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Blog chaman ésotérisme

Blog chaman ésotérisme

Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

evolution spirituelle

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Le sujet est vaste, souvent ignoré par notre mode de vie qui ne laisse que peu de choix ou de temps pour son étude et son apprentissage, le thème de la spiritualité reste encore à la marge des préoccupations de nos contemporains, surtout en Occident où la matérialité du monde se présente comme la seule alternative rationnelle à la réalité de celui-ci. Pour autant, et pour paraphraser André Malraux en d’autres de ses mots : "Je n’exclus pas la possibilité d’un événement spirituel à l’échelle planétaire au XXIe siècle." (1) Dans ce sens, et a contrario d’une certaine tendance actuelle, un revirement pourrait intervenir, peut-être en réaction à un monde déshumanisé, afin qu’un renouveau spirituel puisse émerger et s’établir en toute sagesse et sérénité pour en calmer les trop nombreux tourments et autres infernales désillusions mondialistes, voire aussi pour déjouer les délires transhumanistes en embuscade ou les hallucinants "désirs" de guerres…

Mais pour le profane, et même pour certains initiés : qu’est-ce donc que cette "spiritualité" dont on parle tant sans jamais oser en signifier clairement la véritable profondeur, ou l’altitude ? L’on ressent de suite que, de bas en haut, et inversement, à la manière d’un Hermès dans sa table (2), une dimension transparaît alors sur plusieurs niveaux au-delà du voile, du gouffre vers les sommets cette spiritualité aurait-elle justement la fonction initiatique d’un passage de l’un vers l’autre, ou bien de projection d’une vérité plus absolue que celle du commun des mortels ? Et justement, comment donc vouloir et pouvoir bien "s’équiper" pour une telle ascension en apparence si indiscernable ou si sensiblement hermétique ? Avant d’y accéder, il faut déjà comprendre un tant soit peu en quoi correspond "la spiritualité", ce que ce simple mot qui le désigne reflète de sens, mais aussi dans quelle direction il emportera celui qui s’y confronte et ce qu’il lui apportera. Effectivement, pour le profane la spiritualité sera telle une vision aussi vaporeuse qu’un brouillard sur une route de nuit, elle n’aura pas de correspondance tangible dans le quotidien pour spontanément s’affirmer avec un intérêt utile ou pragmatique, c’est qu’elle dépasse en effet cet aspect utilitaire accordé aux choses matérielles, elle ne s’en détache pourtant pas puisqu’elle explique cette même matérialité, celle de tous les possibles, en la transcendant.

La spiritualité sert donc de guide, c’est une expérience à la fois personnelle et intégralement universelle dans cette capacité à tout expliquer, dans cette accession à de multiples solutions autres que celles qui s’inscrivent dans un matérialisme pragmatique, ceci en dépassant ce dernier ou en le surmontant pour en avoir une hauteur de vue plus large, plus proche d’une vérité amplifiée par une sagesse bien plus éclairante. En d’autres mots la spiritualité permet d’accéder à une hauteur d’esprit qui s’apparente à une démultiplication de la conscience pour en dévoiler les liens intimes entre le soi et le monde, pour ainsi en trouver les chemins évolutifs les plus adaptés à la personne et s’y engager avec plénitude et sérénité. Il y a donc dans une juste démarche spirituelle la volonté pleine et assumée, non seulement de faire évoluer son esprit sur des horizons plus élevés et vastes, mais d’en percevoir clairement "les plans invisibles" qui s’en dégagent par les biais d’une révélation qui n’appartient qu’à soi. C’est aussi pour cette dernière raison qu’il est si difficile pour les uns et pour les autres d’en exposer une unique définition générique tant il n’y en a que de multiples et strictement personnelles qui façonnent chaque individualité dans sa propre recherche spirituelle, de ce fait y accéder c’est accéder à son véritable Soi, à une dimension plus haute de son Être, à son unification et à son édification.

Vouloir définir un "mode d’emploi" en ce qui concerne la spiritualité demeure tout aussi complexe car il existe une infinité de biais, tous intimement personnels et fonctions de l’histoire de chaque individu dans son propre contexte et entourage pour en trouver les bons chemins à emprunter singulièrement. Néanmoins, et de manière plus générale, une personne commence à s’intéresser à l’aspect spirituel de sa propre existence lorsqu’elle perçoit la nécessité d’en trouver un sens, rien de moins simple que de chercher un sens à sa vie, à tenter de comprendre ce qui a été entrepris par et pour soi-même, à se demander si l’instant ultime où l’on se pose la question n’est finalement pas déjà un début de conscientisation pour accéder au commencement d’une interrogation plus profonde, devenant elle-même sa propre dynamique de recherche, de simple curiosité ou semblant hasard l’on entreprend une quête de soi et du monde avec cette immense et vertigineuse vision qui s’ouvre soudain à l’esprit pour aller encore plus loin. Certes, tout le monde ne dispose pas de ce type d’automatisme naturel qui déclencherait, du jour au lendemain et sans vraiment prévenir, cette mystérieuse étincelle interrogeant au plus profond de soi, bien au contraire, ce sont encore une fois des circonstances personnelles qui occasionneront cette chance ou cette opportunité de s’engager sur cette voie d’ouverture d’esprit.

Ceci dit, la plupart du temps il n’y a pas de hasard, le regard que l’on se porte sur soi-même, c’est-à-dire cette "réflexion" au centre de son propre miroir, s’effectue toujours à un moment opportun, que ce soit durant une rencontre qui sèmera le germe de l’interrogation spirituelle, ou bien celui d’un évènement troublant s’avérant jouer le rôle d’un essentiel catalyseur… Parfois la prise de conscience commence par un accident apparemment futile ou de second ordre dans la vie de la personne, puis, par les méandres subtils qui forment les possibles chemins sur lesquels l’existence s’appuie, vient l’instant fugace d’une sorte d’interrogation qui illumine la conscience en lui désignant une autre direction plus élevée dans sa propre vie et celle des siens. Des circonstances spéciales peuvent intervenir dans ce sens où l’on a une intime et certaine conscience d’entrer dans une dimension spirituelle plus affirmée ou nouvelle, par exemple lorsqu’une maladie, un accident ou une circonstance autre du même acabit sont très clairement perçus comme une interruption de la routine quotidienne avec l’étrange sensation que la suite des événements n’est plus écrite comme on l’aurait pensé habituellement. De cette désorientation naît généralement la recherche induite d’une redirection intellectuelle et spirituelle très différente de la précédente période d’existence, suivant un élargissement de la conscience, le début d’une élévation spirituelle réelle qui perdurera pour affiner son objectif de recherche d’évolution.

Les initiés, sans vouloir les différentier de manière hautaine ou discriminatoire en regard des plus profanes d’entre nous, disposent de cette élévation spirituelle propre à leur donner par bien des aspects intéressants les meilleures directions à des fins d’évolution, ils ont eu, plus ou moins, de cette première étincelle révélatrice la vision de leur moi réel, c’est-à-dire de ce qu’ils sont sur plusieurs plans d’existence, en des dimensions dites spirituelles supérieures que l’on pourra d’ailleurs appeler sous d’autres termes plus adaptés (ange gardien, entité tutélaire, djinn personnel, etc…). Chacun, dans cette posture d’initié, dispose aussi du choix, celui de son libre arbitre qui n’est lui aussi rien d’autre qu’une initiation en soi, celle d’effectuer des rituels simples, comme la méditation et l’étude de textes sacrés ou bien des travaux plus complexes comportant des applications relatives à la magie naturelle ou à des cérémonials plus poussés et plus contraignants s’ils en ont la volonté de s’y engager. Certains, mais encore une fois c’est leur choix, iront jusqu’à modifier leur alimentation ou prendre certaines substances en vue d’expériences psychosensorielles leur apportant des réponses qu’ils n’arrivent pas forcément à obtenir par des voies plus normatives. Sur ce point je ne recommande nullement ici cette utilisation qui reste néanmoins celle que la plupart des chamans ont pu expérimenter durant des millénaires, mais nul n’est chaman qui veut et l’itinéraire des initiés de haute magie est assurément parsemé de terribles souffrances avant d’arriver à une quelconque extase véridique et significative…

Pour finir, comme le disait Paracelse (3) : "Tout est poison, rien n’est poison, c’est la dose qui fait le poison", dans ce sens voyons aussi la spiritualité, la vraie, comme un soin de l’âme en sachant bien la doser, sans hasard, selon le besoin et la nécessité, forcément d’orientation karmique à ce niveau d’exercice infiniment complexe !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel


Note (1) : Propos rapporté par Brian Thompson dont Malraux lui aurait dit mot pour mot que le « XXIe siècle sera religieux ou ne sera pas » au cours d’une interview donnée à Verrières-le-Buisson en 1972. Marlaux ayant rectifié en 1975 que : "On m’a fait dire que le XXIe siècle sera religieux. Je n’ai jamais dit cela, bien entendu, car je n’en sais rien. Ce que je dis est plus incertain. Je n’exclus pas la possibilité d’un événement spirituel à l’échelle planétaire."

