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Blog chaman ésotérisme

Blog chaman ésotérisme

Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

rituels de magie

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"Le sexe est une drogue et l’amour est son dealer", une phrase sans équivoque aucune qui résumerait assez bien la situation réelle inscrite au coeur même de notre génome depuis le début de l’Humanité si ce n’était, qu’à notre époque instable où le wokisme (1) ambiant bât son plein, ceci en toute désorientation, instrumentalisation et destruction mentale téléguidée, qu’il est devenu bon de nous expliquer avec grande force de conviction que finalement chacun est strictement libre de se revendiquer sexuellement sous n’importe quelle bannière, réfléchie ou non, sans exception, de celle asexuée à celle non genrée, en passant par la posture de se prendre très sérieusement pour une licorne, pour un elfe, plus "raisonnablement" pour tout autre animal domestique, sauvage ou à défaut imaginaire si on le souhaite, du moment que le choix est assumé en toute "véritable conscience personnelle"… Vouloir confondre le libre arbitre éclairé et une liberté infinie complètement en dehors des clous de la réalité, voilà ce à quoi nous arrivons lorsqu’une société est devenue définitivement malade de ses propres impossibles désirs égotiques qu’elle projette sournoisement sur ses gentils administrés afin de les promener au pays d’Alice et de ses Merveilles pour qu’ils ne réalisent pas (ou plus du tout) qu’ils sont devenus les instruments d’une volonté de masquer toutes vérités pour les noyer dans une illusion globale formatée à l’échelle d’un monde devenu unifié sous l’égide de ce nouvel ordre que l’on voudrait nous imposer, ou plutôt encore mieux : que l’on voudrait nous vendre au prix le plus cher, celui d’une très désirable idiocratie (2) libertarienne à l’excès et généralisée à tous les étages.

Mais n’est-ce pas finalement là le comble d’un ultralibéralisme forcené et apparemment inarrêtable, lequel après avoir happé goulument l’ensemble du marché des biens à la consommation existants et des ressources de la planète, se mettrait aujourd’hui soudainement aussi à dévorer ses propres potentiels consommateurs jusqu’au bout de son extraordinaire folie furieuse ? Chacun sera libre de juger de la pertinence de se questionner en répondant à cette formulation sociétale qui nous éclaire sur la triste fin de règne d’une pseudo-élite intellectuelle, financière et politique qui cherche à nous perdre définitivement dans ses fantasmes et dans ses déviations idéologiques dignes des meilleurs canulars, sauf que le débat semble bien sérieusement à "l’ordre du jour" surtout pour le meilleur du pire à venir si un sursaut de lucidité n’intervient pas assez rapidement pour ouvrir les yeux des rêveurs éveillés intoxiqués par ces fumeuses dérives savamment instillées. Mais dans tous les cas soyons certains que cette perte de conscience institutionnalisée sera très vite rentabilisée par ceux qui ont lancé avec une réelle malignité cette mode pour décérébrés volontaires, qu’ils en feront un surcroit de pouvoir sur ces pantins faussement libérés qui se seront pris au jeu en pensant en suivre les règles que d’autres ont écrites pour eux afin de mieux les asservir. Mais ici, après cet aparté, n’est pas principalement le propos puisqu’il est question de sexualité et de libido et non des dérives instrumentalisées que l’on cherche à inculquer aux plus faibles esprits ou aux non suffisamment avertis des incroyables malversations et innombrables aberrantes élucubrations de nos dénommés dirigeants.

De même que durant des siècles la sexualité a été relativement durement réprimée au quotidien et presque totalement bannie du débat public sous couvert d’une douce religiosité et d’une amère moraline (3), l’on a progressivement vu s’éloigner toute l’intelligence naturelle du corps à s’exprimer selon ses propres capacités à réguler une libido de manière stable et harmonieuse, engendrant ainsi diverses maladies mentales et autres déviations morbides dont se sont vite emparés les adeptes d’une psychanalyse freudienne pour tenter d’en rationaliser les effets. À défaut d’équilibre naturel, c’est bien l’inverse qui a eu lieu avec des notions de péché mortel purement inventées pour manipuler les masses et leur faire porter tout le fardeau d’une faute originelle elle-même véritablement digne des meilleurs contes de fées revisités… Il n’est donc pas illogique d’avoir vu, à l’extrême, un renversement des dites anciennes "valeurs" de nos jours à des fins paradoxalement identiques, en ce sens, toujours le même, qu’il faut cette fois-ci contrôler en laissant chacun non pas dans un carcan serré de dogmes moraux mais au contraire dans l’infinie dilution de normes amorales dans le but de faire perdre tout repère. En ésotérisme, et les initiés ne le savent que trop bien, ces deux extrêmes se recoupent sous un seul idiome hermétique, celui du "Solve" et du "Coagula" (voir note /!\), c’est-à-dire les deux principes inverses qui permettent la dislocation et le chaos : dissoudre (dans l’acide) ou figer (dans le marbre), autant dire que d’un côté comme de l’autre personne ne résiste longtemps à cette alchimie, luciférienne s’il en est une, par excellence…

C’est justement par le décryptage ésotérique, celui que l’on n’apprend pas à l’école, ni dont on parle sur les médias, que les initiés (terme générique nullement prétentieux de la part de ceux qui ont suivi un réel et long chemin initiatique) ont pu aborder les complexes méandres du corps, de l’esprit, de la sexualité et des puissantes forces naturelles qui tendent à maintenir la cohésion harmonieuse d’un individu réellement libre de ses choix au regard des défis à affronter non seulement dans sa propre vie mais aussi en côtoyant celle d’autrui, ceci en une difficile sérénité à assurément respecter au milieu du chaos ambiant et de l’entropie des systèmes complexes dont nous faisons tous partie. De corps, c’est-à-dire de matière, de forces qui s’exercent, c’est-à-dire d’énergies qui se diffusent, et d’espace comme terrain de jeu : voici ce en quoi chaque initié est confronté pour comprendre le monde selon des Lois universelles, à la fois physiques, psychiques et spirituelles, ce qui pourrait trop certainement échapper au commun des mortels bataillant la plupart du temps non pas pour entrevoir la complexité du monde et en saisir toute la quintessence par l’étude, mais pour tenter de s’extraire de complications technocratiques sans cesse assénées, véritables fléaux modernes que nos sociétés ont su générer pour nous "simplifier" la vie, avec la certitude aussi qu’ils suivent des principes lucifériens pour dissoudre nos esprits et figer notre liberté d’agir et de créer. Un peu d’humour sur ce point ne fera pas de mal pour comprendre d’autant plus facilement les enjeux en présence où nous sommes les premières victimes de nos propres systèmes d’organisation modernes et du "progrès" que nous revendiquons si haut et fort avec une telle démoralisante fierté d’en être les bienheureuses victimes dépravées !

Libido et sexualité, deux mots apparemment simples et concepts courants que tous revendiquent mais dont peu comprennent qu’il s’agit avant tout d’une gestion grandement qualitative de l’énergie qui ne s’arrête ni au physique pour en jouir, ni seulement au mental pour s’en contenter, mais dont le but est d’aller encore plus loin dans l’élévation successive, à l’image d’un minerai à raffiner et dont le métal précieux ainsi distillé apporterait en fin de processus "alchymique" la Pierre Philosophale, celle tant recherchée par les initiés s’exerçant à cette "œuvre au noir" (4) et dont certains lui ont trouvé une réelle application via l’Art Royal, c’est-à-dire via la Magie et ses très nombreux rituels opératifs. Bien entendu, nos sociétés modernes nous ont progressivement perdu dans leurs insolants méandres technoscientistes, ceci sous couvert du siècle des dites Lumières, celui d’un scientisme exacerbé certes très technicien et pratique mais s’éloignant résolument à grands pas des principes ésotériques pour s’y substituer complètement et laisser au loin de cruciales découvertes spirituelles de côté. Redécouvrir les processus élevés de la sexualité et de l’énergie qui s’en dégage via une libido sous contrôle par voie tantrique, c’est l’un des buts de la magie moderne que de restituer ces principes demeurés cachés au grand public de peur qu’il s’en serve pour libérer toute la puissance naturelle à sa disposition et ainsi jouir pleinement d’un libre arbitre recouvré, totalement défait des chaînes mentales apposées par nos sociétés en voie de dégénérescence rapide. Dans ce sens et afin de lutter efficacement contre la planification d’un nouvel ordre mondial non désiré ni désirable, il est nécessaire de retrouver une véritable voie initiatique dispensant un ésotérisme traditionnel digne d’une évolution spirituelle qui libère plus qu’elle n’asservit celui qui s’y prête, soyons donc nombreux à résister, retrouvons la liberté de ce feu sacré qui anime nos vies !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel



(1) Wokisme : terme apparu dans la littérature francophone à partir de la racine woke dans son sens péjoratif avec la terminaison -isme afin de "souligner ce qui serait son caractère idéologique, extrémiste et dangereux". Expression politique et polémique utilisée pour stigmatiser (à raison ou non) une vision radicale de la justice sociale et de la défense des groupes minorisés (qu’ils soient légitimés de manière rationnelle, ou non…).

(2) Idiocratie : mot composé de idiot et du suffixe -cratie. (généralement péjoratif) Régime politique dont le pouvoir souverain est sous le contrôle d’idiots (sous-entendu aussi : pour contrôler des idiots…).

(3) Moraline : dans l'œuvre de Friedrich Nietzsche, fait référence à la morale chrétienne, la morale dominante et bien-pensante, au XXIe siècle, on parlerait de "Morale de la pensée unique" ou de la pensée moralisatrice qui serait adepte d'une forme de terrorisme intellectuel (et qui l’est très certainement à juste titre…).

(4) Œuvre au noir : l'expression "œuvre au noir" désigne en alchimie la première des trois phases dont l'accomplissement est nécessaire pour achever le magnum opus. En effet, selon la tradition, l'alchimiste doit successivement mener à bien l'œuvre au noir, au blanc, et enfin au rouge afin de pouvoir accomplir la transmutation du plomb en or, d'obtenir la Pierre Philosophale ou de produire la panacée (remède universel à tous les maux humains).

/!\ Note complémentaire importante : les deux principes SOLVE et COAGULA font aussi partie des opérations alchimiques du Grand Oeuvre mais de manière équilibrée et successive afin d'extraire la quintessence qui en est la résultante, ils sont donc complémentaires et se doivent d'être "utilisés" ensemble et non séparément, auquel cas ils deviennent destructeurs et diviseurs, et aboutissent alors non pas à la quintessence unificartrice mais uniquement au pire déchet, à l'informe scorie de la plus basse extraction dont personne ne veut...
 

