Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Blog chaman ésotérisme

Blog chaman ésotérisme

Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

relations conjugales

En amour aussi : "Chat échaudé craint l'eau froide"

"Chat échaudé craint l'eau froide !". Voici un dicton qui ne laisse pas indifférent, du moins ceux qui en connaissent d’une part le sens et d’autre part l’expérience puisqu’il s’agit ici de l’expression qui signifie en un sens que lorsqu’on a expérimenté quelque chose de négatif alors par la suite l’on se méfie que cela ne se répète, avec en plus une crainte anticipatrice encore plus grande et parfois exagérée, voire totalement fausse… Evidemment, avec l’histoire du chat qui s’est ébouillanté, ce dernier regardera ensuite l’eau d’une autre façon, même si celle-ci est froide, ce qui fait presque penser à ce que l’on pourrait de manière plus scientifique et plus constructive appeler une expérience dite "pavlovienne" (1) (avec cette fois-ci non pas un chat mais un chien comme interprète). Une petite digression qui n’en est pas vraiment une pour expliquer qu’en amour aussi l’on peut être "échaudé" ou plutôt refroidi après avoir expérimenté quelques déconvenues amoureuses, que ce soit de l’ordre de la jalousie, des mensonges, des trahisons ou bien des tromperies, que de "petits problèmes", restons faussement ironiques, pour ceux qui les ont vécus, avec l’amer souvenir de ne pas y revenir ou bien de s’assurer d’en régler les problématiques potentialités à venir bien avant que celles-ci n’adviennent de nouveau ! C’est donc le thème de cet article que de lister ensemble des plus symptomatiques de ces expériences amoureuses, déjà advenues, réellement anticipées ou bien complètement imaginées, ainsi que d’en trouver aussi et surtout des portes de sorties ou des solutions adaptées (ici, ésotériquement parlant) pour ne pas avoir à subir une situation dont le feu peut refroidir durablement l’esprit et le corps, si j’ose dire.

Par quoi commencer, si ce n’est chronologiquement, dans toutes ces affaires amoureuses qui empoisonnent les coeurs, notamment lorsque l’on est en couple ? La réponse la plus objective est la suivante : le doute ! En effet, douter de l’être aimé est déjà l’étape qui fait "déborder l’eau du vase" tout comme la goutte de trop qu’on y ajoute, le doute s’immisce au détour d’une conversation ou d’une rumeur, le doute est à l’origine de tout le reste s’il n’est pas dissipé très vite, ce qui est rarement le cas car il s’accroche à l’esprit comme un parasite mental ne voulant pas lâcher prise. Hélas, rien n’existe apparemment comme dans les transports, mais cette fois-ci pour les transports amoureux, pour tirer l’ultime manette d’urgence en cas de doute ! Alors que faire en cas de doute sur la sincérité des sentiments ou de la conduite (amoureuse) de l’être aimé ? Dans le monde profane il est assez triste et déroutant de constater que la grande majorité des gens se divise en deux catégories strictement opposées : ceux qui doutent de tout et ceux qui ont des certitudes sur tout. Le fait de ne presque jamais changer d’attitude, c’est-à-dire d’une des deux catégories précitées, s’avère être un terrible handicap contraire non seulement à toute logique mais, disons le franchement, un redoutable ennemi de l’intelligence. Qui ne change jamais d’avis risque assurément de ne jamais évoluer, de ne jamais disposer de la flexibilité de l’esprit pour comprendre toute la complexité du monde, mais ceci est une autre affaire… Pour ce qui nous intéresse, douter en amour peut devenir le poison violent qui finira par tuer définitivement la relation si rien ne vient "ôter le doute". En ce sens, en magie il existe plusieurs types de rituels permettant "d’ôter ce doute", ce sont des rituels de magie blanche, de très efficaces rituels de "révélation", ils sont donc à opérer en premier lieu dans presque tous les travaux afin d’éclaircir une situation, voire de régler définitivement ce problème majeur du doute. Un rituel de révélation joue donc précisément un rôle d’antidote, s’il est utilisé à temps, pour ne pas voir à défaut la situation empirer, avec un doute qui s’installe durablement…

