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Blog chaman ésotérisme

Blog chaman ésotérisme

Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

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En général, tout le monde préfère les belles histoires qui finissent bien : "ils se marièrent, comblés de bonheur et heureux, ils eurent beaucoup d'enfants et vécurent très longtemps ensemble". Dans la vraie vie on a tendance à dire plutôt que "les histoires d'amour finissent mal, en général"… Par conséquent il serait assez raisonnable qu'un juste milieu existe entre ces deux maximes trop optimiste pour l'une et inversement pour l'autre, et c'est a contrario du profane que l'initié peut éclairer cette voie, non pas celle du "trop juste milieu" tel que les taoïstes l'expriment sagement, mais d'autres chemins divers, dynamiques et originaux pouvant aborder ce thème des liens amoureux, et, de ceux qui parfois se dissipent pour le meilleur ou pour le pire. Il est vrai que la séparation se voit habituellement abordée comme une catastrophe pour le couple, comme une rupture du fil de la vie ou bien une descente aux Enfers, pourtant cette vision dramatique n'est pas partagée par la majorité des initiés qui abordent la séparation effectivement comme une fin en soi mais avec ce renouveau visible à l'horizon des possibles, celui de cette roue qui tourne afin de recommencer un cycle, de débuter une autre histoire. Bien évidemment il est facile d'exprimer cette distanciation lorsque soi-même l'on est étranger à la situation, vue de loin, abstraitement avec un recul métaphysique, beaucoup diront qu'il est simpliste de tenir un tel discours si détaché. Alors, faut-il relativiser un point de vue plutôt qu'un autre ? Finalement il est intéressant de dresser un tableau et de le regarder sous différents angles pour mieux en appréhender la portée et la signification réelle, la "séparation amoureuse" devient une toile maîtresse à décrypter de manière plus ésotérique et profonde que le seul regard rapide qui juge sans comprendre et rejette immédiatement toute explication plus aboutie.

Dans un premier temps, doit-on dire que lorsqu'un couple se sépare les deux conjoints en ont pris calmement la décision ? Statistiquement il est assez rare qu'une telle entente soit plausible bien qu'elle existe, il faudrait plutôt voir le plus souvent dans la décision de la rupture celle d'un des deux protagonistes qui, pour une raison qui le regarde, désire rompre les liens et vivre autre chose, ailleurs, seul(e) ou accompagné(e). Il y a donc dans la grande majorité des cas une séparation difficile à mettre en oeuvre avec de fortes dissensions ou pire une sorte de combat, d'un côté pour "retrouver sa liberté", de l'autre pour "garder un amour qui s'éloigne" et le fait savoir. Dans cette perspective abrupte et explosive l'on peut assurément dire trivialement que "cela va mal se passer" et qu'il en restera des séquelles des deux côtés puisqu'une telle opposition apporte effectivement son lot de stress et d'entropie déstructurante, pour ne pas dire destructrice. Pourtant, et pour revenir à ces autres horizons post-rupture, chacun devrait savoir, souvent pour l'avoir peut-être déjà vécu une fois déjà, que cette séparation aboutira à la liberté (toute relative selon les contextes) des deux personnes qui pourront alors suivre leur propre voie existentielle, la séparation représentant ici de facto une épreuve initiatique majeure aboutissant toujours à de nouvelles situations rejetant l'inertie conflictuelle précédente pour aller de l'avant, parfois à marche forcée il est vrai, mais néanmoins avec des espoirs de renouveaux certains à plus long terme.