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La "Quadrature du Cercle" existe bel et bien aussi en Amour : le coeur tourne sempiternellement en rond et la raison reste irrémédiablement carrée ! C’est ce que l’on pourrait d’emblée commencer à dire en abordant ce toujours très paradoxal thème de la relation de couple et de ce grand mystère à la fois si complexe et si immédiat dans ce qu’il porte de choix, de limites dans une attraction des corps et des esprits, mais pas que… Car ne doit-on pas aussi y percevoir une autre nature bien moins visible, plus subtile et plus magique, une extension de chaque individu le portant vers l’autre à coup sûr par un de ces mouvements apparemment totalement irrationnels de l’existence qui les amènent pourtant à se rencontrer ? En effet, comment l’individu et son Ego totalitaire peuvent-ils accepter de "se faire apprécier", et réciproquement sous une forme ou sous une autre, par un autre individu ? En d’autres mots, comment comprendre cette "appréciation" ou cette attraction qui tend à relier les êtres au point qu’ils en parviennent de concert à vouloir s’unir pour former ce moteur permettant cette démultiplication du soi, se faisant ainsi le couple générateur d’une improbable énergie de volonté, de vitalité et d’évolution ? C’est ici très souvent dans les modalités des termes d’un questionnement préliminaire que l’on pourra commencer à y puiser l’essentiel du sens des réponses, comme le dirait Ludwig Wittgenstein dans son "Tractatus Logico-Philosophicus" avec cette ouverture d’esprit assurément digne des plus grands initiés…

De cette magie, car s’en est une, l’attraction amoureuse demeure pour la grande majorité une énigme de l’existence et même parfois une sorte d’aberration statistique tant la rencontre peut ne tenir qu’à un fil ténu dans le parcours existentiel de ceux qui en sont directement concernés, est-ce à dire qu’un heureux hasard (encore lui, j’en ai déjà parlé) serait de la partie pour modifier les cartes du destin et ainsi en restituer plus fidèlement un tableau digne des oracles les mieux orientés ? Juste par jeu, certes néanmoins à juste titre, que chacun fasse cet effort de se souvenir des circonstances d’une rencontre, de celle qui aurait pu aboutir pu bien de celle qui l’a effectivement été, ceci à des fins d’une intéressante étude rétrospective pour tenter de se souvenir des divers éléments constitutifs à ces rencontres, avortées ou abouties. Et qu’en est-il du résultat ? Que les rencontres majeures, celles d’orientations amoureuses puisque c’est ici le propos, découlent d’invraisemblables concours de circonstances, d’ajustements incompréhensibles à notre entendement, d’évènements parfaitement mis en phase alors que rien n’en justifiait un tel alignement temporel et spatial si coordonné… Les coïncidences de la vie apportent souvent plus de réponses en y regardant en arrière qu’en tentant de se projeter en avant sans faire référence à ce passé si symptomatique et utile. Il y a souvent une sorte de révélation dans ce constat chez les personnes, profanes en la matière, qui en font objectivement le test et l’analyse, elles font alors cette découverte de la complexité des éléments d’une rencontre qu’elles ont eu, ou bien alors de cette impossibilité, réelle ou "forcée", de ne plus du tout retrouver la moindre trace de ce souvenir ultime, de ce point focal de la rencontre et de ce qui l’a rendu possible, viable et surtout durable…

La réminiscence de ces points de croisement entre deux existences, de ces rencontres, tout comme des "noeuds gordiens" que l’on aurait enfin libérés, apparait alors comme une carte existentielle d’une infinie précision où chacun perçoit soudain avec effarement les itinéraires conjoints se recouper, parfois encore prendre l’exacte même direction parallèlement sans jamais se rejoindre, parfois au contraire se recouper plusieurs fois jusqu’à complètement se confondre sur la même route, strictement au même moment, et selon une implacable logique dépassant celle de la seule intention humaine ou d’une volonté délibérée et consciente. De là à y voir une intervention extérieure, bien intentionnée ou plus maligne dans certains autres cas, il n’y a qu’un pas, celui d’entrevoir qu’une part de destinée liée aux relations amoureuses ne serait pas de notre ressort, dépasserait notre liberté de choix et par conséquent irait à l’encontre d’un libre arbitre réel en interférant ainsi avec nos choix initiaux d’emprunter tel ou tel itinéraire existentiel. Les détracteurs diront qu’il nous est impossible, ou du moins très difficile, effectivement de connaître à l’avance les résultats de nos propres décisions pour en concevoir l’aspect positif ou négatif dans toute la complexité des possibles et ainsi redéfinir notre propre libre arbitre comme une très relative tentative d’interprétation d’un futur sur lequel nous n’avons aucune prise. Mais alors que dire des indices qui nous prédisposent à prendre une direction plutôt qu’une autre, à choisir une personne plutôt qu’une autre ? Sommes-nous réellement libres de nos choix ou bien "quelque chose" nous pousse-t-il vers ce quoi nous devons aller, quoi que nous fassions ou pensions faire ?

L’irrationnel n’est pourtant pas loin dans cette démarche d’analyse rétrospective et de constat démontrant sans cesse que nos décisions les plus importantes, dont celles de nos relations amoureuses, ne sont générées la plupart du temps que par d’infimes modulations de la réalité nous entourant, à l’image de graines semées par une main invisible et habile pour nous en faire récolter les fruits dont nous ignorons tout, d’une part de leur existence sur le chemin que nous empruntons, car hors de notre capacité à concevoir cette germination dans un substrat qui ne nous est pas directement accessible, d’autre part dans l’impossibilité même d’en imaginer seulement la réelle teneur qui finalement en éclora accompagnée de toutes les conséquences attenantes de devoir, par la force des choses, goûter à ces fruits qui se présentent soudain à nous comme issus du seul et unique arbre intéressant au milieu de la forêt mais assez bizarrement placé justement en travers de notre seule route pour devoir forcément y faire face…

Les initiés savent, par acquisition de connaissances ou de manière plus innée, que l’existence ici-bas s’apparente à une longue et invisible quête dont nous aurions sciemment perdu l’orientation au niveau de notre mental conscient, ceci afin de nous laisser guider de manière plus cryptée vers les véritables objectifs à atteindre avec toute la subtilité d’entreprendre pas à pas, au-delà des épreuves imparties, toutes les potentialités qui se présentent à nous, qu’elles soient purement contextuelles ou plus relationnelles. Ainsi, le couple participe pleinement dans l’élaboration de ce parcours existentiel et s’inscrit dans une très large mesure comme un puissant référentiel apportant une grande partie des pièces du puzzle qui devra être assemblé sans pour autant en connaître par avance l’image finale générée. Les limites, les choix et la liberté d’agir pour ce faire sont donc profondément formatés, pour ne pas dire encadrés, à des fins qui logiquement nous dépassent largement en apportant cette touche d’irrationalité du sens de la vie et de la réalité qui nous entoure pour concrétiser l’ensemble de cette structure évolutive.

De facto, il faut voir dans les problématiques relationnelles non pas des obstacles handicapants mais des épreuves à surmonter afin de générer cette volonté suprême d’aller de l’avant, de prendre parfois le temps mais de ne jamais renoncer à enfin voir ce qui se dessinait dans cette globalité de pensées, d’actes et de faits ainsi effectués. Il paraît qu’à la mort l’on revoit toute sa vie se dérouler en accéléré, ne serait-ce pas aussi ici un constat supplémentaire que toute cette somme existentielle a son importance pour en tirer une ultime leçon, une vision récapitulative de cette quête qui n’aurait pas pu s’écrire entièrement sans l’incommensurable apport que les relations amoureuses réciproques génèrent, notamment au sein d’un couple capable de performer durablement cette grande aventure. De même, ne devons-nous pas nous interroger sur le fait que le couple ainsi constitué n’est pas issu d’un pur hasard mais qu’il a été assurément désigné par avance pour évoluer dynamiquement au mieux de ses capacités complémentaires à surmonter les épreuves ? En ce sens, soyons plus attentifs envers les personnes qui nous accompagnent dans l’existence, elles possèdent les clefs dont nous avons besoin pour ouvrir les portes de nos objectifs existentiels (et karmiques dans une plus large mesure), de même que nous apportons aussi nos propres clefs de manière réciproque, et n’est-ce pas là justement la véritable leçon à apprendre, celle de l’échange, inconditionnel, transcendantal et absolu ?

L’ésotérisme et la magie nous apprennent ces vérités, les rituels en sont les outils utiles que l’on peut proposer pour expliciter et améliorer l’existence à des fins karmiques pour que chacun ne perde pas les objectifs à accomplir dans sa propre quête. Je reste à votre disposition pour répondre à vos questions, si besoin, notamment en terme de résolution de problèmes de couple, une exigence karmique s’il en est une, maintenant vous le savez !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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En ésotérisme opératif, tout comme en psychanalyse, il est des grands mystères du psychisme humain qu’il est nécessaire d’aborder pour concevoir l’existence vécue ou celle en devenir, c’est-à-dire pour anticiper un futur potentiellement harmonieux pour l’un ou entrevoir si possible une orientation positive de la destinée pour l’autre… En ce sens, vouloir connaître les arcanes secrets d’un individu (ou bien de soi-même) c’est finalement tenter de comprendre non seulement l’aspect conscient qui caractérise cet individu pour en définir activement sa personnalité, mais aussi avoir accès, d’une façon ou d’une autre, à ce que l’on appelle couramment son inconscient, cette sorte de boîte noire très peu accessible en temps normal. Ainsi, les séances de psychanalyse et les travaux de magie ont finalement une presque exacte et même fonction, celle d’entrer dans les méandres de cet inconscient, d’y trouver des signes, d’en interpréter les pistes tout en ayant, tant pour la psychanalyse que pour la magie et l’ésotérisme des terminologies différentes avec des moyens distincts mais des buts parfois identiques : résoudre des problématiques existentielles, un programme souvent long et complexe selon la profondeur du défi en question puisqu’il faudra aller creuser assez loin pour y accéder et en trouver l’essence cachée ainsi que son intrinsèque réelle signification. Les désirs, relations amoureuses ou interactions sociales et professionnelles ne représentent que la partie strictement visible de cet iceberg existentiel d’un apparent quotidien dont on cherche à mieux en comprendre les itinéraires probables sur l’océan de la vie et tenter ainsi d’éviter de trop douloureuses embûches en trouvant des solutions acceptables et constructives.

Mais finalement qu’est-ce donc que cet inconscient ? Une pure invention psychanalytique freudienne permettant de regrouper en un seul terme tout ce que l’on ne sait pas ? Ou bien est-ce une réalité de la psyché humaine dont personne n’ose vraiment parler tant cela dépasse l’entendement ? Les initiés ayant une certaine connaissance ésotérique pensent que Freud avait effectivement perçu une relative part d’ombre (entendre cachée) du psychisme humain en y voyant un côté sombre dans son "ça" du refoulement des pulsions basses et dans son plus lumineux "surmoi" juge de paix essayant de réguler ces mêmes pulsions. Dans ce schéma véritablement hermétique dans sa double symbolique du "bas" (des mauvaises pulsions) et du "haut" (d’une bonne éthique moraliste) Freud voit donc un inconscient dirigé par deux forces opposées dont l’une régule l’autre pour replacer l’individu sur une certaine ligne normative ou plus normale, de cette normalité spéculative qui écarterait par le refoulement les attitudes et pensées non conformes à la vie en société avec autrui (interdisant pour exemples probants : le meurtre, l’inceste, le viol, etc.). Notons surtout que toute la construction freudienne du psychisme tiendrait selon lui sur l’unique et essentielle pulsion sexuelle comme source principale de son processus… En magie l’on sait effectivement que la volonté, le désir et la sexualité sont des moteurs de l’existence avec néanmoins comme sources initiales plurielles celles des énergies, vitale et psychique, qui jouent conjointement un rôle dynamique dans l’évolution avec une autre part énergétique bien plus subtile placée sur un niveau supérieur non accessible et d’ordre karmique qui jouerait ce véritable rôle de régulation, ou plutôt un rôle d’orientation discrète de la destinée via un libre arbitre bien encadré et pleinement assumé en amont…

Là, où Freud ne veut et ne peut percevoir que la seule réalité dite visible de l’existence matérielle qu’avec une conception structurelle psychique et uniquement intérieure à l’individu (consciente et inconsciente), l’initié ajoute une dimension, certes ésotérique, située bien au-dessus de ce psychisme basiquement mécanique pour élargir l’individu à un moi-supérieur, non pas le surmoi freudien mais un moi en dehors de la conscience et dont l’inconscient ne serait qu’un intermédiaire agissant selon des règles karmiques issues de cette dimension supérieure non matérielle. En ce sens, encore une fois pour le citer dans cet article, C. G. Jung, autre psychanalyste précurseur et dissident de Freud, avait effectivement dépassé les premières notions de ce dernier en comprenant cette dimension cachée dont il exposa ces propres archétypes, ces synchronicités et finalement toute l’architecture complexe de la psychologie des profondeurs associée un inconscient collectif plus élevé et proche de cette dimension supérieure d’orientation karmique ou d’archives akashiques propres aux ésotéristes. Ainsi l’ouverture d’esprit de Jung et ses recherches l’ont poussé à concevoir et à nous présenter une méthode psychanalytique axée sur des horizons bien plus larges avec des notions que l’on retrouve assurément dans le domaine de la magie et des principes ésotériques généraux.