Mais comme vous l’imaginez bien, tout comme pour une maladie, cette fois-ci une maladie d’amour, l’on attend d’avoir vraiment mal avant de consulter… C’est exactement, ou du moins souvent le cas, en ce qui concerne aussi les consultations en magie : la plupart des demandes d’aide se font bien après le doute, c’est-à-dire lorsque l’étape suivante est abordée, celle de la goutte qui a débordé, celle de la jalousie. Il s’agit ici d’un poison encore plus violent, d’autant plus si l’on est devenu jaloux (ou jalouse) pour rien, en d’autres mots le doute à joué son rôle d’empoisonnement basique de l’esprit en allant encore plus loin en s’exprimant dans la conscience par une jalousie prête à détruire de l’intérieur la relation avec l’être aimé. C’est effectivement à partir de cette étape, véridique ou imaginée (qu’il y ait un problème ou pas) que se joue la survie de la relation car les dommages collatéraux seront ensuite potentiellement beaucoup plus difficiles à gérer pour la personne qui en est affectée, pour ne pas dire infectée. De cette maladie de la jalousie nous l’avons tous (et toutes) connu, cette indéfectible rage intérieure loin de toute raison qui pousse aux plus extravagantes situations pour confirmer ce que l’on croit être, ou ce qui est, ou même si cela n’est pas alors s’en persuader par une preuve qui ne pourrait qu’exister. La jalousie peut effectivement être paradoxalement aussi une preuve, mais cette fois-ci une preuve d’amour, mais lorsque celle-ci dépasse toutes les limites en s’acharnant sur l’être aimé alors elle devient éminemment destructrice de la relation. En magie, et à ce stade il faut de plus grands et puissants moyens, c’est la magie rouge qui va devoir opérer ses rituels, ils sont d’une précision chirurgicale, ils ciblent cette jalousie (celle du demandeur ou celle qui est subie) pour, d’une certaine façon, en transmuter l’énergie négative en une réponse positivée allant dans le sens de la réconciliation (déjà avec soi-même), de l’explication (de la situation) et de la résolution (du problème réel). C’est en quoi la magie rouge demeure la magie de l’amour par excellence.

Quelles sont ces problématiques de l’amour pour aller plus loin ? Hormis le fait qu’un doute puis une jalousie puissent effectivement n’être qu’une extrapolation imaginaire dans certains cas, pour d’autres cas il existe effectivement, derrière ce doute et cette jalousie qui en découle, une réalité des faits : celle d’une tromperie (infidélité) ou de mensonges pouvant aller sur un chemin contraire à la relation, ou bien encore ce que l’on appelle un éloignement de l’être aimé, c’est-à-dire pour ce dernier les prémisses d’une potentielle rupture à venir, même si rien n’est encore jamais ni toujours définitif en affaire d’amour et de relations. Le schéma étant presque toujours le même, ceci en des termes directs : des certitudes, de la confiance et de l’espérance, peuvent donc rapidement germer le doute, la méfiance et la trahison. Ce processus peut heureusement être stoppé ou même inversé lorsque l’on y travaille sérieusement en ayant l’énergie et la lucidité pour aborder les problèmes mais aussi en ayant la complète compréhension, l’expertise la plus juste et la résolution la plus adaptée. C’est ce qu’abordent les travaux de magie avec une succession de rituels, en magie blanche et rouge (parfois en magie noire mais assez rarement en amour…). Le problème principalement rencontré étant l’intrusion d’une tierce personne dans l’histoire amoureuse d’un couple, alors, si cela est établi les travaux se porteront tout naturellement sur la cause de cette intrusion, qu’elle soit fortuite ou voulue, il faudra en définir les éléments constitutifs pour agir. La magie rouge reste, encore une fois, la meilleure des magies pour régler un problème de "concurrence amoureuse", pour ne pas dire un problème d’adultère avec les conséquences que cela implique pour le couple initial ou pour une relation établie auparavant.

