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Blog chaman ésotérisme

Blog chaman ésotérisme

Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #Tantra, #trantrisme, #sexualité sacrée, #envoûtement amoureux, #Magie sexuelle, #Rituels de magie

Le sexe a toujours été une préoccupation majeure des êtres humains, hommes et femmes à égal niveau d’intérêt, tant pour le plaisir que pour la procréation avec cette différence que l’homo sapiens est un animal quelque peu plus évolué ayant croqué ce fameux fruit de la Connaissance avec tous les déboires que l’on sait mais aussi toutes les chances de mieux comprendre sa propre destinée (sans pour autant que tous en maîtrisent la subtile essence). Car ici-bas en effet tous les humains ne sont pas égaux en terme d’évolution spirituelle, ainsi qu’en savoir ésotérique ou en herméneutique. Dans ce sens les plus initiés seront pleinement conscients que la sexualité est aussi une source d’inspiration sacrée importante là où d’autres, plus novices ou plus profanes, n’y verront uniquement qu’une pulsion exaltée de la chair à assouvir dans l’effort d’un acte sexuel pour libérer des tensions et exulter en sécrétant voluptueusement divers fluides corporels. Une définition presque médicale pour signifier la notion d’orgasme lié à une union sexuelle dûment consommée. Bien évidemment presque tous seront d’accord, profanes et initiés, pour affirmer que la sexualité ne se résume pas juste à une affaire de sexe situé sous la ceinture mais que le cerveau y participe tout autant voire de manière prépondérante pour enclencher cet "obscur objet du désir" qui passe assurément par une volonté farouche, pour ne pas dire affirmée. Enfin, d’autres encore, assez peu nombreux seront capables de percevoir dans la notion de sexualité une perspective plus large aboutissant à une certaine forme de sublimation spirituelle afin d’évoluer, ce sont ici des initiés de haut niveau, des pratiquants de rituels tantriques proches de la magie rouge opérative.

Mais ne nous y trompons pas, la magie sexuelle (magie rouge) opère sur des modes de fonctionnement bien différent que le Tantrisme et les deux n’ont pas une même fonction ni un même "public". Les rituels de magie rouge ne peuvent être effectués que par des sorciers-chamans professionnels disposant d’une Connaissance ésotérique permettant d’opérer des rituels précis selon une gamme assez large en fonction de la problématique à résoudre. Ainsi, la magie rouge apporte d’excellentes réponses lors des tensions conjugales (que l’on appelle trivialement les "problèmes de couple") pour le retour d’affection ou le retour de l’être aimé si celui-ci est en rupture ou proche de la séparation. De même, les travaux en magie rouge jouant sur l’attraction (physique ou plus émotionnelle et sentimentale), les rituels qui lui sont attribués sont capables d’encourager fortement cette "attraction" ou au contraire dans d’autres cas plus spécifiques de provoquer une "répulsion". Prenons l’exemple d’une femme mariée qui veut se débarrasser de la maîtresse de son mari, alors la magie rouge lui sera de la plus grande utilité en passant par un travail à moyen ou long terme pouvant faire intervenir plusieurs rituels complémentaires comme la réduction de la libido de son mari ("nouer l’aiguillette") pour limiter ses escapades, avec en complément une action plus directe sur la maîtresse en question pour la repousser et garder l’exclusivité de son propre couple.