Si l’on conçoit que l’inconscient suit des règles non plus morales mais karmiques, alors les logiques purement matérialistes et terrestres ne s’appliquent plus uniquement dans notre réalité restreinte mais s’élaborent sur plusieurs niveaux, dont celui du moi supérieur guidé par ces règles karmiques encadrant l’ensemble du psychisme humain pour la réalisation de son évolution. L’on comprend alors d’autant mieux des concepts de "persona", "d’animus" et "d’anima" issus de la psychanalyse jungienne qui font finalement référence au choix "apparent" de la personnalité du moi supérieur qui s’exprime au niveau matériel terrestre via la sexualité et la différenciation des sexes, féminin et masculin, deux postures complémentaires de l’entité supérieure qui s’apparentent ici-bas à deux typologies sexuelles corporelles, l’homme et la femme. Les initiés ayant cette connaissance ésotérique des "deux mondes", savent que cette sorte de kénose (abaissement ou projection du niveau supérieur vers l’inférieur) implique par cette perte de niveau un choix, celui de l’orientation sexuelle unique (du moins physiquement en grande partie et psychiquement non proportionnellement partagée) et donc du choix de cette posture de "persona" dite sexuée, une personnalité qui s’exprimera socialement selon ce choix, par défaut et par réduction.

Les relations amoureuses, les désirs et par conséquent toutes les interactions sociales seront régies par ces règles (subtiles, invisibles ou inconscientes au sens basique de la psychanalyse) venues d’en haut dont très peu d’initiés en comprennent les tenants et les aboutissants mais dont la magie et les rituels apportent des solutions parfois d’une logique symbolique surpassant celle qui est en cours au niveau terrestre et qui n’est évidemment pas toujours bien comprise, voire plutôt rejetée d’emblée, par les profanes qui ne disposent pas de cette connaissance ésotérique. L’inconscient doit donc être abordé non comme une notion de pulsions et de morale qui s’y oppose mais comme la main invisible du moi supérieur qui guide ses propres choix sur un niveau inférieur avec des règles différentes, non plus morales ni strictement éthiques au sens où nous l’entendons mais au sens karmique qui s’élabore selon une autre logique dépassant la norme existentielle, une autre norme supra-logique souvent difficile à comprendre selon notre entendement terrestre mais parfaitement adapté à notre courte mission de vie ordonnée par notre entité ou moi supérieur qui en suit l’évolution et en guide discrètement la conduite. La logique supra-normale et symbolique des rituels de magie permet d’aborder cette autre dimension supérieure et d’en traduire les aspects les plus compréhensibles et concrètement utiles à notre "réalisation personnelle" en accord avec la volonté supérieure de notre entité guide.

De facto, les travaux de magie doivent s’entendre comme de très précieux auxiliaires d’évolution, comme des outils traducteurs supra-logiques et assurément révélateurs permettant de réconcilier le "haut et le bas", comme l’aurait dit Hermès Trismégiste, dans cette quête existentielle dont chacun un jour se pose la véritable et seule question importante du "sens réel de la vie"… Je reste, si besoin, à votre disposition pour trouver cette quête de sens ou pour répondre à vos questions existentielles sous l’angle ésotérique qui participe le mieux à votre évolution !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel
 

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"Synchronicité", voici un terme presque barbare à l'entendre et certainement sorti du brouillard linguistique pour un très grand nombre de personnes, probablement pour vous aussi lecteur de cet article, et qui pourtant devrait assurément être gravé dans toutes les têtes bien faites tant ce qu'il représente demeure d'une importance capitale dans la vie quotidienne et dans la compréhension générale de l'existence ! Signaler d'emblée cette importance implique une explication adéquate pour que ce terme prenne forme et restitue toute l'intelligence de ceux qui l'ont à la fois pensé mais aussi étudié et expérimenté, principalement le psychanalyste, dissident de Sigmund Freud et son alter ego dans un sens plus spirituel, Carl Gustav Jung. Celui-ci définit la synchronicité comme suit : "J’entends par synchronicité les coïncidences, qui ne sont pas rares, d’états de fait subjectifs et objectifs qui ne peuvent être expliquées de façon causale, tout au moins à l’aide de nos moyens actuels". Pour aller plus loin et en d'autres mots : un "état synchronistique" représente une conjonction de pensées ou/et de faits apparemment indépendants et distincts (la non-causalité du phénomène) qui crée chez celui ou celle qui le vit une coïncidence ou un heureux hasard ayant comme finalité une puissante pensée explicite et originale pouvant changer radicalement sa vision du monde ou sa propre représentation dans ce monde. La synchronicité représente donc l'instant décisif d'une révélation personnelle, telle une étincelle de l'esprit, qui s'impose uniquement à soi et dont on n'aurait pas eu ni l'intuition ni l'aspiration intellectuelle d'en avoir eu une connaissance si claire et puissante en d'autres circonstances dites normales. En général, les synchronicités s'apparentent à des tournants décisifs en terme de compréhension existentielle pour potentiellement réorienter son libre arbitre et ainsi trouver une nouvelle voie, une nouvelle orientation à sa vie.

Parfois, et si l'on cherche à mieux comprendre a posteriori, par exemple une rencontre amoureuse, l'on s'aperçoit alors que cette rencontre était finalement le fruit d'une synchronicité, d'une complexe conjonction d'évènements et de pensées ou de décisions totalement séparées et indépendantes aboutissant pourtant de manière croisée à "un heureux hasard", celui de cette rencontre à ce moment précis dans ce lieu précis avec cet état d'esprit précis, et donc il s'agit pour ce cas assurément d'un tournant important dans la vie qui va par conséquent modifier le cours de l'existence et jouer sur la destinée de la personne. Bien entendu, il existe pour chacun de très multiples façons de voir se jouer ce type de synchronicités, dans le milieu professionnel ou autrement plus personnel, notamment dans des domaines liés à la création, à la recherche ou à l'art où s'exerce de manière encore plus puissante ce phénomène révélateur, unique et intime. Un autre exemple plus courant de synchronicité reste celui de la pensée très fugace à une personne, laquelle appelle au téléphone à l'instant même où cette pensée a pris forme. Télépathie, pensée créatrice, "heureux hasard" ou pure coïncidence, chacun y verra sa propre vérité ou explication, mais il est certain qu'au moment où l'on vit ce type de phénomène l'on comprend qu'il se passe quelque chose d'assez inhabituel, de très surprenant ou de relativement paranormal pour y prêter une attention toute particulière…

De même, les rêves, souvent très confus et peu explicites au réveil, peuvent alors avoir une réelle approche synchronistique lorsque l'on est confronté à une partie de leur signification supposée dans un évènement qui suit dans la journée, par exemple rêver d'une voiture de sport rouge et en voir une quelques heures plus tard accidentée sur le bord de la route peut effectivement entrainer un comportement de prudence qui vient alors immédiatement à l'esprit avec cette sensation de soudaine réminiscence du rêve et de la réalité qui s'entrechoquent encore plus puissamment comme une injonction personnelle à strictement accepter à la lettre. D'autres synchronicités, si celles-ci sont détectées comme telles par celui qui les perçoit, aboutiront à une prise de conscience immédiate qu'il faut suivre l'idée qui en résulte ou creuser le conseil qui en émerge ainsi avec cette intensité de vérité si immédiate, percutante et évidente.

Que doit-on penser de ce phénomène, comment l'interpréter et le détecter, ou même le provoquer ? Par sa définition même, la synchronicité reste totalement imprévisible puisqu'elle n'est rattachée à aucune logique de cause à effet pouvant programmer son arrivée et de facto sa composition. Donc l'on ne sait jamais quand une synchronicité arrivera ni ce qu'elle apportera comme message, l'on ne peut pas anticiper l'impensable non encore réalisé, l'on ne peut pas non plus devenir médium de sa propre vie aux dires des grands initiés puisque ce serait alors tenter de violer les Lois karmiques et aller à l'encontre de sa propre quête existentielle. Pour autant ce que l'on ne peut pas faire soi-même l'on peut le demander, en partie seulement, à ceux dont c'est le métier, c'est-à-dire aux professionnels des arts ésotériques, aux véritables initiés, mages, sorciers ou chamans, lesquels ont cette disposition à voir au-delà des limites imposées à soi-même pour en trouver des réponses ou des orientations. L'on peut alors interpréter la science ésotérique, celle des magies et des rituels comme une source intuitive où puiser des réponses d'ordre synchronistique apportant de précieux conseils à suivre si ceux-ci sont néanmoins disponibles (karmiquement tout ne peut évidemment pas être dévoilé puisque la quête personnelle représente la seule voie à suivre selon un libre arbitre bien encadré à l'avance…).

Certains "outils ésotériques" comme le tarot, les oracles ou le Yi-King peuvent être d'un grand recours s'ils sont bien compris et surtout utilisés dans cette perspective synchronistique pleinement assumée où ce n'est pas la logique cartésienne qui apporte des solutions mais où "d'heureux hasards" se présentent, qui dans les cartes de tarot et des ajustements des tableaux ainsi tirés, qui des hexagrammes du Yi-King auxquels ont aura une explication elle-même synchronistique étant mise en avant mais n'étant strictement compréhensible que par l'intéressé(e) et traduite par l'initié, lequel n'est que le "médium", c'est-à-dire l'intercesseur disposant de la Connaissance requise. C'est ici, encore très justement, toute la puissance mais aussi parfois l'ambiguïté de ces outils que de n'être reconnus et assumés dans leurs réponses que par celui ou celle qui les pose… Néanmoins, ce serait passer à côté "d'atouts chances" importants que de ne pas s'y intéresser et tenter d'en comprendre les subtilités, certes difficiles à détecter et à décrypter mais si intensément révélateurs une fois bien assimilés consciemment !

