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Blog chaman ésotérisme

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Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

haute magie

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En matière de relations amoureuses ou de problématiques de couple, le domaine est si vaste que toutes les magies sont effectivement intimement impliquées, mais il en est une qui se détache de loin puisqu’elle cible au plus près la plupart des demandes, c’est la Magie Rouge. Néanmoins, loin d’être uniquement des magies annexes ou moins adaptées, la magie blanche ainsi que la magie noire auront aussi toutes deux d’importantes applications dans des contextes plus complexes ou plus difficiles liés au relationnel. Pour rappel, la magie rouge est totalement spécifique au domaine de l’amour, des sentiments, de la sexualité et du désir, donc l’on pourrait a priori s’en contenter pour résoudre ces grandes orientations dont on sait qu’elles sont une priorité pour la majorité des gens qui désirent améliorer leurs relations amoureuses ou bien trouver un nouvel élan dans leur couple. Pour autant, la magie blanche reste nécessaire dans ces situations où l’on doit aussi en amont plus ou moins "réparer" une relation en berne, avec un apport d’énergie ou de soin énergétique, tandis que pour la très polémique et dangereuse magie noire l’on pourrait assurément avec raison s’en méfier si l’on doit parler d’amour alors que son axe principal d’action se situe plutôt sur une assez singulière voie de destruction et de détournement, voire d’emprise négative ou d’appel d’entités peu recommandables…

Ce tableau, dressé rapidement en termes de différentes magies, s’apparente à celui qu’aurait un bon novice en la matière ou bien un non-initié relativement bien informé, ce qui serait déjà une belle avancée en ésotérisme pratique ou en magie opérative tant l’ensemble de cette discipline est à la fois complexe à comprendre à tous les niveaux mais aussi difficile à appréhender en ce qui concerne les véritables connaissances trop souvent perçues de manières superficielles ou totalement erronées (il existe en effet beaucoup d’ouvrages d’initiation, peu sont fiables ou très explicites pour qui voudrait s’informer réellement). Notons enfin que la magie demeure aussi un Art, tout comme le sculpteur, à chaque avancée sur son œuvre il en comprendra encore mieux la portée en pratiquant tout en sachant qu’à tout moment il pourrait casser le marbre en orientant mal ses outils sur l’ouvrage. L’expérience, longue et laborieuse est ainsi la plus utile, véritable partenaire du parcours de celui ou celle qui s’aventure sur le chemin de la magie qui comporte ses signes, ses directions, ses interdits mais aussi à chaque instant d’insoupçonnables potentialités mises à disposition pour qui sait opérer.

Dans cette perspective, et pour les initiés de haut niveau, les frontières entre les différentes magies citées n’existent qu’en apparence, de manière purement normative et presque fictive, bien au contraire elles se fondent et s’interconnectent, elles ne s’excluent pas, elles coopèrent, entre la relativité d’un probable chaos et d’un ordre en inertie vers l’instabilité, en équilibre entre le survol et la chute. Le point de vue est crucial, l’analyse pas toujours rationnelle et la réponse parfois paradoxale pour arriver au but recherché. Ainsi, certains rituels de magie tombent sous le sens et adviennent au bon moment alors que d’autres rituels plus sulfureux en apparence sont la véritable solution au problème en question. La règle en magie est donc qu’il n’y a pas de règles écrites, elles s’écrivent au fil du temps et des situations, elles gravitent là où parfois on ne les attend pas. Dans cet ordre d’idées l’invocation d’entités, supposément en magie noire, pourra résoudre des problématiques amoureuses ou bien rééquilibrer des relations de couple, ainsi rien n’est interdit, seule la bonne pratique de ces divers équilibres saura rétablir la volonté de voir advenir une situation plutôt qu’une autre.

Le retour d’affection d’un mari qui veut que sa femme revienne, ou l’inverse, qu’une femme désire que son mari lui soit fidèle, deux cas typiques de travaux en magie rouge qui pourront aussi trouver des solutions via d’autres types de rituels plus élaborés par l’invocation d’entités spécifiques pouvant plus radicalement porter cette volonté de retour de l’être aimé, même si les moyens mis en œuvre pourraient paraitre au premier abord des plus incertains, voire dangereux. Le violent coup de burin du sculpteur n’en est pas moins celui qui détache la pierre pour en faire apparaitre la matière désirée, le but de l’œuvre finale recherchée. Déjà en magie rouge, l’utilisation de ce que l’on appelle les dagydes (sortes de poupées vaudoues à l’effigie du partenaire ou de la personne à cibler) pourrait assez facilement sentir le souffre pour la classer en magie noire, pour autant cet "envoûtement amoureux" ne fait pas frémir les demandeurs si les résultats sont au rendez-vous… En matière de vaudou pourtant nous pourrions nous retrouver en plein territoire de la magie noire, avec des invocations d’entités jouant avec la représentation issue de la dagyde pour instiller une volonté de rapprochement (entendre "de retour affectif").

La puissance des rituels d’invocation n’est plus à démontrer, elle assure une aide extérieure certes très ambiguë, mais elle cible le problème véritable tout comme le ferait le laser sur une tumeur à supprimer. L’on ne s’attaque pas aux maux d’un problème sans utiliser une puissance au moins égale à disposition, celle de la magie noire et de ses entités disponibles peut donc s’avérer la plus efficace à entreprendre lors de travaux de magie si ceux-ci en requièrent l’utilisation. Bien entendu il existe toute une graduation dans cet équilibre des marches à emprunter pour arriver à s’élever jusqu’à la meilleure solution, à chaque situation et contexte l’on devra apparenter un mode opératoire en bonne adéquation, il ne s’agit pas d’envoyer un bulldozer contre un mur pour enfoncer un simple clou ! C’est justement à ce niveau de compétence que l’on appréciera l’initié et le praticien en haute magie de tout autre qui ne saura pas trouver l’exact étalonnage en matière de rituel, notamment dans ce domaine si précis de l’Amour et des relations humaines.

Sur ce point n’oublions pas qu’en ce qui concerne lesdites entités en question, toutes ne sont pas foncièrement négatives, par contre elles disposent néanmoins d’une incommensurable puissance qui parfois pourrait "dépasser le cadre du sujet", c’est-à-dire en d’autres mots, qu’un sorcier pourrait, s’il n’était pas assez avisé dans l’utilisation de ses propres capacités, se voir totalement dépassé durant les travaux et ne plus rien contrôler et effectivement mettre en danger les personnes qu’il doit aider… C’est surtout dans cette perspective de risque et de potentiel danger que la très grande majorité des praticiens se contentent uniquement de la magie rouge et délaissent la délicate frontière d’une magie noire qu’ils ne maitrisent pas toujours dans ses nuances de tonalités. En qualité de sorcier-chaman, je connais les risques de cette très efficace magie d’invocation, je dispose aussi pour ce faire et si nécessaire de rituels d’encadrement et de protection afin de pouvoir en proposer la pleine puissance sans en dépasser les limites imparties, lesquelles nous imposent de suivre les Grandes Lois universelles que tout initié de haut niveau doit impérativement connaître ! Je reste bien évidemment à votre disposition pour toute question sur les rituels d’invocation en amour.

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

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Visions chamaniques de Pablo Amaringo

En occident, les substances psychédéliques ont non seulement presque toujours eu très mauvaise presse mais sont, ou ont été pour la plupart, interdites et durement réprimées par les états y voyant avant tout un facteur de désordre social et un grand danger sanitaire. Pour autant, l’ensemble des produits issus de ces substances chimiques psychoactives pourraient très bien faire partie de la pharmacopée usuelle ou le font déjà sous d’autres formes et d’autres noms, passant ainsi du registre de drogues illicites à celui plus commode et surtout plus vendeur de "médicament"… Ainsi, et pour être plus réaliste, le statut de ces substances ne dépend bien entendu que d’une volonté politique d’en accepter les effets souvent positifs s’ils sont encadrés par une médecine dite conventionnelle et par des officines pharmaceutiques pouvant en tirer un certain profit évidemment commercial. Mais l’intérêt véridique, pratique et bien réel pour ces substances ne date absolument pas d’hier, elles font partie intégrante de traditions multi-millénaires, avec, de plus, une répartition géographique sur tous les continents, ceci sans aucune exception. D’où tout l’intérêt de nous y pencher sérieusement, de manière certes plus orientée selon ces traditions, lesquelles, pour la grande majorité, étant pleinement et fondamentalement chamaniques par essence.

Mais déjà, qu’est-ce donc qu’une substance psychédélique ? De psychédélique à psychotrope, nous sommes dans une même trame qui se caractérise significativement et principalement par une modification de l’activité mentale, ceci comporte bien évidemment une multitude d’états intermédiaires, d’effets positifs ou moins désirables, de changements ponctuels ou plus durables sur l’état d’esprit de la personne s’y étant adonnée, et même pour aller plus loin dans la définition allons dans le sens de nombreux spécialistes pour dire qu’un "état modifié de conscience" pourrait survenir et engendrer des effets pour le moins surprenants, pour ne pas dire paranormaux… Ainsi, Albert Hoffmann, découvreur du LSD dans les années 1940, en aura non seulement décrypté la formule exacte mais aussi testé toute sa longue vie durant (mort à 102 ans) l’ensemble des effets dits psychédéliques. Très prisée dans les années 60, cette substance chimique (acide lysergique diéthylamide) s’avère être un puissant psychédélique hallucinogène et psychostimulant utilisé à cette époque de manière à la fois récréative et spirituelle, mais aussi souvent assimilée comme un signe de contestation de la société (mai 1968, guerre du Vietnam, etc.).

Très proche des effets d’un LSD synthétisé les peuples traditionnels chamaniques n’avaient pas attendu la chimie moderne pour expérimenter leurs propres substances psychédéliques à des fins bien plus initiatiques et ésotériques en vue de très divers rituels de haute magie. De nos jours, archéologues, ethnologues et autres scientifiques spécialisés ou historiens ont pu répertorier de nombreuses substances dont les médias se sont parfois emparés dans un but de sensationnalisme en les nommant, ainsi le grand public a pu entendre parler du Peyotl, de l’Ayahuasca, de l’Iboga, de Psilocybine et d’autres dérivés d’alcaloïdes comme la mescaline ou le DMT. Bien entendu cette médiatisation biaisée n’aura su promouvoir que le côté dangereux de ce que l’on peut effectivement appeler de manière plus générique "drogues psychédéliques", ceci presque toujours à la suite d’accidents tragiques d’Occidentaux en mal de sensations fortes ayant testé divers produits dans des conditions pour le moins hasardeuses et imprudentes…

Dans le monde plus codifié des chamans l’on était initialement très éloigné des préoccupations festives d’aujourd’hui en matière de drogues sacrées, d’une part sachons que la liane amazonienne dont est élaboré l’Ayahuasca était déjà utilisée il y a plus de deux millénaires par les autochtones d’Amérique du Sud et central, d’autre part l’utilisation en était strictement réservée aux cérémonies orchestrées par les grands prêtres ou chamans de l’époque, lors de sacrifices rituels ou de sorcellerie à l’encontre d’un clan ennemi. De même, dans la plupart des initiations de haut niveau, de passation de pouvoir entre chamans et durant des rites de divination ou de dialogues avec les ancêtres, des substances issues de champignons à base de principes actifs comme la Psilocybine ou le DMT (diméthyltryptamine) étaient couramment utilisées pour leurs vertus psychédéliques permettant d’accéder à des mondes supérieurs (célestes ou divins) ou inférieurs (démoniaques ou infernaux).

