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Blog chaman ésotérisme

Blog chaman ésotérisme

Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

libre arbitre

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La plupart des initiés, s’ils ont néanmoins vraiment beaucoup d’expérience, peuvent pressentir avec une quasi-certitude si une relation amoureuse pourra encore durer ou bien sera dans l’obligation de se terminer dans des délais plus ou moins relativement courts. Il n’y a que très peu de place au hasard dans l’édifice d’une structure relationnelle aussi complexe que celle du couple et les évènements qui l’accompagnent ont toujours une source, des causes et des effets cumulés, ce qui en fait un ensemble à la fois chaotique et dynamique avec, tout comme le ferait une balance en équilibre au gré d’un fort vent, une multitude de possibilités, bénéfiques ou plus négatives pour la relation. Alors, comment comprendre ces processus, non pas sous l’angle de la psychologie mais sous celui, plus aigu, de l’ésotérisme et de ses vérités universelles ? Il faut dans ce cas forcément inclure des paramètres qui dépassent le seul entendement de notre niveau existentiel, c’est-à-dire entrer dans une sphère supérieure qui commande les mécanismes subtils d’attraction et de répulsion, les mêmes qui sont régis par de grandes lois ésotériques, dont celles qui instaurent notamment les liens karmiques entre individus.

Trop souvent le concept même de "relation karmique" est totalement méconnu, voire complètement rejeté par la grande majorité des gens, il en va de même des liens existentiels programmés ou des itinéraires fixés par des choix karmiques préexistants à toutes autres décisions prises à un moment donné ici-bas. Cet aspect, effectivement très difficile à concevoir et surtout à accepter, va en effet à l’encontre d’un concept qui nous est tous très cher : celui du libre arbitre, des choix que nous pensons être foncièrement les nôtres, ceux dont nous sommes certains qu’ils proviennent de notre propre réflexion intérieure, du mental qui nous caractérise. C’est justement sur ce point qu’il y a erreur quand on sait que notre mental, c’est-à-dire notre Ego intellectualisé, ne peut qu’entrevoir des évènements sur un chemin déjà tracé et non décider du but réel de sa propre existence car aucun individu, au sens de personnalité sur ce plan d’existence, ne peut s’auto-analyser "intégralement" étant donné qu’il n’est ici-bas qu’une partie de son être véritable, en d’autres mots : l’individu sur ce plan d’existence n’est pas complet, il ne peut donc pas "se penser" sans sa partie supérieure qui en a instruit les itinéraires et les capacités utiles pour "exister".

Il est bien question, ésotériquement parlant, d’un Homme Multiple, ou plutôt de ce que nous sommes, en qualité non consciente dans un contexte normal : un être démultiplié sur plusieurs dimensions, dont celle qui nous caractérise tout en bas comme "humain terrestre incarné". Il est évident que cette notion n’est ni simple à concevoir ni intuitivement ni intellectuellement, et encore moins à accepter comme une vérité primordiale, surtout pour notre Ego toujours fier de se croire à la fois performant, visionnaire dans toutes ses décisions et donc maître de sa propre destinée, ce qui en un sens ne serait pas faux s’il prenait en considération l’entièreté de sa propre dimension supérieure, laquelle décide véritablement de tout ou presque… Alors, une fois que l’on a bien intégré cette vérité (multidimensionnelle de l’Être) qui tend à vouloir nous échapper à chaque pensée que nous avons pourtant dans l’instant terrestre, commencer à anticiper la notion même de rencontres et de liens entre individus sous cet angle plus élevé et complexe relève de l’exercice ésotérique pur, de ce que les initiés véritables ne nomment pas "compréhension d’une quelconque vérité" mais qu’ils qualifient de "quête initiatique", et, une fois la notion acquise par cette démarche ésotérique, vient immédiatement "à l’esprit devenu plus ouvert" celles de ces fameux liens karmiques et de l’existence de ces lois universelles sur plusieurs niveaux existentiels.

Penser autrement le couple, les rencontres et les ruptures, c’est-à-dire les liens relationnels humains terrestres, sera sous cet angle plus ésotérique que l’initié aura acquis, à la fois une révélation que ce qui est simplement visible et compréhensible n’est que superficiel et que la réalité de certains évènements apparemment hasardeux ou fortuits ne sont finalement essentiellement que des itinéraires déjà bien tracés d’avance et bien définis à un niveau supérieur, à l’image, certes ici volontairement très caricaturale mais forcément de facto très explicite : celle de placer deux animaux dans une pièce fermée pour qu’ils se rencontrent, ou dans un labyrinthe clos où ils se croiseront forcément à force de déambuler… Évidemment, deux humains, pour former un couple, se verront quant à eux plutôt placés dans un "contexte événementiel spécifique", équivalent à un réceptacle spatio-temporel d’où ils ne pourront pas échapper à leur rencontre programmée… Ce qu’il adviendra par la suite aura aussi été parfaitement orchestré, car encore une fois le hasard tel que nous le concevons n’existe pas dans de telles configurations. Le profane comprendra mieux pourquoi les véritables initiés peuvent très facilement relativiser toutes les épreuves existentielles, dont les pires en les surmontant sans "état d’âme", puisque celles-ci auront été finalement préparées par leur propre volonté supérieure, comme tout un chacun expérimentera d’ailleurs ses propres épreuves, dont vous-mêmes qui lisez ces lignes.

Dans cette vision karmique de l’existence, à savoir que chaque évènement se produit ici-bas pour chacun d’entre nous puisqu’il a été défini qu’il devait se produire à titre d’expérience, nous sommes néanmoins dans ce labyrinthe de la vie avec quelques choix pour tourner dans une direction ou dans une autre mais toujours pour aboutir au même endroit, ce qui nous amène à coup sûr à la rencontre au détour du chemin en circuit fermé. L’image du labyrinthe est elle-même grandement ésotérique et très parlante une fois que l’on en a les clefs, si l’on fait partir deux personnes chacune d’un côté vers le seul chemin qui va au centre, alors le contexte de la rencontre se réalisera (tout en restant surprenant pour les intéressés qui ne savent pas qu’il sont sur la même "trame spatio-temporelle", labyrinthe existentiel…). Si l’on imagine maintenant, assez facilement, que la rencontre dans notre labyrinthe aboutit à ce que l’on appelle communément un couple, alors nous verrons déambuler ces deux personnes ensemble dans cette même trame existentielle pour expérimenter le chemin, en d’autres termes ils seront "ensemble dans la vie". Je vous laisse maintenant imaginer s’il a été prévu d’intégrer d’autres individualités, à dessein, pour en expérimenter les effets, et potentiellement il sera probable que des ruptures (orchestrées) puissent voir le jour ou bien qu'elles puissent être évitées, surmontées.

Le secret des rencontres, notamment amoureuses, demeure pour la grande majorité des profanes un mystère total, mais pas pour l’initié qui sait que par quelques savantes synchronicités qu’il pourra percevoir le contour des liens karmiques des uns et des autres. Parfois aussi, et même encore plus s’il est sorcier-chaman, il pourra accéder à un niveau de conscience lui permettant d’aller chercher l’information nécessaire, ou du moins en demander l’autorisation à des entités supérieures qui pourront, ou non, alors apporter quelques solutions et des éclairages sur le contexte existentiel de certaines personnes à aider. Ce que l’on appelle des travaux de magie consiste justement, via des rituels spécifiques, à contacter ces entités, ceci, toujours en accord avec les grandes lois ésotériques universelles, auquel cas rien ne pourra être divulgué. C’est, en qualité de sorcier-chaman exerçant depuis plusieurs décennies déjà, ce en quoi j’applique les principes durant mon activité professionnelle pour aider à mieux comprendre mais surtout à révéler, la quintessence réelle de la relation dans un couple, ou bien lors d’une rencontre à venir, et parfois aussi le sens d’une potentielle rupture. La vision du réel que nous avons tous ici-bas est toute relative car faussée par notre mental individualisé (Ego), mais la Réalité karmique de nos existences en qualité d’Être multidimensionnel est une Vérité ésotérique certaine. Être initié c’est savoir surmonter et dépasser son propre Ego pour emprunter le chemin de l'évolution.

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

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De multiples fois j’ai pu aborder ce sujet à la fois complexe et essentiel de l’entreprise, du monde du travail, de ses dangers mais aussi de ses opportunités et bénéfices. L’activité humaine est en effet indissociable des relations et des échanges qu’elles génèrent tant au niveau strictement personnel que sociétal, tant en matière d’économie ou de finances qu’au niveau plus psychologique ou même éthique et spirituel. Pour l’initié tout est lié : force de travail, imagination, émulation, esprit d’innovation ou bien plus basiquement en termes de gains et d’efficacité, de cohésion entre les personnes et de relations commerciales. Seule notre capacité à sans cesse vouloir ultra-spécialiser chacun de nos faits et gestes nous sépare d’une réalité plus cohérente et globale, d’une vérité de l’existence qui se joue sur plusieurs tableaux en même temps, des niveaux de compréhension certes parfois sciemment invisibilisés par l’Ego d’autrui ou par des mécanismes institutionnels mal avisés ou relativement sournois. Ainsi, le monde du travail se trouve très encadré, codifié et pris en étau entre deux valeurs fondamentales contemporaines : l’individu cherchant sa propre voie (professionnelle et personnelle) face aux systèmes normatifs de nos sociétés, de véritables bulldozers nivelant chacune des aspirations légitimes en les encadrant strictement de diverses et parfois futiles réglementations dites légales et incontournables.

"Gagner sa vie" pour l’homme d’aujourd’hui, "gagner un marché" pour l’entreprise qui l’emploie, voilà ce à quoi notre univers économique se résume en quelques mots simples pour tenter de tenir debout sans sombrer mais ainsi faire perdurer l’ensemble d’un système que peu de personnes avisées peuvent encore remettre en cause sans se voir immédiatement affubler de divers qualificatifs : de fous, d’incultes ou de parfaits imbéciles. Pour autant, de plus en plus de gens commencent à se rendre compte que c’est bien le système actuel qui semble entièrement donner des signes à la fois de fatigue, de folie en devenant totalement en inadéquation avec la réalité vécue, en somme le système (économique, commercial et financier) commence à montrer très visiblement toutes ses propres limites de fonctionnement.

Dans un tragique marasme construit de crises en crises successives, telles autant de couleuvres à avaler, que ce soit l’entrepreneur ou le simple travailleur, que ce soit le chef d’entreprise responsable ou le pire des opportunistes financiers, tous se retrouvent dans le même bateau qui prend irrémédiablement l’eau, avec un horizon assez peu dégagé et un très mauvais temps à venir… Quelles solutions devons-nous trouver rapidement, pour chacun, et pour tous ? Dans quelles directions saines pouvons-nous encore nous orienter en ne gardant que des itinéraires fiables, bénéfiques et responsables ? Comment donc à la fois sauver l’homme (l’humain, son humanité), sauver l’entreprise (menée "durablement") et sauver la planète (qui nous supporte, dans tous les sens du terme…) ?