En ce qui concerne plus précisément le rituel de magie, il passe lui aussi par cette extraordinaire voie synchronistique qui, de par "la rencontre" entre la personne qui consulte et l'initié qui exerce avec son savoir-faire, apporte des réponses avec des éléments symboliques puissants parfois surprenants et en apparence illogiques au premier abord alors que tout est présent pour en extirper la quintessence du propos, l'éclairage des travaux et de leur finalité pour trouver la juste et exemplaire ligne à suivre. Que ce soit d'amour, de chance ou de conduite à suivre dans une situation compliquée, les rituels de magie sont dans ce sens une excellente opportunité d'obtenir à la fois un conseil d'une grande précision mais aussi de toujours se positionner en fonction de la destinée de la personne pour ne jamais la faire dévier de sa mission de vie, restant totalement en accord avec son propre libre arbitre d'en avoir accepté l'issu dans sa demande initiale mais aussi d'en respecter les aspects karmiques qui s'y réfèrent.

Le sujet de cet article étant encore une fois relativement complexe je reste à votre disposition pour en discuter ou même pour étudier avec vous ce que vous pourriez avoir ressenti comme une synchronicité mais sans en avoir compris l'intégralité du sens ou bien l'exacte orientation à suivre, dans cette optique d'éclaircissement vous pouvez me contacter (infos de contact sur ma bannière ci-dessous). Je vous dis à très bientôt avec cette certitude que vous avez lu cet article dans une posture synchronistique qui vous apportera aussi, j'en suis sûr, d'essentielles réponses !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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En notre époque si complexe et troublée nous pouvons nous poser l'essentielle question des limites à notre propre évolution, des limites de notre humanité comme "êtres vivants" sur une planète en péril par notre exubérante activité mais ne serait-ce pas plus simple d'orienter notre regard et notre esprit vers ce qui pourrait non seulement résoudre nos problématiques sociétales, environnementales et sociales tout en abordant à un niveau plus personnel notre substrat existentiel en passant enfin par l'accession à une véritable Sagesse, celle réelle qui aborde l'ensemble de nos questionnements et nous ouvre la grande voie royale de l'entendement humain dans l'universalité qui nous entoure ? Cette question, fondamentale même si elle ne se révèle pas à tous de manière si directe, sous-entend les notions radicales de Bien et de Mal, de ce que nous pouvons chacun en dire pour nous situer sur un curseur dont nous ne pouvons que très subjectivement en définir la trame et l'orientation réelle dans nos propres actions et pensées au quotidien. Penser ce curseur, penser ces orientations et penser ces limites, ce sont là finalement des processus que nous opérons à chaque instant sans pour autant en avoir une intime conscience bien calculée ou bien maîtrisée… N'y aurait-il pas effectivement d'autres mécanismes plus subtils à l'oeuvre qui s'immisceraient dans nos raisonnements et nos décisions ? Ne voyons-nous pas ici encore une certaine limite à l'intégrité de notre individualité et à ce que nous pensons être notre liberté dans l'élaboration de notre si précieux libre arbitre ?

De ces premières questions se dégagent a fortiori des éléments subtils et très discrets, quelques synchronicités dissimulées de-ci de-là, des paramètres existentiels cachés dans la matrice même qui nous constitue, c'est en ce sens que l'ésotérisme existe et tente de révéler à qui peut l'entendre et le concevoir que nous sommes "l'objet" d'une nature plus grande qui nous dépasse et fixe toutes ces limites, que cette nature surhumaine ne nous est pas totalement étrangère ou inconnue, que des failles dans le système permettent d'en apercevoir l'envers du décor pour en appréhender toute la valeur et la profonde portée. C'est le but même de la pratique ésotérique que de vouloir ouvrir des portes qui sinon resteraient fermées dans le monde profane, c'est à la fois un consciencieux travail énergétique sur soi pour avoir aussi le privilège d'éclairer une part du mystère de l'humanité dans ce qu'elle représente dans ce processus d'existence visible mais aussi en s'efforçant de percer quelques essentiels secrets de l'autre côté du miroir qui nous constitue. Pris dans le tourbillon de la vie quotidienne et de ses problématiques profanes, la grande majorité ne peut concevoir que cet envers du décor existe, chacun restant ancré à ses préoccupations du moment, figé dans l'instantanéité immédiate et superficielle des devoirs que l'on s'impose (ou qui nous sont imposés) comme une fixation du réel en une seule image sur un écran, encore une fois le mythe de la caverne de Platon n'est pas loin pour illustrer cette "réalité de surface".

Parler d'ésotérisme n'est donc ni anodin, ni déplacé ou bien encore absurde ou illogique, c'est bien au contraire aller dans le sens réel du courant existentiel qui nous traverse et qui nous guide vers ce en quoi nous aspirons sans forcément le savoir consciemment, vers quoi nous devrions naturellement tendre pour nous réaliser selon un processus qui agit sur nous comme un catalyseur de volonté, de désir et de soif de puiser dans "l'expérience de vie" qui nous est impartie. En ce sens, les outils qui se présentent aux initiés dans la pratique de l'ésotérisme, et selon des modes très hétéroclites s'il en est, apportent des solutions qui se situent au-delà de la simple logique matérielle ou purement scientifique telle que l'on peut la concevoir aujourd'hui avec des protocoles formatés et rigides dans l'encadrement strict de leur domaines respectifs. Il est tout à fait normal de considérer que ces domaines scientifiques leurs soient réservés selon la logique en vigueur, ainsi personne ne remet en question la chute de la pomme newtonienne en ce qu'elle représente de l'attraction terrestre mais ce n'est ici que l'exemple d'une extrême composante visible et restreinte de la réalité, il en va de même de toutes les découvertes scientifiques qui n'ont finalement pour l'heure qu'envisagé la réalité que du point de vue de la matérialité, du plus grand visible que représente l'Univers au plus petit détectable qui se situe au coeur de cette matière subatomique. Pour tout le reste, au-delà de la matière, l'esprit, l'âme, et même la "simple" conscience de soi, ne pourront être explicités par des instruments scientifiques matériels puisqu'ils n'appartiennent pas au sens strict à une dimension physique et s'expriment par d'autres voies que celle de la matérialité pure. Le vent ne peut pas être vu et pourtant il existe bel et bien…

La pratique ésotérique s'exprime dans son cadre d'application, c'est-à-dire à un niveau supérieur de notre dimension existentielle qui en dépend directement et y est reliée, avec ses propres outils que sont, d'une part ce que l'on appelle trivialement la Magie comme processus et comme travail de base; d'autre part cette Magie agit via des rituels qui représentent des processus actifs ayant prise sur le codage de notre réalité tangible et sur nous-mêmes comme composantes terrestres de cette réalité. En terme de Magie il en existe plusieurs catégories selon les orientations et problématiques à cibler, ainsi celles qui nous concernent principalement aujourd'hui : la Magie rouge ou sexuelle dont l'évocation parle d'elle-même (magie de l'amour, du désir, de la libido et des sentiments, etc.) et la Magie Noire qui reste pour un grand nombre d'initiés et de profanes qui en ont entendu parlé une magie dite négative, ce qui n'est pas la bonne qualification puisque la Magie Noire est plus précisément une Magie de destruction ou de déconstruction, une précision très importante qui n'a donc rien à voir avec une orientation soit bénéfique ou soit négative, tout dépend de ce que finalement l'on en fait et comment on l'utilise, seul le but compte et celui-ci peut bien évidement s'avérer positif ou non… Je tiens encore une fois à faire comprendre que les notions de Bien et de Mal que nous avons sur notre plan d'existence n'ont pas les mêmes valeurs et doivent être perçues comme toutes relatives en fonction de paramètres bien plus élaborés incorporant un système d'une extrême complexité puisqu'englobant des notions d'interrelations et de temporalités longues dont nous n'avons pas conscience ou aucune possibilité d'en envisager l'existence in extenso ou le but "karmique" final réel.

Sur un plan supérieur au nôtre, tout comme l'image de poupées russes qui s'incorporent, notre matérialité y est intégrée et est échafaudée selon des schémas existentiels associés à ces orientations dites karmiques, lesquels d'une certaine façon gèrent la structure de notre réalité et de nos missions de vie. Dans cet ordre d'idée nous n'avons pas directement accès à ce processus supérieur sauf si nous passons par des voies détournées qui empruntent les mêmes codes que ce plan supérieur. Ces codes sont principalement "symboliques" (vus comme tels ici-bas) mais très actifs par effet de rebond en retour lorsque l'on sait les intégrer à des rituels de magie fonctionnant sur ce mode opératoire spécifique. Il existe bien heureusement des protections assez efficaces pour déclencher ou non ces "commandes symboliques" que représentent les rituels de magie afin que quiconque ne puisse intentionnellement ou non en détourner l'usage, ce qui représente une précaution bien utile, tout comme le fait qu'un enfant ne devrait pas pouvoir simplement réaliser une bombe atomique en quelques minutes… En ce sens, les protections se déterminent selon le degré d'initiation à l'ésotérisme dont le praticien est habilité à assimiler les notions ou bien dont "on" lui a confié le pouvoir (momentanément ou plus durablement). Ce "on" ne se situe pas ici-bas, cela s'entend bien, et ses décisions sont d'ordre karmique, déjà réglées sur une destination matérielle et temporelle bien orchestrée (ce que nous pouvons appeler "destinée").

Les magies, Rouge et Noire, sont soumises à des protections graduelles que seuls les initiés de haut niveau peuvent appréhender et pratiquer, ceci en accord formel avec les capacités qui leur sont attribuées et les besoins réels de réorientation de mission de vie de certaines personnes qui en auraient la nécessité selon un libre arbitre relativement bien "encadré" qui participe à l'élaboration de cette mission. Ainsi, "au-dessus" et à l'encontre du discours ici-bas de Démocrite et de Jacques Monod, rien n'est laissé au hasard, il n'y a que la nécessité qui prime selon des lois dont nous n'avons visiblement pas tous les clefs sur ce plan d'existence pour en ouvrir potentiellement les portes réservées au backstage de l'évolution. Il ne faut pas voir dans les initiés de haut niveau une sorte de classe supérieure au profane car la charge que porte l'initié est très lourde pour sa propre mission de vie avec de nombreux risques proportionnellement inhérents à sa capacité à modifier le cours des évènements, en effet la responsabilité d'une erreur d'interprétation ou d'une usurpation de sa fonction pour son propre compte pourrait avoir de graves conséquences sur plusieurs niveaux de son intégrité, mentale ici-bas, et spirituelle à un niveau supérieur. De ce fait sur ce point il existe aussi des limites à ne pas dépasser, des orientations dont les variations sont si étroites qu'il est parfois préférable de maitriser le délicat scalpel de la magie avec la plus grande humilité qui soit, associée à une longue et soutenue expérience de la pratique ésotérique dans sa pleine et entière connaissance.