Encore aujourd’hui, que ce soit en Afrique, au Cameroun ou au Gabon, avec l’Iboga (puissant hallucinogène et psychostimulant) pour entrer en contact avec le royaume des morts ou bien avec le Peyotl (alcaloïde et mescaline d’un cactus local) chez les Amérindiens et au Mexique (indiens Yaquis, Tarahumaras, Huichols, etc.), l’on a encore couramment recours aux effets psychotropes et psychédéliques pour invoquer des esprits, soigner spirituellement les maux de l’âme afin d’éloigner les maladies du corps et de l’esprit. Les guérisons de possessions ou bien "tout simplement" le dialogue avec la "Pachamama" (mère Nature ou Gaïa) font aussi partie d’un très large éventail de rituels magiques et sacrés, ou plus occultes et ésotériques, dont certains occidentaux célèbres ont pu expérimenter l’extrême puissance en utilisant régulièrement ces drogues, à savoir : Carlos Castaneda, Antonin Artaud, Aleister Crowley, Aldous Huxley pour ne nommer qu’eux.

De nos jours encore, et cette fois-ci du côté des scientifiques suisses et américains, les laboratoires pharmaceutiques de ces pays ont commencé depuis une dizaine d’années à étudier très sérieusement l’ensemble des propriétés de ces substances psychédéliques avec un notable succès dans des domaines aussi divers que ceux permettant de contrer la dépendance aux autres drogues plus dures, de minimiser ou de supprimer les troubles psychologiques d’ordre post-traumatiques, de guérir de maladies psychiques telles les dépressions et les psychoses ou les angoisses. L’on voit donc parfaitement qu’au-delà des interdits initiaux assez bassement suscités par nos sociétés, une nouvelle étape plus sage et respectueuse des traditions ancestrales s’offre à nous pour en restituer les bienfaits en cherchant à en découvrir les connaissances secrètes où les sciences anciennes des chamans se joignent à celles plus contemporaines de nos scientifiques actuels. Ne doutons pas un seul instant qu’un jour ces mêmes scientifiques devront entièrement se réconcilier avec les grandes doctrines chamaniques qui ont su ouvrir les portes sur de nouveaux mondes auparavant invisibles aux yeux des profanes !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

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Lorsque l’on parle d’Égrégore généralement un grand silence advient dans l’assistance, que l’on soit entouré de personnes profanes, c’est-à-dire relativement moins averties en matière d’ésotérisme, ou bien que ces mêmes personnes soient au contraire déjà assez avancées sur le chemin d’une initiation occulte, voire déjà praticiennes expérimentées de l’Art Royal que représente la haute magie opérative. C’est en effet que le terme intrigue et même inquiète assurément les néophytes car il résonne avec force et grande autorité; idem pour les initiés, ils en savent trop pour ne pas ignorer toute la puissance des Égrégores, ce terrible jeu d’ombres invisibles qui se cachent dans des dimensions qui ne sont pas nôtres, ils connaissent en effet ces émanations trop souvent incontrôlables et dangereuses, d’autres fois plus malléables ou conviviales se laissant créer ou maitriser si l’on en a conjointement le savoir-faire ainsi que le don et la véritable Connaissance. Il s’agit effectivement, lorsque l’on parle d’Égrégore, d’un phénomène crucial en ésotérisme, d’un des grands mystères que l’on cherche à taire ou à cacher au commun des mortels de peur qu’ils ne s’alarment à la moindre pensée furtive un tant soit peu déplacée ou secrète…

Car c’est justement de "pensée" dont il s’agit, ou plutôt de ce que certains ésotéristes appellent "forme pensée", d’autres y voient la manifestation d’une "entité artificielle" créée par l’ensemble des idées résiduelles ou fixes qui nous passent par la tête, autant dire que l’Égrégore nait de nos pensées, qu’il s’en nourrit et grandit autour de cette pensée, qu’il en devient à la fois autonome en passant d’individu en individu mais aussi dépendant puisqu’il puise sa puissance de nos affects, de nos désirs, de nos idéaux mais également de nos traits d’esprit, de nos théories intellectualisées, de nos sentiments, bons ou mauvais… Dans ce sens, l’Égrégore formera cet agrégat invisible de tout ce qui émane de nos esprits, il sera personnel ou collectif, il sera "dans l’air" comme l’idée que l’on croit soudain pouvoir attraper alors que c’est lui qui vient à nous et peut-être nous impose sa Loi et ses préceptes.

En magie et durant les rituels ce sont aussi des "formes pensées", des symboles actifs, qui seront à l’œuvre pour passer de notre volonté bien orientée (la "pensée magique") à une dimension intermédiaire qui en prendra note pour ensuite "rebondir" sur notre monde, à notre niveau de réalité. D’où l’importance essentielle de bien non seulement comprendre le phénomène mais aussi, pour l’initié, d’en user lors des travaux de magie qui opèrent via divers rituels spécifiques. Expliquer le fonctionnement intime des rituels est impossible, d’une part car l’on ne peut pas démontrer ce que l’on ne peut pas voir ou quantifier de manière logique, d’autre part parce que le phénomène n’obéit pas toujours strictement à notre volonté, sauf si justement l’on sait dompter ou apprivoiser les "mondes intermédiaires" (comme le dirait le célèbre ésotériste René Guénon [1]) et ses très diverses entités, dont les Égrégores qui en constituent une partie importante et plus facilement "saisissables et intelligibles" que les entités autres, plus basses et beaucoup moins coopératives comme les démons, assurément négatifs, ou des entités plus hautes qui, mêmes extrêmement positives, ne pourront absolument pas transgresser les Lois Karmiques qu’elles doivent suivre à la lettre et pour lesquelles elles existent de par leur intrinsèque nature plus céleste.

En parlant de "Triple Égrégore d’Envoûtement" la haute magie nous enseigne qu’il est justement possible de dompter avec sagesse, rigueur et subtilité ces "formes pensées", du moins trouver une association cohérente de rituels très ciblés pouvant orienter leur puissance, notamment dans un domaine à la fois important dans l’existence et foisonnant en termes d’idées fortes et de pensées récurrentes : dans l’immense et incontournable domaine de l’Amour. Sur ce terrain extrêmement prolifique des relations amoureuses coexistent pêle-mêle tous les paramètres essentiels dans chacun de ses principaux retranchements, à savoir : au niveau psychique (de l’équilibre d’attraction entre "désirer et être désiré"), au niveau affectif (de la gestion de l’ensemble des sentiments amoureux) et au niveau sexuel (de la tension exercée par la libido sur le corps). Ainsi toute la gamme existentielle humaine se trouve incluse dans ces trois sphères formant le socle d’un solide trépied, sous la forme des espérances, des perspectives et des besoins concrets en termes d’amour. Agir sur ces trois axes primordiaux c’est agir sur l’ensemble du domaine, exercer une série de rituels s’orientant sur ces mêmes trois axes c’est se garantir d’une action complète lors de travaux de magie bien temporisés, successifs et interdépendants, lesquels sont effectués en général en groupe avec des assistants qualifiés (de trois à cinq en ce qui me concerne, et, par ailleurs pour un maximum de treize personnes mais uniquement en "coven" [2] lors de cérémonies strictement wiccanes).

L’appellation exacte de "Triple Égrégore d’Envoûtement" s’explique donc par l’élaboration de travaux de magie sous l’effet exclusif de cette triple orientation avec trois types de rituels généralement issus de la magie rouge (magie générique de l’amour, des sentiments, du désir et de la sexualité); mais parfois, en ce qui me concerne, il m’arrive d’adjoindre si besoin des rituels annexes et complémentaires si leurs action ritualistique le confère, à savoir via la magie blanche qui permet un assouplissement psychique en apportant l’énergie nécessaire (à des fins de constante et ferme volonté durant les travaux) ainsi qu’une part de protection de l’ensemble du processus, lequel, je le répète, pourra s’avérer assez long sur ses trois phases successives pour un résultat optimum, en moyenne un mois pour chacune des étapes. Deuxième terme important, celui qui n'est pas toujours compris immédiatement par la personne qui demande les travaux : "l’envoûtement". Il s’agit ici effectivement du terme technique en la matière, il est issu des "katadesmos" [3], c’est-à-dire des "tablettes de défixion" de l’antiquité (en Grèce) qui avait pour but principal de s’attribuer l’amour d’une personne (ou d’en rejeter les avances, d’en éloigner la concurrence, parfois aussi de satisfaire une vengeance amoureuse…).

En ajustant sur l’aspect psychique d’une personne pour en définir l’exact profil, en captant le meilleur levier affectif de cette même personne et en exerçant une pression sur sa libido, les travaux bien menés de bout en bout auront cette puissante faculté d’associer trois Égrégores complémentaires pour un résultat difficile à déjouer sur ces trois axes car tous complémentaires et entrelacés dans la psyché humaine. Comme si cela ne suffisait pas, et dans un but d’ultime renforcement en fin de travaux j’utilise parfois une légère touche de magie noire mêlée à la magie rouge, ce que communément l’on appelle en termes d'élaboration mixte une "magie pourpre", ceci aboutissant à la plus puissante combinaison de rituels d’amour ! Bien évidemment le "Triple Égrégore d’envoûtement" se doit d’être adapté à chaque personne demandeuse (et à sa cible) ainsi qu’un contexte précis qui se présente; dans ce sens je reste à votre disposition pour en discuter librement avec vous selon le but que vous recherchez pour en établir le meilleur processus complet !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

Note [1] René Guénon : Ésotériste et philosophe orientaliste français  René Guénon, né le 15 novembre 1886 à Blois, en France et mort le 7 janvier 1951 au Caire, en Égypte, est un auteur français, « figure inclassable de l'histoire intellectuelle du XXᵉ siècle ». Il a publié dix-sept ouvrages de son vivant, auxquels s'ajoutent dix recueils d'articles publiés à titre posthume, soit au total vingt-sept titres régulièrement réédités. Ces livres ont trait principalement à la métaphysique, au symbolisme, à l'ésotérisme et à la critique du monde moderne. (dixit Wikipedia)

Note [2] Coven : Un coven (mot anglais) désigne, dans le contexte du néopaganisme anglo-saxon, une réunion de sorcières, ou par métonymie leur lieu de réunion habituel. Un Coven Wicca est considéré comme une petite société véhiculant les croyances sorcières établies dans la religion wiccane et dans laquelle on partage des connaissances théoriques et pratiques sur les arts de la magie et de la sorcellerie. L'utilisation de ce terme, dans sa forme actuelle, est associé aux seules personnes pratiquant le culte de la sorcellerie. (dixit Wikipedia)

