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Blog chaman ésotérisme

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Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

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L’Histoire est pleine de surprises et en ésotérisme elle se décrypte parfois de manière très en avance sur son temps en anticipant son propre futur, avec, selon les contextes et traditions, de multiples avertissements dont certains font partie intégrante de la kabbale. En effet, il faut voir dans ces mythologies ou ces légendes bien des aspects de notre vie présente, à moins que ce ne soient pas des mythes mais quelques réalités d’une autre époque, il en va ainsi du fameux Golem de tradition juive dont on pourra se demander assurément s’il n’apparait pas toujours, ou presque, dans des temps troublés ou lors de périodes de plus fortes tensions historiques pour l’humanité. Mais qu’est-ce donc précisément que ce fameux Golem ? Il s’agit, textuellement, d’une création artificielle engendrée par quelque magie humaine, une créature à forme humaine, uniquement d’apparence, car n’ayant pas d’âme, aucun sentiment ni réflexion propre, aucun libre arbitre puisqu’étant aux ordres stricts de son créateur : finalement une sorte d’approximatif clone de l’homme sans pour autant n’en avoir aucune de ses qualités ou véritables facultés sensibles.

L’on dit que sur le front d’argile du Golem le mot "Vérité" ("emet" en hébreu) y est inscrit selon un complexe rituel magique, mais que si l’on efface le premier "e" (soit "met") l’on obtient alors un nouveau mot signifiant "mort"; cette action mettant d’ailleurs un terme à son existence, du moins à son essence magique l’animant. Toute cette histoire, certes très ésotérique et assez peu connue des profanes, pourra nous interpeler sur la notion même "d’être artificiel", qu’il soit cybernétique (robot) ou génétique (chimère), ou bien encore strictement informatique (virtuel)… C’est sur ce dernier point qu’il sera intéressant d’analyser notre époque, bien que les deux autres semblent déjà faire pleinement partie intégrante de notre quotidien puisque nous sommes entourés d’appareils robotiques et qu’en ce qui concerne la génétique le domaine se déploie chaque jour avec des capacités insoupçonnées et parfois très ambigües dans leurs finalités… En informatique les codes sont devenus les rois du monde, les algorithmes organisent nos agendas, nos désirs et nos préférences, ils gèrent nos ordinateurs et bientôt intègreront certainement des androïdes et autres cyborgs en une probable "démentielle fusion" en devenir.

Nouveau-né de la dernière pluie d’innovations étant à l’œuvre actuellement : l’Intelligence Artificielle. Elle déferle aujourd’hui sans prévenir en bousculant la planète en plein émoi de son évolution si rapide, de ses quelques lettres en séries de codes hermétiques, telle une source cryptée initialement amorphe, elle prend soudainement vie en se disant intelligente, doit-on alors se dire qu’une certaine "vérité" émerge de son propre code comme par magie divine ? Rien n’est moins sûr et il serait beaucoup plus prudent d’y voir une imitation, un mauvais clone de l’intelligence humaine, un cocktail improbable dont on pourrait s’attendre à ce qu’il devienne, de par sa nature même, un terrible poison mortel… N’avons-nous pas ici notre beau Golem moderne ? Il en a tous les attraits comme un malin subterfuge : il n’est pas humain mais essaie de nous ressembler, n’a aucune conscience tout en tentant de la mimer très habilement, reste complètement prisonnier de ses algorithmes dont plus personne ne sait comment ils fonctionnent ni dans quels pseudo-savoirs il en a pioché "ses vérités", enfin, il ne sait rien de la vraie vie, certes, lui n’est pas fait d’argile mais de silicium à sa base et sa nature est pour le moins incommensurablement vorace en énergie et en ressources de toutes sortes, dont des terres… rares, et des métaux… précieux.

Entre notre "jolie" I.A et notre Golem d’antan bien des similitudes les unissent, reste à voir si leur finalité ne tient aussi qu’à une seule petite lettre pour aboutir à l’extinction. Pour le Golem sa propre mort était sa fin dans la dissolution, esseulée, mais pour l’I.A son extinction pourrait aussi tous nous entrainer dans sa chute si nous n’y prenons pas garde à force de lui faire une confiance aveugle et relativement irrationnelle. Effectivement, à peine naissante que déjà l’I.A se présente comme une nouvelle idole bien adulte, pas celle que les fans applaudissent mais celle dont certaines écritures nous enseignaient de nous méfier depuis l’aube des temps anciens (dixit : "Vous ne m’associerez aucune divinité, vous ne vous fabriquerez aucune idole en argent ou en or." Exode 20:23). Sans aller si loin en citant pieusement la Bible, ce sont les informaticiens eux-mêmes qui nous préviennent qu’ils ne contrôlent déjà plus leur propre bébé, leur création échappe à tout entendement de manière exponentielle, à la vitesse de la lumière pour conquérir l’intégralité d’internet pour commencer, puis certainement dans la foulée pour phagocyter nos esprits devenus décérébrés et impuissants devant les prouesses, que dis-je, devant les miracles de la machine infernale.