Comme nous le voyons, la pratique ésotérique ainsi que celle de facto des rituels de magie qui en découlent sont très bien encadrés à tous les niveaux, avec néanmoins de réelles possibilités d'ajustements bénéfiques si ceux-ci sont cohérents et en accord avec les orientations karmiques des personnes qui en ont recours. Ce dernier point est à étudier avec la plus grande attention en cas de demandes de travaux de magie, ce que je me propose toujours de réaliser avant de commencer le lancement de rituels adaptés à la situation que l'on m'a exposée. Si cet article vous a apporté des réponses je m'en réjouis d'avance et je reste à votre disposition pour en discuter si vous avez des questions ou des demandes professionnelles, merci dans ce cas de me contacter directement, à très bientôt, ésotériquement vôtre !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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Quelques jours après la St-Valentin, devenue surtout une fête commerciale du niveau proche de gentils bisounours fortement assagis, il semblait logique, voire intéressant et même nécessaire d'aborder un sujet s'y rapportant directement mais dont très bizarrement le tabou sociétal qu'il génère implicitement n'ose pas du tout aborder de front, préférant digresser de-ci de-là sur la question précise : celui du tabou de la libido dans la vie amoureuse, dans la vie réelle tout court… Pourtant les relations de couple, mais aussi celles des célibataires recherchant l'amour, ne se limitent évidemment pas à l'échange de jolis bouquets virtuels de roses ou de petits coeurs sur les réseaux sociaux, il faut au contraire y voir une volonté affirmée de jouissance des corps et des esprits dont on sait qu'elle ne peut passer que par une extériorisation de cette libido dans la relation avec autrui, un acte à la fois fortement mentalisé en amont et in fine exprimé en aval par la sexualité. Or, contrairement à tout produit pouvant être acheté, cette libido n'est ni échangeable ni générée ex nihilo, elle demeure une essence issue d'une volonté personnelle intérieure de puissance à partagée, d'une attraction ou d'un magnétisme digne d'une alchimie qui ne se trouve sur aucun étal marchant. Comprendre cette puissance, en saisir les éléments constitutifs à l'image d'un art spagyrique, c'est donc aussi s'attribuer la recette secrète d'une vie amoureuse qui ne trahira pas son but, celui de satisfaire à la fois son propre désir mais aussi celui de la personne qui en est la cible, avec la réciprocité d'une attirance nécessaire pour en construire ce mouvement perpétuel que l'on nomme l'Amour.

Force est de constater depuis quelques années une sorte de transformation ou plutôt de transformisme évolutionniste de notre rapport à autrui en matière de relations amoureuses, l'on voit en effet une sorte de dilution des genres dans des méandres psycho-sociologiques peu clairs où les uns et les autres y perdent leurs repères au risque de ne plus se comprendre eux-mêmes comme individu sexué à part entière. Alors comment entrevoir un rapprochement quelconque ou une compréhension d'autrui dans cette configuration si confuse et perturbante ? Devons nous y voir, après analyse plus profonde, une autre volonté (peut-être cachée) d'asservir toute saine attraction en manipulant et brouillant les pistes dans un dédale de questionnements futiles contraires à un comportement naturel ? L'actualité, où se mêlent les questions de genre et de "vokisme" ambiant peu compréhensibles dans leurs buts réels, n'apporte que des réponses tronquées et des désillusions dont la grande majorité n'est ni concernée ni interpelée avec pourtant des répercutions importantes dans l'élaboration de la reconnaissance d'autrui dans l'environnement quotidien, et donc dans ce rapport ou justement les liens, sociaux, amicaux ou amoureux, en deviennent indiscernables, assurément flous, voire totalement intangibles pour certains. C'est dans ce constat de dérèglement des sentiments et des affects, et donc aussi de la libido qui s'y rapporte, que l'on ne peut que tenter de trouver une sorte de remède à cette perturbation existentielle, car s'en est une certaine et importante propre à désorienter les moins avertis, les plus jeunes ou moins aguerris sur la question… Il en vient alors effectivement à se demander, de manière pratique et "profane", comment relancer ou retrouver une vie relationnelle, sociale et amoureuse moins dégradée.

Certes, d'un autre point de vue plus ésotérique, les initiés auront parfaitement compris qu'il faut y voir un véritable piège sociétal, donc existentiel, et par conséquent en allant encore plus loin un piège relationnel ayant des répercussions sur des objectifs karmiques à suivre, objectifs qui seront de facto ralentis ou déviés de leurs buts initiaux d'évolution en empêchant les outils d'attraction de jouer leur rôle habituel à des fins de rencontres ou de liens amoureux (essentiels dans le processus de quête karmique). Il y a donc, d'une certaine façon, une insidieuse volonté de nuire à ce processus, un épais brouillard relationnel qui s'abat afin d'éloigner plus ou moins ceux qui devaient se rencontrer pour effectuer ensemble leur mission de vie de manière plus complète. Il faut bien ici percevoir cette activité contraire aux principes fondamentaux qui, il est vrai, après une assez longue période de quarantaine dont on ne peut reconnaitre que l'aspect négatif engendré, continue à s'ancrer vibratoirement de manière sensiblement durable et négative pour s'en inquiéter. Encore une fois, les profanes en la matière n'y percevront visiblement rien d'extraordinaire ou de très contraignant, ne verront pas le danger avancer progressivement car ils y seront déjà confrontés à la fois mentalement dans leur esprit en partie formaté et physiquement dans leur perte relative de libido et d'attraction. Retrouver cette potentialité ou la relancer en devient non seulement une saine orientation pour recouvrer un outil de développement personnel et spirituel au quotidien mais aussi pour atteindre de nouveau la capacité relationnelle contribuant à cet essentiel processus karmique dont finalement il est principalement question…

Sans entrer dans d'autres détails complexes ou bien aussi pointer directement du doigt de secrètes officines qui sont à l'origine des dérèglements dont il est question ici, mais en mettant tout de même en relation l'inexorable entrée d'intelligences non humaines dans notre quotidien, les I.A pour ne pas les nommer, nous voyons très justement notre propre essence d'humanité se confronter à d'autres logiques non naturelles nous éloignant ainsi lentement des fondamentaux qui nous constituent. Ainsi, et de manière bien plus clarifiée l'on voit que ces divers signaux faibles confrontés ensemble commencent à vouloir prendre le dessus en tentant de substituer l'humain au transhumanisme, ceci en voulant remplacer la force physique par le robot et notre intellect original et imaginatif par une intelligence artificielle formatée, uniformisée et généralisée, voire totalitaire dans un avenir proche si nous n'y prenons pas garde. Mais là ou l'artificiel ne pourra jamais entrer en concurrence avec l'essence de l'humanité, car il n'y a pas d'accès possible pour elle, c'est au processus même qui nous constitue et que les initiés connaissent sous la forme archétypale de conscience collective dont les archives akashiques sont les garantes de notre intégrité quels que soient les futurs "déboires" de la dimension physique qui y sont provisoirement attenants. Mais ceci est une autre histoire, celle, conjointement à notre problématique, d'une eschatologie programmée dont il n'est pas question aujourd'hui.

Après cette relativement longue introduction nécessaire pour comprendre le phénomène sur plusieurs niveaux, comme nous venons de le voir certes de manière très condensée et abrupte pour le profane qui n'a pas l'habitude de relier ces divers sujets entre eux, l'éloignement relationnel auquel nous sommes actuellement progressivement confrontés, ainsi que la diminution générale de l'affect et la perte de libido et d'attraction (que cela soit au sein du couple ou pour chaque individu même célibataire) peuvent être contrés de façon pratique d'une part en rejetant l'intrusion de logiques non humaines dans nos vies sociales (donc n'utiliser par exemple l'I.A que pour ce qu'elle est, c-à-d un outil évolué et non une fin transhumaniste en soi), d'autre part plus ésotériquement en comprenant l'utilité de l'aspect relationnel de l'humain en ce qu'il contribue à la bonne marche du processus karmique, notamment via l'attraction amoureuse et son biais principal qui la relie au corps avec la libido, véritable moteur du désir d'amour. Sur ce dernier point, l'accession à des solutions efficaces passe aussi par des résolutions d'ordre purement ésotérique dont on a l'habitude de nommer le processus "travaux de magie" et les outils spécifiques qui concernent le domaine de l'amour des "rituels de magie rouge" parfaitement adaptés afin de retrouver ou de développer le désir, la libido et par conséquent provoquer l'attraction entre deux individus. Résister à notre époque de confusion, c'est pallier au déficit relationnel que nos sociétés nous obligent à subir au nom d'un progrès qui n'en est finalement pas un, c'est une nécessité existentielle afin de ne pas laisser s'assombrir l'humanité qui est en nous.

Comme d'habitude cet article, plus didactique, soulèvera de nombreuses questions auxquelles vous le savez je suis à votre disposition pour y répondre, de même qu'en qualité de chaman professionnel je m'engage à vous aider avec les solutions que j'ai évoquées brièvement et qui sont ciblées en fonction de chaque personne ou chaque couple, notamment en matière de problème de relations amoureuses. N'hésitez pas, pour ce faire, à me joindre sur mon site (voir mes informations de contact ci-dessous). À très bientôt !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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La relation de couple ressemble à ces mécanismes de précision avec de très nombreux engrenages complexes entrainant un mouvement que l'on voudrait perpétuel, comme l'image d'une horloge reflétant l'immuable condition de deux individualités suivant la rotation du temps qui passe et de la relation apparemment cadencée au rythme du tic tac de l'existence. Mais, parfois tout comme l'histoire du grain de sable qui vient s'immiscer là où il ne devrait pas, ce mécanisme peut faillir et stopper net le parcours du temps inscrit sur le cadran de la vie du couple. Ressentie comme une trahison par l'un des conjoints qui en subit les conséquences, l'infidélité demeure de ces accidents de l'amour qui peuvent durablement impacter la relation, voire la plonger dans le précipice de la rupture dont on ne revient pas aisément. Bien entendu chacun n'aura pas la même réponse émotive ou psychique selon ses propres conceptions "morales" ou ses convictions en ce qui concerne une relation amoureuse, certains n'y verront qu'une incartade sans lendemain, d'autres en seront profondément affectés au risque de ne jamais s'en remettre d'aplomb ou de ronger le frein de la jalousie durant des semaines ou plus… Dans tous les cas, même si chacun ressent différemment cette situation, personne n'est finalement à l'abri d'une infidélité de son ou de sa partenaire dans sa relation de couple, pour autant celle-ci touche dans une plus grande mesure les femmes du mauvais côté de la barrière que les hommes qui se voient dans des situations où ils s'exposent généralement plus facilement à l'attraction féminine pour y succomber en dehors de leur relation dite légitime.

Dans cette mesure, et même si cela peut aussi évidemment arriver aux hommes, la situation d'une infidélité du partenaire avec une maitresse sera principalement évoquée dans cet article, sachant aussi que vous pourrez transposer dans un sens comme dans l'autre, de la même façon vous pourrez aussi parfaitement élargir le cadre de la question de l'infidélité aux couples non hétérosexuels, au choix des possibilités qui vous incombent ou vous intéressent. Ceci dit, et pour commencer directement à parler d'infidélité, encore faut-il y voir un autre risque potentiel en amont : le risque de se tromper soi-même sur la situation réelle… En effet, combien de fois j'ai pu constater la certitude qu'ont parfois assurément les femmes de croire que leur partenaire a une maitresse cachée alors qu'elles n'en ont que l'intuition, certes forte intuition mais sans aucune certitude, et cela ne peut qu'aggraver la relation avec cette suspicion ou ce doute latent d'une infidélité qui se tramerait, peut-être… Dans cette configuration l'on voit généralement le lourd et destructeur poison de la jalousie s'instiller progressivement et détériorer les liens amoureux avec pour conséquence première de voir se réaliser ce que l'on redoutait le plus, à force de mettre le partenaire dans une posture qu'il n'avait pas adoptée initialement… C'est donc ici le comble, et le risque majeur, de voir arriver et de provoquer par cette attitude "malheureuse" ce que l'on reprochait injustement, a priori sans aucune exacte certitude !

