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Blog chaman ésotérisme

Blog chaman ésotérisme

Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

destinee

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La réussite, tout comme l’argent ou la notoriété font tous les trois partie des aspirations recherchées par un grand nombre de personnes dans nos sociétés qui imposent un peu ces orientations où le succès est devenu un signe de valeur, qu’il passe effectivement par ces trois facteurs qui sont d’une certaine façon assez proches si l’on en analyse leur teneur réelle, en effet : la réussite engendre généralement le fait de gagner beaucoup d’argent, ce qui apporte une certaine notoriété. Avant de continuer notons tout de même que ce raisonnement reste tout relatif car cela dépend du contexte en présence et de l’état d’esprit qui en résulte, principalement du vôtre en particulier, mais ceci est une autre histoire. Ce qui nous importe aujourd’hui est de savoir comment tout réussir, ou presque, du moins surtout comment provoquer la chance pour qu’elle permette qu’à chaque pas l’on se dirige un peu plus vers la réussite, que ce soit lors d’un examen quelconque ou pour n’importe quels concours et circonstances. Vous me direz que c’est impossible, que la chance est un paramètre qui ne se maîtrise absolument pas ! Erreur, vous avez tout faux, la chance se provoque, elle peut d’ailleurs vous accompagner durant de nombreuses années, et même toute votre vie si vous savez en prendre soin. Voyons comment et pourquoi, les deux étant intimement liés…

Tout d’abord, une chose importante à savoir avant d’entrer dans le vif du sujet, c’est que la réussite des uns n’est pas forcément celle des autres, que vous êtes unique, que vos désirs, vos projets et vos échelles de valeurs ne dépendent que de ce que vous en pensez, que des objectifs que vous vous êtes fixés selon le sens que vous avez donné à la réussite de votre vie, rien d’autre n’a d’importance que de savoir suivre sa propre voie, de cocher les cases que l’on croit bonnes pour soi, d’écouter sa voix intérieure pour se rendre compte de la valeur que l’on donne aux choses, aux événements et aux personnes qui nous entourent. Ce petit préambule permet déjà à chacun de se rapprocher de ses véritables aspirations, normalement les vôtres ne sont pas forcément celles de votre voisin, même si bien entendu, encore une fois, la société semble pointer le doigt vers certaines valeurs communes dont la grande majorité sera d’accord d’en suivre les principes et orientations très génériques. Chacun sera juge, "en la matière", de ses propres choix.

Et c’est ici que le concept de chance prend toute sa forme, car finalement pour le profane, et de manière commune, la chance se trouve principalement être une valeur matérielle, or, pour l’initié il en va tout autre, d’une part la chance n’est liée à aucune matérialité en termes de but, d’autre part elle n’existe assurément pas à notre niveau existentiel puisqu’elle est intangible, immanente et d’une certaine façon apparemment imprévisible, au sens commun, ce qui nous la fait trop souvent prendre pour un heureux hasard. L’initié sait qu’il n’existe strictement aucun hasard dans l’existence, que chaque fait présent s’entend comme une référence au passé avec lequel il est intimement imbriqué mais aussi avec le futur dont la direction apporte déjà en elle le germe de ce qui adviendra… Mais ceci est encore peut-être une vue simplifiée, que peut-on penser d’une réalité où le temps ne serait pas linéaire, où, dans un absolu, le passé, le présent et l’avenir feraient partie d’une même matrice en mouvement perpétuel  sur elle-même ? Dans ce cas la chance ne serait pas une conséquence de tel ou tel cheminement au fil du temps, au contraire elle serait présente par essence, parce qu’il le faut, et prendrait une forme dont nous n’avons pas les mots pour en décrire la réelle teneur. Dans ce sens, forcément absolu et au-delà de notre matérialité existentielle, le facteur chance représente pour les initiés un aspect karmique d’un niveau supérieur, une direction dans une dimension plus élevée créant pour nous tous les possibles…

Même les mots ne sont pas anodins, dans l’expression "mettre la chance de son côté" l’on voit bien qu’il y a déjà un "état d’esprit" avec une volonté initiale de modification du contexte pour la mise en œuvre de la réussite. Donc aucun "coup du sort", aucun hasard dans cette volonté, ce serait plutôt, du coup, le résultat d’un autre type de sort, celui d’un vœu exaucé, d’une volonté affirmée et exprimée. En magie les rituels sont, d’une certaine façon, des mises en scène de demandes volontaires via la parole prononcée et la pensée méditative exercée dans un cadre symbolique à des fins de dépassement d’une situation, dite normale, pour atteindre une position supranormale. Depuis cette position l’on intègre alors la matrice des possibles, celle qui permet la réorientation de cette situation pour en redéfinir les paramètres selon la volonté d’une demande allant vers un but précis. Par conséquent la compréhension subtile de ce que représente ce que l’on appelle la chance peut s’orchestrer sous la forme de rituels ayant la capacité d’accéder à la matrice de création de la réalité pour en redéfinir des orientations possibles karmiquement parlant. En d’autres mots, l’orientation karmique de chacun, aboutissant à des contextes plus ou moins favorables dans l’existence, peut proposer, dans le cadre des possibles dont elle dispose de manière précise pour chacun, une voie plus "chanceuses" que d’autres sur simple "demande volontaire".

Bien évidemment, chacun, c’est-à-dire tout le monde, ne sera pas en mesure d’effectuer cette "demande volontaire" que l’on pourrait aussi appeler sous une forme plus évidente : la prière. D’ailleurs, "prière" ou bien "mise en scène d’une volonté sous la forme d’un rituel", n’est-ce pas finalement la même chose ? Oui et non. La prière demeure de l’exercice de la personne qui l’exerce en vue de la voir s’exaucer, le rituel peut pour sa part avoir valeur d’intercession, ce qui signifie qu’une autre personne (a priori un "praticien" apte à le faire…) pourra mettre en œuvre cette demande volontaire, et ce généralement via un rituel de magie reprenant mot pour mot la teneur intrinsèque de la demande. Dans cette perspective l’on s’accordera que la plupart des personnes issues de nos sociétés dites modernes ou contemporaines ne sont plus du tout capables d’exprimer avec la force nécessaire la moindre pensée volontairement constructive avec la certitude de s’y tenir ou d’y "croire". Ces personnes se sont coupées de leur propre puissance de proposition karmique dont elles ont pourtant la capacité en temps normal d’en utiliser le potentiel, elles en ont perdu le savoir-faire, elles en sont restées au stade profane, bien souvent au rejet du sacré qui fait appel à cette capacité à la fois naturelle et surnaturelle de par le lien qui s’effectue entre les différentes dimensions de l’Être.

"Comment tout réussir" ou bien provoquer la chance pour y arriver ? Tout a été dit précédemment, le comment et le pourquoi. Maintenant effectivement même en ayant les réponses chacun sera juge de ses propres capacités à réorienter ses possibles, à établir ce lien karmique pour en trouver l’exacte bonne direction, mais assurément le pouvoir d’intercession existe et permet cette accession via la magie des rituels d’entrer en contact avec cette potentialité où la chance à disposition peut offrir cette réussite attendue. En qualité de sorcier chaman en exercice depuis déjà plusieurs décennies j’effectue très régulièrement ce type des travaux de magie durant lesquels chaque rituel est unique et permet d’intercéder pour chaque personne qui le désire afin qu’elle puisse exercer de manière plus sûre et efficace ce droit naturel à se relier aux exigences karmiques qui sont les siennes. Par conséquent n’hésitez pas à me contacter pour en discuter librement afin de ne pas passer à côté de votre chance, elle se trouve juste à portée d’une simple demande volontaire !
 

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

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Le sujet est vaste, souvent ignoré par notre mode de vie qui ne laisse que peu de choix ou de temps pour son étude et son apprentissage, le thème de la spiritualité reste encore à la marge des préoccupations de nos contemporains, surtout en Occident où la matérialité du monde se présente comme la seule alternative rationnelle à la réalité de celui-ci. Pour autant, et pour paraphraser André Malraux en d’autres de ses mots : "Je n’exclus pas la possibilité d’un événement spirituel à l’échelle planétaire au XXIe siècle." (1) Dans ce sens, et a contrario d’une certaine tendance actuelle, un revirement pourrait intervenir, peut-être en réaction à un monde déshumanisé, afin qu’un renouveau spirituel puisse émerger et s’établir en toute sagesse et sérénité pour en calmer les trop nombreux tourments et autres infernales désillusions mondialistes, voire aussi pour déjouer les délires transhumanistes en embuscade ou les hallucinants "désirs" de guerres…

Mais pour le profane, et même pour certains initiés : qu’est-ce donc que cette "spiritualité" dont on parle tant sans jamais oser en signifier clairement la véritable profondeur, ou l’altitude ? L’on ressent de suite que, de bas en haut, et inversement, à la manière d’un Hermès dans sa table (2), une dimension transparaît alors sur plusieurs niveaux au-delà du voile, du gouffre vers les sommets cette spiritualité aurait-elle justement la fonction initiatique d’un passage de l’un vers l’autre, ou bien de projection d’une vérité plus absolue que celle du commun des mortels ? Et justement, comment donc vouloir et pouvoir bien "s’équiper" pour une telle ascension en apparence si indiscernable ou si sensiblement hermétique ? Avant d’y accéder, il faut déjà comprendre un tant soit peu en quoi correspond "la spiritualité", ce que ce simple mot qui le désigne reflète de sens, mais aussi dans quelle direction il emportera celui qui s’y confronte et ce qu’il lui apportera. Effectivement, pour le profane la spiritualité sera telle une vision aussi vaporeuse qu’un brouillard sur une route de nuit, elle n’aura pas de correspondance tangible dans le quotidien pour spontanément s’affirmer avec un intérêt utile ou pragmatique, c’est qu’elle dépasse en effet cet aspect utilitaire accordé aux choses matérielles, elle ne s’en détache pourtant pas puisqu’elle explique cette même matérialité, celle de tous les possibles, en la transcendant.

La spiritualité sert donc de guide, c’est une expérience à la fois personnelle et intégralement universelle dans cette capacité à tout expliquer, dans cette accession à de multiples solutions autres que celles qui s’inscrivent dans un matérialisme pragmatique, ceci en dépassant ce dernier ou en le surmontant pour en avoir une hauteur de vue plus large, plus proche d’une vérité amplifiée par une sagesse bien plus éclairante. En d’autres mots la spiritualité permet d’accéder à une hauteur d’esprit qui s’apparente à une démultiplication de la conscience pour en dévoiler les liens intimes entre le soi et le monde, pour ainsi en trouver les chemins évolutifs les plus adaptés à la personne et s’y engager avec plénitude et sérénité. Il y a donc dans une juste démarche spirituelle la volonté pleine et assumée, non seulement de faire évoluer son esprit sur des horizons plus élevés et vastes, mais d’en percevoir clairement "les plans invisibles" qui s’en dégagent par les biais d’une révélation qui n’appartient qu’à soi. C’est aussi pour cette dernière raison qu’il est si difficile pour les uns et pour les autres d’en exposer une unique définition générique tant il n’y en a que de multiples et strictement personnelles qui façonnent chaque individualité dans sa propre recherche spirituelle, de ce fait y accéder c’est accéder à son véritable Soi, à une dimension plus haute de son Être, à son unification et à son édification.

