. Deuxième terme important, celui qui n'est pas toujours compris immédiatement par la personne qui demande les travaux : "l’envoûtement". Il s’agit ici effectivement du terme technique en la matière, il est issu des "katadesmos" [3], c’est-à-dire des "tablettes de défixion" de l’antiquité (en Grèce) qui avait pour but principal de s’attribuer l’amour d’une personne (ou d’en rejeter les avances, d’en éloigner la concurrence, parfois aussi de satisfaire une vengeance amoureuse…).

En ajustant sur l’aspect psychique d’une personne pour en définir l’exact profil, en captant le meilleur levier affectif de cette même personne et en exerçant une pression sur sa libido, les travaux bien menés de bout en bout auront cette puissante faculté d’associer trois Égrégores complémentaires pour un résultat difficile à déjouer sur ces trois axes car tous complémentaires et entrelacés dans la psyché humaine. Comme si cela ne suffisait pas, et dans un but d’ultime renforcement en fin de travaux j’utilise parfois une légère touche de magie noire mêlée à la magie rouge, ce que communément l’on appelle en termes d'élaboration mixte une "magie pourpre", ceci aboutissant à la plus puissante combinaison de rituels d’amour ! Bien évidemment le "Triple Égrégore d’envoûtement" se doit d’être adapté à chaque personne demandeuse (et à sa cible) ainsi qu’un contexte précis qui se présente; dans ce sens je reste à votre disposition pour en discuter librement avec vous selon le but que vous recherchez pour en établir le meilleur processus complet !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

Note [1] René Guénon : Ésotériste et philosophe orientaliste français  René Guénon, né le 15 novembre 1886 à Blois, en France et mort le 7 janvier 1951 au Caire, en Égypte, est un auteur français, « figure inclassable de l'histoire intellectuelle du XXᵉ siècle ». Il a publié dix-sept ouvrages de son vivant, auxquels s'ajoutent dix recueils d'articles publiés à titre posthume, soit au total vingt-sept titres régulièrement réédités. Ces livres ont trait principalement à la métaphysique, au symbolisme, à l'ésotérisme et à la critique du monde moderne. (dixit Wikipedia)

Note [2] Coven : Un coven (mot anglais) désigne, dans le contexte du néopaganisme anglo-saxon, une réunion de sorcières, ou par métonymie leur lieu de réunion habituel. Un Coven Wicca est considéré comme une petite société véhiculant les croyances sorcières établies dans la religion wiccane et dans laquelle on partage des connaissances théoriques et pratiques sur les arts de la magie et de la sorcellerie. L'utilisation de ce terme, dans sa forme actuelle, est associé aux seules personnes pratiquant le culte de la sorcellerie. (dixit Wikipedia)

Note [3] Katadesmos : Une tablette de défixion (defixio en latin/ katádesmos en grec ancien), appelée aussi tablette de malédiction ou tablette d’envoûtement, il s'agit du type d'objet le plus répandu qui nous soit parvenu de la magie antique. L’objectif habituel de la défixion est donc de soumettre un autre être humain à sa volonté, de le rendre incapable d’agir selon son propre gré. », pratique dorénavant appelée envoûtement. (dixit Wikipedia)