Note (2) : En référence à la Table d’Émeraude d’Hermès Trismégiste, voir le lien ici sur le blog

Note (3) : Paracelse (1493-1541), médecin, philosophe et alchimiste, mais aussi théologien laïc suisse.

 

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Lorsque deux mondes se rencontrent l’on pourrait s’attendre, comme l’Histoire nous l’a généralement démontré, à un choc des civilisations avec le plus souvent une perte de savoir traditionnel au bénéfice de la culture la plus puissante ou invasive. Il en a notamment été de l’Amérique latine avec les conquêtes espagnoles du XVe au XVIe siècle dont le terme de conquistador s’apparente assez justement à une invasion et à une destruction des peuples autochtones ne pouvant ni rivaliser avec les forces militaires adverses ni résister à la domination culturelle imposée alors, en grande partie avec le soutien de l’Église, c’est-à-dire avec l’apport opportuniste d’un dogme religieux venant violemment se substituer à l’ancien… Pour autant, tout un continent ne serait tombé sous le joug de l’envahisseur sans résistance et sans protéger farouchement sa propre culture, ce fût le cas de la tradition chamanique avec ses rituels et ses règles ésotériques qui ont su par delà les siècles résister à l’adversité de la colonisation pour nous en restituer aujourd’hui encore très activement toute la teneur d’une sagesse immémoriale, à la fois transcendantale dans sa vision de la réalité et profondément humaine dans son approche initiatique ancestrale reliée au passé pour nous la faire perdurer au temps présent. De cette vision traditionnelle, deux hommes ont su en offrir avec brio au monde occidentalisé une intime Connaissance via leurs remarquables ouvrages littéraires, il s’agit principalement de Carlos Castaneda dans les années 60 avec son premier livre "L'Herbe du diable et la Petite Fumée" et de Don Miguel Ruiz, presque quarante ans plus tard en 1997, avec "Les quatre accords toltèques, une voie de la liberté personnelle".

Deux ouvrages notables et incontournables (parmi tant d’autres ultérieurs) et deux voies spirituelles allant dans une seule et même direction essentiellement positive, deux puissantes voix exprimant toute la sagesse du chamanisme avec le réel talent confirmé de ceux qui ont vécu à la fois l’expérience, l’initiation et le savoir des maîtres par leur transmission directe à leur côté. Ainsi, Carlos Castaneda, anthropologue de formation, aura été le disciple attentif du sorcier chaman Don Juan Matus avec lequel durant plusieurs décennies il aura dans un premier temps recueilli toute la sagesse pour ensuite non seulement nous en faire brillamment part, puis pour en exercer un néo-chamanisme certes personnellement revisité et occidentalisé mais sans jamais omettre la quintessence initiale de ce qu’il avait appris auprès de son maître spirituel d’alors. En ce qui concerne Don Miguel Ruiz c’est bien directement le chaman qu’il est devenu, par la force de circonstances exceptionnelles, qui s’adresse à nous en exprimant avec clarté et simplicité "quatre accords" qui sont autant d’importants principes personnels à assimiler et à vivre au quotidien dans le profond respect de ce qu’ils nous enseignent pour savourer pleinement notre liberté humaine sans se nuire à soi-même ni à autrui, une véritable leçon de vie, une initiation en 4 accords à mettre immédiatement en application chaque jour et à chaque instant. C’est donc de ces "Quatre Accords Toltèques" dont il va principalement être question, un peu plus dans le détail (car je les avais précédemment déjà présentés brièvement en 2015, pour rappel dans cet article ici à relire si besoin).

Premier Accord Toltèque : "Que votre parole soit impeccable".
Afin de mieux cerner le sens de cet accord, en latin le mot "impeccable" signifie - sans péché - mais évidemment il faut en dépasser la terminologie basique pour en saisir une notion plus large et plus chamanique dont l’essence et la portée seront à réellement interpréter autrement. Ainsi, chaque chaman en exercice sait par expérience que la parole est magique et que chaque mot prononcé s’apparente à une graine qui peut germer pour offrir la nature de son fruit, avec les effets bénéfiques si ce fruit est bon et comestible mais aussi avec des conséquences négatives si ce fruit est vénéneux, voire mortel… Dans cette image du fruit et de sa graine il faut bien évidemment y voir qu’une parole peut semer la discorde, la peur, la jalousie et même la guerre, mais dans le bon sens elle peut aussi apporter la paix l’amour et la sérénité, voire la sagesse et la Connaissance. Il faut donc faire très attention à ce que l’on dit à autrui mais aussi à ce que l’on se dit à soi-même pour ne pas voir advenir les maux que l’on aura prononcés, à l’exacte image d’une incantation psalmodiée ou d’un sort lancé, puisque chaque mot, chaque phrase, pourra semer l’ombre du chaos sur vous et sur autrui ou bien inversement délivrer la lumière de la sagesse à tous ! Faites donc toujours de votre parole responsable l’intention positivement orientée que vous désirez lui donner.


Deuxième Accord Toltèque : "Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle".
Dans une certaine mesure nous savons que l’opinion de chacun demeure de sa propre responsabilité, de sa liberté de penser et de son libre arbitre, ainsi chacun est différent car son histoire personnelle associée au contexte de sa vie et de ses rencontres l’ont formaté pour devenir ce qu’il est aujourd’hui, aussi, ce qu’il pense de vous lui importe à son strict niveau d’interprétation, il n’est donc pas juge de votre propre existence, de ce que vous êtes et de ce que vous faites ou même pensez. Dans cette perspective vous n’avez pas à prendre pour vous-mêmes les croyances d’autrui, la façon dont les gens pensent les regarde uniquement et cela ne devrait pas vous toucher, notamment s’ils parlent de vous. De cette manière vous contrerez très aisément la médisance des autres, leurs fausses certitudes et n’assimilerez pas leurs erreurs de jugement infondées, vous n’en pâtirez donc absolument pas et ne suivrez que votre propre chemin, clair et serein, d’autant plus que vous aurez vous-même suivi le premier accord toltèque ! Beaucoup trop de personnes se trouvent directement ou indirectement affectées par les avis des uns et des autres, par conséquent si vous suivez cet accord vous pourrez vous libérer de ce lourd fardeau et de ses conséquences sur votre santé physique et mentale, vous serez aussi libre de réaliser toute activité sans avoir à tenir compte des arrières pensés et opinions d’autrui, ce que les autres jugeront impossible deviendra tout à fait faisable pour vous, sans entraves ou autres doutes inutiles et pernicieux !


Troisième Accord Toltèque : "Ne faites pas de suppositions".
Tout comme vous aurez su contrer aussi les médisances d’autrui avec le deuxième accord toltèque, il vous sera nécessaire de votre côté de ne pas faire de suppositions dans ce sens qu’elles ne sont finalement que de fausses hypothèses engendrant de fausses croyances ou un savoir erroné, aussi, n’interprétez pas au hasard ou trop rapidement une situation ou ne jugez pas une personne à la légère, ne vous fiez pas aux fausses certitudes qui viendraient à vous sans y avoir clairement réfléchi, cela est aussi bon en ce qui vous concerne : ne supposez rien, ni de vos capacités ni de vos choix, au contraire posez-vous les bonnes questions déjà sur vos propres orientations puis si nécessaire sur celles de ceux qui vous entourent avec certitude et pleine objectivité. Cet accord écarte d’emblée les quiproquos, les incohérences et des erreurs d’interprétation, au contraire posez des questions pour être certain de comprendre un contexte ou une situation, voire pour comprendre ce que veulent véritablement les gens qui vous entourent, cela évitera finalement aussi tous les conflits potentiels ! Être clair c’est être responsable et consciemment bien orienté pour soi-même et pour autrui, cela apporte avant tout des solutions constructives et non des interrogations sans fin, vous gagnerez à la fois grandement du temps et une très précieuse énergie à pointer essentiellement ce qui doit l’être et à écarter le superficiel, l’ingrat et le faux !


Quatrième Accord Toltèque : "Faites toujours de votre mieux".
La société occidentale, dans son rêve devenu un cauchemar, nous a poussés sans cesse à toujours faire plus et à toujours aller plus loin, or nous ne sommes justement pas toujours à tout instant dans cette capacité à nous dépasser sur ce que nous avions précédemment réussi à entreprendre, ce serait donc une fondamentale erreur que de se blâmer soi-même de ne pouvoir faire encore mieux et toujours plus, ceci à notre détriment. Bien au contraire et plus précisément : il faut savoir faire "de son mieux", ceci en fonction des circonstances présentes, du contexte donné et de la situation qui nous amènera à aimer ce que l’on fait avec un plaisir personnel véridique, et non à faire les choses "soi-disant mieux" mais dans la souffrance, dans la peur de ne pas réussir ou dans la contrainte perpétuelle de le faire à tout prix. De même, et dans le sens inverse, se contenter de trop peu dans son activité serait en deçà du bien et par conséquent aussi une erreur que de gaspiller ses capacités, de perdre son temps et son énergie à des choses futiles et inutiles ou à simplement "faire mal" en bâclant une activité… Pour le chaman, "faire de son mieux" est un véritable rituel à part entière, c’est une action d’excellence où l’on s’investit pleinement à sa juste capacité en étant conscient de finalement aller dans le sens du bien, du nécessaire et suffisant, ni plus ni moins, un juste effort parfaitement adapté, tout un art en somme, toute une véritable sagesse en oeuvre ! Cet accord toltèque nous apprend à être nous-mêmes dans ce que nous faisons, à aimer ce que l’on fait et à en recueillir une satisfaction personnelle sans avoir à nous trouver dans une contrainte dont l’apport ne pourrait qu’être que négatif pour soi et pour le résultat de l’activité entreprise !