Vouloir définir un "mode d’emploi" en ce qui concerne la spiritualité demeure tout aussi complexe car il existe une infinité de biais, tous intimement personnels et fonctions de l’histoire de chaque individu dans son propre contexte et entourage pour en trouver les bons chemins à emprunter singulièrement. Néanmoins, et de manière plus générale, une personne commence à s’intéresser à l’aspect spirituel de sa propre existence lorsqu’elle perçoit la nécessité d’en trouver un sens, rien de moins simple que de chercher un sens à sa vie, à tenter de comprendre ce qui a été entrepris par et pour soi-même, à se demander si l’instant ultime où l’on se pose la question n’est finalement pas déjà un début de conscientisation pour accéder au commencement d’une interrogation plus profonde, devenant elle-même sa propre dynamique de recherche, de simple curiosité ou semblant hasard l’on entreprend une quête de soi et du monde avec cette immense et vertigineuse vision qui s’ouvre soudain à l’esprit pour aller encore plus loin. Certes, tout le monde ne dispose pas de ce type d’automatisme naturel qui déclencherait, du jour au lendemain et sans vraiment prévenir, cette mystérieuse étincelle interrogeant au plus profond de soi, bien au contraire, ce sont encore une fois des circonstances personnelles qui occasionneront cette chance ou cette opportunité de s’engager sur cette voie d’ouverture d’esprit.

Ceci dit, la plupart du temps il n’y a pas de hasard, le regard que l’on se porte sur soi-même, c’est-à-dire cette "réflexion" au centre de son propre miroir, s’effectue toujours à un moment opportun, que ce soit durant une rencontre qui sèmera le germe de l’interrogation spirituelle, ou bien celui d’un évènement troublant s’avérant jouer le rôle d’un essentiel catalyseur… Parfois la prise de conscience commence par un accident apparemment futile ou de second ordre dans la vie de la personne, puis, par les méandres subtils qui forment les possibles chemins sur lesquels l’existence s’appuie, vient l’instant fugace d’une sorte d’interrogation qui illumine la conscience en lui désignant une autre direction plus élevée dans sa propre vie et celle des siens. Des circonstances spéciales peuvent intervenir dans ce sens où l’on a une intime et certaine conscience d’entrer dans une dimension spirituelle plus affirmée ou nouvelle, par exemple lorsqu’une maladie, un accident ou une circonstance autre du même acabit sont très clairement perçus comme une interruption de la routine quotidienne avec l’étrange sensation que la suite des événements n’est plus écrite comme on l’aurait pensé habituellement. De cette désorientation naît généralement la recherche induite d’une redirection intellectuelle et spirituelle très différente de la précédente période d’existence, suivant un élargissement de la conscience, le début d’une élévation spirituelle réelle qui perdurera pour affiner son objectif de recherche d’évolution.

Les initiés, sans vouloir les différentier de manière hautaine ou discriminatoire en regard des plus profanes d’entre nous, disposent de cette élévation spirituelle propre à leur donner par bien des aspects intéressants les meilleures directions à des fins d’évolution, ils ont eu, plus ou moins, de cette première étincelle révélatrice la vision de leur moi réel, c’est-à-dire de ce qu’ils sont sur plusieurs plans d’existence, en des dimensions dites spirituelles supérieures que l’on pourra d’ailleurs appeler sous d’autres termes plus adaptés (ange gardien, entité tutélaire, djinn personnel, etc…). Chacun, dans cette posture d’initié, dispose aussi du choix, celui de son libre arbitre qui n’est lui aussi rien d’autre qu’une initiation en soi, celle d’effectuer des rituels simples, comme la méditation et l’étude de textes sacrés ou bien des travaux plus complexes comportant des applications relatives à la magie naturelle ou à des cérémonials plus poussés et plus contraignants s’ils en ont la volonté de s’y engager. Certains, mais encore une fois c’est leur choix, iront jusqu’à modifier leur alimentation ou prendre certaines substances en vue d’expériences psychosensorielles leur apportant des réponses qu’ils n’arrivent pas forcément à obtenir par des voies plus normatives. Sur ce point je ne recommande nullement ici cette utilisation qui reste néanmoins celle que la plupart des chamans ont pu expérimenter durant des millénaires, mais nul n’est chaman qui veut et l’itinéraire des initiés de haute magie est assurément parsemé de terribles souffrances avant d’arriver à une quelconque extase véridique et significative…

Pour finir, comme le disait Paracelse (3) : "Tout est poison, rien n’est poison, c’est la dose qui fait le poison", dans ce sens voyons aussi la spiritualité, la vraie, comme un soin de l’âme en sachant bien la doser, sans hasard, selon le besoin et la nécessité, forcément d’orientation karmique à ce niveau d’exercice infiniment complexe !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel


Note (1) : Propos rapporté par Brian Thompson dont Malraux lui aurait dit mot pour mot que le « XXIe siècle sera religieux ou ne sera pas » au cours d’une interview donnée à Verrières-le-Buisson en 1972. Marlaux ayant rectifié en 1975 que : "On m’a fait dire que le XXIe siècle sera religieux. Je n’ai jamais dit cela, bien entendu, car je n’en sais rien. Ce que je dis est plus incertain. Je n’exclus pas la possibilité d’un événement spirituel à l’échelle planétaire."

Note (2) : En référence à la Table d’Émeraude d’Hermès Trismégiste, voir le lien ici sur le blog

Note (3) : Paracelse (1493-1541), médecin, philosophe et alchimiste, mais aussi théologien laïc suisse.

 

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Nous avons, généralement, une vision du monde avec ce sentiment de très grande complexité qui en émane et dont la logique humaine et ses diverses cogitations ne font que renforcer à l’extrême cet aspect à la fois confus et inextricable qu’ont les évènements à s’entrechoquer de manière compliquée selon des schémas souvent incompréhensibles à cette même logique. C’est ainsi, en effet, que la grande majorité des gens capte le monde par le biais d’une réalité entièrement reconstruite intérieurement par leurs facultés cognitives, lesquelles ont cette étonnante fonction d’accumuler consciemment mais aussi inconsciemment une immense foule d’informations hétérogènes pour tenter d’en construire une histoire, apparemment sensée à notre échelle, et par conséquent d’en accepter le résultat obtenu comme parfaitement conforme à la seule et unique vérité à concevoir. Pourtant cette vision profane du monde, et donc des choses qui nous entourent, est parfaitement fausse par définition puisque nous-mêmes ne sommes pas parfaits pour en élaborer une vérité totalement dénuée d’erreurs, que notre pouvoir de captation n’est que la résultante de sens que nous avons faillibles, et qu’enfin notre capacité d’analyse est elle-même grandement limitée, entachée d’inexactes interprétations et de convictions la plupart du temps notoirement infondées ou déformées.

Alors, comment oser comprendre que nous ne savons rien de ce que représente la Réalité, que nous ne voyons que l’illusion de celle-ci qu’à travers des filtres qui nous composent, et comment dépasser cette limitation qui nous empêche de voir l’invisible ou ce qui nous est caché ? C’est ici même la définition de l’ésotérisme que d’aller chercher ce qui semble parfaitement hermétique et occulté, d’aller au-delà de la superficialité qui nous subjugue par ses fausses images, par ses sons imprécis et ses ressentis infidèles, tel l’incohérent montage amateur d’un premier film d’auteur, forcément fictif,  simpliste et rudimentaire. De nombreux signes indiquent pourtant, qu’au-delà des limitations imposées par notre incohérence humaine à saisir l’entièreté de la Réalité, nous pouvons parfois à de rares instants percevoir l’envers du décor et les coulisses du film de l’existence, ce sont dans ces moments que surgissent, telles de surprenantes synchronicités (1), d’ultimes vérités auparavant cachées ou bien des portes qui s’étaient habilement dérobées à notre vue tronquée. Qui contrôle ces nouveaux espaces invisibles ou bien qui cherche à nous les dissimuler ? Et dans quel but malicieux ou bien inavoué ? Les initiés ont depuis des millénaires cherché ces réponses, elles sont à double tranchant, à la fois très proches de nous et si éloignées de nos concepts courants, elles appartiennent à ceux, qui humains ne veulent pas les dévoiler mais aussi à d’autres sphères qui nous en imposent le silence, chacun de ces deux pôles pour des raisons parfois diamétralement opposées…

Qu’il existe des mondes invisibles à nos sens, cela est démontré par la science et très communément admis, par contre ce qui l’est moins c’est que certains humains initiés à des pratiques "d’ordre magique" (pour utiliser à ce stade une tournure générique non différentiée) disposent de cette faculté, de ce don ou sixième sens si l’on veut, pour entrer en contact avec des environnements autrement inaccessibles au commun des mortels ainsi qu’aux entités qui peuplent ces nouveaux horizons. Qui sont ces initiés ? L’on pourrait épiloguer longuement sur toutes ces castes de sorciers, de magiciens ou de druides, voire de chamans pour tenter d’expliquer pour chacun leurs spécificités et leurs orientations, bonnes ou moins bonnes, mais le principal à retenir c’est que certains d’entre eux préfèrent ne rien dévoiler des dits secrets qu’ils ont pu acquérir alors que d’autres en font profiter plus librement des bienfaits potentiels à ceux qui en ont besoin. Pour cataloguer très sommairement : d’un côté des initiés de l’ombre, c’est-à-dire bien souvent issus des forces obscures et ne désirant conserver leur pouvoir pour ne servir égocentriquement que leur propre compte, de l’autre les initiés de la lumière ou plus prosaïquement des praticiens plus ouverts au partage afin d’exercer une magie plus bénéfique et lumineuse. Dans nos sociétés occidentales nous retrouvons ces schémas relativement dissociés, apparemment simplistes, à deux strictes facettes, noire et blanche, radicalement opposées ou très rarement réunies.

