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Nul ne peut se mettre strictement à la place d'une personne dont le couple est en situation de crise et proche de la rupture, car le contexte précis, les personnalités en présence et les causes ainsi que les effets induits font que l'ensemble de ces paramètres (en comptant ceux qui adviennent en surcroit de manière cumulative) en complexifient de facto l'analyse et la compréhension sans pour autant pouvoir donner des réponses finalement pleinement satisfaisantes. C'est, du moins, l'avis le plus couramment exprimé par les spécialistes dits "profanes", c'est-à-dire la cohorte habituelle de psy et de sociologues de la question qui, et c'est tout à leur honneur tout de même, ne s'arrêtent qu'au visible et descriptible selon les dogmes que la science leur impose, ne s'arrêtent finalement qu'au substrat le plus superficiel d'une individualité étudiée in situ dont ils ignorent les dimensions supérieures échappant à leur courte vision trop terre-à-terre pour les prendre en compte au-delà des prérogatives et du décorum de leurs fonctions corporatistes. Loin d'affliger ces spécialistes qui sont utiles, puisqu'ils tentent de "soigner" les maux de la vie, il n'en demeure qu'ils ne savent véritablement les "guérir" que dans de très peu de cas et encore moins en expliquer avec discernement et assurance toutes les sources et les raisons subtiles qu'ils se gardent bien d'exprimer ouvertement puisqu'ils n'en ont strictement aucune idée et qu'ils n'ont d'ailleurs jamais tenté d'en étudier la réelle provenance exacte. Seul peut-être C. G Jung, dans une vision plus ésotérique et moins normative, a-t-il pu aborder la question de manière plus approfondie comme l'initié qu'il était, avec ce que l'on sait aujourd'hui en retour de sa sagacité spirituelle éclairée : les reniements acharnés de ses pairs qui l'ont presque tous immédiatement banni de leur très docte cercle de fausses certitudes, apprises et répétées maintes fois au fil du temps, tels d'illustres perroquets savants si fiers de leurs plumes académiques décrépies. On en a d'ailleurs aussi vu dernièrement les effets pervers dans un autre "domaine médical réservé"…
Mais soyons pragmatiques et restons parfaitement lucides, loin de dire que la psychologie et la sociologie ne servent à rien, bien évidemment, il faut néanmoins effectivement remettre ces belles disciplines, là où elles s'accordent le mieux pour coexister : pour l'étude de cas improbables, pour la cogitation d'ego scienteux ex nihilo, pour l'amassage invraisemblable d'une montagne d'hypothèses tordues construites sur des terrains marécageux où chaque idée finit par être engloutie tout au fond du marais pour s'y décomposer lentement, mais sûrement. On ne compte ainsi plus chaque jour qui passe toutes les nouvelles méthodes et théories inapplicables, tous les discours de parfaits sophistes tournant en rond avec autant de mots creux que de slogans publicitaires répétés en boucle, et surtout tout ce temps perdu où des personnes en demande d'aide se voient instamment formatées dans le moule de la doxa médico-socio-psychologique, à coup de drogues médicamenteuses incertaines, voire dangereuses, et de lavages de cerveaux pour en oublier leurs problématiques mais aussi pour nier la spécificité de leur individualité ainsi totalement dissoute avec leurs questionnements légitimes initiaux, et c'est ici le pire… Ce constat implacable reste valable pour chaque personne devenant un "patient" (du latin "celui qui endure, qui souffre") comme pour le couple, qui s'apparente étymologiquement à un duo de personnes liées par une relation (généralement "amoureuse"), et dont on connait les potentielles "crises de couple", durables ou ponctuelles, évitables ou inexorables, douces et sans conséquence ou bien plus dures avec une fin dite tragique pour celui qui l'a subit, souvent crescendo : rupture, humiliation, isolement, dépréciation, dégradation, dépression, voire jusqu'au suicide social ou physique.
