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En général, tout le monde préfère les belles histoires qui finissent bien : "ils se marièrent, comblés de bonheur et heureux, ils eurent beaucoup d'enfants et vécurent très longtemps ensemble". Dans la vraie vie on a tendance à dire plutôt que "les histoires d'amour finissent mal, en général"… Par conséquent il serait assez raisonnable qu'un juste milieu existe entre ces deux maximes trop optimiste pour l'une et inversement pour l'autre, et c'est a contrario du profane que l'initié peut éclairer cette voie, non pas celle du "trop juste milieu" tel que les taoïstes l'expriment sagement, mais d'autres chemins divers, dynamiques et originaux pouvant aborder ce thème des liens amoureux, et, de ceux qui parfois se dissipent pour le meilleur ou pour le pire. Il est vrai que la séparation se voit habituellement abordée comme une catastrophe pour le couple, comme une rupture du fil de la vie ou bien une descente aux Enfers, pourtant cette vision dramatique n'est pas partagée par la majorité des initiés qui abordent la séparation effectivement comme une fin en soi mais avec ce renouveau visible à l'horizon des possibles, celui de cette roue qui tourne afin de recommencer un cycle, de débuter une autre histoire. Bien évidemment il est facile d'exprimer cette distanciation lorsque soi-même l'on est étranger à la situation, vue de loin, abstraitement avec un recul métaphysique, beaucoup diront qu'il est simpliste de tenir un tel discours si détaché. Alors, faut-il relativiser un point de vue plutôt qu'un autre ? Finalement il est intéressant de dresser un tableau et de le regarder sous différents angles pour mieux en appréhender la portée et la signification réelle, la "séparation amoureuse" devient une toile maîtresse à décrypter de manière plus ésotérique et profonde que le seul regard rapide qui juge sans comprendre et rejette immédiatement toute explication plus aboutie.
Dans un premier temps, doit-on dire que lorsqu'un couple se sépare les deux conjoints en ont pris calmement la décision ? Statistiquement il est assez rare qu'une telle entente soit plausible bien qu'elle existe, il faudrait plutôt voir le plus souvent dans la décision de la rupture celle d'un des deux protagonistes qui, pour une raison qui le regarde, désire rompre les liens et vivre autre chose, ailleurs, seul(e) ou accompagné(e). Il y a donc dans la grande majorité des cas une séparation difficile à mettre en oeuvre avec de fortes dissensions ou pire une sorte de combat, d'un côté pour "retrouver sa liberté", de l'autre pour "garder un amour qui s'éloigne" et le fait savoir. Dans cette perspective abrupte et explosive l'on peut assurément dire trivialement que "cela va mal se passer" et qu'il en restera des séquelles des deux côtés puisqu'une telle opposition apporte effectivement son lot de stress et d'entropie déstructurante, pour ne pas dire destructrice. Pourtant, et pour revenir à ces autres horizons post-rupture, chacun devrait savoir, souvent pour l'avoir peut-être déjà vécu une fois déjà, que cette séparation aboutira à la liberté (toute relative selon les contextes) des deux personnes qui pourront alors suivre leur propre voie existentielle, la séparation représentant ici de facto une épreuve initiatique majeure aboutissant toujours à de nouvelles situations rejetant l'inertie conflictuelle précédente pour aller de l'avant, parfois à marche forcée il est vrai, mais néanmoins avec des espoirs de renouveaux certains à plus long terme.
C'est bien quand la rupture n'en finit pas de durer, quand les liens ne se coupent pas d'eux-mêmes simplement et radicalement mais au contraire se déchirent jour après jour comme un lent et inexorable pourrissement que la situation est la plus difficile à vivre, qu'elle implique de parts et d'autres une grande perte d'énergie et de temps, qu'il devient évident qu'il y a une crise qui ne fait que trop durer et qu'il serait préférable d'en abréger la lente souffrance qu'elle impose. Ce n'est que lorsque la situation devient plus nette que l'on peut dire que le brouillard dense de l'incertitude commence à disparaitre pour laisser entrevoir d'autres contextes plus ouverts pour tous, ceci quelle que soit l'attitude initiale face à la rupture du couple enfin actée. Il devient alors presque évident que la principale leçon à retenir, tout comme un passage initiatique décisif, c'est de comprendre qu'une séparation dont chacun assume sa responsabilité apportera paradoxalement la satisfaction d'en avoir surmonté les épreuves, d'en être enfin sorti pour que chacun retrouve une liberté en dehors de cette crise enfin terminée. Là où chacun retenait son souffle vital à ne plus pouvoir respirer, parfois à la limite de l'apoplexie, chacun retrouve dans ce "changement d'ère" un nouvel oxygène symbolique, dans une alchimie à venir pour construire d'autres éléments existentiels catalysés par un libre arbitre personnel enfin restitué et avec de neuves perspectives bien dégagées.
La question se pose alors en ces termes : faut-il oui ou non parfois accélérer une rupture par des moyens dignes d'interférer positivement dans le contexte en présence ? Cette première question en entraine une deuxième tout aussi cruciale et inverse : doit-on toujours espérer tout de même (pour celui ou celle qui y tient) retenir l'amour et tenter de croire dans le retour de l'être aimé ? Deux questions, deux réponses qui seront bien évidemment intégralement dépendantes de chaque contexte, de chaque personne impliquée, de la causalité et des effets, et enfin des buts réels recherchés car une crise de couple même au bord de la rupture n'est pas forcément une rupture en soi mais parfois le signe distinctif que le couple, entité intrinsèque formée de deux individualités, doit changer d'attitude au-delà de l'Ego de chacune de ses parties, ce qui demeure une prouesse, un effort consenti et réciproque à concevoir mais aussi à appliquer. En cela un praticien initié formellement aux "affaires du couple" pourra répondre de manière à la fois sûre et consensuelle avec des arguments d'une nature plus subtile que l'analyse profane, une analyse certes hermétique au plus grand nombre mais dont l'essence ésotérique saura dissiper toute fausse certitude, saura expurger le mal du fruit pour en récolter l'ultime sagesse à envisager pour le couple.
D'un point de vue ritualistique, donc basé sur des rituels de magie (ici précisément en "Magie Rouge"), il existe certes à la fois un "rituel de séparation" qui permet d'envisager une grande accélération de la rupture avec des perspectives plus heureuses que celles subies en cas d'inertie de la situation, mais il existe de même des rituels de "retour de l'être aimé" ou "rituel de retour d'affection" qui permettent dans ce sens de resserrer des liens distendus, de tenter de contrer efficacement une crise de couple et d'éviter une rupture inadéquate. Étant praticien avec une très longue expérience de ces types de choix et d'orientation à trancher, c'est toujours en accord avec la sphère dite karmique des personnes concernées qu'il faut en analyser précisément les contours dont se dégageront des décisions justes et sages, efficaces et harmonieuses pour chacun en tenant en compte des futurs envisageables et des missions de vie concomitantes, ceci dans un esprit apaisé et équilibré ayant pesé le pour et le contre avec les entités respectives attenantes. C'est un travail difficile mais passionnant !
Je vous propose d'en discuter librement si vous avez des questions ou des demandes à formuler, aussi n'hésitez pas à me contacter sans attendre car le temps est un ennemi invisible qui n'arrange généralement aucune crise, encore moins celle des couples. À très bientôt, voyez simplement mes informations ci-dessous sur ma bannière pour me joindre rapidement !
Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel
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