Note [3] Katadesmos : Une tablette de défixion (defixio en latin/ katádesmos en grec ancien), appelée aussi tablette de malédiction ou tablette d’envoûtement, il s'agit du type d'objet le plus répandu qui nous soit parvenu de la magie antique. L’objectif habituel de la défixion est donc de soumettre un autre être humain à sa volonté, de le rendre incapable d’agir selon son propre gré. », pratique dorénavant appelée envoûtement. (dixit Wikipedia)

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #magie noire, #travaux de magie, #Rituels de magie, #jean pascal Bruno, #Esoterisme, #Sorcier chaman, #entités, #haute magie

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Les dénominations des magies, rouge, blanche, noire et même parfois verte, bleue ou pourpre, peuvent parfois être assez contradictoires ou obscures pour les profanes mais il faut savoir que même chez les initiés ces qualificatifs ne sont perçus que comme des notions purement conventionnelles et n’apportant pas toujours la plus grande des clartés ou une vérité absolue de ce qu’elles représentent exactement, et ceci à juste titre. En effet, et par exemple, qu’en est-il d’une magie dite blanche, donc sensément positive et axée sur le soin, sur la divulgation (la révélation) et sur l’apport d’énergie, alors qu’elle sera assurément bénéfique pour une personne en ayant eu la satisfaction d’en avoir eu recours en connaissant une vérité cruciale sur une situation, alors que d’un autre côté, cette même magie aura apporté à une autre personne cette même révélation de vérité avec la venue de multiples déboires provenant de ce dévoilement dans cette même exacte situation ? Comme nous le voyons, même la plus anodine des magies, la plus positive en soi aura sa propre part d’ombre portée par la face cachée de l’envers visible de sa médaille étincelante. Comme le dit l’initié de haute magie : chaque situation pourra être perçue différemment, voire inversement, selon la position relative d’où on la regardera, selon l’angle de vue qui y sera porté, selon l’intensité toute relative qui permettra ou non d’entamer la superficialité d’une vérité sous la surface d’une réalité simplement visible. Il en ira de même des méthodologies utilisées en magie, donc des rituels qui y seront associés et par conséquent des typologies des magies intégrées dans les travaux. En d’autres mots, les magies telles qu’elles sont présentées de manières simplifiées ne sont pas toujours celles que l’on pourrait penser ou croire ni celles qui auront les effets escomptés en fonction de l’attente de leur dénomination initiale.

En magie d’ailleurs, tout est presque question de dévoilement de secrets ou d’interprétation de situations pour agir en conséquence, tout peut donc être lumineux et positif lorsque l’on regarde le soleil mais d’autant plus ténébreux si l’on se retourne pour percevoir l’ombre portée par cette même lumière : l’obscurité n’existerait pas sans cette même éclatante luminosité, et inversement, de même le Bien tel qu’il est envisagé et sensiblement perçu n’existerait pas sans sa ténébreuse part contraire que représente le Mal. L’un sans l’autre ne signifie rien, c’est de la toute relativité de leur éloignement ou proximité que l’on pourra juger de leur puissance relative, en bien ou en mal, selon des principes basiquement humains en fonction de curseurs éthiques ou moraux à géométries variables en fonction des époques, les traditions et les zones géographiques correspondantes. Ainsi, la plupart des rites animistes des sociétés dites primitives, lesquels sont généralement d’ordre sacrificiel, seront qualifiés comme autant de rituels dignes de figurer dans le registre de la magie noire au regard de nos sociétés dans presque toutes les obédiences magiques modernes ou contemporaines. Le sacrifice, c’est-à-dire le don du sang versé ou bien sa représentation symbolique, se rapporte presque directement au domaine de la sorcellerie avec ses rituels destructeurs, sortilèges, malédictions et autres sorts délétères. Pourtant, dans un registre plus naturel le sang représente aussi une vision physiologique de la vitalité et de l’énergie, à l’exact opposé de la mort et de la destruction… Comme nous le voyons, tout reste relatif encore une fois selon le "sens" que nous donnons, mais aussi selon l’autre sens, c’est-à-dire le positionnement initial sur une même notion, que l’on soit du côté face ou bien du côté pile. Et il est très rare qu’une pièce tombe sur la tranche et y reste bien longtemps…

Alors qu’en est-il de la magie noire exactement avec cette notion fondamentale de relativité du bien et du mal ? L’application des rituels sera-t-elle perçue uniquement selon l’axe du Mal ou sous d’autres angles moins extrêmes ou radicaux ? Enfin, cette magie noire aura-t-elle ses propres limites dans son application et surtout des risques non seulement pour le praticien qui opère mais aussi pour le demandeur, initiateur et commanditaire ? Ces questions sont presque toutes intimement liées, elles ne prennent sens que lorsque l’on replace dans un contexte spécifique les travaux de magie pour en percevoir la réelle portée, les limites qui en bornent l’horizon des possibles, ainsi que les éventuels risques à envisager (et donc à déjouer). Demeure aussi le mode opératoire de cette même magie noire dont les rituels s’apparentent plus à des invocations d’entités qu’à de simples évocations de forces élémentaires ou primordiales au service de ceux qui les appellent… Notons qu’en magie noire lesdites entités ne sont pas naturelles ou purement terrestres mais proviennent plus généralement de régions dimensionnelles normalement inaccessibles au commun des mortels puisque les travaux de magie noire s’exercent selon des processus cérémoniels où une assemblée (de sorciers ou d’assistants) associe la puissance nécessaire pour non seulement ouvrir une brèche vers cette dimension mais aussi en encadrer ce qui en sort pour en maîtriser le potentiel immensément magique qui se présente. Ainsi, même si c’est effectivement un praticien expérimenté qui sera le contact d’un commanditaire désirant des travaux de magie noire, il est assurément clair qu’il ne pourra jamais agir seul mais sera secondé par plusieurs assistants expérimentés, autant qu’il en faudra nécessairement en fonction de l’importance de la tâche à effectuer ou de l’ampleur de "la solution" à trouver.

Ce n’est pour ma part qu’avec une assemblée constitue de fidèles assistants, pour la plupart d’un excellent niveau, que je me prononce en amont d’une part sur la faisabilité des travaux de magie noire, d’autre part sur l’exact processus et parcours à effectuer pour réaliser avec la pleine et entière maîtrise l’ensemble de ces travaux de A à Z, du début à la fin de ceux-ci, puisque et il faut le souligner : des travaux de magie noire engagés ne peuvent pas être interrompus sans avoir été finalisés, ceci est une règle de haute magie dont il faut instamment informer le demandeur pour que justement personne ne court un danger (chocs en retour maîtrisés) dans cette manœuvre délicate qui pourrait s’illustrer ou s’imager à un plongeon du haut d’une falaise (l’on n’arrête pas le mouvement amorcé). Les champs d’application de la magie noire sont aussi bien entendu la toute première des préoccupations lorsque l’on me soumet une problématique, ainsi rien n’oblige l’utilisation d’une puissance démesurée si l’on peut avant tout y remédier avec d’autres moyens plus adaptés, tels que ceux qu’offre les magies plus conventionnelles (mais certes aussi moins radicales) que la magie blanche qui s’axe principalement sur le bienfait d’une énergie vitale amplifiée et sur ses rituels de révélation qui sont à la base de la plupart des résolutions classiques, de même pour la magie dite rouge par convention qui aura comme "périmètre" celui de l’amour, des relations sexuelles et de la libido (avec effectivement toutes les problématiques liées à ce domaine : jalousie, infidélité, impuissance, etc.). Notons, pour la forme, qu’il existe une magie bleue (généralement associée dans bien des cas à la magie blanche) qui aura comme principale tâche la protection de la personne par des rituels du même nom. Idem en ce qui concerne la magie verte (souvent intégré à la blanche) qui utilisera les énergies élémentaires ou telluriques pour agir à des fins de soins ou de rééquilibrage.

Enfin, il existe, et ceci nous intéresse bien plus, une magie intermédiaire entre la magie rouge et la magie noire que l’on appelle "magie pourpre" par convention afin justement de mieux imager cette lisière infime qui vient parfois à orienter les travaux vers des rituels plus radicaux, voire brutaux dans leur formulation et faisant appel en dernier recours, uniquement en ultime nécessité, à des entités plus puissantes pour obtenir des résultats. La magie noire peut et même devrait se qualifier comme un recours utile dans certaines situations extrêmement difficiles où le demandeur est lui-même en danger initialement et par conséquent en urgence (à bien analyser tout de même) d’une action radicale pour contrer le Mal par le Mal. Cette possibilité d’utiliser la magie noire dans des cas d’urgence ou d’extrêmes complexités se doit d’être effectués avec la plus grande des prudences car comme vous le savez il ne faut jamais confondre vitesse et précipitation, c’est ici la règle d’or à suivre que de toujours effectuer les travaux par paliers successifs, tout comme le ferait notre plongeur (évoqué précédemment) pour remonter à l’air libre et réussir son action, du début à la fin sans dommage. Pour finir je tiens à préciser qu’il n’existe presque pas de limites dans les travaux de magie noire, seules sont les entités qui s’y associent (par la force de cohésion de l’assemblé) seront à la hauteur de la résolution de ce qui devra être effectué, par contre le piège réside dans la démesure des demandes et justement dans le fait qu’il n’existe pas de limite d’action de ces entités si on ne les maîtrise pas… Étant sorcier-chaman depuis plusieurs décennies maintenant, je reste assez expérimenté avec l’ensemble de mes assistants pour juger jusqu’où nous devons aller afin de ne pas tenter le diable, en sachant ceci : que le diable se cache non seulement dans les détails mais qu’il sait surtout nous faire croire qu’il n’existe pas ! Par conséquent : un sorcier expérimenté et bien averti par sa longue expérience en la matière en vaut largement dix !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

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De la magie dans le monde quotidien du profane des mots sonnent comme des coups de tonnerre, et pour cause puisqu’il s’agit d’exorcisme, de possession, d’envoûtement et autres terribles malédictions, mais en ce qui concerne le sens précis de ces mots et des effets qui leur sont attribués il n’y a plus grand monde pour en parler, sauf bien entendu les initiés en haute magie car sur ces thèmes il faut un parcours sans faute non seulement pour opérer les bons rituels sans faillir ou défaillir, mais surtout savoir faire le bon diagnostic au risque de perdre rapidement le "patient" (qui ne l’est pas toujours)… Il s’agit ici principalement de magie noire, une magie dangereuse dans son application et assurément dans sa capacité à fortement nuire lorsqu’une personne se voit touchée par de tels sortilèges destructeurs dont il faudra une expérience certaine et un savoir-faire tout autant professionnel de très haut niveau pour en aborder toutes les facettes et ainsi sauver littéralement la situation parfois désespérée de ces personnes atteintes. Nous ne parlerons donc que de magie défensive face à ces puissants sorts pour en catégoriser les rituels, les magies et les grandes orientations.

