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Blog chaman ésotérisme

Blog chaman ésotérisme

Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

entites

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En matière de relations amoureuses ou de problématiques de couple, le domaine est si vaste que toutes les magies sont effectivement intimement impliquées, mais il en est une qui se détache de loin puisqu’elle cible au plus près la plupart des demandes, c’est la Magie Rouge. Néanmoins, loin d’être uniquement des magies annexes ou moins adaptées, la magie blanche ainsi que la magie noire auront aussi toutes deux d’importantes applications dans des contextes plus complexes ou plus difficiles liés au relationnel. Pour rappel, la magie rouge est totalement spécifique au domaine de l’amour, des sentiments, de la sexualité et du désir, donc l’on pourrait a priori s’en contenter pour résoudre ces grandes orientations dont on sait qu’elles sont une priorité pour la majorité des gens qui désirent améliorer leurs relations amoureuses ou bien trouver un nouvel élan dans leur couple. Pour autant, la magie blanche reste nécessaire dans ces situations où l’on doit aussi en amont plus ou moins "réparer" une relation en berne, avec un apport d’énergie ou de soin énergétique, tandis que pour la très polémique et dangereuse magie noire l’on pourrait assurément avec raison s’en méfier si l’on doit parler d’amour alors que son axe principal d’action se situe plutôt sur une assez singulière voie de destruction et de détournement, voire d’emprise négative ou d’appel d’entités peu recommandables…

Ce tableau, dressé rapidement en termes de différentes magies, s’apparente à celui qu’aurait un bon novice en la matière ou bien un non-initié relativement bien informé, ce qui serait déjà une belle avancée en ésotérisme pratique ou en magie opérative tant l’ensemble de cette discipline est à la fois complexe à comprendre à tous les niveaux mais aussi difficile à appréhender en ce qui concerne les véritables connaissances trop souvent perçues de manières superficielles ou totalement erronées (il existe en effet beaucoup d’ouvrages d’initiation, peu sont fiables ou très explicites pour qui voudrait s’informer réellement). Notons enfin que la magie demeure aussi un Art, tout comme le sculpteur, à chaque avancée sur son œuvre il en comprendra encore mieux la portée en pratiquant tout en sachant qu’à tout moment il pourrait casser le marbre en orientant mal ses outils sur l’ouvrage. L’expérience, longue et laborieuse est ainsi la plus utile, véritable partenaire du parcours de celui ou celle qui s’aventure sur le chemin de la magie qui comporte ses signes, ses directions, ses interdits mais aussi à chaque instant d’insoupçonnables potentialités mises à disposition pour qui sait opérer.

Dans cette perspective, et pour les initiés de haut niveau, les frontières entre les différentes magies citées n’existent qu’en apparence, de manière purement normative et presque fictive, bien au contraire elles se fondent et s’interconnectent, elles ne s’excluent pas, elles coopèrent, entre la relativité d’un probable chaos et d’un ordre en inertie vers l’instabilité, en équilibre entre le survol et la chute. Le point de vue est crucial, l’analyse pas toujours rationnelle et la réponse parfois paradoxale pour arriver au but recherché. Ainsi, certains rituels de magie tombent sous le sens et adviennent au bon moment alors que d’autres rituels plus sulfureux en apparence sont la véritable solution au problème en question. La règle en magie est donc qu’il n’y a pas de règles écrites, elles s’écrivent au fil du temps et des situations, elles gravitent là où parfois on ne les attend pas. Dans cet ordre d’idées l’invocation d’entités, supposément en magie noire, pourra résoudre des problématiques amoureuses ou bien rééquilibrer des relations de couple, ainsi rien n’est interdit, seule la bonne pratique de ces divers équilibres saura rétablir la volonté de voir advenir une situation plutôt qu’une autre.

Le retour d’affection d’un mari qui veut que sa femme revienne, ou l’inverse, qu’une femme désire que son mari lui soit fidèle, deux cas typiques de travaux en magie rouge qui pourront aussi trouver des solutions via d’autres types de rituels plus élaborés par l’invocation d’entités spécifiques pouvant plus radicalement porter cette volonté de retour de l’être aimé, même si les moyens mis en œuvre pourraient paraitre au premier abord des plus incertains, voire dangereux. Le violent coup de burin du sculpteur n’en est pas moins celui qui détache la pierre pour en faire apparaitre la matière désirée, le but de l’œuvre finale recherchée. Déjà en magie rouge, l’utilisation de ce que l’on appelle les dagydes (sortes de poupées vaudoues à l’effigie du partenaire ou de la personne à cibler) pourrait assez facilement sentir le souffre pour la classer en magie noire, pour autant cet "envoûtement amoureux" ne fait pas frémir les demandeurs si les résultats sont au rendez-vous… En matière de vaudou pourtant nous pourrions nous retrouver en plein territoire de la magie noire, avec des invocations d’entités jouant avec la représentation issue de la dagyde pour instiller une volonté de rapprochement (entendre "de retour affectif").

La puissance des rituels d’invocation n’est plus à démontrer, elle assure une aide extérieure certes très ambiguë, mais elle cible le problème véritable tout comme le ferait le laser sur une tumeur à supprimer. L’on ne s’attaque pas aux maux d’un problème sans utiliser une puissance au moins égale à disposition, celle de la magie noire et de ses entités disponibles peut donc s’avérer la plus efficace à entreprendre lors de travaux de magie si ceux-ci en requièrent l’utilisation. Bien entendu il existe toute une graduation dans cet équilibre des marches à emprunter pour arriver à s’élever jusqu’à la meilleure solution, à chaque situation et contexte l’on devra apparenter un mode opératoire en bonne adéquation, il ne s’agit pas d’envoyer un bulldozer contre un mur pour enfoncer un simple clou ! C’est justement à ce niveau de compétence que l’on appréciera l’initié et le praticien en haute magie de tout autre qui ne saura pas trouver l’exact étalonnage en matière de rituel, notamment dans ce domaine si précis de l’Amour et des relations humaines.

Sur ce point n’oublions pas qu’en ce qui concerne lesdites entités en question, toutes ne sont pas foncièrement négatives, par contre elles disposent néanmoins d’une incommensurable puissance qui parfois pourrait "dépasser le cadre du sujet", c’est-à-dire en d’autres mots, qu’un sorcier pourrait, s’il n’était pas assez avisé dans l’utilisation de ses propres capacités, se voir totalement dépassé durant les travaux et ne plus rien contrôler et effectivement mettre en danger les personnes qu’il doit aider… C’est surtout dans cette perspective de risque et de potentiel danger que la très grande majorité des praticiens se contentent uniquement de la magie rouge et délaissent la délicate frontière d’une magie noire qu’ils ne maitrisent pas toujours dans ses nuances de tonalités. En qualité de sorcier-chaman, je connais les risques de cette très efficace magie d’invocation, je dispose aussi pour ce faire et si nécessaire de rituels d’encadrement et de protection afin de pouvoir en proposer la pleine puissance sans en dépasser les limites imparties, lesquelles nous imposent de suivre les Grandes Lois universelles que tout initié de haut niveau doit impérativement connaître ! Je reste bien évidemment à votre disposition pour toute question sur les rituels d’invocation en amour.

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #magie noire, #travaux de magie, #Rituels de magie, #jean pascal Bruno, #Esoterisme, #Sorcier chaman, #entités, #haute magie

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Les dénominations des magies, rouge, blanche, noire et même parfois verte, bleue ou pourpre, peuvent parfois être assez contradictoires ou obscures pour les profanes mais il faut savoir que même chez les initiés ces qualificatifs ne sont perçus que comme des notions purement conventionnelles et n’apportant pas toujours la plus grande des clartés ou une vérité absolue de ce qu’elles représentent exactement, et ceci à juste titre. En effet, et par exemple, qu’en est-il d’une magie dite blanche, donc sensément positive et axée sur le soin, sur la divulgation (la révélation) et sur l’apport d’énergie, alors qu’elle sera assurément bénéfique pour une personne en ayant eu la satisfaction d’en avoir eu recours en connaissant une vérité cruciale sur une situation, alors que d’un autre côté, cette même magie aura apporté à une autre personne cette même révélation de vérité avec la venue de multiples déboires provenant de ce dévoilement dans cette même exacte situation ? Comme nous le voyons, même la plus anodine des magies, la plus positive en soi aura sa propre part d’ombre portée par la face cachée de l’envers visible de sa médaille étincelante. Comme le dit l’initié de haute magie : chaque situation pourra être perçue différemment, voire inversement, selon la position relative d’où on la regardera, selon l’angle de vue qui y sera porté, selon l’intensité toute relative qui permettra ou non d’entamer la superficialité d’une vérité sous la surface d’une réalité simplement visible. Il en ira de même des méthodologies utilisées en magie, donc des rituels qui y seront associés et par conséquent des typologies des magies intégrées dans les travaux. En d’autres mots, les magies telles qu’elles sont présentées de manières simplifiées ne sont pas toujours celles que l’on pourrait penser ou croire ni celles qui auront les effets escomptés en fonction de l’attente de leur dénomination initiale.

En magie d’ailleurs, tout est presque question de dévoilement de secrets ou d’interprétation de situations pour agir en conséquence, tout peut donc être lumineux et positif lorsque l’on regarde le soleil mais d’autant plus ténébreux si l’on se retourne pour percevoir l’ombre portée par cette même lumière : l’obscurité n’existerait pas sans cette même éclatante luminosité, et inversement, de même le Bien tel qu’il est envisagé et sensiblement perçu n’existerait pas sans sa ténébreuse part contraire que représente le Mal. L’un sans l’autre ne signifie rien, c’est de la toute relativité de leur éloignement ou proximité que l’on pourra juger de leur puissance relative, en bien ou en mal, selon des principes basiquement humains en fonction de curseurs éthiques ou moraux à géométries variables en fonction des époques, les traditions et les zones géographiques correspondantes. Ainsi, la plupart des rites animistes des sociétés dites primitives, lesquels sont généralement d’ordre sacrificiel, seront qualifiés comme autant de rituels dignes de figurer dans le registre de la magie noire au regard de nos sociétés dans presque toutes les obédiences magiques modernes ou contemporaines. Le sacrifice, c’est-à-dire le don du sang versé ou bien sa représentation symbolique, se rapporte presque directement au domaine de la sorcellerie avec ses rituels destructeurs, sortilèges, malédictions et autres sorts délétères. Pourtant, dans un registre plus naturel le sang représente aussi une vision physiologique de la vitalité et de l’énergie, à l’exact opposé de la mort et de la destruction… Comme nous le voyons, tout reste relatif encore une fois selon le "sens" que nous donnons, mais aussi selon l’autre sens, c’est-à-dire le positionnement initial sur une même notion, que l’on soit du côté face ou bien du côté pile. Et il est très rare qu’une pièce tombe sur la tranche et y reste bien longtemps…

Alors qu’en est-il de la magie noire exactement avec cette notion fondamentale de relativité du bien et du mal ? L’application des rituels sera-t-elle perçue uniquement selon l’axe du Mal ou sous d’autres angles moins extrêmes ou radicaux ? Enfin, cette magie noire aura-t-elle ses propres limites dans son application et surtout des risques non seulement pour le praticien qui opère mais aussi pour le demandeur, initiateur et commanditaire ? Ces questions sont presque toutes intimement liées, elles ne prennent sens que lorsque l’on replace dans un contexte spécifique les travaux de magie pour en percevoir la réelle portée, les limites qui en bornent l’horizon des possibles, ainsi que les éventuels risques à envisager (et donc à déjouer). Demeure aussi le mode opératoire de cette même magie noire dont les rituels s’apparentent plus à des invocations d’entités qu’à de simples évocations de forces élémentaires ou primordiales au service de ceux qui les appellent… Notons qu’en magie noire lesdites entités ne sont pas naturelles ou purement terrestres mais proviennent plus généralement de régions dimensionnelles normalement inaccessibles au commun des mortels puisque les travaux de magie noire s’exercent selon des processus cérémoniels où une assemblée (de sorciers ou d’assistants) associe la puissance nécessaire pour non seulement ouvrir une brèche vers cette dimension mais aussi en encadrer ce qui en sort pour en maîtriser le potentiel immensément magique qui se présente. Ainsi, même si c’est effectivement un praticien expérimenté qui sera le contact d’un commanditaire désirant des travaux de magie noire, il est assurément clair qu’il ne pourra jamais agir seul mais sera secondé par plusieurs assistants expérimentés, autant qu’il en faudra nécessairement en fonction de l’importance de la tâche à effectuer ou de l’ampleur de "la solution" à trouver.