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Avant d’entrer d’emblée dans le sujet pour comprendre, connaitre, puis enfin résoudre des problèmes de relations amoureuses (visibles ou sous-jacentes), il est assurément important d’élargir le contexte en ne partant pas uniquement des individus mais surtout du chemin sinueux qui les a porté non seulement à se rencontrer mais aussi à suivre les contraintes anciennes et présentes qui permettent de bien mieux définir la réelle et complexe sphère agissante qui dirige leur vie. Cette importante "sphère d’information" est elle-même sous influences d’autres types de contraintes extérieures multiples, de décisions périphériques à leur propre histoire mais ayant une incidence réelle. Enfin, cet ensemble est lui-même soumis à de grandes lois universelles supérieures non écrites (celles qui sont d’un ordre plus hermétique, à savoir karmique). L’Histoire elle-même, avec un grand H, fait aussi partie intégrante des paramètres à suivre selon un déroulement structuré pour en comprendre les effets, diverses répercutions et conséquences sur les individus, sur ce point l’exemple sociétal abondamment théorisé et le plus explicite bien que déjà ancien pour le sujet qui pourrait nous intéresser serait celui de ladite "libération sexuelle" d’après mai 68 et des mouvements sociaux en France (et ailleurs dans le monde par ricochet jusqu'à aujourd'hui) qui en ont résulté. Mais, sans vouloir trop compliquer une situation déjà multiforme, évolutive et non formelle, chacun sera aussi plus ou moins réceptif à l’ensemble de ces changements et de ces diverses contraintes, ce qui modèrera (sans simplifier pour le moins) toute démarche uniforme et trop généraliste pour en tirer de trop rigides conclusions.

Pour résumer clairement et pouvoir ainsi commencer à mieux cerner génériquement le problème et y répondre : nous avons ici en place une sphère contextuelle très structurée ayant au moins quatre grands paramètres qui jouent sur l’humain : spatiaux (pays et traditions, lieux, déplacements, etc.), temporels (dates importantes, histoire personnelle, mouvements Historiques et politiques, etc.), la prise de conscience de l’intéressé lui-même face à ces paramètres avec son essentielle rétroaction (1) psychique (réponse à l’ensemble des affects, subis, acceptés ou rejetés, voire neutralisés, qui accentuent ou modèrent les causes et/ou les effets), enfin et pas des moindres, l’influence décisive mais discrètement induite (notoirement invisibilisée au profane) d’un niveau supérieur axé sur la mission de vie et la part d’orientation karmique (2) avec ses épreuves (initiatiques et existentielles), sa route (sa destinée) et ses chaines (selon dette karmique, positive ou négative). Une fois que ces éléments sont préalablement posés nous pouvons commencer à travailler pour connaitre une situation dans le cadre d’un contexte réel proche d’une vérité sensiblement objective et bien cernée, notamment en ce qui concerne ici plus précisément ce qui nous intéresse : les relations amoureuses et leurs problématiques, lesquelles sont souvent, par essence comme nous le savons, relativement compliquées à comprendre et à aborder…

Afin de comprendre spécifiquement la relation amoureuse qui lie deux personnes, commençons par vérifier les potentiels points de frictions, c’est-à-dire les points qui pourraient s’opposer à cette relation ou la rendre plus difficile. La tradition de chacun : il est clair que deux individus n’ayant pas les mêmes bases sociétales, religieuses, ou traditionnelles auront plus de mal à "s’identifier dans l’autre" et donc à y percevoir les essentiels points communs pour s’apprécier d’autant plus. Ne dit on pas qui se ressemblent s’assemble ? Ce n’est heureusement vrai qu’en partie, sinon personne ne serait en couple tant nous sommes tous différents, ce qui est aussi un élément non pas à charge mais à l’avantage de ceux qui s’unissent que de revendiquer des différences pour les apporter, les offrir, à l’autre. Voyons d’ailleurs immédiatement dans cette "offrande" un véritable rituel à part entière et au sens strict, même si cela n’est pas visible ou ressenti comme tel pour un profane, elle l’est déjà parfaitement identifiée comme telle pour un initié ! D’offrande à sacrifice, il n’y a qu’un pas qui n’aura pas échappé à la sagacité intellectuelle et ésotérique pour relier deux concepts véritablement clé en magie opérative afin d'effectuer des rituels puisqu’une demande ritualistique se base à la fois sur l’élaboration orchestrée d’appels symboliques (demandes, prières, invocations, communications, etc.) et de dons qui sont multiples. La notion de don peut être de deux types : matériel (un objet usuel ou plus symbolique, une mèche de cheveux, une sécrétion sexuelle, du sang, des animaux, des plantes, etc.) ou bien des dons immatériels : ne serait-ce que le temps de cérémonie et de méditation, des pensées imagées (puissance de la volonté), des paroles répétées (mantra), des symboles tracés puis utilisés (brulés rituellement, dissous alchimiquement, enterrés, lavés, déplacés ou orientés, etc.).