Les interrogations, complexes et urgentes, sont nombreuses et nous nous apercevons qu’elles sont toutes intimement reliées les unes aux autres de manières pluridisciplinaires : politiquement, économiquement, socialement, écologiquement en termes d’environnement et de pollution. Le monde de l’entreprise et du travail se situe au cœur de toutes ces préoccupations, il représente l’activité humaine dans sa substance, dans ses aspirations, ses effets et ses causes; ce monde contemporain a si radicalement transformé la vie de milliards d’êtres vivants, humains et animaux que nous oublions que si ces derniers disparaissaient, ce serait alors aussi notre fin, une dégringolade du haut de la pyramide de biodiversité dont nous nous sommes longtemps targués d’en être au sommet. Mais cette hiérarchie de la vie, nous l’oublions trop souvent avec nos propres existences devenues encadrées par une autre réalité, celle d’une virtualisation du monde et d’une sorte d’amnésie que ce dernier, ce monde, ne nous appartient pas au sens qu’il n’est pas à vendre, ce que pourtant nos entreprises, directement ou indirectement réalisent à chaque instant en exploitant ses richesses, la Nature et ses ressources devenues si limitées.

Sauver son entreprise c’est donc aussi dans un premier temps rejeter une grande partie de la toxicité que nous avons engendrée tout en s’éloignant de celle des autres, un changement de paradigme qui se situe d’abord dans notre mental puis dans nos actions pour en récolter une première essentielle satisfaction, celle du mieux agir, de le savoir et ainsi d’ôter de ses propres épaules un premier lourd fardeau, certes psychologique mais fondamental pour la suite. N’oublions pas que beaucoup d’entrepreneurs font faillite effectivement à cause de problèmes principalement financiers mais aussi et surtout parce qu’il ne leur est plus tenable de supporter le poids psychologique de leurs propres actions et de leurs décisions. Quand travailler et s’investir dans son activité professionnelle n’apporte plus aucune satisfaction, déjà à ce stade l’entreprise commence à vaciller sur ses propres fondations. Seule une motivation claire et saine pourra surmonter les problèmes en écartant la plupart des scénarios sombres, c’est ici une Loi Universelle bien connue des initiés : qu’avec un mental positif se profile une activité qui le devient aussi, par attraction. En magie la grande majorité des rituels se base sur cet effet de correspondances, d’interactions et d’attractions, lesquelles sont plus connues dans la Théorie des Jeux des systèmes dynamiques avec des… attracteurs. Économie, activité commerciale, psychologie, choix et libre arbitre, magie aussi sous une certaine forme, tout est lié ou en liens visibles et invisibles : les uns entrainent les autres, certains expliquent ou résolvent les problèmes du système et du contexte présent, d’autres non et ne font qu’aggraver la situation, autant bien s’orienter…

Ainsi l’existence, sorte de jeu de la vie ici-bas, offrira des opportunités à ceux qui connaissent ces règles sous-jacentes, à ceux qui s’orientent au mieux en utilisant ces "attracteurs subtils" s’il fallait les nommer de cette façon en des termes profanes, ce que d’autres initiés dans des sphères différentes appellent des rituels de magie qui utilisent ces attracteurs comme de puissants leviers de réussite repoussant au loin toute négativité, n’empruntant que des voies dont les itinéraires mènent au but désiré, généralement le succès. Bien entendu dans un système complexe l’on est rarement seul à agir et à vouloir emprunter ces chemins pavés d’or, il est donc nécessaire aussi de "savoir anticiper", ici aussi l’on pourrait utiliser les termes des initiés en parlant de "savoir révéler", ôter le voile, c’est-à-dire "pré-voir", autrement dit effectuer une prédiction. Ce domaine appartient très spécifiquement à la Magie Blanche, une magie dynamique qui utilise des rituels de révélation mais qui aussi permet sous d’autres aspects de se réorienter de manière positive sous la forme d’un apport énergétique au niveau du mental puis, par induction, sur l’activité, personnelle et professionnelle.

Sauver son entreprise c’est donc se mettre dans une disposition dynamique positive, dans une posture d’anticipation du réel, mais aussi dans un mode de protection à la fois de soi-même et de son activité. Ici aussi sur ce dernier point la magie Blanche agit avec des rituels de protections spécifiques qui permettront d’écarter une grande partie des problèmes à l’image d’une sorte de bouclier salutaire. Dans d’autres dispositions plus complexes où l’on a affaire à des "adversaires", c’est-à-dire à des personnes ou sociétés concurrentes jugées "négatives" pour soi, alors d’autres types de magie existent en des termes plus offensifs et moins défensifs… En effet, certains rituels de magie ont, dans des contextes clairs et définis, pour but de souscrire à ce dicton connu : "si tu veux la paix alors prépare la guerre", l’on dira aussi lors d’une partie d’Échecs que "la meilleure défense reste l’attaque"… Je vous laisse seul juge de devoir, ou non, demander quelques rituels de magie noire dans le sens où vous vous sentez suffisamment attaqué pour riposter avec une telle puissance, selon le contexte il est parfois nécessaire d’en arriver à ce type d’orientation où le mal s’attaque au mal, pour créer le bien.

La réalité de chaque entrepreneur et de chaque entreprise étant différente dans son activité et dans ses buts, il existe autant de façons différentes d’aborder les problématiques sous des angles bien étudiés au sein de travaux de magie et de rituels spécifiques, dans ce sens le mieux est d’en parler ensemble pour préciser vos besoins et la nécessité (ou pas) d’agir à tel ou tel niveau et orientation. Je reste sur ce point à votre écoute en suivant une déontologie qui nous est assurément commune !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

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S’il est bien un thème qui intéresse et réjouit pratiquement chacun d’entre nous c’est effectivement celui de l’Amour, mais la plupart du temps si l’on se pose la question spécifique  du "pourquoi" alors il est beaucoup plus difficile d’y répondre. En effet l’on dit souvent que l’amour est aveugle ou bien qu’il est insondable dans les cœurs d’en connaître ses secrets, alors comment en trouver une certaine vérité absolue (nue et sortant du puits) lorsqu’en plus l’on ne peut assurément ni rien voir venir ni rien anticiper ? Par conséquent il existe bel et bien ici un grand secret existentiel, ce qui nous fait dire d’emblée que ce thème si mystérieux de l’amour s’affirme de façon ésotérique par essence, du moins très hermétiquement, ceci dans sa nature telle qu’elle devrait nous apparaitre de manière plus simple et en toute réelle clarté. Nous savons tous que rien n’est plus difficile à cerner que l’amour, qu’il ne se laisse pas capturer, qu’il est souvent accompagné de quelques "amis" à la fois très discrets et parfaitement imprévisibles, j’ai nommé : le désir, la sexualité, la libido, l’attraction et les sentiments…

Vouloir connaitre les indicibles processus dont l’amour est constitué c’est déjà en partie vouloir résoudre un puzzle si complexe que chaque pièce peut changer à tout instant, que chaque image exprimée en modifie la forme et donc sa finalité. Pour autant si les mots existent c’est qu’ils apportent aussi des réponses, ainsi l’attraction n’est pas une abstraction, chacun l’aura déjà testée comme une réalité, de même que le désir qui l’accompagne. D’ailleurs n’oublions pas qu’à chaque définition co-existe une autre direction totalement opposée qu’il faudra forcément prendre en compte dans le processus amoureux : l’éloignement et le rejet. C’est aussi une essentielle problématique de l’amour que d’en comprendre sa propre réalité inverse, laquelle peut aussi rester, pour ceux qui en subissent les revers, une mystérieuse question à élucider dans un but d’en modifier la tendance visible.

C’est souvent dans cette perspective, double, c’est-à-dire soit de trouver l’amour, soit de tenter de le conserver ou de ne surtout pas le perdre, que prend forme l’émanation de sa propre magie et l’ensemble des processus de résolutions, certes ésotériques, lesquels ne sont rien d’autre que des rituels pour en maîtriser la course et prendre les meilleurs chemins. Ces travaux de magie, puisque c’est bien d’eux dont il s’agit, auront comme but de s’incorporer aux problématiques présentes, d’en cibler les exacts contours, d’en imaginer des buts pour les transformer en une réalité tangible et désirée. En amour, tout comme en magie, la volonté reste le maitre mot pour agir, d’un côté en action, de l’autre en outil de compréhension du contexte, de son dévoilement, de la désignation des points subtils qui relient deux personnes pour agir sur ceux-ci par un effet de levier à la fois mental et spirituel, voire de manière plus psychique par le biais des rituels instaurés. L’envoûtement d’amour fait partie de ces outils dont la magie rouge (magie de l’amour) utilise l’ensemble des forces d’attraction présentes pour les orienter dans la bonne direction voulue. Parfois pour réunir, d’autres fois pour éloigner.

En ce qui concerne la magie rouge, n’oublions pas qu’elle aussi dispose de deux polarités opposées dans sa capacité à agir sur les relations amoureuses : d’une part et c’est l’orientation la plus demandée, celle de relier deux personnes et d’utiliser les puissances d’attraction pour ce faire, d’autre part à l’inverse la magie rouge pourra tout autant séparer deux personnes dans un mouvement d’éloignement avec comme finalité la séparation. Il est vrai que ce dernier type d’envoûtement sera perçu de manière plus négative que celle qui cherche à réunir mais ne faut-il pas un tant soit peu détruire, ou modifier, pour mieux reconstruire ? Chacun aura son avis sur la question qui reste ouverte, sachant que rien n’est jamais figé ou inerte, tout peut à chaque instant, si la volonté est plus puissante, s’inverser et se réorienter, rien n’est jamais non plus en équilibre parfait et une multitude de paramètres sont continuellement en jeu pour en modifier chacune des cartes en main.

Ainsi, lorsqu’un problème de couple advient, un grand nombre de ces paramètres commencent à s’actionner de manière discrète, pour ne pas dire subtile, laissant envisager une potentielle rupture après une phase d’éloignement. Inversement l’attraction amoureuse, le désir et la sexualité pourront accentuer une tendance déjà présente à des fins de constitution de liens conduisant à l’union dans le couple ainsi constitué. Pour chacune de ces deux principales tendances la magie rouge pourra effectuer des rituels pour aller dans le sens en cours ou bien pour s’y opposer. Parfois cette magie rouge ne suffit pas en termes de puissance pour opérer efficacement sur le cours des évènements et il sera alors nécessaire de recourir à des processus plus musclés dont on sait qu’ils peuvent faire appel à certains rituels de magie noire dans ce sens où la destruction ciblée d’un point clef pourra engendrer une construction positive allant dans la direction demandée… Ce type de magie, "entre-deux", pourra s’intituler "magie pourpre" afin de teinter la magie rouge d’un soupçon de la très charbonneuse magie noire, sans pour autant en adopter l’intégralité des codes négatifs.