Même pour le praticien expérimenté il n’est pas simple de connaître immédiatement la nature d’un mal qui ronge une personne, en effet la magie noire sait aussi se dissimuler sous des voiles opaques pour ne laisser filtrer que de maigres informations sur son mode opératoire et par conséquent sur l’essence même du mal, lequel peut aussi avoir diverses origines, soit via un rituel et dans ce cas il s’agit effectivement d’un sort de type envoûtement opéré par un sorcier, soit via un mal plus sournois encore puisque non-humain et issu d’une entité malfaisante (ou plus simplement parasite). Afin d’en définir justement la nature exacte, il est habituellement très utile d’effectuer en tout début de travaux de magie, c’est-à-dire dès la première séance, un rituel basique de dévoilement en magie blanche. Cette magie sert initialement de soin énergétique et d’équilibrage, ce sera nécessaire dans certaines situations où la personne touchée est en pleine déliquescence à la fois mentale et souvent physique car très fatiguée, mais ce sera surtout pour établir un tableau objectif des maux qui s’exercent en "éclairant la situation" (et ce n’est pas qu’une périphrase) via un véritable rituel de dévoilement salvateur qui apportera ces réponses cruciales pour la suite…

Notons tout d’abord un détail qui compte : est-ce que la personne vient d’elle-même pour être débarrassée de ces maux ou bien est-ce une tierce personne qui tente de la sauver pour que l’on s’en occupe ? Un détail qui n’en est pas un puisque dans la grande majorité des cas à ce stade les personnes atteintes par un sortilège de magie noire ne sont pas ou plus en capacité de saisir logiquement et consciemment ce qui leur arrive, elles sont désorientées à un tel point qu’il est rare d’en voir demander de l’aide sciemment, la raison et la douleur psychique et physique l’ont souvent emporté sur tout sursaut de lucidité, sauf dans certains cas précis où la personne sait qu’elle a touché à des domaines interdits qu’elle n’avait pas vraiment la capacité d’encaisser…

Mais revenons à nos causes principales : envoûtement (issu d’un rituel de magie noire) ou possession (par une entité négative ou parasite). Dans le premier cas, presque le plus simple à gérer pour un sorcier-chaman expérimenté, il s’agit d’effectuer un désenvoûtement, c’est-à-dire d’annihiler le sortilège par des rituels s’y opposant, avec en supplément comme dit précédemment l’adjonction de "soins rééquilibrants" en magie blanche pour redonner de l’énergie vitale et spirituelle afin de suppléer aux maux qui s’en nourrissent. Dans cette phase de premiers soins et d’évaluation des dégâts psychiques et physiques, l’on aura alors un répit de courte durée pour répondre de manière ciblée au sortilège en question en effectuant ensuite le contre-envoûtement, une action radicale de retour à l’envoyeur, tout comme un coup droit direct et pissant au tennis la balle ira droit au but pour marquer des points et peut-être l’emporter en un seul round en mettant KO le sorcier d’en face ! C’est généralement le cas lorsque j’opère ce type de représailles sur un confrère très mal intentionné… Il s’agit de chocs en retour, à la fois tapant très fort sur ce sorcier mais aussi sur le commanditaire du sort, ce qui fait coup double dans cette situation de contre-offensive utilisant la source même du mal tel un miroir le reflétant à son juste triple ou quadruple niveau initial en retour. À retenir les deux phases suivantes : désenvoûtement pour stabiliser et atténuer, puis contre-envoûtement pour supprimer les effets et les renvoyer !

Petite annexe en ce qui concerne les sortilèges qui s’attaquent aux biens ou aux espaces de vie, autrement dit des envoûtements "localisés" pour nuire à des groupes (souvent sur des entreprises dans des espaces de travail ou lieux de fabrication) ou nuire à des familles (suite à des différents d’héritage ou autres problèmes de voisinages compliqués), il s’agit ici d’effectuer non pas un désenvoûtement mais un "dégagement" du mal en se concentrant sur le lieu incriminé. Il était bon de le signaler car de nombreux praticiens ne sont pas en mesure de catégoriser un mal si celui-ci ne touche pas directement la personne, alors que finalement ce mal se situe dans le lieu de vie ou le lieu professionnel de cette personne. L’expérience, sur plusieurs décennies en qualité de sorcier-chaman, m’a appris que les deux peuvent aussi être ciblés en même temps, la personne et un lieu qu’elle côtoie habituellement, donc attention de ne pas aller trop vite sur l’un seulement ou sur l’autre ! En ce qui concerne les lieux, sachons reconnaître qu’il existe aussi dans certaines maisons (en cave, grenier, recoins) ce que l’on appelle des parasites énergétiques qui pourront être éloignés par ces rituels de dégagement, idem dans des lieux en pleine nature ou cette fois-ci des "forces élémentales" peuvent coexister plus ou moins bien avec les humains (dans ce cas il faudra souvent faire des compromis acceptables pour ne pas voir un fleuve se rebeller, un arbre tomber ou une terre s’effondrer…).

Maintenant abordons le difficile cas des possessions par des entités que l’on pourra d’emblée qualifier de démoniaques puisqu’elles existent bel et bien. Le diagnostic profane par les médecins s’apparente à la folie ou au désordre mental, certes cela peut être le cas suite à des malheurs dans le parcours d’une vie qui provoquent ces processus psychiques très perturbants et même handicapants, mais il faut aussi savoir que ces mêmes situations malheureuses provoquent un affaiblissement significatif des défenses du corps éthérique et du corps mental susceptible d’attirer des entités en quête de personnes ainsi perturbées. En général ce sont diverses entités parasites de bas niveau, lesquels une fois repues partiront d’elles-mêmes, dans d’autres situations plus exceptionnelles et très préoccupantes ce seront de puissantes entités malfaisantes, démoniaques et même sataniques (se référant à des démons de haute stature infernale) et dans cette posture il faudra effectivement rapidement penser à un exorcisme ou à une dépossession ritualistique puisqu’il s’agit ici de possession de l’esprit et du corps d’une personne qui n’a plus du tout la maitrise de son enveloppe physique ni de son intégrité mentale… La personne est toujours présente, au fin fond de son identité, dans un retranchement exigu où elle a été reléguée par l’entité squatteuse. Autant dire que cette spécialité d’exorcisme requiert toutes les ressources de la plus haute magie, celle d’ailleurs dont les prêtres de l’Église se défendent d’en user lors de ces cérémonials très éprouvants pour la personne possédée mais aussi pour le praticien !

Comme d’habitude j’espère vous avoir ouvert l’esprit sur quelques notions fondamentales en magie et ésotérisme, n’hésitez pas à me contacter si vous avez des questions et surtout si vous avez à résoudre des problématiques aussi lourdes que celles que j’ai abordées aujourd’hui… n’attendez pas si c’est le cas, ne laissez pas d’autres (sorciers ou entités) nuire à votre personne ou nuire à vos proches si vous en avez le pressentiment ou ne serait-ce que le simple doute !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

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Nous avons, généralement, une vision du monde avec ce sentiment de très grande complexité qui en émane et dont la logique humaine et ses diverses cogitations ne font que renforcer à l’extrême cet aspect à la fois confus et inextricable qu’ont les évènements à s’entrechoquer de manière compliquée selon des schémas souvent incompréhensibles à cette même logique. C’est ainsi, en effet, que la grande majorité des gens capte le monde par le biais d’une réalité entièrement reconstruite intérieurement par leurs facultés cognitives, lesquelles ont cette étonnante fonction d’accumuler consciemment mais aussi inconsciemment une immense foule d’informations hétérogènes pour tenter d’en construire une histoire, apparemment sensée à notre échelle, et par conséquent d’en accepter le résultat obtenu comme parfaitement conforme à la seule et unique vérité à concevoir. Pourtant cette vision profane du monde, et donc des choses qui nous entourent, est parfaitement fausse par définition puisque nous-mêmes ne sommes pas parfaits pour en élaborer une vérité totalement dénuée d’erreurs, que notre pouvoir de captation n’est que la résultante de sens que nous avons faillibles, et qu’enfin notre capacité d’analyse est elle-même grandement limitée, entachée d’inexactes interprétations et de convictions la plupart du temps notoirement infondées ou déformées.

Alors, comment oser comprendre que nous ne savons rien de ce que représente la Réalité, que nous ne voyons que l’illusion de celle-ci qu’à travers des filtres qui nous composent, et comment dépasser cette limitation qui nous empêche de voir l’invisible ou ce qui nous est caché ? C’est ici même la définition de l’ésotérisme que d’aller chercher ce qui semble parfaitement hermétique et occulté, d’aller au-delà de la superficialité qui nous subjugue par ses fausses images, par ses sons imprécis et ses ressentis infidèles, tel l’incohérent montage amateur d’un premier film d’auteur, forcément fictif,  simpliste et rudimentaire. De nombreux signes indiquent pourtant, qu’au-delà des limitations imposées par notre incohérence humaine à saisir l’entièreté de la Réalité, nous pouvons parfois à de rares instants percevoir l’envers du décor et les coulisses du film de l’existence, ce sont dans ces moments que surgissent, telles de surprenantes synchronicités (1), d’ultimes vérités auparavant cachées ou bien des portes qui s’étaient habilement dérobées à notre vue tronquée. Qui contrôle ces nouveaux espaces invisibles ou bien qui cherche à nous les dissimuler ? Et dans quel but malicieux ou bien inavoué ? Les initiés ont depuis des millénaires cherché ces réponses, elles sont à double tranchant, à la fois très proches de nous et si éloignées de nos concepts courants, elles appartiennent à ceux, qui humains ne veulent pas les dévoiler mais aussi à d’autres sphères qui nous en imposent le silence, chacun de ces deux pôles pour des raisons parfois diamétralement opposées…

Qu’il existe des mondes invisibles à nos sens, cela est démontré par la science et très communément admis, par contre ce qui l’est moins c’est que certains humains initiés à des pratiques "d’ordre magique" (pour utiliser à ce stade une tournure générique non différentiée) disposent de cette faculté, de ce don ou sixième sens si l’on veut, pour entrer en contact avec des environnements autrement inaccessibles au commun des mortels ainsi qu’aux entités qui peuplent ces nouveaux horizons. Qui sont ces initiés ? L’on pourrait épiloguer longuement sur toutes ces castes de sorciers, de magiciens ou de druides, voire de chamans pour tenter d’expliquer pour chacun leurs spécificités et leurs orientations, bonnes ou moins bonnes, mais le principal à retenir c’est que certains d’entre eux préfèrent ne rien dévoiler des dits secrets qu’ils ont pu acquérir alors que d’autres en font profiter plus librement des bienfaits potentiels à ceux qui en ont besoin. Pour cataloguer très sommairement : d’un côté des initiés de l’ombre, c’est-à-dire bien souvent issus des forces obscures et ne désirant conserver leur pouvoir pour ne servir égocentriquement que leur propre compte, de l’autre les initiés de la lumière ou plus prosaïquement des praticiens plus ouverts au partage afin d’exercer une magie plus bénéfique et lumineuse. Dans nos sociétés occidentales nous retrouvons ces schémas relativement dissociés, apparemment simplistes, à deux strictes facettes, noire et blanche, radicalement opposées ou très rarement réunies.