"Savoir, Oser, vouloir, se taire", résume clairement aussi l’action de la volonté d’agir magiquement selon l’ésotériste mage Eliphas Levi (3) qui en définit ici des principes à suivre qui parlent d’eux-mêmes sans avoir à approfondir longuement. Ce que l’on pourra utilement en retirer de sagesse ésotérique c’est qu’effectivement avant toute action, comme dit précédemment, il sera nécessaire de savoir, de comprendre et d’analyser un tant soit peu la situation et le contexte réel avant tout travail de magie, ceci semble une évidence. Oser, demande que l’on dépasse certaines limites, notamment les habitudes lorsque l’on est "en demande" puisque ce n’est qu’en rupture (légère ou radicale) de son mode de vie ou de penser que l’on pourra aborder un changement, ceci aussi tombe sous le sens, il n’y a que ceux qui ne tentent rien qui ne gagnent pas au change. Enfin, "vouloir" apporte la clé indispensable, tant de la part du demandeur que du praticien, en effet rien ne se fera sans une volonté" préalable à l’acte, que ce dernier soit d’ailleurs concret et profane ou plus ritualistique et ésotérique. De plus, pour les initiés la volonté représente aussi une "matière subtile" à part entière qui se transmute et entre en sublimation pour transformer la réalité et changer le cours des choses… Se taire ensuite, car la notion de secret développe une puissance occulte participant à l’appel de forces invisibles qui ne veulent ni être nommées ouvertement à tout vent, ni être même pensées ou représentées à un niveau profane, ce qui serait alors littéralement une profanation d'un rituel en cours, une dégradation des effets attendus et enfin une terrible offense envers les entités en présence ou ayant participé aux travaux.

Vouloir améliorer une situation amoureuse compliquée et qui pourrait dégénérer, voire aboutir à une rupture, c’est donc mettre en oeuvre toute un complexe processus à la fois long, énergétiquement parlant assez lourd à supporter, rigoureusement échelonné selon des principes et des concepts à suivre à la lettre, et enfin avec la plus grande discrétion qui soit, voire avec un secret absolu si besoin. Il est clair, net et précis que dans ces termes seuls les professionnels auront assez de connaissances ésotériques et magiques, d’expertise dans l’expérience en la matière et en l’esprit du don de pouvoir obtenir des résultats satisfaisants ou significatifs. Sans oublier la notion de tempo, de séquençage des rituels, des appels aux bonnes (ou plus spécifiques) entités et des modulations ou ajustements à effectuer souvent en temps réel : aucun profane en activité dans un monde lui aussi profane n’en aura la pleine capacité, le temps, le savoir-faire, l’énergie et la volonté affirmée selon les principes évoqués précédemment. Bien au contraire, en exposant ici très sommairement les notions ritualistiques, il est strictement déconseillé de tenter d’effectuer seul pour soi-même des rituels de retour d’affection ou d’autres d’ordre de la magie rouge, cela serait à coup sûr dommageable pour la situation et pour celui ou celle qui opère sans les bons outils ni les connaissances requises. Ceci ne signifie pas qu’un profane puisse tout de même s’intéresser à ces problématiques hermétiques, qu’il en étudie les concepts et qu’il puisse, à son niveau, en récolter quelques fruits positifs par une attitude lui permettant d’entrevoir une certaine sagesse de l’amour pour que sa relation de couple en soit réellement bonifiée. N’oublions pas que le libre arbitre allié à la volonté, bien orientée et persévérante, seront les meilleurs atouts pour la réussite d’un projet, d’autant plus si celui-ci apporte l’harmonie et la stabilité demandée. Dans ce sens, et ce qu’il faut avant tout principalement retenir et appliquer : soyez toujours à l’écoute des élans primordiaux de votre coeur, parfois plus que de votre mental analytique ou de votre intellect purement logique, il est le seul indicateur à suivre sur le chemin de vos sentiments si ceux-ci sont effecitvement véritables !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel



