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Blog chaman ésotérisme

Blog chaman ésotérisme

Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

orientation karmique

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La réussite, tout comme l’argent ou la notoriété font tous les trois partie des aspirations recherchées par un grand nombre de personnes dans nos sociétés qui imposent un peu ces orientations où le succès est devenu un signe de valeur, qu’il passe effectivement par ces trois facteurs qui sont d’une certaine façon assez proches si l’on en analyse leur teneur réelle, en effet : la réussite engendre généralement le fait de gagner beaucoup d’argent, ce qui apporte une certaine notoriété. Avant de continuer notons tout de même que ce raisonnement reste tout relatif car cela dépend du contexte en présence et de l’état d’esprit qui en résulte, principalement du vôtre en particulier, mais ceci est une autre histoire. Ce qui nous importe aujourd’hui est de savoir comment tout réussir, ou presque, du moins surtout comment provoquer la chance pour qu’elle permette qu’à chaque pas l’on se dirige un peu plus vers la réussite, que ce soit lors d’un examen quelconque ou pour n’importe quels concours et circonstances. Vous me direz que c’est impossible, que la chance est un paramètre qui ne se maîtrise absolument pas ! Erreur, vous avez tout faux, la chance se provoque, elle peut d’ailleurs vous accompagner durant de nombreuses années, et même toute votre vie si vous savez en prendre soin. Voyons comment et pourquoi, les deux étant intimement liés…

Tout d’abord, une chose importante à savoir avant d’entrer dans le vif du sujet, c’est que la réussite des uns n’est pas forcément celle des autres, que vous êtes unique, que vos désirs, vos projets et vos échelles de valeurs ne dépendent que de ce que vous en pensez, que des objectifs que vous vous êtes fixés selon le sens que vous avez donné à la réussite de votre vie, rien d’autre n’a d’importance que de savoir suivre sa propre voie, de cocher les cases que l’on croit bonnes pour soi, d’écouter sa voix intérieure pour se rendre compte de la valeur que l’on donne aux choses, aux événements et aux personnes qui nous entourent. Ce petit préambule permet déjà à chacun de se rapprocher de ses véritables aspirations, normalement les vôtres ne sont pas forcément celles de votre voisin, même si bien entendu, encore une fois, la société semble pointer le doigt vers certaines valeurs communes dont la grande majorité sera d’accord d’en suivre les principes et orientations très génériques. Chacun sera juge, "en la matière", de ses propres choix.

Et c’est ici que le concept de chance prend toute sa forme, car finalement pour le profane, et de manière commune, la chance se trouve principalement être une valeur matérielle, or, pour l’initié il en va tout autre, d’une part la chance n’est liée à aucune matérialité en termes de but, d’autre part elle n’existe assurément pas à notre niveau existentiel puisqu’elle est intangible, immanente et d’une certaine façon apparemment imprévisible, au sens commun, ce qui nous la fait trop souvent prendre pour un heureux hasard. L’initié sait qu’il n’existe strictement aucun hasard dans l’existence, que chaque fait présent s’entend comme une référence au passé avec lequel il est intimement imbriqué mais aussi avec le futur dont la direction apporte déjà en elle le germe de ce qui adviendra… Mais ceci est encore peut-être une vue simplifiée, que peut-on penser d’une réalité où le temps ne serait pas linéaire, où, dans un absolu, le passé, le présent et l’avenir feraient partie d’une même matrice en mouvement perpétuel  sur elle-même ? Dans ce cas la chance ne serait pas une conséquence de tel ou tel cheminement au fil du temps, au contraire elle serait présente par essence, parce qu’il le faut, et prendrait une forme dont nous n’avons pas les mots pour en décrire la réelle teneur. Dans ce sens, forcément absolu et au-delà de notre matérialité existentielle, le facteur chance représente pour les initiés un aspect karmique d’un niveau supérieur, une direction dans une dimension plus élevée créant pour nous tous les possibles…

Même les mots ne sont pas anodins, dans l’expression "mettre la chance de son côté" l’on voit bien qu’il y a déjà un "état d’esprit" avec une volonté initiale de modification du contexte pour la mise en œuvre de la réussite. Donc aucun "coup du sort", aucun hasard dans cette volonté, ce serait plutôt, du coup, le résultat d’un autre type de sort, celui d’un vœu exaucé, d’une volonté affirmée et exprimée. En magie les rituels sont, d’une certaine façon, des mises en scène de demandes volontaires via la parole prononcée et la pensée méditative exercée dans un cadre symbolique à des fins de dépassement d’une situation, dite normale, pour atteindre une position supranormale. Depuis cette position l’on intègre alors la matrice des possibles, celle qui permet la réorientation de cette situation pour en redéfinir les paramètres selon la volonté d’une demande allant vers un but précis. Par conséquent la compréhension subtile de ce que représente ce que l’on appelle la chance peut s’orchestrer sous la forme de rituels ayant la capacité d’accéder à la matrice de création de la réalité pour en redéfinir des orientations possibles karmiquement parlant. En d’autres mots, l’orientation karmique de chacun, aboutissant à des contextes plus ou moins favorables dans l’existence, peut proposer, dans le cadre des possibles dont elle dispose de manière précise pour chacun, une voie plus "chanceuses" que d’autres sur simple "demande volontaire".

Bien évidemment, chacun, c’est-à-dire tout le monde, ne sera pas en mesure d’effectuer cette "demande volontaire" que l’on pourrait aussi appeler sous une forme plus évidente : la prière. D’ailleurs, "prière" ou bien "mise en scène d’une volonté sous la forme d’un rituel", n’est-ce pas finalement la même chose ? Oui et non. La prière demeure de l’exercice de la personne qui l’exerce en vue de la voir s’exaucer, le rituel peut pour sa part avoir valeur d’intercession, ce qui signifie qu’une autre personne (a priori un "praticien" apte à le faire…) pourra mettre en œuvre cette demande volontaire, et ce généralement via un rituel de magie reprenant mot pour mot la teneur intrinsèque de la demande. Dans cette perspective l’on s’accordera que la plupart des personnes issues de nos sociétés dites modernes ou contemporaines ne sont plus du tout capables d’exprimer avec la force nécessaire la moindre pensée volontairement constructive avec la certitude de s’y tenir ou d’y "croire". Ces personnes se sont coupées de leur propre puissance de proposition karmique dont elles ont pourtant la capacité en temps normal d’en utiliser le potentiel, elles en ont perdu le savoir-faire, elles en sont restées au stade profane, bien souvent au rejet du sacré qui fait appel à cette capacité à la fois naturelle et surnaturelle de par le lien qui s’effectue entre les différentes dimensions de l’Être.

"Comment tout réussir" ou bien provoquer la chance pour y arriver ? Tout a été dit précédemment, le comment et le pourquoi. Maintenant effectivement même en ayant les réponses chacun sera juge de ses propres capacités à réorienter ses possibles, à établir ce lien karmique pour en trouver l’exacte bonne direction, mais assurément le pouvoir d’intercession existe et permet cette accession via la magie des rituels d’entrer en contact avec cette potentialité où la chance à disposition peut offrir cette réussite attendue. En qualité de sorcier chaman en exercice depuis déjà plusieurs décennies j’effectue très régulièrement ce type des travaux de magie durant lesquels chaque rituel est unique et permet d’intercéder pour chaque personne qui le désire afin qu’elle puisse exercer de manière plus sûre et efficace ce droit naturel à se relier aux exigences karmiques qui sont les siennes. Par conséquent n’hésitez pas à me contacter pour en discuter librement afin de ne pas passer à côté de votre chance, elle se trouve juste à portée d’une simple demande volontaire !
 

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

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Avant d’entrer d’emblée dans le sujet pour comprendre, connaitre, puis enfin résoudre des problèmes de relations amoureuses (visibles ou sous-jacentes), il est assurément important d’élargir le contexte en ne partant pas uniquement des individus mais surtout du chemin sinueux qui les a porté non seulement à se rencontrer mais aussi à suivre les contraintes anciennes et présentes qui permettent de bien mieux définir la réelle et complexe sphère agissante qui dirige leur vie. Cette importante "sphère d’information" est elle-même sous influences d’autres types de contraintes extérieures multiples, de décisions périphériques à leur propre histoire mais ayant une incidence réelle. Enfin, cet ensemble est lui-même soumis à de grandes lois universelles supérieures non écrites (celles qui sont d’un ordre plus hermétique, à savoir karmique). L’Histoire elle-même, avec un grand H, fait aussi partie intégrante des paramètres à suivre selon un déroulement structuré pour en comprendre les effets, diverses répercutions et conséquences sur les individus, sur ce point l’exemple sociétal abondamment théorisé et le plus explicite bien que déjà ancien pour le sujet qui pourrait nous intéresser serait celui de ladite "libération sexuelle" d’après mai 68 et des mouvements sociaux en France (et ailleurs dans le monde par ricochet jusqu'à aujourd'hui) qui en ont résulté. Mais, sans vouloir trop compliquer une situation déjà multiforme, évolutive et non formelle, chacun sera aussi plus ou moins réceptif à l’ensemble de ces changements et de ces diverses contraintes, ce qui modèrera (sans simplifier pour le moins) toute démarche uniforme et trop généraliste pour en tirer de trop rigides conclusions.