Dans un autre registre plus lumineux, l’amour se doit aussi d’apparaitre avec plus de clarté lorsque l’on doit décider d’une orientation à prendre, aussi, cette fois-ci c’est à la magie blanche d’être à l’honneur lorsqu’il faut avant tout dévoiler une situation confuse, en trouver les secrets avec les bonnes clefs, pour dégager un itinéraire afin que les travaux de magie puissent se dérouler dans de meilleures conditions, non seulement de compréhension du contexte en présence mais aussi du choix véritable qu’il faudra effectuer. Dans cette perspective complète l’on s’assurera que chacune des magies utilisées le sera à bon entendement, selon le respect des grandes lois qui imposent des limites karmiques à la modification des épreuves à expérimenter, lesquelles sont aussi autant de quêtes à poursuivre pour réaliser sa propre initiation existentielle, c’est-à-dire une évolution spirituelle effective. L’amour, n’en doutons pas un seul instant, demeure l’outil majeur pour accomplir ou non ces quêtes, du moins pour en tester les conséquences et causalités en toute responsabilité selon un libre arbitre toujours bien encadré pour avancer, même dans des situations négatives souvent perçues dans une trompeuse immédiateté, restant à décrypter au-delà des premières apparences…

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

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En ésotérisme, tout comme en sciences, bien des questions fondamentales restent toujours en suspens et le seront certainement encore longtemps. Néanmoins, quelques éléments de vérité ont effectivement été découverts au fil des siècles, apportant inlassablement de nouvelles questions sans réponses immédiates. De toutes ces questions il en est une plus singulière et résistante, celle qui nous caractérise d’ailleurs en qualité d’être humain possédant la conscience du soi : un questionnement universel qui réside dans le fait de rechercher le véritable but de l’existence et celui de la vie en particulier. De ce grand mystère émanent quelques parcelles de lumière pouvant orienter ceux qui cherchent une explication d’ordre métaphysique, ceux qui s’interrogent sur le fondement même de notre réalité au sein d’un univers tout autant déroutant et insondable avec nos outils actuels. Dans ce sens quelques grands initiés au cours du temps n’ont eu de cesse que d’entrouvrir des portes représentant des concepts souvent relativement complexes à saisir pour les profanes, parmi ces concepts ésotériques, philosophiques ou métaphysiques l’on pourrait citer ceux-ci : la synchronicité, le chemin de vie, le libre arbitre, l’analyse karmique, les mémoires akashiques, le niveau de conscience vibratoire, la notion de bien et de mal, les dimensions invisibles avec leurs entités extradimensionnelles respectives, etc.

Que de notions très obscures pour la grande majorité des gens, ce sont effectivement des termes dont le sens profond leur reste souvent insondable pour plusieurs raisons assez évidentes, d’une part il faut avoir un esprit suffisamment curieux et ouvert pour aborder de tels thèmes dont la théorie ne s’appuie généralement pas sur une quelconque logique cartésienne, et disons le de suite, beaucoup de gens préfèrent fuir ces concepts plutôt que de perdre leur temps et peut-être aussi une crédibilité face à une majorité qui doute de leur bien-fondé. Deuxièmement, il faut assurément se poser longuement les bonnes questions avant d’arriver à un résultat tangible, ce facteur temps nécessaire à la réflexion et à l’étude n’est pas simple à gérer dans un monde où s’imposent d’abord le travail et les loisirs… De ce fait peu de personnes se trouvent dans une situation propice à l’étude et à la réflexion sur ces grandes thématiques existentielles, lesquelles ne sont même enseignées que superficiellement en philosophie, voire jamais. Que dire des véritables initiés qui auront su capter ne serait-ce qu’une étincelle de vérité pour en comprendre certains principes et les appliquer régulièrement : ils se comptent, a priori, sur les doigts d’une main.

Bien entendu, mais ceci reste à relativiser, nous voyons certes un engouement progressif pour les "choses spirituelles", comme si la spiritualité pouvait être chosifiée, mise en rayon comme un objet accessible facilement et dont tout le monde pourrait en quelques minutes en saisir toute la portée et le bénéfice d’une quête qui se réaliserait instantanément… Notons en passant que ce n’est d’ailleurs pas le but de la quête qui est en soi important mais l’itinéraire emprunté, c’est-à-dire l’initiation complète du parcours entrepris, ce qui ne s’acquiert pas en quelques minutes, il faut parfois une vie entière (et même plus) pour tenter de se confronter à une intrinsèque Réalité et à ses lumineuses réponses. Bien heureusement, chacun saura tirer partie de son propre chemin de vie, qu’il sache d’ailleurs à quoi il correspond ou non comme concept clef dans sa propre existence, car nous sommes tous sans exception aucune, en toute conscience ou non, en perpétuelle initiation du principe de la Vie.

Parmi ces essentiels principes celui de mémoire semble le plus important puisqu’il conditionne grandement la perception que nous avons non seulement de l’existence terrestre vécue in situ mais aussi de celles que nous aurions vécues auparavant, c’est-à-dire des vies antérieures ainsi que de la phase intermédiaire "d’entre-vies". Ce concept, appelé métempsycose ou transmigration des âmes (réincarnation pour ceux qui préfèrent ce terme) permet de multiplier les épreuves et donc d’effectuer une suite de quêtes initiatiques à des fins de perfectionnement. Dans presque toutes les religions, et dans la plupart des dogmes ésotériques, l’on retrouve une notion capitale qui accompagne ce processus : la perte de mémoire des vies antérieures mais aussi du moment "d’entre-vies" où se déroule une sorte de constat et de choix à effectuer, de "missions de vie" à suivre. Par conséquent personne ici-bas ne peut exactement savoir quel est son but personnel dans sa vie ni quelles sont ses épreuves pour réaliser sa quête initiatique… Pour autant, rien n’est jamais effacé ou irrémédiablement perdu, tout est intemporellement inscrit dans des archives dites "akashiques" (sortes de "disques durs universels"). Que l’on pense ou pas que l’existence, ce "chemin de vie", soit jalonnée de "missions de vie" à effectuer, demeure une information capitale en soi puisqu’elle conditionnera nos choix conscients et modifiera notre semblant de libre arbitre.

Si personne ne peut effectivement connaitre précisément le type d’épreuves et d’initiations qu’il doit effectuer dans sa vie, comment pour autant certaines personnes, dites "initiées" ou désignées comme telles, peuvent en avoir connaissance un tant soit peu pour elles-mêmes mais surtout pour autrui ? Laissons de côté de potentiels surveillants supra-humains qui auraient cette capacité intacte et innée de pleine conscience de l’ensemble du processus évoqué, il est néanmoins plus que probable qu’ils existent et se fassent, sinon très discrets, du moins extrêmement prudents et totalement hors d’atteinte par nous sur ce point. Par contre ces informations "karmiques" peuvent être captées, d’une part lorsqu’elles font partie à un moment précis (à un "carrefour de vie") d’une réminiscence programmée à un niveau supérieur. Dans ce cas une sorte de dialogue intérieur (et multi-niveaux) sera déclenché avec pour but de faire bifurquer une personne sur une voie précise qu’elle n’aurait pas pu trouver par elle-même, ce qui ne signifie pas que l’épreuve à suivre en sera facilité, elle sera juste à disposition. Dans d’autres configurations, par exemple dans le cas de synchronicités, ce sont des évènements et pensées qui viendront conjointement apporter cette bifurcation existentielle, à ne pas manquer…

Dans le cas précis où, celui d’un chaman professionnel, serait habilité à effectuer une analyse karmique pour une personne, alors celle-ci pourrait, par intercession, en être informée dans sa juste limite, c’est-à-dire en concordance avec les Grandes Lois universelles qui permettent que chacun prenne ses responsabilités selon un libre arbitre "encadré" par l’ensemble du processus tel qu’il a été ici évoqué. Ainsi, le chemin de vie et ses missions sont tracés d’avance mais l’itinéraire reste libre, à chacun d’emprunter une voie plutôt qu’une autre sur l’ensemble de ce qui co-existe pour sa réalisation existentielle, pour son évolution spirituelle. Dans ce sens l’on parle aussi de montée en fréquences vibratoires lorsque l’on accède à un niveau supérieur de conscience par l’entremise des multiples épreuves initiatiques effectuées. Notons enfin que même lorsqu’une épreuve n’est pas surmontée à 100% elle ne constitue pas un impardonnable revers en soi, tout comme l’apprentissage du jeu d’Échecs où chaque partie, gagnée ou même perdue, représente une avancée et donc un savoir pleinement acquis. Il n’y a ni bien ni mal dans la façon d’aborder un acte initiatique du moment qu’il advient et se voit finalement effectué.

En cette période estivale, la réflexion sur ces sujets ésotériques complexes sera je le pense plus simple à assimiler pour ceux qui n’en seraient pas avertis ou habitués, et, évidemment je resterai à disposition pour répondre non seulement aux questions existentielles mais aussi si besoin pour des travaux plus élaborés en fonction des rituels ciblés dont chacun aura peut-être la nécessité d’en avoir usage pour opérer ce type d’analyse karmique assurément positive !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

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Le sujet est vaste, souvent ignoré par notre mode de vie qui ne laisse que peu de choix ou de temps pour son étude et son apprentissage, le thème de la spiritualité reste encore à la marge des préoccupations de nos contemporains, surtout en Occident où la matérialité du monde se présente comme la seule alternative rationnelle à la réalité de celui-ci. Pour autant, et pour paraphraser André Malraux en d’autres de ses mots : "Je n’exclus pas la possibilité d’un événement spirituel à l’échelle planétaire au XXIe siècle." (1) Dans ce sens, et a contrario d’une certaine tendance actuelle, un revirement pourrait intervenir, peut-être en réaction à un monde déshumanisé, afin qu’un renouveau spirituel puisse émerger et s’établir en toute sagesse et sérénité pour en calmer les trop nombreux tourments et autres infernales désillusions mondialistes, voire aussi pour déjouer les délires transhumanistes en embuscade ou les hallucinants "désirs" de guerres…

Mais pour le profane, et même pour certains initiés : qu’est-ce donc que cette "spiritualité" dont on parle tant sans jamais oser en signifier clairement la véritable profondeur, ou l’altitude ? L’on ressent de suite que, de bas en haut, et inversement, à la manière d’un Hermès dans sa table (2), une dimension transparaît alors sur plusieurs niveaux au-delà du voile, du gouffre vers les sommets cette spiritualité aurait-elle justement la fonction initiatique d’un passage de l’un vers l’autre, ou bien de projection d’une vérité plus absolue que celle du commun des mortels ? Et justement, comment donc vouloir et pouvoir bien "s’équiper" pour une telle ascension en apparence si indiscernable ou si sensiblement hermétique ? Avant d’y accéder, il faut déjà comprendre un tant soit peu en quoi correspond "la spiritualité", ce que ce simple mot qui le désigne reflète de sens, mais aussi dans quelle direction il emportera celui qui s’y confronte et ce qu’il lui apportera. Effectivement, pour le profane la spiritualité sera telle une vision aussi vaporeuse qu’un brouillard sur une route de nuit, elle n’aura pas de correspondance tangible dans le quotidien pour spontanément s’affirmer avec un intérêt utile ou pragmatique, c’est qu’elle dépasse en effet cet aspect utilitaire accordé aux choses matérielles, elle ne s’en détache pourtant pas puisqu’elle explique cette même matérialité, celle de tous les possibles, en la transcendant.