De même que les problèmes amoureux surviennent souvent de l’extérieur, il ne faut surtout pas négliger ceux qui peuvent advenir directement dans le couple, à savoir les problèmes de désir, de libido ou de sexualité en général. Ce sont effectivement de légitimes causes qui peuvent entrainer, in situ, de l’intérieur de la relation de couple, une réelle dégradation, une sorte d’entropie amoureuse entrainant un éloignement progressif des partenaires avec à terme une potentielle rupture. Dans cette circonstance précise où la situation est endogène, c’est-à-dire interne, ici aussi les deux magies, blanche et rouge, seront présentes chacune avec ses spécificités pour inverser une tendance négative, réparer une histoire en perte de vitesse, resserrer des liens amoureux distendus par des causes multiples dont ce que l’on appelle parfois "la routine", laquelle peut aussi être une redoutable ennemie du couple malgré son apparente bonhomie… Voici donc le tour d’horizon des problématiques de couple, certes rapidement abordé de manière générique mais qui donne néanmoins un bref mais réel aperçu de ce à quoi un chaman est confronté en matière de demandes à des fins de travaux de magie, sans compter les autres rituels, plus agressifs, provenant d’envoûtement ou de possession, mais ceci est une autre histoire… N’hésitez pas à me contacter si vous avez des questions ou une demande précise à me soumettre !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel


Note (1) Ivan Pavlov :
prix Nobel de médecine (physiologie) pour ses travaux sur les "réflexes conditionnés" ont eu une grande influence non seulement sur la science, mais également sur la culture populaire. On utilise souvent l'expression "chien de Pavlov" pour décrire quelqu'un qui réagit de façon instinctive à une situation, plutôt que d'utiliser son esprit critique. Le conditionnement pavlovien était un thème important dans les romans dystopiques d'Aldous Huxley, Le Meilleur des mondes et d'Orwell, 1984. (dixit Wikipédia)

 

Voir les commentaires

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

Nul ne peut se mettre strictement à la place d'une personne dont le couple est en situation de crise et proche de la rupture, car le contexte précis, les personnalités en présence et les causes ainsi que les effets induits font que l'ensemble de ces paramètres (en comptant ceux qui adviennent en surcroit de manière cumulative) en complexifient de facto l'analyse et la compréhension sans pour autant pouvoir donner des réponses finalement pleinement satisfaisantes. C'est, du moins, l'avis le plus couramment exprimé par les spécialistes dits "profanes", c'est-à-dire la cohorte habituelle de psy et de sociologues de la question qui, et c'est tout à leur honneur tout de même, ne s'arrêtent qu'au visible et descriptible selon les dogmes que la science leur impose, ne s'arrêtent finalement qu'au substrat le plus superficiel d'une individualité étudiée in situ dont ils ignorent les dimensions supérieures échappant à leur courte vision trop terre-à-terre pour les prendre en compte au-delà des prérogatives et du décorum de leurs fonctions corporatistes. Loin d'affliger ces spécialistes qui sont utiles, puisqu'ils tentent de "soigner" les maux de la vie, il n'en demeure qu'ils ne savent véritablement les "guérir" que dans de très peu de cas et encore moins en expliquer avec discernement et assurance toutes les sources et les raisons subtiles qu'ils se gardent bien d'exprimer ouvertement puisqu'ils n'en ont strictement aucune idée et qu'ils n'ont d'ailleurs jamais tenté d'en étudier la réelle provenance exacte. Seul peut-être C. G Jung, dans une vision plus ésotérique et moins normative, a-t-il pu aborder la question de manière plus approfondie comme l'initié qu'il était, avec ce que l'on sait aujourd'hui en retour de sa sagacité spirituelle éclairée : les reniements acharnés de ses pairs qui l'ont presque tous immédiatement banni de leur très docte cercle de fausses certitudes, apprises et répétées maintes fois au fil du temps, tels d'illustres perroquets savants si fiers de leurs plumes académiques décrépies. On en a d'ailleurs aussi vu dernièrement les effets pervers dans un autre "domaine médical réservé"…