Pour résumer clairement et pouvoir ainsi commencer à mieux cerner génériquement le problème et y répondre : nous avons ici en place une sphère contextuelle très structurée ayant au moins quatre grands paramètres qui jouent sur l’humain : spatiaux (pays et traditions, lieux, déplacements, etc.), temporels (dates importantes, histoire personnelle, mouvements Historiques et politiques, etc.), la prise de conscience de l’intéressé lui-même face à ces paramètres avec son essentielle rétroaction (1) psychique (réponse à l’ensemble des affects, subis, acceptés ou rejetés, voire neutralisés, qui accentuent ou modèrent les causes et/ou les effets), enfin et pas des moindres, l’influence décisive mais discrètement induite (notoirement invisibilisée au profane) d’un niveau supérieur axé sur la mission de vie et la part d’orientation karmique (2) avec ses épreuves (initiatiques et existentielles), sa route (sa destinée) et ses chaines (selon dette karmique, positive ou négative). Une fois que ces éléments sont préalablement posés nous pouvons commencer à travailler pour connaitre une situation dans le cadre d’un contexte réel proche d’une vérité sensiblement objective et bien cernée, notamment en ce qui concerne ici plus précisément ce qui nous intéresse : les relations amoureuses et leurs problématiques, lesquelles sont souvent, par essence comme nous le savons, relativement compliquées à comprendre et à aborder…

Afin de comprendre spécifiquement la relation amoureuse qui lie deux personnes, commençons par vérifier les potentiels points de frictions, c’est-à-dire les points qui pourraient s’opposer à cette relation ou la rendre plus difficile. La tradition de chacun : il est clair que deux individus n’ayant pas les mêmes bases sociétales, religieuses, ou traditionnelles auront plus de mal à "s’identifier dans l’autre" et donc à y percevoir les essentiels points communs pour s’apprécier d’autant plus. Ne dit on pas qui se ressemblent s’assemble ? Ce n’est heureusement vrai qu’en partie, sinon personne ne serait en couple tant nous sommes tous différents, ce qui est aussi un élément non pas à charge mais à l’avantage de ceux qui s’unissent que de revendiquer des différences pour les apporter, les offrir, à l’autre. Voyons d’ailleurs immédiatement dans cette "offrande" un véritable rituel à part entière et au sens strict, même si cela n’est pas visible ou ressenti comme tel pour un profane, elle l’est déjà parfaitement identifiée comme telle pour un initié ! D’offrande à sacrifice, il n’y a qu’un pas qui n’aura pas échappé à la sagacité intellectuelle et ésotérique pour relier deux concepts véritablement clé en magie opérative afin d'effectuer des rituels puisqu’une demande ritualistique se base à la fois sur l’élaboration orchestrée d’appels symboliques (demandes, prières, invocations, communications, etc.) et de dons qui sont multiples. La notion de don peut être de deux types : matériel (un objet usuel ou plus symbolique, une mèche de cheveux, une sécrétion sexuelle, du sang, des animaux, des plantes, etc.) ou bien des dons immatériels : ne serait-ce que le temps de cérémonie et de méditation, des pensées imagées (puissance de la volonté), des paroles répétées (mantra), des symboles tracés puis utilisés (brulés rituellement, dissous alchimiquement, enterrés, lavés, déplacés ou orientés, etc.).

"Savoir, Oser, vouloir, se taire", résume clairement aussi l’action de la volonté d’agir magiquement selon l’ésotériste mage Eliphas Levi (3) qui en définit ici des principes à suivre qui parlent d’eux-mêmes sans avoir à approfondir longuement. Ce que l’on pourra utilement en retirer de sagesse ésotérique c’est qu’effectivement avant toute action, comme dit précédemment, il sera nécessaire de savoir, de comprendre et d’analyser un tant soit peu la situation et le contexte réel avant tout travail de magie, ceci semble une évidence. Oser, demande que l’on dépasse certaines limites, notamment les habitudes lorsque l’on est "en demande" puisque ce n’est qu’en rupture (légère ou radicale) de son mode de vie ou de penser que l’on pourra aborder un changement, ceci aussi tombe sous le sens, il n’y a que ceux qui ne tentent rien qui ne gagnent pas au change. Enfin, "vouloir" apporte la clé indispensable, tant de la part du demandeur que du praticien, en effet rien ne se fera sans une volonté" préalable à l’acte, que ce dernier soit d’ailleurs concret et profane ou plus ritualistique et ésotérique. De plus, pour les initiés la volonté représente aussi une "matière subtile" à part entière qui se transmute et entre en sublimation pour transformer la réalité et changer le cours des choses… Se taire ensuite, car la notion de secret développe une puissance occulte participant à l’appel de forces invisibles qui ne veulent ni être nommées ouvertement à tout vent, ni être même pensées ou représentées à un niveau profane, ce qui serait alors littéralement une profanation d'un rituel en cours, une dégradation des effets attendus et enfin une terrible offense envers les entités en présence ou ayant participé aux travaux.

Vouloir améliorer une situation amoureuse compliquée et qui pourrait dégénérer, voire aboutir à une rupture, c’est donc mettre en oeuvre toute un complexe processus à la fois long, énergétiquement parlant assez lourd à supporter, rigoureusement échelonné selon des principes et des concepts à suivre à la lettre, et enfin avec la plus grande discrétion qui soit, voire avec un secret absolu si besoin. Il est clair, net et précis que dans ces termes seuls les professionnels auront assez de connaissances ésotériques et magiques, d’expertise dans l’expérience en la matière et en l’esprit du don de pouvoir obtenir des résultats satisfaisants ou significatifs. Sans oublier la notion de tempo, de séquençage des rituels, des appels aux bonnes (ou plus spécifiques) entités et des modulations ou ajustements à effectuer souvent en temps réel : aucun profane en activité dans un monde lui aussi profane n’en aura la pleine capacité, le temps, le savoir-faire, l’énergie et la volonté affirmée selon les principes évoqués précédemment. Bien au contraire, en exposant ici très sommairement les notions ritualistiques, il est strictement déconseillé de tenter d’effectuer seul pour soi-même des rituels de retour d’affection ou d’autres d’ordre de la magie rouge, cela serait à coup sûr dommageable pour la situation et pour celui ou celle qui opère sans les bons outils ni les connaissances requises. Ceci ne signifie pas qu’un profane puisse tout de même s’intéresser à ces problématiques hermétiques, qu’il en étudie les concepts et qu’il puisse, à son niveau, en récolter quelques fruits positifs par une attitude lui permettant d’entrevoir une certaine sagesse de l’amour pour que sa relation de couple en soit réellement bonifiée. N’oublions pas que le libre arbitre allié à la volonté, bien orientée et persévérante, seront les meilleurs atouts pour la réussite d’un projet, d’autant plus si celui-ci apporte l’harmonie et la stabilité demandée. Dans ce sens, et ce qu’il faut avant tout principalement retenir et appliquer : soyez toujours à l’écoute des élans primordiaux de votre coeur, parfois plus que de votre mental analytique ou de votre intellect purement logique, il est le seul indicateur à suivre sur le chemin de vos sentiments si ceux-ci sont effecitvement véritables !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel



(1) Rétroaction :
Une rétroaction est une interaction dans laquelle la perturbation d’une variable provoque le changement d'une seconde variable, qui influe à son tour sur la variable initiale. Une rétroaction forme une boucle fermée dans un diagramme de causalité. Une rétroaction positive est un processus qui a pour effet d’accentuer les perturbations, le processus s'autoalimente, par exemple dans le cas d'une explosion. Une rétroaction négative est un processus qui a pour effet d'atténuer les perturbations et provoque un amortissement qui permet une régulation. Ce processus intervient aussi comme agent causal sur sa propre origine, la séquence des expressions de la cause principale et des effets successifs formant une boucle de rétroaction.

(2) Le Karma : est l'action sous toutes ses formes, puis dans un sens plus religieux l'action rituelle. C'est aussi une notion désignant communément le cycle des causes et des conséquences liées à l'existence des êtres sensibles. Il est alors la somme de ce qu'un individu a fait, est en train de faire ou fera. Le karma est propre aux religions et spiritualités orientales ayant adopté le concept de renaissance (parfois nommée réincarnation ou transmigration), lié au fait que les êtres renaissent en fonction de la nature et de la qualité de leurs actes, dans cette vie-ci, mais aussi dans d'autres vies qui se sont déroulées antérieurement. Ainsi tout acte (karmique) induit des effets censés se répercuter sur les différentes vies d'un individu, formant ainsi sa destinée. Dans l'hindouisme et le bouddhisme, le karma permet finalement de se libérer du cycle des morts et des renaissances qui sont des épreuves initiatiques à expérimenter, l’état de libération est appelé nirvāna. En occident : pour les kabbalistes modernes, le karma est une série d'épreuves que l'on s'est choisi juste avant sa naissance, le but de la vie étant de réussir ces épreuves. Pour les théosophes l'usage de ce concept se résume sous la forme d'une loi de rétribution ou loi de cause et d'effet (positive ou négative).

(3) Eliphas Levi : est un ecclésiastique français et une grande figure de l'occultisme du 19e siècle (1810-1875). Auteur de nombreux essais ésotériques, notamment de : "l’Histoire de la magie", "Philosophie occulte : fables et symboles" et "Philosophie occulte : science des esprits".


 

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Nous avons, généralement, une vision du monde avec ce sentiment de très grande complexité qui en émane et dont la logique humaine et ses diverses cogitations ne font que renforcer à l’extrême cet aspect à la fois confus et inextricable qu’ont les évènements à s’entrechoquer de manière compliquée selon des schémas souvent incompréhensibles à cette même logique. C’est ainsi, en effet, que la grande majorité des gens capte le monde par le biais d’une réalité entièrement reconstruite intérieurement par leurs facultés cognitives, lesquelles ont cette étonnante fonction d’accumuler consciemment mais aussi inconsciemment une immense foule d’informations hétérogènes pour tenter d’en construire une histoire, apparemment sensée à notre échelle, et par conséquent d’en accepter le résultat obtenu comme parfaitement conforme à la seule et unique vérité à concevoir. Pourtant cette vision profane du monde, et donc des choses qui nous entourent, est parfaitement fausse par définition puisque nous-mêmes ne sommes pas parfaits pour en élaborer une vérité totalement dénuée d’erreurs, que notre pouvoir de captation n’est que la résultante de sens que nous avons faillibles, et qu’enfin notre capacité d’analyse est elle-même grandement limitée, entachée d’inexactes interprétations et de convictions la plupart du temps notoirement infondées ou déformées.