Ce n’est pour ma part qu’avec une assemblée constitue de fidèles assistants, pour la plupart d’un excellent niveau, que je me prononce en amont d’une part sur la faisabilité des travaux de magie noire, d’autre part sur l’exact processus et parcours à effectuer pour réaliser avec la pleine et entière maîtrise l’ensemble de ces travaux de A à Z, du début à la fin de ceux-ci, puisque et il faut le souligner : des travaux de magie noire engagés ne peuvent pas être interrompus sans avoir été finalisés, ceci est une règle de haute magie dont il faut instamment informer le demandeur pour que justement personne ne court un danger (chocs en retour maîtrisés) dans cette manœuvre délicate qui pourrait s’illustrer ou s’imager à un plongeon du haut d’une falaise (l’on n’arrête pas le mouvement amorcé). Les champs d’application de la magie noire sont aussi bien entendu la toute première des préoccupations lorsque l’on me soumet une problématique, ainsi rien n’oblige l’utilisation d’une puissance démesurée si l’on peut avant tout y remédier avec d’autres moyens plus adaptés, tels que ceux qu’offre les magies plus conventionnelles (mais certes aussi moins radicales) que la magie blanche qui s’axe principalement sur le bienfait d’une énergie vitale amplifiée et sur ses rituels de révélation qui sont à la base de la plupart des résolutions classiques, de même pour la magie dite rouge par convention qui aura comme "périmètre" celui de l’amour, des relations sexuelles et de la libido (avec effectivement toutes les problématiques liées à ce domaine : jalousie, infidélité, impuissance, etc.). Notons, pour la forme, qu’il existe une magie bleue (généralement associée dans bien des cas à la magie blanche) qui aura comme principale tâche la protection de la personne par des rituels du même nom. Idem en ce qui concerne la magie verte (souvent intégré à la blanche) qui utilisera les énergies élémentaires ou telluriques pour agir à des fins de soins ou de rééquilibrage.

Enfin, il existe, et ceci nous intéresse bien plus, une magie intermédiaire entre la magie rouge et la magie noire que l’on appelle "magie pourpre" par convention afin justement de mieux imager cette lisière infime qui vient parfois à orienter les travaux vers des rituels plus radicaux, voire brutaux dans leur formulation et faisant appel en dernier recours, uniquement en ultime nécessité, à des entités plus puissantes pour obtenir des résultats. La magie noire peut et même devrait se qualifier comme un recours utile dans certaines situations extrêmement difficiles où le demandeur est lui-même en danger initialement et par conséquent en urgence (à bien analyser tout de même) d’une action radicale pour contrer le Mal par le Mal. Cette possibilité d’utiliser la magie noire dans des cas d’urgence ou d’extrêmes complexités se doit d’être effectués avec la plus grande des prudences car comme vous le savez il ne faut jamais confondre vitesse et précipitation, c’est ici la règle d’or à suivre que de toujours effectuer les travaux par paliers successifs, tout comme le ferait notre plongeur (évoqué précédemment) pour remonter à l’air libre et réussir son action, du début à la fin sans dommage. Pour finir je tiens à préciser qu’il n’existe presque pas de limites dans les travaux de magie noire, seules sont les entités qui s’y associent (par la force de cohésion de l’assemblé) seront à la hauteur de la résolution de ce qui devra être effectué, par contre le piège réside dans la démesure des demandes et justement dans le fait qu’il n’existe pas de limite d’action de ces entités si on ne les maîtrise pas… Étant sorcier-chaman depuis plusieurs décennies maintenant, je reste assez expérimenté avec l’ensemble de mes assistants pour juger jusqu’où nous devons aller afin de ne pas tenter le diable, en sachant ceci : que le diable se cache non seulement dans les détails mais qu’il sait surtout nous faire croire qu’il n’existe pas ! Par conséquent : un sorcier expérimenté et bien averti par sa longue expérience en la matière en vaut largement dix !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

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Nous avons, généralement, une vision du monde avec ce sentiment de très grande complexité qui en émane et dont la logique humaine et ses diverses cogitations ne font que renforcer à l’extrême cet aspect à la fois confus et inextricable qu’ont les évènements à s’entrechoquer de manière compliquée selon des schémas souvent incompréhensibles à cette même logique. C’est ainsi, en effet, que la grande majorité des gens capte le monde par le biais d’une réalité entièrement reconstruite intérieurement par leurs facultés cognitives, lesquelles ont cette étonnante fonction d’accumuler consciemment mais aussi inconsciemment une immense foule d’informations hétérogènes pour tenter d’en construire une histoire, apparemment sensée à notre échelle, et par conséquent d’en accepter le résultat obtenu comme parfaitement conforme à la seule et unique vérité à concevoir. Pourtant cette vision profane du monde, et donc des choses qui nous entourent, est parfaitement fausse par définition puisque nous-mêmes ne sommes pas parfaits pour en élaborer une vérité totalement dénuée d’erreurs, que notre pouvoir de captation n’est que la résultante de sens que nous avons faillibles, et qu’enfin notre capacité d’analyse est elle-même grandement limitée, entachée d’inexactes interprétations et de convictions la plupart du temps notoirement infondées ou déformées.

Alors, comment oser comprendre que nous ne savons rien de ce que représente la Réalité, que nous ne voyons que l’illusion de celle-ci qu’à travers des filtres qui nous composent, et comment dépasser cette limitation qui nous empêche de voir l’invisible ou ce qui nous est caché ? C’est ici même la définition de l’ésotérisme que d’aller chercher ce qui semble parfaitement hermétique et occulté, d’aller au-delà de la superficialité qui nous subjugue par ses fausses images, par ses sons imprécis et ses ressentis infidèles, tel l’incohérent montage amateur d’un premier film d’auteur, forcément fictif,  simpliste et rudimentaire. De nombreux signes indiquent pourtant, qu’au-delà des limitations imposées par notre incohérence humaine à saisir l’entièreté de la Réalité, nous pouvons parfois à de rares instants percevoir l’envers du décor et les coulisses du film de l’existence, ce sont dans ces moments que surgissent, telles de surprenantes synchronicités (1), d’ultimes vérités auparavant cachées ou bien des portes qui s’étaient habilement dérobées à notre vue tronquée. Qui contrôle ces nouveaux espaces invisibles ou bien qui cherche à nous les dissimuler ? Et dans quel but malicieux ou bien inavoué ? Les initiés ont depuis des millénaires cherché ces réponses, elles sont à double tranchant, à la fois très proches de nous et si éloignées de nos concepts courants, elles appartiennent à ceux, qui humains ne veulent pas les dévoiler mais aussi à d’autres sphères qui nous en imposent le silence, chacun de ces deux pôles pour des raisons parfois diamétralement opposées…

Qu’il existe des mondes invisibles à nos sens, cela est démontré par la science et très communément admis, par contre ce qui l’est moins c’est que certains humains initiés à des pratiques "d’ordre magique" (pour utiliser à ce stade une tournure générique non différentiée) disposent de cette faculté, de ce don ou sixième sens si l’on veut, pour entrer en contact avec des environnements autrement inaccessibles au commun des mortels ainsi qu’aux entités qui peuplent ces nouveaux horizons. Qui sont ces initiés ? L’on pourrait épiloguer longuement sur toutes ces castes de sorciers, de magiciens ou de druides, voire de chamans pour tenter d’expliquer pour chacun leurs spécificités et leurs orientations, bonnes ou moins bonnes, mais le principal à retenir c’est que certains d’entre eux préfèrent ne rien dévoiler des dits secrets qu’ils ont pu acquérir alors que d’autres en font profiter plus librement des bienfaits potentiels à ceux qui en ont besoin. Pour cataloguer très sommairement : d’un côté des initiés de l’ombre, c’est-à-dire bien souvent issus des forces obscures et ne désirant conserver leur pouvoir pour ne servir égocentriquement que leur propre compte, de l’autre les initiés de la lumière ou plus prosaïquement des praticiens plus ouverts au partage afin d’exercer une magie plus bénéfique et lumineuse. Dans nos sociétés occidentales nous retrouvons ces schémas relativement dissociés, apparemment simplistes, à deux strictes facettes, noire et blanche, radicalement opposées ou très rarement réunies.

Notons rapidement (car il y en aurait beaucoup à dire) qu’il en est tout autrement dans les sociétés orientales, ou non occidentalisées, qui possèdent des doctrines plus mitigées, du moins dans cet aspect où le mélange du noir et du blanc n’est pas si radical, l’exemple le plus parlant étant l’image symbolique du Tao dans laquelle nous retrouvons un point noir dans la surface blanche et inversement un point blanc dans la surface noire, ce qui caractérise ainsi une vue plus nuancée non seulement de la vision du monde mais aussi des pratiques magiques ou spirituelles qui s’y rattachent.  Cette notion assez binaire que nous avons en occident est elle-même à l’image de nos sciences où tout est soit vrai soit faux, sans intermédiaire ou zone grise, tout comme l’informatique avec ses 0 et ses 1 qui ne laisse aucun entre-deux, quoi qu’avec les informations quantiques nous découvrons enfin qu’il existe aussi  une troisième voie, celle du ni l’un ni l’autre ou des deux à la fois ! Ce dernier point est en soi une révolution scientifique qui rejoint paradoxalement des concepts spirituels très avancés qui ont eu cours depuis des millénaires chez les hindouistes avec la Trimurti (2), pour ne citer qu’eux (au passage aussi : les hexagrammes chinois basés sur la transformation sont aussi un exemple de "non-binarité" et de modulation), de même dans bien d’autres dogmes où rien n’est ni complètement noir ou blanc. Ainsi, la spiritualité reste l’apanage plus malléable et ouvert des sociétés non occidentales alors que chez nous s’opère une scission très nette entre la sombre et sulfureuse sorcellerie, problématique "magie noire" de destruction orientée "Thanatos" (3) et la magie opérative blanche, ou rouge si plus orientée "Eros" (4), se positionnant en pleine lumière assurément positive et bénéfique pour résoudre des problèmes, sans en poser d’autres…

Mais, de ces faces cachées ou que l’on ne voudrait pas forcément voir au quotidien dans nos sociétés occidentales via des positionnements plus spirituels ou même magiques, il coexiste aussi la réalité véritablement invisible d’une toute autre nature bien plus inaccessible à nos esprit humains, c’est une réalité située sur une dimension non matérielle, un plan absolument inaccessible à notre entendement logique car son essence dépasse notre imagination et transcende notre esprit captif de notre matérialité. Nous parlons ici d’une dimension karmique, éthérique de haut niveau dont même les plus aguerris d’entre les initiés ne peuvent en concevoir la puissance et les buts qui ne s’énoncent que ne manière symbolique par delà notre compréhension. Cet autre monde véritablement invisible à tous ne nous est pourtant pas étranger, bien au contraire puisque c’est, d’une certaine façon, une autre partie de nous-mêmes, bien plus grande, qui s’y trouve avec une logique d’évolution dépassant de très loin nos quelques dimensions spatiales et temporelle pour définir un mode existentiel infiniment supérieur, immensément complexe et à des années-lumière de notre entendement le plus élaboré. Cet autre nous-mêmes faisant partie d’un Grand Tout doit être considéré comme la trame d’un tissu dont nous ne serions qu’un des multiples fils tissés par des Lois Universelles, véritables entités dans un univers inconcevable où les symboles sont plus vivants que nous-mêmes qui ne sommes qu’un reflet fugace sur la vague mouvante d’un océan infini. Les initiés, qu’ils soient de sombres engeances ou plus éclairés savent qu’une dimension éthérique nous surplombe à l’image d’un lecteur lisant une bande dessinée en passant d’une case à l’autre où nous serions platement inscrits.