C'est bien quand la rupture n'en finit pas de durer, quand les liens ne se coupent pas d'eux-mêmes simplement et radicalement mais au contraire se déchirent jour après jour comme un lent et inexorable pourrissement que la situation est la plus difficile à vivre, qu'elle implique de parts et d'autres une grande perte d'énergie et de temps, qu'il devient évident qu'il y a une crise qui ne fait que trop durer et qu'il serait préférable d'en abréger la lente souffrance qu'elle impose. Ce n'est que lorsque la situation devient plus nette que l'on peut dire que le brouillard dense de l'incertitude commence à disparaitre pour laisser entrevoir d'autres contextes plus ouverts pour tous, ceci quelle que soit l'attitude initiale face à la rupture du couple enfin actée. Il devient alors presque évident que la principale leçon à retenir, tout comme un passage initiatique décisif, c'est de comprendre qu'une séparation dont chacun assume sa responsabilité apportera paradoxalement la satisfaction d'en avoir surmonté les épreuves, d'en être enfin sorti pour que chacun retrouve une liberté en dehors de cette crise enfin terminée. Là où chacun retenait son souffle vital à ne plus pouvoir respirer, parfois à la limite de l'apoplexie, chacun retrouve dans ce "changement d'ère" un nouvel oxygène symbolique, dans une alchimie à venir pour construire d'autres éléments existentiels catalysés par un libre arbitre personnel enfin restitué et avec de neuves perspectives bien dégagées.

La question se pose alors en ces termes : faut-il oui ou non parfois accélérer une rupture par des moyens dignes d'interférer positivement dans le contexte en présence ? Cette première question en entraine une deuxième tout aussi cruciale et inverse : doit-on toujours espérer tout de même (pour celui ou celle qui y tient) retenir l'amour et tenter de croire dans le retour de l'être aimé ? Deux questions, deux réponses qui seront bien évidemment intégralement dépendantes de chaque contexte, de chaque personne impliquée, de la causalité et des effets, et enfin des buts réels recherchés car une crise de couple même au bord de la rupture n'est pas forcément une rupture en soi mais parfois le signe distinctif que le couple, entité intrinsèque formée de deux individualités, doit changer d'attitude au-delà de l'Ego de chacune de ses parties, ce qui demeure une prouesse, un effort consenti et réciproque à concevoir mais aussi à appliquer. En cela un praticien initié formellement aux "affaires du couple" pourra répondre de manière à la fois sûre et consensuelle avec des arguments d'une nature plus subtile que l'analyse profane, une analyse certes hermétique au plus grand nombre mais dont l'essence ésotérique saura dissiper toute fausse certitude, saura expurger le mal du fruit pour en récolter l'ultime sagesse à envisager pour le couple.

D'un point de vue ritualistique, donc basé sur des rituels de magie (ici précisément en "Magie Rouge"), il existe certes à la fois un "rituel de séparation" qui permet d'envisager une grande accélération de la rupture avec des perspectives plus heureuses que celles subies en cas d'inertie de la situation, mais il existe de même des rituels de "retour de l'être aimé" ou "rituel de retour d'affection" qui permettent dans ce sens de resserrer des liens distendus, de tenter de contrer efficacement une crise de couple et d'éviter une rupture inadéquate. Étant praticien avec une très longue expérience de ces types de choix et d'orientation à trancher, c'est toujours en accord avec la sphère dite karmique des personnes concernées qu'il faut en analyser précisément les contours dont se dégageront des décisions justes et sages, efficaces et harmonieuses pour chacun en tenant en compte des futurs envisageables et des missions de vie concomitantes, ceci dans un esprit apaisé et équilibré ayant pesé le pour et le contre avec les entités respectives attenantes. C'est un travail difficile mais passionnant !

Je vous propose d'en discuter librement si vous avez des questions ou des demandes à formuler, aussi n'hésitez pas à me contacter sans attendre car le temps est un ennemi invisible qui n'arrange généralement aucune crise, encore moins celle des couples. À très bientôt, voyez simplement mes informations ci-dessous sur ma bannière pour me joindre rapidement !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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Un titre un peu provocateur mais qui illustre bien le propos puisque nous vivons dans un monde chaotique et dynamique, disons-le clairement pour ceux qui ne le sauraient pas encore, par conséquent le Diable (ou ses nombreux acolytes) est un peu partout et nous entoure dans presque toutes nos actions, de loin ou de plus près, selon votre attitude et les pensées qui accompagnent vos actes. N'oublions pas que tout est "une histoire de volonté", volonté d'agir dans un sens ou dans un autre, pour soi ou pour autrui, c'est-à-dire une volonté placée à un niveau vibratoire correspondant à votre "état d'esprit" associé à l'intention qui s'y attelle. Il est donc simple de se dire et d'ailleurs de constater que ceux qui ont une prédisposition pour la peur attireront la peur, ceux qui s'orienteront vers un mal nécessaire se verront comme aimantés par lui, inversement il existe aussi de bonnes actions initiales qui se terminent mal, comme quoi rien n'est si simple à ce stade et tout est finalement relatif à soi, aux autres et au contexte en présence comme j'ai l'habitude de le souligner… Alors, que penser du fait de vouloir "commercer avec le Diable" ? Une expression digne de l'époque de l'inquisition où l'on pouvait finir sur un bûcher à la simple évocation du Malin, ceci pour votre Bien, évidemment, encore que cela devienne tout aussi relatif de finir en cendres pour le Bien, oui mais finalement le Bien de qui…