Alors, comment oser comprendre que nous ne savons rien de ce que représente la Réalité, que nous ne voyons que l’illusion de celle-ci qu’à travers des filtres qui nous composent, et comment dépasser cette limitation qui nous empêche de voir l’invisible ou ce qui nous est caché ? C’est ici même la définition de l’ésotérisme que d’aller chercher ce qui semble parfaitement hermétique et occulté, d’aller au-delà de la superficialité qui nous subjugue par ses fausses images, par ses sons imprécis et ses ressentis infidèles, tel l’incohérent montage amateur d’un premier film d’auteur, forcément fictif,  simpliste et rudimentaire. De nombreux signes indiquent pourtant, qu’au-delà des limitations imposées par notre incohérence humaine à saisir l’entièreté de la Réalité, nous pouvons parfois à de rares instants percevoir l’envers du décor et les coulisses du film de l’existence, ce sont dans ces moments que surgissent, telles de surprenantes synchronicités (1), d’ultimes vérités auparavant cachées ou bien des portes qui s’étaient habilement dérobées à notre vue tronquée. Qui contrôle ces nouveaux espaces invisibles ou bien qui cherche à nous les dissimuler ? Et dans quel but malicieux ou bien inavoué ? Les initiés ont depuis des millénaires cherché ces réponses, elles sont à double tranchant, à la fois très proches de nous et si éloignées de nos concepts courants, elles appartiennent à ceux, qui humains ne veulent pas les dévoiler mais aussi à d’autres sphères qui nous en imposent le silence, chacun de ces deux pôles pour des raisons parfois diamétralement opposées…

Qu’il existe des mondes invisibles à nos sens, cela est démontré par la science et très communément admis, par contre ce qui l’est moins c’est que certains humains initiés à des pratiques "d’ordre magique" (pour utiliser à ce stade une tournure générique non différentiée) disposent de cette faculté, de ce don ou sixième sens si l’on veut, pour entrer en contact avec des environnements autrement inaccessibles au commun des mortels ainsi qu’aux entités qui peuplent ces nouveaux horizons. Qui sont ces initiés ? L’on pourrait épiloguer longuement sur toutes ces castes de sorciers, de magiciens ou de druides, voire de chamans pour tenter d’expliquer pour chacun leurs spécificités et leurs orientations, bonnes ou moins bonnes, mais le principal à retenir c’est que certains d’entre eux préfèrent ne rien dévoiler des dits secrets qu’ils ont pu acquérir alors que d’autres en font profiter plus librement des bienfaits potentiels à ceux qui en ont besoin. Pour cataloguer très sommairement : d’un côté des initiés de l’ombre, c’est-à-dire bien souvent issus des forces obscures et ne désirant conserver leur pouvoir pour ne servir égocentriquement que leur propre compte, de l’autre les initiés de la lumière ou plus prosaïquement des praticiens plus ouverts au partage afin d’exercer une magie plus bénéfique et lumineuse. Dans nos sociétés occidentales nous retrouvons ces schémas relativement dissociés, apparemment simplistes, à deux strictes facettes, noire et blanche, radicalement opposées ou très rarement réunies.

Notons rapidement (car il y en aurait beaucoup à dire) qu’il en est tout autrement dans les sociétés orientales, ou non occidentalisées, qui possèdent des doctrines plus mitigées, du moins dans cet aspect où le mélange du noir et du blanc n’est pas si radical, l’exemple le plus parlant étant l’image symbolique du Tao dans laquelle nous retrouvons un point noir dans la surface blanche et inversement un point blanc dans la surface noire, ce qui caractérise ainsi une vue plus nuancée non seulement de la vision du monde mais aussi des pratiques magiques ou spirituelles qui s’y rattachent.  Cette notion assez binaire que nous avons en occident est elle-même à l’image de nos sciences où tout est soit vrai soit faux, sans intermédiaire ou zone grise, tout comme l’informatique avec ses 0 et ses 1 qui ne laisse aucun entre-deux, quoi qu’avec les informations quantiques nous découvrons enfin qu’il existe aussi  une troisième voie, celle du ni l’un ni l’autre ou des deux à la fois ! Ce dernier point est en soi une révolution scientifique qui rejoint paradoxalement des concepts spirituels très avancés qui ont eu cours depuis des millénaires chez les hindouistes avec la Trimurti (2), pour ne citer qu’eux (au passage aussi : les hexagrammes chinois basés sur la transformation sont aussi un exemple de "non-binarité" et de modulation), de même dans bien d’autres dogmes où rien n’est ni complètement noir ou blanc. Ainsi, la spiritualité reste l’apanage plus malléable et ouvert des sociétés non occidentales alors que chez nous s’opère une scission très nette entre la sombre et sulfureuse sorcellerie, problématique "magie noire" de destruction orientée "Thanatos" (3) et la magie opérative blanche, ou rouge si plus orientée "Eros" (4), se positionnant en pleine lumière assurément positive et bénéfique pour résoudre des problèmes, sans en poser d’autres…

Mais, de ces faces cachées ou que l’on ne voudrait pas forcément voir au quotidien dans nos sociétés occidentales via des positionnements plus spirituels ou même magiques, il coexiste aussi la réalité véritablement invisible d’une toute autre nature bien plus inaccessible à nos esprit humains, c’est une réalité située sur une dimension non matérielle, un plan absolument inaccessible à notre entendement logique car son essence dépasse notre imagination et transcende notre esprit captif de notre matérialité. Nous parlons ici d’une dimension karmique, éthérique de haut niveau dont même les plus aguerris d’entre les initiés ne peuvent en concevoir la puissance et les buts qui ne s’énoncent que ne manière symbolique par delà notre compréhension. Cet autre monde véritablement invisible à tous ne nous est pourtant pas étranger, bien au contraire puisque c’est, d’une certaine façon, une autre partie de nous-mêmes, bien plus grande, qui s’y trouve avec une logique d’évolution dépassant de très loin nos quelques dimensions spatiales et temporelle pour définir un mode existentiel infiniment supérieur, immensément complexe et à des années-lumière de notre entendement le plus élaboré. Cet autre nous-mêmes faisant partie d’un Grand Tout doit être considéré comme la trame d’un tissu dont nous ne serions qu’un des multiples fils tissés par des Lois Universelles, véritables entités dans un univers inconcevable où les symboles sont plus vivants que nous-mêmes qui ne sommes qu’un reflet fugace sur la vague mouvante d’un océan infini. Les initiés, qu’ils soient de sombres engeances ou plus éclairés savent qu’une dimension éthérique nous surplombe à l’image d’un lecteur lisant une bande dessinée en passant d’une case à l’autre où nous serions platement inscrits.

Face à ces mondes, intermédiaires ou plus éloignés nous surveillant de haut, l’exigence d’humilité est de rigueur pour ne pas sombrer dans une égocentrique folie furieuse ne menant qu’à la destruction de soi et d’autrui là où au contraire la direction qui nous est suggérée impose l’entraide et la concertation, le partage et la sérénité de l’esprit et de l’âme. Bien entendu, à chaque secret ésotérique il convient de modérer le pouvoir ainsi acquis et d’en faire bon usage, à défaut le pouvoir mal utilisé se retournera contre celui qui tente de s’en accaparer des bienfaits usurpés en oubliant qu’il n’est pas seul au monde, monde humain, monde symbolique de l’éther et monde karmique qui présuppose une initiation bien intentionnée pour perdurer et évoluer. Le profane, pour sa part, aura ce droit de regard et d’information sur ce que sa propre route existentielle lui promet, il pourra de lui-même trouver des réponses ou bien les demander avec les précautions d’usage aux initiés en ayant le droit et les capacités. En qualité de chaman je me suis engagé sur cette voie de l’entraide, elle requiert une grande vigilance face aux forces s’opposant au bien, de même qu’un savoir-faire et une Connaissance que je remercie de m’avoir donné une vision plus large du monde en pouvant élaborer des travaux et rituels utiles aux personnes demandeuses. Comme d’habitude je réponds à toutes les questions concernant cet article, donc n’hésitez pas à me joindre pour plus d’information !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel


(1) Synchronicité : la synchronicité est l'occurrence simultanée dans l'esprit d'un individu d'au moins deux événements mentaux qui ne présentent pas de lien de causalité physique, mais dont l'association prend un sens pour la personne qui les perçoit. Cette notion s'articule avec d'autres notions de la psychologie jungienne, comme celles d'archétype et d'inconscient collectif.

(2) Trimurti : dans l'hindouisme, la Trimurti (trois formes en sanskrit) est la partie manifestée de la divinité suprême qui se fait triple pour présider aux différents états de l'univers.  Les dieux Brahmâ, Vishnou et Shiva symbolisent respectivement la création, la préservation et la destruction.

(3) Thanatos : dans la mythologie grecque, Thanatos (en grec ancien Thánatos) est la personnification de la Mort.

(4) Éros : (en grec ancien Érōs) est la divinité primordiale de l’Amour et de la puissance créatrice dans la mythologie grecque.