Notons rapidement (car il y en aurait beaucoup à dire) qu’il en est tout autrement dans les sociétés orientales, ou non occidentalisées, qui possèdent des doctrines plus mitigées, du moins dans cet aspect où le mélange du noir et du blanc n’est pas si radical, l’exemple le plus parlant étant l’image symbolique du Tao dans laquelle nous retrouvons un point noir dans la surface blanche et inversement un point blanc dans la surface noire, ce qui caractérise ainsi une vue plus nuancée non seulement de la vision du monde mais aussi des pratiques magiques ou spirituelles qui s’y rattachent.  Cette notion assez binaire que nous avons en occident est elle-même à l’image de nos sciences où tout est soit vrai soit faux, sans intermédiaire ou zone grise, tout comme l’informatique avec ses 0 et ses 1 qui ne laisse aucun entre-deux, quoi qu’avec les informations quantiques nous découvrons enfin qu’il existe aussi  une troisième voie, celle du ni l’un ni l’autre ou des deux à la fois ! Ce dernier point est en soi une révolution scientifique qui rejoint paradoxalement des concepts spirituels très avancés qui ont eu cours depuis des millénaires chez les hindouistes avec la Trimurti (2), pour ne citer qu’eux (au passage aussi : les hexagrammes chinois basés sur la transformation sont aussi un exemple de "non-binarité" et de modulation), de même dans bien d’autres dogmes où rien n’est ni complètement noir ou blanc. Ainsi, la spiritualité reste l’apanage plus malléable et ouvert des sociétés non occidentales alors que chez nous s’opère une scission très nette entre la sombre et sulfureuse sorcellerie, problématique "magie noire" de destruction orientée "Thanatos" (3) et la magie opérative blanche, ou rouge si plus orientée "Eros" (4), se positionnant en pleine lumière assurément positive et bénéfique pour résoudre des problèmes, sans en poser d’autres…

Mais, de ces faces cachées ou que l’on ne voudrait pas forcément voir au quotidien dans nos sociétés occidentales via des positionnements plus spirituels ou même magiques, il coexiste aussi la réalité véritablement invisible d’une toute autre nature bien plus inaccessible à nos esprit humains, c’est une réalité située sur une dimension non matérielle, un plan absolument inaccessible à notre entendement logique car son essence dépasse notre imagination et transcende notre esprit captif de notre matérialité. Nous parlons ici d’une dimension karmique, éthérique de haut niveau dont même les plus aguerris d’entre les initiés ne peuvent en concevoir la puissance et les buts qui ne s’énoncent que ne manière symbolique par delà notre compréhension. Cet autre monde véritablement invisible à tous ne nous est pourtant pas étranger, bien au contraire puisque c’est, d’une certaine façon, une autre partie de nous-mêmes, bien plus grande, qui s’y trouve avec une logique d’évolution dépassant de très loin nos quelques dimensions spatiales et temporelle pour définir un mode existentiel infiniment supérieur, immensément complexe et à des années-lumière de notre entendement le plus élaboré. Cet autre nous-mêmes faisant partie d’un Grand Tout doit être considéré comme la trame d’un tissu dont nous ne serions qu’un des multiples fils tissés par des Lois Universelles, véritables entités dans un univers inconcevable où les symboles sont plus vivants que nous-mêmes qui ne sommes qu’un reflet fugace sur la vague mouvante d’un océan infini. Les initiés, qu’ils soient de sombres engeances ou plus éclairés savent qu’une dimension éthérique nous surplombe à l’image d’un lecteur lisant une bande dessinée en passant d’une case à l’autre où nous serions platement inscrits.

Face à ces mondes, intermédiaires ou plus éloignés nous surveillant de haut, l’exigence d’humilité est de rigueur pour ne pas sombrer dans une égocentrique folie furieuse ne menant qu’à la destruction de soi et d’autrui là où au contraire la direction qui nous est suggérée impose l’entraide et la concertation, le partage et la sérénité de l’esprit et de l’âme. Bien entendu, à chaque secret ésotérique il convient de modérer le pouvoir ainsi acquis et d’en faire bon usage, à défaut le pouvoir mal utilisé se retournera contre celui qui tente de s’en accaparer des bienfaits usurpés en oubliant qu’il n’est pas seul au monde, monde humain, monde symbolique de l’éther et monde karmique qui présuppose une initiation bien intentionnée pour perdurer et évoluer. Le profane, pour sa part, aura ce droit de regard et d’information sur ce que sa propre route existentielle lui promet, il pourra de lui-même trouver des réponses ou bien les demander avec les précautions d’usage aux initiés en ayant le droit et les capacités. En qualité de chaman je me suis engagé sur cette voie de l’entraide, elle requiert une grande vigilance face aux forces s’opposant au bien, de même qu’un savoir-faire et une Connaissance que je remercie de m’avoir donné une vision plus large du monde en pouvant élaborer des travaux et rituels utiles aux personnes demandeuses. Comme d’habitude je réponds à toutes les questions concernant cet article, donc n’hésitez pas à me joindre pour plus d’information !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel


(1) Synchronicité : la synchronicité est l'occurrence simultanée dans l'esprit d'un individu d'au moins deux événements mentaux qui ne présentent pas de lien de causalité physique, mais dont l'association prend un sens pour la personne qui les perçoit. Cette notion s'articule avec d'autres notions de la psychologie jungienne, comme celles d'archétype et d'inconscient collectif.

(2) Trimurti : dans l'hindouisme, la Trimurti (trois formes en sanskrit) est la partie manifestée de la divinité suprême qui se fait triple pour présider aux différents états de l'univers.  Les dieux Brahmâ, Vishnou et Shiva symbolisent respectivement la création, la préservation et la destruction.

(3) Thanatos : dans la mythologie grecque, Thanatos (en grec ancien Thánatos) est la personnification de la Mort.

(4) Éros : (en grec ancien Érōs) est la divinité primordiale de l’Amour et de la puissance créatrice dans la mythologie grecque.

 

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En notre époque si complexe et troublée nous pouvons nous poser l'essentielle question des limites à notre propre évolution, des limites de notre humanité comme "êtres vivants" sur une planète en péril par notre exubérante activité mais ne serait-ce pas plus simple d'orienter notre regard et notre esprit vers ce qui pourrait non seulement résoudre nos problématiques sociétales, environnementales et sociales tout en abordant à un niveau plus personnel notre substrat existentiel en passant enfin par l'accession à une véritable Sagesse, celle réelle qui aborde l'ensemble de nos questionnements et nous ouvre la grande voie royale de l'entendement humain dans l'universalité qui nous entoure ? Cette question, fondamentale même si elle ne se révèle pas à tous de manière si directe, sous-entend les notions radicales de Bien et de Mal, de ce que nous pouvons chacun en dire pour nous situer sur un curseur dont nous ne pouvons que très subjectivement en définir la trame et l'orientation réelle dans nos propres actions et pensées au quotidien. Penser ce curseur, penser ces orientations et penser ces limites, ce sont là finalement des processus que nous opérons à chaque instant sans pour autant en avoir une intime conscience bien calculée ou bien maîtrisée… N'y aurait-il pas effectivement d'autres mécanismes plus subtils à l'oeuvre qui s'immisceraient dans nos raisonnements et nos décisions ? Ne voyons-nous pas ici encore une certaine limite à l'intégrité de notre individualité et à ce que nous pensons être notre liberté dans l'élaboration de notre si précieux libre arbitre ?

De ces premières questions se dégagent a fortiori des éléments subtils et très discrets, quelques synchronicités dissimulées de-ci de-là, des paramètres existentiels cachés dans la matrice même qui nous constitue, c'est en ce sens que l'ésotérisme existe et tente de révéler à qui peut l'entendre et le concevoir que nous sommes "l'objet" d'une nature plus grande qui nous dépasse et fixe toutes ces limites, que cette nature surhumaine ne nous est pas totalement étrangère ou inconnue, que des failles dans le système permettent d'en apercevoir l'envers du décor pour en appréhender toute la valeur et la profonde portée. C'est le but même de la pratique ésotérique que de vouloir ouvrir des portes qui sinon resteraient fermées dans le monde profane, c'est à la fois un consciencieux travail énergétique sur soi pour avoir aussi le privilège d'éclairer une part du mystère de l'humanité dans ce qu'elle représente dans ce processus d'existence visible mais aussi en s'efforçant de percer quelques essentiels secrets de l'autre côté du miroir qui nous constitue. Pris dans le tourbillon de la vie quotidienne et de ses problématiques profanes, la grande majorité ne peut concevoir que cet envers du décor existe, chacun restant ancré à ses préoccupations du moment, figé dans l'instantanéité immédiate et superficielle des devoirs que l'on s'impose (ou qui nous sont imposés) comme une fixation du réel en une seule image sur un écran, encore une fois le mythe de la caverne de Platon n'est pas loin pour illustrer cette "réalité de surface".

Parler d'ésotérisme n'est donc ni anodin, ni déplacé ou bien encore absurde ou illogique, c'est bien au contraire aller dans le sens réel du courant existentiel qui nous traverse et qui nous guide vers ce en quoi nous aspirons sans forcément le savoir consciemment, vers quoi nous devrions naturellement tendre pour nous réaliser selon un processus qui agit sur nous comme un catalyseur de volonté, de désir et de soif de puiser dans "l'expérience de vie" qui nous est impartie. En ce sens, les outils qui se présentent aux initiés dans la pratique de l'ésotérisme, et selon des modes très hétéroclites s'il en est, apportent des solutions qui se situent au-delà de la simple logique matérielle ou purement scientifique telle que l'on peut la concevoir aujourd'hui avec des protocoles formatés et rigides dans l'encadrement strict de leur domaines respectifs. Il est tout à fait normal de considérer que ces domaines scientifiques leurs soient réservés selon la logique en vigueur, ainsi personne ne remet en question la chute de la pomme newtonienne en ce qu'elle représente de l'attraction terrestre mais ce n'est ici que l'exemple d'une extrême composante visible et restreinte de la réalité, il en va de même de toutes les découvertes scientifiques qui n'ont finalement pour l'heure qu'envisagé la réalité que du point de vue de la matérialité, du plus grand visible que représente l'Univers au plus petit détectable qui se situe au coeur de cette matière subatomique. Pour tout le reste, au-delà de la matière, l'esprit, l'âme, et même la "simple" conscience de soi, ne pourront être explicités par des instruments scientifiques matériels puisqu'ils n'appartiennent pas au sens strict à une dimension physique et s'expriment par d'autres voies que celle de la matérialité pure. Le vent ne peut pas être vu et pourtant il existe bel et bien…

La pratique ésotérique s'exprime dans son cadre d'application, c'est-à-dire à un niveau supérieur de notre dimension existentielle qui en dépend directement et y est reliée, avec ses propres outils que sont, d'une part ce que l'on appelle trivialement la Magie comme processus et comme travail de base; d'autre part cette Magie agit via des rituels qui représentent des processus actifs ayant prise sur le codage de notre réalité tangible et sur nous-mêmes comme composantes terrestres de cette réalité. En terme de Magie il en existe plusieurs catégories selon les orientations et problématiques à cibler, ainsi celles qui nous concernent principalement aujourd'hui : la Magie rouge ou sexuelle dont l'évocation parle d'elle-même (magie de l'amour, du désir, de la libido et des sentiments, etc.) et la Magie Noire qui reste pour un grand nombre d'initiés et de profanes qui en ont entendu parlé une magie dite négative, ce qui n'est pas la bonne qualification puisque la Magie Noire est plus précisément une Magie de destruction ou de déconstruction, une précision très importante qui n'a donc rien à voir avec une orientation soit bénéfique ou soit négative, tout dépend de ce que finalement l'on en fait et comment on l'utilise, seul le but compte et celui-ci peut bien évidement s'avérer positif ou non… Je tiens encore une fois à faire comprendre que les notions de Bien et de Mal que nous avons sur notre plan d'existence n'ont pas les mêmes valeurs et doivent être perçues comme toutes relatives en fonction de paramètres bien plus élaborés incorporant un système d'une extrême complexité puisqu'englobant des notions d'interrelations et de temporalités longues dont nous n'avons pas conscience ou aucune possibilité d'en envisager l'existence in extenso ou le but "karmique" final réel.