Dans un même registre "l’envoûtement amoureux" opérera via la magie rouge pour ceux qui chercheront un pouvoir d’attraction spécifiquement ciblé sur un individu en particulier, dans ce cas ce sont plutôt des hommes ou des femmes célibataires ayant jeté leur dévolu sur une personne pour s’en attirer les faveurs de manière ponctuelle ou plus durablement selon les types de rituels (ou "sortilèges"). L’on ne doit pas voir ici une quelconque "possession", la magie rouge n’est pas une magie noire de transgression ou d’agression, c’est au contraire une magie d’assimilation dont l’approche reste naturelle dans le sens où elle ne fait qu’effet de levier sur ce qui existe déjà en l’amplifiant ou en le révélant à autrui pour un rapprochement. Ainsi l’envoûtement amoureux ne fonctionne que sur les personnes déjà connues dans l’entourage dont le relationnel n’est pas négatif mais juste neutre ou positif pour dépasser un seuil vers une union plus proche et intime. C’est d’ailleurs le propre de la magie sexuelle que d’utiliser ce qui existe comme "outil de base" pour amplifier l’effet et l’adapter à chaque situation ou contexte. Dans certains cas, par exemple si l’on recherche l’âme soeur, alors une autre magie complémentaire de "révélation" (comme la magie blanche) pourra être invoquée comme rituel de départ des travaux afin d’orienter au mieux la suite à adopter en ce qui concerne les choix de rituels de magie rouge.

En ce qui concerne la sexualité dite "sacrée", elle est issue principalement d’une tradition tantrique d’origine hindouiste puis bouddhiste tibétaine, c’est-à-dire issue de certains textes sacrés appelés "tantras". En occident l’on a la fâcheuse tendance à confondre le texte avec la doctrine, et l’on perçoit donc dans le tantra ce que représente le tantrisme tout entier alors qu’il existe une multitude de textes (tantras) dont seul le "tantra de Guhyasamāja" fait appel à la pratique du yoga faisant référence à l’énergie sexuelle comme facteur de progression spirituelle et d’évolution. Il est donc assez bon de savoir, notamment pour les initiés, que tous les tantras ne sont pas orientés uniquement sur la sexualité mais ces des textes sont consacrés à des fins d’évolution selon de multiples voies pour la purification de l’esprit et du corps. Pour être parfaitement encore plus précis, nous devons donc employer la terminologie exacte de "tantrisme sexuel" et celle-ci coexiste en deux voies principales : le tantrisme de la main gauche (ou "Vamachara") qui effectivement utilisera la sexualité comme moyen opératif productif, et le tantrisme de la main droite (ou "Dakshinachara") qui sera plus ascétique, privilégiant la méditation en sublimant la pulsion sexuelle pour en retirer une énergie spirituelle conséquente. Les deux voies étant au choix, opposées ou complémentaires…

En occident nous n’avons évidemment retenu que la version purement sexuelle du tantrisme traditionnel, notamment avec la vague new-âge du début des années soixante, et même bien avant avec la "Golden Dawn" (Aube Dorée) et Aleister Crowley qui a su promouvoir avec outrance et débauche sa pratique rituelle axée à la fois sur la sexualité et sur l’utilisation de drogues psychotropes. Aujourd’hui l’on sait parfaitement que certaines substances sont psychoactives et potentiellement utilisées pour entrer en transe durant des rituels traditionnels : des drogues comme le "Peyotl" mexicain dont Carlos Castaneda aura su vanter les mérites dans ses ouvrages ou bien "l’Ayahuasca" des tribus amazoniennes dont se servent habituellement les chamans. En occident et de nos jours, en ce qui concerne typiquement la sexualité, les satanistes et les lucifériens ne sont pas en reste, pas toujours en leur honneur, leurs rituels sont en grande partie axés sur le sexe durant des réunions secrètes qui se terminent la plupart du temps dans le meilleur des cas en "parties fines" bien organisées mais aussi parfois pour le pire avec de graves dérives où ces "groupes sectaires" auraient utilisé des enfants durant non seulement leurs ébats ritualisés mais aussi en vue de réels sacrifices humains (affaires de "l’Alliance Kripten" et "d’Abraxas" en France par exemple)… Il faut donc aborder la magie sexuelle avec une grande prudence, d’une part pour ne pas finir tout simplement dans un club échangiste si l’on cherche avant un approfondissement spirituel, d’autre part pour ne pas entrer dans une secte en se retrouvant soi-même l’objet du rituel ou complice de pratiques réprouvées par la loi et généralement peu gratifiantes pour son karma…