Mais revenons à notre époque "plus moderne", celle où l'on finit aussi en cendres assez rapidement en se promenant simplement dans certains pays en guerre, comme quoi rien n'a vraiment changé, le Diable est dans ces détails que l'on à tendance à oublier ou à vouloir omettre sans trop de contraintes mentales pour ne pas voir ce Mal qui environne le Monde, celui dont les humains sont assez forts pour se l'infliger eux-mêmes, sans aucune "aide extérieure", du moins en apparence seulement. Dans ce sens nous savons que si le monde "tourne mal", il tourne quand même et cela reste un exploit considérable si l'on pense au nombre de fois où nous avons eu l'occasion de réduire la planète à néant, mais nous avons encore le temps de saborder le navire avec en plus cette capacité aujourd'hui de savoir consciemment que cela est possible, de plusieurs manières, guerre nucléaire globale, guerre bactériologique totale, ou bien plus basiquement et aussi plus lentement comme un supplice chinois : à force de scier la branche sur laquelle nous sommes assis à coup de surconsommation ultime des ressources planétaires, de la pollution de l'environnement, de la perte de toute biodiversité et enfin, pour finir en véritable apothéose, le grand cataclysme du dérèglement climatique qui tel le déluge nous anéantira tous ! Mais restons optimistes, même le Diable ne veut pas que nous disparaissions de la surface de la planète, sinon il n'aurait plus rien à faire, par conséquent nous avons un avenir, certes compliqué mais encore existant, avec la complicité de toutes les entités, bonnes ou moins bonnes, c'est le système qui le veut, et nous avons déjà signé le contrat pour jouer à ce jeu !

L'initié le sait et le profane commence à le comprendre aussi, dans ce jeu de la vie, celui qui impose une règle de l'existence pour évoluer selon une orientation désirée ou subie, qui implique des passages obligés, des cases à cocher sur le contrat passé. Et sachons reconnaitre que les points de passage initiatique ne sont pas tous systématiquement orientés dans un seul sens du Bien, chacun doit aussi assimiler le Mal pour le reconnaitre et s'en prémunir pour soi ("charité bien ordonnée") ou pour autrui plus accessoirement si cela est aussi possible. Par conséquent le Bien et le Mal sont indissociables pour paradoxalement pouvoir se départager et se situer l'un à l'autre du côté de l'échiquier, soit l'on joue avec les pièces blanches soit avec les noires, mais l'on peut aussi choisir à tout moment de retourner le plateau puisque l'expérience du jeu se joue finalement seul dans cette volonté de voir bouger toutes les pièces existentielles alternativement avec plus ou moins de bonheur ou de chance. Ainsi, chacun joue l'ensemble de la partie des deux côtés, le choix est celui du libre arbitre apparent bien qu'il existe effectivement un véritable maître du jeu, celui qui impose que l'on joue chaque pièce ou pion alternativement selon un déplacement précis, celui qui rappelle à chaque instant que l'on ne peut transgresser les lois de la matière tant que l'on y est lié. Finalement le mal serait de ne pas faire attention à ces lois, par exemple de vouloir tester la chute de son propre corps depuis le dixième étage, cela se terminerait alors effectivement a priori assez "mal".