Le couple, ou plutôt la "notion de couple" devient d'autant plus complexe lorsque l'on élargit le cadre de référence avec ce ou ceux qui pourraient interagir, façon "simple sociologie profane du couple", avec le duo initial pour en révéler d'autres acteurs, ainsi d'autres types de relations actives apparaissent et peuvent assurément expliquer les crises ou du moins certaines problématiques importantes pouvant aboutir à une rupture et à une "perte de confiance morale" (plus ou moins forte) dans la relation de couple habituelle. C'est le cas de ce qu'il faut assurément appeler des bien nommées relations extra-conjugales avec les amants et les maitresses, seulement d'une durée d'un jour ou au plus long cours, ces relations seront perçues (selon les types de personnalité et d'éducation) comme amorales ou inversement parfois nécessaires, voire pour certains plus rarement comme un mode de fonctionnement presque normal du couple que de ne pas vouloir s'astreindre à l'uniformisation de la sexualité dans ce qu'elle propose de manière plus convenue, c'est-à-dire pour eux-mêmes comme couple à s'autoriser de ne pas se satisfaire sexuellement du seul conjoint ou partenaire. Dans ce dernier cas moins courant, la liberté purement sexuelle peut être comprise comme un renforcement du couple dans ce qu'il se permet cette liberté réciproque, ceci en tenant compte de certaines limites tacites ou plus explicites si besoin. Mais cette vision plus libertaire du couple n'est évidemment pas l'apanage de la très grande majorité, celle-ci restant cantonnée à la seule relation interdépendante réciproque, avec cet handicap relatif mais bien réel de voir littéralement voler en éclat la relation à la moindre incartade dont les dogmes sociétaux ou religieux ont su stigmatiser "la faute" depuis des lustres sur les populations dites "civilisées", comprendre "endoctrinées pour leur bien"…
Maintenant abordons la réalité sous un angle bien moins étroit, dans une vision certes plus ésotérique qui n'aura pas a priori l'approbation de tous les scientistes engoncés profondément dans leurs démonstrations matérialistes ou bassement corticales et psychiques, voyons le couple et sa relation comme je l'exprimais dans l'article précédent et dont la teneur dissipe toute confusion : le couple est un instrument, un outil pratique dans notre réalité terrestre (à notre niveau dimensionnel) de ce que chacun doit réaliser en "mission de vie" via le contrat karmique qu'il (le "soi supérieur" comme entité supradimensionnelle, ou apparenté de très loin au "surmoi" psy) devra suivre à des fins d'évolution par paliers en étant successivement "incarné", donc réincarné sous des individualités différentes cloisonnées (dont la mémoire est séquencée par période d'existence et généralement antérieurement non accessible par celle "présente"). Voilà qui en une seule phrase, sans palabres ni contournement inutiles, explicite la voie royale ésotérique qui généralement instaure la réincarnation (ou métempsycose) comme un fait établi expliquant pratiquement l'ensemble des problématiques ici-bas, dont celle, très importante, de la relation de couple qui participe activement à cette évolution karmique sur plusieurs vies. Je conseille de lire mes articles précédents afin d'entrer plus dans le dur du sujet si cela était encore nécessaire d'en apporter des informations plus étayées didactiquement en laissant de côté l'hermétisme des textes anciens qui l'explicitent sous une forme occultée et souvent marquée d'une religiosité très directe qui pourrait choquer car parfois assez éloignée de la douce et édulcorée spiritualité contemporaine telle que nous la concevons aujourd'hui.
Dans cette perspective la relation de couple prend alors une toute autre dimension, très loin des stéréotypes profanes où les liens sentimentaux préfabriqués par les habitus sociétaux deviennent soudain à l'image de ces lignes de code sous-jacentes dont il faut avoir les clefs pour en comprendre la portée réelle et la signification cachée, une initiation qui passe par un décryptage ésotérique aux yeux ébahis et incrédules des profanes encore sous le coup de l'imprégnation mentale qui leur a été inculquée depuis la naissance, par un rigoureux formatage générationnel. Très paradoxalement, les initiés ne nieront pas qu'un tel processus d'amnésie de ce que l'on peut appeler la surréalité (la réalité dimensionnelle vraie) soit un effet pervers de l'effacement de mémoire des vies précédentes au moment de l'incarnation, car en terme d'efficacité cette étape semble nécessaire pour la grande majorité des gens afin d'évoluer de manière crantée sans avoir souvenir d'étapes précédentes de leur existence qui pourraient sinon parasiter et fausser la nouvelle expérimentation d'incarnation sur d'autres voies à suivre, sur d'autres missions de vie selon des Lois karmiques encore plus complexes et difficilement appréhendables selon nos modalités dimensionnelles restreintes à notre niveau ici-bas. Sous cet angle la relation de couple se clarifie comme étant une fonction karmique, ses problématiques comme étant des expérimentations de mission de vie à suivre, qu'elles soient assimilées positivement ou négativement d'un point de vue profane sans décodage alors cela ne change rien, bon ou mauvais cela reste une initiation, une épreuve à passer, une case à cocher sur la mission.
Évidemment, faire comprendre l’ensemble de ce processus à une personne en difficulté, notamment en crise de couple ou en rupture sentimentale, sera assurément compliqué d'emblée sans passer par un travail conséquent où viendront comme une initiation ésotérique se décrypter les éléments de cette problématique, les sources de cette crise, les aspects finalement bénéfiques à long terme et surtout les potentialités infinies de rebond pour dépasser le stade de la crise et évoluer de manière plus consciente, certes peut-être pas au niveau d'un initié de haute stature mais comme un individu enfin libéré, enfin ouvert sur ce que j'ai l'habitude de nommer un horizon des possibles, une sortie par le haut de ce qui était un problème apparemment insoluble sans les bonnes clefs, une certitude que le "moi" peut aussi accéder aux conseils de son surmoi, ceci via des processus ritualistiques, ce que l'on conçoit trivialement dans le langage profane comme de la Magie opérative avec ses travaux de magie, ses praticiens et ses Connaissances ésotériques qui permettent de percevoir ce dialogue. Éviter, empêcher ou accepter la crise dans le couple en se résignant à n'en voir que les aspects strictement basiques s'apparente à s'exempter du codage de l'existence qui se trouve sous la surface du visible, c'est ne pas vouloir ou ne pas chercher à voir ce qui est occulté et que la voie ésotérique permet de décrypter pour résoudre radicalement ces problématiques existentielles conjugales, relationnelles ou amoureuses qui jouent des rôles karmiques essentiels mais effectivement cachés.
En qualité de chaman, je vous propose si besoin de trouver ces clefs, d'effectuer ce travail de décryptage via des rituels "de magie" (appelons-les avec la terminologie courante) et ainsi de vous orienter sur la voie à suivre, celle qui sera en accord avec votre mission de vie, celle que "l'on" attend de vous ! Pour me joindre dans le cadre de mon activité professionnelle et pour en discuter librement sans engagement, merci de suivre les informations sur ma bannière ci-dessous. À très bientôt !
Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel.
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