Je vous souhaite, bien évidemment à votre libre choix, d’apprendre et de suivre ces quatre accords toltèques d’une grande profondeur d’esprit, ainsi votre vie n’en sera qu’assurément meilleure, emplie de joie, d’amour, de liberté et d’évolution personnelle, le tout en pleine conscience et en toute sagesse assumée ! Si néanmoins vous aviez besoin de plus amples explications alors je reste à votre disposition pour vous les transmettre, n’hésitez pas à me contacter !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

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Une petite introduction s’impose. Notre époque a généré un paradoxe assez incroyable où les sciences et les technologies sont devenues si complexes que la très grande majorité de la population, à moins d’être ingénieur ou chercheur de haut niveau, n’est absolument plus capable d’en expliquer ni d’en comprendre lesdits progrès : à titre d’exemple qui est encore capable d’expliquer clairement comment fonctionne exactement un ordinateur, comment se propage une onde radio et comment on la capte, ou bien encore de quoi est constitué un laser pour fonctionner ? Plus personne n’est d’ailleurs non plus capable de fabriquer à partir d’éléments "simples" (disponibles dans la nature) un ordinateur, un laser ou bien une radio, en effet, tous les éléments constitutifs de ces appareils nous sont finalement inconnu dans leur plus intime nature, dans leur fabrication, dans leur fonctionnement basique et donc compréhensible aisément. Tout ceci pour constater que le véritable paradoxe est de vivre avec un "progrès" qui s’invite à nos portes, pour ne pas dire qui s’installe chez nous, lequel est devenu strictement étranger à notre entendement commun, s’est transformé en une sorte magie technologique dont nous ignorons finalement tout ou presque. Là ou à l’époque des Lumières l’on cherchait à expliquer le monde et à le rendre sainement compréhensible à tous par les sciences et les techniques via des Encyclopédies didactiques, aujourd’hui ces mêmes technologies et sciences, certes beaucoup plus avancées, redeviennent mystérieuses, presque hermétiques à qui n’est pas initié à ces techniques et enseignements. En ce sens il existe bel et bien un occultisme technologique et scientiste, une sorte de techno-ésotérisme. Mais en ce sens, pouvons-nous dire qu’il existe ainsi un néo-ésotérisme avec l’apport insidieux des mondes virtuels dans nos vies réelles, avec la numérisation de tout ce qui peut l’être et des Intelligences Artificielles en embuscade ?

Ce monde techno-scientiste, empli d’une volonté exacerbée de numériser nos environnements immédiats et même dans un futur proche de s’insérer dans notre biologie via des nano-robots ou des molécules pilotables, n’est-ce pas finalement une dérive fondamentale vers un transhumanisme débridé dont on ignore encore les prochaines étapes dangereuses, n’est-ce pas foncièrement une volonté imposée à l’image d’une secte ou d’une religion qui ne dirait pas son nom ? D’une certaine façon, LA Science est devenue cette religion d’un monde qui axe son développement et son évolution sur la route d’un progrès qui se veut incontournable et apparemment incontrôlable aux vues des dégâts sur la biodiversité et l’environnement. Il est clair, logique et indubitable qu’une croissance se basant sur la technologie à outrance, sur la numérisation forcenée de toute information circulant et sur la modélisation virtuelle des idées et des esprits ne pourra qu’entrainer une surconsommation drastique d’énergie dont nous manquerons bientôt si cruellement à l’échelle planétaire ainsi qu’une destruction ordonnée er systématique de l’ensemble des ressources du monde vivant. Nous devons d’ores et déjà nous poser l’essentielle question : est-ce ici un but satisfaisant et positif que d’en arriver à cette échéance dite (faussement) progressiste, laquelle semble plus digne d’une très rapide et certaine déchéance globale du vivant que de son évolution naturelle avec d’heureuses perspectives ?

Bien entendu, s’il existait un véritable néo-ésotérisme issu d’un ésotérisme éclairé plus ancien, celui-ci combattrait et s’opposerait farouchement à cette vision d’un monde déshumanisé, systémique et dirigiste à l’opposé des potentialités d’un libre arbitre humain et d’un naturel substrat que la planète a su offrir à profusion jusqu’ici presque gratuitement. Nous devons aujourd’hui parfaitement comprendre l’enjeu et bien l’assimilé avant qu’il ne soit trop tard, celui que le techno-scientisme comme dogme unique n’est finalement que l’outil d’une sorte de religion factice que l’on nomme "Progrès illimité", que ses déités à vénérer avec la plus grande ferveur sont double : le "Dieu Commerce" et sa parèdre la "Déesse Consommation", que sa principale gnose s’appelle la Globalisation par la Loi du Marché où absolument tout est à vendre sans conscience, même l’Humanité dans ses plus nobles aspirations, ceci à son détriment le plus total si cela sert la cause de la marchandisation du monde jusqu’à son ultime fin. Alors, le point de vue d’un techno-ésotérisme se comprend dans le sens où effectivement l’on en arrive à ne plus ni comprendre la course effrénée de la technologie et de ses dérives, ce que l’on aurait pu appeler le Progrès, où l’on perçoit distinctement l’impasse de cette même technologie face aux défis des ressources qui manqueront demain et dont personne ne pourra les remplacer, où enfin ce même dit progrès nous aura amené au bord du gouffre de l’extinction de toutes les espèces vivantes avec comme seule perspective d’être la toute dernière sur la liste d’une Apocalypse anticipée et déjà pourtant annoncée comme hautement probable. Dans quelle logique entre donc ce progrès s’il n’aboutit finalement qu’à sa propre destruction en entraînant avec lui tout ce qui existe sur son délirant sillage ?

Délire et hallucination. Ces deux mots pourraient définir la voie sur laquelle nous nous dirigeons avec l’assurance des fous. Tout d’abord le délire, d’accélérer notre destruction en sciant la branche sur laquelle nous sommes tous sans exception assis, par la surexploitation de précieuses ressources non renouvelables dont demain matin nous verrons qu’elles ne sont plus du tout disponibles et provoqueront une débâcle mondiale avec les errements guerriers qui sont l’apanage de nos violentes mentalités habituelles. Ensuite l’hallucination, collective et hypnotique, comme si l’entendement et le bon sens de l’humanité avaient été soudainement balayés depuis quelques décennies par une trop rassurante détermination que rien ne pourrait jamais entraver la marche d’un progrès qui assurément serait intégralement positif jusqu’à en imposer les lois sur l’ensemble du globe en pensant même pouvoir en instituer légitimement une gouvernance mondiale à tous. Mais la réalité ne se décrète pas, on ne légifère pas sur les lois de la physique ou des cycles de la nature dont on dépend, et dans ce sens l’Homme ne doit pas se prendre pour le grand architecte qui n’est qu’une construction imaginaire d’un esprit malade de ne rien avoir compris ni de ce qu’il est, ni d’où il vient, c’est-à-dire de la plus petite particule en passant par la cellule la plus simple mais pourtant des plus complexes toutes deux à comprendre encore à ce jour. L’étincelle de la Vie, ce grand mystère qui nous anime pourtant à chaque instant, nous est entièrement inconnue dans son processus de création, de réel fonctionnement et de véritable évolution naturelle future.

L’ésotérisme, le seul, l’unique qui a su poser les questions fondamentales à une Humanité en quête d’elle-même (et non l’obscurantisme qu’une certaine science progressiste à outrance tente d’imposer par un transhumanisme délirant) saura aujourd’hui répondre à ces mêmes capitales questions existentielles en s’opposant frontalement à l’hypnotisme en cours et à cette hallucination collective qui nous éloigne d’une réalité qui crie sa souffrance face au déni des enjeux actuels. Autant de défis à surmonter avec détermination et lucidité dans un futur proche puisqu’il est plus que probable que si nous n’agissons pas de manière concrète et intelligente, nous qui nous disons "Sapiens", alors nous aurons exterminé les prochaines générations à venir sans en avoir ni manifestement pris conscience ni sérieusement tenté d’en comprendre que nous en étions très directement la cause principale de par nos abus. notre ignorance et notre démesure à nous croire des dieux. C’est ce travail ésotérique, celui de révéler ce qui est caché, que les initiés du monde entier doivent mettre en oeuvre dès aujourd’hui pour rééduquer les mentalités dépravées par notre insuffisance à concevoir un véritable progrès, non pas axé sur la dévoration irraisonnée du monde mais sur sa conservation afin d’y vivre en harmonie, pleinement et durablement. En cela la postmodernité sera positive, auquel cas elle ne sera pas...