La spiritualité sert donc de guide, c’est une expérience à la fois personnelle et intégralement universelle dans cette capacité à tout expliquer, dans cette accession à de multiples solutions autres que celles qui s’inscrivent dans un matérialisme pragmatique, ceci en dépassant ce dernier ou en le surmontant pour en avoir une hauteur de vue plus large, plus proche d’une vérité amplifiée par une sagesse bien plus éclairante. En d’autres mots la spiritualité permet d’accéder à une hauteur d’esprit qui s’apparente à une démultiplication de la conscience pour en dévoiler les liens intimes entre le soi et le monde, pour ainsi en trouver les chemins évolutifs les plus adaptés à la personne et s’y engager avec plénitude et sérénité. Il y a donc dans une juste démarche spirituelle la volonté pleine et assumée, non seulement de faire évoluer son esprit sur des horizons plus élevés et vastes, mais d’en percevoir clairement "les plans invisibles" qui s’en dégagent par les biais d’une révélation qui n’appartient qu’à soi. C’est aussi pour cette dernière raison qu’il est si difficile pour les uns et pour les autres d’en exposer une unique définition générique tant il n’y en a que de multiples et strictement personnelles qui façonnent chaque individualité dans sa propre recherche spirituelle, de ce fait y accéder c’est accéder à son véritable Soi, à une dimension plus haute de son Être, à son unification et à son édification.

Vouloir définir un "mode d’emploi" en ce qui concerne la spiritualité demeure tout aussi complexe car il existe une infinité de biais, tous intimement personnels et fonctions de l’histoire de chaque individu dans son propre contexte et entourage pour en trouver les bons chemins à emprunter singulièrement. Néanmoins, et de manière plus générale, une personne commence à s’intéresser à l’aspect spirituel de sa propre existence lorsqu’elle perçoit la nécessité d’en trouver un sens, rien de moins simple que de chercher un sens à sa vie, à tenter de comprendre ce qui a été entrepris par et pour soi-même, à se demander si l’instant ultime où l’on se pose la question n’est finalement pas déjà un début de conscientisation pour accéder au commencement d’une interrogation plus profonde, devenant elle-même sa propre dynamique de recherche, de simple curiosité ou semblant hasard l’on entreprend une quête de soi et du monde avec cette immense et vertigineuse vision qui s’ouvre soudain à l’esprit pour aller encore plus loin. Certes, tout le monde ne dispose pas de ce type d’automatisme naturel qui déclencherait, du jour au lendemain et sans vraiment prévenir, cette mystérieuse étincelle interrogeant au plus profond de soi, bien au contraire, ce sont encore une fois des circonstances personnelles qui occasionneront cette chance ou cette opportunité de s’engager sur cette voie d’ouverture d’esprit.

Ceci dit, la plupart du temps il n’y a pas de hasard, le regard que l’on se porte sur soi-même, c’est-à-dire cette "réflexion" au centre de son propre miroir, s’effectue toujours à un moment opportun, que ce soit durant une rencontre qui sèmera le germe de l’interrogation spirituelle, ou bien celui d’un évènement troublant s’avérant jouer le rôle d’un essentiel catalyseur… Parfois la prise de conscience commence par un accident apparemment futile ou de second ordre dans la vie de la personne, puis, par les méandres subtils qui forment les possibles chemins sur lesquels l’existence s’appuie, vient l’instant fugace d’une sorte d’interrogation qui illumine la conscience en lui désignant une autre direction plus élevée dans sa propre vie et celle des siens. Des circonstances spéciales peuvent intervenir dans ce sens où l’on a une intime et certaine conscience d’entrer dans une dimension spirituelle plus affirmée ou nouvelle, par exemple lorsqu’une maladie, un accident ou une circonstance autre du même acabit sont très clairement perçus comme une interruption de la routine quotidienne avec l’étrange sensation que la suite des événements n’est plus écrite comme on l’aurait pensé habituellement. De cette désorientation naît généralement la recherche induite d’une redirection intellectuelle et spirituelle très différente de la précédente période d’existence, suivant un élargissement de la conscience, le début d’une élévation spirituelle réelle qui perdurera pour affiner son objectif de recherche d’évolution.

Les initiés, sans vouloir les différentier de manière hautaine ou discriminatoire en regard des plus profanes d’entre nous, disposent de cette élévation spirituelle propre à leur donner par bien des aspects intéressants les meilleures directions à des fins d’évolution, ils ont eu, plus ou moins, de cette première étincelle révélatrice la vision de leur moi réel, c’est-à-dire de ce qu’ils sont sur plusieurs plans d’existence, en des dimensions dites spirituelles supérieures que l’on pourra d’ailleurs appeler sous d’autres termes plus adaptés (ange gardien, entité tutélaire, djinn personnel, etc…). Chacun, dans cette posture d’initié, dispose aussi du choix, celui de son libre arbitre qui n’est lui aussi rien d’autre qu’une initiation en soi, celle d’effectuer des rituels simples, comme la méditation et l’étude de textes sacrés ou bien des travaux plus complexes comportant des applications relatives à la magie naturelle ou à des cérémonials plus poussés et plus contraignants s’ils en ont la volonté de s’y engager. Certains, mais encore une fois c’est leur choix, iront jusqu’à modifier leur alimentation ou prendre certaines substances en vue d’expériences psychosensorielles leur apportant des réponses qu’ils n’arrivent pas forcément à obtenir par des voies plus normatives. Sur ce point je ne recommande nullement ici cette utilisation qui reste néanmoins celle que la plupart des chamans ont pu expérimenter durant des millénaires, mais nul n’est chaman qui veut et l’itinéraire des initiés de haute magie est assurément parsemé de terribles souffrances avant d’arriver à une quelconque extase véridique et significative…

Pour finir, comme le disait Paracelse (3) : "Tout est poison, rien n’est poison, c’est la dose qui fait le poison", dans ce sens voyons aussi la spiritualité, la vraie, comme un soin de l’âme en sachant bien la doser, sans hasard, selon le besoin et la nécessité, forcément d’orientation karmique à ce niveau d’exercice infiniment complexe !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel


Note (1) : Propos rapporté par Brian Thompson dont Malraux lui aurait dit mot pour mot que le « XXIe siècle sera religieux ou ne sera pas » au cours d’une interview donnée à Verrières-le-Buisson en 1972. Marlaux ayant rectifié en 1975 que : "On m’a fait dire que le XXIe siècle sera religieux. Je n’ai jamais dit cela, bien entendu, car je n’en sais rien. Ce que je dis est plus incertain. Je n’exclus pas la possibilité d’un événement spirituel à l’échelle planétaire."

Note (2) : En référence à la Table d’Émeraude d’Hermès Trismégiste, voir le lien ici sur le blog

Note (3) : Paracelse (1493-1541), médecin, philosophe et alchimiste, mais aussi théologien laïc suisse.

 

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Avant d’entrer d’emblée dans le sujet pour comprendre, connaitre, puis enfin résoudre des problèmes de relations amoureuses (visibles ou sous-jacentes), il est assurément important d’élargir le contexte en ne partant pas uniquement des individus mais surtout du chemin sinueux qui les a porté non seulement à se rencontrer mais aussi à suivre les contraintes anciennes et présentes qui permettent de bien mieux définir la réelle et complexe sphère agissante qui dirige leur vie. Cette importante "sphère d’information" est elle-même sous influences d’autres types de contraintes extérieures multiples, de décisions périphériques à leur propre histoire mais ayant une incidence réelle. Enfin, cet ensemble est lui-même soumis à de grandes lois universelles supérieures non écrites (celles qui sont d’un ordre plus hermétique, à savoir karmique). L’Histoire elle-même, avec un grand H, fait aussi partie intégrante des paramètres à suivre selon un déroulement structuré pour en comprendre les effets, diverses répercutions et conséquences sur les individus, sur ce point l’exemple sociétal abondamment théorisé et le plus explicite bien que déjà ancien pour le sujet qui pourrait nous intéresser serait celui de ladite "libération sexuelle" d’après mai 68 et des mouvements sociaux en France (et ailleurs dans le monde par ricochet jusqu'à aujourd'hui) qui en ont résulté. Mais, sans vouloir trop compliquer une situation déjà multiforme, évolutive et non formelle, chacun sera aussi plus ou moins réceptif à l’ensemble de ces changements et de ces diverses contraintes, ce qui modèrera (sans simplifier pour le moins) toute démarche uniforme et trop généraliste pour en tirer de trop rigides conclusions.

Pour résumer clairement et pouvoir ainsi commencer à mieux cerner génériquement le problème et y répondre : nous avons ici en place une sphère contextuelle très structurée ayant au moins quatre grands paramètres qui jouent sur l’humain : spatiaux (pays et traditions, lieux, déplacements, etc.), temporels (dates importantes, histoire personnelle, mouvements Historiques et politiques, etc.), la prise de conscience de l’intéressé lui-même face à ces paramètres avec son essentielle rétroaction (1) psychique (réponse à l’ensemble des affects, subis, acceptés ou rejetés, voire neutralisés, qui accentuent ou modèrent les causes et/ou les effets), enfin et pas des moindres, l’influence décisive mais discrètement induite (notoirement invisibilisée au profane) d’un niveau supérieur axé sur la mission de vie et la part d’orientation karmique (2) avec ses épreuves (initiatiques et existentielles), sa route (sa destinée) et ses chaines (selon dette karmique, positive ou négative). Une fois que ces éléments sont préalablement posés nous pouvons commencer à travailler pour connaitre une situation dans le cadre d’un contexte réel proche d’une vérité sensiblement objective et bien cernée, notamment en ce qui concerne ici plus précisément ce qui nous intéresse : les relations amoureuses et leurs problématiques, lesquelles sont souvent, par essence comme nous le savons, relativement compliquées à comprendre et à aborder…

Afin de comprendre spécifiquement la relation amoureuse qui lie deux personnes, commençons par vérifier les potentiels points de frictions, c’est-à-dire les points qui pourraient s’opposer à cette relation ou la rendre plus difficile. La tradition de chacun : il est clair que deux individus n’ayant pas les mêmes bases sociétales, religieuses, ou traditionnelles auront plus de mal à "s’identifier dans l’autre" et donc à y percevoir les essentiels points communs pour s’apprécier d’autant plus. Ne dit on pas qui se ressemblent s’assemble ? Ce n’est heureusement vrai qu’en partie, sinon personne ne serait en couple tant nous sommes tous différents, ce qui est aussi un élément non pas à charge mais à l’avantage de ceux qui s’unissent que de revendiquer des différences pour les apporter, les offrir, à l’autre. Voyons d’ailleurs immédiatement dans cette "offrande" un véritable rituel à part entière et au sens strict, même si cela n’est pas visible ou ressenti comme tel pour un profane, elle l’est déjà parfaitement identifiée comme telle pour un initié ! D’offrande à sacrifice, il n’y a qu’un pas qui n’aura pas échappé à la sagacité intellectuelle et ésotérique pour relier deux concepts véritablement clé en magie opérative afin d'effectuer des rituels puisqu’une demande ritualistique se base à la fois sur l’élaboration orchestrée d’appels symboliques (demandes, prières, invocations, communications, etc.) et de dons qui sont multiples. La notion de don peut être de deux types : matériel (un objet usuel ou plus symbolique, une mèche de cheveux, une sécrétion sexuelle, du sang, des animaux, des plantes, etc.) ou bien des dons immatériels : ne serait-ce que le temps de cérémonie et de méditation, des pensées imagées (puissance de la volonté), des paroles répétées (mantra), des symboles tracés puis utilisés (brulés rituellement, dissous alchimiquement, enterrés, lavés, déplacés ou orientés, etc.).