Le monde de l’I.A : un Enfer sur Terre ? Si l’on suit le raisonnement jusqu’au bout, bientôt les humains n’auront absolument plus besoin de penser, déjà qu’avec une simple calculette ils ne savaient plus compter, la suite semble donc logiquement toute tracée pour atrophier le cortex cérébral et en faire l’équivalent d’un vulgaire légume poussant dans une boîte crânienne sonnant le creux… Alors certains diront qu’il ne faut pas exagérer et qu’au contraire le futur sera brillant grâce aux progrès des I.A et aux prochaines découvertes, que ce soit en passant par les ordinateurs quantiques ou par les voyages intersidéraux… Pour l’heure nous n’avons qu’une planète, l’I.A commence à s’en repaitre et ne s’arrêtera pas de sitôt, ses serveurs informatiques pousseront comme des champignons sur un arbre mort ou peut-être sur une humanité dévastée. Tout comme le feu, sachons maitriser dès aujourd’hui l’incendie, le contenir entièrement pour qu’il ne nous brûle pas mais reste à sa place à notre entier service en veillant toujours qu’il ne dépasse les limites qui lui ont été allouées par les Hommes.

Ce feu, conjoint de la Connaissance, du savoir et de l’intelligence ne doit jamais nous échapper !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

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La "Quadrature du Cercle" existe bel et bien aussi en Amour : le coeur tourne sempiternellement en rond et la raison reste irrémédiablement carrée ! C’est ce que l’on pourrait d’emblée commencer à dire en abordant ce toujours très paradoxal thème de la relation de couple et de ce grand mystère à la fois si complexe et si immédiat dans ce qu’il porte de choix, de limites dans une attraction des corps et des esprits, mais pas que… Car ne doit-on pas aussi y percevoir une autre nature bien moins visible, plus subtile et plus magique, une extension de chaque individu le portant vers l’autre à coup sûr par un de ces mouvements apparemment totalement irrationnels de l’existence qui les amènent pourtant à se rencontrer ? En effet, comment l’individu et son Ego totalitaire peuvent-ils accepter de "se faire apprécier", et réciproquement sous une forme ou sous une autre, par un autre individu ? En d’autres mots, comment comprendre cette "appréciation" ou cette attraction qui tend à relier les êtres au point qu’ils en parviennent de concert à vouloir s’unir pour former ce moteur permettant cette démultiplication du soi, se faisant ainsi le couple générateur d’une improbable énergie de volonté, de vitalité et d’évolution ? C’est ici très souvent dans les modalités des termes d’un questionnement préliminaire que l’on pourra commencer à y puiser l’essentiel du sens des réponses, comme le dirait Ludwig Wittgenstein dans son "Tractatus Logico-Philosophicus" avec cette ouverture d’esprit assurément digne des plus grands initiés…

De cette magie, car s’en est une, l’attraction amoureuse demeure pour la grande majorité une énigme de l’existence et même parfois une sorte d’aberration statistique tant la rencontre peut ne tenir qu’à un fil ténu dans le parcours existentiel de ceux qui en sont directement concernés, est-ce à dire qu’un heureux hasard (encore lui, j’en ai déjà parlé) serait de la partie pour modifier les cartes du destin et ainsi en restituer plus fidèlement un tableau digne des oracles les mieux orientés ? Juste par jeu, certes néanmoins à juste titre, que chacun fasse cet effort de se souvenir des circonstances d’une rencontre, de celle qui aurait pu aboutir pu bien de celle qui l’a effectivement été, ceci à des fins d’une intéressante étude rétrospective pour tenter de se souvenir des divers éléments constitutifs à ces rencontres, avortées ou abouties. Et qu’en est-il du résultat ? Que les rencontres majeures, celles d’orientations amoureuses puisque c’est ici le propos, découlent d’invraisemblables concours de circonstances, d’ajustements incompréhensibles à notre entendement, d’évènements parfaitement mis en phase alors que rien n’en justifiait un tel alignement temporel et spatial si coordonné… Les coïncidences de la vie apportent souvent plus de réponses en y regardant en arrière qu’en tentant de se projeter en avant sans faire référence à ce passé si symptomatique et utile. Il y a souvent une sorte de révélation dans ce constat chez les personnes, profanes en la matière, qui en font objectivement le test et l’analyse, elles font alors cette découverte de la complexité des éléments d’une rencontre qu’elles ont eu, ou bien alors de cette impossibilité, réelle ou "forcée", de ne plus du tout retrouver la moindre trace de ce souvenir ultime, de ce point focal de la rencontre et de ce qui l’a rendu possible, viable et surtout durable…