Mais soyons pragmatiques et restons parfaitement lucides, loin de dire que la psychologie et la sociologie ne servent à rien, bien évidemment, il faut néanmoins effectivement remettre ces belles disciplines, là où elles s'accordent le mieux pour coexister : pour l'étude de cas improbables, pour la cogitation d'ego scienteux ex nihilo, pour l'amassage invraisemblable d'une montagne d'hypothèses tordues construites sur des terrains marécageux où chaque idée finit par être engloutie tout au fond du marais pour s'y décomposer lentement, mais sûrement. On ne compte ainsi plus chaque jour qui passe toutes les nouvelles méthodes et théories inapplicables, tous les discours de parfaits sophistes tournant en rond avec autant de mots creux que de slogans publicitaires répétés en boucle, et surtout tout ce temps perdu où des personnes en demande d'aide se voient instamment formatées dans le moule de la doxa médico-socio-psychologique, à coup de drogues médicamenteuses incertaines, voire dangereuses, et de lavages de cerveaux pour en oublier leurs problématiques mais aussi pour nier la spécificité de leur individualité ainsi totalement dissoute avec leurs questionnements légitimes initiaux, et c'est ici le pire… Ce constat implacable reste valable pour chaque personne devenant un "patient" (du latin "celui qui endure, qui souffre") comme pour le couple, qui s'apparente étymologiquement à un duo de personnes liées par une relation (généralement "amoureuse"), et dont on connait les potentielles "crises de couple", durables ou ponctuelles, évitables ou inexorables, douces et sans conséquence ou bien plus dures avec une fin dite tragique pour celui qui l'a subit, souvent crescendo : rupture, humiliation, isolement, dépréciation, dégradation, dépression, voire jusqu'au suicide social ou physique.

Le couple, ou plutôt la "notion de couple" devient d'autant plus complexe lorsque l'on élargit le cadre de référence avec ce ou ceux qui pourraient interagir, façon "simple sociologie profane du couple", avec le duo initial pour en révéler d'autres acteurs, ainsi d'autres types de relations actives apparaissent et peuvent assurément expliquer les crises ou du moins certaines problématiques importantes pouvant aboutir à une rupture et à une "perte de confiance morale" (plus ou moins forte) dans la relation de couple habituelle. C'est le cas de ce qu'il faut assurément appeler des bien nommées relations extra-conjugales avec les amants et les maitresses, seulement d'une durée d'un jour ou au plus long cours, ces relations seront perçues (selon les types de personnalité et d'éducation) comme amorales ou inversement parfois nécessaires, voire pour certains plus rarement comme un mode de fonctionnement presque normal du couple que de ne pas vouloir s'astreindre à l'uniformisation de la sexualité dans ce qu'elle propose de manière plus convenue, c'est-à-dire pour eux-mêmes comme couple à s'autoriser de ne pas se satisfaire sexuellement du seul conjoint ou partenaire. Dans ce dernier cas moins courant, la liberté purement sexuelle peut être comprise comme un renforcement du couple dans ce qu'il se permet cette liberté réciproque, ceci en tenant compte de certaines limites tacites ou plus explicites si besoin. Mais cette vision plus libertaire du couple n'est évidemment pas l'apanage de la très grande majorité, celle-ci restant cantonnée à la seule relation interdépendante réciproque, avec cet handicap relatif mais bien réel de voir littéralement voler en éclat la relation à la moindre incartade dont les dogmes sociétaux ou religieux ont su stigmatiser "la faute" depuis des lustres sur les populations dites "civilisées", comprendre "endoctrinées pour leur bien"…

Maintenant abordons la réalité sous un angle bien moins étroit, dans une vision certes plus ésotérique qui n'aura pas a priori l'approbation de tous les scientistes engoncés profondément dans leurs démonstrations matérialistes ou bassement corticales et psychiques, voyons le couple et sa relation comme je l'exprimais dans l'article précédent et dont la teneur dissipe toute confusion : le couple est un instrument, un outil pratique dans notre réalité terrestre (à notre niveau dimensionnel) de ce que chacun doit réaliser en "mission de vie" via le contrat karmique qu'il (le "soi supérieur" comme entité supradimensionnelle, ou apparenté de très loin au "surmoi" psy) devra suivre à des fins d'évolution par paliers en étant successivement "incarné", donc réincarné sous des individualités différentes cloisonnées (dont la mémoire est séquencée par période d'existence et généralement antérieurement non accessible par celle "présente"). Voilà qui en une seule phrase, sans palabres ni contournement inutiles, explicite la voie royale ésotérique qui généralement instaure la réincarnation (ou métempsycose) comme un fait établi expliquant pratiquement l'ensemble des problématiques ici-bas, dont celle, très importante, de la relation de couple qui participe activement à cette évolution karmique sur plusieurs vies. Je conseille de lire mes articles précédents afin d'entrer plus dans le dur du sujet si cela était encore nécessaire d'en apporter des informations plus étayées didactiquement en laissant de côté l'hermétisme des textes anciens qui l'explicitent sous une forme occultée et souvent marquée d'une religiosité très directe qui pourrait choquer car parfois assez éloignée de la douce et édulcorée spiritualité contemporaine telle que nous la concevons aujourd'hui.