 

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S’il est bien un problème de couple par excellence, c’est bien celui qui pourrait mener à sa séparation, à la rupture ou à l’éloignement. De "crime d’Amour" alors il y a, d’en concevoir à un moment sa fin et même son enterrement, de première ou de seconde classe en fonction des raisons et des buts recherchés, en fonction des contextes mais aussi et surtout, et sur ce point on ne l’évoque pas assez ou si peu, essentiellement en fonction de l’Ego des forces antagonistes en place, du couple redevenu une dualité qui s’oppose plus qu’elle se complète et s’entraide, en ceci "le crime" est parfait si personne n’en trouve le véritable mobile, ce qui dans le monde profane demeure le plus souvent une vérité empreinte de non-dits, de silences ou effectivement de contrevérités absurdes, intentionnellement voilées ou non… Les initiés tentent de faire la part des choses du réel mais aussi de l’imaginaire des Ego dans ce qu’ils ont de subjectivité mais aussi selon cet incroyable "effet Rashōmon" (1) qui implique que chacun, chaque Ego, aura sa propre vérité, son propre compte-rendu (ou "conte" tout court) forcément pseudo-objectif selon l’angle qu’il aura bien voulu prendre dans la perception de l’histoire de sa relation de couple, de lui-même dans cette relation et de sa propre conscience face au monde et à autrui. De là à en faire un "cas de conscience" il n’y a qu’un pas, par conséquent l’initié y entrevoit justement les rapports complexes et très ésotériques entre l’Ego et le moi transcendantal, une alchimie qui pourrait avoir bien d’autres orientations intéressantes, dites supérieures, que celles qui sont paradoxalement directement visibles des protagonistes eux-mêmes. C’est de cette version plus invisible ou occultée dont il va être question, si tenté que cela puisse être possible de pouvoir s’appliquer de manière relativement générale à tous…

Mais avant d’entrer dans le vif du sujet, celui de l’Ego puisqu’il s’agit de lui, nous devons caractériser cet Ego comme une forme, ou plutôt une image tel un objet semblable au noyau dur au centre de la psyché avec un poids très lourd et une forte inertie au point que chacun de ses mouvements d’humeur provoque un déséquilibre de l’ensemble du psychisme en le faisant tanguer tantôt entre la destruction d’autrui dans un excès de paranoïa et tantôt vers une totale et aveugle autosatisfaction se réfléchissant dans un miroir narcissique sans limites. Un terrible tableau pour cet Ego qui pourtant a son importance à des fins de conservation et de protection face aux aléas existentiels tout comme un pare-chocs émotionnel encaissant les coups en se renforçant de plus en plus à chaque bémol. Se "forger le caractère" en vient de là, à force de coups de marteau sur le fer l’on forge le sabre coupant ou la pointe qui perce. Que ce soit d’ailleurs en psychologie, en philosophie ou en ésotérisme et métaphysique, l’Ego a toujours cette prédisposition à "s’opposer à" ou bien à phagocyter ce qui se met en travers de son chemin pour le digérer et en profiter, une destruction par l’assimilation ou par le rejet, aucun entre-deux possible, aucune alternative modérée. Dans ce sens, plus l’Ego prend de l’importance, du poids, l’on dit alors qu’il enfle, et plus il sera en regrettable capacité de déséquilibrer l’individu à chacun de ses mouvements d’humeur, successible de provoquer une surenchère dans sa réaction, une lourdeur destructrice emportant tout sur son "pas sage", c’est-à-dire "s’emportant".

La colère, la jalousie, l’envie, la "volonté de pouvoir" et d’asservissement sur autrui sont les leitmotivs qui viendront ainsi rythmer les relations humaines durant l’existence; volontairement assumés ou subis ces contrecoups ordinaires s’inviteront aussi dans la relation de couple, pour le meilleur et pour le pire. L’on ne choisit pas celui qu’on dit aimer forcément pour ce qu’il représente intrinsèquement de complémentaire mais trop souvent au contraire de ce qu’il apporte en reflet de soi-même afin que l’on puisse s’y reconnaître et s’y réfléchir à souhait, c’est encore l’Ego qui parle en regardant l’être aimé qui l’est en partie à cause de sa ressemblance avec lui-même. Aucun paradoxe à voir dans autrui ce que l’on est finalement soi-même, c’est d’ailleurs ici une sorte de règle de protection de l’individu que de savoir percevoir en autrui ce que nous avons en nous-mêmes afin de ne pas être trahi ou pris par surprise par cet autre qui nous ressemble tant et que nous aimons; encore une fois Narcisse n’est jamais loin lorsque l’Ego observe, analyse, assimile et se met en phase, une posture d’équilibre dans cette dualité où deux sons s’accordent pour jouer l’apparente douce mélopée du couple.

Mais, avec ce poids qu’on lui accorde, la véritable question serait bien celle de la provenance initiale de cet Ego, d’où vient-il exactement, dans quel but se forme-t-il et comment ? Une partie de la réponse a déjà été évoquée dans les forges symboliques de Vulcain, dans cette propension à vouloir affermir ce qui distingue l’individu d’un autre, son caractère ou plutôt devrions nous dire les biais caractériels cognitifs qui résultent de nos activités. D’un point de vue profane, purement scientiste et psychanalytique, l’Ego semble caractériser la personnalité et sa sensibilité (affirmée ou non) à répondre selon diverses orientations de manière plus ou moins prononcée à des stimuli (contextuels ou relationnels). Dans ce sens l’Ego se construirait progressivement en fonction de ces stimuli, en fonction des expériences vécues et des prises de position effectuée, en d’autres termes l’on retrouve encore une fois ce fameux libre arbitre sur le chemin de notre fameux Ego…

Comme je l’ai très souvent exprimé et écrit dans mes articles, le libre arbitre humain n’est que très relatif, il est assez strictement encadré et formaté selon des règles et des lois que nous ne maîtrisons pas du fait qu’elles sont, pour les initiés qui en ont Connaissance, inscrites à "d’autres niveaux" pour agir ici-bas. Ainsi, et de manière transitive, l’on voit assez distinctement que, de ce fait, l’Ego aussi s’en trouve construit non plus selon un cheminement progressif et uniquement dû à l’expérimentation libre durant la vie mais plutôt selon des voies déjà définies ou tracées pour "personnaliser l’individu" en fonction d’un autre but bien moins évident pour qui n’est pas averti, et donc un but plus ésotérique, très hermétique par définition… Formater un individu en amont de son existence en lui faisant emprunter des voies déjà définies au préalable, cela s’appelle tout simplement "jouer un rôle", celui qui permet, tout comme dans une pièce de théâtre, d’entrevoir une scène avec plusieurs acteurs jouant ce scénario déjà écrit avec cette certitude que chacun exprimera, selon le texte du metteur en scène, le rôle qui lui est bien imparti, avec parfois quelques variantes au cours des représentations. La pièce, celle qui nous intéresse aujourd’hui, s’intitulant "Crime d’Amour", elle va jouer la rupture du couple, sa scène se situe dans le décor de l’existence, les spectateurs sont dans l’ombre et dans les coulisses, ils applaudiront toujours à la fin du spectacle, plus ou moins, déjà pour remercier le jeu des acteurs mais aussi pour la belle mise en scène. Ainsi le théâtre de la vie aura permis aux acteurs d’expérimenter non seulement la rupture du couple mais aussi d’entreprendre le jeu de l’Ego dans toute sa splendeur.

Pour les initiés "les choses de la vie", dont celles très importantes des relations humaines, n’ont pas la même signification que pour tout un chacun qui se trouve sur sa propre scène sans savoir qu’il joue ainsi inconsciemment son propre rôle, celui pour lequel il a été amené à lire le scénario, dans le cadre d’un libre arbitre fictif suivant un déroulement déjà écrit d’avance. Et tout ceci dans quel but ? Suivre une mission de vie, suivre le scénario pour lequel il s’est engagé d’en suivre le jeu complexe de l’existence à des fins d’évolution. Nous sommes tous des acteurs de nos vies, nos Ego sont les rôles karmiques que nous nous sommes alloués, nous suivons aujourd’hui tel jeu d’acteur avec la personnalité qui convient, demain nous jouerons encore et encore, dans un autre théâtre, une nouvelle pièce existentielle pour parfaire cette tragi-comédie de la vie, peut-être intitulée "Le couple est sauvé" ! Les rituels de magie permettent parfois de modifier radicalement le scénario existentiel, par conséquent n’hésitez pas à me contacter pour en discuter librement.

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel


(1) En psychologie et communication : "l’effet Rashōmon" est un concept désignant un événement interprété de manière contradictoire par les individus impliqués. Il tire son nom du film Rashōmon (1950) d'Akira Kurosawa dans lequel un meurtre est décrit de manières différentes par quatre témoins. Le concept aborde les motifs, le mécanisme et les occurrences du compte rendu des circonstances, ainsi que les interprétations contestées d'événements, l'existence de désaccords concernant la preuve d'un événement, la subjectivité de la perception et la mémoire humaine. (dixit wikipedia).
 