"Savoir, Oser, vouloir, se taire", résume clairement aussi l’action de la volonté d’agir magiquement selon l’ésotériste mage Eliphas Levi (3) qui en définit ici des principes à suivre qui parlent d’eux-mêmes sans avoir à approfondir longuement. Ce que l’on pourra utilement en retirer de sagesse ésotérique c’est qu’effectivement avant toute action, comme dit précédemment, il sera nécessaire de savoir, de comprendre et d’analyser un tant soit peu la situation et le contexte réel avant tout travail de magie, ceci semble une évidence. Oser, demande que l’on dépasse certaines limites, notamment les habitudes lorsque l’on est "en demande" puisque ce n’est qu’en rupture (légère ou radicale) de son mode de vie ou de penser que l’on pourra aborder un changement, ceci aussi tombe sous le sens, il n’y a que ceux qui ne tentent rien qui ne gagnent pas au change. Enfin, "vouloir" apporte la clé indispensable, tant de la part du demandeur que du praticien, en effet rien ne se fera sans une volonté" préalable à l’acte, que ce dernier soit d’ailleurs concret et profane ou plus ritualistique et ésotérique. De plus, pour les initiés la volonté représente aussi une "matière subtile" à part entière qui se transmute et entre en sublimation pour transformer la réalité et changer le cours des choses… Se taire ensuite, car la notion de secret développe une puissance occulte participant à l’appel de forces invisibles qui ne veulent ni être nommées ouvertement à tout vent, ni être même pensées ou représentées à un niveau profane, ce qui serait alors littéralement une profanation d'un rituel en cours, une dégradation des effets attendus et enfin une terrible offense envers les entités en présence ou ayant participé aux travaux.

Vouloir améliorer une situation amoureuse compliquée et qui pourrait dégénérer, voire aboutir à une rupture, c’est donc mettre en oeuvre toute un complexe processus à la fois long, énergétiquement parlant assez lourd à supporter, rigoureusement échelonné selon des principes et des concepts à suivre à la lettre, et enfin avec la plus grande discrétion qui soit, voire avec un secret absolu si besoin. Il est clair, net et précis que dans ces termes seuls les professionnels auront assez de connaissances ésotériques et magiques, d’expertise dans l’expérience en la matière et en l’esprit du don de pouvoir obtenir des résultats satisfaisants ou significatifs. Sans oublier la notion de tempo, de séquençage des rituels, des appels aux bonnes (ou plus spécifiques) entités et des modulations ou ajustements à effectuer souvent en temps réel : aucun profane en activité dans un monde lui aussi profane n’en aura la pleine capacité, le temps, le savoir-faire, l’énergie et la volonté affirmée selon les principes évoqués précédemment. Bien au contraire, en exposant ici très sommairement les notions ritualistiques, il est strictement déconseillé de tenter d’effectuer seul pour soi-même des rituels de retour d’affection ou d’autres d’ordre de la magie rouge, cela serait à coup sûr dommageable pour la situation et pour celui ou celle qui opère sans les bons outils ni les connaissances requises. Ceci ne signifie pas qu’un profane puisse tout de même s’intéresser à ces problématiques hermétiques, qu’il en étudie les concepts et qu’il puisse, à son niveau, en récolter quelques fruits positifs par une attitude lui permettant d’entrevoir une certaine sagesse de l’amour pour que sa relation de couple en soit réellement bonifiée. N’oublions pas que le libre arbitre allié à la volonté, bien orientée et persévérante, seront les meilleurs atouts pour la réussite d’un projet, d’autant plus si celui-ci apporte l’harmonie et la stabilité demandée. Dans ce sens, et ce qu’il faut avant tout principalement retenir et appliquer : soyez toujours à l’écoute des élans primordiaux de votre coeur, parfois plus que de votre mental analytique ou de votre intellect purement logique, il est le seul indicateur à suivre sur le chemin de vos sentiments si ceux-ci sont effecitvement véritables !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel



(1) Rétroaction :
Une rétroaction est une interaction dans laquelle la perturbation d’une variable provoque le changement d'une seconde variable, qui influe à son tour sur la variable initiale. Une rétroaction forme une boucle fermée dans un diagramme de causalité. Une rétroaction positive est un processus qui a pour effet d’accentuer les perturbations, le processus s'autoalimente, par exemple dans le cas d'une explosion. Une rétroaction négative est un processus qui a pour effet d'atténuer les perturbations et provoque un amortissement qui permet une régulation. Ce processus intervient aussi comme agent causal sur sa propre origine, la séquence des expressions de la cause principale et des effets successifs formant une boucle de rétroaction.

(2) Le Karma : est l'action sous toutes ses formes, puis dans un sens plus religieux l'action rituelle. C'est aussi une notion désignant communément le cycle des causes et des conséquences liées à l'existence des êtres sensibles. Il est alors la somme de ce qu'un individu a fait, est en train de faire ou fera. Le karma est propre aux religions et spiritualités orientales ayant adopté le concept de renaissance (parfois nommée réincarnation ou transmigration), lié au fait que les êtres renaissent en fonction de la nature et de la qualité de leurs actes, dans cette vie-ci, mais aussi dans d'autres vies qui se sont déroulées antérieurement. Ainsi tout acte (karmique) induit des effets censés se répercuter sur les différentes vies d'un individu, formant ainsi sa destinée. Dans l'hindouisme et le bouddhisme, le karma permet finalement de se libérer du cycle des morts et des renaissances qui sont des épreuves initiatiques à expérimenter, l’état de libération est appelé nirvāna. En occident : pour les kabbalistes modernes, le karma est une série d'épreuves que l'on s'est choisi juste avant sa naissance, le but de la vie étant de réussir ces épreuves. Pour les théosophes l'usage de ce concept se résume sous la forme d'une loi de rétribution ou loi de cause et d'effet (positive ou négative).

(3) Eliphas Levi : est un ecclésiastique français et une grande figure de l'occultisme du 19e siècle (1810-1875). Auteur de nombreux essais ésotériques, notamment de : "l’Histoire de la magie", "Philosophie occulte : fables et symboles" et "Philosophie occulte : science des esprits".


 

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"Le sexe est une drogue et l’amour est son dealer", une phrase sans équivoque aucune qui résumerait assez bien la situation réelle inscrite au coeur même de notre génome depuis le début de l’Humanité si ce n’était, qu’à notre époque instable où le wokisme (1) ambiant bât son plein, ceci en toute désorientation, instrumentalisation et destruction mentale téléguidée, qu’il est devenu bon de nous expliquer avec grande force de conviction que finalement chacun est strictement libre de se revendiquer sexuellement sous n’importe quelle bannière, réfléchie ou non, sans exception, de celle asexuée à celle non genrée, en passant par la posture de se prendre très sérieusement pour une licorne, pour un elfe, plus "raisonnablement" pour tout autre animal domestique, sauvage ou à défaut imaginaire si on le souhaite, du moment que le choix est assumé en toute "véritable conscience personnelle"… Vouloir confondre le libre arbitre éclairé et une liberté infinie complètement en dehors des clous de la réalité, voilà ce à quoi nous arrivons lorsqu’une société est devenue définitivement malade de ses propres impossibles désirs égotiques qu’elle projette sournoisement sur ses gentils administrés afin de les promener au pays d’Alice et de ses Merveilles pour qu’ils ne réalisent pas (ou plus du tout) qu’ils sont devenus les instruments d’une volonté de masquer toutes vérités pour les noyer dans une illusion globale formatée à l’échelle d’un monde devenu unifié sous l’égide de ce nouvel ordre que l’on voudrait nous imposer, ou plutôt encore mieux : que l’on voudrait nous vendre au prix le plus cher, celui d’une très désirable idiocratie (2) libertarienne à l’excès et généralisée à tous les étages.

Mais n’est-ce pas finalement là le comble d’un ultralibéralisme forcené et apparemment inarrêtable, lequel après avoir happé goulument l’ensemble du marché des biens à la consommation existants et des ressources de la planète, se mettrait aujourd’hui soudainement aussi à dévorer ses propres potentiels consommateurs jusqu’au bout de son extraordinaire folie furieuse ? Chacun sera libre de juger de la pertinence de se questionner en répondant à cette formulation sociétale qui nous éclaire sur la triste fin de règne d’une pseudo-élite intellectuelle, financière et politique qui cherche à nous perdre définitivement dans ses fantasmes et dans ses déviations idéologiques dignes des meilleurs canulars, sauf que le débat semble bien sérieusement à "l’ordre du jour" surtout pour le meilleur du pire à venir si un sursaut de lucidité n’intervient pas assez rapidement pour ouvrir les yeux des rêveurs éveillés intoxiqués par ces fumeuses dérives savamment instillées. Mais dans tous les cas soyons certains que cette perte de conscience institutionnalisée sera très vite rentabilisée par ceux qui ont lancé avec une réelle malignité cette mode pour décérébrés volontaires, qu’ils en feront un surcroit de pouvoir sur ces pantins faussement libérés qui se seront pris au jeu en pensant en suivre les règles que d’autres ont écrites pour eux afin de mieux les asservir. Mais ici, après cet aparté, n’est pas principalement le propos puisqu’il est question de sexualité et de libido et non des dérives instrumentalisées que l’on cherche à inculquer aux plus faibles esprits ou aux non suffisamment avertis des incroyables malversations et innombrables aberrantes élucubrations de nos dénommés dirigeants.