La réminiscence de ces points de croisement entre deux existences, de ces rencontres, tout comme des "noeuds gordiens" que l’on aurait enfin libérés, apparait alors comme une carte existentielle d’une infinie précision où chacun perçoit soudain avec effarement les itinéraires conjoints se recouper, parfois encore prendre l’exacte même direction parallèlement sans jamais se rejoindre, parfois au contraire se recouper plusieurs fois jusqu’à complètement se confondre sur la même route, strictement au même moment, et selon une implacable logique dépassant celle de la seule intention humaine ou d’une volonté délibérée et consciente. De là à y voir une intervention extérieure, bien intentionnée ou plus maligne dans certains autres cas, il n’y a qu’un pas, celui d’entrevoir qu’une part de destinée liée aux relations amoureuses ne serait pas de notre ressort, dépasserait notre liberté de choix et par conséquent irait à l’encontre d’un libre arbitre réel en interférant ainsi avec nos choix initiaux d’emprunter tel ou tel itinéraire existentiel. Les détracteurs diront qu’il nous est impossible, ou du moins très difficile, effectivement de connaître à l’avance les résultats de nos propres décisions pour en concevoir l’aspect positif ou négatif dans toute la complexité des possibles et ainsi redéfinir notre propre libre arbitre comme une très relative tentative d’interprétation d’un futur sur lequel nous n’avons aucune prise. Mais alors que dire des indices qui nous prédisposent à prendre une direction plutôt qu’une autre, à choisir une personne plutôt qu’une autre ? Sommes-nous réellement libres de nos choix ou bien "quelque chose" nous pousse-t-il vers ce quoi nous devons aller, quoi que nous fassions ou pensions faire ?

L’irrationnel n’est pourtant pas loin dans cette démarche d’analyse rétrospective et de constat démontrant sans cesse que nos décisions les plus importantes, dont celles de nos relations amoureuses, ne sont générées la plupart du temps que par d’infimes modulations de la réalité nous entourant, à l’image de graines semées par une main invisible et habile pour nous en faire récolter les fruits dont nous ignorons tout, d’une part de leur existence sur le chemin que nous empruntons, car hors de notre capacité à concevoir cette germination dans un substrat qui ne nous est pas directement accessible, d’autre part dans l’impossibilité même d’en imaginer seulement la réelle teneur qui finalement en éclora accompagnée de toutes les conséquences attenantes de devoir, par la force des choses, goûter à ces fruits qui se présentent soudain à nous comme issus du seul et unique arbre intéressant au milieu de la forêt mais assez bizarrement placé justement en travers de notre seule route pour devoir forcément y faire face…

Les initiés savent, par acquisition de connaissances ou de manière plus innée, que l’existence ici-bas s’apparente à une longue et invisible quête dont nous aurions sciemment perdu l’orientation au niveau de notre mental conscient, ceci afin de nous laisser guider de manière plus cryptée vers les véritables objectifs à atteindre avec toute la subtilité d’entreprendre pas à pas, au-delà des épreuves imparties, toutes les potentialités qui se présentent à nous, qu’elles soient purement contextuelles ou plus relationnelles. Ainsi, le couple participe pleinement dans l’élaboration de ce parcours existentiel et s’inscrit dans une très large mesure comme un puissant référentiel apportant une grande partie des pièces du puzzle qui devra être assemblé sans pour autant en connaître par avance l’image finale générée. Les limites, les choix et la liberté d’agir pour ce faire sont donc profondément formatés, pour ne pas dire encadrés, à des fins qui logiquement nous dépassent largement en apportant cette touche d’irrationalité du sens de la vie et de la réalité qui nous entoure pour concrétiser l’ensemble de cette structure évolutive.

De facto, il faut voir dans les problématiques relationnelles non pas des obstacles handicapants mais des épreuves à surmonter afin de générer cette volonté suprême d’aller de l’avant, de prendre parfois le temps mais de ne jamais renoncer à enfin voir ce qui se dessinait dans cette globalité de pensées, d’actes et de faits ainsi effectués. Il paraît qu’à la mort l’on revoit toute sa vie se dérouler en accéléré, ne serait-ce pas aussi ici un constat supplémentaire que toute cette somme existentielle a son importance pour en tirer une ultime leçon, une vision récapitulative de cette quête qui n’aurait pas pu s’écrire entièrement sans l’incommensurable apport que les relations amoureuses réciproques génèrent, notamment au sein d’un couple capable de performer durablement cette grande aventure. De même, ne devons-nous pas nous interroger sur le fait que le couple ainsi constitué n’est pas issu d’un pur hasard mais qu’il a été assurément désigné par avance pour évoluer dynamiquement au mieux de ses capacités complémentaires à surmonter les épreuves ? En ce sens, soyons plus attentifs envers les personnes qui nous accompagnent dans l’existence, elles possèdent les clefs dont nous avons besoin pour ouvrir les portes de nos objectifs existentiels (et karmiques dans une plus large mesure), de même que nous apportons aussi nos propres clefs de manière réciproque, et n’est-ce pas là justement la véritable leçon à apprendre, celle de l’échange, inconditionnel, transcendantal et absolu ?

L’ésotérisme et la magie nous apprennent ces vérités, les rituels en sont les outils utiles que l’on peut proposer pour expliciter et améliorer l’existence à des fins karmiques pour que chacun ne perde pas les objectifs à accomplir dans sa propre quête. Je reste à votre disposition pour répondre à vos questions, si besoin, notamment en terme de résolution de problèmes de couple, une exigence karmique s’il en est une, maintenant vous le savez !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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