(1) Rétroaction :
Une rétroaction est une interaction dans laquelle la perturbation d’une variable provoque le changement d'une seconde variable, qui influe à son tour sur la variable initiale. Une rétroaction forme une boucle fermée dans un diagramme de causalité. Une rétroaction positive est un processus qui a pour effet d’accentuer les perturbations, le processus s'autoalimente, par exemple dans le cas d'une explosion. Une rétroaction négative est un processus qui a pour effet d'atténuer les perturbations et provoque un amortissement qui permet une régulation. Ce processus intervient aussi comme agent causal sur sa propre origine, la séquence des expressions de la cause principale et des effets successifs formant une boucle de rétroaction.

(2) Le Karma : est l'action sous toutes ses formes, puis dans un sens plus religieux l'action rituelle. C'est aussi une notion désignant communément le cycle des causes et des conséquences liées à l'existence des êtres sensibles. Il est alors la somme de ce qu'un individu a fait, est en train de faire ou fera. Le karma est propre aux religions et spiritualités orientales ayant adopté le concept de renaissance (parfois nommée réincarnation ou transmigration), lié au fait que les êtres renaissent en fonction de la nature et de la qualité de leurs actes, dans cette vie-ci, mais aussi dans d'autres vies qui se sont déroulées antérieurement. Ainsi tout acte (karmique) induit des effets censés se répercuter sur les différentes vies d'un individu, formant ainsi sa destinée. Dans l'hindouisme et le bouddhisme, le karma permet finalement de se libérer du cycle des morts et des renaissances qui sont des épreuves initiatiques à expérimenter, l’état de libération est appelé nirvāna. En occident : pour les kabbalistes modernes, le karma est une série d'épreuves que l'on s'est choisi juste avant sa naissance, le but de la vie étant de réussir ces épreuves. Pour les théosophes l'usage de ce concept se résume sous la forme d'une loi de rétribution ou loi de cause et d'effet (positive ou négative).

(3) Eliphas Levi : est un ecclésiastique français et une grande figure de l'occultisme du 19e siècle (1810-1875). Auteur de nombreux essais ésotériques, notamment de : "l’Histoire de la magie", "Philosophie occulte : fables et symboles" et "Philosophie occulte : science des esprits".


 

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En général, tout le monde préfère les belles histoires qui finissent bien : "ils se marièrent, comblés de bonheur et heureux, ils eurent beaucoup d'enfants et vécurent très longtemps ensemble". Dans la vraie vie on a tendance à dire plutôt que "les histoires d'amour finissent mal, en général"… Par conséquent il serait assez raisonnable qu'un juste milieu existe entre ces deux maximes trop optimiste pour l'une et inversement pour l'autre, et c'est a contrario du profane que l'initié peut éclairer cette voie, non pas celle du "trop juste milieu" tel que les taoïstes l'expriment sagement, mais d'autres chemins divers, dynamiques et originaux pouvant aborder ce thème des liens amoureux, et, de ceux qui parfois se dissipent pour le meilleur ou pour le pire. Il est vrai que la séparation se voit habituellement abordée comme une catastrophe pour le couple, comme une rupture du fil de la vie ou bien une descente aux Enfers, pourtant cette vision dramatique n'est pas partagée par la majorité des initiés qui abordent la séparation effectivement comme une fin en soi mais avec ce renouveau visible à l'horizon des possibles, celui de cette roue qui tourne afin de recommencer un cycle, de débuter une autre histoire. Bien évidemment il est facile d'exprimer cette distanciation lorsque soi-même l'on est étranger à la situation, vue de loin, abstraitement avec un recul métaphysique, beaucoup diront qu'il est simpliste de tenir un tel discours si détaché. Alors, faut-il relativiser un point de vue plutôt qu'un autre ? Finalement il est intéressant de dresser un tableau et de le regarder sous différents angles pour mieux en appréhender la portée et la signification réelle, la "séparation amoureuse" devient une toile maîtresse à décrypter de manière plus ésotérique et profonde que le seul regard rapide qui juge sans comprendre et rejette immédiatement toute explication plus aboutie.