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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Quelques jours après la St-Valentin, devenue surtout une fête commerciale du niveau proche de gentils bisounours fortement assagis, il semblait logique, voire intéressant et même nécessaire d'aborder un sujet s'y rapportant directement mais dont très bizarrement le tabou sociétal qu'il génère implicitement n'ose pas du tout aborder de front, préférant digresser de-ci de-là sur la question précise : celui du tabou de la libido dans la vie amoureuse, dans la vie réelle tout court… Pourtant les relations de couple, mais aussi celles des célibataires recherchant l'amour, ne se limitent évidemment pas à l'échange de jolis bouquets virtuels de roses ou de petits coeurs sur les réseaux sociaux, il faut au contraire y voir une volonté affirmée de jouissance des corps et des esprits dont on sait qu'elle ne peut passer que par une extériorisation de cette libido dans la relation avec autrui, un acte à la fois fortement mentalisé en amont et in fine exprimé en aval par la sexualité. Or, contrairement à tout produit pouvant être acheté, cette libido n'est ni échangeable ni générée ex nihilo, elle demeure une essence issue d'une volonté personnelle intérieure de puissance à partagée, d'une attraction ou d'un magnétisme digne d'une alchimie qui ne se trouve sur aucun étal marchant. Comprendre cette puissance, en saisir les éléments constitutifs à l'image d'un art spagyrique, c'est donc aussi s'attribuer la recette secrète d'une vie amoureuse qui ne trahira pas son but, celui de satisfaire à la fois son propre désir mais aussi celui de la personne qui en est la cible, avec la réciprocité d'une attirance nécessaire pour en construire ce mouvement perpétuel que l'on nomme l'Amour.

Force est de constater depuis quelques années une sorte de transformation ou plutôt de transformisme évolutionniste de notre rapport à autrui en matière de relations amoureuses, l'on voit en effet une sorte de dilution des genres dans des méandres psycho-sociologiques peu clairs où les uns et les autres y perdent leurs repères au risque de ne plus se comprendre eux-mêmes comme individu sexué à part entière. Alors comment entrevoir un rapprochement quelconque ou une compréhension d'autrui dans cette configuration si confuse et perturbante ? Devons nous y voir, après analyse plus profonde, une autre volonté (peut-être cachée) d'asservir toute saine attraction en manipulant et brouillant les pistes dans un dédale de questionnements futiles contraires à un comportement naturel ? L'actualité, où se mêlent les questions de genre et de "vokisme" ambiant peu compréhensibles dans leurs buts réels, n'apporte que des réponses tronquées et des désillusions dont la grande majorité n'est ni concernée ni interpelée avec pourtant des répercutions importantes dans l'élaboration de la reconnaissance d'autrui dans l'environnement quotidien, et donc dans ce rapport ou justement les liens, sociaux, amicaux ou amoureux, en deviennent indiscernables, assurément flous, voire totalement intangibles pour certains. C'est dans ce constat de dérèglement des sentiments et des affects, et donc aussi de la libido qui s'y rapporte, que l'on ne peut que tenter de trouver une sorte de remède à cette perturbation existentielle, car s'en est une certaine et importante propre à désorienter les moins avertis, les plus jeunes ou moins aguerris sur la question… Il en vient alors effectivement à se demander, de manière pratique et "profane", comment relancer ou retrouver une vie relationnelle, sociale et amoureuse moins dégradée.

Certes, d'un autre point de vue plus ésotérique, les initiés auront parfaitement compris qu'il faut y voir un véritable piège sociétal, donc existentiel, et par conséquent en allant encore plus loin un piège relationnel ayant des répercussions sur des objectifs karmiques à suivre, objectifs qui seront de facto ralentis ou déviés de leurs buts initiaux d'évolution en empêchant les outils d'attraction de jouer leur rôle habituel à des fins de rencontres ou de liens amoureux (essentiels dans le processus de quête karmique). Il y a donc, d'une certaine façon, une insidieuse volonté de nuire à ce processus, un épais brouillard relationnel qui s'abat afin d'éloigner plus ou moins ceux qui devaient se rencontrer pour effectuer ensemble leur mission de vie de manière plus complète. Il faut bien ici percevoir cette activité contraire aux principes fondamentaux qui, il est vrai, après une assez longue période de quarantaine dont on ne peut reconnaitre que l'aspect négatif engendré, continue à s'ancrer vibratoirement de manière sensiblement durable et négative pour s'en inquiéter. Encore une fois, les profanes en la matière n'y percevront visiblement rien d'extraordinaire ou de très contraignant, ne verront pas le danger avancer progressivement car ils y seront déjà confrontés à la fois mentalement dans leur esprit en partie formaté et physiquement dans leur perte relative de libido et d'attraction. Retrouver cette potentialité ou la relancer en devient non seulement une saine orientation pour recouvrer un outil de développement personnel et spirituel au quotidien mais aussi pour atteindre de nouveau la capacité relationnelle contribuant à cet essentiel processus karmique dont finalement il est principalement question…

Sans entrer dans d'autres détails complexes ou bien aussi pointer directement du doigt de secrètes officines qui sont à l'origine des dérèglements dont il est question ici, mais en mettant tout de même en relation l'inexorable entrée d'intelligences non humaines dans notre quotidien, les I.A pour ne pas les nommer, nous voyons très justement notre propre essence d'humanité se confronter à d'autres logiques non naturelles nous éloignant ainsi lentement des fondamentaux qui nous constituent. Ainsi, et de manière bien plus clarifiée l'on voit que ces divers signaux faibles confrontés ensemble commencent à vouloir prendre le dessus en tentant de substituer l'humain au transhumanisme, ceci en voulant remplacer la force physique par le robot et notre intellect original et imaginatif par une intelligence artificielle formatée, uniformisée et généralisée, voire totalitaire dans un avenir proche si nous n'y prenons pas garde. Mais là ou l'artificiel ne pourra jamais entrer en concurrence avec l'essence de l'humanité, car il n'y a pas d'accès possible pour elle, c'est au processus même qui nous constitue et que les initiés connaissent sous la forme archétypale de conscience collective dont les archives akashiques sont les garantes de notre intégrité quels que soient les futurs "déboires" de la dimension physique qui y sont provisoirement attenants. Mais ceci est une autre histoire, celle, conjointement à notre problématique, d'une eschatologie programmée dont il n'est pas question aujourd'hui.

Après cette relativement longue introduction nécessaire pour comprendre le phénomène sur plusieurs niveaux, comme nous venons de le voir certes de manière très condensée et abrupte pour le profane qui n'a pas l'habitude de relier ces divers sujets entre eux, l'éloignement relationnel auquel nous sommes actuellement progressivement confrontés, ainsi que la diminution générale de l'affect et la perte de libido et d'attraction (que cela soit au sein du couple ou pour chaque individu même célibataire) peuvent être contrés de façon pratique d'une part en rejetant l'intrusion de logiques non humaines dans nos vies sociales (donc n'utiliser par exemple l'I.A que pour ce qu'elle est, c-à-d un outil évolué et non une fin transhumaniste en soi), d'autre part plus ésotériquement en comprenant l'utilité de l'aspect relationnel de l'humain en ce qu'il contribue à la bonne marche du processus karmique, notamment via l'attraction amoureuse et son biais principal qui la relie au corps avec la libido, véritable moteur du désir d'amour. Sur ce dernier point, l'accession à des solutions efficaces passe aussi par des résolutions d'ordre purement ésotérique dont on a l'habitude de nommer le processus "travaux de magie" et les outils spécifiques qui concernent le domaine de l'amour des "rituels de magie rouge" parfaitement adaptés afin de retrouver ou de développer le désir, la libido et par conséquent provoquer l'attraction entre deux individus. Résister à notre époque de confusion, c'est pallier au déficit relationnel que nos sociétés nous obligent à subir au nom d'un progrès qui n'en est finalement pas un, c'est une nécessité existentielle afin de ne pas laisser s'assombrir l'humanité qui est en nous.

Comme d'habitude cet article, plus didactique, soulèvera de nombreuses questions auxquelles vous le savez je suis à votre disposition pour y répondre, de même qu'en qualité de chaman professionnel je m'engage à vous aider avec les solutions que j'ai évoquées brièvement et qui sont ciblées en fonction de chaque personne ou chaque couple, notamment en matière de problème de relations amoureuses. N'hésitez pas, pour ce faire, à me joindre sur mon site (voir mes informations de contact ci-dessous). À très bientôt !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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La Chance est un très délicat concept qui semble assez largement échapper à tout contrôle mais pour autant pratiquement tout le monde recherche cette si fameuse et insaisissable Chance dont beaucoup d'ailleurs seraient incapables d'en définir exactement la teneur ou même d'en expliquer clairement une vision personnelle de ce qu'elle pourrait précisément leur apporter. Bien entendu, chacun sous-entend qu'avoir de la Chance dans l'existence est assurément synonyme de réussite sociale, de gloire, d'argent facile et de bien-être total sans jamais avoir à ne déplorer aucun problème ou accident importants. Ajoutons de suite sans l'oublier : une santé de fer, l'amour chaque jour plus fort et une longue vie pour parachever l'image idyllique afin d'en avoir fait presque complètement le tour et nous aurons un tableau bien brossé ! Mais, comme nous le voyons ou présentons, la Chance s'accompagne souvent de son parent assez ingérable et tout aussi indéchiffrable : le Hasard, car à coup sûr l'on ne sait évidemment jamais exactement comment se dérouleront les "heureux évènements" ni quand, à défaut même qu'ils arrivent un jour… Alors comment définir ce concept et tenter d'en extraire quelques vérités ésotériques utiles ? Surtout dans un premier temps en faire comprendre la réelle essence, et dans une deuxième étape se poser l'excellente question de ce que représente surtout la Chance "pour vous dans votre vie", ainsi que les principaux moyens d'y parvenir par des voies détournées au-delà de cet horizon des possibles.