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En ésotérisme opératif, tout comme en psychanalyse, il est des grands mystères du psychisme humain qu’il est nécessaire d’aborder pour concevoir l’existence vécue ou celle en devenir, c’est-à-dire pour anticiper un futur potentiellement harmonieux pour l’un ou entrevoir si possible une orientation positive de la destinée pour l’autre… En ce sens, vouloir connaître les arcanes secrets d’un individu (ou bien de soi-même) c’est finalement tenter de comprendre non seulement l’aspect conscient qui caractérise cet individu pour en définir activement sa personnalité, mais aussi avoir accès, d’une façon ou d’une autre, à ce que l’on appelle couramment son inconscient, cette sorte de boîte noire très peu accessible en temps normal. Ainsi, les séances de psychanalyse et les travaux de magie ont finalement une presque exacte et même fonction, celle d’entrer dans les méandres de cet inconscient, d’y trouver des signes, d’en interpréter les pistes tout en ayant, tant pour la psychanalyse que pour la magie et l’ésotérisme des terminologies différentes avec des moyens distincts mais des buts parfois identiques : résoudre des problématiques existentielles, un programme souvent long et complexe selon la profondeur du défi en question puisqu’il faudra aller creuser assez loin pour y accéder et en trouver l’essence cachée ainsi que son intrinsèque réelle signification. Les désirs, relations amoureuses ou interactions sociales et professionnelles ne représentent que la partie strictement visible de cet iceberg existentiel d’un apparent quotidien dont on cherche à mieux en comprendre les itinéraires probables sur l’océan de la vie et tenter ainsi d’éviter de trop douloureuses embûches en trouvant des solutions acceptables et constructives.

Mais finalement qu’est-ce donc que cet inconscient ? Une pure invention psychanalytique freudienne permettant de regrouper en un seul terme tout ce que l’on ne sait pas ? Ou bien est-ce une réalité de la psyché humaine dont personne n’ose vraiment parler tant cela dépasse l’entendement ? Les initiés ayant une certaine connaissance ésotérique pensent que Freud avait effectivement perçu une relative part d’ombre (entendre cachée) du psychisme humain en y voyant un côté sombre dans son "ça" du refoulement des pulsions basses et dans son plus lumineux "surmoi" juge de paix essayant de réguler ces mêmes pulsions. Dans ce schéma véritablement hermétique dans sa double symbolique du "bas" (des mauvaises pulsions) et du "haut" (d’une bonne éthique moraliste) Freud voit donc un inconscient dirigé par deux forces opposées dont l’une régule l’autre pour replacer l’individu sur une certaine ligne normative ou plus normale, de cette normalité spéculative qui écarterait par le refoulement les attitudes et pensées non conformes à la vie en société avec autrui (interdisant pour exemples probants : le meurtre, l’inceste, le viol, etc.). Notons surtout que toute la construction freudienne du psychisme tiendrait selon lui sur l’unique et essentielle pulsion sexuelle comme source principale de son processus… En magie l’on sait effectivement que la volonté, le désir et la sexualité sont des moteurs de l’existence avec néanmoins comme sources initiales plurielles celles des énergies, vitale et psychique, qui jouent conjointement un rôle dynamique dans l’évolution avec une autre part énergétique bien plus subtile placée sur un niveau supérieur non accessible et d’ordre karmique qui jouerait ce véritable rôle de régulation, ou plutôt un rôle d’orientation discrète de la destinée via un libre arbitre bien encadré et pleinement assumé en amont…

Là, où Freud ne veut et ne peut percevoir que la seule réalité dite visible de l’existence matérielle qu’avec une conception structurelle psychique et uniquement intérieure à l’individu (consciente et inconsciente), l’initié ajoute une dimension, certes ésotérique, située bien au-dessus de ce psychisme basiquement mécanique pour élargir l’individu à un moi-supérieur, non pas le surmoi freudien mais un moi en dehors de la conscience et dont l’inconscient ne serait qu’un intermédiaire agissant selon des règles karmiques issues de cette dimension supérieure non matérielle. En ce sens, encore une fois pour le citer dans cet article, C. G. Jung, autre psychanalyste précurseur et dissident de Freud, avait effectivement dépassé les premières notions de ce dernier en comprenant cette dimension cachée dont il exposa ces propres archétypes, ces synchronicités et finalement toute l’architecture complexe de la psychologie des profondeurs associée un inconscient collectif plus élevé et proche de cette dimension supérieure d’orientation karmique ou d’archives akashiques propres aux ésotéristes. Ainsi l’ouverture d’esprit de Jung et ses recherches l’ont poussé à concevoir et à nous présenter une méthode psychanalytique axée sur des horizons bien plus larges avec des notions que l’on retrouve assurément dans le domaine de la magie et des principes ésotériques généraux.

Si l’on conçoit que l’inconscient suit des règles non plus morales mais karmiques, alors les logiques purement matérialistes et terrestres ne s’appliquent plus uniquement dans notre réalité restreinte mais s’élaborent sur plusieurs niveaux, dont celui du moi supérieur guidé par ces règles karmiques encadrant l’ensemble du psychisme humain pour la réalisation de son évolution. L’on comprend alors d’autant mieux des concepts de "persona", "d’animus" et "d’anima" issus de la psychanalyse jungienne qui font finalement référence au choix "apparent" de la personnalité du moi supérieur qui s’exprime au niveau matériel terrestre via la sexualité et la différenciation des sexes, féminin et masculin, deux postures complémentaires de l’entité supérieure qui s’apparentent ici-bas à deux typologies sexuelles corporelles, l’homme et la femme. Les initiés ayant cette connaissance ésotérique des "deux mondes", savent que cette sorte de kénose (abaissement ou projection du niveau supérieur vers l’inférieur) implique par cette perte de niveau un choix, celui de l’orientation sexuelle unique (du moins physiquement en grande partie et psychiquement non proportionnellement partagée) et donc du choix de cette posture de "persona" dite sexuée, une personnalité qui s’exprimera socialement selon ce choix, par défaut et par réduction.

Les relations amoureuses, les désirs et par conséquent toutes les interactions sociales seront régies par ces règles (subtiles, invisibles ou inconscientes au sens basique de la psychanalyse) venues d’en haut dont très peu d’initiés en comprennent les tenants et les aboutissants mais dont la magie et les rituels apportent des solutions parfois d’une logique symbolique surpassant celle qui est en cours au niveau terrestre et qui n’est évidemment pas toujours bien comprise, voire plutôt rejetée d’emblée, par les profanes qui ne disposent pas de cette connaissance ésotérique. L’inconscient doit donc être abordé non comme une notion de pulsions et de morale qui s’y oppose mais comme la main invisible du moi supérieur qui guide ses propres choix sur un niveau inférieur avec des règles différentes, non plus morales ni strictement éthiques au sens où nous l’entendons mais au sens karmique qui s’élabore selon une autre logique dépassant la norme existentielle, une autre norme supra-logique souvent difficile à comprendre selon notre entendement terrestre mais parfaitement adapté à notre courte mission de vie ordonnée par notre entité ou moi supérieur qui en suit l’évolution et en guide discrètement la conduite. La logique supra-normale et symbolique des rituels de magie permet d’aborder cette autre dimension supérieure et d’en traduire les aspects les plus compréhensibles et concrètement utiles à notre "réalisation personnelle" en accord avec la volonté supérieure de notre entité guide.

De facto, les travaux de magie doivent s’entendre comme de très précieux auxiliaires d’évolution, comme des outils traducteurs supra-logiques et assurément révélateurs permettant de réconcilier le "haut et le bas", comme l’aurait dit Hermès Trismégiste, dans cette quête existentielle dont chacun un jour se pose la véritable et seule question importante du "sens réel de la vie"… Je reste, si besoin, à votre disposition pour trouver cette quête de sens ou pour répondre à vos questions existentielles sous l’angle ésotérique qui participe le mieux à votre évolution !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel
 

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En notre époque si complexe et troublée nous pouvons nous poser l'essentielle question des limites à notre propre évolution, des limites de notre humanité comme "êtres vivants" sur une planète en péril par notre exubérante activité mais ne serait-ce pas plus simple d'orienter notre regard et notre esprit vers ce qui pourrait non seulement résoudre nos problématiques sociétales, environnementales et sociales tout en abordant à un niveau plus personnel notre substrat existentiel en passant enfin par l'accession à une véritable Sagesse, celle réelle qui aborde l'ensemble de nos questionnements et nous ouvre la grande voie royale de l'entendement humain dans l'universalité qui nous entoure ? Cette question, fondamentale même si elle ne se révèle pas à tous de manière si directe, sous-entend les notions radicales de Bien et de Mal, de ce que nous pouvons chacun en dire pour nous situer sur un curseur dont nous ne pouvons que très subjectivement en définir la trame et l'orientation réelle dans nos propres actions et pensées au quotidien. Penser ce curseur, penser ces orientations et penser ces limites, ce sont là finalement des processus que nous opérons à chaque instant sans pour autant en avoir une intime conscience bien calculée ou bien maîtrisée… N'y aurait-il pas effectivement d'autres mécanismes plus subtils à l'oeuvre qui s'immisceraient dans nos raisonnements et nos décisions ? Ne voyons-nous pas ici encore une certaine limite à l'intégrité de notre individualité et à ce que nous pensons être notre liberté dans l'élaboration de notre si précieux libre arbitre ?

De ces premières questions se dégagent a fortiori des éléments subtils et très discrets, quelques synchronicités dissimulées de-ci de-là, des paramètres existentiels cachés dans la matrice même qui nous constitue, c'est en ce sens que l'ésotérisme existe et tente de révéler à qui peut l'entendre et le concevoir que nous sommes "l'objet" d'une nature plus grande qui nous dépasse et fixe toutes ces limites, que cette nature surhumaine ne nous est pas totalement étrangère ou inconnue, que des failles dans le système permettent d'en apercevoir l'envers du décor pour en appréhender toute la valeur et la profonde portée. C'est le but même de la pratique ésotérique que de vouloir ouvrir des portes qui sinon resteraient fermées dans le monde profane, c'est à la fois un consciencieux travail énergétique sur soi pour avoir aussi le privilège d'éclairer une part du mystère de l'humanité dans ce qu'elle représente dans ce processus d'existence visible mais aussi en s'efforçant de percer quelques essentiels secrets de l'autre côté du miroir qui nous constitue. Pris dans le tourbillon de la vie quotidienne et de ses problématiques profanes, la grande majorité ne peut concevoir que cet envers du décor existe, chacun restant ancré à ses préoccupations du moment, figé dans l'instantanéité immédiate et superficielle des devoirs que l'on s'impose (ou qui nous sont imposés) comme une fixation du réel en une seule image sur un écran, encore une fois le mythe de la caverne de Platon n'est pas loin pour illustrer cette "réalité de surface".