De même que durant des siècles la sexualité a été relativement durement réprimée au quotidien et presque totalement bannie du débat public sous couvert d’une douce religiosité et d’une amère moraline (3), l’on a progressivement vu s’éloigner toute l’intelligence naturelle du corps à s’exprimer selon ses propres capacités à réguler une libido de manière stable et harmonieuse, engendrant ainsi diverses maladies mentales et autres déviations morbides dont se sont vite emparés les adeptes d’une psychanalyse freudienne pour tenter d’en rationaliser les effets. À défaut d’équilibre naturel, c’est bien l’inverse qui a eu lieu avec des notions de péché mortel purement inventées pour manipuler les masses et leur faire porter tout le fardeau d’une faute originelle elle-même véritablement digne des meilleurs contes de fées revisités… Il n’est donc pas illogique d’avoir vu, à l’extrême, un renversement des dites anciennes "valeurs" de nos jours à des fins paradoxalement identiques, en ce sens, toujours le même, qu’il faut cette fois-ci contrôler en laissant chacun non pas dans un carcan serré de dogmes moraux mais au contraire dans l’infinie dilution de normes amorales dans le but de faire perdre tout repère. En ésotérisme, et les initiés ne le savent que trop bien, ces deux extrêmes se recoupent sous un seul idiome hermétique, celui du "Solve" et du "Coagula" (voir note /!\), c’est-à-dire les deux principes inverses qui permettent la dislocation et le chaos : dissoudre (dans l’acide) ou figer (dans le marbre), autant dire que d’un côté comme de l’autre personne ne résiste longtemps à cette alchimie, luciférienne s’il en est une, par excellence…

C’est justement par le décryptage ésotérique, celui que l’on n’apprend pas à l’école, ni dont on parle sur les médias, que les initiés (terme générique nullement prétentieux de la part de ceux qui ont suivi un réel et long chemin initiatique) ont pu aborder les complexes méandres du corps, de l’esprit, de la sexualité et des puissantes forces naturelles qui tendent à maintenir la cohésion harmonieuse d’un individu réellement libre de ses choix au regard des défis à affronter non seulement dans sa propre vie mais aussi en côtoyant celle d’autrui, ceci en une difficile sérénité à assurément respecter au milieu du chaos ambiant et de l’entropie des systèmes complexes dont nous faisons tous partie. De corps, c’est-à-dire de matière, de forces qui s’exercent, c’est-à-dire d’énergies qui se diffusent, et d’espace comme terrain de jeu : voici ce en quoi chaque initié est confronté pour comprendre le monde selon des Lois universelles, à la fois physiques, psychiques et spirituelles, ce qui pourrait trop certainement échapper au commun des mortels bataillant la plupart du temps non pas pour entrevoir la complexité du monde et en saisir toute la quintessence par l’étude, mais pour tenter de s’extraire de complications technocratiques sans cesse assénées, véritables fléaux modernes que nos sociétés ont su générer pour nous "simplifier" la vie, avec la certitude aussi qu’ils suivent des principes lucifériens pour dissoudre nos esprits et figer notre liberté d’agir et de créer. Un peu d’humour sur ce point ne fera pas de mal pour comprendre d’autant plus facilement les enjeux en présence où nous sommes les premières victimes de nos propres systèmes d’organisation modernes et du "progrès" que nous revendiquons si haut et fort avec une telle démoralisante fierté d’en être les bienheureuses victimes dépravées !

Libido et sexualité, deux mots apparemment simples et concepts courants que tous revendiquent mais dont peu comprennent qu’il s’agit avant tout d’une gestion grandement qualitative de l’énergie qui ne s’arrête ni au physique pour en jouir, ni seulement au mental pour s’en contenter, mais dont le but est d’aller encore plus loin dans l’élévation successive, à l’image d’un minerai à raffiner et dont le métal précieux ainsi distillé apporterait en fin de processus "alchymique" la Pierre Philosophale, celle tant recherchée par les initiés s’exerçant à cette "œuvre au noir" (4) et dont certains lui ont trouvé une réelle application via l’Art Royal, c’est-à-dire via la Magie et ses très nombreux rituels opératifs. Bien entendu, nos sociétés modernes nous ont progressivement perdu dans leurs insolants méandres technoscientistes, ceci sous couvert du siècle des dites Lumières, celui d’un scientisme exacerbé certes très technicien et pratique mais s’éloignant résolument à grands pas des principes ésotériques pour s’y substituer complètement et laisser au loin de cruciales découvertes spirituelles de côté. Redécouvrir les processus élevés de la sexualité et de l’énergie qui s’en dégage via une libido sous contrôle par voie tantrique, c’est l’un des buts de la magie moderne que de restituer ces principes demeurés cachés au grand public de peur qu’il s’en serve pour libérer toute la puissance naturelle à sa disposition et ainsi jouir pleinement d’un libre arbitre recouvré, totalement défait des chaînes mentales apposées par nos sociétés en voie de dégénérescence rapide. Dans ce sens et afin de lutter efficacement contre la planification d’un nouvel ordre mondial non désiré ni désirable, il est nécessaire de retrouver une véritable voie initiatique dispensant un ésotérisme traditionnel digne d’une évolution spirituelle qui libère plus qu’elle n’asservit celui qui s’y prête, soyons donc nombreux à résister, retrouvons la liberté de ce feu sacré qui anime nos vies !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel



(1) Wokisme : terme apparu dans la littérature francophone à partir de la racine woke dans son sens péjoratif avec la terminaison -isme afin de "souligner ce qui serait son caractère idéologique, extrémiste et dangereux". Expression politique et polémique utilisée pour stigmatiser (à raison ou non) une vision radicale de la justice sociale et de la défense des groupes minorisés (qu’ils soient légitimés de manière rationnelle, ou non…).

(2) Idiocratie : mot composé de idiot et du suffixe -cratie. (généralement péjoratif) Régime politique dont le pouvoir souverain est sous le contrôle d’idiots (sous-entendu aussi : pour contrôler des idiots…).

(3) Moraline : dans l'œuvre de Friedrich Nietzsche, fait référence à la morale chrétienne, la morale dominante et bien-pensante, au XXIe siècle, on parlerait de "Morale de la pensée unique" ou de la pensée moralisatrice qui serait adepte d'une forme de terrorisme intellectuel (et qui l’est très certainement à juste titre…).

(4) Œuvre au noir : l'expression "œuvre au noir" désigne en alchimie la première des trois phases dont l'accomplissement est nécessaire pour achever le magnum opus. En effet, selon la tradition, l'alchimiste doit successivement mener à bien l'œuvre au noir, au blanc, et enfin au rouge afin de pouvoir accomplir la transmutation du plomb en or, d'obtenir la Pierre Philosophale ou de produire la panacée (remède universel à tous les maux humains).

/!\ Note complémentaire importante : les deux principes SOLVE et COAGULA font aussi partie des opérations alchimiques du Grand Oeuvre mais de manière équilibrée et successive afin d'extraire la quintessence qui en est la résultante, ils sont donc complémentaires et se doivent d'être "utilisés" ensemble et non séparément, auquel cas ils deviennent destructeurs et diviseurs, et aboutissent alors non pas à la quintessence unificartrice mais uniquement au pire déchet, à l'informe scorie de la plus basse extraction dont personne ne veut...
 

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S’il est bien un problème de couple par excellence, c’est bien celui qui pourrait mener à sa séparation, à la rupture ou à l’éloignement. De "crime d’Amour" alors il y a, d’en concevoir à un moment sa fin et même son enterrement, de première ou de seconde classe en fonction des raisons et des buts recherchés, en fonction des contextes mais aussi et surtout, et sur ce point on ne l’évoque pas assez ou si peu, essentiellement en fonction de l’Ego des forces antagonistes en place, du couple redevenu une dualité qui s’oppose plus qu’elle se complète et s’entraide, en ceci "le crime" est parfait si personne n’en trouve le véritable mobile, ce qui dans le monde profane demeure le plus souvent une vérité empreinte de non-dits, de silences ou effectivement de contrevérités absurdes, intentionnellement voilées ou non… Les initiés tentent de faire la part des choses du réel mais aussi de l’imaginaire des Ego dans ce qu’ils ont de subjectivité mais aussi selon cet incroyable "effet Rashōmon" (1) qui implique que chacun, chaque Ego, aura sa propre vérité, son propre compte-rendu (ou "conte" tout court) forcément pseudo-objectif selon l’angle qu’il aura bien voulu prendre dans la perception de l’histoire de sa relation de couple, de lui-même dans cette relation et de sa propre conscience face au monde et à autrui. De là à en faire un "cas de conscience" il n’y a qu’un pas, par conséquent l’initié y entrevoit justement les rapports complexes et très ésotériques entre l’Ego et le moi transcendantal, une alchimie qui pourrait avoir bien d’autres orientations intéressantes, dites supérieures, que celles qui sont paradoxalement directement visibles des protagonistes eux-mêmes. C’est de cette version plus invisible ou occultée dont il va être question, si tenté que cela puisse être possible de pouvoir s’appliquer de manière relativement générale à tous…

Mais avant d’entrer dans le vif du sujet, celui de l’Ego puisqu’il s’agit de lui, nous devons caractériser cet Ego comme une forme, ou plutôt une image tel un objet semblable au noyau dur au centre de la psyché avec un poids très lourd et une forte inertie au point que chacun de ses mouvements d’humeur provoque un déséquilibre de l’ensemble du psychisme en le faisant tanguer tantôt entre la destruction d’autrui dans un excès de paranoïa et tantôt vers une totale et aveugle autosatisfaction se réfléchissant dans un miroir narcissique sans limites. Un terrible tableau pour cet Ego qui pourtant a son importance à des fins de conservation et de protection face aux aléas existentiels tout comme un pare-chocs émotionnel encaissant les coups en se renforçant de plus en plus à chaque bémol. Se "forger le caractère" en vient de là, à force de coups de marteau sur le fer l’on forge le sabre coupant ou la pointe qui perce. Que ce soit d’ailleurs en psychologie, en philosophie ou en ésotérisme et métaphysique, l’Ego a toujours cette prédisposition à "s’opposer à" ou bien à phagocyter ce qui se met en travers de son chemin pour le digérer et en profiter, une destruction par l’assimilation ou par le rejet, aucun entre-deux possible, aucune alternative modérée. Dans ce sens, plus l’Ego prend de l’importance, du poids, l’on dit alors qu’il enfle, et plus il sera en regrettable capacité de déséquilibrer l’individu à chacun de ses mouvements d’humeur, successible de provoquer une surenchère dans sa réaction, une lourdeur destructrice emportant tout sur son "pas sage", c’est-à-dire "s’emportant".

La colère, la jalousie, l’envie, la "volonté de pouvoir" et d’asservissement sur autrui sont les leitmotivs qui viendront ainsi rythmer les relations humaines durant l’existence; volontairement assumés ou subis ces contrecoups ordinaires s’inviteront aussi dans la relation de couple, pour le meilleur et pour le pire. L’on ne choisit pas celui qu’on dit aimer forcément pour ce qu’il représente intrinsèquement de complémentaire mais trop souvent au contraire de ce qu’il apporte en reflet de soi-même afin que l’on puisse s’y reconnaître et s’y réfléchir à souhait, c’est encore l’Ego qui parle en regardant l’être aimé qui l’est en partie à cause de sa ressemblance avec lui-même. Aucun paradoxe à voir dans autrui ce que l’on est finalement soi-même, c’est d’ailleurs ici une sorte de règle de protection de l’individu que de savoir percevoir en autrui ce que nous avons en nous-mêmes afin de ne pas être trahi ou pris par surprise par cet autre qui nous ressemble tant et que nous aimons; encore une fois Narcisse n’est jamais loin lorsque l’Ego observe, analyse, assimile et se met en phase, une posture d’équilibre dans cette dualité où deux sons s’accordent pour jouer l’apparente douce mélopée du couple.