Mais pour en rester à de saines pratiques, mieux vaut suivre un tantrisme traditionnel (main droite ou main gauche au choix, voire les deux) ou alors passer par la magie rouge opérative qui se base sur votre volonté avec comme guide un chaman sorcier professionnel qui a de l’expérience et une véritable Connaissance ésotérique. Ceux qui me suivent savent à quel point la magie opérative est complexe et n’autorise pas l’amateurisme, c’est pour cette raison que je me suis engagé depuis plus de trente ans dans cette orientation claire de magies apportant des solutions parfaitement adaptées aux demandes durant des travaux respectant celui ou celle qui fait appel à mon expertise pour l’aider dans sa démarche. Dans cette perspective je reste à votre disposition pour répondre à vos questions (sur le thème de cet article ou d’autres si besoin, voir sur la colonne de droite les thèmes en ligne), vous pouvez donc me joindre par écrit depuis mon formulaire de contact en cliquant sur ma bannière ci-dessous ou bien plus directement en me téléphonant au 06.09.11.94.56 (numéro direct et non surtaxé). Je vous souhaite un excellent Week-End en ce mois de mai ensoleillé et à bientôt pour une première prise de contact, si besoin !

Jean-Pascal BRUNO

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #marabout, #Esoterisme, #occultisme, #magie africaine, #guérisseurs, #marabouter, #mise en garde

Personnellement je n’ai rien contre les marabouts, ces sorciers africains tribaux, mais je vais expliquer pourquoi il est risqué de se faire marabouter en occident et plus précisément en France. Il faut déjà bien savoir qu’il existe deux sortes de marabout, le premier est un ascète religieux, celui-ci étudie le Coran mais n’exerce aucune magie car cela est d’ailleurs strictement déconseillé et assez bien stipulé dans les Écritures (et les savants musulmans ont condamné unanimement la magie), le deuxième est un sorcier qui assure exercer une certaine magie en totale infraction avec les convictions qu’il dit avoir en suivant les Écritures auxquelles il se réfère généralement, il y a donc un premier problème déterminant assez simple à comprendre à ce niveau… Pour résumer, deux marabouts : d’un côté un véritable croyant et un exégète savant respecté chez lui, de l’autre un sorcier mystificateur qui emprunte aux textes sacrés la substance dont il se revendique alors qu’elle en interdit formellement sa pratique. La différence est donc fondamentale mais il fallait en quelques mots déjà bien la rappeler à ceux qui ne le savaient pas encore pour qu’il n’y ait aucune confusion possible. Ceci dit, la problématique du marabout-sorcier s’amplifie encore lorsqu’il se clame guérisseur ou professeur au nom de ses propres ancêtres tribaux, ce qui ne serait pas une polémique en soi dans son pays et au sein de son propre clan mais ceci devient effectivement strictement inapplicable en dehors de son cercle restreint, d’autant plus en dehors de son pays d’origine. Les coutumes des uns n’étant ni compatibles ni transposables dans toutes les contrées du monde et encore moins dans un occident riche de ses propres solides traditions ésotériques ou occultistes. C’est le sens de cet article, non pas d’attaquer le maraboutage d’Afrique (de l’ouest subsaharien, région de sa principale activité) mais d’en comprendre que son exercice typique n’est non seulement pas du tout adapté en dehors de son continent initial mais surtout aussi totalement inefficace ou voire dangereux en dehors de sa propre zone géographique et culturelle.