Parler d'ésotérisme n'est donc ni anodin, ni déplacé ou bien encore absurde ou illogique, c'est bien au contraire aller dans le sens réel du courant existentiel qui nous traverse et qui nous guide vers ce en quoi nous aspirons sans forcément le savoir consciemment, vers quoi nous devrions naturellement tendre pour nous réaliser selon un processus qui agit sur nous comme un catalyseur de volonté, de désir et de soif de puiser dans "l'expérience de vie" qui nous est impartie. En ce sens, les outils qui se présentent aux initiés dans la pratique de l'ésotérisme, et selon des modes très hétéroclites s'il en est, apportent des solutions qui se situent au-delà de la simple logique matérielle ou purement scientifique telle que l'on peut la concevoir aujourd'hui avec des protocoles formatés et rigides dans l'encadrement strict de leur domaines respectifs. Il est tout à fait normal de considérer que ces domaines scientifiques leurs soient réservés selon la logique en vigueur, ainsi personne ne remet en question la chute de la pomme newtonienne en ce qu'elle représente de l'attraction terrestre mais ce n'est ici que l'exemple d'une extrême composante visible et restreinte de la réalité, il en va de même de toutes les découvertes scientifiques qui n'ont finalement pour l'heure qu'envisagé la réalité que du point de vue de la matérialité, du plus grand visible que représente l'Univers au plus petit détectable qui se situe au coeur de cette matière subatomique. Pour tout le reste, au-delà de la matière, l'esprit, l'âme, et même la "simple" conscience de soi, ne pourront être explicités par des instruments scientifiques matériels puisqu'ils n'appartiennent pas au sens strict à une dimension physique et s'expriment par d'autres voies que celle de la matérialité pure. Le vent ne peut pas être vu et pourtant il existe bel et bien…

La pratique ésotérique s'exprime dans son cadre d'application, c'est-à-dire à un niveau supérieur de notre dimension existentielle qui en dépend directement et y est reliée, avec ses propres outils que sont, d'une part ce que l'on appelle trivialement la Magie comme processus et comme travail de base; d'autre part cette Magie agit via des rituels qui représentent des processus actifs ayant prise sur le codage de notre réalité tangible et sur nous-mêmes comme composantes terrestres de cette réalité. En terme de Magie il en existe plusieurs catégories selon les orientations et problématiques à cibler, ainsi celles qui nous concernent principalement aujourd'hui : la Magie rouge ou sexuelle dont l'évocation parle d'elle-même (magie de l'amour, du désir, de la libido et des sentiments, etc.) et la Magie Noire qui reste pour un grand nombre d'initiés et de profanes qui en ont entendu parlé une magie dite négative, ce qui n'est pas la bonne qualification puisque la Magie Noire est plus précisément une Magie de destruction ou de déconstruction, une précision très importante qui n'a donc rien à voir avec une orientation soit bénéfique ou soit négative, tout dépend de ce que finalement l'on en fait et comment on l'utilise, seul le but compte et celui-ci peut bien évidement s'avérer positif ou non… Je tiens encore une fois à faire comprendre que les notions de Bien et de Mal que nous avons sur notre plan d'existence n'ont pas les mêmes valeurs et doivent être perçues comme toutes relatives en fonction de paramètres bien plus élaborés incorporant un système d'une extrême complexité puisqu'englobant des notions d'interrelations et de temporalités longues dont nous n'avons pas conscience ou aucune possibilité d'en envisager l'existence in extenso ou le but "karmique" final réel.

Sur un plan supérieur au nôtre, tout comme l'image de poupées russes qui s'incorporent, notre matérialité y est intégrée et est échafaudée selon des schémas existentiels associés à ces orientations dites karmiques, lesquels d'une certaine façon gèrent la structure de notre réalité et de nos missions de vie. Dans cet ordre d'idée nous n'avons pas directement accès à ce processus supérieur sauf si nous passons par des voies détournées qui empruntent les mêmes codes que ce plan supérieur. Ces codes sont principalement "symboliques" (vus comme tels ici-bas) mais très actifs par effet de rebond en retour lorsque l'on sait les intégrer à des rituels de magie fonctionnant sur ce mode opératoire spécifique. Il existe bien heureusement des protections assez efficaces pour déclencher ou non ces "commandes symboliques" que représentent les rituels de magie afin que quiconque ne puisse intentionnellement ou non en détourner l'usage, ce qui représente une précaution bien utile, tout comme le fait qu'un enfant ne devrait pas pouvoir simplement réaliser une bombe atomique en quelques minutes… En ce sens, les protections se déterminent selon le degré d'initiation à l'ésotérisme dont le praticien est habilité à assimiler les notions ou bien dont "on" lui a confié le pouvoir (momentanément ou plus durablement). Ce "on" ne se situe pas ici-bas, cela s'entend bien, et ses décisions sont d'ordre karmique, déjà réglées sur une destination matérielle et temporelle bien orchestrée (ce que nous pouvons appeler "destinée").

Les magies, Rouge et Noire, sont soumises à des protections graduelles que seuls les initiés de haut niveau peuvent appréhender et pratiquer, ceci en accord formel avec les capacités qui leur sont attribuées et les besoins réels de réorientation de mission de vie de certaines personnes qui en auraient la nécessité selon un libre arbitre relativement bien "encadré" qui participe à l'élaboration de cette mission. Ainsi, "au-dessus" et à l'encontre du discours ici-bas de Démocrite et de Jacques Monod, rien n'est laissé au hasard, il n'y a que la nécessité qui prime selon des lois dont nous n'avons visiblement pas tous les clefs sur ce plan d'existence pour en ouvrir potentiellement les portes réservées au backstage de l'évolution. Il ne faut pas voir dans les initiés de haut niveau une sorte de classe supérieure au profane car la charge que porte l'initié est très lourde pour sa propre mission de vie avec de nombreux risques proportionnellement inhérents à sa capacité à modifier le cours des évènements, en effet la responsabilité d'une erreur d'interprétation ou d'une usurpation de sa fonction pour son propre compte pourrait avoir de graves conséquences sur plusieurs niveaux de son intégrité, mentale ici-bas, et spirituelle à un niveau supérieur. De ce fait sur ce point il existe aussi des limites à ne pas dépasser, des orientations dont les variations sont si étroites qu'il est parfois préférable de maitriser le délicat scalpel de la magie avec la plus grande humilité qui soit, associée à une longue et soutenue expérience de la pratique ésotérique dans sa pleine et entière connaissance.

Comme nous le voyons, la pratique ésotérique ainsi que celle de facto des rituels de magie qui en découlent sont très bien encadrés à tous les niveaux, avec néanmoins de réelles possibilités d'ajustements bénéfiques si ceux-ci sont cohérents et en accord avec les orientations karmiques des personnes qui en ont recours. Ce dernier point est à étudier avec la plus grande attention en cas de demandes de travaux de magie, ce que je me propose toujours de réaliser avant de commencer le lancement de rituels adaptés à la situation que l'on m'a exposée. Si cet article vous a apporté des réponses je m'en réjouis d'avance et je reste à votre disposition pour en discuter si vous avez des questions ou des demandes professionnelles, merci dans ce cas de me contacter directement, à très bientôt, ésotériquement vôtre !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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En amour il n'y a jamais aucune certitude, c'est ce qui en fait aussi une histoire à vivre la passion de manière dangereuse mais une chose reste néanmoins sûre : "s'aimer soi-même, c'est l'assurance d'une longue histoire d'amour" comme le dirait avec un peu d'ironie Oscar Wilde. Il est vrai que l'amour que l'on porte à autrui n'est, d'une certaine façon, que la projection du reflet égocentrique que l'on se porte à soi-même, sans vouloir en être l'unique garant ni vouloir en porter toute la responsabilité, ce qui démontre encore une fois toute la complexité de l'esprit humain pour se fourvoyer ou se perdre dans l'autre afin de mieux se retrouver ou tenter de s'y trouver… L'on dit bien "tomber amoureux" ou bien encore "aimer à en perdre la raison", justement tout ceci n'est peut-être pas raisonnable au sens premier du terme. Toujours est-il que l'humain cherche encore la bonne définition de l'amour après tant de siècles passés, depuis l'Antiquité (et même avant) jusqu'à nos jours, le dilemme demeure entier, comment expliquer quelque chose que l'on ne peut saisir, comment finalement comprendre et surtout accepter que nous sommes "codés" à la base même de notre génome pour ne pas pouvoir intégrer une explication puisque celle-ci réside en nous et dicte tous ses choix de manière impérieuse et souveraine. L'amour continuera encore longtemps à manipuler nos esprits, à nous commander pour trouver une sortie du labyrinthe, pour s'insinuer dans l'existence au sein même de notre vivant parcours.