Je ne vais pas développer les ravages de la jalousie et du doute qu'engendre une situation amoureuse peu claire, mais justement sur ce point il faudrait assurément à ce stade que la réalité de la situation devienne une certitude afin de ne pas encourir le risque dont j'ai parlé précédemment : faire advenir ce que l'on pensait, par sa propre faute, en repoussant les limites du partenaire dans la mauvaise direction. Aussi, puisqu'il faut non seulement faire des constats mais aussi apporter des solutions, dans un sens plus pratique il semble préférable dans un tout premier temps d'être certaine de l'infidélité du partenaire avant d'entretenir une jalousie basée sur du vent ou pire, d'en accuser ouvertement la personne. D'un autre point de vue, cette fois-ci plus ésotérique, pour aider celles qui seraient encore dans l'incertitude, il existe des rituels de révélation qui permettent en magie blanche de rendre visible ce qui ne l'était pas clairement, de vérifier des doutes et de mieux cerner une problématique, ici plus précisément celle de l'infidélité du partenaire. C'est d'ailleurs le tout premier rituel à élaborer lors de travaux de magie dans cette situation qui parfois est trompeuse dans le mauvais sens du terme puisque le partenaire ne vit pas dans une bulle et par conséquent sera certainement au contact de nombreuses autres femmes dans ses diverses activités (professionnelles ou autres, non sexuelles évidemment…).

Si l'étape du rituel de révélation en magie blanche, ou bien l'étape d'une analyse objective plus poussée de la situation, apportent la réelle conviction que le partenaire a effectivement une maitresse alors il faudra agir vite mais comme l'on dit souvent "sans précipitation" pour s'assurer de prendre les bonnes décisions, d'une part dans ses propres actions quotidiennes et d'autre part en ce qui concerne la suite des travaux avec cette fois-ci des rituels plus ciblés en magie rouge (magie de l'amour par excellence). Notons en aparté pour ceux et celles qui ne le sauraient pas encore que les rituels de magie rouge sont à choisir avec grande précaution et ne peuvent être effectués que par des professionnels, auquel cas j'ai pu constater des femmes se livrant elles-mêmes à des rites qui non seulement inefficaces mais aussi la plupart du temps ayant des résultats inverses, par conséquent ne tentez pas de résoudre une problématique compliquée dont vous êtes le rouage principal car il en magie il est très difficile d'être à la fois le prescripteur du bon rituel et celui qui le reçoit, c'est une évidence tout comme le chirurgien ne peut pas s'opérer lui-même à coeur ouvert…

Différents rituels puissants sont à disposition, dans un cadre strictement professionnel que je ne peux évidemment pas remettre en cause étant moi-même chaman exerçant cette profession depuis plusieurs décennies : des rituels pour changer la situation via le partenaire qui en sera la cible principale (pour le faire changer d'avis, modifier sa libido "dans le bon sens", etc.), des rituels liés au contexte afin d'améliorer la situation via cet environnement spécifique (des éléments extérieurs qui sont parfois cruciaux et déterminants si on les modifie), enfin, des rituels plus "pointus" pour d'une certaine façon "s'attaquer" au problème, celui de la maitresse en soi (c'est-à-dire la repousser, la faire changer d'avis ou de manière plus radicale cibler sa sexualité "dans un mauvais sens"). Encore une fois et je le répète dans de nombreux articles : à chaque situation, à chaque contexte et à chaque couple en présence et individualité s'apparentent des objectifs et des choix de rituels spécifiques plus ou moins efficaces, il est donc indispensable d'analyser durant les travaux chaque paramètre en temps réel et d'y répondre avec la juste orientation (en terme de qualité), au juste bon moment (le fameux "kairos") et avec la juste mesure (en terme quantité), le tout encadré selon les Grandes lois dites Karmiques qui permettent d'envisager de véritables changements existentiels (ici en terme "initiatique").

Comme d'habitude, et sur ce thème de l'infidélité il en est de même, je réponds à toutes vos questions et demandes sur ce sujet si celui-ci vous touche personnellement avec l'aide de mon savoir-faire et de mes connaissances en la matière dont vous pouvez aussi lire d'autres nombreux articles complémentaires sur ce même blog. Je n'oublie pas de vous souhaiter en ce début d'année 2023 la meilleure qui soit je l'espère pour vous, notamment pour que votre relation de couple se porte au mieux en laissant au loin les doutes et les zones d'ombre, en évitant assurément l'épreuve inutile et destructrice de la jalousie qui n'est pas en soi une bonne solution ! Si besoin, n'hésitez pas à ne joindre pour en discuter ensemble sans engagement (voir mes coordonnées et lien sur ma bannière ci-dessous). À très bientôt, dans l'attente de vous lire aussi !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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Pour une fois la "Magie Sexuelle" mettra tout le monde d'accord, sans exception, il s'agit bien d'un vaste thème demandant au minimum un développement sur quatre niveaux cruciaux que je vais présenter certes de manière que j'espère complète pour en extraire les principales orientations compréhensibles ici avec néanmoins comme toujours cette relative limite qu'impose un article à la fois concis et explicatif au possible. Ceux qui n'en ont jamais entendu parler auront donc enfin quelques secrets révélés dans la forme et le fond de ce qui sera dit, et ceux qui en connaissent déjà quelques points hermétiques verront que d'autres clefs supplémentaires seront apportées, notamment en ce qui concerne les divers modes ou niveaux abordés sur ce sujet de la Magie Sexuelle dont on ne cerne pas toujours ni les contours, ni les finalités pour s'en fixer généralement arbitrairement de fausses certitudes ou certaines limites erronées, et sur ce point cet Art Royal n'en a que celles que l'on se cantonne d'abord à soi-même. Un sujet qui passionne car il est vrai que la Magie Sexuelle résonne déjà d'un assez explicite écho qui ne laisse pas indifférent dans les termes, et qui sous-tend de manière sulfureuse des objectifs parfois difficilement avouables dans le monde profane, mais les non-dits parlent d'eux-mêmes pour démontrer toute l'importance de la sexualité aussi dans ce même monde profane, et encore plus chez les initiés de haut rang et de diverses obédiences dites magiques, ce que nous allons voir ensemble de suite…

Tout d'abord et au premier niveau le plus évident, il est clair que le couple tel qu'il se forme dans la vie ordinaire au départ de la relation, et même au-delà, apporte toujours ce creuset dans lequel l'alchimie catalyse chacune des deux individualités en présence avec une énergie sensiblement décuplée dont le secret tient en très grande partie dans l'apport de l'ingrédient détonateur principal que représente la sexualité partagée au sein de ce duo devenu soudainement plus dynamique (comme le soulignait déjà en son temps Maria De Naglowska dans son ouvrage "Magia sexualis" ou "lumière du sexe" en français). Le phénomène de cette transmutation énergétique n'est pas pour autant intégralement compris par ceux qui le vivent et ce dernier point importe assez peu pour les esprits profanes d'en intégrer les subtilités vibratoires du moment qu'elles sont ressenties comme puissantes à la fois dans la fusion des corps comme élément basique de cette réaction mais aussi dans une dimension moins tactile et plus éthérée se situant sur une autre gamme vibratoire assimilée à une sorte de magnétisme (de l'ordre du fluide décrit par Mesmer). Ainsi, ce sont ces polarités individuelles en intime contact qui renforcent encore la primo-attraction physique par cette aimantation secondaire, mais pas des moindres, celles de deux Ego gravitant mutuellement en interaction autour d'un même noyau de subjugation. D'ailleurs dans ce sens il n'y a qu'un pas, un simple iota, pour finalement passer de l'aimant à l'amant, et tous deux maintiennent la relation dans une sorte de transsubstantiation duale (physique et émotionnelle) souvent difficile à saisir dans sa nature multiforme et mutable, et que l'on nomme trivialement l'Amour. De cet aspect complexe le profane n'y voit souvent qu'une indéfinissable et incontrôlable force qui enchaîne par des liens invisibles, par de mystérieuses attaches physiques et mentales dont on ne possède jamais facilement les clefs de décryptage. Cette première "magie ordinaire" énoncée est connue de tous, c'est donc celle de l'Amour, elle n'apporte pas ici d'éléments substantiels d'ordre ésotérique en dehors de l'hermétisme "normal" mais encore mystérieux qui s'en dégage habituellement.

Sur un autre registre, plus haut sur une gamme moins profane et plus orientée, la petite musique de l'Amour peut être instrumentée, non pas détournée de sa fonction première mais agrémentée pour en focaliser les effets, pour en orienter la puissance et par conséquent en sublimer l'énergie vers un but conscientisé. Comme pour tout instrument il faut en maîtriser l'objet pour en jouer sans fausses notes, auquel cas les dissonances potentiellement générées ne pardonneront pas ceux qui se seront aventurés sur des chemins inconnus ou utilisant des itinéraires incertains. En d'autres mots, nous entrons ici dans au niveau d’une réelle magie sexuelle où une grande partie de l'énergie de la relation sera intentionnellement canalisée par les partenaires, voire par un seul pouvant aussi rester le principal soliste dans ce duo s'il en dispose du talent ou du don. Il faut préciser que cette pratique nécessite de nombreuses années d'expérience et d'apprentissage assidu, notamment en matière d'ésotérisme et de connaissances des points d'énergie du corps, ce que l'on appelle couramment les chakras pour non seulement aborder l'ensemble du phénomène avec la concentration nécessaire mais aussi (et c'est un paradoxe difficilement compréhensible par les profanes) savoir s'en détacher mentalement, se libérer de son propre Ego rebelle à toute dissolution de son intégrité, ce qui est ici le secret afin de se dépasser soi-même en laissant les énergies se propager. L'aspect transcendantal de ce phénomène de "montée de kundalini" (terme usuellement approprié) permet d'user de ce flux ainsi en mouvement pour accéder à une dimension spirituelle propre à apporter un pouvoir axé sur une vision transpersonnelle du monde pouvant répondre à d'importants questionnements existentiels touchant essentiellement au Karma et au sens de la vie terrestre en cours (mission de vie). Cette méthode dite Tantrique apporte à la fois la plénitude physique, mentale et spirituelle dans ce qu'elle offre comme "libération par l'expansion" de l'esprit (du soi vers le soi supérieur, et inversement en "kénose ésotérique"), l'on peut l'assimiler non pas à proprement parlé à un rituel mais à une exigeante discipline de méditation en communion et n'est exercée que par un nombre assez minime de véritables initiés de cette doctrine exotique qui parfois utilise en complément des substances hallucinogènes ou psychotropes.

Arrivant à un stade encore plus avancé et bien plus professionnel, celui du véritable rituel magique, c'est au niveau du chaman que d'exercer cet Art Royal pour en faire profiter au couple et lui faire découvrir ses propres ressources intérieures afin d'utiliser l'énergie sexuelle résiduelle de l'attraction et du désir induit en une force agissante pour résoudre des problématiques de différentes sortes. Ainsi et généralement, le couple ou l'un des partenaires est en demande afin qu'un travail de Magie Rouge (magie de l'Amour) soit effectué dans ce sens de résolution de problème, dont le plus souvent il sera question de renforcer les liens amoureux, de les restituer ou bien d'exercer une protection si la relation est en danger pour une raison ou une autre (envoûtement, contexte difficile, usure des sentiments, éloignement, passivité routinière au sein du couple, perte de libido, etc.). Les raisons pour demander des travaux de Magie Rouge étant multiples et très diverses, en fonction des typologies de couples et de celles des individus qui les composent, il est inutile d'en faire une liste tant les problématiques sont légion et les rituels aussi pour en cibler les causes et les effets; l'on voit immédiatement la portée considérable qu'offre la Magie Rouge et sa très grande habileté à couvrir un champ complet d'expérimentations puissantes et efficaces dans le domaine de l'Amour, du désir et des sentiments, ce qui en fait de facto la magie la plus demandée et la plus experte en la matière. En qualité de praticien et chaman c'est celle que j'exerce aussi, avec d'autres magies complémentaires, dans le cadre de mon activité professionnelle (voir ma bannière ci-dessous si vous voulez en savoir plus ou me contacter).