Mais qu'est-ce que la Chance, ou déjà qu'est-ce qu'elle n'est pas ? Ce qu'il faut bien savoir avant tout c'est que l'intellect, se limitant à ce qui est en nous avec nos perceptions réduites pour tenter d'analyser ce qui est hors de nous, ne peut absolument pas concevoir toute l'immensité de notre environnement, toute sa complexité multiforme et toutes les potentialités induites : il nous est donc parfaitement impossible de saisir toutes les opportunités, les bonnes et surtout les meilleures pour en profiter intégralement mais aussi les mauvaises, voire les pires pour les éviter toutes. Par conséquent le mental ne peut être que dépassé par la réalité sur laquelle il se pose sans arrêt des questions, et celui qui dirait qu'il peut, uniquement via sa propre intelligence corticale, concevoir à l'avance toutes les opportunités chanceuses et écarter aussi tous les dangers serait un affabulateur et un complet mythomane, déjà en se mentant à lui-même. Notons qu'à la limite, celui-ci, même le plus intelligent du monde, ne pourrait prendre en compte que les quelques paramètres directement perçus qui lui sont proches, qui lui sont connus et compréhensibles, pour en modéliser les miettes d'interactions à portée afin de trouver "astucieusement" quelques petites pistes avantageuses pour sa personne. Cette attitude, parfaitement basique (et par définition limitée) analyse avec a fortiori une "certaine confusion mentale" ce qui nous environne mais ceci ne représente pas une recherche en soi de la Chance pour la "forcer", celle-ci ne peut pas être captée depuis un raisonnement intérieur, cette attitude signifie simplement que vous cherchez tout au plus dans votre milieu ambiant immédiat (social, professionnel, intime, etc.) à être aussi "malin" que ceux qui vous entourent pour profiter de situations relativement simples et totalement prévisibles.

La Chance fait donc essentiellement partie du domaine de l'invisible, c'est un concept intangible, immuable par nature, qui ne se situe que dans un "absolu des possibles", nos sens communs ainsi que notre intellect cloisonné ne peuvent rien en percevoir et encore moins anticiper ce qui ne pourrait être ni perçu ni interprété par le mental, il faut par conséquent ne pas le chercher mais le laisser venir à nous en laissant de côté notre Ego qui délimite et formate ce même mental, il faut au contraire écarter l'intellect réducteur et dissoudre l'Ego pour accéder, un moment seulement, à cet absolu des possibles. Ce n'est qu'en laissant remplir ce vide ainsi créé par ce phénomène d'éloignement volontaire de l'Ego et de l'emprise du mental que l'on peut se rapprocher de cet absolu, ce phénomène porte une dénomination bien connue de tous : la méditation, pour autant sa bonne pratique et sa profonde connaissance sont généralement totalement hors de portée de la grande majorité des personnes, lesquelles sont bien trop "occupées" dans l'enchevêtrement des considérations du quotidien et dans la "réflexion du mental" (miroir actif et confus de l'Ego), elles ne peuvent prendre le temps nécessaire d'en apprendre la science, assurément ésotérique par essence.

Bien que la méditation soit un moyen d'accéder en quelque sorte à une dimension supérieure positive ayant cette capacité d'apporter librement des informations codifiées pour réorienter le mental dans une bonne direction et donc laisser entrevoir un horizon des possibles prometteur (comprendre "chanceux"), elle ne permet pas à tout un chacun de saisir consciemment la Chance telle que communément reconnue mais de fournir au contraire des itinéraires personnalisés dont la personne aura spécifiquement besoin pour son évolution, c'est en cela que la véritable Chance agit : elle n'indique que la "part de chance" manquante et nécessaire pour se réaliser pleinement dans l'existence et ainsi réussir ses objectifs karmiques, lesquels induisent par un "heureux hasard" (diverses synchronicités) des actions bien concrètes ayant ces répercutions positives dans la vie. C'est donc en étant à l'affût de ces synchronicités, lesquelles sont néanmoins complexes à interpréter, que chacun pourra en tirer des avantages conséquents sous la forme de situations où cet "heureux hasard" apportera la bonne opportunité, au bon moment, avec les bonnes personnes au bon endroit. Chacun a déjà vécu ces instants ou ces périodes où tout "semble rouler" parfaitement et s'enchaîner comme les pièces d'un puzzle que l'on pose successivement et dont on découvre l'image finale avec cette fierté d'avoir réussi une étape importante et positive.

Comme je viens de le signifier assez clairement, la Chance est donc un facteur de réussite unique et propre à chacun selon son histoire personnelle, et plus conséquemment selon son orientation karmique que l'on doit considérer comme une main invisible guidant avec justesse la personne dans l'infini des possibles d'un labyrinthe existentiel auquel elle est confrontée chaque jour. Évidemment, et comme je l'ai aussi dit précédemment, tout le monde n'est pas sensiblement à l'écoute de ses fugaces synchronicités pour en saisir ou même en comprendre tout l'intérêt et y voir s'incarner la vision discrète des messages du karma. Dans tous les cas, juste un premier conseil : soyez à l'écoute de certaines pensées apparemment inhabituelles ou saugrenues, celles-ci sont peut-être de cruciales informations à interpréter, idem pour les rêves qui peuvent (pour ceux néanmoins qui s'en souviennent) être très instructifs même s'ils semblent totalement incohérents à première vue… Deuxième conseil pour ceux et celles qui n'auraient ni le temps, ni la possibilité de se pencher sur cette problématique de la Chance, surtout si pour vous celle-ci se fait absente ou semble s'éloigner : il existe des rituels de magie permettant de dévoiler (en partie seulement) les grandes orientations karmiques et ainsi commencer à entrevoir les bons itinéraires existentiels à emprunter pour "réussir sa vie", du moins vous l'aurez compris "réussir les bons objectifs pour évoluer positivement".

Dans cet ordre d'idée, et si vous me suivez sur ce blog vous savez que je propose mon savoir-faire professionnel en qualité de chaman, par conséquent vous pouvez à tout moment me contacter librement et sans engagement pour que je puisse répondre à toutes vos questions, notamment celles qui traitent des sujets des articles que vous lisez et qui je l'espère vous apportent déjà quelques lumières "ésotériques" utiles pour la compréhension de cet univers pour le moins hermétique pour la plupart des profanes (et même pour certains initiés !). Pour ce faire voyez les informations sur ma bannière ci-dessous. Je vous dis à très bientôt et ne laissez pas passer votre Chance en saisissant les opportunités qui se présentent ouvertement à vous !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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Un titre un peu provocateur mais qui illustre bien le propos puisque nous vivons dans un monde chaotique et dynamique, disons-le clairement pour ceux qui ne le sauraient pas encore, par conséquent le Diable (ou ses nombreux acolytes) est un peu partout et nous entoure dans presque toutes nos actions, de loin ou de plus près, selon votre attitude et les pensées qui accompagnent vos actes. N'oublions pas que tout est "une histoire de volonté", volonté d'agir dans un sens ou dans un autre, pour soi ou pour autrui, c'est-à-dire une volonté placée à un niveau vibratoire correspondant à votre "état d'esprit" associé à l'intention qui s'y attelle. Il est donc simple de se dire et d'ailleurs de constater que ceux qui ont une prédisposition pour la peur attireront la peur, ceux qui s'orienteront vers un mal nécessaire se verront comme aimantés par lui, inversement il existe aussi de bonnes actions initiales qui se terminent mal, comme quoi rien n'est si simple à ce stade et tout est finalement relatif à soi, aux autres et au contexte en présence comme j'ai l'habitude de le souligner… Alors, que penser du fait de vouloir "commercer avec le Diable" ? Une expression digne de l'époque de l'inquisition où l'on pouvait finir sur un bûcher à la simple évocation du Malin, ceci pour votre Bien, évidemment, encore que cela devienne tout aussi relatif de finir en cendres pour le Bien, oui mais finalement le Bien de qui…

Mais revenons à notre époque "plus moderne", celle où l'on finit aussi en cendres assez rapidement en se promenant simplement dans certains pays en guerre, comme quoi rien n'a vraiment changé, le Diable est dans ces détails que l'on à tendance à oublier ou à vouloir omettre sans trop de contraintes mentales pour ne pas voir ce Mal qui environne le Monde, celui dont les humains sont assez forts pour se l'infliger eux-mêmes, sans aucune "aide extérieure", du moins en apparence seulement. Dans ce sens nous savons que si le monde "tourne mal", il tourne quand même et cela reste un exploit considérable si l'on pense au nombre de fois où nous avons eu l'occasion de réduire la planète à néant, mais nous avons encore le temps de saborder le navire avec en plus cette capacité aujourd'hui de savoir consciemment que cela est possible, de plusieurs manières, guerre nucléaire globale, guerre bactériologique totale, ou bien plus basiquement et aussi plus lentement comme un supplice chinois : à force de scier la branche sur laquelle nous sommes assis à coup de surconsommation ultime des ressources planétaires, de la pollution de l'environnement, de la perte de toute biodiversité et enfin, pour finir en véritable apothéose, le grand cataclysme du dérèglement climatique qui tel le déluge nous anéantira tous ! Mais restons optimistes, même le Diable ne veut pas que nous disparaissions de la surface de la planète, sinon il n'aurait plus rien à faire, par conséquent nous avons un avenir, certes compliqué mais encore existant, avec la complicité de toutes les entités, bonnes ou moins bonnes, c'est le système qui le veut, et nous avons déjà signé le contrat pour jouer à ce jeu !