Sur un plan supérieur au nôtre, tout comme l'image de poupées russes qui s'incorporent, notre matérialité y est intégrée et est échafaudée selon des schémas existentiels associés à ces orientations dites karmiques, lesquels d'une certaine façon gèrent la structure de notre réalité et de nos missions de vie. Dans cet ordre d'idée nous n'avons pas directement accès à ce processus supérieur sauf si nous passons par des voies détournées qui empruntent les mêmes codes que ce plan supérieur. Ces codes sont principalement "symboliques" (vus comme tels ici-bas) mais très actifs par effet de rebond en retour lorsque l'on sait les intégrer à des rituels de magie fonctionnant sur ce mode opératoire spécifique. Il existe bien heureusement des protections assez efficaces pour déclencher ou non ces "commandes symboliques" que représentent les rituels de magie afin que quiconque ne puisse intentionnellement ou non en détourner l'usage, ce qui représente une précaution bien utile, tout comme le fait qu'un enfant ne devrait pas pouvoir simplement réaliser une bombe atomique en quelques minutes… En ce sens, les protections se déterminent selon le degré d'initiation à l'ésotérisme dont le praticien est habilité à assimiler les notions ou bien dont "on" lui a confié le pouvoir (momentanément ou plus durablement). Ce "on" ne se situe pas ici-bas, cela s'entend bien, et ses décisions sont d'ordre karmique, déjà réglées sur une destination matérielle et temporelle bien orchestrée (ce que nous pouvons appeler "destinée").

Les magies, Rouge et Noire, sont soumises à des protections graduelles que seuls les initiés de haut niveau peuvent appréhender et pratiquer, ceci en accord formel avec les capacités qui leur sont attribuées et les besoins réels de réorientation de mission de vie de certaines personnes qui en auraient la nécessité selon un libre arbitre relativement bien "encadré" qui participe à l'élaboration de cette mission. Ainsi, "au-dessus" et à l'encontre du discours ici-bas de Démocrite et de Jacques Monod, rien n'est laissé au hasard, il n'y a que la nécessité qui prime selon des lois dont nous n'avons visiblement pas tous les clefs sur ce plan d'existence pour en ouvrir potentiellement les portes réservées au backstage de l'évolution. Il ne faut pas voir dans les initiés de haut niveau une sorte de classe supérieure au profane car la charge que porte l'initié est très lourde pour sa propre mission de vie avec de nombreux risques proportionnellement inhérents à sa capacité à modifier le cours des évènements, en effet la responsabilité d'une erreur d'interprétation ou d'une usurpation de sa fonction pour son propre compte pourrait avoir de graves conséquences sur plusieurs niveaux de son intégrité, mentale ici-bas, et spirituelle à un niveau supérieur. De ce fait sur ce point il existe aussi des limites à ne pas dépasser, des orientations dont les variations sont si étroites qu'il est parfois préférable de maitriser le délicat scalpel de la magie avec la plus grande humilité qui soit, associée à une longue et soutenue expérience de la pratique ésotérique dans sa pleine et entière connaissance.

Comme nous le voyons, la pratique ésotérique ainsi que celle de facto des rituels de magie qui en découlent sont très bien encadrés à tous les niveaux, avec néanmoins de réelles possibilités d'ajustements bénéfiques si ceux-ci sont cohérents et en accord avec les orientations karmiques des personnes qui en ont recours. Ce dernier point est à étudier avec la plus grande attention en cas de demandes de travaux de magie, ce que je me propose toujours de réaliser avant de commencer le lancement de rituels adaptés à la situation que l'on m'a exposée. Si cet article vous a apporté des réponses je m'en réjouis d'avance et je reste à votre disposition pour en discuter si vous avez des questions ou des demandes professionnelles, merci dans ce cas de me contacter directement, à très bientôt, ésotériquement vôtre !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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Nul ne peut se mettre strictement à la place d'une personne dont le couple est en situation de crise et proche de la rupture, car le contexte précis, les personnalités en présence et les causes ainsi que les effets induits font que l'ensemble de ces paramètres (en comptant ceux qui adviennent en surcroit de manière cumulative) en complexifient de facto l'analyse et la compréhension sans pour autant pouvoir donner des réponses finalement pleinement satisfaisantes. C'est, du moins, l'avis le plus couramment exprimé par les spécialistes dits "profanes", c'est-à-dire la cohorte habituelle de psy et de sociologues de la question qui, et c'est tout à leur honneur tout de même, ne s'arrêtent qu'au visible et descriptible selon les dogmes que la science leur impose, ne s'arrêtent finalement qu'au substrat le plus superficiel d'une individualité étudiée in situ dont ils ignorent les dimensions supérieures échappant à leur courte vision trop terre-à-terre pour les prendre en compte au-delà des prérogatives et du décorum de leurs fonctions corporatistes. Loin d'affliger ces spécialistes qui sont utiles, puisqu'ils tentent de "soigner" les maux de la vie, il n'en demeure qu'ils ne savent véritablement les "guérir" que dans de très peu de cas et encore moins en expliquer avec discernement et assurance toutes les sources et les raisons subtiles qu'ils se gardent bien d'exprimer ouvertement puisqu'ils n'en ont strictement aucune idée et qu'ils n'ont d'ailleurs jamais tenté d'en étudier la réelle provenance exacte. Seul peut-être C. G Jung, dans une vision plus ésotérique et moins normative, a-t-il pu aborder la question de manière plus approfondie comme l'initié qu'il était, avec ce que l'on sait aujourd'hui en retour de sa sagacité spirituelle éclairée : les reniements acharnés de ses pairs qui l'ont presque tous immédiatement banni de leur très docte cercle de fausses certitudes, apprises et répétées maintes fois au fil du temps, tels d'illustres perroquets savants si fiers de leurs plumes académiques décrépies. On en a d'ailleurs aussi vu dernièrement les effets pervers dans un autre "domaine médical réservé"…

Mais soyons pragmatiques et restons parfaitement lucides, loin de dire que la psychologie et la sociologie ne servent à rien, bien évidemment, il faut néanmoins effectivement remettre ces belles disciplines, là où elles s'accordent le mieux pour coexister : pour l'étude de cas improbables, pour la cogitation d'ego scienteux ex nihilo, pour l'amassage invraisemblable d'une montagne d'hypothèses tordues construites sur des terrains marécageux où chaque idée finit par être engloutie tout au fond du marais pour s'y décomposer lentement, mais sûrement. On ne compte ainsi plus chaque jour qui passe toutes les nouvelles méthodes et théories inapplicables, tous les discours de parfaits sophistes tournant en rond avec autant de mots creux que de slogans publicitaires répétés en boucle, et surtout tout ce temps perdu où des personnes en demande d'aide se voient instamment formatées dans le moule de la doxa médico-socio-psychologique, à coup de drogues médicamenteuses incertaines, voire dangereuses, et de lavages de cerveaux pour en oublier leurs problématiques mais aussi pour nier la spécificité de leur individualité ainsi totalement dissoute avec leurs questionnements légitimes initiaux, et c'est ici le pire… Ce constat implacable reste valable pour chaque personne devenant un "patient" (du latin "celui qui endure, qui souffre") comme pour le couple, qui s'apparente étymologiquement à un duo de personnes liées par une relation (généralement "amoureuse"), et dont on connait les potentielles "crises de couple", durables ou ponctuelles, évitables ou inexorables, douces et sans conséquence ou bien plus dures avec une fin dite tragique pour celui qui l'a subit, souvent crescendo : rupture, humiliation, isolement, dépréciation, dégradation, dépression, voire jusqu'au suicide social ou physique.

Le couple, ou plutôt la "notion de couple" devient d'autant plus complexe lorsque l'on élargit le cadre de référence avec ce ou ceux qui pourraient interagir, façon "simple sociologie profane du couple", avec le duo initial pour en révéler d'autres acteurs, ainsi d'autres types de relations actives apparaissent et peuvent assurément expliquer les crises ou du moins certaines problématiques importantes pouvant aboutir à une rupture et à une "perte de confiance morale" (plus ou moins forte) dans la relation de couple habituelle. C'est le cas de ce qu'il faut assurément appeler des bien nommées relations extra-conjugales avec les amants et les maitresses, seulement d'une durée d'un jour ou au plus long cours, ces relations seront perçues (selon les types de personnalité et d'éducation) comme amorales ou inversement parfois nécessaires, voire pour certains plus rarement comme un mode de fonctionnement presque normal du couple que de ne pas vouloir s'astreindre à l'uniformisation de la sexualité dans ce qu'elle propose de manière plus convenue, c'est-à-dire pour eux-mêmes comme couple à s'autoriser de ne pas se satisfaire sexuellement du seul conjoint ou partenaire. Dans ce dernier cas moins courant, la liberté purement sexuelle peut être comprise comme un renforcement du couple dans ce qu'il se permet cette liberté réciproque, ceci en tenant compte de certaines limites tacites ou plus explicites si besoin. Mais cette vision plus libertaire du couple n'est évidemment pas l'apanage de la très grande majorité, celle-ci restant cantonnée à la seule relation interdépendante réciproque, avec cet handicap relatif mais bien réel de voir littéralement voler en éclat la relation à la moindre incartade dont les dogmes sociétaux ou religieux ont su stigmatiser "la faute" depuis des lustres sur les populations dites "civilisées", comprendre "endoctrinées pour leur bien"…

Maintenant abordons la réalité sous un angle bien moins étroit, dans une vision certes plus ésotérique qui n'aura pas a priori l'approbation de tous les scientistes engoncés profondément dans leurs démonstrations matérialistes ou bassement corticales et psychiques, voyons le couple et sa relation comme je l'exprimais dans l'article précédent et dont la teneur dissipe toute confusion : le couple est un instrument, un outil pratique dans notre réalité terrestre (à notre niveau dimensionnel) de ce que chacun doit réaliser en "mission de vie" via le contrat karmique qu'il (le "soi supérieur" comme entité supradimensionnelle, ou apparenté de très loin au "surmoi" psy) devra suivre à des fins d'évolution par paliers en étant successivement "incarné", donc réincarné sous des individualités différentes cloisonnées (dont la mémoire est séquencée par période d'existence et généralement antérieurement non accessible par celle "présente"). Voilà qui en une seule phrase, sans palabres ni contournement inutiles, explicite la voie royale ésotérique qui généralement instaure la réincarnation (ou métempsycose) comme un fait établi expliquant pratiquement l'ensemble des problématiques ici-bas, dont celle, très importante, de la relation de couple qui participe activement à cette évolution karmique sur plusieurs vies. Je conseille de lire mes articles précédents afin d'entrer plus dans le dur du sujet si cela était encore nécessaire d'en apporter des informations plus étayées didactiquement en laissant de côté l'hermétisme des textes anciens qui l'explicitent sous une forme occultée et souvent marquée d'une religiosité très directe qui pourrait choquer car parfois assez éloignée de la douce et édulcorée spiritualité contemporaine telle que nous la concevons aujourd'hui.