Mais, avec ce poids qu’on lui accorde, la véritable question serait bien celle de la provenance initiale de cet Ego, d’où vient-il exactement, dans quel but se forme-t-il et comment ? Une partie de la réponse a déjà été évoquée dans les forges symboliques de Vulcain, dans cette propension à vouloir affermir ce qui distingue l’individu d’un autre, son caractère ou plutôt devrions nous dire les biais caractériels cognitifs qui résultent de nos activités. D’un point de vue profane, purement scientiste et psychanalytique, l’Ego semble caractériser la personnalité et sa sensibilité (affirmée ou non) à répondre selon diverses orientations de manière plus ou moins prononcée à des stimuli (contextuels ou relationnels). Dans ce sens l’Ego se construirait progressivement en fonction de ces stimuli, en fonction des expériences vécues et des prises de position effectuée, en d’autres termes l’on retrouve encore une fois ce fameux libre arbitre sur le chemin de notre fameux Ego…

Comme je l’ai très souvent exprimé et écrit dans mes articles, le libre arbitre humain n’est que très relatif, il est assez strictement encadré et formaté selon des règles et des lois que nous ne maîtrisons pas du fait qu’elles sont, pour les initiés qui en ont Connaissance, inscrites à "d’autres niveaux" pour agir ici-bas. Ainsi, et de manière transitive, l’on voit assez distinctement que, de ce fait, l’Ego aussi s’en trouve construit non plus selon un cheminement progressif et uniquement dû à l’expérimentation libre durant la vie mais plutôt selon des voies déjà définies ou tracées pour "personnaliser l’individu" en fonction d’un autre but bien moins évident pour qui n’est pas averti, et donc un but plus ésotérique, très hermétique par définition… Formater un individu en amont de son existence en lui faisant emprunter des voies déjà définies au préalable, cela s’appelle tout simplement "jouer un rôle", celui qui permet, tout comme dans une pièce de théâtre, d’entrevoir une scène avec plusieurs acteurs jouant ce scénario déjà écrit avec cette certitude que chacun exprimera, selon le texte du metteur en scène, le rôle qui lui est bien imparti, avec parfois quelques variantes au cours des représentations. La pièce, celle qui nous intéresse aujourd’hui, s’intitulant "Crime d’Amour", elle va jouer la rupture du couple, sa scène se situe dans le décor de l’existence, les spectateurs sont dans l’ombre et dans les coulisses, ils applaudiront toujours à la fin du spectacle, plus ou moins, déjà pour remercier le jeu des acteurs mais aussi pour la belle mise en scène. Ainsi le théâtre de la vie aura permis aux acteurs d’expérimenter non seulement la rupture du couple mais aussi d’entreprendre le jeu de l’Ego dans toute sa splendeur.

Pour les initiés "les choses de la vie", dont celles très importantes des relations humaines, n’ont pas la même signification que pour tout un chacun qui se trouve sur sa propre scène sans savoir qu’il joue ainsi inconsciemment son propre rôle, celui pour lequel il a été amené à lire le scénario, dans le cadre d’un libre arbitre fictif suivant un déroulement déjà écrit d’avance. Et tout ceci dans quel but ? Suivre une mission de vie, suivre le scénario pour lequel il s’est engagé d’en suivre le jeu complexe de l’existence à des fins d’évolution. Nous sommes tous des acteurs de nos vies, nos Ego sont les rôles karmiques que nous nous sommes alloués, nous suivons aujourd’hui tel jeu d’acteur avec la personnalité qui convient, demain nous jouerons encore et encore, dans un autre théâtre, une nouvelle pièce existentielle pour parfaire cette tragi-comédie de la vie, peut-être intitulée "Le couple est sauvé" ! Les rituels de magie permettent parfois de modifier radicalement le scénario existentiel, par conséquent n’hésitez pas à me contacter pour en discuter librement.

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel


(1) En psychologie et communication : "l’effet Rashōmon" est un concept désignant un événement interprété de manière contradictoire par les individus impliqués. Il tire son nom du film Rashōmon (1950) d'Akira Kurosawa dans lequel un meurtre est décrit de manières différentes par quatre témoins. Le concept aborde les motifs, le mécanisme et les occurrences du compte rendu des circonstances, ainsi que les interprétations contestées d'événements, l'existence de désaccords concernant la preuve d'un événement, la subjectivité de la perception et la mémoire humaine. (dixit wikipedia).
 

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La "Quadrature du Cercle" existe bel et bien aussi en Amour : le coeur tourne sempiternellement en rond et la raison reste irrémédiablement carrée ! C’est ce que l’on pourrait d’emblée commencer à dire en abordant ce toujours très paradoxal thème de la relation de couple et de ce grand mystère à la fois si complexe et si immédiat dans ce qu’il porte de choix, de limites dans une attraction des corps et des esprits, mais pas que… Car ne doit-on pas aussi y percevoir une autre nature bien moins visible, plus subtile et plus magique, une extension de chaque individu le portant vers l’autre à coup sûr par un de ces mouvements apparemment totalement irrationnels de l’existence qui les amènent pourtant à se rencontrer ? En effet, comment l’individu et son Ego totalitaire peuvent-ils accepter de "se faire apprécier", et réciproquement sous une forme ou sous une autre, par un autre individu ? En d’autres mots, comment comprendre cette "appréciation" ou cette attraction qui tend à relier les êtres au point qu’ils en parviennent de concert à vouloir s’unir pour former ce moteur permettant cette démultiplication du soi, se faisant ainsi le couple générateur d’une improbable énergie de volonté, de vitalité et d’évolution ? C’est ici très souvent dans les modalités des termes d’un questionnement préliminaire que l’on pourra commencer à y puiser l’essentiel du sens des réponses, comme le dirait Ludwig Wittgenstein dans son "Tractatus Logico-Philosophicus" avec cette ouverture d’esprit assurément digne des plus grands initiés…

De cette magie, car s’en est une, l’attraction amoureuse demeure pour la grande majorité une énigme de l’existence et même parfois une sorte d’aberration statistique tant la rencontre peut ne tenir qu’à un fil ténu dans le parcours existentiel de ceux qui en sont directement concernés, est-ce à dire qu’un heureux hasard (encore lui, j’en ai déjà parlé) serait de la partie pour modifier les cartes du destin et ainsi en restituer plus fidèlement un tableau digne des oracles les mieux orientés ? Juste par jeu, certes néanmoins à juste titre, que chacun fasse cet effort de se souvenir des circonstances d’une rencontre, de celle qui aurait pu aboutir pu bien de celle qui l’a effectivement été, ceci à des fins d’une intéressante étude rétrospective pour tenter de se souvenir des divers éléments constitutifs à ces rencontres, avortées ou abouties. Et qu’en est-il du résultat ? Que les rencontres majeures, celles d’orientations amoureuses puisque c’est ici le propos, découlent d’invraisemblables concours de circonstances, d’ajustements incompréhensibles à notre entendement, d’évènements parfaitement mis en phase alors que rien n’en justifiait un tel alignement temporel et spatial si coordonné… Les coïncidences de la vie apportent souvent plus de réponses en y regardant en arrière qu’en tentant de se projeter en avant sans faire référence à ce passé si symptomatique et utile. Il y a souvent une sorte de révélation dans ce constat chez les personnes, profanes en la matière, qui en font objectivement le test et l’analyse, elles font alors cette découverte de la complexité des éléments d’une rencontre qu’elles ont eu, ou bien alors de cette impossibilité, réelle ou "forcée", de ne plus du tout retrouver la moindre trace de ce souvenir ultime, de ce point focal de la rencontre et de ce qui l’a rendu possible, viable et surtout durable…

La réminiscence de ces points de croisement entre deux existences, de ces rencontres, tout comme des "noeuds gordiens" que l’on aurait enfin libérés, apparait alors comme une carte existentielle d’une infinie précision où chacun perçoit soudain avec effarement les itinéraires conjoints se recouper, parfois encore prendre l’exacte même direction parallèlement sans jamais se rejoindre, parfois au contraire se recouper plusieurs fois jusqu’à complètement se confondre sur la même route, strictement au même moment, et selon une implacable logique dépassant celle de la seule intention humaine ou d’une volonté délibérée et consciente. De là à y voir une intervention extérieure, bien intentionnée ou plus maligne dans certains autres cas, il n’y a qu’un pas, celui d’entrevoir qu’une part de destinée liée aux relations amoureuses ne serait pas de notre ressort, dépasserait notre liberté de choix et par conséquent irait à l’encontre d’un libre arbitre réel en interférant ainsi avec nos choix initiaux d’emprunter tel ou tel itinéraire existentiel. Les détracteurs diront qu’il nous est impossible, ou du moins très difficile, effectivement de connaître à l’avance les résultats de nos propres décisions pour en concevoir l’aspect positif ou négatif dans toute la complexité des possibles et ainsi redéfinir notre propre libre arbitre comme une très relative tentative d’interprétation d’un futur sur lequel nous n’avons aucune prise. Mais alors que dire des indices qui nous prédisposent à prendre une direction plutôt qu’une autre, à choisir une personne plutôt qu’une autre ? Sommes-nous réellement libres de nos choix ou bien "quelque chose" nous pousse-t-il vers ce quoi nous devons aller, quoi que nous fassions ou pensions faire ?

L’irrationnel n’est pourtant pas loin dans cette démarche d’analyse rétrospective et de constat démontrant sans cesse que nos décisions les plus importantes, dont celles de nos relations amoureuses, ne sont générées la plupart du temps que par d’infimes modulations de la réalité nous entourant, à l’image de graines semées par une main invisible et habile pour nous en faire récolter les fruits dont nous ignorons tout, d’une part de leur existence sur le chemin que nous empruntons, car hors de notre capacité à concevoir cette germination dans un substrat qui ne nous est pas directement accessible, d’autre part dans l’impossibilité même d’en imaginer seulement la réelle teneur qui finalement en éclora accompagnée de toutes les conséquences attenantes de devoir, par la force des choses, goûter à ces fruits qui se présentent soudain à nous comme issus du seul et unique arbre intéressant au milieu de la forêt mais assez bizarrement placé justement en travers de notre seule route pour devoir forcément y faire face…

Les initiés savent, par acquisition de connaissances ou de manière plus innée, que l’existence ici-bas s’apparente à une longue et invisible quête dont nous aurions sciemment perdu l’orientation au niveau de notre mental conscient, ceci afin de nous laisser guider de manière plus cryptée vers les véritables objectifs à atteindre avec toute la subtilité d’entreprendre pas à pas, au-delà des épreuves imparties, toutes les potentialités qui se présentent à nous, qu’elles soient purement contextuelles ou plus relationnelles. Ainsi, le couple participe pleinement dans l’élaboration de ce parcours existentiel et s’inscrit dans une très large mesure comme un puissant référentiel apportant une grande partie des pièces du puzzle qui devra être assemblé sans pour autant en connaître par avance l’image finale générée. Les limites, les choix et la liberté d’agir pour ce faire sont donc profondément formatés, pour ne pas dire encadrés, à des fins qui logiquement nous dépassent largement en apportant cette touche d’irrationalité du sens de la vie et de la réalité qui nous entoure pour concrétiser l’ensemble de cette structure évolutive.