Dans un premier temps, doit-on dire que lorsqu'un couple se sépare les deux conjoints en ont pris calmement la décision ? Statistiquement il est assez rare qu'une telle entente soit plausible bien qu'elle existe, il faudrait plutôt voir le plus souvent dans la décision de la rupture celle d'un des deux protagonistes qui, pour une raison qui le regarde, désire rompre les liens et vivre autre chose, ailleurs, seul(e) ou accompagné(e). Il y a donc dans la grande majorité des cas une séparation difficile à mettre en oeuvre avec de fortes dissensions ou pire une sorte de combat, d'un côté pour "retrouver sa liberté", de l'autre pour "garder un amour qui s'éloigne" et le fait savoir. Dans cette perspective abrupte et explosive l'on peut assurément dire trivialement que "cela va mal se passer" et qu'il en restera des séquelles des deux côtés puisqu'une telle opposition apporte effectivement son lot de stress et d'entropie déstructurante, pour ne pas dire destructrice. Pourtant, et pour revenir à ces autres horizons post-rupture, chacun devrait savoir, souvent pour l'avoir peut-être déjà vécu une fois déjà, que cette séparation aboutira à la liberté (toute relative selon les contextes) des deux personnes qui pourront alors suivre leur propre voie existentielle, la séparation représentant ici de facto une épreuve initiatique majeure aboutissant toujours à de nouvelles situations rejetant l'inertie conflictuelle précédente pour aller de l'avant, parfois à marche forcée il est vrai, mais néanmoins avec des espoirs de renouveaux certains à plus long terme.

C'est bien quand la rupture n'en finit pas de durer, quand les liens ne se coupent pas d'eux-mêmes simplement et radicalement mais au contraire se déchirent jour après jour comme un lent et inexorable pourrissement que la situation est la plus difficile à vivre, qu'elle implique de parts et d'autres une grande perte d'énergie et de temps, qu'il devient évident qu'il y a une crise qui ne fait que trop durer et qu'il serait préférable d'en abréger la lente souffrance qu'elle impose. Ce n'est que lorsque la situation devient plus nette que l'on peut dire que le brouillard dense de l'incertitude commence à disparaitre pour laisser entrevoir d'autres contextes plus ouverts pour tous, ceci quelle que soit l'attitude initiale face à la rupture du couple enfin actée. Il devient alors presque évident que la principale leçon à retenir, tout comme un passage initiatique décisif, c'est de comprendre qu'une séparation dont chacun assume sa responsabilité apportera paradoxalement la satisfaction d'en avoir surmonté les épreuves, d'en être enfin sorti pour que chacun retrouve une liberté en dehors de cette crise enfin terminée. Là où chacun retenait son souffle vital à ne plus pouvoir respirer, parfois à la limite de l'apoplexie, chacun retrouve dans ce "changement d'ère" un nouvel oxygène symbolique, dans une alchimie à venir pour construire d'autres éléments existentiels catalysés par un libre arbitre personnel enfin restitué et avec de neuves perspectives bien dégagées.

La question se pose alors en ces termes : faut-il oui ou non parfois accélérer une rupture par des moyens dignes d'interférer positivement dans le contexte en présence ? Cette première question en entraine une deuxième tout aussi cruciale et inverse : doit-on toujours espérer tout de même (pour celui ou celle qui y tient) retenir l'amour et tenter de croire dans le retour de l'être aimé ? Deux questions, deux réponses qui seront bien évidemment intégralement dépendantes de chaque contexte, de chaque personne impliquée, de la causalité et des effets, et enfin des buts réels recherchés car une crise de couple même au bord de la rupture n'est pas forcément une rupture en soi mais parfois le signe distinctif que le couple, entité intrinsèque formée de deux individualités, doit changer d'attitude au-delà de l'Ego de chacune de ses parties, ce qui demeure une prouesse, un effort consenti et réciproque à concevoir mais aussi à appliquer. En cela un praticien initié formellement aux "affaires du couple" pourra répondre de manière à la fois sûre et consensuelle avec des arguments d'une nature plus subtile que l'analyse profane, une analyse certes hermétique au plus grand nombre mais dont l'essence ésotérique saura dissiper toute fausse certitude, saura expurger le mal du fruit pour en récolter l'ultime sagesse à envisager pour le couple.