Notons rapidement (car il y en aurait beaucoup à dire) qu’il en est tout autrement dans les sociétés orientales, ou non occidentalisées, qui possèdent des doctrines plus mitigées, du moins dans cet aspect où le mélange du noir et du blanc n’est pas si radical, l’exemple le plus parlant étant l’image symbolique du Tao dans laquelle nous retrouvons un point noir dans la surface blanche et inversement un point blanc dans la surface noire, ce qui caractérise ainsi une vue plus nuancée non seulement de la vision du monde mais aussi des pratiques magiques ou spirituelles qui s’y rattachent.  Cette notion assez binaire que nous avons en occident est elle-même à l’image de nos sciences où tout est soit vrai soit faux, sans intermédiaire ou zone grise, tout comme l’informatique avec ses 0 et ses 1 qui ne laisse aucun entre-deux, quoi qu’avec les informations quantiques nous découvrons enfin qu’il existe aussi  une troisième voie, celle du ni l’un ni l’autre ou des deux à la fois ! Ce dernier point est en soi une révolution scientifique qui rejoint paradoxalement des concepts spirituels très avancés qui ont eu cours depuis des millénaires chez les hindouistes avec la Trimurti (2), pour ne citer qu’eux (au passage aussi : les hexagrammes chinois basés sur la transformation sont aussi un exemple de "non-binarité" et de modulation), de même dans bien d’autres dogmes où rien n’est ni complètement noir ou blanc. Ainsi, la spiritualité reste l’apanage plus malléable et ouvert des sociétés non occidentales alors que chez nous s’opère une scission très nette entre la sombre et sulfureuse sorcellerie, problématique "magie noire" de destruction orientée "Thanatos" (3) et la magie opérative blanche, ou rouge si plus orientée "Eros" (4), se positionnant en pleine lumière assurément positive et bénéfique pour résoudre des problèmes, sans en poser d’autres…

Mais, de ces faces cachées ou que l’on ne voudrait pas forcément voir au quotidien dans nos sociétés occidentales via des positionnements plus spirituels ou même magiques, il coexiste aussi la réalité véritablement invisible d’une toute autre nature bien plus inaccessible à nos esprit humains, c’est une réalité située sur une dimension non matérielle, un plan absolument inaccessible à notre entendement logique car son essence dépasse notre imagination et transcende notre esprit captif de notre matérialité. Nous parlons ici d’une dimension karmique, éthérique de haut niveau dont même les plus aguerris d’entre les initiés ne peuvent en concevoir la puissance et les buts qui ne s’énoncent que ne manière symbolique par delà notre compréhension. Cet autre monde véritablement invisible à tous ne nous est pourtant pas étranger, bien au contraire puisque c’est, d’une certaine façon, une autre partie de nous-mêmes, bien plus grande, qui s’y trouve avec une logique d’évolution dépassant de très loin nos quelques dimensions spatiales et temporelle pour définir un mode existentiel infiniment supérieur, immensément complexe et à des années-lumière de notre entendement le plus élaboré. Cet autre nous-mêmes faisant partie d’un Grand Tout doit être considéré comme la trame d’un tissu dont nous ne serions qu’un des multiples fils tissés par des Lois Universelles, véritables entités dans un univers inconcevable où les symboles sont plus vivants que nous-mêmes qui ne sommes qu’un reflet fugace sur la vague mouvante d’un océan infini. Les initiés, qu’ils soient de sombres engeances ou plus éclairés savent qu’une dimension éthérique nous surplombe à l’image d’un lecteur lisant une bande dessinée en passant d’une case à l’autre où nous serions platement inscrits.

Face à ces mondes, intermédiaires ou plus éloignés nous surveillant de haut, l’exigence d’humilité est de rigueur pour ne pas sombrer dans une égocentrique folie furieuse ne menant qu’à la destruction de soi et d’autrui là où au contraire la direction qui nous est suggérée impose l’entraide et la concertation, le partage et la sérénité de l’esprit et de l’âme. Bien entendu, à chaque secret ésotérique il convient de modérer le pouvoir ainsi acquis et d’en faire bon usage, à défaut le pouvoir mal utilisé se retournera contre celui qui tente de s’en accaparer des bienfaits usurpés en oubliant qu’il n’est pas seul au monde, monde humain, monde symbolique de l’éther et monde karmique qui présuppose une initiation bien intentionnée pour perdurer et évoluer. Le profane, pour sa part, aura ce droit de regard et d’information sur ce que sa propre route existentielle lui promet, il pourra de lui-même trouver des réponses ou bien les demander avec les précautions d’usage aux initiés en ayant le droit et les capacités. En qualité de chaman je me suis engagé sur cette voie de l’entraide, elle requiert une grande vigilance face aux forces s’opposant au bien, de même qu’un savoir-faire et une Connaissance que je remercie de m’avoir donné une vision plus large du monde en pouvant élaborer des travaux et rituels utiles aux personnes demandeuses. Comme d’habitude je réponds à toutes les questions concernant cet article, donc n’hésitez pas à me joindre pour plus d’information !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel


(1) Synchronicité : la synchronicité est l'occurrence simultanée dans l'esprit d'un individu d'au moins deux événements mentaux qui ne présentent pas de lien de causalité physique, mais dont l'association prend un sens pour la personne qui les perçoit. Cette notion s'articule avec d'autres notions de la psychologie jungienne, comme celles d'archétype et d'inconscient collectif.

(2) Trimurti : dans l'hindouisme, la Trimurti (trois formes en sanskrit) est la partie manifestée de la divinité suprême qui se fait triple pour présider aux différents états de l'univers.  Les dieux Brahmâ, Vishnou et Shiva symbolisent respectivement la création, la préservation et la destruction.

(3) Thanatos : dans la mythologie grecque, Thanatos (en grec ancien Thánatos) est la personnification de la Mort.

(4) Éros : (en grec ancien Érōs) est la divinité primordiale de l’Amour et de la puissance créatrice dans la mythologie grecque.

 

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En ésotérisme opératif, tout comme en psychanalyse, il est des grands mystères du psychisme humain qu’il est nécessaire d’aborder pour concevoir l’existence vécue ou celle en devenir, c’est-à-dire pour anticiper un futur potentiellement harmonieux pour l’un ou entrevoir si possible une orientation positive de la destinée pour l’autre… En ce sens, vouloir connaître les arcanes secrets d’un individu (ou bien de soi-même) c’est finalement tenter de comprendre non seulement l’aspect conscient qui caractérise cet individu pour en définir activement sa personnalité, mais aussi avoir accès, d’une façon ou d’une autre, à ce que l’on appelle couramment son inconscient, cette sorte de boîte noire très peu accessible en temps normal. Ainsi, les séances de psychanalyse et les travaux de magie ont finalement une presque exacte et même fonction, celle d’entrer dans les méandres de cet inconscient, d’y trouver des signes, d’en interpréter les pistes tout en ayant, tant pour la psychanalyse que pour la magie et l’ésotérisme des terminologies différentes avec des moyens distincts mais des buts parfois identiques : résoudre des problématiques existentielles, un programme souvent long et complexe selon la profondeur du défi en question puisqu’il faudra aller creuser assez loin pour y accéder et en trouver l’essence cachée ainsi que son intrinsèque réelle signification. Les désirs, relations amoureuses ou interactions sociales et professionnelles ne représentent que la partie strictement visible de cet iceberg existentiel d’un apparent quotidien dont on cherche à mieux en comprendre les itinéraires probables sur l’océan de la vie et tenter ainsi d’éviter de trop douloureuses embûches en trouvant des solutions acceptables et constructives.

Mais finalement qu’est-ce donc que cet inconscient ? Une pure invention psychanalytique freudienne permettant de regrouper en un seul terme tout ce que l’on ne sait pas ? Ou bien est-ce une réalité de la psyché humaine dont personne n’ose vraiment parler tant cela dépasse l’entendement ? Les initiés ayant une certaine connaissance ésotérique pensent que Freud avait effectivement perçu une relative part d’ombre (entendre cachée) du psychisme humain en y voyant un côté sombre dans son "ça" du refoulement des pulsions basses et dans son plus lumineux "surmoi" juge de paix essayant de réguler ces mêmes pulsions. Dans ce schéma véritablement hermétique dans sa double symbolique du "bas" (des mauvaises pulsions) et du "haut" (d’une bonne éthique moraliste) Freud voit donc un inconscient dirigé par deux forces opposées dont l’une régule l’autre pour replacer l’individu sur une certaine ligne normative ou plus normale, de cette normalité spéculative qui écarterait par le refoulement les attitudes et pensées non conformes à la vie en société avec autrui (interdisant pour exemples probants : le meurtre, l’inceste, le viol, etc.). Notons surtout que toute la construction freudienne du psychisme tiendrait selon lui sur l’unique et essentielle pulsion sexuelle comme source principale de son processus… En magie l’on sait effectivement que la volonté, le désir et la sexualité sont des moteurs de l’existence avec néanmoins comme sources initiales plurielles celles des énergies, vitale et psychique, qui jouent conjointement un rôle dynamique dans l’évolution avec une autre part énergétique bien plus subtile placée sur un niveau supérieur non accessible et d’ordre karmique qui jouerait ce véritable rôle de régulation, ou plutôt un rôle d’orientation discrète de la destinée via un libre arbitre bien encadré et pleinement assumé en amont…

Là, où Freud ne veut et ne peut percevoir que la seule réalité dite visible de l’existence matérielle qu’avec une conception structurelle psychique et uniquement intérieure à l’individu (consciente et inconsciente), l’initié ajoute une dimension, certes ésotérique, située bien au-dessus de ce psychisme basiquement mécanique pour élargir l’individu à un moi-supérieur, non pas le surmoi freudien mais un moi en dehors de la conscience et dont l’inconscient ne serait qu’un intermédiaire agissant selon des règles karmiques issues de cette dimension supérieure non matérielle. En ce sens, encore une fois pour le citer dans cet article, C. G. Jung, autre psychanalyste précurseur et dissident de Freud, avait effectivement dépassé les premières notions de ce dernier en comprenant cette dimension cachée dont il exposa ces propres archétypes, ces synchronicités et finalement toute l’architecture complexe de la psychologie des profondeurs associée un inconscient collectif plus élevé et proche de cette dimension supérieure d’orientation karmique ou d’archives akashiques propres aux ésotéristes. Ainsi l’ouverture d’esprit de Jung et ses recherches l’ont poussé à concevoir et à nous présenter une méthode psychanalytique axée sur des horizons bien plus larges avec des notions que l’on retrouve assurément dans le domaine de la magie et des principes ésotériques généraux.

Si l’on conçoit que l’inconscient suit des règles non plus morales mais karmiques, alors les logiques purement matérialistes et terrestres ne s’appliquent plus uniquement dans notre réalité restreinte mais s’élaborent sur plusieurs niveaux, dont celui du moi supérieur guidé par ces règles karmiques encadrant l’ensemble du psychisme humain pour la réalisation de son évolution. L’on comprend alors d’autant mieux des concepts de "persona", "d’animus" et "d’anima" issus de la psychanalyse jungienne qui font finalement référence au choix "apparent" de la personnalité du moi supérieur qui s’exprime au niveau matériel terrestre via la sexualité et la différenciation des sexes, féminin et masculin, deux postures complémentaires de l’entité supérieure qui s’apparentent ici-bas à deux typologies sexuelles corporelles, l’homme et la femme. Les initiés ayant cette connaissance ésotérique des "deux mondes", savent que cette sorte de kénose (abaissement ou projection du niveau supérieur vers l’inférieur) implique par cette perte de niveau un choix, celui de l’orientation sexuelle unique (du moins physiquement en grande partie et psychiquement non proportionnellement partagée) et donc du choix de cette posture de "persona" dite sexuée, une personnalité qui s’exprimera socialement selon ce choix, par défaut et par réduction.