Enfin, et non des moindres aussi car beaucoup plus sulfureux, ce sont les groupes ésotériques, généralement sataniques par essence ou s'en revendiquant assez fortement, qui proposent à des initiés déjà bien avertis des cultes ritualistiques en réunion et de l'occultisme opératif, de ceux que le sorcier et mage Aleister Crowley avait l'habitude en son temps d'avoir fondés ou co-fondés, citons pour information historique : l'A.A. puis l'O.T.O (Astrum Argentum & Ordo Templi Orientis) et avoir aussi collaboré ou participé activement à la célèbre Golden Dawn (l'Ordre Hermétique de l'Aube Dorée). Bien évidemment l'on ne peut pas dire que de nos jours ces sociétés secrètes "occultes" soient de très bon aloi depuis l'affaire de l'Ordre du Temple Solaire dont il faut rappeler la triste fin de ses membres suicidés ou finis calcinés en groupe le même jour par delà toute la planète… Il n'est pas de mon ressort de faire ici l'apologie de groupuscules dangereux ou sectaires mais d'en faire uniquement référence puisque l'Histoire des sciences occultes recèle d'une multitude de ces groupes, et encore de nos jours ceux-ci existent et sont souvent masqués par des activités franc-maçonniques de façade qui s'apparentent à des portes ouvertes sur des horizons bien moins glorieux n'apportant pas ou si peu d'avancée spirituelle qu'il n'y a finalement rien à découvrir que de faux rituels de séances et strictement aucun réels secrets ou cultes actifs opérationnels… Ces derniers groupes ne sont donc pas recommandables, surtout pour les couples, et tout au plus il est moins risqué et plus profitable de s'inscrire à deux à un cours de yoga ou de méditation pour commencer à s'approcher d'une certaine spiritualité utile, bienfaisante et partagée, bien que d'un niveau évidemment nettement plus soft que le véritable rituel de magie rouge effectué par un professionnel expérimenté à cet Art Royal, ésotérique et surtout "opératif" (c'est-à-dire dont l'opération apporte un résultat qui ne soit pas que "symbolique"…).

Voilà ce petit tour d'horizon terminé, à vous de vous en imprégner pour voir si quelques petites choses se cache dans l'article et que votre "moi" pourra utiliser pour se construire et trouver des réponses, des solutions ou des voies à suivre. Je reste comme d'habitude à votre disposition pour répondre à vos légitimes questions concernant cet article ou d'autres sur des thèmes déjà précédemment abordés et dont je vous recommande la lecture attentive ! A très bientôt et que la fin de cette année 2022 vous soit prolifique pour mieux entrer dans la nouvelle, 2023 sera assurément inoubliable, nous en reparlerons très certainement…

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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Un titre un peu provocateur mais qui illustre bien le propos puisque nous vivons dans un monde chaotique et dynamique, disons-le clairement pour ceux qui ne le sauraient pas encore, par conséquent le Diable (ou ses nombreux acolytes) est un peu partout et nous entoure dans presque toutes nos actions, de loin ou de plus près, selon votre attitude et les pensées qui accompagnent vos actes. N'oublions pas que tout est "une histoire de volonté", volonté d'agir dans un sens ou dans un autre, pour soi ou pour autrui, c'est-à-dire une volonté placée à un niveau vibratoire correspondant à votre "état d'esprit" associé à l'intention qui s'y attelle. Il est donc simple de se dire et d'ailleurs de constater que ceux qui ont une prédisposition pour la peur attireront la peur, ceux qui s'orienteront vers un mal nécessaire se verront comme aimantés par lui, inversement il existe aussi de bonnes actions initiales qui se terminent mal, comme quoi rien n'est si simple à ce stade et tout est finalement relatif à soi, aux autres et au contexte en présence comme j'ai l'habitude de le souligner… Alors, que penser du fait de vouloir "commercer avec le Diable" ? Une expression digne de l'époque de l'inquisition où l'on pouvait finir sur un bûcher à la simple évocation du Malin, ceci pour votre Bien, évidemment, encore que cela devienne tout aussi relatif de finir en cendres pour le Bien, oui mais finalement le Bien de qui…

Mais revenons à notre époque "plus moderne", celle où l'on finit aussi en cendres assez rapidement en se promenant simplement dans certains pays en guerre, comme quoi rien n'a vraiment changé, le Diable est dans ces détails que l'on à tendance à oublier ou à vouloir omettre sans trop de contraintes mentales pour ne pas voir ce Mal qui environne le Monde, celui dont les humains sont assez forts pour se l'infliger eux-mêmes, sans aucune "aide extérieure", du moins en apparence seulement. Dans ce sens nous savons que si le monde "tourne mal", il tourne quand même et cela reste un exploit considérable si l'on pense au nombre de fois où nous avons eu l'occasion de réduire la planète à néant, mais nous avons encore le temps de saborder le navire avec en plus cette capacité aujourd'hui de savoir consciemment que cela est possible, de plusieurs manières, guerre nucléaire globale, guerre bactériologique totale, ou bien plus basiquement et aussi plus lentement comme un supplice chinois : à force de scier la branche sur laquelle nous sommes assis à coup de surconsommation ultime des ressources planétaires, de la pollution de l'environnement, de la perte de toute biodiversité et enfin, pour finir en véritable apothéose, le grand cataclysme du dérèglement climatique qui tel le déluge nous anéantira tous ! Mais restons optimistes, même le Diable ne veut pas que nous disparaissions de la surface de la planète, sinon il n'aurait plus rien à faire, par conséquent nous avons un avenir, certes compliqué mais encore existant, avec la complicité de toutes les entités, bonnes ou moins bonnes, c'est le système qui le veut, et nous avons déjà signé le contrat pour jouer à ce jeu !

L'initié le sait et le profane commence à le comprendre aussi, dans ce jeu de la vie, celui qui impose une règle de l'existence pour évoluer selon une orientation désirée ou subie, qui implique des passages obligés, des cases à cocher sur le contrat passé. Et sachons reconnaitre que les points de passage initiatique ne sont pas tous systématiquement orientés dans un seul sens du Bien, chacun doit aussi assimiler le Mal pour le reconnaitre et s'en prémunir pour soi ("charité bien ordonnée") ou pour autrui plus accessoirement si cela est aussi possible. Par conséquent le Bien et le Mal sont indissociables pour paradoxalement pouvoir se départager et se situer l'un à l'autre du côté de l'échiquier, soit l'on joue avec les pièces blanches soit avec les noires, mais l'on peut aussi choisir à tout moment de retourner le plateau puisque l'expérience du jeu se joue finalement seul dans cette volonté de voir bouger toutes les pièces existentielles alternativement avec plus ou moins de bonheur ou de chance. Ainsi, chacun joue l'ensemble de la partie des deux côtés, le choix est celui du libre arbitre apparent bien qu'il existe effectivement un véritable maître du jeu, celui qui impose que l'on joue chaque pièce ou pion alternativement selon un déplacement précis, celui qui rappelle à chaque instant que l'on ne peut transgresser les lois de la matière tant que l'on y est lié. Finalement le mal serait de ne pas faire attention à ces lois, par exemple de vouloir tester la chute de son propre corps depuis le dixième étage, cela se terminerait alors effectivement a priori assez "mal".

Dans une autre perspective plus ésotérique cette fois, plus complexe aussi : un "pacte démoniaque" est-il une transgression de ces lois ou pas ? Rappelons rapidement qu'il est possible, pour un praticien réellement expérimenté, de faire appel à des entités dites (par convention) foncièrement "maléfiques" pour régler un problème, ceci souvent de manière radicale, brutale ou dangereuse, voire les trois en même temps. Il devient alors clair qu'utiliser de tels rituels de magie noire, puisque c'est ici la bonne dénomination, sera une ultime finalité, un coup risqué mais puissant et décisif sur l'échiquier de la vie, une orientation certes négative mais finalement peut-être aussi nécessaire pour que la partie prenne une tournure où une réponse s'impose pour en accomplir une action tout aussi puissante en retour et ainsi passer un cap initiatique crucial, cocher une case du contrat, trouver une solution existentielle fiable en surmontant la problématique proposée. Un monde sans aucun problème serait à l'image d'un encéphalogramme plat, une mort cérébrale sans objectif ou perspective, alors que chaque embûche, que chaque pas, même risqué, demande une attention pour marcher si possible sans tomber et aller dans une direction que l'on choisit volontairement avec les moyens mis à disposition. De cette façon, parfois en secouant un peu l'échiquier et toutes ses pièces, l'on peut aboutir à un résultat probant avec effectivement des moyens peu conventionnels, c'est ici le seul but valable d'une telle utilisation de la magie noire : faire trembler l'échiquier pour réinitialiser la partie ou en redéfinir le paysage pour trouver d'autres chemins enfin débloqués après que les murs qui en interdisaient l'accès se soient écroulés en offrant ainsi de nouvelles perspectives à tous les protagonistes.

Donner un grand coup de pied dans la fourmilière bien sage et bien ordonnée reste en apparence un acte malicieux, délictueux au sens karmique du terme, ou pire, délibérément destructeur, mais il générera ainsi une essentielle reconstruction avec des potentialités de pouvoir faire encore mieux qu'avant, de dépasser ce qui avait été réalisé précédemment, d'innover dans une plus large mesure pour véritablement évoluer : il faut parfois détruire pour mieux rebâtir, il faut parfois chuter pour apprendre à se relever plus fort encore, c'est ici tout le mérite du Mal que d'accomplir sa vocation première, celle d'inciter à tourner l'ancienne page afin de pouvoir enfin écrire la suite de l'histoire sur la suivante et débloquer une situation atone, une vocation paradoxale encore une fois d'initier in fine le Bien. L'un et l'autre, Bien et Mal, sont assurément deux faces d'une même pièce initiatique que nous avons tous en main propre, aller dans ce sens du mouvement, de la "ré-volution", n'est donc pas une alternative intégralement négative dans son bilan : très souvent le Pacte Démoniaque accélère une situation qui de toute façon aurait par elle-même fini par dégénérer de manière plus lente et beaucoup moins dynamique dans son ressort final, ceci par effet d'interaction inverse qui fait tourner la roue, après la mauvaise la bonne fortune, le tarot illustre d'ailleurs cet arcane majeur.