D'un point de vue ritualistique, donc basé sur des rituels de magie (ici précisément en "Magie Rouge"), il existe certes à la fois un "rituel de séparation" qui permet d'envisager une grande accélération de la rupture avec des perspectives plus heureuses que celles subies en cas d'inertie de la situation, mais il existe de même des rituels de "retour de l'être aimé" ou "rituel de retour d'affection" qui permettent dans ce sens de resserrer des liens distendus, de tenter de contrer efficacement une crise de couple et d'éviter une rupture inadéquate. Étant praticien avec une très longue expérience de ces types de choix et d'orientation à trancher, c'est toujours en accord avec la sphère dite karmique des personnes concernées qu'il faut en analyser précisément les contours dont se dégageront des décisions justes et sages, efficaces et harmonieuses pour chacun en tenant en compte des futurs envisageables et des missions de vie concomitantes, ceci dans un esprit apaisé et équilibré ayant pesé le pour et le contre avec les entités respectives attenantes. C'est un travail difficile mais passionnant !

Je vous propose d'en discuter librement si vous avez des questions ou des demandes à formuler, aussi n'hésitez pas à me contacter sans attendre car le temps est un ennemi invisible qui n'arrange généralement aucune crise, encore moins celle des couples. À très bientôt, voyez simplement mes informations ci-dessous sur ma bannière pour me joindre rapidement !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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Le "Libre Arbitre", même s'il apparait convenu d'en parler tant cela semble parfaitement acquis comme concept au tout venant, s'avère fondamentalement désigner une notion existentielle à la fois éminemment essentielle et ô combien complexe à définir avec des mots simples mais aussi à définir selon des normes communes à toutes les traditions ésotériques ou bien exotériques au sens profane du terme pour ce dernier. En effet, le "libre arbitre" est devenu peu à peu synonyme de liberté de penser et d'action alors qu'il n'en est rien dans le détail, mais n'oublions pas que Nietzsche a très justement dit que "le Diable se cachait dans les détails", ce qui est ici bien évidemment aussi encore plus le cas si l'on tient à expliciter sur plusieurs niveaux ce qu'il en est… J'ai très souvent évoqué dans mes articles cette notion de - libre arbitre - et il me semble aujourd'hui important de l'approfondir afin de laisser à tout un chacun le soin d'entrevoir toute la portée magique et métaphysique qui en ressort avec des horizons dont on pourra évaluer pour soi-même des lignes directrices et mieux s'interroger sur sa propre personnalité, sur son Ego et finalement sur sa souveraineté intérieure et son propre chemin de vie. Il est d'ailleurs crucial d'associer la personnalité, c'est-à-dire le personnage que l'on croit être et que l'on joue consciemment, avec la fonction de désir de son Ego (axé plaisir) ainsi qu'avec sa volonté intellectuelle (axé mental) et bien au-dessus avec le soi véritable superconscient (axé spiritualité), un surmoi moins freudien qu'on devrait le croire mais assurément plus élevé dimensionnellement parlant. Ainsi, du libre arbitre de l'être l'humain se développent toutes les autres notions propres au sens réel de sa vie et au but existentiel à atteindre, tout en respectant néanmoins à la lettre certaines règles bien établies (avec, en passant, le "Tétragramme des initiés hébraïques" toujours présent pour faire respecter ses 613 Commandements et non 10)…