Les relations amoureuses, les désirs et par conséquent toutes les interactions sociales seront régies par ces règles (subtiles, invisibles ou inconscientes au sens basique de la psychanalyse) venues d’en haut dont très peu d’initiés en comprennent les tenants et les aboutissants mais dont la magie et les rituels apportent des solutions parfois d’une logique symbolique surpassant celle qui est en cours au niveau terrestre et qui n’est évidemment pas toujours bien comprise, voire plutôt rejetée d’emblée, par les profanes qui ne disposent pas de cette connaissance ésotérique. L’inconscient doit donc être abordé non comme une notion de pulsions et de morale qui s’y oppose mais comme la main invisible du moi supérieur qui guide ses propres choix sur un niveau inférieur avec des règles différentes, non plus morales ni strictement éthiques au sens où nous l’entendons mais au sens karmique qui s’élabore selon une autre logique dépassant la norme existentielle, une autre norme supra-logique souvent difficile à comprendre selon notre entendement terrestre mais parfaitement adapté à notre courte mission de vie ordonnée par notre entité ou moi supérieur qui en suit l’évolution et en guide discrètement la conduite. La logique supra-normale et symbolique des rituels de magie permet d’aborder cette autre dimension supérieure et d’en traduire les aspects les plus compréhensibles et concrètement utiles à notre "réalisation personnelle" en accord avec la volonté supérieure de notre entité guide.

De facto, les travaux de magie doivent s’entendre comme de très précieux auxiliaires d’évolution, comme des outils traducteurs supra-logiques et assurément révélateurs permettant de réconcilier le "haut et le bas", comme l’aurait dit Hermès Trismégiste, dans cette quête existentielle dont chacun un jour se pose la véritable et seule question importante du "sens réel de la vie"… Je reste, si besoin, à votre disposition pour trouver cette quête de sens ou pour répondre à vos questions existentielles sous l’angle ésotérique qui participe le mieux à votre évolution !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel
 

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"Synchronicité", voici un terme presque barbare à l'entendre et certainement sorti du brouillard linguistique pour un très grand nombre de personnes, probablement pour vous aussi lecteur de cet article, et qui pourtant devrait assurément être gravé dans toutes les têtes bien faites tant ce qu'il représente demeure d'une importance capitale dans la vie quotidienne et dans la compréhension générale de l'existence ! Signaler d'emblée cette importance implique une explication adéquate pour que ce terme prenne forme et restitue toute l'intelligence de ceux qui l'ont à la fois pensé mais aussi étudié et expérimenté, principalement le psychanalyste, dissident de Sigmund Freud et son alter ego dans un sens plus spirituel, Carl Gustav Jung. Celui-ci définit la synchronicité comme suit : "J’entends par synchronicité les coïncidences, qui ne sont pas rares, d’états de fait subjectifs et objectifs qui ne peuvent être expliquées de façon causale, tout au moins à l’aide de nos moyens actuels". Pour aller plus loin et en d'autres mots : un "état synchronistique" représente une conjonction de pensées ou/et de faits apparemment indépendants et distincts (la non-causalité du phénomène) qui crée chez celui ou celle qui le vit une coïncidence ou un heureux hasard ayant comme finalité une puissante pensée explicite et originale pouvant changer radicalement sa vision du monde ou sa propre représentation dans ce monde. La synchronicité représente donc l'instant décisif d'une révélation personnelle, telle une étincelle de l'esprit, qui s'impose uniquement à soi et dont on n'aurait pas eu ni l'intuition ni l'aspiration intellectuelle d'en avoir eu une connaissance si claire et puissante en d'autres circonstances dites normales. En général, les synchronicités s'apparentent à des tournants décisifs en terme de compréhension existentielle pour potentiellement réorienter son libre arbitre et ainsi trouver une nouvelle voie, une nouvelle orientation à sa vie.

Parfois, et si l'on cherche à mieux comprendre a posteriori, par exemple une rencontre amoureuse, l'on s'aperçoit alors que cette rencontre était finalement le fruit d'une synchronicité, d'une complexe conjonction d'évènements et de pensées ou de décisions totalement séparées et indépendantes aboutissant pourtant de manière croisée à "un heureux hasard", celui de cette rencontre à ce moment précis dans ce lieu précis avec cet état d'esprit précis, et donc il s'agit pour ce cas assurément d'un tournant important dans la vie qui va par conséquent modifier le cours de l'existence et jouer sur la destinée de la personne. Bien entendu, il existe pour chacun de très multiples façons de voir se jouer ce type de synchronicités, dans le milieu professionnel ou autrement plus personnel, notamment dans des domaines liés à la création, à la recherche ou à l'art où s'exerce de manière encore plus puissante ce phénomène révélateur, unique et intime. Un autre exemple plus courant de synchronicité reste celui de la pensée très fugace à une personne, laquelle appelle au téléphone à l'instant même où cette pensée a pris forme. Télépathie, pensée créatrice, "heureux hasard" ou pure coïncidence, chacun y verra sa propre vérité ou explication, mais il est certain qu'au moment où l'on vit ce type de phénomène l'on comprend qu'il se passe quelque chose d'assez inhabituel, de très surprenant ou de relativement paranormal pour y prêter une attention toute particulière…

De même, les rêves, souvent très confus et peu explicites au réveil, peuvent alors avoir une réelle approche synchronistique lorsque l'on est confronté à une partie de leur signification supposée dans un évènement qui suit dans la journée, par exemple rêver d'une voiture de sport rouge et en voir une quelques heures plus tard accidentée sur le bord de la route peut effectivement entrainer un comportement de prudence qui vient alors immédiatement à l'esprit avec cette sensation de soudaine réminiscence du rêve et de la réalité qui s'entrechoquent encore plus puissamment comme une injonction personnelle à strictement accepter à la lettre. D'autres synchronicités, si celles-ci sont détectées comme telles par celui qui les perçoit, aboutiront à une prise de conscience immédiate qu'il faut suivre l'idée qui en résulte ou creuser le conseil qui en émerge ainsi avec cette intensité de vérité si immédiate, percutante et évidente.

Que doit-on penser de ce phénomène, comment l'interpréter et le détecter, ou même le provoquer ? Par sa définition même, la synchronicité reste totalement imprévisible puisqu'elle n'est rattachée à aucune logique de cause à effet pouvant programmer son arrivée et de facto sa composition. Donc l'on ne sait jamais quand une synchronicité arrivera ni ce qu'elle apportera comme message, l'on ne peut pas anticiper l'impensable non encore réalisé, l'on ne peut pas non plus devenir médium de sa propre vie aux dires des grands initiés puisque ce serait alors tenter de violer les Lois karmiques et aller à l'encontre de sa propre quête existentielle. Pour autant ce que l'on ne peut pas faire soi-même l'on peut le demander, en partie seulement, à ceux dont c'est le métier, c'est-à-dire aux professionnels des arts ésotériques, aux véritables initiés, mages, sorciers ou chamans, lesquels ont cette disposition à voir au-delà des limites imposées à soi-même pour en trouver des réponses ou des orientations. L'on peut alors interpréter la science ésotérique, celle des magies et des rituels comme une source intuitive où puiser des réponses d'ordre synchronistique apportant de précieux conseils à suivre si ceux-ci sont néanmoins disponibles (karmiquement tout ne peut évidemment pas être dévoilé puisque la quête personnelle représente la seule voie à suivre selon un libre arbitre bien encadré à l'avance…).

Certains "outils ésotériques" comme le tarot, les oracles ou le Yi-King peuvent être d'un grand recours s'ils sont bien compris et surtout utilisés dans cette perspective synchronistique pleinement assumée où ce n'est pas la logique cartésienne qui apporte des solutions mais où "d'heureux hasards" se présentent, qui dans les cartes de tarot et des ajustements des tableaux ainsi tirés, qui des hexagrammes du Yi-King auxquels ont aura une explication elle-même synchronistique étant mise en avant mais n'étant strictement compréhensible que par l'intéressé(e) et traduite par l'initié, lequel n'est que le "médium", c'est-à-dire l'intercesseur disposant de la Connaissance requise. C'est ici, encore très justement, toute la puissance mais aussi parfois l'ambiguïté de ces outils que de n'être reconnus et assumés dans leurs réponses que par celui ou celle qui les pose… Néanmoins, ce serait passer à côté "d'atouts chances" importants que de ne pas s'y intéresser et tenter d'en comprendre les subtilités, certes difficiles à détecter et à décrypter mais si intensément révélateurs une fois bien assimilés consciemment !

En ce qui concerne plus précisément le rituel de magie, il passe lui aussi par cette extraordinaire voie synchronistique qui, de par "la rencontre" entre la personne qui consulte et l'initié qui exerce avec son savoir-faire, apporte des réponses avec des éléments symboliques puissants parfois surprenants et en apparence illogiques au premier abord alors que tout est présent pour en extirper la quintessence du propos, l'éclairage des travaux et de leur finalité pour trouver la juste et exemplaire ligne à suivre. Que ce soit d'amour, de chance ou de conduite à suivre dans une situation compliquée, les rituels de magie sont dans ce sens une excellente opportunité d'obtenir à la fois un conseil d'une grande précision mais aussi de toujours se positionner en fonction de la destinée de la personne pour ne jamais la faire dévier de sa mission de vie, restant totalement en accord avec son propre libre arbitre d'en avoir accepté l'issu dans sa demande initiale mais aussi d'en respecter les aspects karmiques qui s'y réfèrent.

Le sujet de cet article étant encore une fois relativement complexe je reste à votre disposition pour en discuter ou même pour étudier avec vous ce que vous pourriez avoir ressenti comme une synchronicité mais sans en avoir compris l'intégralité du sens ou bien l'exacte orientation à suivre, dans cette optique d'éclaircissement vous pouvez me contacter (infos de contact sur ma bannière ci-dessous). Je vous dis à très bientôt avec cette certitude que vous avez lu cet article dans une posture synchronistique qui vous apportera aussi, j'en suis sûr, d'essentielles réponses !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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En notre époque si complexe et troublée nous pouvons nous poser l'essentielle question des limites à notre propre évolution, des limites de notre humanité comme "êtres vivants" sur une planète en péril par notre exubérante activité mais ne serait-ce pas plus simple d'orienter notre regard et notre esprit vers ce qui pourrait non seulement résoudre nos problématiques sociétales, environnementales et sociales tout en abordant à un niveau plus personnel notre substrat existentiel en passant enfin par l'accession à une véritable Sagesse, celle réelle qui aborde l'ensemble de nos questionnements et nous ouvre la grande voie royale de l'entendement humain dans l'universalité qui nous entoure ? Cette question, fondamentale même si elle ne se révèle pas à tous de manière si directe, sous-entend les notions radicales de Bien et de Mal, de ce que nous pouvons chacun en dire pour nous situer sur un curseur dont nous ne pouvons que très subjectivement en définir la trame et l'orientation réelle dans nos propres actions et pensées au quotidien. Penser ce curseur, penser ces orientations et penser ces limites, ce sont là finalement des processus que nous opérons à chaque instant sans pour autant en avoir une intime conscience bien calculée ou bien maîtrisée… N'y aurait-il pas effectivement d'autres mécanismes plus subtils à l'oeuvre qui s'immisceraient dans nos raisonnements et nos décisions ? Ne voyons-nous pas ici encore une certaine limite à l'intégrité de notre individualité et à ce que nous pensons être notre liberté dans l'élaboration de notre si précieux libre arbitre ?