Dans cette perspective la relation de couple prend alors une toute autre dimension, très loin des stéréotypes profanes où les liens sentimentaux préfabriqués par les habitus sociétaux deviennent soudain à l'image de ces lignes de code sous-jacentes dont il faut avoir les clefs pour en comprendre la portée réelle et la signification cachée, une initiation qui passe par un décryptage ésotérique aux yeux ébahis et incrédules des profanes encore sous le coup de l'imprégnation mentale qui leur a été inculquée depuis la naissance, par un rigoureux formatage générationnel. Très paradoxalement, les initiés ne nieront pas qu'un tel processus d'amnésie de ce que l'on peut appeler la surréalité (la réalité dimensionnelle vraie) soit un effet pervers de l'effacement de mémoire des vies précédentes au moment de l'incarnation, car en terme d'efficacité cette étape semble nécessaire pour la grande majorité des gens afin d'évoluer de manière crantée sans avoir souvenir d'étapes précédentes de leur existence qui pourraient sinon parasiter et fausser la nouvelle expérimentation d'incarnation sur d'autres voies à suivre, sur d'autres missions de vie selon des Lois karmiques encore plus complexes et difficilement appréhendables selon nos modalités dimensionnelles restreintes à notre niveau ici-bas. Sous cet angle la relation de couple se clarifie comme étant une fonction karmique, ses problématiques comme étant des expérimentations de mission de vie à suivre, qu'elles soient assimilées positivement ou négativement d'un point de vue profane sans décodage alors cela ne change rien, bon ou mauvais cela reste une initiation, une épreuve à passer, une case à cocher sur la mission.

Évidemment, faire comprendre l’ensemble de ce processus à une personne en difficulté, notamment en crise de couple ou en rupture sentimentale, sera assurément compliqué d'emblée sans passer par un travail conséquent où viendront comme une initiation ésotérique se décrypter les éléments de cette problématique, les sources de cette crise, les aspects finalement bénéfiques à long terme et surtout les potentialités infinies de rebond pour dépasser le stade de la crise et évoluer de manière plus consciente, certes peut-être pas au niveau d'un initié de haute stature mais comme un individu enfin libéré, enfin ouvert sur ce que j'ai l'habitude de nommer un horizon des possibles, une sortie par le haut de ce qui était un problème apparemment insoluble sans les bonnes clefs, une certitude que le "moi" peut aussi accéder aux conseils de son surmoi, ceci via des processus ritualistiques, ce que l'on conçoit trivialement dans le langage profane comme de la Magie opérative avec ses travaux de magie, ses praticiens et ses Connaissances ésotériques qui permettent de percevoir ce dialogue. Éviter, empêcher ou accepter la crise dans le couple en se résignant à n'en voir que les aspects strictement basiques s'apparente à s'exempter du codage de l'existence qui se trouve sous la surface du visible, c'est ne pas vouloir ou ne pas chercher à voir ce qui est occulté et que la voie ésotérique permet de décrypter pour résoudre radicalement ces problématiques existentielles conjugales, relationnelles ou amoureuses qui jouent des rôles karmiques essentiels mais effectivement cachés.

En qualité de chaman, je vous propose si besoin de trouver ces clefs, d'effectuer ce travail de décryptage via des rituels "de magie" (appelons-les avec la terminologie courante) et ainsi de vous orienter sur la voie à suivre, celle qui sera en accord avec votre mission de vie, celle que "l'on" attend de vous ! Pour me joindre dans le cadre de mon activité professionnelle et pour en discuter librement sans engagement, merci de suivre les informations sur ma bannière ci-dessous. À très bientôt !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel.

 

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"L'engagement", un mot anodin en apparence, demeure une notion fondamentale dans le domaine complexe de l'amour mais ne se résume pas à la seule parole donnée, souvent réciproquement, dans le cadre préalable de fiançailles ou de manière plus établie lors d'un mariage durant lequel les voeux seraient énoncés à haute voix devant une assemblée officielle, non, l'engagement véritable, plus précisément amoureux, se traduit par un pacte, qu'il soit initialement profane mais sous l'influence d'une religion qui en témoigne du serment volontairement exprimé ou bien qu'il soit autre (celui justement qui nous intéresse), c'est au-delà du seul individu qu'il s'exerce, c'est même au-delà du seul couple réuni qu'il se conclut car cela dépasse non seulement notre temporalité commune mais aussi le duo d'individualité qui souscrit à cette union… Afin de mieux cerner ce mystère du "Pacte d'Amour", il est nécessaire d'en expliquer plus en avant les contours et l'antériorité existentielle dont la plupart des profanes n'ont bien évidemment nul souvenir ni même une idée précise de ce qu'il représente réellement, de comment le révéler pour en activer l'essence, du pourquoi de sa présence si cela est le cas dans ce cadre, et enfin du caractère hautement ésotérique dont il est revêtu avec des habits dépassant notre sphère d'ici-bas en influençant puissamment la relation à laquelle il est pourtant intimement lié. Le "Pacte d'Amour" s'inscrit donc dans cette double expression : celle visible et tangible qui influe sur le couple et sa relation amoureuse mais aussi celle plus subtile et éthérée qui a été actée bien avant la rencontre puisque "procréée avant l'arrivée" même des (divers) protagonistes… Je reconnais qu'à ce stade certains commenceront à cerner la portée métaphysique du voile qui se découvre lentement, de cette vérité intrinsèque qui dirige nos rencontres et notre parcours de vie, et c'est pour aller encore plus loin sur cette voie que la magie existe afin d'en révéler la quintessence ésotérique qui s'en dégage, lorsque cela est néanmoins possible.

Dans l'article précédent (à relire ici) la notion "d'envoûtement d'amour", puissant rituel principalement orienté en magie rouge à diverses fins, dont celle de renforcer le couple ou d'en éviter certains désagréments, voyait tout son intérêt dans cette action magique à notre niveau lors de travaux soutenus sur demande d'un des partenaires soucieux d'améliorer sa relation amoureuse, ceci parfois a contrario du contexte en présence ou bien de sa propre voie karmique, ou inversement, d'autres fois dans la bonne ligne karmique afin d'en satisfaire le choix de mission de vie sans en changer l'orientation initiale. Il faut bien noter ou rappeler pour ceux qui ne l'auraient pas encore acquis, que chacun dispose de son propre parcours dans l"élaboration de cette mission de vie et que la relation amoureuse représentée majoritairement dans notre société actuelle par le couple n'est qu'un instrument par lequel s'exprime cette volonté d'en remplir ce que je pourrais nommer "le contrat". Un contrat essentiellement karmique ayant cette caractéristique de ne presque jamais être dévoilé durant l'existence (pour d'assez bonnes raisons), sauf lors de synchronicités marquantes ou durant des épisodes psychiques éprouvants (généralement analysés par la psychiatrie comme des épisodes délirants incompréhensibles vus de l'extérieur, et souvent hélas aussi rétrospectivement par celui ou celle qui le vit, n'ayant pas les clefs mémorielle d'interprétation ou le "droit karmique" de les interpréter…). De même, et pour bien placer les termes en les remémorant, dans un ancien article (à relire ici) la notion plus spécifique de "Pacte de Couple" avait été évoquée avec cette fonction première cette fois-ci de "vouloir sceller" la relation de couple par un contrat magique, lui apportant ainsi une très grande résilience face aux aléas de la vie, ceci sous le coup d'un sceau sacré presque impossible à rompre, un avantage ayant aussi implicitement ses inconvénients…

Le "Pacte d'Amour" est de nature assez différente bien qu'il reprenne les mêmes éléments basiques mais dans un sens plus élevé, plus karmiquement acceptable et donc aussi paradoxalement moins compréhensible selon nos conventions humaines profanes, moins faciles à appréhender comme un avantage immédiat, ce qu'il représente pourtant à plus long terme dans une mesure où cette existence n'est qu'un petit élément du puzzle global à reconstituer pour évoluer en cochant toutes les bonnes cases, si j'ose dire. Comme vous l'aurez compris à demi-mot, le pacte d'amour ne s'est pas initialement intégralement joué durant cette vie de manière présente mais antérieurement, c'est-à-dire au niveau karmique, au niveau désincarné, en d'autres termes lorsque l'âme qui va s'incarner décide (ou se doit instamment de décider) d'une ligne à suivre, d'une liste de tâches à assumer dans l'existence, d'une approche complémentaire de ce qu'elle n'a pas réussi dans l'existence précédente, d'une possible réparation d'une faute, d'une dette karmique à régler vis-à-vis de soi-même ou, et c'est ici le point capital : d'une dette karmique à régler vis-à-vis d'une autre âme (ou entité) déjà rencontrée dans une précédente incarnation. Le Pacte d'Amour est bien évidemment aussi "modulable" durant l'existence dans la mesure où l'on prend consciemment (ou pas…) le choix d'en suivre la direction principale ou de s'en détourner légèrement dans un sens qui ne compromette pas l'essentiel de l'intégrité de la mission de vie prédéfinie. Ainsi, le Pacte d'Amour peut être révélé sous sa propre appellation par la magie, il expose de facto ses contraintes et ses obligations karmiques, il définit ici-bas des objectifs à atteindre avec assurément une sorte de base contractuelle de devoir côtoyer telle ou telle personne proche pour en assumer la charge et les orientations à suivre, par exemple tel (ou telle) partenaire qui sera susceptible de porter "conjointement et réciproquement" via une relation de couple la ligne karmique qui aura été décidée auparavant… Idem pour certains membres de la famille ou proches qui auront plus ou moins une certaine importance à jouer à différents stades, ponctuellement ou plus durablement.

Fort de cette dernière explication assez révélatrice en elle-même, rétrospectivement, un nombre considérable d'événements de la vie devient bien plus clair, et dans cette perspective, en étant ainsi initié sous cet éclairage plus profond avec une hauteur de vue plus étendue, l'on comprend alors mieux certains déboires, tracas ou même accidents relationnels, ou inversement les bonnes surprises imprévues ou rencontres qui peuvent à un moment précis jalonner des portions de vie pour acter karmiquement ce qui se doit de l'être. Dans cette mesure, via un rituel de magie du même nom où le "Pacte d'Amour karmique" se dévoile, l'on peut demander à un praticien d'en interpréter les composantes à la manière d'un avocat qui expliquerait les termes d'un contrat existant pour en montrer la portée, les obligations et les libertés d'action potentielles, ceci bien évidemment vis-à-vis des personnes impliquées qui rayonnent a fortiori dans l'environnement existentiel présent, le tout remis dans un double contexte : à la fois pratique et "terre à terre" (pour pouvoir le vivre), mais aussi intimement lié à l'horizon karmique que l'on doit percevoir comme indépassable car indubitablement présent comme un essentiel substrat d'évolution incontournable. Le Pacte d'Amour doit donc se percevoir comme l'analyse magique du contrat de vie et de sa mission, avec les personnes importantes, dont évidemment le ou la partenaire qui tient ici généralement une place privilégiée dans cette configuration habituellement comprise ou perçue (mais pas toujours, dans le sens où d'autres personnes peuvent graviter attractivement, pas dans le sens conventionnel d'un "amour assimilé profane" mais d'un "amour intrinsèquement karmique" apportant sa contribution en ressources essentielles ou en réorientations principielles).