Face à ces mondes, intermédiaires ou plus éloignés nous surveillant de haut, l’exigence d’humilité est de rigueur pour ne pas sombrer dans une égocentrique folie furieuse ne menant qu’à la destruction de soi et d’autrui là où au contraire la direction qui nous est suggérée impose l’entraide et la concertation, le partage et la sérénité de l’esprit et de l’âme. Bien entendu, à chaque secret ésotérique il convient de modérer le pouvoir ainsi acquis et d’en faire bon usage, à défaut le pouvoir mal utilisé se retournera contre celui qui tente de s’en accaparer des bienfaits usurpés en oubliant qu’il n’est pas seul au monde, monde humain, monde symbolique de l’éther et monde karmique qui présuppose une initiation bien intentionnée pour perdurer et évoluer. Le profane, pour sa part, aura ce droit de regard et d’information sur ce que sa propre route existentielle lui promet, il pourra de lui-même trouver des réponses ou bien les demander avec les précautions d’usage aux initiés en ayant le droit et les capacités. En qualité de chaman je me suis engagé sur cette voie de l’entraide, elle requiert une grande vigilance face aux forces s’opposant au bien, de même qu’un savoir-faire et une Connaissance que je remercie de m’avoir donné une vision plus large du monde en pouvant élaborer des travaux et rituels utiles aux personnes demandeuses. Comme d’habitude je réponds à toutes les questions concernant cet article, donc n’hésitez pas à me joindre pour plus d’information !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel


(1) Synchronicité : la synchronicité est l'occurrence simultanée dans l'esprit d'un individu d'au moins deux événements mentaux qui ne présentent pas de lien de causalité physique, mais dont l'association prend un sens pour la personne qui les perçoit. Cette notion s'articule avec d'autres notions de la psychologie jungienne, comme celles d'archétype et d'inconscient collectif.

(2) Trimurti : dans l'hindouisme, la Trimurti (trois formes en sanskrit) est la partie manifestée de la divinité suprême qui se fait triple pour présider aux différents états de l'univers.  Les dieux Brahmâ, Vishnou et Shiva symbolisent respectivement la création, la préservation et la destruction.

(3) Thanatos : dans la mythologie grecque, Thanatos (en grec ancien Thánatos) est la personnification de la Mort.

(4) Éros : (en grec ancien Érōs) est la divinité primordiale de l’Amour et de la puissance créatrice dans la mythologie grecque.

 

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Ceux qui ont lu les ouvrages de Carlos Castaneda savent qu’il existe deux catégories de sorciers : les "rêveurs" et les "traqueurs". Il peut être important de déterminer si vous êtes sorcier ou pas, chaman ou pas, et dans quelle catégorie vous vous trouvez et si vous avez plutôt des dispositions pour pratiquer le "rêve" ou la "traque". C’est pour tenter de vous éclairer et de vous guider que j’aborde ce sujet. Revenons à la tradition : pour les sorciers-chamans cette initiation les conduit à résoudre des problèmes techniques et philosophiques, mais aussi à faire un certain nombre d’expériences et de découvertes. Parmi ces découvertes, les anciens sorciers-chamans prennent conscience que le monde dans lequel nous vivons n’est qu’une perception partielle et brouillée de la réalité. Celle-ci déformée et souvent occultée par nos systèmes de croyances dus à notre éducation et notre auto asservissement ainsi qu’à notre domestication. Ceci nous empêche d’accéder à la perception et à la connaissance intuitive de la réalité illusoire. Ainsi, le monde regroupe de nombreuses interprétations de la réalité et nous autres humains, conditionnés par nos sens et notre culture, nous n’en percevons que des fragments, nous ne voyons, entendons, touchons la réalité que dans les limites d’une "bande passante", et tout ce qui se passe en dehors de cette bande de perception nous est inaccessible… en temps normal !

Les anciens sorciers-chamans, par certaines pratiques et développements de talents personnels, finissent par percevoir quelques-uns des aspects de ces réalités au-delà de nos perceptions habituelles. Notamment, ils perçoivent autour des êtres humains des entités et des forces dont les variations d’énergie ou de densité peuvent renseigner sur l’état physique, émotionnel et psychique de la personne et avec lesquelles ils peuvent entrer en interaction. Ceci en fait la "faculté de voir" qui représente donc un des premiers acquis des anciens sorciers, et une entité peut tout aussi bien leur apparaître sous sa forme physique que sous sa forme "énergétique" selon la manière dont ils règlent leur perception. Bien sûr, la forme énergétique qui nous entoure rappelle la notion orientale de l’aura, mais acceptons comme plutôt rassurant que cette perception soit commune à une grande majorité de traditions. En approfondissant leur faculté de voir, les sorciers découvrent que les liens qui composent cette enveloppe énergétique sont reliés entre eux à une dizaine de centimètres du corps, dans ce que la tradition chamanique Toltèque par exemple appelle le "point d’assemblage". Ils découvrent enfin que l’univers entier est traversé de fibres d’énergie, regroupées entre elles pour former des lignes, à la manière de câbles de téléphones. Et le point d’assemblage du corps d’énergie des êtres vivants est lui-même connecté à certaines de ces lignes. D’après leurs découvertes, c’est en étant branché sur un nombre limité de ces lignes que l’humanité partage sa façon de voir le monde.

En somme, nous percevons à peu près tous le monde qui nous entoure de la même manière, aussi bien selon nos sens physiques que psychiques, parce que nous sommes branchés sur les mêmes canalisations d’énergie. Nos sorciers découvrent alors que lorsqu’ils se mettent en état de percevoir ces énergies autour des êtres, lorsqu’ils développent la capacité de "voir", leur point d’assemblage se déplace et accroche d’autres lignes d’énergie, transformant ainsi leur perception du monde. C’est là que se situent l’art de "rêver" et celui de "traquer". Parmi les personnes que vous connaissez, il y en a surement dont vous vous apercevez qu’elles ont un don, par exemple pour toujours se sortir des pires situations, de toujours retomber sur leurs pieds, de toujours être à l’aise en toutes circonstances, de ne jamais sembler être affectées par ce qui leur arrive, d’anticiper le déroulement des événements avec précision et raison, enfin, tout un ensemble de choses qui font qu’elles peuvent mieux vivre certains événements que vous ou d’autres personnes. Ce don, d’après les anciens sorciers, est lié à leur faculté de modifier légèrement la position de leur point d’assemblage et de contourner les obstacles, soit pour sortir d’une situation, soit pour poursuivre leur projet sans être gênées. Ainsi, lorsque nous sommes confrontés à une difficulté relationnelle et que nous trouvons soudainement l’attitude ou l’action qui retourne la situation et désamorce les tensions, nous avons légèrement déplacé notre point d’assemblage et accroché une petite ligne d’énergie sur laquelle nous avons puisé la force et l’idée de la réaction la plus adaptée.

Évidemment, on peut aussi se retrouver dans une position pire parce qu’on n’a pas accroché la bonne ligne, mais c’est là que le sorcier se différencie fondamentalement de l’homme ordinaire : il est un guerrier qui a le talent d’accrocher les bonne lignes. Rêver ou traquer sont donc deux modes de gestion de la position du point d’assemblage, et d’après les anciens chamans, ce sont les deux seuls modes qui existent. En effet, nos anciens sorciers se rendent compte que certains d’entre eux parviennent à déplacer de manière importante leur point d’assemblage, et donc d’accrocher des lignes d’énergie d’autant plus éloignées de celles sur lesquelles nous sommes connectés en temps ordinaire. Cette faculté est celle des "traqueurs", personnes qui ont une immense capacité d’adaptation, qui sont douées pour la comédie, qui ont les bons réflexes, qui sont capables aussi bien d’attirer tous les regards que de passer totalement inaperçues. L’art de la "traque" consiste donc à maîtriser le déplacement du point d’assemblage pour s’adapter au mieux (en suivant les signes que certains relient à la notion de synchronicités) aux circonstances mouvantes de notre environnement.

Le rêveur n’a pas la même souplesse de déplacement du point d’assemblage que le traqueur, mais il possède la capacité de le fixer durablement dans une position. Ainsi, si le traqueur peut accrocher assez facilement d’autres "réalités" du monde, il n’a guère de talent pour les explorer sur une longue période. Le traqueur va et vient entre plusieurs positions, entre différentes perceptions, mais éprouve de la difficulté à se fixer sur une de ces lignes d’énergie. Le rêveur ne parviendra pas facilement à déplacer de manière importante son point d’assemblage, mais il pourra le maintenir sur une ligne pendant un temps suffisant pour explorer ce monde différent et même y œuvrer. Dans notre monde commun, nous pouvons illustrer la différence entre le traqueur et le rêveur en assimilant le traqueur à un comédien, une personne douée pour le paraître (ou le "disparaître") et le rêveur à un artiste compositeur, un peintre par exemple, qui doit avoir à l’avance une idée précise et "en profondeur" de l’œuvre qu’il doit réaliser. Le traqueur a besoin d’être encadré pour donner très vite ce qu’il a de meilleur, comme un comédien qui se donne à fond sur une prise de vue, le rêveur s’isole et travaille sur du long terme, construisant patiemment sont chef d’œuvre. Tout ceci peut paraître bien abstrait, et pourtant les sorciers le mettent en application de manière très pratique dans leur art. Le sorcier traqueur est aussi capable d’entrainer les autres dans ses "états modifiés de conscience" et de leur faire partager ses perceptions d’autres réalités. Mais c’est le rêveur qui a les plus fortes capacités à influencer les autres en les maintenant accrochés sur d’autres lignes d’énergie.

Dans le monde de la magie et de la sorcellerie, le traqueur sera par exemple voyant, travaillant avec des cartes ou des supports, captant de manière subite des informations inaccessibles au commun des humains. Il pourra aussi être chaman guérisseur, se déplaçant avec aisance dans le monde des esprits et déployant tous ses talents de négociateur pour atteindre son but. Le sorcier rêveur pourra aussi être voyant, mais sur un autre mode, qui s’apparente plus à la médiumnité. Il aura une vision de l’avenir non pas par flash, mais par une sorte de connaissance intuitive et profonde. Ce sera par exemple un "dormeur", sorcier qui résout les questions qu’on lui pose en état de sommeil, parcourt le passé ou le futur de manière à bien comprendre l’enchaînement des événements, et prodigue ses conseils à son réveil, de manière précise et selon un plan structuré. Il sera plutôt contemplatif, s’absentant de longues périodes pour explorer les autres réalités et en rapporter des savoirs, comme les vertus thérapeutiques d’une plante. Le chaman rêveur n’est pas aussi à l’aise pour l’action que son collègue traqueur, mais il le dépasse en connaissance. Évidemment, l’idéal du sorcier est d’allier les talents du traqueur et du dormeur, capacité extrêmement rare, propre à certains sorciers-chamans, et qui exige de toute manière un travail acharné et constant. Mais pour l’homme ordinaire, pouvoir découvrir qu’on est plutôt traqueur ou plutôt rêveur, dans le sens que les sorciers donnent à ces mots, c’est entrevoir une meilleure exploitation de son énergie et de ses talents et aussi mieux accepter nos limitations. Attention toutefois, car la pratique de la traque ou du rêve n’est pas sans danger, comme la sorcellerie ou le chamanisme.