De ces premières questions se dégagent a fortiori des éléments subtils et très discrets, quelques synchronicités dissimulées de-ci de-là, des paramètres existentiels cachés dans la matrice même qui nous constitue, c'est en ce sens que l'ésotérisme existe et tente de révéler à qui peut l'entendre et le concevoir que nous sommes "l'objet" d'une nature plus grande qui nous dépasse et fixe toutes ces limites, que cette nature surhumaine ne nous est pas totalement étrangère ou inconnue, que des failles dans le système permettent d'en apercevoir l'envers du décor pour en appréhender toute la valeur et la profonde portée. C'est le but même de la pratique ésotérique que de vouloir ouvrir des portes qui sinon resteraient fermées dans le monde profane, c'est à la fois un consciencieux travail énergétique sur soi pour avoir aussi le privilège d'éclairer une part du mystère de l'humanité dans ce qu'elle représente dans ce processus d'existence visible mais aussi en s'efforçant de percer quelques essentiels secrets de l'autre côté du miroir qui nous constitue. Pris dans le tourbillon de la vie quotidienne et de ses problématiques profanes, la grande majorité ne peut concevoir que cet envers du décor existe, chacun restant ancré à ses préoccupations du moment, figé dans l'instantanéité immédiate et superficielle des devoirs que l'on s'impose (ou qui nous sont imposés) comme une fixation du réel en une seule image sur un écran, encore une fois le mythe de la caverne de Platon n'est pas loin pour illustrer cette "réalité de surface".

Parler d'ésotérisme n'est donc ni anodin, ni déplacé ou bien encore absurde ou illogique, c'est bien au contraire aller dans le sens réel du courant existentiel qui nous traverse et qui nous guide vers ce en quoi nous aspirons sans forcément le savoir consciemment, vers quoi nous devrions naturellement tendre pour nous réaliser selon un processus qui agit sur nous comme un catalyseur de volonté, de désir et de soif de puiser dans "l'expérience de vie" qui nous est impartie. En ce sens, les outils qui se présentent aux initiés dans la pratique de l'ésotérisme, et selon des modes très hétéroclites s'il en est, apportent des solutions qui se situent au-delà de la simple logique matérielle ou purement scientifique telle que l'on peut la concevoir aujourd'hui avec des protocoles formatés et rigides dans l'encadrement strict de leur domaines respectifs. Il est tout à fait normal de considérer que ces domaines scientifiques leurs soient réservés selon la logique en vigueur, ainsi personne ne remet en question la chute de la pomme newtonienne en ce qu'elle représente de l'attraction terrestre mais ce n'est ici que l'exemple d'une extrême composante visible et restreinte de la réalité, il en va de même de toutes les découvertes scientifiques qui n'ont finalement pour l'heure qu'envisagé la réalité que du point de vue de la matérialité, du plus grand visible que représente l'Univers au plus petit détectable qui se situe au coeur de cette matière subatomique. Pour tout le reste, au-delà de la matière, l'esprit, l'âme, et même la "simple" conscience de soi, ne pourront être explicités par des instruments scientifiques matériels puisqu'ils n'appartiennent pas au sens strict à une dimension physique et s'expriment par d'autres voies que celle de la matérialité pure. Le vent ne peut pas être vu et pourtant il existe bel et bien…

La pratique ésotérique s'exprime dans son cadre d'application, c'est-à-dire à un niveau supérieur de notre dimension existentielle qui en dépend directement et y est reliée, avec ses propres outils que sont, d'une part ce que l'on appelle trivialement la Magie comme processus et comme travail de base; d'autre part cette Magie agit via des rituels qui représentent des processus actifs ayant prise sur le codage de notre réalité tangible et sur nous-mêmes comme composantes terrestres de cette réalité. En terme de Magie il en existe plusieurs catégories selon les orientations et problématiques à cibler, ainsi celles qui nous concernent principalement aujourd'hui : la Magie rouge ou sexuelle dont l'évocation parle d'elle-même (magie de l'amour, du désir, de la libido et des sentiments, etc.) et la Magie Noire qui reste pour un grand nombre d'initiés et de profanes qui en ont entendu parlé une magie dite négative, ce qui n'est pas la bonne qualification puisque la Magie Noire est plus précisément une Magie de destruction ou de déconstruction, une précision très importante qui n'a donc rien à voir avec une orientation soit bénéfique ou soit négative, tout dépend de ce que finalement l'on en fait et comment on l'utilise, seul le but compte et celui-ci peut bien évidement s'avérer positif ou non… Je tiens encore une fois à faire comprendre que les notions de Bien et de Mal que nous avons sur notre plan d'existence n'ont pas les mêmes valeurs et doivent être perçues comme toutes relatives en fonction de paramètres bien plus élaborés incorporant un système d'une extrême complexité puisqu'englobant des notions d'interrelations et de temporalités longues dont nous n'avons pas conscience ou aucune possibilité d'en envisager l'existence in extenso ou le but "karmique" final réel.

Sur un plan supérieur au nôtre, tout comme l'image de poupées russes qui s'incorporent, notre matérialité y est intégrée et est échafaudée selon des schémas existentiels associés à ces orientations dites karmiques, lesquels d'une certaine façon gèrent la structure de notre réalité et de nos missions de vie. Dans cet ordre d'idée nous n'avons pas directement accès à ce processus supérieur sauf si nous passons par des voies détournées qui empruntent les mêmes codes que ce plan supérieur. Ces codes sont principalement "symboliques" (vus comme tels ici-bas) mais très actifs par effet de rebond en retour lorsque l'on sait les intégrer à des rituels de magie fonctionnant sur ce mode opératoire spécifique. Il existe bien heureusement des protections assez efficaces pour déclencher ou non ces "commandes symboliques" que représentent les rituels de magie afin que quiconque ne puisse intentionnellement ou non en détourner l'usage, ce qui représente une précaution bien utile, tout comme le fait qu'un enfant ne devrait pas pouvoir simplement réaliser une bombe atomique en quelques minutes… En ce sens, les protections se déterminent selon le degré d'initiation à l'ésotérisme dont le praticien est habilité à assimiler les notions ou bien dont "on" lui a confié le pouvoir (momentanément ou plus durablement). Ce "on" ne se situe pas ici-bas, cela s'entend bien, et ses décisions sont d'ordre karmique, déjà réglées sur une destination matérielle et temporelle bien orchestrée (ce que nous pouvons appeler "destinée").

Les magies, Rouge et Noire, sont soumises à des protections graduelles que seuls les initiés de haut niveau peuvent appréhender et pratiquer, ceci en accord formel avec les capacités qui leur sont attribuées et les besoins réels de réorientation de mission de vie de certaines personnes qui en auraient la nécessité selon un libre arbitre relativement bien "encadré" qui participe à l'élaboration de cette mission. Ainsi, "au-dessus" et à l'encontre du discours ici-bas de Démocrite et de Jacques Monod, rien n'est laissé au hasard, il n'y a que la nécessité qui prime selon des lois dont nous n'avons visiblement pas tous les clefs sur ce plan d'existence pour en ouvrir potentiellement les portes réservées au backstage de l'évolution. Il ne faut pas voir dans les initiés de haut niveau une sorte de classe supérieure au profane car la charge que porte l'initié est très lourde pour sa propre mission de vie avec de nombreux risques proportionnellement inhérents à sa capacité à modifier le cours des évènements, en effet la responsabilité d'une erreur d'interprétation ou d'une usurpation de sa fonction pour son propre compte pourrait avoir de graves conséquences sur plusieurs niveaux de son intégrité, mentale ici-bas, et spirituelle à un niveau supérieur. De ce fait sur ce point il existe aussi des limites à ne pas dépasser, des orientations dont les variations sont si étroites qu'il est parfois préférable de maitriser le délicat scalpel de la magie avec la plus grande humilité qui soit, associée à une longue et soutenue expérience de la pratique ésotérique dans sa pleine et entière connaissance.

Comme nous le voyons, la pratique ésotérique ainsi que celle de facto des rituels de magie qui en découlent sont très bien encadrés à tous les niveaux, avec néanmoins de réelles possibilités d'ajustements bénéfiques si ceux-ci sont cohérents et en accord avec les orientations karmiques des personnes qui en ont recours. Ce dernier point est à étudier avec la plus grande attention en cas de demandes de travaux de magie, ce que je me propose toujours de réaliser avant de commencer le lancement de rituels adaptés à la situation que l'on m'a exposée. Si cet article vous a apporté des réponses je m'en réjouis d'avance et je reste à votre disposition pour en discuter si vous avez des questions ou des demandes professionnelles, merci dans ce cas de me contacter directement, à très bientôt, ésotériquement vôtre !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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En amour il n'y a jamais aucune certitude, c'est ce qui en fait aussi une histoire à vivre la passion de manière dangereuse mais une chose reste néanmoins sûre : "s'aimer soi-même, c'est l'assurance d'une longue histoire d'amour" comme le dirait avec un peu d'ironie Oscar Wilde. Il est vrai que l'amour que l'on porte à autrui n'est, d'une certaine façon, que la projection du reflet égocentrique que l'on se porte à soi-même, sans vouloir en être l'unique garant ni vouloir en porter toute la responsabilité, ce qui démontre encore une fois toute la complexité de l'esprit humain pour se fourvoyer ou se perdre dans l'autre afin de mieux se retrouver ou tenter de s'y trouver… L'on dit bien "tomber amoureux" ou bien encore "aimer à en perdre la raison", justement tout ceci n'est peut-être pas raisonnable au sens premier du terme. Toujours est-il que l'humain cherche encore la bonne définition de l'amour après tant de siècles passés, depuis l'Antiquité (et même avant) jusqu'à nos jours, le dilemme demeure entier, comment expliquer quelque chose que l'on ne peut saisir, comment finalement comprendre et surtout accepter que nous sommes "codés" à la base même de notre génome pour ne pas pouvoir intégrer une explication puisque celle-ci réside en nous et dicte tous ses choix de manière impérieuse et souveraine. L'amour continuera encore longtemps à manipuler nos esprits, à nous commander pour trouver une sortie du labyrinthe, pour s'insinuer dans l'existence au sein même de notre vivant parcours.