Aucun de nous ne peut, à un stade de conscience normale, connaître ses propres différents contrats et pactes karmiques, ce n'est qu'en passant par une étape initiatique puissante que se révèlent les processus existentiels subtils bien souvent extrêmement hermétiques à tous ceux qui tenteront d'en extirper les secrets sans en avoir dépassé le niveau de compréhension adéquat. Dépasser un état de conscience normale revient à s'exposer au paranormal avec tous ses dangers qui sont nombreux, nul ne peut expérimenter l'autre côté du miroir sans passer par cet état modifié de conscience déstabilisant qui peut anéantir une vie dite normale. Cette mise en garde est nécessaire car chacun pourrait être "tenté" d'ouvrir des portes interdites par pure curiosité ou par bête ignorance des dommages ou des menaces qui se cachent derrière une telle ouverture sur un monde inconnu à la fois porteur de lumière mais aussi de redoutables ténèbres. Vouloir avoir accès à son propre horizon karmique demeure une violation des grandes Lois universelles de l'évolution, c'est dans une certaine mesure une maligne tricherie qui peut par conséquent se payer d'une dette karmique très lourde à porter, et il est donc peut recommandé de s'y aventurer seul sans en connaître le B.A-BA des règles élémentaires sans l'aide d'un praticien qui pourra délimiter le terrain pour ne pas dépasser certaines frontières strictement interdites d'accès.

Dans ce sens, et ayant pleinement conscience de ces limitations imposées, dans le cadre de ma démarche professionnelle en qualité de chaman expérimenté exerçant depuis plusieurs décennies, je peux vous orienter sur une voie sûre afin que le Pacte d'Amour révèle uniquement ce qui peut l'être pour vous dans cette stricte mesure où l'on m'en donne l'autorisation à un niveau karmique comme intercesseur de votre demande. Pour ce faire et en discuter ensemble sans engagement, vous pouvez me contacter librement (voir mes coordonnées ci-dessous sur ma bannière) et ainsi entrevoir si un travail d'analyse se justifie via le processus magique de rituels adaptés à votre situation. Je vous dis à très bientôt en espérant vous apporter cette lumière dont vous avez peut-être besoin pour écarter des ombres susceptibles d'assombrir votre relation amoureuse et plus largement l'existence que vous expérimentez actuellement ici-bas !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #Chaman, #marabout, #sorcier, #Esoterisme, #haute magie, #ensorcellement, #exorcisme, #ombre et lumière, #Rituels de magie

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On aura beau dire, à notre époque le simple quidam se sera tout de même senti un peu magicien depuis la sortie d'Harry Potter bien qu'il ne sache finalement strictement rien des véritables rituels et autres lois ésotériques qui régissent notre monde d'ici-bas, et bien au-delà… Pourtant la vulgarisation cinématographique, sans qu'elle apporte néanmoins plus de clarté dans la véritable pratique (bien au contraire) aura su assez bien entrouvrir les portes romancées de cet univers secret et complexe aux plus profanes, avec effectivement l'attrait de belles images et de jolies histoires parfois mêlées d'un suspens terrifiant parfaitement entretenu pour marquer les esprits aisés à distraire. Mais l'arbre cachant la forêt, dans la réalité les dangers sont légion, non seulement pour ceux qui s'aventurent en territoire inconnu, pensant faire apparaitre des entités fabuleuses et gentilles avec leurs petites baguettes magiques de bois, mais aussi pour ceux qui cherchent des praticiens dans le but de leur soumettre leurs trop difficiles questions existentielles ou leurs problèmes quotidiens trop lourds à porter et à résoudre. Le fossé est en effet abyssal entre l'illusion créée par une vision onirique de la magie et sa rude et stricte pratique qui ne pardonne absolument pas, ni au trop naïf qui y verrait un exutoire simple et facile, ni au trop ambitieux qui en exigerait ou rechercherait avidement un pouvoir exubérant, une gloire personnelle démesurée et toute la richesse du monde…

La réalité ésotérique de l'occultisme (ou plus généralement de l'herméneutique des codes magiques) se place dans une sorte de très astucieux "juste équilibre secret" au sens très précis que tout écart sera irrémédiablement sanctionné, que toute erreur aura des répercutions incalculables pour celui qui n'entrevoit que sa propre personne dans l'exercice de son art, car s'en est un, celui de constamment jongler au bord du précipice, entre d'un côté une dimension infernale qui n'attend qu'une petite baisse vibratoire pour dévorer l'apprenti sorcier maladroit ou trop orgueilleux, de l'autre l'extrême rigidité d'entités supérieures garantes du bon fonctionnement des rouages de l'ensemble de l'univers ne laissant légitimement pas celui ou celle qui s'élève un peu trop afin qu'il ne se désintègre pas dans ce flux irradiant de vérités impossibles à regarder en face, et encore moins à comprendre… N'oublions pas que notre dimension terrestre se trouve à ce redoutable carrefour, où, pour pouvoir l'emprunter, il faut avoir le bon "véhicule" (moyen pour progresser spirituellement) mais aussi en reconnaître les orientations pour ne pas se tromper de direction sur sa propre voie karmique à suivre. N'est pas maître en la matière qui le veut seulement.

De fait, certains se définissent sorciers, ce qui d'ailleurs et en ce sens reste assez peu explicite et troublant puisqu'il en existe de nombreux ordres qui pratiquent assurément dans des directions différentes, voire opposées, à savoir, du zénith au nadir : pour le bien (d'orientation néguentropique et altruiste) ou inversement pour le chaos (résolument tourné vers l'entropie du monde, et pour soi-même). Une multitude de variations ou de niveaux peuvent aussi coexister de manières complémentaires avec des capacités et connaissances tout aussi diverses qu'habituellement et plus anciennement cloisonnées dans des catégories de pratiques bien définies, ce qui constitue finalement de nos jours un très large éventail de types de praticiens. Faut-il d'ailleurs nommer par le même vocable de "sorcier" le druide, le mage, le démoniste, le nécromancien, le théurge, le chaman, ou pire, le simple marabout ? Dans la langue triviale du profane tous ces sorciers se confondent aisément et c'est ici un danger que de ne pas savoir les différentier avec soin ou avec sagesse si l'on en possède un tant soit peu car il en faut pour ne pas se faire duper par certains de ces sorciers qui peuvent parfois dissimuler leurs réelles capacités de nuisance avec une trop habile gouaille mêlée à une fausse culture piochée au hasard dans les écritures dites saintes. Il faudrait même d'autant plus se méfier qu'un sorcier ose trop ostentoirement revendiquer sa pratique magique au nom d'un Dieu, d'un saint ou d'un prophète, sachant qu'alors il dissimule assurément sa vraie nature puisqu'il "mélange" (principe satanique "solve") ce qu'il est coutume d'appeler le bon grain de l'ivraie.

Dans cette perspective de mise en garde, le plus dangereux de tous mais aussi le plus dissimulateur de tous sera celui qui s'intitule avec exubérance comme "marabout", souvent avec l'attribut de "Chérif" (descendant direct de Mahomet… ou avec le titre honorifique de "sidi" ou maître) car l'on ne pourra y voir qu'une double et sournoise traitrise : premièrement celle d'exercer (si c'est le cas) en dehors de ses terres coraniques sacrées (où loin de la proximité de sa mosquée qui aurait permis qu'il soit probablement un érudit religieux rattaché officiellement à ce lieu) ce qui d'emblée laissera apparaitre un doute réel s'il exerce dans nos contrées en dehors d'édifices strictement consacrés à l'Islam, puisque c'est sa religion d'appartenance; secondairement mais pas des moindres : la pratique de la magie est durement réprouvée par le Coran, par conséquent un sorcier "marabout" qui proposerait des sorts, des envoûtements, inversement des désenvoûtements ou diverses potions peu orthodoxes, serait en totale disgrâce au regard de sa propre religion, ce qui ne serait pas du tout bon signe si en plus il "tentait d'aider" une clientèle d'une autre confession religieuse. Dans ce contexte précis, le marabout ne pourra être qu'un charlatan, un homme de peu de foi et certainement soit un inculte des écritures dont il se revendique, soit un faussaire de celles-ci dans sa pratique, avec comme autre revers celui de corrompre indirectement toutes les personnes qu'il côtoie dans son exercice en prêchant une parole dissolue et tordue, donc parfaitement négative et terriblement nuisible…

Notons enfin que le terme arabe initial pour marabout est "mrabet", c'est-à-dire "soldat", un soldat forcément rattaché exclusivement au dogme de son pays ou de sa contrée islamique, et donc une sorte de mercenaire religieux qui tentera un prosélytisme forcené sur toute personne l'approchant puisque c'est son rôle que de vaincre les autres religions et de chercher à convertir de force s'il le faut. Même si d'apparence dans son discours le marabout, qui s'est présenté comme tel, n'apparait pas pour ce qu'il est, c'est qu'il est d'autant plus dangereux dans la dissimulation de ses intentions véritables : convertir et nuire aux autres dogmes, utiliser la tentation d'un discours faussé pour arriver à toutes ses fins. À l'opposé de cette démarche se situe le chaman qui respecte humblement et sereinement chaque homme et voit en lui le fruit de la mère Nature, de Gaïa la Terre dans son ensemble sans dissociation de dogme puisque c'est à l'Humain qu'il parle, aux forces telluriques et aux entités des esprits de ces mêmes ancêtres humains qui pourront venir en aide à qui le demande instamment.

Le chaman n'est pas un soldat, c'est un "medecin-man", un soigneur des maux du corps et de l'esprit, un éveilleur spirituel puissant qui apporte une sagesse d'ordre holistique à ceux qui la recherchent et qui grâce à lui la trouve le plus souvent par son intermédiaire au plus profond de leur âme et sans en être forcé par d'autre volonté que la leur propre. Chaman et marabout sont donc plus que différents, ils s'opposent assurément dans la conception même de leur expérience, de leur pratique et de leur savoir : pour l'un, véritables Connaissances ancêstrales de portée universelle, positive et altruiste, pour l'autre une trahison des écritures qu'il déclame sans en comprendre ni la portée ni le sens, ceci au seul profit de vouloir duper celui qui vient à lui pour demander de l'aide mais qui sera au contraire corrompu par tant de malice et de fausseté. Le marabout est effectivement un sorcier, si l'on veut lui attribuer ce terme générique, mais avec un adjectif qui le définit bien mieux : un "sorcier nuisible", à ne pas côtoyer !

Dans le cadre de mon activité professionnelle ou bien si vous avez des questions sur le thème de cet article (ou d'un autre, voir la liste sur la colonne de droite du blog), vous pouvez me contacter ci-dessous très facilement. À très bientôt !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel.

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