Dans notre société moderne, au contraire des sociétés amérindiennes par exemple, nous avons développé une forte nécessité de nous conformer à une "norme", celle du monde commun, qui est accessible grâce aux lignes d’énergie auxquels notre point d’assemblage est communément accroché. Ainsi, si dans certaines cultures il y a une place pour les personnes qui sont accrochées à d’autres lignes et perçoivent le monde différemment, le fait de vivre dans une autre réalité est très handicapant dans le monde occidental moderne. La schizophrénie, par exemple, pourrait bien être la conséquence d’un trop important déplacement du point d’assemblage par rapport à la position commune. La perception d’autres entités, d’autres personnes, le fait d’entendre des voix sont des concepts de sorciers-chamans, l’indice d’un traqueur qui se serait perdu dans des réalités trop éloignées de la norme humaine et ne pourrait plus faire le chemin de retour. De même, si un rêveur accroche définitivement une autre réalité, il finira par se retrouver isolé dans une bulle contemplative, vivant des expériences impossibles à partager avec ses proches, qui l’excluront de fait de la société. Pratiquer la "traque" ou le "rêve" au sens des anciens sorciers n’est pas un amusement sans conséquence. C’est une discipline qui apporte sans aucun doute des pouvoirs et des savoirs, mais ce n’est pas sans risque. À quoi cela sert-il, en effet, d’accéder à des savoirs étendus si on finit par quitter le monde commun et qu’on se trouve dans l’incapacité de les partager ou de les mettre en application ?

Les pratiques de la traque et du rêve ne sont toutefois pas interdites à l’homme ordinaire, car comme je le mentionnais plus haut, nous déplaçons tous notre point d’assemblage en permanence, mais dans de petites amplitudes et en revenant régulièrement et automatiquement à la position "normale". En contrôlant nos émotions, nos sentiments, et en maîtrisant notre psychisme, nous pouvons avec une certaine sécurité faire l’expérience des "états de conscience modifiée". Le champ des expériences liées à la traque et au rêve est bien évidemment infini, et peut vous mener à la rencontre de vous-même et des autres sous un jour tout à fait nouveau. Reste à savoir ensuite ce qu’on doit en faire… Si vous avez des questions sur cet article, n'hésitez pas à me contacter pour en savoir plus ou vous pouvez aussi bien évidemment directement lire les ouvrages de Carlos Castaneda !
 

Jean-Pascal Bruno, chaman professionnel

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Un titre un peu provocateur mais qui illustre bien le propos puisque nous vivons dans un monde chaotique et dynamique, disons-le clairement pour ceux qui ne le sauraient pas encore, par conséquent le Diable (ou ses nombreux acolytes) est un peu partout et nous entoure dans presque toutes nos actions, de loin ou de plus près, selon votre attitude et les pensées qui accompagnent vos actes. N'oublions pas que tout est "une histoire de volonté", volonté d'agir dans un sens ou dans un autre, pour soi ou pour autrui, c'est-à-dire une volonté placée à un niveau vibratoire correspondant à votre "état d'esprit" associé à l'intention qui s'y attelle. Il est donc simple de se dire et d'ailleurs de constater que ceux qui ont une prédisposition pour la peur attireront la peur, ceux qui s'orienteront vers un mal nécessaire se verront comme aimantés par lui, inversement il existe aussi de bonnes actions initiales qui se terminent mal, comme quoi rien n'est si simple à ce stade et tout est finalement relatif à soi, aux autres et au contexte en présence comme j'ai l'habitude de le souligner… Alors, que penser du fait de vouloir "commercer avec le Diable" ? Une expression digne de l'époque de l'inquisition où l'on pouvait finir sur un bûcher à la simple évocation du Malin, ceci pour votre Bien, évidemment, encore que cela devienne tout aussi relatif de finir en cendres pour le Bien, oui mais finalement le Bien de qui…

Mais revenons à notre époque "plus moderne", celle où l'on finit aussi en cendres assez rapidement en se promenant simplement dans certains pays en guerre, comme quoi rien n'a vraiment changé, le Diable est dans ces détails que l'on à tendance à oublier ou à vouloir omettre sans trop de contraintes mentales pour ne pas voir ce Mal qui environne le Monde, celui dont les humains sont assez forts pour se l'infliger eux-mêmes, sans aucune "aide extérieure", du moins en apparence seulement. Dans ce sens nous savons que si le monde "tourne mal", il tourne quand même et cela reste un exploit considérable si l'on pense au nombre de fois où nous avons eu l'occasion de réduire la planète à néant, mais nous avons encore le temps de saborder le navire avec en plus cette capacité aujourd'hui de savoir consciemment que cela est possible, de plusieurs manières, guerre nucléaire globale, guerre bactériologique totale, ou bien plus basiquement et aussi plus lentement comme un supplice chinois : à force de scier la branche sur laquelle nous sommes assis à coup de surconsommation ultime des ressources planétaires, de la pollution de l'environnement, de la perte de toute biodiversité et enfin, pour finir en véritable apothéose, le grand cataclysme du dérèglement climatique qui tel le déluge nous anéantira tous ! Mais restons optimistes, même le Diable ne veut pas que nous disparaissions de la surface de la planète, sinon il n'aurait plus rien à faire, par conséquent nous avons un avenir, certes compliqué mais encore existant, avec la complicité de toutes les entités, bonnes ou moins bonnes, c'est le système qui le veut, et nous avons déjà signé le contrat pour jouer à ce jeu !

L'initié le sait et le profane commence à le comprendre aussi, dans ce jeu de la vie, celui qui impose une règle de l'existence pour évoluer selon une orientation désirée ou subie, qui implique des passages obligés, des cases à cocher sur le contrat passé. Et sachons reconnaitre que les points de passage initiatique ne sont pas tous systématiquement orientés dans un seul sens du Bien, chacun doit aussi assimiler le Mal pour le reconnaitre et s'en prémunir pour soi ("charité bien ordonnée") ou pour autrui plus accessoirement si cela est aussi possible. Par conséquent le Bien et le Mal sont indissociables pour paradoxalement pouvoir se départager et se situer l'un à l'autre du côté de l'échiquier, soit l'on joue avec les pièces blanches soit avec les noires, mais l'on peut aussi choisir à tout moment de retourner le plateau puisque l'expérience du jeu se joue finalement seul dans cette volonté de voir bouger toutes les pièces existentielles alternativement avec plus ou moins de bonheur ou de chance. Ainsi, chacun joue l'ensemble de la partie des deux côtés, le choix est celui du libre arbitre apparent bien qu'il existe effectivement un véritable maître du jeu, celui qui impose que l'on joue chaque pièce ou pion alternativement selon un déplacement précis, celui qui rappelle à chaque instant que l'on ne peut transgresser les lois de la matière tant que l'on y est lié. Finalement le mal serait de ne pas faire attention à ces lois, par exemple de vouloir tester la chute de son propre corps depuis le dixième étage, cela se terminerait alors effectivement a priori assez "mal".

Dans une autre perspective plus ésotérique cette fois, plus complexe aussi : un "pacte démoniaque" est-il une transgression de ces lois ou pas ? Rappelons rapidement qu'il est possible, pour un praticien réellement expérimenté, de faire appel à des entités dites (par convention) foncièrement "maléfiques" pour régler un problème, ceci souvent de manière radicale, brutale ou dangereuse, voire les trois en même temps. Il devient alors clair qu'utiliser de tels rituels de magie noire, puisque c'est ici la bonne dénomination, sera une ultime finalité, un coup risqué mais puissant et décisif sur l'échiquier de la vie, une orientation certes négative mais finalement peut-être aussi nécessaire pour que la partie prenne une tournure où une réponse s'impose pour en accomplir une action tout aussi puissante en retour et ainsi passer un cap initiatique crucial, cocher une case du contrat, trouver une solution existentielle fiable en surmontant la problématique proposée. Un monde sans aucun problème serait à l'image d'un encéphalogramme plat, une mort cérébrale sans objectif ou perspective, alors que chaque embûche, que chaque pas, même risqué, demande une attention pour marcher si possible sans tomber et aller dans une direction que l'on choisit volontairement avec les moyens mis à disposition. De cette façon, parfois en secouant un peu l'échiquier et toutes ses pièces, l'on peut aboutir à un résultat probant avec effectivement des moyens peu conventionnels, c'est ici le seul but valable d'une telle utilisation de la magie noire : faire trembler l'échiquier pour réinitialiser la partie ou en redéfinir le paysage pour trouver d'autres chemins enfin débloqués après que les murs qui en interdisaient l'accès se soient écroulés en offrant ainsi de nouvelles perspectives à tous les protagonistes.

Donner un grand coup de pied dans la fourmilière bien sage et bien ordonnée reste en apparence un acte malicieux, délictueux au sens karmique du terme, ou pire, délibérément destructeur, mais il générera ainsi une essentielle reconstruction avec des potentialités de pouvoir faire encore mieux qu'avant, de dépasser ce qui avait été réalisé précédemment, d'innover dans une plus large mesure pour véritablement évoluer : il faut parfois détruire pour mieux rebâtir, il faut parfois chuter pour apprendre à se relever plus fort encore, c'est ici tout le mérite du Mal que d'accomplir sa vocation première, celle d'inciter à tourner l'ancienne page afin de pouvoir enfin écrire la suite de l'histoire sur la suivante et débloquer une situation atone, une vocation paradoxale encore une fois d'initier in fine le Bien. L'un et l'autre, Bien et Mal, sont assurément deux faces d'une même pièce initiatique que nous avons tous en main propre, aller dans ce sens du mouvement, de la "ré-volution", n'est donc pas une alternative intégralement négative dans son bilan : très souvent le Pacte Démoniaque accélère une situation qui de toute façon aurait par elle-même fini par dégénérer de manière plus lente et beaucoup moins dynamique dans son ressort final, ceci par effet d'interaction inverse qui fait tourner la roue, après la mauvaise la bonne fortune, le tarot illustre d'ailleurs cet arcane majeur.

Comme nous le voyons, "commercer avec le Diable" par l'intermédiaire d'un Pacte dit Démoniaque n'est qu'une expression qui entraine une réflexion plus poussée sur non seulement l'origine du Mal mais aussi et surtout sur sa fonction qui n'est pas à séparer de son contrecoup positif comme je viens de l'exposer. Aussi, en qualité de chaman en exercice, certaines situations en complète inertie et dont rien ne semblent se dégager, ni de bon ni de mauvais, se voient dynamiser par ce type de travaux puissants qui agissent comme un stimulus nécessaire, comme la tempête qui va finalement souffler très fort dans les voiles d'un navire pour lui donner une nouvelle impulsion pour enfin avancer. N'hésitez pas à me poser des questions, je sais par expérience que le thème de cet article ne fait pas l'unanimité quant à l'angle sous lequel il faut en percevoir les trajectoires, je vous ai exposé ce à quoi de nombreuses années m'ont amené à penser et je reste à votre disposition pour approfondir la question, voire pour vous proposer si besoin ce type de rituel. Pour me contacter merci de suivre ma bannière ci-dessous, à très bientôt et "n'ayez pas peur !" (Paroles emblématiques de Jean-Paul II).