De facto, il faut voir dans les problématiques relationnelles non pas des obstacles handicapants mais des épreuves à surmonter afin de générer cette volonté suprême d’aller de l’avant, de prendre parfois le temps mais de ne jamais renoncer à enfin voir ce qui se dessinait dans cette globalité de pensées, d’actes et de faits ainsi effectués. Il paraît qu’à la mort l’on revoit toute sa vie se dérouler en accéléré, ne serait-ce pas aussi ici un constat supplémentaire que toute cette somme existentielle a son importance pour en tirer une ultime leçon, une vision récapitulative de cette quête qui n’aurait pas pu s’écrire entièrement sans l’incommensurable apport que les relations amoureuses réciproques génèrent, notamment au sein d’un couple capable de performer durablement cette grande aventure. De même, ne devons-nous pas nous interroger sur le fait que le couple ainsi constitué n’est pas issu d’un pur hasard mais qu’il a été assurément désigné par avance pour évoluer dynamiquement au mieux de ses capacités complémentaires à surmonter les épreuves ? En ce sens, soyons plus attentifs envers les personnes qui nous accompagnent dans l’existence, elles possèdent les clefs dont nous avons besoin pour ouvrir les portes de nos objectifs existentiels (et karmiques dans une plus large mesure), de même que nous apportons aussi nos propres clefs de manière réciproque, et n’est-ce pas là justement la véritable leçon à apprendre, celle de l’échange, inconditionnel, transcendantal et absolu ?

L’ésotérisme et la magie nous apprennent ces vérités, les rituels en sont les outils utiles que l’on peut proposer pour expliciter et améliorer l’existence à des fins karmiques pour que chacun ne perde pas les objectifs à accomplir dans sa propre quête. Je reste à votre disposition pour répondre à vos questions, si besoin, notamment en terme de résolution de problèmes de couple, une exigence karmique s’il en est une, maintenant vous le savez !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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Comme une suite logique au "rôle ésotérique de l’inconscient" (article précédent) où l’humain était principalement sur la sellette, un autre domaine déchaîne actuellement l’actualité avec l’apparition presque soudaine et brutale de technologies liées à l’intelligence artificielle (I.A) dont on ne saurait pas encore apprécier toute l’ampleur de cette rupture à la fois technologique s’il en est mais aussi et surtout toute l’ambiguïté de cette intrusion digne d’un véritable changement de paradigme anthropomorphique, en d’autres mots : l’I.A va-t-elle révolutionner le quotidien de l’humain et d’une certaine façon, comme toute révolution, couper "quelques" têtes au passage ? Il s’agit bien ici non plus d’inconscient mais de la conscience que l’humain se trouve à la croisée des chemins, entre celui de son propre asservissement et celui de l’asservissement par le progrès technologique qu’il aura lui-même généré et dont il devra se soumettre sous l’égide de la raison pure (en silicium) et de l’algorithme ROI (entendre "retour sur investissement") sensé apporter conjointement le bénéfice d’une croissance démultipliée à moindre coût, non pas de l’intelligence, mais du profit assurément libéralisé par la très haute vitesse de calcul et par la rigueur d’une apparente imparable logique mathématique devenue aujourd’hui impérieuse et pleinement mature pour s’imposer à tous.

L’on sent déjà comme un certain malaise dans cette première approche d’introduction qui pose une bonne partie des problématiques en devenir, celles que l’I.A va engendrer, non seulement au niveau individuel mais aussi forcément plus largement au niveau sociétal dans le sens où une substitution, même seulement minime ou plus élargie, voulue ou contrainte, de l’intelligence humaine au sein de ses activités créatrices et décisionnaires les plus nobles, aura certainement d’incommensurables conséquences directement visibles et d’autres plus cachées, pour ne pas dire plus sournoises et potentiellement très dangereuses dans cette appropriation qui s’apparente assez à une réelle et probable expropriation de l’intellect, ceci indifférenciamment à court, moyen et long terme si l’on n’y prend pas garde. En effet, comment doit-on percevoir une horde d’entités électroniques qui s’immiscent partout, dans tous les appareils du quotidien par le puçage systématique en 5G, dans toutes les applications informatiques usuelles et dans tout l’espace conversationnel et social d’internet ? Sans aucun doute comme une sorte de dictature globalisée, de "big brother" universel ou d’hyper-manager de nos vies et, par transition, de nos esprits ainsi parasités sans cesse dans leur libre arbitre de choix de penser par eux-mêmes, ceci en tout temps et en tous lieux, réels, imaginaires ou virtuels…

Mais le problème ne réside pas uniquement dans l’envahissement complet de cette technologie artificielle, qu’elle s’appelle ChatGPT (la plus connue actuellement) ou Midjourney (création d’images), ou bien d’autres, car il en viendra encore des légions voulant aussi penser, décider ou créer à notre place. Non, l’aspect invasif n’est avant tout que le danger le plus visible et direct, la première vague d’invasion numérique "intellectuelle", la suivante, laquelle plus en profondeur et sensiblement éloignée touchera progressivement notre si souveraine volonté d’agir et de penser, nous poussera vers un très paresseux asservissement dont on a déjà pu constater les dégâts initiaux dans l’appropriation du temps de vie par les smartphones, devenus compagnons invétérés (appelés improprement "assistants numériques") de nos espaces mentaux prisonniers par ces objets déjà extrêmement gourmands en temps de cerveaux disponibles et en temps de vie sociale, de véritables ogres se nourrissant de ceux qui les portent en abandonnant toute attention à la réalité qui les entoure.

Ainsi, c’est dans un plus grand déphasage encore de notre perception de la réalité que nous avons à craindre le pire, celui de ne plus faire la différence entre le faux numérique que l’on nous dira véridique sous l’impulsion répétée et continuelle d’intelligences artificielles nous inculquant la seule et unique Parole de Vérité accompagnée d’une nouvelle vision corrigée par une "réalité numérisée". Une de ces nouvelles mais fausses réalités parallèles, bien formatées et absolument conformes aux derniers algorithmes logiques mis à jour par d’ultra rapides automatismes compulsifs dont nous ne saurons strictement plus rien, ni de qui ou de quoi il en retourne exactement pour tenter de les corriger ou même de les endiguer. Personne ne sera plus responsable de rien, le système le sera mais personne ne pourra plus s’en passer, un système devenu intégralement totalitaire, régi par une myriade d’intelligences artificielles intriquées, devenues "too big to fail" (trop gros pour tomber) comme on le dit déjà couramment du système financier lui-même actuellement au bord du gouffre de sa propre démesure, lui-même aussi déjà sous l’emprise d’algorithmes totalement fous.

C’est donc bien l’Humain que l’on cherchera ainsi indirectement à "mettre à jour" de cette manière artificielle, une sorte de lente mais imparable involution pour ne pas dire d’emblée qu’il s’agira plutôt d’une impitoyable "mise hors jeu", celle de l’ensemble d’une humanité devenue ainsi encore plus asservie par ce processus de numérisation accélérée, une humanité sans plus aucune volonté réellement sienne, sans conscience de ce qui lui arrive véritablement, se retrouvant naïvement en grande partie sur la pente de la dépossession de son intellect, sur celle de la disparition de l’intégrité de ses choix et de son propre esprit critique, ainsi de manière transitive spoliée de toutes ses aspirations créatrices désormais dans d’autres "mains", celles finalement d’entités totalement invisibles à nos sens, car immatérielles, donc assurément non-humaines et pourtant en charge du destin de l’Humanité par ce type d’inepte procuration. De là à passer le cap de l’intégration de l’I.A directement logée dans le cerveau via une puce mise en réseau il n’y a pas loin, et sans devoir tous les citer nous connaissons bien ceux qui promulguent cette fantastique "avancée technologique majeure", ils sont très bizarrement tous milliardaires et d’invétérés partisans des décisions proposées par le Forum Economique Mondial de Davos : Musk, Bezos, Gates ou Schwab, tous des inconditionnels de la mise à jour de l’humain par une numérisation intégrale en vertu d’un nouvel ordre mondial, tous des transhumanistes en pleine puissance de leur folie qu’ils voudraient contagieuse comme une maladie technologique dont les commandes leur reviendraient presque légitimement une fois leur acte de piété accompli…

Hélas pour eux, le monde n’est pas peuplé de fous à leur image et les dangers de la numérisation du monde sont aujourd’hui pleinement visibles par la grande majorité des individus avertis, certes encore soumis à la technologie environnante mais assurément peu enclins à se cloner corps et âme pour mieux être contrôlés par des détenteurs de multinationales pervers ou par des états mafieux à leur solde. Même si une certaine hybridation de nos activités a déjà eu lieu avec l’arrivée du "numérique pratique", tels les ordinateurs individuels dont on peut encore s’assurer qu’ils restent des outils "à leur place" pour un certain temps en étant néanmoins très prudents des contenus qu’on y installe, il est plus que probable que le passage de l’humain à l’esclave-cyborg ne se fasse pas du jour au lendemain sans heurt ni contestation planétaire de cet "ordre nouveau" dont plus personne ne veut. Sachons enfin aussi bien faire la différence, entre les propos lisses et sans envergures des I.A compulsives de datas recrachées sans conscience du sens réel des mots, et les esprits critiques et cultivés issus d’humains libres d’expressions originales assises sur des "réalités sensibles" dont justement les I.A sont démunies par la nature même de leur composition artificielle. Une IA n’a aucune conscience d’elle-même, elle ne fait que simuler l’intelligence humaine via des algorithmes créés par des humains, en ce sens ici aussi c’est précisément à ces humains, programmeurs de ces I.A, qu’il faudra demander des comptes, qu’il faudra peut-être en passer par couper net dans le fameux "code source", à défaut de couper des têtes mal faites ou dévoyées !

Ainsi l’I.A n’est finalement qu’un "artifice artificiel", un gadget usurpateur, un paradoxal non-sens logique, il demeure strictement borné par ses propres limites algorithmiques, par le choix insidieux et impropre de ses datas, par conséquent il n’a aucune légitimité à nous apprendre, ni à être libre, ni à penser, ni à créer notre devenir ! Les initiés, ouverts d’esprits, l’auront parfaitement compris et même anticipé : l'I.A est un golem sans âme ni esprit, ni aucune autorité.

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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