Dans cette perspective la relation de couple prend alors une toute autre dimension, très loin des stéréotypes profanes où les liens sentimentaux préfabriqués par les habitus sociétaux deviennent soudain à l'image de ces lignes de code sous-jacentes dont il faut avoir les clefs pour en comprendre la portée réelle et la signification cachée, une initiation qui passe par un décryptage ésotérique aux yeux ébahis et incrédules des profanes encore sous le coup de l'imprégnation mentale qui leur a été inculquée depuis la naissance, par un rigoureux formatage générationnel. Très paradoxalement, les initiés ne nieront pas qu'un tel processus d'amnésie de ce que l'on peut appeler la surréalité (la réalité dimensionnelle vraie) soit un effet pervers de l'effacement de mémoire des vies précédentes au moment de l'incarnation, car en terme d'efficacité cette étape semble nécessaire pour la grande majorité des gens afin d'évoluer de manière crantée sans avoir souvenir d'étapes précédentes de leur existence qui pourraient sinon parasiter et fausser la nouvelle expérimentation d'incarnation sur d'autres voies à suivre, sur d'autres missions de vie selon des Lois karmiques encore plus complexes et difficilement appréhendables selon nos modalités dimensionnelles restreintes à notre niveau ici-bas. Sous cet angle la relation de couple se clarifie comme étant une fonction karmique, ses problématiques comme étant des expérimentations de mission de vie à suivre, qu'elles soient assimilées positivement ou négativement d'un point de vue profane sans décodage alors cela ne change rien, bon ou mauvais cela reste une initiation, une épreuve à passer, une case à cocher sur la mission.

Évidemment, faire comprendre l’ensemble de ce processus à une personne en difficulté, notamment en crise de couple ou en rupture sentimentale, sera assurément compliqué d'emblée sans passer par un travail conséquent où viendront comme une initiation ésotérique se décrypter les éléments de cette problématique, les sources de cette crise, les aspects finalement bénéfiques à long terme et surtout les potentialités infinies de rebond pour dépasser le stade de la crise et évoluer de manière plus consciente, certes peut-être pas au niveau d'un initié de haute stature mais comme un individu enfin libéré, enfin ouvert sur ce que j'ai l'habitude de nommer un horizon des possibles, une sortie par le haut de ce qui était un problème apparemment insoluble sans les bonnes clefs, une certitude que le "moi" peut aussi accéder aux conseils de son surmoi, ceci via des processus ritualistiques, ce que l'on conçoit trivialement dans le langage profane comme de la Magie opérative avec ses travaux de magie, ses praticiens et ses Connaissances ésotériques qui permettent de percevoir ce dialogue. Éviter, empêcher ou accepter la crise dans le couple en se résignant à n'en voir que les aspects strictement basiques s'apparente à s'exempter du codage de l'existence qui se trouve sous la surface du visible, c'est ne pas vouloir ou ne pas chercher à voir ce qui est occulté et que la voie ésotérique permet de décrypter pour résoudre radicalement ces problématiques existentielles conjugales, relationnelles ou amoureuses qui jouent des rôles karmiques essentiels mais effectivement cachés.

En qualité de chaman, je vous propose si besoin de trouver ces clefs, d'effectuer ce travail de décryptage via des rituels "de magie" (appelons-les avec la terminologie courante) et ainsi de vous orienter sur la voie à suivre, celle qui sera en accord avec votre mission de vie, celle que "l'on" attend de vous ! Pour me joindre dans le cadre de mon activité professionnelle et pour en discuter librement sans engagement, merci de suivre les informations sur ma bannière ci-dessous. À très bientôt !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel.

 

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

Voir les commentaires

Etude Gratuite

 Pour toute demande de rituel

 magique ou d'étude gratuite

 téléphonez au 06.09.11.94.56

 (appel direct et non surtaxé)

 ou bien   cliquez ici 

Articles récents

Hébergé par Overblog