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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"La plus grande ruse du Diable consiste à faire croire qu’il n’existe pas". Ainsi, de nos jours il est assez rare de penser de prime abord que l’on a été possédé par un démon ou bien sous emprise d’un esprit malin, ceci au profit d’autres dénominations faisant allègrement appel à la psychiatrie avec les douces terminologies de névroses, psychoses, phobies, schizophrénies, hystéries, nymphomanies et autres troubles du comportement ou de la personnalité. Autant d’appellations savantes et modernes pour déplacer un sujet devenu problématique au cours de l’histoire en essayant d’apporter une réponse essentielle mais fausse, celle de signifier à l’Homme que le mal est avant tout en lui et ne vient pas d’un autre ailleurs qu’il ne saurait pas expliquer rationnellement. La psychanalyse aussi a su faire croire que le psychisme humain était uniquement intérieur avec certes quelques zones obscures dignes d’un "surmoi" ou d’un énigmatique "ça" pour tracasser le moi et son Ego conscient face à des forces purement inconscientes se promenant de-ci de-là dans un cerveau en pleine ébullition car échauffé par tant de tiraillements internes. Il est clair que déplacer de la sorte les problèmes en leur donnant d’autres noms plus respectueux et imposés par la nouvelle religion que représente la science sous l’égide d’une impérieuse modernité ne pourra que repousser dans les dédales de l’histoire toutes les supposées superstitions ô combien difficiles à ne réellement expliquer que sous le couvert du progrès pour finalement vouloir en voiler l’existence sous des termes médicaux tordus et aux contours très mal définis. Un tel incroyable détournement officiel n’explique strictement rien, ne résout rien en soi mais permet juste de catégoriser astucieusement des symptômes, d’élaborer une méthode d’évitement de l’inconnu, de se dédouaner de ce que l’on ne peut comprendre tout en faisant porter l’entière et unique responsabilité des maux à ceux qui en sont principalement victimes. Bien entendu il existe aussi des dysfonctionnements purement organiques provoquant une grande partie des troubles évoqués mais l’on ne se soucis plus d’en connaître les causes véritablement initiales, d’en percevoir d’autres interactions extérieures pouvant troubler les esprits afin de tenter d’expliquer ces "dérangements" dont sont victimes de bien nombreuses personnes passées sous silence par la seule force de nouvelles terminologies qui sonnent effectivement bien mieux que : possessions, emprises, envoûtements ou attaques et parasitages psychiques par des entités démoniaques…

La plupart des profanes, désireux de ne pas être inquiétés outre mesure, ne cherchent plus depuis longtemps à connaître la vérité sur leurs propres capacités psychiques préférant s’abreuver de fictions cinématographiques avec la certitude d’être totalement à l’abri de forces surnaturelles qui n’existent que dans les films d’horreur d’Hollywood ou dans les romans de science-fiction. Une telle attitude, encouragée par des instances dirigeantes parfaitement au courant, n’aboutit qu’à affaiblir les défenses spirituelles dont tout un chacun dispose mais qui s’amenuisent au fil du temps par manque d’exercice et surtout par un oubli institutionnalisé de les utiliser naturellement… Faut-il jeter la pierre à ces mêmes institutions qui préfèrent comme d’habitude maintenir la population dans l’ignorance plutôt que d’enseigner ce que des traditions ancestrales pratiquaient couramment avec la plus grande lucidité et humilité ? L’on pourrait croire heureusement que quelques initiés seraient à même de relever ce défi de l’enseignement mais précisément en matière d’exorcisme l’église a su s’arroger une sorte de monopole qu’elle ne désire pas partager. De même, et sur un autre registre, de nombreux marabouts profitent de l’ignorance des foules pour exercer une emprise directe sur leurs clients trop naïfs pour y voir les manipulations psychiques dont ils sont victimes en les consultant car ce ne sont généralement que d’habiles escrocs ou de dangereux manipulateurs. Je vous déconseille bien évidemment tout contact avec ces marabouts dont il est de notoriété publique qu’ils utilisent systématiquement des drogues, sous toutes leurs formes (fumigation, parfums, huiles, décoctions), pour abuser de leur clientèle en faisant passer cette traitrise pour un pouvoir occulte… Pour en revenir à l’Église, plus "orthodoxe" dans ces méthodes, elle délèguera ses prêtres exorcistes consacrés qui réciteront tous le même manuel, les mêmes mots et les mêmes rengaines sans véritablement cibler le mal et adapter les rituels en fonction des types d’entités, car il y en a de très nombreuses et diverses.

Contrairement aux marabouts et aux prêtres d’église, le chaman dispose d’une véritable expérience vécue de la possession puisqu’elle fait partie intégrante de son enseignement et de son accession reconnue par ses pairs. C’est en étant possédé par des esprits à la fois voraces et destructeurs que le chaman en devenir passe durant plusieurs jours par une terrible initiation qui doit le démembrer à la fois dans sa chair et dans son esprit, perdant ainsi symboliquement son corps et dissolvant définitivement les parcelles d’Ego qui le séparaient de la sagesse spirituelle issue des sphères supérieures. Ce n’est qu’en perdant son existence terrestre et en y renonçant par l’initiation que le chaman peut comprendre et accéder aux forces de la Nature (forces telluriques de l’air, de la terre, de l’eau et du feu) ainsi qu’aux esprits les plus bas mais aussi les plus élevés. Il n’existe pas d’initiation plus difficile et complexe  à suivre, d’autant plus qu’elle ne peut être orchestrée que par un ancien chaman désignant son successeur parmi un ensemble de nombreux prétendants déjà très instruits des rites. Le chaman en exercice sait donc par expérience, corporelle et spirituelle, ce qu’il devra guérir et à qui il aura affaire, pouvant désigner avec assurance les esprits démoniaques destructeurs et ceux avec lesquels il pourra les contrer en usant des rituels ancestraux et des puissances telluriques dont il saura capter les flux les plus adaptés. Avec les années et la grande diversité d’entités consultées ou repoussées, le chaman accomplit ses rituels en pouvant guérir par delà les distances en passant par l’éther, en informant les guides des hautes sphères d’agir pour rétablir les équilibres et soigner les énergies corrompues par des entités parasites ou démoniaques.

Les rituels chamaniques ne sont quasiment jamais écrits et seule la transmission orale est permise pour les rares élus en ayant les capacités mais aussi la volonté de perdre une humanité formatée par la matière pour élargir le champ des possibles sur d’autres niveaux éthérés ou astraux, voire plus loin encore… En occident les mots manquent pour aborder cette surréalité dont très peu d’initiés ont pu tester la puissance de guérison par des rituels chamaniques mais l’on peut dans une certaine mesure associer l’univers du chaman à certaines pratiques ésotériques de très haute magie avec des similitudes qui ne font que confirmer la justesse des enseignements et des pratiques ésotériques. Dans cet ordre d’idée le chaman est un exorciste hors pair, il dépasse de loin toutes les pratiques uniformes des églises et encore plus les maigres connaissances des marabouts manipulateurs, il accède directement à la source du mal et entre sans effort en dialogue spirituel avec tous les types d’entités, même les plus démoniaques et dangereuses car il les connaît pour les avoir vaincu lors de sa mort initiatique, elles le reconnaissent aussi comme un être éthéré puissant ayant su dépasser sa basse condition d’Homme mortel et les limites de la simple raison. Lorsqu’il doit guérir un individu le chaman perçoit de suite la source du mal et sa cause, ainsi il reconnait les entités élémentaires qui peuvent parasiter les esprits et les affaiblir, il sait comment les écarter par ses rituels, ce que l’on pourrait assimiler à une purification via une incantation, de même pour les entités démoniaques plus dangereuses encore, il peut les conjurer en les exhortant de sortir du corps ou de l’esprit de leurs victimes, cet acte n’est finalement rien d’autre qu’un puissant processus d’exorcisme en nommant le démon pour lui faire lâcher son emprise et rejoindre sa sphère infernale initiale. Enfin, le chaman n’a aucune sorte d’animosité contre les basses entités, il sait qu’elles sont aussi nécessaires à la bonne marche du monde, qu’elles participent à leur place à organiser les flux négatifs dans leur zone d’action, tout comme les entités élevées s’occupent des tâches dites positives à une autre échelle.

Comme vous le savez ma pratique du chamanisme m’a permis d’exercer professionnellement cette activité difficile mais passionnante, difficile car chaque jour un nouveau défi se présente à moi pour aider une personne victime d’envoûtement ou d’emprise avec parfois de complètes possessions par des entités néfastes, passionnante puisque mes connaissances me permettent depuis de nombreuses années d’affiner encore ma maîtrise et d’en faire profiter certaines personnes ayant des capacités pour en faire bonne usage, comme ici sur ce blog qui joue le rôle d’un passeur de mémoire mais aussi celui qui permet d’alerter sur les dangers à vouloir user de l’ésotérisme de manière égocentrique et personnelle. Le travail de chaman, et d’autant plus en exerçant les fonctions d’exorciste, m’a appris à user de sagesse pour autrui et non pour acquérir un pouvoir personnel, d’ailleurs les véritables chamans savent qu’ils ne peuvent réellement exercer qu’en mettant définitivement leur Ego de côté afin d’aller bien au-delà de certaines limites où le poids de cet Ego les empêcherait de s’élever. De même je suis ouvert à toute demande d’aide, notamment dans le cadre de mon activité afin de rendre la lumière à ceux qui l’ont perdue, que ce soit à cause d’un contexte difficile ou bien s’il s’avère qu’ils sont sous une emprise quelconque (envoûtement magique, possession démoniaque, affaiblissement par une entité élémentaire, etc.). Je reste donc à votre disposition et vous pouvez me joindre via mes coordonnées téléphoniques sous ma bannière ci-dessous ou en cliquant dessus pour m’écrire. Je vous dis à très bientôt !

Jean-Pascal Bruno, chaman exorciste professionnel

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #Esoterisme, #initiation, #secret, #ange gardien, #entités, #énergie vitale, #destiné

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"L'Homme étant libre, est condamné à la Liberté". Par cette puissante sentence de l'ésotériste Frithjof Schuon issue de son ouvrage "Ésotérisme, comme principe et comme voie", c'est toute la contradiction de l'Existence de l'Humain qui s'exprime, tant dans l'essence même des contraintes que sa destinée lui impose que par l'impérieuse possibilité d'exercer une volonté souveraine sur sa vie pour en fondre le métal précieux qui saura forger l'outil façonnant son âme immortelle à des fins d'évolutions infinies. Il y voit dans la pratique et la connaissance de l'ésotérisme ce même outil, certes caché aux plus profanes mais commun à tous et accessible à ceux qui le désirent véritablement, outil qui permet de réconcilier la matière et l'esprit dans l'expérimentation de ce que l'on pourrait appeler plus trivialement la magie, avec ce secret espoir de voir en l'une (la matière) le tremplin nécessaire pour le second (l'esprit), de ne pas les opposer mais de faire correspondre avec intelligence ce qui est en bas avec ce qui est en haut, comme le suggérait la Table d’Émeraude d'Hermès Trismégiste. Ainsi naissait aussi le quadruple principe, véritable chemin de l'initiation s'inscrivant sur la face des quatre piliers vivants du Temple de Salomon, quatre verbes agissants sur cette voie initiatique sacrée : Savoir, Vouloir, Oser, et se Taire...

D'où viennent ces principes ? De quelle vérité intérieure sommes-nous certains d'en concevoir la réalité objective ? Notre volonté à comprendre par l'intellect suffit elle à capter la connaissance du monde et son essence ? N’existe-t-il pas d’autres sources que celles que nous captons habituellement par nos sens communs ? Ces questions existentielles sont à la base de la métaphysique et de l’ésotérisme dès lors qu’on en aborde les sujets, de par l’intellect pur ou par des détours de la pensée qui nous suggèrent que viennent les réponses à la fois de notre for intérieur mais aussi d’un extérieur qui pourtant nous appartient également, c’est ici le paradoxe de la pensée, de laquelle nous ne savons jamais si elle germe en nous de notre propre chef et de l’apport dynamique de notre expérience, ou si certaines graines ont été semées en nous pour faire croître ce désir d‘apprendre et d’évoluer. Et dans ce cas qui est le semeur ? La doctrine ésotérique, la gnose, nous enseigne qu’il existe d’autres dimensions plus subtiles de nous-mêmes qui ne nous sont pas directement accessibles, ni par l’intellect ni par les sens physiques, qu’elles interagissent néanmoins à chaque instant durant nos expérimentations terrestres, c’est-à-dire dans le rapport privilégier à la matière que nous avons de par notre incarnation, de par notre incorporation dans cette même matière pour en tirer des leçons et en ressentir la véritable et essentielle teneur.