Être en couple, ou aimer, s'apparente par conséquent à une quête de soi "en étant accompagné" pour définir toutes les contradictions qui nous composent intrinsèquement mais aussi toutes les potentialités existentielles qui se proposent à nous dans cet accord d'union révélateur. Les initiés en parlent avec d'autres mots plus ésotériques puisqu’en matière de révélation les flammes de la vie et de l'amour se ressemblent, l'on peut même affirmer qu'elles ne sont constituées que d'une seule et unique mèche, une sorte de fil l'Ariane à consumer en suivant les traces révélatrices qui en résultent et dont le "dessein" oriente vers la sortie, une sortie libératrice, en apparence seulement. D'autres, plus profanes, auront d'autres mots, d'autres définitions plus abruptes, telles celles qui définissent le couple ou la relation comme une sorte de "lien", donc d'enchaînement, non pas seulement d'évènements à deux mais de (lourdes) chaînes à porter à deux pour mieux avancer. C'est un peu dans ce sens que l'article précédent y fait allusion et explique tout l'intérêt de la relation amoureuse et donc du couple en terme d'évolution personnelle et spirituelle, l'on pourra ajouter aussi le précieux concept d'évolution karmique si l'on connait un tant soit peu les rouages invisibles qui nous gouvernent.

Vouloir "récupérer son ex-partenaire" c'est donc aussi vouloir récupérer une partie de soi-même ou vouloir récupérer une partie de cet investissement en temps et en histoire commune dont on sait consciemment (ou non) que c'est ce fil de vie, momentanément rompu ou sur le point de l'être, que l'on cherche à renouer pour continuer la quête et ne pas avoir à se retrouver de nouveau perdu au centre du labyrinthe sans ce fil conducteur déjà en place. Il est par conséquent parfaitement compréhensible de ne pas vouloir "lâcher prise" sur cet amour parfois vacillant comme la flamme qui le symbolise et l'éclaire, il est donc assurément vital d'en comprendre toute la quintessence de ne pas perdre le chemin déjà parcouru en couple et de trouver une solution à son problème. Dans cet ordre d'idée il est normal que de nombreuses personnes cherchent d'elles-mêmes à résoudre ces problématiques de couple qui les concernent en essayant d'en comprendre les causes intimes pour en définir des solutions viables qui permettront de "renouer le lien", de réparer le fil ténu qui retient encore l'autre pour soutenir ces chaînes de l'existence. Mais une véritable question se pose alors, une question qui n'est pas toujours prise en compte : peut-être qu'il serait préférable aussi, pour chacun, de reconstituer d'autres chaînons manquants avec d'autres personnes pour continuer à avancer sur des chemins plus adaptés mais différents… Alors se pose aussi la question existentielle d'une bifurcation nécessaire, celle de s'assurer comme l'alpiniste sur une autre voie à emprunter pour continuer vers le sommet sans avoir à trop sérieusement dévisser. C'est aussi, sur ce point, une solution à prendre en compte, seul(e) ou bien d'un commun accord plus éclairé.

Bien entendu, dans l'absolu tout ceci semble simple à appliquer et facile à concevoir, surtout avec clarté et limpidité lorsque l'on est extérieur au problème; il est effectivement très souvent difficile de trouver son chemin lorsque l'on est dans une situation elle-même qui jette lourdement l'obscurité sur soi et ainsi désoriente foncièrement le jugement et des décisions à prendre, c'est en cela qu'il est important, tout comme le nageur, trop éloigné du rivage, de résolument sortir la tête de l'eau pour mieux percevoir la rive et s'en rapprocher avec discernement sans paniquer. Afin de pallier à cet état de fait, et ne pas tâtonner dans l'obscurité, il est préférable de parfois chercher de l'aide ou du moins des moyens auxquels l'on n'aurait pas forcément pensé soi-même au moment le plus opportun. Il faut savoir que ce n'est pas un aveu de faiblesse que de rechercher des solutions que d'autres possèdent, c'est au contraire d'une grande lucidité que de prendre une bonne décision d'aller chercher des outils permettant de se constituer une représentation fiable apportant des solutions du même acabit. Comme abordé ici précédemment de manière rapide en deux mots seulement, le concept "d'évolution karmique" demeure crucial pour comprendre une démarche saine et efficace, d'un niveau certes complexe à assumer si l'on est profane, ceci afin d'aborder les véritables problèmes existentiels qui sous-tendent ceux qui sont plus communs et visibles au quotidien. Ainsi, sous un angle plus ésotérique, les problématiques, notamment celles des relations amoureuses, deviennent d'une très grande clarté avec une vision nette et brillante des décisions à prendre puisque d'une certaine façon l'angle karmique permet d'entrer dans ce code qui programme l'humain, non pas celui inscrit matériellement dans son génome mais celui, sur un niveau bien supérieur, qui en a fixé les règles essentielles et toutes les potentialités de perspectives évolutives à suivre…

Pour trouver des outils capables d'intégrer matriciellement ce que représente l'orientation karmique d'une personne et ainsi lui dévoiler (en partie seulement) quelques aspects significatifs dans un but de résolution de problème, il est nécessaire de passer par des voies non conventionnelles, par des méthodes plus ésotériques au sens premier, par des travaux dits "de magie" qui eux seuls permettent d'entrer supra-réellement dans le coeur de la problématique liée à la personne, ceci par des rituels ciblés ayant un rôle actif, bien que vus ici-bas comme de purs actes symboliques, lesquels apportent pourtant d'inestimables réponses et solutions à des fins fortement évolutives. Il n'y a pas à "croire" ou à dénier de tels travaux de magie, ceux-ci existent et permettent d'entrer en quelque sorte dans notre code source pour en modifier les paramètres potentiellement ajustables selon les Grandes Lois ésotériques qui régissent notre réalité. Dans cette perspective, je reste à votre disposition pour répondre à vos questions et vous proposer si besoin mon aide en qualité de chaman professionnel ayant l'expérience des différentes magies pouvant vous apporter des réponses et des solutions, en particulier dans le domaine des relations amoureuses et plus précisément de celles qui concernent le couple. Je vous dis à très bientôt en vous souhaitant de vouloir dépasser les murs de votre labyrinthe personnel pour en trouver la porte de sortie qui est la vôtre, véritable point focal de votre évolution karmique.

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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Quelques jours après la St-Valentin, devenue surtout une fête commerciale du niveau proche de gentils bisounours fortement assagis, il semblait logique, voire intéressant et même nécessaire d'aborder un sujet s'y rapportant directement mais dont très bizarrement le tabou sociétal qu'il génère implicitement n'ose pas du tout aborder de front, préférant digresser de-ci de-là sur la question précise : celui du tabou de la libido dans la vie amoureuse, dans la vie réelle tout court… Pourtant les relations de couple, mais aussi celles des célibataires recherchant l'amour, ne se limitent évidemment pas à l'échange de jolis bouquets virtuels de roses ou de petits coeurs sur les réseaux sociaux, il faut au contraire y voir une volonté affirmée de jouissance des corps et des esprits dont on sait qu'elle ne peut passer que par une extériorisation de cette libido dans la relation avec autrui, un acte à la fois fortement mentalisé en amont et in fine exprimé en aval par la sexualité. Or, contrairement à tout produit pouvant être acheté, cette libido n'est ni échangeable ni générée ex nihilo, elle demeure une essence issue d'une volonté personnelle intérieure de puissance à partagée, d'une attraction ou d'un magnétisme digne d'une alchimie qui ne se trouve sur aucun étal marchant. Comprendre cette puissance, en saisir les éléments constitutifs à l'image d'un art spagyrique, c'est donc aussi s'attribuer la recette secrète d'une vie amoureuse qui ne trahira pas son but, celui de satisfaire à la fois son propre désir mais aussi celui de la personne qui en est la cible, avec la réciprocité d'une attirance nécessaire pour en construire ce mouvement perpétuel que l'on nomme l'Amour.

Force est de constater depuis quelques années une sorte de transformation ou plutôt de transformisme évolutionniste de notre rapport à autrui en matière de relations amoureuses, l'on voit en effet une sorte de dilution des genres dans des méandres psycho-sociologiques peu clairs où les uns et les autres y perdent leurs repères au risque de ne plus se comprendre eux-mêmes comme individu sexué à part entière. Alors comment entrevoir un rapprochement quelconque ou une compréhension d'autrui dans cette configuration si confuse et perturbante ? Devons nous y voir, après analyse plus profonde, une autre volonté (peut-être cachée) d'asservir toute saine attraction en manipulant et brouillant les pistes dans un dédale de questionnements futiles contraires à un comportement naturel ? L'actualité, où se mêlent les questions de genre et de "vokisme" ambiant peu compréhensibles dans leurs buts réels, n'apporte que des réponses tronquées et des désillusions dont la grande majorité n'est ni concernée ni interpelée avec pourtant des répercutions importantes dans l'élaboration de la reconnaissance d'autrui dans l'environnement quotidien, et donc dans ce rapport ou justement les liens, sociaux, amicaux ou amoureux, en deviennent indiscernables, assurément flous, voire totalement intangibles pour certains. C'est dans ce constat de dérèglement des sentiments et des affects, et donc aussi de la libido qui s'y rapporte, que l'on ne peut que tenter de trouver une sorte de remède à cette perturbation existentielle, car s'en est une certaine et importante propre à désorienter les moins avertis, les plus jeunes ou moins aguerris sur la question… Il en vient alors effectivement à se demander, de manière pratique et "profane", comment relancer ou retrouver une vie relationnelle, sociale et amoureuse moins dégradée.