Être en couple, ou aimer, s'apparente par conséquent à une quête de soi "en étant accompagné" pour définir toutes les contradictions qui nous composent intrinsèquement mais aussi toutes les potentialités existentielles qui se proposent à nous dans cet accord d'union révélateur. Les initiés en parlent avec d'autres mots plus ésotériques puisqu’en matière de révélation les flammes de la vie et de l'amour se ressemblent, l'on peut même affirmer qu'elles ne sont constituées que d'une seule et unique mèche, une sorte de fil l'Ariane à consumer en suivant les traces révélatrices qui en résultent et dont le "dessein" oriente vers la sortie, une sortie libératrice, en apparence seulement. D'autres, plus profanes, auront d'autres mots, d'autres définitions plus abruptes, telles celles qui définissent le couple ou la relation comme une sorte de "lien", donc d'enchaînement, non pas seulement d'évènements à deux mais de (lourdes) chaînes à porter à deux pour mieux avancer. C'est un peu dans ce sens que l'article précédent y fait allusion et explique tout l'intérêt de la relation amoureuse et donc du couple en terme d'évolution personnelle et spirituelle, l'on pourra ajouter aussi le précieux concept d'évolution karmique si l'on connait un tant soit peu les rouages invisibles qui nous gouvernent.

Vouloir "récupérer son ex-partenaire" c'est donc aussi vouloir récupérer une partie de soi-même ou vouloir récupérer une partie de cet investissement en temps et en histoire commune dont on sait consciemment (ou non) que c'est ce fil de vie, momentanément rompu ou sur le point de l'être, que l'on cherche à renouer pour continuer la quête et ne pas avoir à se retrouver de nouveau perdu au centre du labyrinthe sans ce fil conducteur déjà en place. Il est par conséquent parfaitement compréhensible de ne pas vouloir "lâcher prise" sur cet amour parfois vacillant comme la flamme qui le symbolise et l'éclaire, il est donc assurément vital d'en comprendre toute la quintessence de ne pas perdre le chemin déjà parcouru en couple et de trouver une solution à son problème. Dans cet ordre d'idée il est normal que de nombreuses personnes cherchent d'elles-mêmes à résoudre ces problématiques de couple qui les concernent en essayant d'en comprendre les causes intimes pour en définir des solutions viables qui permettront de "renouer le lien", de réparer le fil ténu qui retient encore l'autre pour soutenir ces chaînes de l'existence. Mais une véritable question se pose alors, une question qui n'est pas toujours prise en compte : peut-être qu'il serait préférable aussi, pour chacun, de reconstituer d'autres chaînons manquants avec d'autres personnes pour continuer à avancer sur des chemins plus adaptés mais différents… Alors se pose aussi la question existentielle d'une bifurcation nécessaire, celle de s'assurer comme l'alpiniste sur une autre voie à emprunter pour continuer vers le sommet sans avoir à trop sérieusement dévisser. C'est aussi, sur ce point, une solution à prendre en compte, seul(e) ou bien d'un commun accord plus éclairé.

Bien entendu, dans l'absolu tout ceci semble simple à appliquer et facile à concevoir, surtout avec clarté et limpidité lorsque l'on est extérieur au problème; il est effectivement très souvent difficile de trouver son chemin lorsque l'on est dans une situation elle-même qui jette lourdement l'obscurité sur soi et ainsi désoriente foncièrement le jugement et des décisions à prendre, c'est en cela qu'il est important, tout comme le nageur, trop éloigné du rivage, de résolument sortir la tête de l'eau pour mieux percevoir la rive et s'en rapprocher avec discernement sans paniquer. Afin de pallier à cet état de fait, et ne pas tâtonner dans l'obscurité, il est préférable de parfois chercher de l'aide ou du moins des moyens auxquels l'on n'aurait pas forcément pensé soi-même au moment le plus opportun. Il faut savoir que ce n'est pas un aveu de faiblesse que de rechercher des solutions que d'autres possèdent, c'est au contraire d'une grande lucidité que de prendre une bonne décision d'aller chercher des outils permettant de se constituer une représentation fiable apportant des solutions du même acabit. Comme abordé ici précédemment de manière rapide en deux mots seulement, le concept "d'évolution karmique" demeure crucial pour comprendre une démarche saine et efficace, d'un niveau certes complexe à assumer si l'on est profane, ceci afin d'aborder les véritables problèmes existentiels qui sous-tendent ceux qui sont plus communs et visibles au quotidien. Ainsi, sous un angle plus ésotérique, les problématiques, notamment celles des relations amoureuses, deviennent d'une très grande clarté avec une vision nette et brillante des décisions à prendre puisque d'une certaine façon l'angle karmique permet d'entrer dans ce code qui programme l'humain, non pas celui inscrit matériellement dans son génome mais celui, sur un niveau bien supérieur, qui en a fixé les règles essentielles et toutes les potentialités de perspectives évolutives à suivre…

Pour trouver des outils capables d'intégrer matriciellement ce que représente l'orientation karmique d'une personne et ainsi lui dévoiler (en partie seulement) quelques aspects significatifs dans un but de résolution de problème, il est nécessaire de passer par des voies non conventionnelles, par des méthodes plus ésotériques au sens premier, par des travaux dits "de magie" qui eux seuls permettent d'entrer supra-réellement dans le coeur de la problématique liée à la personne, ceci par des rituels ciblés ayant un rôle actif, bien que vus ici-bas comme de purs actes symboliques, lesquels apportent pourtant d'inestimables réponses et solutions à des fins fortement évolutives. Il n'y a pas à "croire" ou à dénier de tels travaux de magie, ceux-ci existent et permettent d'entrer en quelque sorte dans notre code source pour en modifier les paramètres potentiellement ajustables selon les Grandes Lois ésotériques qui régissent notre réalité. Dans cette perspective, je reste à votre disposition pour répondre à vos questions et vous proposer si besoin mon aide en qualité de chaman professionnel ayant l'expérience des différentes magies pouvant vous apporter des réponses et des solutions, en particulier dans le domaine des relations amoureuses et plus précisément de celles qui concernent le couple. Je vous dis à très bientôt en vous souhaitant de vouloir dépasser les murs de votre labyrinthe personnel pour en trouver la porte de sortie qui est la vôtre, véritable point focal de votre évolution karmique.

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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La Chance est un très délicat concept qui semble assez largement échapper à tout contrôle mais pour autant pratiquement tout le monde recherche cette si fameuse et insaisissable Chance dont beaucoup d'ailleurs seraient incapables d'en définir exactement la teneur ou même d'en expliquer clairement une vision personnelle de ce qu'elle pourrait précisément leur apporter. Bien entendu, chacun sous-entend qu'avoir de la Chance dans l'existence est assurément synonyme de réussite sociale, de gloire, d'argent facile et de bien-être total sans jamais avoir à ne déplorer aucun problème ou accident importants. Ajoutons de suite sans l'oublier : une santé de fer, l'amour chaque jour plus fort et une longue vie pour parachever l'image idyllique afin d'en avoir fait presque complètement le tour et nous aurons un tableau bien brossé ! Mais, comme nous le voyons ou présentons, la Chance s'accompagne souvent de son parent assez ingérable et tout aussi indéchiffrable : le Hasard, car à coup sûr l'on ne sait évidemment jamais exactement comment se dérouleront les "heureux évènements" ni quand, à défaut même qu'ils arrivent un jour… Alors comment définir ce concept et tenter d'en extraire quelques vérités ésotériques utiles ? Surtout dans un premier temps en faire comprendre la réelle essence, et dans une deuxième étape se poser l'excellente question de ce que représente surtout la Chance "pour vous dans votre vie", ainsi que les principaux moyens d'y parvenir par des voies détournées au-delà de cet horizon des possibles.

Mais qu'est-ce que la Chance, ou déjà qu'est-ce qu'elle n'est pas ? Ce qu'il faut bien savoir avant tout c'est que l'intellect, se limitant à ce qui est en nous avec nos perceptions réduites pour tenter d'analyser ce qui est hors de nous, ne peut absolument pas concevoir toute l'immensité de notre environnement, toute sa complexité multiforme et toutes les potentialités induites : il nous est donc parfaitement impossible de saisir toutes les opportunités, les bonnes et surtout les meilleures pour en profiter intégralement mais aussi les mauvaises, voire les pires pour les éviter toutes. Par conséquent le mental ne peut être que dépassé par la réalité sur laquelle il se pose sans arrêt des questions, et celui qui dirait qu'il peut, uniquement via sa propre intelligence corticale, concevoir à l'avance toutes les opportunités chanceuses et écarter aussi tous les dangers serait un affabulateur et un complet mythomane, déjà en se mentant à lui-même. Notons qu'à la limite, celui-ci, même le plus intelligent du monde, ne pourrait prendre en compte que les quelques paramètres directement perçus qui lui sont proches, qui lui sont connus et compréhensibles, pour en modéliser les miettes d'interactions à portée afin de trouver "astucieusement" quelques petites pistes avantageuses pour sa personne. Cette attitude, parfaitement basique (et par définition limitée) analyse avec a fortiori une "certaine confusion mentale" ce qui nous environne mais ceci ne représente pas une recherche en soi de la Chance pour la "forcer", celle-ci ne peut pas être captée depuis un raisonnement intérieur, cette attitude signifie simplement que vous cherchez tout au plus dans votre milieu ambiant immédiat (social, professionnel, intime, etc.) à être aussi "malin" que ceux qui vous entourent pour profiter de situations relativement simples et totalement prévisibles.

La Chance fait donc essentiellement partie du domaine de l'invisible, c'est un concept intangible, immuable par nature, qui ne se situe que dans un "absolu des possibles", nos sens communs ainsi que notre intellect cloisonné ne peuvent rien en percevoir et encore moins anticiper ce qui ne pourrait être ni perçu ni interprété par le mental, il faut par conséquent ne pas le chercher mais le laisser venir à nous en laissant de côté notre Ego qui délimite et formate ce même mental, il faut au contraire écarter l'intellect réducteur et dissoudre l'Ego pour accéder, un moment seulement, à cet absolu des possibles. Ce n'est qu'en laissant remplir ce vide ainsi créé par ce phénomène d'éloignement volontaire de l'Ego et de l'emprise du mental que l'on peut se rapprocher de cet absolu, ce phénomène porte une dénomination bien connue de tous : la méditation, pour autant sa bonne pratique et sa profonde connaissance sont généralement totalement hors de portée de la grande majorité des personnes, lesquelles sont bien trop "occupées" dans l'enchevêtrement des considérations du quotidien et dans la "réflexion du mental" (miroir actif et confus de l'Ego), elles ne peuvent prendre le temps nécessaire d'en apprendre la science, assurément ésotérique par essence.