Une autre importante révélation ésotérique nous explique très clairement pourquoi nous n’avons plus accès immédiat à la complète intégrité de notre « être » : justement à cause de cette incorporation dans la matière, laquelle, d’une certaine façon imagée, a largement brouillé notre gamme personnelle de fréquence vibratoire pour ne laisser percevoir que les notes les plus basses en filtrant celles qui vibrent plus rapidement et en les rendant inaudibles à nos propres sens. Expérimenter la matière dans un corps ici-bas serait donc un peu comme revêtir un lourd scaphandre pour sortir de chez soi, avec les quelques inconvénients qu’impose cette panoplie, ceux d’être évidemment bien moins à l’aise pour se mouvoir, pour communiquer facilement ou bien pour percevoir clairement l’environnement immédiat à travers le casque hermétique et sa visière déformante. L’on retrouve d’ailleurs cette vision des choses dans notre propre filtre personnel, celui de l’Ego incarné, notre « scaphandre » qui écarte toute objectivité en faisant sienne une réalité totalement tronquée et déformée par sa petitesse vissée à la lourdeur d’une matière qu‘il doit animer tout en la portant.

Si « l’être véritable », celui que nous sommes tous, plus complet et intégral, se trouve ainsi diminué par un tel processus d’incarnation, alors quel est donc l’intérêt d’une telle épreuve apparemment si réductrice ? La Vérité pourra paraître plus simple qu’elle pourrait l’être en cherchant trop loin si l’on conçoit très logiquement qu’il suffit à un autre niveau basique de se poser la question suivante qui utilise encore une fois l’image précédente : pourquoi les hommes revêtent-t-ils des scaphandres ? La réponse est évidente : pour explorer un environnement difficile ou hostile de manière plus accessible... C’est exactement la même réponse, notre « être intégral » s’est incarné dans un « costume corporel » pour explorer la matière et sa gamme de fréquences trop lourdes et trop basses pour lui, c’est d’ailleurs une expérimentation d’intégration « in vivo » dans la matière. Pour comprendre et percevoir le principe vital, rien de mieux que d’en expérimenter plus directement l’essence même, c’est-à-dire devenir un « être vivant » intégré dans une dimension basse en laissant derrière soi, momentanément le temps d‘une courte vie, sa propre stature multidimensionnelle et intemporelle.

L’intérêt de cette expérience « de vie » réside aussi dans sa captation ressentie de la notion restreinte d’Espace et de Temps, ce qui ne serait absolument pas possible dans la dimension supérieure purement éthérique dont nous sommes issus, car comment percevoir et comprendre le Temps et ses petites déclinaisons si l’on vient d’une contrée où n’existe qu’une temporalité absolue et infinie, idem pour un espace de dimensions infinies... Et ajoutons l’entropie, là où existe le Temps et la Matière alors celle-ci dégrade son énergie informationnelle, ce qu’il est strictement impossible de percevoir dans une dimension où l’immanence absolue est une règle, où tout coexiste sans temporalité spécifique ni perte d‘information car tout « est » et demeure comme un Tout. Bien entendu, la partie humaine et terrestre n’a aucune idée précise et nette, de par sa petitesse géométrisée, de toute l’étendue de ce qui lui est pourtant néanmoins propre, situé bien au-dessus, dimensionnellement parlant. L’Homme n’y voit, à son strict niveau logique, qu’une perte de mémoire qui n’est autre qu’une perte informationnelle de sa propre notion d’existence supra dimensionnelle. Il en résulte une totale incompréhension, toute relative, de sa vraie nature supérieure qui est bien présente mais inaccessible à son intellect et à ses capacités de perception.

Là où nous pensons ici-bas vivre une expérience de vie qui nous apportera quelque chose de consubstantiel à notre nature terrestre, finalement c’est l’inverse, nous sommes le produit expérimental de notre nature supérieure qui s’instruit de notre basse nature dans une situation dimensionnelle restreinte pour en capter les éléments simplifiés là où il est possible de les vérifier, en les vivant. L’ésotérisme nous apprend cette Vérité qui s’apparente à un terrible secret, le plus grand qui existe puisqu’il nous révèle que notre réalité n’est que le reflet appauvri et très basique d’une « sur-réalité » à laquelle nous faisons aussi partie mais dont nous ne pouvons pas avoir conscience en l’état au niveau d’incorporation qui est le nôtre, du moins en partie inférieure de nous-mêmes... C’est de l’idée même de cette Vérité que nait le passage vers l‘éveil, celui de l’initié qui sait surmonter tous les obstacles terrestres puisqu’il fait sienne cette notion d’une Réalité plus grande dont il fait partie intégrante sans pour autant pouvoir en prouver l’existence supérieure, l’on dit alors qu’il doit y « croire » pour se la représenter, il en acquiert ce que les croyants appellent la foi et que les profanes ne reconnaissent pas comme une vérité cardinale, à leur niveau dimensionnel terrestre...

Serez-vous, vous aussi, un initié pour savoir prendre la liberté qui vous est offerte d’y croire ? Maintenant que vous savez, cela ne tient qu’à votre moi terrestre de lever les yeux de l’esprit vers qui vous êtes réellement pour tenter de capter cette voix intérieure qui parfois murmure votre propre Vérité, ce savoir secret pourtant présent en vous, cet autre vous-même qui vous apporte l’inspiration intellectuelle, la volonté d’aller de l’avant, le désir d’oser ce qui semblait impossible, et ce choix de parfois rigoureusement taire ce secret afin de ne pas contourner les règles de l’expérimentateur, lequel n’est autre que vous, dans une dimension supérieure à celle que vous vivez. Pour l’Année 2022 qui se présente, soyez ouvert à votre propre destiné, découvrez les possibilités qui s’offrent à vous pour dépasser vos limites et retrouver la part cachée qui vous appartient, n’hésitez pas à me joindre par téléphone ou bien sur mon site (voir les informations de ma bannière ci-dessous), à très bientôt, en vous souhaitant une excellente nouvelle année, surprenante et bénéfique !

Jean-Pascal Bruno, chaman professionnel

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Désenvoûtement, renforcement et protection, pour vaincre les racines d’un mal qui s’installe et nous concerne tous comprenons d’abord où nous en sommes, il est temps d’en dévoiler les rouages. En ces moments historiques troublés, où la plupart des anciennes certitudes se voient rapidement et lourdement vaciller au fil d’un temps qui s’accélère, il est plus que nécessaire de consolider ses propres forces, ses ressources et ses énergies pour passer les caps difficiles de notre époque qui se profilent à l’horizon d’un monde en recherche de plus grande Vérité existentielle et de Liberté sociale plus équitable. Cette nécessité de renforcement et de cohésion s’applique tant au niveau personnel que familial ou plus largement sociétal, elle implique une puissante volonté de compréhension de ce monde afin d’en percevoir les pernicieux dangers mais aussi d’en décrypter les messages qui se traduisent souvent par des signaux faibles au début des crises pour s’amplifier au plus haut d’un chaos qui se propage et semble ne jamais stopper sa course. Cette sensation de désagrégation globale progressive, ressentie sur toute la planète au même instant, n’a jamais eu lieu dans toute l’histoire de l’Humanité et nous sommes tous conscients de vivre des moments d’exception qui touchent aux bases mêmes de l’organisation humaine sur la Terre. Ce poids de l’Histoire pèse sur chacune de nos épaules et sur toutes nos actions, mais aussi dans chacune de nos pensées, dans nos projets, dans nos relations avec autrui faisant de cette crise mondiale une crise profondément personnelle au sens spirituel et métaphysique du terme puisque nous nous interrogeons tout autant égoïstement pour notre avenir strictement personnel que plus sagement pour le futur d’une planète meurtrie par notre seule présence et notre activité.

Cette interrogation fondamentale sur nos modes de vie, sur cette modernité apparente dont nous sommes si fiers et qui nous a mené où nous sommes, nous commençons tout juste à en percevoir les ultimes limites que la Nature nous rappelle soudainement avec ce temps d’arrêt, certes sanitaire mais qui représente en lui-même toute l’illusion de nos sociétés, toutes leurs faiblesses et toute la superficialité de notre conception de la vie qui ne se soucie plus vraiment du socle naturel duquel nous sommes intégralement issus pour exister. Le simple fait de pouvoir respirer un air sain, de boire une eau potable ou bien de trouver un sol non pollué et viable commence aujourd’hui à devenir compliqué tant nous sommes tous plus ou moins coupables de la dégradation globale que nous constatons avec un certain effarement feint ou réel. C’est cette prise de conscience, celle que la crise sanitaire a déclenchée initialement, qui nous éclaire encore plus en avant sur les prochaines autres crises environnementales et sociétales en devenir avec un sentiment d’impuissance mêlé à cette culpabilité d’y avoir participé en toute futilité et désengagement moral ou éthique. Ainsi, l’on peut signifier sans aucun doute que nous avons tous participé à la fête, que nous sommes tous affaiblis par les visions des terribles constatations qui viennent allonger la liste de nos problèmes à venir, par ce sablier dont le temps s’égrène imperturbablement vers la fin de la civilisation telle que nous l’avons brièvement connue à son stade le plus haut ces quelques dernières courtes mais destructrices décennies. Aujourd’hui la fête est finie.

Dans ce contexte de déclin d’une civilisation assurément malade de ses excès, et qui s’éveille enfin en réalisant qu’elle a trop abusée d’un pouvoir illégitime en détournant les lois de la Nature, nous sommes tous comme assommés par cet abus d’hubris et d’aveugle confiance dans un progrès technologique qui s’est mué en une religion de la transformation par la destruction de toutes nos ressources, jusqu’à la dernière goutte à extraire, jusqu’au dernier cube de matière utilisable. Ainsi, tels des convalescents affaiblis par des maux qui n’en finissent plus de nous saigner nous devenons à notre tour des produits, des proies faciles tant nos défenses sont perturbées à tenter de nous dédouaner de nos erreurs tout en continuant à les perpétuer avec l’acharnement de prêcheurs technophiles soumis aux ordonnances des dogmes illuminés d’un rendement effréné et d’une rentabilité déconnectée des réalités. Là où le si naïf monde profane commence seulement à réaliser l’étendue des dégâts en restant tétanisé face à l’adversité à venir, les initiés découvrent que c’est l’ensemble de la civilisation qui s’est déjà affaissée en grande partie en ouvrant des portes infernales vers des gouffres d’où sortent d’autres menaces plus terribles encore profitant de cet affaiblissement général pour nous subtiliser encore un peu plus d’énergie vitale. Comme hypnotisés par les problèmes matériels qui s’accumulent au quotidien et qui ne feront qu’empirer, nos concitoyens profanes qui n’attachaient déjà que trop peu d’importance à leur "santé spirituelle" s’en détournent encore plus et se placent dans d’extrêmes situations de soumission à toutes les influences, à celles d’élites perverties par un pouvoir dévoyé mais aussi et surtout à celles d’entités négatives friandes de ces esprits faibles et désarmés qui s’offrent à leur voracité démoniaque.