L'initié le sait et le profane commence à le comprendre aussi, dans ce jeu de la vie, celui qui impose une règle de l'existence pour évoluer selon une orientation désirée ou subie, qui implique des passages obligés, des cases à cocher sur le contrat passé. Et sachons reconnaitre que les points de passage initiatique ne sont pas tous systématiquement orientés dans un seul sens du Bien, chacun doit aussi assimiler le Mal pour le reconnaitre et s'en prémunir pour soi ("charité bien ordonnée") ou pour autrui plus accessoirement si cela est aussi possible. Par conséquent le Bien et le Mal sont indissociables pour paradoxalement pouvoir se départager et se situer l'un à l'autre du côté de l'échiquier, soit l'on joue avec les pièces blanches soit avec les noires, mais l'on peut aussi choisir à tout moment de retourner le plateau puisque l'expérience du jeu se joue finalement seul dans cette volonté de voir bouger toutes les pièces existentielles alternativement avec plus ou moins de bonheur ou de chance. Ainsi, chacun joue l'ensemble de la partie des deux côtés, le choix est celui du libre arbitre apparent bien qu'il existe effectivement un véritable maître du jeu, celui qui impose que l'on joue chaque pièce ou pion alternativement selon un déplacement précis, celui qui rappelle à chaque instant que l'on ne peut transgresser les lois de la matière tant que l'on y est lié. Finalement le mal serait de ne pas faire attention à ces lois, par exemple de vouloir tester la chute de son propre corps depuis le dixième étage, cela se terminerait alors effectivement a priori assez "mal".

Dans une autre perspective plus ésotérique cette fois, plus complexe aussi : un "pacte démoniaque" est-il une transgression de ces lois ou pas ? Rappelons rapidement qu'il est possible, pour un praticien réellement expérimenté, de faire appel à des entités dites (par convention) foncièrement "maléfiques" pour régler un problème, ceci souvent de manière radicale, brutale ou dangereuse, voire les trois en même temps. Il devient alors clair qu'utiliser de tels rituels de magie noire, puisque c'est ici la bonne dénomination, sera une ultime finalité, un coup risqué mais puissant et décisif sur l'échiquier de la vie, une orientation certes négative mais finalement peut-être aussi nécessaire pour que la partie prenne une tournure où une réponse s'impose pour en accomplir une action tout aussi puissante en retour et ainsi passer un cap initiatique crucial, cocher une case du contrat, trouver une solution existentielle fiable en surmontant la problématique proposée. Un monde sans aucun problème serait à l'image d'un encéphalogramme plat, une mort cérébrale sans objectif ou perspective, alors que chaque embûche, que chaque pas, même risqué, demande une attention pour marcher si possible sans tomber et aller dans une direction que l'on choisit volontairement avec les moyens mis à disposition. De cette façon, parfois en secouant un peu l'échiquier et toutes ses pièces, l'on peut aboutir à un résultat probant avec effectivement des moyens peu conventionnels, c'est ici le seul but valable d'une telle utilisation de la magie noire : faire trembler l'échiquier pour réinitialiser la partie ou en redéfinir le paysage pour trouver d'autres chemins enfin débloqués après que les murs qui en interdisaient l'accès se soient écroulés en offrant ainsi de nouvelles perspectives à tous les protagonistes.

Donner un grand coup de pied dans la fourmilière bien sage et bien ordonnée reste en apparence un acte malicieux, délictueux au sens karmique du terme, ou pire, délibérément destructeur, mais il générera ainsi une essentielle reconstruction avec des potentialités de pouvoir faire encore mieux qu'avant, de dépasser ce qui avait été réalisé précédemment, d'innover dans une plus large mesure pour véritablement évoluer : il faut parfois détruire pour mieux rebâtir, il faut parfois chuter pour apprendre à se relever plus fort encore, c'est ici tout le mérite du Mal que d'accomplir sa vocation première, celle d'inciter à tourner l'ancienne page afin de pouvoir enfin écrire la suite de l'histoire sur la suivante et débloquer une situation atone, une vocation paradoxale encore une fois d'initier in fine le Bien. L'un et l'autre, Bien et Mal, sont assurément deux faces d'une même pièce initiatique que nous avons tous en main propre, aller dans ce sens du mouvement, de la "ré-volution", n'est donc pas une alternative intégralement négative dans son bilan : très souvent le Pacte Démoniaque accélère une situation qui de toute façon aurait par elle-même fini par dégénérer de manière plus lente et beaucoup moins dynamique dans son ressort final, ceci par effet d'interaction inverse qui fait tourner la roue, après la mauvaise la bonne fortune, le tarot illustre d'ailleurs cet arcane majeur.

Comme nous le voyons, "commercer avec le Diable" par l'intermédiaire d'un Pacte dit Démoniaque n'est qu'une expression qui entraine une réflexion plus poussée sur non seulement l'origine du Mal mais aussi et surtout sur sa fonction qui n'est pas à séparer de son contrecoup positif comme je viens de l'exposer. Aussi, en qualité de chaman en exercice, certaines situations en complète inertie et dont rien ne semblent se dégager, ni de bon ni de mauvais, se voient dynamiser par ce type de travaux puissants qui agissent comme un stimulus nécessaire, comme la tempête qui va finalement souffler très fort dans les voiles d'un navire pour lui donner une nouvelle impulsion pour enfin avancer. N'hésitez pas à me poser des questions, je sais par expérience que le thème de cet article ne fait pas l'unanimité quant à l'angle sous lequel il faut en percevoir les trajectoires, je vous ai exposé ce à quoi de nombreuses années m'ont amené à penser et je reste à votre disposition pour approfondir la question, voire pour vous proposer si besoin ce type de rituel. Pour me contacter merci de suivre ma bannière ci-dessous, à très bientôt et "n'ayez pas peur !" (Paroles emblématiques de Jean-Paul II).

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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Nul ne peut se mettre strictement à la place d'une personne dont le couple est en situation de crise et proche de la rupture, car le contexte précis, les personnalités en présence et les causes ainsi que les effets induits font que l'ensemble de ces paramètres (en comptant ceux qui adviennent en surcroit de manière cumulative) en complexifient de facto l'analyse et la compréhension sans pour autant pouvoir donner des réponses finalement pleinement satisfaisantes. C'est, du moins, l'avis le plus couramment exprimé par les spécialistes dits "profanes", c'est-à-dire la cohorte habituelle de psy et de sociologues de la question qui, et c'est tout à leur honneur tout de même, ne s'arrêtent qu'au visible et descriptible selon les dogmes que la science leur impose, ne s'arrêtent finalement qu'au substrat le plus superficiel d'une individualité étudiée in situ dont ils ignorent les dimensions supérieures échappant à leur courte vision trop terre-à-terre pour les prendre en compte au-delà des prérogatives et du décorum de leurs fonctions corporatistes. Loin d'affliger ces spécialistes qui sont utiles, puisqu'ils tentent de "soigner" les maux de la vie, il n'en demeure qu'ils ne savent véritablement les "guérir" que dans de très peu de cas et encore moins en expliquer avec discernement et assurance toutes les sources et les raisons subtiles qu'ils se gardent bien d'exprimer ouvertement puisqu'ils n'en ont strictement aucune idée et qu'ils n'ont d'ailleurs jamais tenté d'en étudier la réelle provenance exacte. Seul peut-être C. G Jung, dans une vision plus ésotérique et moins normative, a-t-il pu aborder la question de manière plus approfondie comme l'initié qu'il était, avec ce que l'on sait aujourd'hui en retour de sa sagacité spirituelle éclairée : les reniements acharnés de ses pairs qui l'ont presque tous immédiatement banni de leur très docte cercle de fausses certitudes, apprises et répétées maintes fois au fil du temps, tels d'illustres perroquets savants si fiers de leurs plumes académiques décrépies. On en a d'ailleurs aussi vu dernièrement les effets pervers dans un autre "domaine médical réservé"…