Inefficace, le marabout "guérisseur" car s’il avait sauvé de la maladie des "patients" dans nos pays cela se saurait et nous serions tous en train de boire des décoctions d’écorces et de prier les ancêtres du marabout pour nous sauver. Bien entendu il est plus que probable que certaines herbes locales soignent de la diarrhée ou de la fièvre dans les tribus africaines éloignées des centres-ville et que ces problèmes de santé soient gravissimes dans ces contrées démunies de tout où le moindre petit bobo peut hélas dégénérer en s’aggravant et même aboutir à une mort certaine. L’on comprend alors mieux la ferveur et la dévotion des habitants de ces villages pour leurs marabouts locaux s’ils peuvent soulager ces maux qui chez nous se résolvent en quelques heures avec un comprimé d’aspirine ou d’imodium. De même, pour des maladies bien plus terribles comme le cancer, l’on n’a jamais vu ni connu aucun cas sérieux de guérison en passant par un marabout, certainement aussi parce que les "patients" qui l’ont testé ne sont plus là pour en parler, ayant rejoint bien vite les ancêtres invoqués par ce même marabout, au doux pays des morts… Sur ce point donc aucun mystère mais que des certitudes, celles qu’il vaut mieux passer par un médecin sérieux que de passer de vie à trépas dans les mains d’un marabout guérisseur. Donc "exit" le guérisseur qui maraboute des clients plutôt qu’il ne soigne des patients !

Inefficace, le "professeur" marabout ou le "maître" marabout. Les titres, de maître et professeur, ont un sens bien précis dans nos sociétés occidentales bien structurées, mais apparemment ils ne doivent pas avoir la même signification pour le marabout qui s’en octroie plus le symbole d’un statut personnel que la valeur qu’il préconise vraiment, il faut donc se méfier des adjectifs qui font partie du décorum auto-attribué plus que de l’autorité légale que l’on attendrait d’un professeur ou d’un maître, d’autant plus que le marabout se dit voyant ou médium mais ne joue pas trop dans le didactique professorale dans ses propos toujours peu clairs ou très hypothétiques… Donc "exit" le professeur et le maître, surtout s’il s’arroge de superlatifs d’autant plus douteux : Grand Maître Marabout ou Grand Professeur Marabout, nous ne sommes pourtant ici ni au prestigieux Collège de France ni au Grand Orient chez les frères trois-points de la rue Cadet. Notons au passage que nos doctrines, savantes, académiques ou bien plus ésotériques et maçonniques, peuvent en toute légitimité historique user des titres que je viens brièvement d’exposer. Il n’y a assurément pas de mal à remettre d’aplomb les mots exacts pour ce qu’ils sont et d’en écarter illico le dévoiement de leur utilisation par des usages trompeurs et forcément malhonnêtes. Trop de personnes profanes ne font plus attention au sens premier des mots; l’afflux d’information généré par nos réseaux dits sociaux n’arrange rien et même aggrave la situation avec des non-sens, des fake-news, des déviations et des approximations, dans cette perspective nous ne sommes pas loin de l’univers dystopique de George Orwell qui dénature et même inverse le discours et le langage commun.

Risqué, et même dangereux, ce même marabout qui dit vouloir vous aider. La seule certitude en allant voir un marabout est qu’il va "vous marabouter" et non s’occuper de votre problème, et c’est l’unique méthode en sa possession que de vous persuader, en montrant le Coran comme preuve, qu’il va agir pour votre bien. Or, et je l’ai souligné précédemment, les Écritures condamnent la magie des marabouts, alors comment ceux-ci pourraient se prévaloir d’un savoir qui n’autorise pas leur pratique ? Pour entrer un peu plus dans les détails, un marabout n’utilise que la référence à ses propres ancêtres locaux, il tente de puiser dans une force de mort, laquelle qui plus est, va à l’encontre de la croyance de ceux qu’il dit aider, ce n’est tout simplement pas possible. Le marabout n’est rien d’autre qu’une sorte de nécromancien (transcription dans notre terminologie occidentale) faisant appel à ses propres croyances, à ses références culturelles qui ne sont pas les nôtres ici en Occident, à ses auxiliaires qui ne sont rien d'autre que des "djinns" (des "démons" dans notre terminologie). Le risque principal est donc d’aboutir à une interprétation erronée de la problématique soumise par une personne dans le besoin, car cette interprétation n’est pas basée sur votre culture profonde mais sur celle du marabout d’Afrique qui ne jure que par ses ancêtres locaux décédés et par des sbires démoniaques, lesquels ne sont assurément pas les vôtres. Il n’y a néanmoins aucun conflit culturel à avoir, chacun est libre dans ses choix et ses cultures, il y a juste un conflit d’identité culturelle ésotérique, cela n’est pas du tout la même chose, l’on n’impose pas une culture différente à autrui, d’autant plus si l’on utilise une "magie locale" qui n’a aucune référence ni méthode adaptée pour le consultant. La dangerosité réside donc dans cette inadaptation entre les moyens et la problématique généralement soumise, ce décalage culturel et identitaire d’une magie pouvant dénaturer l’essence même de la personne qui consulte par ce déphasage spirituel, lequel impose beaucoup plus qu’il ne sait résoudre.

