Le "Diable est discorde", le "Diable est division", il est à la racine du "Solve et Coagula", c'est-à-dire de la dissolution et inversement de la cristallisation, non seulement de la matière mais aussi de l'esprit des hommes pour les diviser et ainsi régner. Ce point de vue est largement partagé à la fois au sein de l'église et de l'ensemble des initiés de toutes obédiences, qu'ils soient sorciers, chamans ou mages, mais bien souvent l'on voit dans l'appellation même du Diable une formule facile qui permet de rassembler pèle-mêle tous les maux de l'humanité dans une sorte de boîte de Pandore constamment ouverte. Au Saint-Siège une vive polémique a réussi à faire surface aux plus hauts échelons de l'Église puisque le Pape François et le Père Arturo Sosa (appelé aussi le "Pape Noir", Supérieur Général des Jésuites) ont tous deux une vision bien différente de ce Diable, lequel sur ce point réussit à diviser sur son propre sujet, forcément fort brûlant…
Pour en venir plus directement à la polémique : le Pape François souligne pour répondre à son interlocuteur (je cite) que "L'on a fait croire que le Diable est un mythe, une image, l'idée du mal. Mais le Diable existe et nous devons lutter contre lui. La parole de Dieu le dit. Et pourtant, nous n’en sommes pas vraiment convaincus". Ces quelques mots pour contrecarrer les paroles plus légères du Père Arturo Sosa qui déclare que (je cite encore) "Nous avons fabriqué des figures symboliques comme le diable pour exprimer le mal. Le conditionnement social peut aussi représenter cette figure, dès lors qu’il y a des gens qui agissent mal car ils se trouvent dans un environnement où il est difficile d’agir en sens contraire".
Bien évidemment les paroles du "Pape Noir" (qui semble affirmer que c'est l'Église qui a "inventé" le Diable ou du moins sa symbolique) font jaser au coeur de l'institution mais bien au-delà et le Pape François, pourtant issu lui aussi des institutions Jésuites, réaffirme sa réalité en soulignant que "le Diable est un menteur, et se cache derrière des explications humanistes" et en rappelant une parole de l’apôtre Paul : "nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les princes de ce monde de ténèbres". Ainsi, la vision du Diable est multiple et selon la Bible Satan n'est finalement nul autre qu'un Ange déchu ne voulant suivre que son Ego et se libérer des cercles célestes. Mais c'est sur la réalité du Diable en qualité de véritable entité agissante avec ses "princes" (ses démons) que le Pape François à voulu s'opposer à une vision plus simpliste et contextuelle, bien trop pragmatique pour le représentant de l'Église.
Cette polémique sur les forces du mal et sur celui que l'on nomme le Diable (ou Lucifer, Satan, etc.), donne ici le ton ambigu et flou de notre époque qui arrive à corrompre la notion même de ce mal absolu en le relativisant avec des réponses très terre-à-terre alors quelles devraient au contraire prendre de la hauteur et ne pas se dissimuler derrière la banalité des maux de notre quotidien. Les initiés savent parfaitement pour parfois s'y être un peu trop frottés via des rituels de magie noire, que le Diable n'est pas un simple symbole ou une notion métaphysique, mais qu'il existe en envoyant ses démons qui savent parfaitement s'incarner en prenant possession d'individus bien réels. Notons enfin pour parachever ce point de vue que le Vatican communique sur une inquiétante hausse des exorcismes depuis quelques années…
Dans un autre registre encore plus inquiétant, le Vatican vient d'ouvrir en ce mois de Juin 2017 une enquête officielle sur une secte au sein même de ses "dignes" représentants qui auraient conclu un "pacte avec le Diable" visant la mort du Pape François… Autant dire que si la corruption des âmes gagne au plus haut point les notables de l'Église c'est qu'il y a effectivement du chaos dans l'air du temps et que le Pape se doit de remettre rapidement de l'ordre en paroles et en actes ! Bien loin de ces hommes d'Église, les initiés qui sont détachés de tout dogme religieux en ne respectant que les Grandes Lois ésotériques qui guident leurs travaux, savent parfaitement que les entités démoniaques existent bel et bien et qu'ils se doivent de s'en garder, de s'en protéger et d'en informer les profanes.
Pour ma part je reste convaincu de cette dualité du Bien et du Mal tout en laissant le curseur au libre choix de chacun, sachant que chaque point de vue n'est finalement valable que selon d'où l'on se place pour l'observer, d'où l'importance du "contexte". Le Libre Arbitre est d'ailleurs une notion fondamentale en ésotérisme qui reste aussi acceptée par la majorité des religieux, notamment par l'Ordre des Jésuites, ce qui met d'accord et réunit ici sur ce point tout de même nos deux Papes, le blanc et le noir !
Dans mon activité professionnelle en qualité de Chaman, j'ai pu constater de multiples fois l'action malfaisante et chaotique d'entités démoniaques agissant directement dans notre sphère quotidienne en détruisant parfois des vies ou des relations humaines. C'est cette faculté de pouvoir aider en utilisant mon savoir-faire et mon don qui m'a permis d'accomplir mon destin de Chaman et d'en faire une profession pleinement satisfaisante. Jongler avec le Bien et le Mal fait partie de mon quotidien de par les rituels que j'accomplis pour résoudre les problématiques que l'on me présente et je reste à votre disposition si vous-même avez besoin de cette aide.
Pour me joindre directement : par téléphone aux 01.43.48.83.01 ou 06.09.11.94.56 (numéros directs et non surtaxés) ou bien par écrit en m'envoyant un message (auquel je réponds toujours) depuis mon formulaire de contact en cliquant sur ma bannière web ci-dessous. À très bientôt et suivons notre libre choix d'utiliser la puissance de la Magie pour s'affranchir des maux dont nous sommes affublés et les éloigner… "Vade retro satana" !
Jean-Pascal BRUNO