C’est donc en toute connaissance de cause qu’actuellement de très nombreux initiés et maîtres spirituels de par le monde tirent la sonnette d’alarme sur la fin de cycle planétaire que nous vivons et sur les graves conséquences qui vont s’en suivre, lesquelles sont à surveiller très sérieusement. J’ajouterais que même les plus avertis d’entre nous sont quelque peu impactés par cette influence négative mais que nous avons pu bien heureusement effectuer les rituels de protection qui nous sont spécifiques pour atténuer l’ensemble de ces effets assez massifs en cette sombre période de l’année. Il va sans dire qu’il existe de nombreuses manières de faire face efficacement à ce que l’on peut nommer des "attaques de basses vibrations" en réalisant les bons rituels ou en adoptant les bonnes pratiques chez soi. J’explique ultérieurement quelles sont ces méthodes ou comment je peux vous y aider. Ceci dit, nul besoin d’être fin connaisseur en ésotérisme ou en pratique des arts de la magie pour s’apercevoir que quelque chose ne va plus du tout, que les pensées sont comme brouillées, que l’intellect est entravé dans sa logique ou bien que le psychisme se dérobe parfois au risque d’entrer dans une dangereuse confusion mentale avec ses dérives délétères. C’est de cet affaiblissement précis dont je parlais, de celui qui touche à l’intégrité humaine sur ses différentes strates vitales, du corps physique en passant par notre degré d’intellect qui en dépend directement, puis de cet autre corps plus éthéré qui nous relit à des strates élevées et positives afin que nous puissions recevoir et émettre de cruciales informations karmiques de la part de notre moi supérieur et d’entités gardiennes protectrices.

Renforcer notre intégrité à tous les niveaux de notre être semble actuellement une très sage décision, rechercher des protections plus puissantes afin de contrer les influences négatives devient une nécessité pour ne pas en être le jouet, enfin, là où le mal a déjà commencé à s’installer, c’est-à-dire dans les cas de début d’emprise ou d’envoûtement, il faut agir rapidement et efficacement avec des rituels adaptés à la situation. Afin de ne pas entrer dans des méandres ésotériques trop complexes je pense qu’il est avant tout nécessaire de savoir reconnaître un environnement chargé négativement ainsi qu’une atteinte directe de l’intégrité des corps qui nous constituent. Déjà, le lieu de vie est devenu à notre époque de semi ou de complet confinement une sorte de sanctuaire à protéger et même à renforcer, il est donc indispensable d’aménager ce lieu de vie (qui est aussi un lieu professionnel pour ceux qui sont en télétravail) avec la plus grande satisfaction d’y être "entièrement bien", sans meubles ou objets indésirables, sans couleurs dépareillées ou n’étant pas totalement en accord avec les goûts de la personne qui y vit. Éloignez tout ce qui ne vous convient pas, gardez ou rapatriez vos objets fétiches ou bien ceux qui vous semblent entièrement compatibles et positifs. C’est ici votre instinct (ou l’inspiration de votre moi supérieur) qui vous guidera sur l’agencement de ce lieu-sanctuaire. Ainsi vous aurez une première base forte afin de repousser des flux non adéquats ou des entités de basses extractions qui ne pourront que très difficilement vous approcher pour vous nuire. L’on pourra compléter cette base par des rituels de purification si besoin pour établir de véritables murailles infranchissables (via le rituel du sel ou d’autres rituels de magie blanche de protection, me contacter pour plus de précisions sur ce point).

Bien évidemment tout le monde doit à un moment ou un autre sortir de son sanctuaire personnel (qui peut aussi être un sanctuaire à deux, donc de couple ou plus familial), par conséquent il faut aussi se prémunir des sorties en "zones à risque" qui vous privent des protections basiques de votre lieu de vie. Pour ce faire vous pouvez emporter avec vous quelques objets supplémentaires en lesquels vous avez une totale confiance, ce sont parfois des bijoux ou des objets et talismans personnels, ce sont aussi des vêtements que vous portez depuis longtemps (écartez absolument les vêtements neufs qui peuvent être chargés de flux non adaptés à votre niveau vibratoire ou dénués de votre propre charge), ce sont enfin des pensées défensives qui vous accompagnent avec la constante et sereine volonté consciente de repousser tout ce qui vous est négatif. D’autres protections sous la forme de rituels peuvent bien entendu être effectuées mais il est préférable de passer par un professionnel pour s’armer de travaux parfaitement adaptés au contexte de votre situation et à votre fréquence personnelle. Il est d’ailleurs déconseillé d’effectuer soi-même des rituels si l’on est profane ou novice en la matière, surtout en cette période sombre de fin d’année qui ne laisse que peu de chance à l’improvisation en magie opérative…

Je dois enfin vous informer qu’il n’est jamais trop tard pour sauver une personne déjà sous emprise ou déroutée par un envoûtement actif, il est assez facile de reconnaître ces personnes qui deviennent du jour au lendemain comme déphasées, parfois perdues dans des pensées apathiques ou au contraire d’une violence verbale et physique qui ne leur correspond pas habituellement. Dans ce dernier cas, comme pour tout ce dont nous avons parlé, étant chaman professionnel je peux vous aider à renforcer vos défenses, à vous protéger et donc aussi à pratiquer des rituels de désenvoûtement si besoin. J’espère vous avoir donné quelques informations importantes en ces temps difficiles, n’hésitez pas à me joindre (via ma bannière qui est ci-dessous avec mon téléphone) afin d’en discuter de vive voix ou de m’écrire pour m’expliquer votre problématique. À très bientôt, et sachez résister à cet air du temps qui ne se présente pas encore sous un ciel lumineux et harmonieux, protégez-vous et protégez vos proches qui en ont forcément besoin !

Jean-Pascal Bruno, chaman professionnel

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"Sauvez mon couple, au secours, au secours !" Généralement l’on crie "au secours" quand il y a le feu et que ce grand danger est perçu à proximité de soi avec l’espoir de se faire entendre et d’en réchapper avec de l’aide, celle des pompiers pour ce qui est précisément des incendies. Mais en ce qui concerne les crises de couple, ou bien plus trivialement les "problèmes de couple", l’on peut plutôt dire que c’est l’orage qui gronde sous le toit conjugal ou dans la relation amoureuse lorsque justement le feu du désir ou de l’amour semble compromis jusqu’à l’extinction totale ou presque. L’orage de la relation c’est donc le mauvais temps sur soi et sur le partenaire, le ton monte, la parole se fait cinglante comme l’éclair et peut parfois, comme le feu, consumer la relation pour la réduire à néant, en cendre… Ce qui permet de ne pas en arriver à de tels excès c’est justement que l’on peut voir l’orage arriver de loin, d’abord un bruit sourd, un éclair qui surgit à l’horizon avant de voir se profiler la tempête si néanmoins les mauvais vents la portent à proximité pour exercer ses méfaits et sa dévastation. C’est aussi paradoxalement un point noir dans la lueur fulgurante de celle de la foudre que de ne pas savoir, ni où, ni quand elle va exactement tomber,  mais avec cette potentialité qu’elle puisse foudroyer l’un ou l’autre, voire les deux, après une parole de trop, après une invective destructrice non contrôlée. La crise du couple est donc à l’image de la météo si celle-ci s’annonce lourde de mauvais temps avec une accumulation de nuages noirs, ce sont souvent ces non-dits qui pèsent comme ces lourds nuages jusqu’au déferlement de la pluie et de la foudre, de la libération des énergies, celles de paroles parfois foudroyantes. Mais s’il fallait être juste, à vouloir comparer le mauvais temps aux disputes conjugales ou amoureuses, alors il faudrait aussi signaler que l’on ne peut strictement rien faire contre une tempête qui s’abat irrémédiablement sur un lieu, ce qui n’est pas du tout le cas pour les relations humaines, certes parfois houleuses dans ces configurations difficiles mais parfaitement gérables selon les contextes, les personnalités présentes et leur histoire commune. Il y a donc des solutions immédiates ou bien plus anticipées pour résoudre les crises de couple, du moins les rendre moins dangereuses ou bien se prémunir de ses effets dévastateurs grâce à une sorte de paratonnerre mental, à néanmoins bien savoir déployer…

Chaque individu, chaque couple, chaque contexte est différent de celui des autres, ainsi les règles communes peuvent sembler prévaloir afin d’éviter les crises sans pour autant pouvoir les éviter pour tous, ceci en tout instant et dans toutes les configurations selon un même schéma unique, ce serait d’ailleurs terrible que d’imaginer une solution uniforme, donc informe, pour toutes les diversités existantes au niveau des personnalités de chacun et de relations très différentes. Il y a donc de la complexité à appréhender la problématique de la crise des couples avec un point de vue trop étriqué et recentré ou trop large et vague, c’est-à-dire assurément jamais à la mesure de la réalité qui apparait. De même, les causes des conflits sont autant de possibilités différentes touchant les uns ou les autres de manière totalement diverse voire inverse, ainsi ce qui sera une véritable cause de rupture chez les uns ne sera qu’un problème passager chez les autres ou même une possibilité de rebond positif après l’avoir dépassé. L’on peut d’abord y voir un aspect psychologique qui prévaut afin de doter chaque personne (et chaque couple constitué) d’une spécificité à surmonter telle ou telle embûche de la vie, avec inversement des passages plus difficiles auxquels l’on n’est ni préparé ni averti. D’un point de vue plus éloigné de l’orthodoxie de la psychologie, en ésotérisme l’on ne conçoit pas ces "passages difficiles" ou ces embûches existentielles de la même façon, ce sont au contraire des épreuves à caractère karmique qui se doivent d’être abordés et surmontés, ce sont bien plus des "passages de développement" que des impasses sur le vide.

Il est évident que pour la plupart des couples en crises, aux moments les plus forts des tensions vécues, les couples ne feront pas une pause ou un "temps mort" comme dans un match pour se poser la question purement existentielle et karmique qui leur tombe dessus, c’est souvent au contraire dans ces moments difficiles de stress et de délitement mental, voire de déferlement de violence verbale (ou pire) que les partenaires se retrouvent dépourvus de toute la lucidité nécessaire pour faire face aux difficultés de la situation. Là où la psychologie nous explique que le psychisme de chaque individu dispose de ses propres limites personnelles pouvant interférer avec ses décisions réfléchies et aboutir à des "dysfonctionnements", les doctrines ésotériques parlent plutôt d’énergies qui sont dissipées ou dispersées, ce qui implique une dysharmonie des "centres d’énergie" (aussi appelé chakras) avec une captation de cette énergie par des entités parasites environnantes qui n’attendent que cet instant pour s’en repaitre… J’imagine parfaitement que ceux qui ne sont pas initiés à cette vérité commencent à se demander si nous n’entrons pas dans une autre dimension digne de séries d’épouvante, pourtant effectivement c’est bien de "dimensions parallèles" invisibles à nos sens dont il est question et qui permettent alors de trouver des portes de sortie (d’urgence) pour contrer les dérives de cet état de fait sans en être totalement la victime. Sachez déjà, dès aujourd’hui à la lecture de ce texte, que les initiés, c’est-à-dire les personnes ayant une réelle Connaissance ésotérique, savent que ce sont les variations psychiques qui entraînent des déperditions d’énergie vitale et attirent de telles entités parasites, par conséquent ces mêmes initiés sont bien moins susceptibles de tomber dans de telles situations, ceci en toute connaissance de cause…

D’une certaine façon, et si vous avez un tant soit peu de mémoire de cet article, la prochaine fois que vous serez dans une situation pouvant engendrer une perte de contrôle, un énervement quelconque ou bien un sentiment négatif, vous saurez que vous attirez sur vous des entités parasites prêtes à se nourrir de l’énergie négative que vous émettez, de la même manière qu’une ampoule électrique diffuse de la lumière et attire les insectes dans la nuit. Le seul fait de repenser à ce qui vient d’être dit saura vous calmer et apaiser une situation uniquement par l’apprentissage de cette discipline personnelle, évidemment sous un angle ésotérique et moins psychologique que celui que l’on vous rabâche sans vous en dire les causes : celui de savoir garder son calme et "reprendre ses esprits" (savoir garder ses centres d’énergie en harmonie…) afin de résoudre une situation problématique où l’emportement n’arrange jamais rien. J’ajouterais qu’en général, lors de situations de crise où la peur et l’énervement se croisent, où les personnes se disputent de manière progressive et crescendo, alors le chaos appelle le chaos, l’effet s’alimente de lui-même et ne fait qu’empirer vers un point d’entropie qu’il est ensuite difficile de faire reculer pour revenir en arrière au point nominal, ce qui entraîne d’une part effectivement une crise (de couple si c’est le cas d’une dispute amoureuse) mais aussi d’une perte d’essence, de cette substance spirituelle qui permet l’équilibre à la fois mental et karmique afin de surmonter les épreuves de manière naturelle sans attirer à soi d’autres "facteurs aggravants", à l’image de la théorie des dominos.