Ce "maraboutage" correspond donc à une prise de contrôle sur la personne consultant par le marabout qui use de sa magie pour lui-même et pour ses ancêtres dont il perpétue la mémoire, et non pour le bien de celui qui n’est pas de son clan ou de son village, encore moins de sa culture si celle-ci est occidentale… Concevoir que le marabout de tel village en Afrique puisse exercer sa magie ancestrale dans son village semble logique, mais qu’il exporte (pour ne pas dire colporte) sa magie spécifique d’un autre temps et dans d’autres lieux semble totalement inadapté voire risqué. A chaque outil sa spécification, l’on n’enfonce pas un clou avec des aiguilles à tricoter et l’on ne tricote pas avec un marteau. De même, les magies occidentales et les diverses formes d’ésotérismes qui en résultent ne sont pas compatibles avec des magies typiques et locales, notamment les magies purement africaines issues des marabouts subsahariens. Le marabout se dit aussi sorcier dans le sens d’une sorcellerie orientée vers ses ancêtres avec cette pointe de nécromancie dont je parlais, il n’en va pas de même des sorciers occidentaux qui n’utilisent pas les mêmes flux, ni les mêmes méthodologies dans les rituels. Là où le marabout parle d’un "travail", il sait qu’il va travailler sur vous, contrairement au sorcier occidental qui va effectuer des "travaux" avec vous, toute la différence est ici subtile mais reste bien évidemment fondamentale quant au résultat. D’un côté la magie du marabout "vous changera" car vous serez le problème à gérer, de l’autre la magie occidentale changera votre contexte pour qu’il s’adapte à votre demande et à votre problématique.

Comme d’habitude un simple article ne serait approfondir une thématique aussi complexe et même polémique à souhait puisque chacun verra midi à sa porte, mais j’ai ici présenté un point de vue très largement partagé par la majorité de ceux qui exercent ce métier lié à l’ésotérisme et à l’occultisme pour une magie opérative plus ouverte sur le monde et respectant avant tout la volonté de la personne consultant pour son unique bien, c’est en ce sens que moi-même je conçois mon métier de sorcier-chaman exerçant en France depuis maintenant plusieurs décennies avec pour seul but de vous expliquer la valeur d’une Connaissance qui est universelle et donc qui se doit d’être partagée selon le niveau de chacun. Je reste à votre disposition pour toute question sur le sujet abordé ou sur un autre (voir les articles sur la colonne de droite de ce blog) sans oublier que vous pouvez me soumettre vos propres problématiques en sachant que je réponds à tous les messages si ceux-ci sont complets et précis. Pour ce faire merci de me joindre via mon formulaire de contact (qui s’ouvre en cliquant ma bannière web ci-dessous) ou bien en me téléphonant directement au 06.09.11.94.56 (numéro direct et non surtaxé). Je vous souhaite une bonne journée et à très bientôt lors de notre prochain contact (inscrivez-vous si besoin à ma newsletter pour être au courant des prochains articles édités).

Jean-Pascal Bruno

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