Définir le Libre Arbitre avant d'en exposer la portée c'est expliquer qu'un outil, par exemple un marteau, est vraiment très utile, mais peut servir tant à enfoncer un clou pour se bâtir un bel édifice que pour défoncer la tête de son voisin pour lui voler sa maison. L'image semble violente mais reste très explicite : le Libre Arbitre c'est choisir, exclusivement pour soi, une voie bien définie par le raisonnement de son propre mental mué par son intrinsèque individualité, ceci sans autre injonction extérieure apparente. C'est donc prendre une décision individuelle, et comme le dirait le grand maître hindouiste Shankara (fondateur de l'Advaïta védanta) : c'est faire preuve de dualité avec l'univers, de réfuter la non-dualité du Tout et d'une certaine façon s'en séparer en s'éloignant de son soi supérieur, d'autant plus si l'on choisit de mal utiliser l'outil à sa disposition… Le Libre Arbitre s'apparente, a fortiori, à un difficile exercice d'équilibriste bien informé des prouesses qu'il doit effectuer en marchant sur un fil ténu afin d'aller d'un point à un autre, par-delà le précipice aveuglant de ses actes bien réfléchis pas à pas. D'un autre point de vue, plus christianisé selon Saint-Augustin (dixit "Étienne Gilson - Introduction à l’Étude de Saint Augustin"), le Libre Arbitre sera orienté selon le niveau de sagesse de la personne, c'est à dire plus ou moins bon mais toujours sous le couvert protecteur et divin qui est assurément enclin à porter l'individu vers le meilleur de lui-même (sans pour autant que ce dernier en suive forcément les directives ainsi "insufflées" à son "esprit", car son "moi" n'est par contre pas parfait).

Parce que - l'erreur est humaine - du latin "Errare humanum est" de Sénèque, il est néanmoins bon de ne pas oublier la suite de la locution : "perseverare diabolicum", qui  rappelle que persévérer est diabolique… Par conséquent il est essentiel de comprendre que l'individu doit apprendre de ses erreurs pour évoluer sur la voie de la sagesse et non pas sombrer (dans un sens d'assombrissement de sa personne). De même, parce que l'Ego aime jouir de l'action qu'il entreprend et dont il a eu la volition personnelle, il confond souvent cette aptitude à conforter son désir, à l'assouvir, avec celle qui consiste à ne pas "tomber", au sens de la chute primordiale du pêché, c'est-à-dire à résister à la tentation, laquelle n'est rien d'autre que l'intentionnalité "d'agir uniquement pour soi" à l'encontre de tous les autres. Dans un autre registre apparemment plus éloigné de l'orthodoxie des églises : la loi wiccane (la Wicca est une obédience de sorciers réunis en "covent" généralement de 13 membres) : "Si nul n’est lésé, fais ce que tu veux" qui n'est pas sans rappeler le précepte thélémite "Fais ce que voudras" de Rabelais ou surtout bien évidemment le Thelema (en grec : volonté) du très fameux occultiste Aleister Crowley : "Fais ce que tu veux sera le tout de la Loi" dans son livre "Magick". A ce stade nous ne sommes plus très loin de la pensée magique, de celle qui s'invoque lors de travaux avec les rituels consacrés (selon le type d'obédience ésotérique), de cette Thelema ou volonté affirmée du praticien initié aux Arts Majeurs de la sorcellerie ou des sortilèges affiliés à un hermétisme occulte.

Mais doit-on confondre la volonté du Libre Arbitre du monde profane avec la Thelema ésotérique échafaudée avec subtilité et soin lors des rituels ? Certes non, l'une n'a aucune conscience (en son "soi" dit terrestre) des causalités de ses actes et de ses pensées alors que l'autre en a une profonde Connaissance pour l'utiliser à bon ou mauvais escient, et c'est sur ce point qu'il est important de mieux cerner ce que représente l'intentionnalité consciente de modifier un contexte, d'en dévier le cours des choses dans un but précis, c'est la notion même de Magie et de pouvoirs magiques que d'interférer depuis notre monde avec les forces de strates inférieures ou supérieures, en d'autres mots : de convoquer un démon ou invoquer une entité céleste ou divine. Incidemment le profane pourra aussi invoquer ou convoquer des entités mais sans en avoir la Connaissance ésotérique ad hoc, il n'en sera donc pas entièrement tenu comme directement responsable s'il advenait qu'il le fasse au détriment d'autrui dans un contexte défavorable ou mal compris car il ne sait pas que chaque pensée est un pas vers la parole, laquelle entraîne souvent l'action dans son sillage immédiat. Est-ce ici dans ce type de libre arbitre ou de liberté de penser que provient l'origine de tous les maux qui nous entourent ici-bas ?