En disant "au secours je veux sauver mon couple", pensez plutôt à contacter un initié pour vous apprendre à vous protéger, déjà de vous-même, et des écarts qui ne font qu’attirer les ennuis (pour ne pas dire "autre chose") afin de vivre pleinement les instants sans y ajouter le poids de pensées ou d’actions négatives qui n’arrangeront rien. Apprenez à vivre à deux, en couple, dans cette vision et sous cet angle qui vous permettra de ne jamais prendre le mauvais chemin aboutissant à cette entropie des sens, à cette désorientation des sentiments et à cet appauvrissement spirituel qui est contraire à votre développement karmique et donc à votre évolution. Si vous voulez plus d’informations sur le thème de cet article et notamment si vous avez des problèmes de couple, alors n’hésitez pas à me joindre dans le cadre de mon activité professionnelle en ma qualité de chaman en exercice je pourrai vous aider à trouver les solutions adaptées à votre contexte. Prenez contact en cliquant sur ma bannière ci-dessous ou bien en me téléphonant directement. À très bientôt et sachez que le calme conserve votre énergie tout en la développant, la Connaissance est une forme de méditation active qui vous permet d’évoluer spirituellement !

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #Esoterisme, #Rituels de magie, #protection, #chamanisme et bouddhisme, #désenvoûtement, #entités, #karma, #Akasha

Il n’y a jamais de hasard ! Si un "problème" existe c’est qu’il a une cause mais aussi une vraie raison d’être qui doit sa résolution à notre façon de le comprendre puis de l’aborder avec une volonté d’en extraire une leçon significative afin d’évoluer. Ainsi, si nous refusons de comprendre une situation, si nous refusons d’aborder une problématique, si nous refusons d’en insuffler la volonté nécessaire et suffisante à son étude alors nous sommes coupables "en nous-mêmes" de ne pas avoir cherché à évoluer avec comme conséquences une inertie invalidante, un cercle vicieux interminable ou bien une involution en spirale (notez bien la géométrie de ces trois cas). Pourquoi une telle entrée en matière? Dans nos sociétés nous avons faussement réponse à tout, notamment lorsqu’un problème se présente nous devons toujours chercher une "solution", mais la plupart du temps la résolution réside dans le contournement ou dans la résistance afin de contrer ledit problème sans véritablement savoir le pourquoi exact de celui-ci, sa réelle source ni sa "motivation"; de même l’acte de résolution ne devient presque jamais une prise de conscience mais au contraire le plus souvent un acte délibéré de déviation, un éloignement volontaire afin qu’il ne touche plus au contexte immédiat de notre réalité subjective.

En ce sens, "se protéger" des problèmes devient en soi aussi une problématique, celle de l’évitement, du détournement et de la non-acceptation de ce qui devait arriver, c’est une sorte de renoncement déguisé avec de potentielles multiples conséquences à bien analyser ou à sérieusement envisager avant de prendre une décision finale. D’un autre côté, accepter d’emblée et sans y prêter plus d’attention qu’il y a un problème sous-jacent ou à venir est aussi un renoncement, c’est choisir délibérément d’en subir pleinement toutes les conséquences sans autrement réfléchir plus loin, c’est une forme d’asservissement volontaire dans la perte d’un libre arbitre actif, ce qui n’est pas évidemment non plus la bonne solution en soi, alors comment réagir et qu’en penser vraiment pour avancer ? Marcher pour avancer. Toute notre vie peut d’ailleurs être résumée à une petite histoire: nous marchons sur des chemins plus ou moins escarpés et à un moment une épine s’enfonce dans l’un de nos pieds, soit nous continuons à avancer, avec plus de mal et beaucoup plus lentement en souffrant, soit nous nous arrêtons de marcher pour tenter d’enlever l’épine, ce qui ne signifiera pas que ce soit forcément possible non plus de le faire en une seule fois ou très facilement… Dans ce sens nos parcours existentiels sont jonchés de buissons épineux, de chemins difficiles à parcourir et donc d’épreuves à subir avant d’atteindre le but que nous avons fixé.

Qu’il soit bien entendu aussi, et cela est facilement vérifiable, que dans nos sociétés la majorité de la population n’a plus aucun véritable "but existentiel" que celui de vivre confortablement en s’entourant d’un grand nombre d’objets matériels censés apporter la paix de l’âme et le plus grand bien en évitant les souffrances d’une vie moins opulente... C’est ici déplacer fondamentalement la problématique existentielle en utilisant le mental pour glisser vers la matérialité au détriment d’une évolution plus spirituelle, laquelle demeure pourtant la véritable boussole de notre évolution pour nous guider. Cette surprotection, par l’accumulation matérialiste, n’est que le point d’entrée dans ce cercle vicieux qui fait tourner en rond ceux qui se sont fait happer par un consumérisme effréné qui n’a aucun sens pour les véritables initiés, sauf peut-être celui de prouver que ce dérivatif abaisse le niveau de conscience et n’apporte aucun progrès spirituel, bien au contraire il retarde ou annule la majorité des évènements susceptibles d’une avancée propre à exercer un gain karmique en surmontant la venue d’une épreuve existentielle probante apportant une réelle problématique à résoudre. Par conséquent, même si nous ne pouvons pas vivre comme des reclus ou des ermites, le monde dit moderne apporte un confort qui s’apparente à une toile d’araignée, véritable "piège protecteur" qui détourne de la route et englue celui qui s’y complait trop.

D’ailleurs pour en revenir à notre épine dans le pied, celui qui s’arrête de marcher n’aura jamais l’occasion de tomber sur ce problème et par conséquent ne saura jamais ce qu’est une épine ni son effet sur le pied. Tout ceci pour dire qu’en voulant "se protéger de tout" finalement l’Homme moderne en oublie de vivre les expériences qu’il devrait subir pour en tirer des leçons spirituelles à but karmique. De la même façon que prendre un livre pour le lire est une dépense d’énergie et parfois une souffrance pour les yeux, voire pour le cerveau pour certains, alors il ne faudrait plus ouvrir un seul livre pour ne plus souffrir… Nous retrouvons aussi d’ailleurs ce même dilemme sociétal dans la gestion du Covid avec les restrictions sans fin qui permettent de "protéger" tout en empêchant de vivre normalement… Alors bien entendu il y a un juste milieu, c’est aussi ce qu’enseigne le Tao, avec la voie du bon sens, et surtout ce qu’enseigne le bouddhisme de Siddhartha Gautama avec la voie du milieu qui permet à la fois l’éveil spirituel et la libération de la souffrance en passant néanmoins par un "noble sentier octuple" (un chemin à huit voies que je vous laisse découvrir…). En ce sens la meilleure des protections reste la sagesse face à l’adversité, encore faut-il en avoir Connaissance, en avoir Volonté et Oser s’en servir avec discernement sans ostentation, c’est-à-dire sans en faire état. L’on retrouve ici l’adage ésotérique SAVOIR VOULOIR OSER et SE TAIRE, les quatre fondements de la magie, les quatre piliers du Temple de Salomon, je vous laisse aussi sur cette piste éclairée pour trouver par vous-même l’initiation propre que ces termes contiennent.

Dans ma pratique, en qualité de Sorcier Chaman professionnel, je reçois depuis plusieurs décennies des demandes associées à des problématiques très diverses et parfois extrêmement complexes à traiter. Il faut bien savoir alors dévoiler la véritable source intrinsèque du problème et ne pas y déceler uniquement un simple "mal", lequel pourtant paraît au premier abord comme une évidence au profane qui souffre et ne perçoit pas la chance qu’il a d’avoir cette opportunité personnelle de devoir surmonter cet écueil existentiel qui lui apportera la volonté de chercher et de trouver une solution (cette solution qui sera à jamais gravée dans le fil conducteur de son Akasha, permettant d’évoluer selon les lois karmiques). Il faut donc voir dans toute épreuve le "script caché" qui a été écrit pour chacun d’entre nous en fonction de notre niveau d’évolution, ce qui formera notre histoire présente dans cette existence et en construira d’ailleurs l’essentiel de ce qui devra en être retenu (nous sommes tous principalement en souvenance dans nos vies de ce qui a réellement compté et qui passe par une volonté d’agir et de surmonter une difficulté particulière qui nous a marqués, qui est donc fortement marquée dans notre mémoire, et dans notre Akasha). C’est dans ce sens que l’analyse d’une problématique soumise qui s’accompagne d’une demande de protection se doit d’être ajustée selon l’aulne de la sagesse qui impose un regard plus subtil et éclairé sur la cause et la fonction du problème qui se présente, parfois la solution est effectivement de contrer un mal agissant, tantôt il est bon de laisser agir ce mal agissant afin d’en percevoir la leçon existentielle, ce qui n’est effectivement pas toujours du goût ni du potentiel de compréhension directe du profane, ce qui nécessite une explication de la part de l’initié, une sorte d’apprentissage du problème, ce que l’on nomme aussi l’initiation.

D’autres maux que ceux du commun existent et sont néanmoins d’une nature plus dangereuse à ne pas laisser en suspens et demandent de facto que l’on s’y occupe par le biais d’une puissante "protection magique". L’on peut concevoir aisément que le danger de se voir pousser par autrui sur la voie de l’inertie (le point fixe), du cercle vicieux ou de la spirale involutive, demande de contrer rapidement cette volonté de nuire à l’évolution naturelle d’une personne selon la logique initiale de son karma. Les maux dont je parle sont principalement ceux issus d’entités malfaisantes profitant d’une faiblesse physique ou énergétique pour s’insinuer dans l’existence d’un individu par possession complète ou en partie de sa volonté souveraine, il faut alors restituer l’intégrité de cette volonté en effectuant les rituels appropriés avec les protections adéquates. De même, d’autres méfaits peuvent provenir de magie noire ou de sortilèges d’envoûtement et se doivent eux aussi d’être contrés par des contre-sorts et des travaux pour rétablir l’ordre naturel des choses, c’est-à-dire de l’existence selon le cours karmique normale.

Comme nous le voyons, un problème n’en est pas toujours un s’il s’accompagne de la solution ou à défaut de la prise de conscience qui permet de surmonter l’épreuve qui se transmute alors en "expérience spirituelle", laquelle devient un atout karmique pour évoluer et passer son chemin sur une autre voie pour avancer. Il est souvent compliqué au profane de décrypter ces problématiques et d’en extraire l’essentiel, aussi je propose mon aide et mon savoir-faire pour "éclairer" quand cela est un besoin et "protéger" quand cela est une nécessité. Pour ce faire vous pouvez me joindre pour en discuter par téléphone au  06.09.11.94.56 (numéro direct et non surtaxé) ou bien par écrit en passant via mon formulaire de contact qui s’ouvre en cliquant ma bannière web ci-dessous. Je vous dis à très bientôt et sachez dorénavant que tout ce qui vous arrive a été programmé par vous-même pour votre propre évolution, donc voyez-y d’abord des opportunités et non forcément des problèmes!

Jean-Pascal BRUNO

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