Bien que la méditation soit un moyen d'accéder en quelque sorte à une dimension supérieure positive ayant cette capacité d'apporter librement des informations codifiées pour réorienter le mental dans une bonne direction et donc laisser entrevoir un horizon des possibles prometteur (comprendre "chanceux"), elle ne permet pas à tout un chacun de saisir consciemment la Chance telle que communément reconnue mais de fournir au contraire des itinéraires personnalisés dont la personne aura spécifiquement besoin pour son évolution, c'est en cela que la véritable Chance agit : elle n'indique que la "part de chance" manquante et nécessaire pour se réaliser pleinement dans l'existence et ainsi réussir ses objectifs karmiques, lesquels induisent par un "heureux hasard" (diverses synchronicités) des actions bien concrètes ayant ces répercutions positives dans la vie. C'est donc en étant à l'affût de ces synchronicités, lesquelles sont néanmoins complexes à interpréter, que chacun pourra en tirer des avantages conséquents sous la forme de situations où cet "heureux hasard" apportera la bonne opportunité, au bon moment, avec les bonnes personnes au bon endroit. Chacun a déjà vécu ces instants ou ces périodes où tout "semble rouler" parfaitement et s'enchaîner comme les pièces d'un puzzle que l'on pose successivement et dont on découvre l'image finale avec cette fierté d'avoir réussi une étape importante et positive.

Comme je viens de le signifier assez clairement, la Chance est donc un facteur de réussite unique et propre à chacun selon son histoire personnelle, et plus conséquemment selon son orientation karmique que l'on doit considérer comme une main invisible guidant avec justesse la personne dans l'infini des possibles d'un labyrinthe existentiel auquel elle est confrontée chaque jour. Évidemment, et comme je l'ai aussi dit précédemment, tout le monde n'est pas sensiblement à l'écoute de ses fugaces synchronicités pour en saisir ou même en comprendre tout l'intérêt et y voir s'incarner la vision discrète des messages du karma. Dans tous les cas, juste un premier conseil : soyez à l'écoute de certaines pensées apparemment inhabituelles ou saugrenues, celles-ci sont peut-être de cruciales informations à interpréter, idem pour les rêves qui peuvent (pour ceux néanmoins qui s'en souviennent) être très instructifs même s'ils semblent totalement incohérents à première vue… Deuxième conseil pour ceux et celles qui n'auraient ni le temps, ni la possibilité de se pencher sur cette problématique de la Chance, surtout si pour vous celle-ci se fait absente ou semble s'éloigner : il existe des rituels de magie permettant de dévoiler (en partie seulement) les grandes orientations karmiques et ainsi commencer à entrevoir les bons itinéraires existentiels à emprunter pour "réussir sa vie", du moins vous l'aurez compris "réussir les bons objectifs pour évoluer positivement".

Dans cet ordre d'idée, et si vous me suivez sur ce blog vous savez que je propose mon savoir-faire professionnel en qualité de chaman, par conséquent vous pouvez à tout moment me contacter librement et sans engagement pour que je puisse répondre à toutes vos questions, notamment celles qui traitent des sujets des articles que vous lisez et qui je l'espère vous apportent déjà quelques lumières "ésotériques" utiles pour la compréhension de cet univers pour le moins hermétique pour la plupart des profanes (et même pour certains initiés !). Pour ce faire voyez les informations sur ma bannière ci-dessous. Je vous dis à très bientôt et ne laissez pas passer votre Chance en saisissant les opportunités qui se présentent ouvertement à vous !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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Certaines personnes réussissent tout ce qu'elles touchent sans aucun effort ou presque, elles accumulent outrageusement les succès là où d'autres s'acharnent à grappiller quelques miettes après un laborieux travail non récompensé à sa juste valeur : pourquoi donc tant d'injustice dans ce monde pour constater une si grande différence, pourquoi le sort bénéficie il si bien aux uns et si peu aux autres ?! D'ailleurs ce constat n'est qu'un rappel que chacun aura pu constater par lui même, nous avons tous connu des personnes extrêmement chanceuses, sans aucun problème, à qui tout réussit de manière presque exceptionnelle et irrationnelle, et inversement d'autres qui ne cessent de collectionner les ennuis et les accidents de la vie à un tel point que l'on pourrait croire qu'elles ont été touchées par un sortilège ou par une malédiction ! Alors effectivement, que penser en ces temps il est vrai difficiles où chaque petite victoire devient une fête, ou chaque avancée positive se doit d'être célébrée tant elle devient rare ou de moins en moins habituelle alors que la grande majorité des gens y travaille activement avec application pour en être récompensé mais dans les faits sans réel succès notable à la clef… Faut-il croire finalement qu'il existe un secret jalousement gardé par une minorité ou que la destinée de certains individus est écrite à l'avance pour leur faire bénéficier des largesses d'un heureux hasard qui ne dit pas son nom ? Selon moi non, mais les choses sont plus compliquées, en apparence seulement car la Chance appartient à tous et parfois il suffit de sentir sa simple présence pour la trouver et profiter de ses bienfaits ! La garder reste certes une autre affaire…

Se poser la simple question afin de comprendre ce qui différencie une personne chanceuse d'une qui attire la poisse à chaque instant, c'est peut-être commencer à percevoir le début d'un secret qui se dévoile, du moins c'est certainement être sur la bonne voie en vue de mieux comprendre ce phénomène où les extrêmes ont quelque chose en commun qui s'exprime de manière inverse… Là où un profane n'y verra qu'une malencontreuse situation (notons que le terme "malencontreux" dispose lui-même d'une connotation "hasardeuse" orientée du mauvais côté de la barrière), une personne plus initiée ou plus clairvoyante sentira le souffle puissant non pas de la chance ou de la malchance mais de l'expression d'un karma dans une situation propice à en restituer tout le poids, bon ou mauvais. Expliquons plus en avant cette notion "d'expression karmique" dans son contexte avec deux exemples basiques courants. Tout ou presque dans nos vies correspond à une expérience à suivre, qu'elle soit bonne ou mauvaise n'a que peu d'importance finalement du moment que cette expérience est réellement vécue avec cette mission première d'apporter une leçon, tout comme le feraient deux étudiants en arts dramatiques sur une scène de théâtre avec un maître, l'un jouerait par exemple l'homme bon, honnête et heureux, l'autre se chargerait de jouer le rôle de l'homme tortueux, mauvais et dangereux. Sur scène, que ce soit l'un ou l'autre qui jouent tel ou tel rôle, cela n'a strictement aucune importance, tous les deux sont dirigés par le scénariste ou par le metteur en scène qui leur donne assurément le ton, les paroles et les actes à suivre pour se trouver en phase avec leur personnage et donc en apprendre l'expérience du jeu d'acteur.

Dans la vraie vie, cela est exactement la même chose, à un détail près que les acteurs, c'est-à-dire nous tous, ne sommes pas conscients du rôle que nous jouons (sauf les grands initiés), nous pensons être dans une immuable et unique réalité, nous pensons que notre moi (qui n'est autre que notre Ego ressenti et actif dont nous sommes captifs ici-bas) nous représente dans notre intégralité intrinsèque et fondamentale, ce qui est faux, car nous avons une dimension bien plus haute, bien plus élevée que nous ne pouvons pas percevoir dans cette matérialité qui nous enserre comme un costume impossible à ôter, si d'ailleurs l'on cherchait à l'ôter, alors l'on se déferait naturellement de sa simple vitalité physique ("pneuma" : souffle vital) et immédiatement l'on mourrait, au sens physique mais certainement pas spirituellement, nous serions alors comme ces acteurs de théâtre, sortis d'un rôle en déposant le costume de scène, pouvant alors discuter plus clairement avec les autres personnages de la pièce et avec le scénariste en chef ou le metteur en scène, voire avec l'accessoiriste ou avec le concepteur du décor… Il est vrai que la réalité telle que nous la concevons avec nos seuls sens est une illusion, les hindouistes l'appellent "mâyâ", l'illusion de réalité matérialiste, celle que nos yeux perçoivent, que nos oreilles écoutent et que nous mains peuvent toucher et ressentir. Dans cette perspective, le bonheur, la Chance et les différents contextes où se mêle ce qu'apparemment nous jugeons (bon ou mauvais pour nous) n'est aussi qu'une illusion, une perception faussée, comme celle du film qui se déroule à plat sur l'écran de cinéma, ce n'est pas la réalité objective et véritable mais uniquement son reflet, sa résonance vibratoire sur la matérialité des choses. Platon avec son mythe de la caverne expliquait exactement ce même concept avec ses mots antiques et ses moyens de l'époque.

Prenons donc deux personnages, ou plutôt bien entendu ici-bas deux personnes différentes vivant dans notre matérialité ambiante sur Terre; l'une apparemment très chanceuse et heureuse, l'autre au contraire d'une grande malchance induisant presque tragiquement son malheur ressenti. Dans cette orientation, "l'expression karmique" dont il est question est à l'image d'une sorte de "script existentiel", c'est ce dont il est question à notre niveau, c'est-à-dire un scénario terrestre imposé et que chacun doit suivre, le tout en sachant que notre "moi supérieur" en a intégralement accepté le rôle pour se parfaire de son jeu, du moins (puisqu'il est acteur d'une scène de vie) il en a accepté toutes les variantes existentielles avec la potentialité d'en choisir les parcours sur une voie multiple déjà tracée, dans ce sens il aura le choix (tout relatif) de "jouer à sa vie" de manière modulée selon une destinée définie. Le libre arbitre dont nous pensons être les seuls acteurs conscients de nos décisions est aussi une relative illusion puisque sur cette autoroute existentielle nous ne choisissons que l'une des voies à emprunter pour aller irrémédiablement vers la même destination, ou destinée… Comme tout acteur nous pouvons donc choisir la manière dont nous pourrons jouer les scènes à venir, emprunter telle ou telle voie plus heureuse ou plus compliquée, sachant que ce point crucial nous revient pleinement via ce libre arbitre en demi-teinte mais très pratique pour ce qui nous intéresse : s'octroyer la chance d'une voie disponible ou bien la malchance d'une autre qui comporte visiblement (ici imagé) des dos-d'âne ou des nids de poules pour nous ralentir (et même parfois endommager notre "véhicule" : notre corps physique et notre "mental bas" que l'on nomme si fièrement "intellect").

Ainsi, pour illustrer plus en avant, une personne s'adonnant (par exemple) à la boisson ou à une drogue destructrice sera sur une voie compliquée et potentiellement dangereuse pouvant abîmer sa santé (physique ou mentale) et par conséquent lui faire louper des virages serrés dans sa vie commune, avec parfois des accidents à la clef sur sa route existentielle. Il en retirera tout de même des leçons de vie, et peut-être même celles qui lui faisaient défaut dans son répertoire si l'on reprend l'allégorie de notre acteur jouant sa scène et suivant le registre écrit selon un scénario dont il a accepté toutes les modalités comportementales et contextuelles… Mais tout n'est jamais noir ou blanc, ainsi même dans des situations difficiles il pourra en résulter des voies très acceptables et même très bénéfiques a contrario de la trame première de la scène, car n'a t'on jamais vu un excellent acteur improviser et apporter à son personnage une aura plus brillante encore que celle écrite dans le scénario initial ? Cela arrive souvent, c'est possible et même très apprécié des metteurs en scène que de voir leur personnage si bien exprimé avec un volume d'expression encore plus exigeant et complexe que ce qui était prévu. Pour ceux qui son cinéphile, l'exceptionnel film "The Game" de David Fincher pourrait ici parfaitement illustrer ce type de scénario, de personnages, de décors, de script et de dénouement final presque "hors sol" (sans faire de jeu de mots si vous connaissez la scène de fin) tant tout ceci est finement abouti et représentatif.