C'est bien possible si l'on en croit Philippe Guillemant (ingénieur physicien et… "ésotériste quantique" pour faire simple et rapide) qui démontre que la pensée agit directement par double-causalité à la fois sur notre présent et sur notre futur (et même notre passé), c'est-à-dire qu'il nous est possible de modifier par la seule force bien exercée  de notre volonté notre propre devenir, notre propre destinée toujours en accord avec ce que nous sommes et voulons être… Une très belle "Re-Connaissance" de la Magie, ou d'une de ses formes les plus puissantes, ceci par la science dure de la physique quantique et des lois de rétro-causalités. D'ailleurs pour le citer, ne dit-il pas qu'il faut : "danser avec le chaos - et dépasser nos peurs - pour qu’apparaisse la magie". Nous sommes justement presque en pleine magie du chaos, celle de Peter J. Carroll du groupe des "Illuminati de Thanateros", le cercle est ainsi bouclé, la science à rejoint la magie ! Encore une fois, ce serait peut-être aller un peu vite en besogne et oublier que nous ne sommes que les instruments incarnés de notre "moi supérieur", les marionnettes de notre âme consciente qui déroule les potentialités de notre réalité existentielle sous la forme d'une destinée guidée pour s'auto-accomplir et se perfectionner. C'est ici bien entendu l'hypothèse que nous ne sommes qu'une infime partie de notre propre Tout, lequel lui-même fait partie d'un Tout encore plus grand, à l'image des poupées russes (sans entrer dans une polémique géostratégique pour cette fois-ci, quoi que…).

Reste effectivement que ce Libre Arbitre terrestre serait alors qu'un leurre, comme celui que l'on utilise pour les courses de lévriers afin de leur faire suivre le parcours avec des tentations, des désirs, des envies, des choix, bons ou mauvais mais des choix tout de même ! Les limites de ce Libre Arbitre se définissent assez rapidement pour ceux qui oseraient en outrepasser les bornes : au plus bas de la perversion se situera la déchéance, la dépravation et la mort, au plus haut degré d'hubris et d'excès dans la démesure de l'Ego nous serons sanctionnés par la Némésis, par un juste mais implacable retour de bâton pour redescendre sur Terre… Notons qu'un "bon usage" du Libre Arbitre s'appelle Liberté, celle d'un juste équilibre pour jouer le jeu du mouvement imposé par une destinée dont les murs du labyrinthe sont bien marqués par des Lois Universelles, celles que l'on apprend dans les cercles ésotériques ou dans les covents, celles qui sont aussi enseignées dans les librairies secrètes du Vatican ou aux seuls détenteurs du 33e degré de certaines loges dont on apprend soudain avec grand étonnement que "la lumière vient de son porteur", à chacun sa Chute, à chacun son Libre Arbitre et sa Liberté, nous pouvons certainement tous dire en coeur, si c'est en notre âme et conscience : THELEMA !

Comme d'habitude je reste personnellement ouvert aux questions et aux demandes de rituels en qualité de chaman professionnel en exercice, vous pouvez donc me joindre directement (via ma bannière ci-dessous par téléphone ou par écrit en cliquant dessus), je vous souhaite un excellent 1er mai pour que vous puissiez au mieux travailler sur vous et sur votre volonté de perfectionner ce terrible et imposant Libre Arbitre, ceci en toute cohérence avec autrui si possible, auquel cas je vous y aiderai volontiers, merci de m'avoir lu et à très bientôt !

Jean-Pascal Bruno, chaman professionnel

 

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