Comme nous le voyons, "commercer avec le Diable" par l'intermédiaire d'un Pacte dit Démoniaque n'est qu'une expression qui entraine une réflexion plus poussée sur non seulement l'origine du Mal mais aussi et surtout sur sa fonction qui n'est pas à séparer de son contrecoup positif comme je viens de l'exposer. Aussi, en qualité de chaman en exercice, certaines situations en complète inertie et dont rien ne semblent se dégager, ni de bon ni de mauvais, se voient dynamiser par ce type de travaux puissants qui agissent comme un stimulus nécessaire, comme la tempête qui va finalement souffler très fort dans les voiles d'un navire pour lui donner une nouvelle impulsion pour enfin avancer. N'hésitez pas à me poser des questions, je sais par expérience que le thème de cet article ne fait pas l'unanimité quant à l'angle sous lequel il faut en percevoir les trajectoires, je vous ai exposé ce à quoi de nombreuses années m'ont amené à penser et je reste à votre disposition pour approfondir la question, voire pour vous proposer si besoin ce type de rituel. Pour me contacter merci de suivre ma bannière ci-dessous, à très bientôt et "n'ayez pas peur !" (Paroles emblématiques de Jean-Paul II).

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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Nul ne peut se mettre strictement à la place d'une personne dont le couple est en situation de crise et proche de la rupture, car le contexte précis, les personnalités en présence et les causes ainsi que les effets induits font que l'ensemble de ces paramètres (en comptant ceux qui adviennent en surcroit de manière cumulative) en complexifient de facto l'analyse et la compréhension sans pour autant pouvoir donner des réponses finalement pleinement satisfaisantes. C'est, du moins, l'avis le plus couramment exprimé par les spécialistes dits "profanes", c'est-à-dire la cohorte habituelle de psy et de sociologues de la question qui, et c'est tout à leur honneur tout de même, ne s'arrêtent qu'au visible et descriptible selon les dogmes que la science leur impose, ne s'arrêtent finalement qu'au substrat le plus superficiel d'une individualité étudiée in situ dont ils ignorent les dimensions supérieures échappant à leur courte vision trop terre-à-terre pour les prendre en compte au-delà des prérogatives et du décorum de leurs fonctions corporatistes. Loin d'affliger ces spécialistes qui sont utiles, puisqu'ils tentent de "soigner" les maux de la vie, il n'en demeure qu'ils ne savent véritablement les "guérir" que dans de très peu de cas et encore moins en expliquer avec discernement et assurance toutes les sources et les raisons subtiles qu'ils se gardent bien d'exprimer ouvertement puisqu'ils n'en ont strictement aucune idée et qu'ils n'ont d'ailleurs jamais tenté d'en étudier la réelle provenance exacte. Seul peut-être C. G Jung, dans une vision plus ésotérique et moins normative, a-t-il pu aborder la question de manière plus approfondie comme l'initié qu'il était, avec ce que l'on sait aujourd'hui en retour de sa sagacité spirituelle éclairée : les reniements acharnés de ses pairs qui l'ont presque tous immédiatement banni de leur très docte cercle de fausses certitudes, apprises et répétées maintes fois au fil du temps, tels d'illustres perroquets savants si fiers de leurs plumes académiques décrépies. On en a d'ailleurs aussi vu dernièrement les effets pervers dans un autre "domaine médical réservé"…

Mais soyons pragmatiques et restons parfaitement lucides, loin de dire que la psychologie et la sociologie ne servent à rien, bien évidemment, il faut néanmoins effectivement remettre ces belles disciplines, là où elles s'accordent le mieux pour coexister : pour l'étude de cas improbables, pour la cogitation d'ego scienteux ex nihilo, pour l'amassage invraisemblable d'une montagne d'hypothèses tordues construites sur des terrains marécageux où chaque idée finit par être engloutie tout au fond du marais pour s'y décomposer lentement, mais sûrement. On ne compte ainsi plus chaque jour qui passe toutes les nouvelles méthodes et théories inapplicables, tous les discours de parfaits sophistes tournant en rond avec autant de mots creux que de slogans publicitaires répétés en boucle, et surtout tout ce temps perdu où des personnes en demande d'aide se voient instamment formatées dans le moule de la doxa médico-socio-psychologique, à coup de drogues médicamenteuses incertaines, voire dangereuses, et de lavages de cerveaux pour en oublier leurs problématiques mais aussi pour nier la spécificité de leur individualité ainsi totalement dissoute avec leurs questionnements légitimes initiaux, et c'est ici le pire… Ce constat implacable reste valable pour chaque personne devenant un "patient" (du latin "celui qui endure, qui souffre") comme pour le couple, qui s'apparente étymologiquement à un duo de personnes liées par une relation (généralement "amoureuse"), et dont on connait les potentielles "crises de couple", durables ou ponctuelles, évitables ou inexorables, douces et sans conséquence ou bien plus dures avec une fin dite tragique pour celui qui l'a subit, souvent crescendo : rupture, humiliation, isolement, dépréciation, dégradation, dépression, voire jusqu'au suicide social ou physique.

Le couple, ou plutôt la "notion de couple" devient d'autant plus complexe lorsque l'on élargit le cadre de référence avec ce ou ceux qui pourraient interagir, façon "simple sociologie profane du couple", avec le duo initial pour en révéler d'autres acteurs, ainsi d'autres types de relations actives apparaissent et peuvent assurément expliquer les crises ou du moins certaines problématiques importantes pouvant aboutir à une rupture et à une "perte de confiance morale" (plus ou moins forte) dans la relation de couple habituelle. C'est le cas de ce qu'il faut assurément appeler des bien nommées relations extra-conjugales avec les amants et les maitresses, seulement d'une durée d'un jour ou au plus long cours, ces relations seront perçues (selon les types de personnalité et d'éducation) comme amorales ou inversement parfois nécessaires, voire pour certains plus rarement comme un mode de fonctionnement presque normal du couple que de ne pas vouloir s'astreindre à l'uniformisation de la sexualité dans ce qu'elle propose de manière plus convenue, c'est-à-dire pour eux-mêmes comme couple à s'autoriser de ne pas se satisfaire sexuellement du seul conjoint ou partenaire. Dans ce dernier cas moins courant, la liberté purement sexuelle peut être comprise comme un renforcement du couple dans ce qu'il se permet cette liberté réciproque, ceci en tenant compte de certaines limites tacites ou plus explicites si besoin. Mais cette vision plus libertaire du couple n'est évidemment pas l'apanage de la très grande majorité, celle-ci restant cantonnée à la seule relation interdépendante réciproque, avec cet handicap relatif mais bien réel de voir littéralement voler en éclat la relation à la moindre incartade dont les dogmes sociétaux ou religieux ont su stigmatiser "la faute" depuis des lustres sur les populations dites "civilisées", comprendre "endoctrinées pour leur bien"…

Maintenant abordons la réalité sous un angle bien moins étroit, dans une vision certes plus ésotérique qui n'aura pas a priori l'approbation de tous les scientistes engoncés profondément dans leurs démonstrations matérialistes ou bassement corticales et psychiques, voyons le couple et sa relation comme je l'exprimais dans l'article précédent et dont la teneur dissipe toute confusion : le couple est un instrument, un outil pratique dans notre réalité terrestre (à notre niveau dimensionnel) de ce que chacun doit réaliser en "mission de vie" via le contrat karmique qu'il (le "soi supérieur" comme entité supradimensionnelle, ou apparenté de très loin au "surmoi" psy) devra suivre à des fins d'évolution par paliers en étant successivement "incarné", donc réincarné sous des individualités différentes cloisonnées (dont la mémoire est séquencée par période d'existence et généralement antérieurement non accessible par celle "présente"). Voilà qui en une seule phrase, sans palabres ni contournement inutiles, explicite la voie royale ésotérique qui généralement instaure la réincarnation (ou métempsycose) comme un fait établi expliquant pratiquement l'ensemble des problématiques ici-bas, dont celle, très importante, de la relation de couple qui participe activement à cette évolution karmique sur plusieurs vies. Je conseille de lire mes articles précédents afin d'entrer plus dans le dur du sujet si cela était encore nécessaire d'en apporter des informations plus étayées didactiquement en laissant de côté l'hermétisme des textes anciens qui l'explicitent sous une forme occultée et souvent marquée d'une religiosité très directe qui pourrait choquer car parfois assez éloignée de la douce et édulcorée spiritualité contemporaine telle que nous la concevons aujourd'hui.

Dans cette perspective la relation de couple prend alors une toute autre dimension, très loin des stéréotypes profanes où les liens sentimentaux préfabriqués par les habitus sociétaux deviennent soudain à l'image de ces lignes de code sous-jacentes dont il faut avoir les clefs pour en comprendre la portée réelle et la signification cachée, une initiation qui passe par un décryptage ésotérique aux yeux ébahis et incrédules des profanes encore sous le coup de l'imprégnation mentale qui leur a été inculquée depuis la naissance, par un rigoureux formatage générationnel. Très paradoxalement, les initiés ne nieront pas qu'un tel processus d'amnésie de ce que l'on peut appeler la surréalité (la réalité dimensionnelle vraie) soit un effet pervers de l'effacement de mémoire des vies précédentes au moment de l'incarnation, car en terme d'efficacité cette étape semble nécessaire pour la grande majorité des gens afin d'évoluer de manière crantée sans avoir souvenir d'étapes précédentes de leur existence qui pourraient sinon parasiter et fausser la nouvelle expérimentation d'incarnation sur d'autres voies à suivre, sur d'autres missions de vie selon des Lois karmiques encore plus complexes et difficilement appréhendables selon nos modalités dimensionnelles restreintes à notre niveau ici-bas. Sous cet angle la relation de couple se clarifie comme étant une fonction karmique, ses problématiques comme étant des expérimentations de mission de vie à suivre, qu'elles soient assimilées positivement ou négativement d'un point de vue profane sans décodage alors cela ne change rien, bon ou mauvais cela reste une initiation, une épreuve à passer, une case à cocher sur la mission.

Évidemment, faire comprendre l’ensemble de ce processus à une personne en difficulté, notamment en crise de couple ou en rupture sentimentale, sera assurément compliqué d'emblée sans passer par un travail conséquent où viendront comme une initiation ésotérique se décrypter les éléments de cette problématique, les sources de cette crise, les aspects finalement bénéfiques à long terme et surtout les potentialités infinies de rebond pour dépasser le stade de la crise et évoluer de manière plus consciente, certes peut-être pas au niveau d'un initié de haute stature mais comme un individu enfin libéré, enfin ouvert sur ce que j'ai l'habitude de nommer un horizon des possibles, une sortie par le haut de ce qui était un problème apparemment insoluble sans les bonnes clefs, une certitude que le "moi" peut aussi accéder aux conseils de son surmoi, ceci via des processus ritualistiques, ce que l'on conçoit trivialement dans le langage profane comme de la Magie opérative avec ses travaux de magie, ses praticiens et ses Connaissances ésotériques qui permettent de percevoir ce dialogue. Éviter, empêcher ou accepter la crise dans le couple en se résignant à n'en voir que les aspects strictement basiques s'apparente à s'exempter du codage de l'existence qui se trouve sous la surface du visible, c'est ne pas vouloir ou ne pas chercher à voir ce qui est occulté et que la voie ésotérique permet de décrypter pour résoudre radicalement ces problématiques existentielles conjugales, relationnelles ou amoureuses qui jouent des rôles karmiques essentiels mais effectivement cachés.

En qualité de chaman, je vous propose si besoin de trouver ces clefs, d'effectuer ce travail de décryptage via des rituels "de magie" (appelons-les avec la terminologie courante) et ainsi de vous orienter sur la voie à suivre, celle qui sera en accord avec votre mission de vie, celle que "l'on" attend de vous ! Pour me joindre dans le cadre de mon activité professionnelle et pour en discuter librement sans engagement, merci de suivre les informations sur ma bannière ci-dessous. À très bientôt !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel.

 

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