La Chance, c'est celle qui vous permet de jouer du libre arbitre dont vous disposez dans ce cadre prédéfini pour jouer votre personnage avec cette subtilité qui ne peut survenir qu'avec l'expression karmique, laquelle reste sous-jacente et s'immisce avec science depuis l'inconscient supérieur vers la conscience terrestre basique d'en percevoir les lignes directrices (certaines) afin d'en prendre les chemins les plus bénéfiques, les plus avantageux au sens "terrestre du terme", la Chance c'est cela : apporter sa touche subtile, prendre subitement une orientation peu usitée mais possible, diverger vers la voie rapide qui apportera un succès quelconque (richesse, bonheur accompli, gain, réussite, ou ce qui vous "semble" ici-bas faisant partie du scénario tout en l'interprétant à votre façon !). Ceux qui n'ont que le souci de suivre passablement les flots selon les courants habituels et faussement sécurisés, sans emprunter d'autres voies plus créatives ou originales, n'auront que peu de Chance d'orienter cette part de hasard bénéfique et d'en retirer un gain autrement plus substantiel ou avantageux ("dans le sens" qui leur convient). Il existe des moyens, des rituels et des travaux à suivre pour profiter plus consciemment de cette volonté de prendre sa destinée en main, il faut assurément s'en donner la foi, cette certitude que le "jeu de la vie" apporte aussi sa part de Chance à découvrir. Joignez-moi pour en discuter et découvrir cette part qui vous revient, c'est à cet instant même que vous jouez peut-être votre Chance d'orienter votre vie différemment ! Pour me contacter merci de voir ma bannière ci-dessous, à très bientôt, selon votre libre arbitre conscientisé !

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #spiritualité, #Chamanisme, #destinée, #rêve lucide, #Rituels de magie, #ésotérisme, #sphère étherique, #zone astrale

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Nous passons une grande partie de notre existence dans un état non conscient lorsque nous dormons et nous savons tous que nous rêvons même si beaucoup ne se souviennent pas de leurs rêves ou seulement de manière très parcellaire et fugace, mais seuls certains initiés savent que le domaine du rêve peut apporter des réponses, voire des solutions à nos problématiques existentielles, c'est alors toute une science et même un art que d'en dévoiler les secrets pour parvenir non seulement à se souvenir de nos expériences oniriques mais aussi et surtout d'entrer en pleine conscience dans cet univers pour en diriger les aspects les plus significatifs avec une ferme mais sage volonté pouvant amener à ce que l'on appelle "le rêve lucide". Diverses méthodes existent pour arriver à un tel exploit qui requiert néanmoins pour le simple profane qui s'y adonne une discipline à la fois complexe, régulière et souvent éprouvante puisqu'il faudra plusieurs années d'expérience pour commencer à percevoir des résultats satisfaisants. Dans de nombreuses traditions ancestrales le rêve, qu'il soit lucide ou non, est considéré comme une incitation à interpréter ou à suivre ce qui a été entrevu ou suggéré, cela peut être une simple information ou bien une forte recommandation, voire un avertissement… C'est en cela que le rêve dispose d'une extraordinaire capacité de dévoilement d'un futur qui pourrait arriver ou que l'on devrait éviter, certains y verront seulement la faculté que possède notre cerveau à compiler une grande masse d'informations pour en restituer une trame personnelle plus ou moins cohérente, d'autres, plus sages ou expérimentés, y verront quant à eux le message provenant d'une sphère mentale dans laquelle nous pouvons voyager et rencontrer des entités de très bon conseil (ou au contraire perturbatrices).

Dans tous les cas il y a un grand intérêt à se souvenir de ses rêves, ils sont le reflet de ce que nous sommes aussi mais vu sous un angle essentiellement "mentalisé" où l'expérience onirique aura su se défaire des lois d'une réalité matérielle trop étroite pour s'exprimer entièrement, ainsi c'est en totale liberté d'action que se meut la psyché dans cette dimension extra-corporelle ouvrant la porte à tous les possibles. Pour qui se souvient d'un de ses rêves, l'expérience ne laisse jamais insensible, elle apporte cette surprenante sensation d'avoir rencontré l'inconnu, d'être soudain sortie d'une mythologie personnelle vécue avec ses décors, son récit et ses personnages. Pour autant l'aspect le plus perturbant réside dans cette réminiscence que, d'où l'on vient de sortir, la réalité n'avait jamais été aussi puissante, aussi précise et cohérente. Mais le rêve s'efface rapidement sous le poids d'une autre réalité plus matérialiste qui replace presque instantanément ses propres logiques et son propre formatage comme si l'information se devait d'être de nouveau modelée à l'environnement immédiat pour être validée par le corps et par l'esprit dans une fusion parfaitement recalibrée. Ainsi il y a comme une incompatibilité entre deux mondes, entre deux réalités puisque celle du rêve existe aussi et que l'on ne peut pas affirmer qu'elle n'est pas réelle, elle dispose juste de lois et de règles qui sont différentes, qui s'entendent selon des prismes intellectuels et mentaux basés sur d'autres schémas, sur ceux qui appartiennent à la spiritualité et au détachement du corpus physique.

Vouloir s'attacher à retrouver cet univers onirique où se cachent d'autres secrets sur nous-mêmes, c'est vouloir retrouver sa part de spiritualité qui se situe au-delà de la vision du commun, c'est s'approprier l'autre face de notre réalité avec ses codes et ses logiques, avec aussi des temporalités qui n'appartiennent pas à la physicalité d'ici-bas. Il y a donc une promesse de voir autrement, de voir plus loin et plus haut, et certainement d'en apprendre plus sur nous et notre devenir en entrant paradoxalement dans le monde des rêves, et sans vouloir ajouter à la confusion des termes en entrant dans ce sommeil dit "paradoxal". De ces quelques premiers constats l'on pourra comprendre pourquoi il y a un intérêt certain à se souvenir et ne pas boire l'eau du fleuve Léthé, ce fleuve infernal de l'oubli, afin de fixer toutes ces informations, même les plus invraisemblables puisqu'elles participent à la construction spirituelle de notre entière psyché et à notre devenir en qualité d'être plus complet. Mais il est vrai que notre monde matérialiste refuse catégoriquement son association avec l'onirisme tant les codes sont différents et parfois opposés, ainsi l'on nous apprend très jeune à ne pas "être un rêveur", à agir selon une logique mentale issue exclusivement du cartésianisme ambiant qui de ce fait nous oblige à "avoir" plutôt qu'à "être", à posséder l'extérieur de la matérialité plutôt qu'à entrer dans notre intériorité spirituelle pour la développer. Le chamanisme a su naturellement intégrer cette double facette d'une réalité à plusieurs niveaux sans en privilégier l'une par rapport à l'autre mais au contraire en tirer des leçons de la spiritualité issue des rêves pour apporter des solutions pratiques à mettre en oeuvre au quotidien.

Le chaman, de par son initiation poussée, est un voyageur de l'extrême en terre hautement spirituelle, il navigue avec son esprit sur des océans peuplés d'entités diverses qui tantôt lui prouvent leur gratitude, tantôt cherchent vainement à l'attirer vers le bas, vers cet astral où vivent des aberrations, des monstres et des démons. C'est évidemment en abordant les hautes sphères éthérées qu'il rencontrera les entités les plus emplies de sagesse qui promptement viendront lui proposer leur aide sans autre contrepartie que d'avoir effectué leur devoir. Bien entendu le profane ne peut se muer du jour au lendemain en un chaman expérimenté ou en un moine tibétain pratiquant le "yoga des rêves", par contre le profane peut consulter l'initié pour lui soumettre ses demandes afin de trouver des solutions propres à le faire évoluer selon le meilleur chemin de sa destinée, et parfois la solution est si simple et évidente que le profane n'en voit pas la proximité immédiate en ne regardant pas dans la bonne direction ou en pointant son regard sur un lointain horizon impossible à atteindre, ce qui trop souvent le décourage de continuer à chercher et surtout l'empêche de vouloir évoluer plus en avant. Ce travail sur soi, d'exercer avant tout sa volonté souveraine de suivre sa propre voie, il ne doit pas y renoncer, bien au contraire, le profane peut envisager des travaux via des rituels connus de l'initié que ce dernier pourra adapter à sa demande légitime. Ces travaux, qu'on les nomme "accompagnement spirituel" ou plus basiquement "travaux de magie", ne seront que des fondations désirées afin de construire par la suite sa propre architecture personnelle selon ses propres plans. Ainsi l'initié peut emprunter l'itinéraire onirique du demandeur, surfer sur ses rêves pour tracer la meilleure voie et la lui restituer, lui évitant les mauvaises rencontres en eaux troubles pour qu'il arrive à bon port bien accompagné par un équipage de confiance et de haut niveau.

La lecture lucide des rêves n'est pas l'apanage de tout un chacun, rares sont ceux qui non seulement réalisent cette haute potentialité spirituelle mais aussi qui savent en faire profiter autrui en prenant en charge la responsabilité karmique d'un tel don en accord selon les Grandes Lois ésotériques à suivre à la lettre. Étant chaman professionnel je dispose de cette Connaissance et du devoir d'en partager les ressources à ceux qui me le demandent dans le cadre de mon métier en effectuant des travaux et des rituels appropriés, par conséquent vous pouvez me soumettre vos requêtes afin que je trouve les meilleures voies de résolutions de vos problématiques en interrogeant les entités communes à nos sphères spirituelles et oniriques. Le monde que nous côtoyons chaque jour dans la physicalité que nous impose le matérialisme de nos sociétés n'est que la surface superficielle de la véritable Réalité qui se situe au-delà de la vision profane, donc j'espère vous apporter par mon savoir-faire une autre vision plus élevée depuis laquelle la plupart des tracas et embûches trouveront des réponses pour les dépasser et évoluer sur d'autres horizons plus sereins et bénéfiques. N'hésitez pas à me joindre pour en discuter de vive voix par téléphone ou en m'écrivant, vous avez mes informations de contact ci-dessous sur ma bannière de site ci-dessous. Je vous dis à très bientôt et soyez attentif demain à votre réveil en attrapant votre rêve avant qu'il ne s'éloigne trop vite !

Jean-Pascal Bruno, chaman professionnel

 

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