Mais soyons pragmatiques et restons parfaitement lucides, loin de dire que la psychologie et la sociologie ne servent à rien, bien évidemment, il faut néanmoins effectivement remettre ces belles disciplines, là où elles s'accordent le mieux pour coexister : pour l'étude de cas improbables, pour la cogitation d'ego scienteux ex nihilo, pour l'amassage invraisemblable d'une montagne d'hypothèses tordues construites sur des terrains marécageux où chaque idée finit par être engloutie tout au fond du marais pour s'y décomposer lentement, mais sûrement. On ne compte ainsi plus chaque jour qui passe toutes les nouvelles méthodes et théories inapplicables, tous les discours de parfaits sophistes tournant en rond avec autant de mots creux que de slogans publicitaires répétés en boucle, et surtout tout ce temps perdu où des personnes en demande d'aide se voient instamment formatées dans le moule de la doxa médico-socio-psychologique, à coup de drogues médicamenteuses incertaines, voire dangereuses, et de lavages de cerveaux pour en oublier leurs problématiques mais aussi pour nier la spécificité de leur individualité ainsi totalement dissoute avec leurs questionnements légitimes initiaux, et c'est ici le pire… Ce constat implacable reste valable pour chaque personne devenant un "patient" (du latin "celui qui endure, qui souffre") comme pour le couple, qui s'apparente étymologiquement à un duo de personnes liées par une relation (généralement "amoureuse"), et dont on connait les potentielles "crises de couple", durables ou ponctuelles, évitables ou inexorables, douces et sans conséquence ou bien plus dures avec une fin dite tragique pour celui qui l'a subit, souvent crescendo : rupture, humiliation, isolement, dépréciation, dégradation, dépression, voire jusqu'au suicide social ou physique.

Le couple, ou plutôt la "notion de couple" devient d'autant plus complexe lorsque l'on élargit le cadre de référence avec ce ou ceux qui pourraient interagir, façon "simple sociologie profane du couple", avec le duo initial pour en révéler d'autres acteurs, ainsi d'autres types de relations actives apparaissent et peuvent assurément expliquer les crises ou du moins certaines problématiques importantes pouvant aboutir à une rupture et à une "perte de confiance morale" (plus ou moins forte) dans la relation de couple habituelle. C'est le cas de ce qu'il faut assurément appeler des bien nommées relations extra-conjugales avec les amants et les maitresses, seulement d'une durée d'un jour ou au plus long cours, ces relations seront perçues (selon les types de personnalité et d'éducation) comme amorales ou inversement parfois nécessaires, voire pour certains plus rarement comme un mode de fonctionnement presque normal du couple que de ne pas vouloir s'astreindre à l'uniformisation de la sexualité dans ce qu'elle propose de manière plus convenue, c'est-à-dire pour eux-mêmes comme couple à s'autoriser de ne pas se satisfaire sexuellement du seul conjoint ou partenaire. Dans ce dernier cas moins courant, la liberté purement sexuelle peut être comprise comme un renforcement du couple dans ce qu'il se permet cette liberté réciproque, ceci en tenant compte de certaines limites tacites ou plus explicites si besoin. Mais cette vision plus libertaire du couple n'est évidemment pas l'apanage de la très grande majorité, celle-ci restant cantonnée à la seule relation interdépendante réciproque, avec cet handicap relatif mais bien réel de voir littéralement voler en éclat la relation à la moindre incartade dont les dogmes sociétaux ou religieux ont su stigmatiser "la faute" depuis des lustres sur les populations dites "civilisées", comprendre "endoctrinées pour leur bien"…

Maintenant abordons la réalité sous un angle bien moins étroit, dans une vision certes plus ésotérique qui n'aura pas a priori l'approbation de tous les scientistes engoncés profondément dans leurs démonstrations matérialistes ou bassement corticales et psychiques, voyons le couple et sa relation comme je l'exprimais dans l'article précédent et dont la teneur dissipe toute confusion : le couple est un instrument, un outil pratique dans notre réalité terrestre (à notre niveau dimensionnel) de ce que chacun doit réaliser en "mission de vie" via le contrat karmique qu'il (le "soi supérieur" comme entité supradimensionnelle, ou apparenté de très loin au "surmoi" psy) devra suivre à des fins d'évolution par paliers en étant successivement "incarné", donc réincarné sous des individualités différentes cloisonnées (dont la mémoire est séquencée par période d'existence et généralement antérieurement non accessible par celle "présente"). Voilà qui en une seule phrase, sans palabres ni contournement inutiles, explicite la voie royale ésotérique qui généralement instaure la réincarnation (ou métempsycose) comme un fait établi expliquant pratiquement l'ensemble des problématiques ici-bas, dont celle, très importante, de la relation de couple qui participe activement à cette évolution karmique sur plusieurs vies. Je conseille de lire mes articles précédents afin d'entrer plus dans le dur du sujet si cela était encore nécessaire d'en apporter des informations plus étayées didactiquement en laissant de côté l'hermétisme des textes anciens qui l'explicitent sous une forme occultée et souvent marquée d'une religiosité très directe qui pourrait choquer car parfois assez éloignée de la douce et édulcorée spiritualité contemporaine telle que nous la concevons aujourd'hui.

Dans cette perspective la relation de couple prend alors une toute autre dimension, très loin des stéréotypes profanes où les liens sentimentaux préfabriqués par les habitus sociétaux deviennent soudain à l'image de ces lignes de code sous-jacentes dont il faut avoir les clefs pour en comprendre la portée réelle et la signification cachée, une initiation qui passe par un décryptage ésotérique aux yeux ébahis et incrédules des profanes encore sous le coup de l'imprégnation mentale qui leur a été inculquée depuis la naissance, par un rigoureux formatage générationnel. Très paradoxalement, les initiés ne nieront pas qu'un tel processus d'amnésie de ce que l'on peut appeler la surréalité (la réalité dimensionnelle vraie) soit un effet pervers de l'effacement de mémoire des vies précédentes au moment de l'incarnation, car en terme d'efficacité cette étape semble nécessaire pour la grande majorité des gens afin d'évoluer de manière crantée sans avoir souvenir d'étapes précédentes de leur existence qui pourraient sinon parasiter et fausser la nouvelle expérimentation d'incarnation sur d'autres voies à suivre, sur d'autres missions de vie selon des Lois karmiques encore plus complexes et difficilement appréhendables selon nos modalités dimensionnelles restreintes à notre niveau ici-bas. Sous cet angle la relation de couple se clarifie comme étant une fonction karmique, ses problématiques comme étant des expérimentations de mission de vie à suivre, qu'elles soient assimilées positivement ou négativement d'un point de vue profane sans décodage alors cela ne change rien, bon ou mauvais cela reste une initiation, une épreuve à passer, une case à cocher sur la mission.

Évidemment, faire comprendre l’ensemble de ce processus à une personne en difficulté, notamment en crise de couple ou en rupture sentimentale, sera assurément compliqué d'emblée sans passer par un travail conséquent où viendront comme une initiation ésotérique se décrypter les éléments de cette problématique, les sources de cette crise, les aspects finalement bénéfiques à long terme et surtout les potentialités infinies de rebond pour dépasser le stade de la crise et évoluer de manière plus consciente, certes peut-être pas au niveau d'un initié de haute stature mais comme un individu enfin libéré, enfin ouvert sur ce que j'ai l'habitude de nommer un horizon des possibles, une sortie par le haut de ce qui était un problème apparemment insoluble sans les bonnes clefs, une certitude que le "moi" peut aussi accéder aux conseils de son surmoi, ceci via des processus ritualistiques, ce que l'on conçoit trivialement dans le langage profane comme de la Magie opérative avec ses travaux de magie, ses praticiens et ses Connaissances ésotériques qui permettent de percevoir ce dialogue. Éviter, empêcher ou accepter la crise dans le couple en se résignant à n'en voir que les aspects strictement basiques s'apparente à s'exempter du codage de l'existence qui se trouve sous la surface du visible, c'est ne pas vouloir ou ne pas chercher à voir ce qui est occulté et que la voie ésotérique permet de décrypter pour résoudre radicalement ces problématiques existentielles conjugales, relationnelles ou amoureuses qui jouent des rôles karmiques essentiels mais effectivement cachés.

En qualité de chaman, je vous propose si besoin de trouver ces clefs, d'effectuer ce travail de décryptage via des rituels "de magie" (appelons-les avec la terminologie courante) et ainsi de vous orienter sur la voie à suivre, celle qui sera en accord avec votre mission de vie, celle que "l'on" attend de vous ! Pour me joindre dans le cadre de mon activité professionnelle et pour en discuter librement sans engagement, merci de suivre les informations sur ma bannière ci-dessous. À très bientôt !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel.