Dans une autre perspective plus ésotérique cette fois, plus complexe aussi : un "pacte démoniaque" est-il une transgression de ces lois ou pas ? Rappelons rapidement qu'il est possible, pour un praticien réellement expérimenté, de faire appel à des entités dites (par convention) foncièrement "maléfiques" pour régler un problème, ceci souvent de manière radicale, brutale ou dangereuse, voire les trois en même temps. Il devient alors clair qu'utiliser de tels rituels de magie noire, puisque c'est ici la bonne dénomination, sera une ultime finalité, un coup risqué mais puissant et décisif sur l'échiquier de la vie, une orientation certes négative mais finalement peut-être aussi nécessaire pour que la partie prenne une tournure où une réponse s'impose pour en accomplir une action tout aussi puissante en retour et ainsi passer un cap initiatique crucial, cocher une case du contrat, trouver une solution existentielle fiable en surmontant la problématique proposée. Un monde sans aucun problème serait à l'image d'un encéphalogramme plat, une mort cérébrale sans objectif ou perspective, alors que chaque embûche, que chaque pas, même risqué, demande une attention pour marcher si possible sans tomber et aller dans une direction que l'on choisit volontairement avec les moyens mis à disposition. De cette façon, parfois en secouant un peu l'échiquier et toutes ses pièces, l'on peut aboutir à un résultat probant avec effectivement des moyens peu conventionnels, c'est ici le seul but valable d'une telle utilisation de la magie noire : faire trembler l'échiquier pour réinitialiser la partie ou en redéfinir le paysage pour trouver d'autres chemins enfin débloqués après que les murs qui en interdisaient l'accès se soient écroulés en offrant ainsi de nouvelles perspectives à tous les protagonistes.

Donner un grand coup de pied dans la fourmilière bien sage et bien ordonnée reste en apparence un acte malicieux, délictueux au sens karmique du terme, ou pire, délibérément destructeur, mais il générera ainsi une essentielle reconstruction avec des potentialités de pouvoir faire encore mieux qu'avant, de dépasser ce qui avait été réalisé précédemment, d'innover dans une plus large mesure pour véritablement évoluer : il faut parfois détruire pour mieux rebâtir, il faut parfois chuter pour apprendre à se relever plus fort encore, c'est ici tout le mérite du Mal que d'accomplir sa vocation première, celle d'inciter à tourner l'ancienne page afin de pouvoir enfin écrire la suite de l'histoire sur la suivante et débloquer une situation atone, une vocation paradoxale encore une fois d'initier in fine le Bien. L'un et l'autre, Bien et Mal, sont assurément deux faces d'une même pièce initiatique que nous avons tous en main propre, aller dans ce sens du mouvement, de la "ré-volution", n'est donc pas une alternative intégralement négative dans son bilan : très souvent le Pacte Démoniaque accélère une situation qui de toute façon aurait par elle-même fini par dégénérer de manière plus lente et beaucoup moins dynamique dans son ressort final, ceci par effet d'interaction inverse qui fait tourner la roue, après la mauvaise la bonne fortune, le tarot illustre d'ailleurs cet arcane majeur.

Comme nous le voyons, "commercer avec le Diable" par l'intermédiaire d'un Pacte dit Démoniaque n'est qu'une expression qui entraine une réflexion plus poussée sur non seulement l'origine du Mal mais aussi et surtout sur sa fonction qui n'est pas à séparer de son contrecoup positif comme je viens de l'exposer. Aussi, en qualité de chaman en exercice, certaines situations en complète inertie et dont rien ne semblent se dégager, ni de bon ni de mauvais, se voient dynamiser par ce type de travaux puissants qui agissent comme un stimulus nécessaire, comme la tempête qui va finalement souffler très fort dans les voiles d'un navire pour lui donner une nouvelle impulsion pour enfin avancer. N'hésitez pas à me poser des questions, je sais par expérience que le thème de cet article ne fait pas l'unanimité quant à l'angle sous lequel il faut en percevoir les trajectoires, je vous ai exposé ce à quoi de nombreuses années m'ont amené à penser et je reste à votre disposition pour approfondir la question, voire pour vous proposer si besoin ce type de rituel. Pour me contacter merci de suivre ma bannière ci-dessous, à très bientôt et "n'ayez pas peur !" (Paroles emblématiques de Jean-Paul II).

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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