 

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Comme nous l'avons vu dans les deux épisodes précédents consacrés à ce domaine de l'Amour, d'une part (1/3) sa constitution composite pour en reconnaitre sa nature basique et son essence plus subtile, d'autre part (2/3) son mode de fonctionnement principiel pour en comprendre l'intégralité véritable à constituer pour le trouver, nous abordons maintenant (3/3) le but de l'Amour dans son mode réellement fonctionnel, c'est à dire au sein d'une relation (humaine) établie et ce pourquoi il est nécessaire d'entrevoir cette finalité à la fois comme une harmonie à vivre à deux mais aussi comme une évolution plus individuelle à saisir comme un dépassement de soi avec un gain de spiritualité puisque c'est tout l'intérêt initiatique déjà explicité qui va aider à mettre en oeuvre la réalisation de la mission de vie sous-jacente. N'oublions pas que dans cette perspective l'Amour n'est donc principalement que l'accessoire ou l'outil assurément nécessaire afin de passer un cap de perfectionnement où par la suite et progressivement se présenteront des opportunités karmiques difficilement atteignables par d'autres chemins n'intégrant pas cette notion d'Amour partagé à deux au sein d'une relation de couple.

A contrario, et donc à citer en long aparté car a priori à l’écart de notre thématique principale relative au couple, la bien plus rare exception vers une autre voie, celle d'une étude en solitaire ou d'un célibat assez strictement orienté si celui-ci s'astreint à un encadrement extrêmement complexe à suivre durablement par la voie d'une rédemption du soi égotique via une vie tout entière consacrée à une forme réelle de spiritualité et d'application formelle de celle-ci, ce qui reste difficile à notre époque, mise à part entrer en vie monastique, en prêtrise pour les hommes, au couvent pour les femmes ou bien en ashram méditatif et ascétique durant un minimum de quelques décennies avec un guru ou un maître expérimenté pour commencer à en entrevoir la lumière au bout du tunnel, donc un amour via un accès à une "relation au divin" (ou "autre orientation"…) que peu de personnes pourront réellement atteindre intégralement sans ce sacrifice ultime du soi en une fusion plus verticale avec "ce qui est en haut". (Cette deuxième voie pourra faire ultérieurement et spécifiquement l'objet d'un article connexe complet sur l'accès à la spiritualité liée à l'occultisme en général, aux passages initiatiques de diverses obédiences et aux nombreuses formes de magies associées à ces pratiques plus hermétiques quoi qu'accessibles pour qui veut savoir oser ou veut oser savoir…).

Pour revenir à notre thème, et dans cette autre forme de sacrifice initial, s'il en est d'une certaine façon existentiellement parlant, le couple apporte potentiellement cette lente et positive dissolution des scories de l'Ego en une sorte de transmutation, un très efficace affinage alchimique de l'individualité brute de chacun des partenaires au service plus exclusif de la relation pour qu'elle puisse exister et perdurer. En effet, il n'est pas possible de conserver durablement une réelle relation amoureuse complète sans une remise en question du soi pour le mettre "au service du couple", ceci est un impératif au même titre que le sacrifice plus ascétique cité plus haut, dans les deux cas une cause plus haute que soi-même doit être abordée et surmontée (l'Amour terrestre vécu et scellé dans l'union du couple ou bien l'Amour inconditionnellement plus vertical projeté vers une entité haute ou "divine"). Le choix plus communément effectué à notre époque s'oriente résolument en terme quantitatif vers l'amour dans le couple, ce qui apparait pour le plus grand nombre une apparente fausse simplification car le cheminement demeure tout aussi complexe et c'est ce que nous allons voir pour éviter les erreurs et les complications relationnelles, voire pour certains les ruptures amoureuses ou les éloignements parfois nécessaires.

Dans un premier temps, après avoir enfin trouvé l'Amour vrai, l'apprivoiser en devient tout un Art pour le conserver. En d'autres termes, l'Amour une fois présent se doit de durer pour apporter tous les bienfaits dont il est vraiment question, non seulement sur les aspects basiquement dus au contexte qu'implique le couple, à savoir ce dont on a parlé : le partage essentiel d'interactions matérielles (physiques, sexuelles, d'espace en commun, de ressources, etc.) ou bien le partage plus temporel et immatériel (temps intellectualisé passé en commun, projets, motivations, analyses, espérances, etc.) mais aussi dans une dimension existentielle bien plus subtile encore qui nous intéresse surtout ici et qui touche au principe karmique et à la mission de vie de chacun des deux protagonistes, sans pour autant bien évidemment avoir pour chacun exactement les mêmes orientations sur ces points mais en partageant des éléments constitutifs importants. Notons qu'il est effectivement assez rare qu'en plus de "vivre ensemble" ces mêmes partenaires aient aussi de près ou de loin exactement le même "parcours de transmigration de leur âme" (ou métempsycose), ce qui serait alors une véritable aubaine puisqu'ils pourraient aussi en partager des missions de vie identiques ou presque. Dans ce sens, sous conditions, ce que l'on appelle les "âmes soeurs" serait a priori de cette teneur rarissime, idem mais plus complexe encore, différent et peu courant, avec les flammes dites jumelles… Dans tous les cas, néanmoins et sans être sur une complète ligne d'identité karmique réciproque, il est vrai et important de le souligner, que les partenaires d'un couple ne se sont absolument pas rencontrés par un pur hasard mais bien selon une puissante et incontournable loi d'affinité assurément karmique afin d'être orientés sur un itinéraire approchant sans pour autant avoir strictement à marcher dans les pas l'un de l'autre sur ce chemin commun.

Dans ce sens la citation relativement connue "Il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous" prend ici et maintenant toute sa notable singularité en ce qui concerne précisément les rencontres amoureuses lesquelles représentent ces rendez-vous avec le feu de l'Amour qui va consumer les coeurs et en extraire l'essence lors de cette communion. Mais attention de ne pas oublier les quatre niveaux d'ingrédients alchimiques de la "prima materia" de l'Amour pour en réussir l'opération, auquel cas celle-ci n'aura pas l'effet globalement escompté. Ainsi, vous l'aurez compris, de l'Amour potentiellement complet pourrait n'en découler qu'une combinaison bancale d'amours moins subtils, d'amour physique et sensuel, d'amour sensible ou sentimental, d'amour intellectuel ou mentalisé, mais aucune ascension spirituelle à la clef correspondant à un Amour "intégraal" et donc aux vertus spirituelles de suivre un chemin de vie réellement "ascensionné" (à notre niveau terrestre, selon les termes des enseignements de nombreux maîtres planétaires occidentaux ou orientaux confondus). Ce processus complet s'apparente avant tout à une relativement stricte attitude mentale spécifique qui sera comme le creuset* de l'opération pour orienter positivement les Ego, dépasser les souffrances des corps et l'angoisse existentielle du mental. En d'autres mots : repousser le poison d'un mental comportant deux facettes, l'une destructrice et entropique présente dans toute individualité, l'autre constructive et énergétique dans sa transformation au sein de la relation. Bien entendu il n'existe pas de modélisations mentales telles qu'elles sont intégralement bonnes ou intégralement mal orientées, mais ce sont des mixtes de tendances qui créent ce que nous sommes et comment nous aimons dans une relation amoureuse (ou autre, plus basique ou amicale par ailleurs).

Mais alors, comment opérer pour atteindre un processus s'approchant de la complétude de ce qui vient d'être explicité pour réaliser cette alchimie propre à apporter une vision positive, durable et spirituelle de l'Amour, lequel pouvant ainsi contribuer à nous faire évoluer karmiquement sur notre chemin de vie véritable ? (la question mise en abîme, vous pouvez la relire si besoin car elle résume la situation…). Il est clair que la recherche de la proximité des quatre éléments de l'Amour, ceci dans une orientation assurément éloignée de toute compromission négative avec l'Ego, sera une première étape importante, attitude d'ordre contextuelle, à mettre en place réciproquement dans le couple. Une technique existe, cette discipline est dite "tantrique" et permet une voie possible de transformation plus intégrale de l'être humain utilisant ses propres ressources intérieures, ceci en commun avec le partenaire (en règle générale yin et yang en association, d'ailleurs, et c'est un travail complexe, chacun se définira comme tel dans son couple comme étant plus yin ou plus yang dans sa propre structure globale, c'est-à-dire pas uniquement physiologique, mais aussi psychique, mentale et spirituelle). Ce en quoi permet une discipline tantrique c'est de placer dans notre creuset* ces deux principes yin et yang avec leurs éléments constitutifs présents et bien orientés qui seront comme autant d'aspects propres à faire jaillir cette lumière spirituelle d'Amour issue de l'Énergie ainsi générée par ce processus. D'un point de vue certes abstrait et poétique : devoir brûler tous les bons ingrédients de l'Amour, combustibles essentiels au feu sacré de ce processus pour que son Énergie éclaire la route, celle qui permet d'entrevoir l'entrée du chemin de la mission de vie, et donc d'évoluer karmiquement de manière plus consciente… L'Amour véritable apporte ainsi un éclairage nouveau dans l'existence en éveil et en conscience plus élevée, c'est principalement son rôle et non un autre…

Cet article étant certainement compliqué pour certains, vous pouvez me contacter si besoin, n'oubliez pas de relire si possible successivement dans l'ordre les trois "Épisodes" de cette thématique pour mieux en aborder l'entière teneur et déclencher en vous ce qui devra l'être ! À très bientôt pour ces explications (pour me contacter voir ma bannière ci-dessous) ou pour d'autres types de demandes dans le cadre de mon activité professionnelle.

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