Certes, d'un autre point de vue plus ésotérique, les initiés auront parfaitement compris qu'il faut y voir un véritable piège sociétal, donc existentiel, et par conséquent en allant encore plus loin un piège relationnel ayant des répercussions sur des objectifs karmiques à suivre, objectifs qui seront de facto ralentis ou déviés de leurs buts initiaux d'évolution en empêchant les outils d'attraction de jouer leur rôle habituel à des fins de rencontres ou de liens amoureux (essentiels dans le processus de quête karmique). Il y a donc, d'une certaine façon, une insidieuse volonté de nuire à ce processus, un épais brouillard relationnel qui s'abat afin d'éloigner plus ou moins ceux qui devaient se rencontrer pour effectuer ensemble leur mission de vie de manière plus complète. Il faut bien ici percevoir cette activité contraire aux principes fondamentaux qui, il est vrai, après une assez longue période de quarantaine dont on ne peut reconnaitre que l'aspect négatif engendré, continue à s'ancrer vibratoirement de manière sensiblement durable et négative pour s'en inquiéter. Encore une fois, les profanes en la matière n'y percevront visiblement rien d'extraordinaire ou de très contraignant, ne verront pas le danger avancer progressivement car ils y seront déjà confrontés à la fois mentalement dans leur esprit en partie formaté et physiquement dans leur perte relative de libido et d'attraction. Retrouver cette potentialité ou la relancer en devient non seulement une saine orientation pour recouvrer un outil de développement personnel et spirituel au quotidien mais aussi pour atteindre de nouveau la capacité relationnelle contribuant à cet essentiel processus karmique dont finalement il est principalement question…

Sans entrer dans d'autres détails complexes ou bien aussi pointer directement du doigt de secrètes officines qui sont à l'origine des dérèglements dont il est question ici, mais en mettant tout de même en relation l'inexorable entrée d'intelligences non humaines dans notre quotidien, les I.A pour ne pas les nommer, nous voyons très justement notre propre essence d'humanité se confronter à d'autres logiques non naturelles nous éloignant ainsi lentement des fondamentaux qui nous constituent. Ainsi, et de manière bien plus clarifiée l'on voit que ces divers signaux faibles confrontés ensemble commencent à vouloir prendre le dessus en tentant de substituer l'humain au transhumanisme, ceci en voulant remplacer la force physique par le robot et notre intellect original et imaginatif par une intelligence artificielle formatée, uniformisée et généralisée, voire totalitaire dans un avenir proche si nous n'y prenons pas garde. Mais là ou l'artificiel ne pourra jamais entrer en concurrence avec l'essence de l'humanité, car il n'y a pas d'accès possible pour elle, c'est au processus même qui nous constitue et que les initiés connaissent sous la forme archétypale de conscience collective dont les archives akashiques sont les garantes de notre intégrité quels que soient les futurs "déboires" de la dimension physique qui y sont provisoirement attenants. Mais ceci est une autre histoire, celle, conjointement à notre problématique, d'une eschatologie programmée dont il n'est pas question aujourd'hui.

Après cette relativement longue introduction nécessaire pour comprendre le phénomène sur plusieurs niveaux, comme nous venons de le voir certes de manière très condensée et abrupte pour le profane qui n'a pas l'habitude de relier ces divers sujets entre eux, l'éloignement relationnel auquel nous sommes actuellement progressivement confrontés, ainsi que la diminution générale de l'affect et la perte de libido et d'attraction (que cela soit au sein du couple ou pour chaque individu même célibataire) peuvent être contrés de façon pratique d'une part en rejetant l'intrusion de logiques non humaines dans nos vies sociales (donc n'utiliser par exemple l'I.A que pour ce qu'elle est, c-à-d un outil évolué et non une fin transhumaniste en soi), d'autre part plus ésotériquement en comprenant l'utilité de l'aspect relationnel de l'humain en ce qu'il contribue à la bonne marche du processus karmique, notamment via l'attraction amoureuse et son biais principal qui la relie au corps avec la libido, véritable moteur du désir d'amour. Sur ce dernier point, l'accession à des solutions efficaces passe aussi par des résolutions d'ordre purement ésotérique dont on a l'habitude de nommer le processus "travaux de magie" et les outils spécifiques qui concernent le domaine de l'amour des "rituels de magie rouge" parfaitement adaptés afin de retrouver ou de développer le désir, la libido et par conséquent provoquer l'attraction entre deux individus. Résister à notre époque de confusion, c'est pallier au déficit relationnel que nos sociétés nous obligent à subir au nom d'un progrès qui n'en est finalement pas un, c'est une nécessité existentielle afin de ne pas laisser s'assombrir l'humanité qui est en nous.

Comme d'habitude cet article, plus didactique, soulèvera de nombreuses questions auxquelles vous le savez je suis à votre disposition pour y répondre, de même qu'en qualité de chaman professionnel je m'engage à vous aider avec les solutions que j'ai évoquées brièvement et qui sont ciblées en fonction de chaque personne ou chaque couple, notamment en matière de problème de relations amoureuses. N'hésitez pas, pour ce faire, à me joindre sur mon site (voir mes informations de contact ci-dessous). À très bientôt !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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La Chance est un très délicat concept qui semble assez largement échapper à tout contrôle mais pour autant pratiquement tout le monde recherche cette si fameuse et insaisissable Chance dont beaucoup d'ailleurs seraient incapables d'en définir exactement la teneur ou même d'en expliquer clairement une vision personnelle de ce qu'elle pourrait précisément leur apporter. Bien entendu, chacun sous-entend qu'avoir de la Chance dans l'existence est assurément synonyme de réussite sociale, de gloire, d'argent facile et de bien-être total sans jamais avoir à ne déplorer aucun problème ou accident importants. Ajoutons de suite sans l'oublier : une santé de fer, l'amour chaque jour plus fort et une longue vie pour parachever l'image idyllique afin d'en avoir fait presque complètement le tour et nous aurons un tableau bien brossé ! Mais, comme nous le voyons ou présentons, la Chance s'accompagne souvent de son parent assez ingérable et tout aussi indéchiffrable : le Hasard, car à coup sûr l'on ne sait évidemment jamais exactement comment se dérouleront les "heureux évènements" ni quand, à défaut même qu'ils arrivent un jour… Alors comment définir ce concept et tenter d'en extraire quelques vérités ésotériques utiles ? Surtout dans un premier temps en faire comprendre la réelle essence, et dans une deuxième étape se poser l'excellente question de ce que représente surtout la Chance "pour vous dans votre vie", ainsi que les principaux moyens d'y parvenir par des voies détournées au-delà de cet horizon des possibles.

Mais qu'est-ce que la Chance, ou déjà qu'est-ce qu'elle n'est pas ? Ce qu'il faut bien savoir avant tout c'est que l'intellect, se limitant à ce qui est en nous avec nos perceptions réduites pour tenter d'analyser ce qui est hors de nous, ne peut absolument pas concevoir toute l'immensité de notre environnement, toute sa complexité multiforme et toutes les potentialités induites : il nous est donc parfaitement impossible de saisir toutes les opportunités, les bonnes et surtout les meilleures pour en profiter intégralement mais aussi les mauvaises, voire les pires pour les éviter toutes. Par conséquent le mental ne peut être que dépassé par la réalité sur laquelle il se pose sans arrêt des questions, et celui qui dirait qu'il peut, uniquement via sa propre intelligence corticale, concevoir à l'avance toutes les opportunités chanceuses et écarter aussi tous les dangers serait un affabulateur et un complet mythomane, déjà en se mentant à lui-même. Notons qu'à la limite, celui-ci, même le plus intelligent du monde, ne pourrait prendre en compte que les quelques paramètres directement perçus qui lui sont proches, qui lui sont connus et compréhensibles, pour en modéliser les miettes d'interactions à portée afin de trouver "astucieusement" quelques petites pistes avantageuses pour sa personne. Cette attitude, parfaitement basique (et par définition limitée) analyse avec a fortiori une "certaine confusion mentale" ce qui nous environne mais ceci ne représente pas une recherche en soi de la Chance pour la "forcer", celle-ci ne peut pas être captée depuis un raisonnement intérieur, cette attitude signifie simplement que vous cherchez tout au plus dans votre milieu ambiant immédiat (social, professionnel, intime, etc.) à être aussi "malin" que ceux qui vous entourent pour profiter de situations relativement simples et totalement prévisibles.

La Chance fait donc essentiellement partie du domaine de l'invisible, c'est un concept intangible, immuable par nature, qui ne se situe que dans un "absolu des possibles", nos sens communs ainsi que notre intellect cloisonné ne peuvent rien en percevoir et encore moins anticiper ce qui ne pourrait être ni perçu ni interprété par le mental, il faut par conséquent ne pas le chercher mais le laisser venir à nous en laissant de côté notre Ego qui délimite et formate ce même mental, il faut au contraire écarter l'intellect réducteur et dissoudre l'Ego pour accéder, un moment seulement, à cet absolu des possibles. Ce n'est qu'en laissant remplir ce vide ainsi créé par ce phénomène d'éloignement volontaire de l'Ego et de l'emprise du mental que l'on peut se rapprocher de cet absolu, ce phénomène porte une dénomination bien connue de tous : la méditation, pour autant sa bonne pratique et sa profonde connaissance sont généralement totalement hors de portée de la grande majorité des personnes, lesquelles sont bien trop "occupées" dans l'enchevêtrement des considérations du quotidien et dans la "réflexion du mental" (miroir actif et confus de l'Ego), elles ne peuvent prendre le temps nécessaire d'en apprendre la science, assurément ésotérique par essence.

Bien que la méditation soit un moyen d'accéder en quelque sorte à une dimension supérieure positive ayant cette capacité d'apporter librement des informations codifiées pour réorienter le mental dans une bonne direction et donc laisser entrevoir un horizon des possibles prometteur (comprendre "chanceux"), elle ne permet pas à tout un chacun de saisir consciemment la Chance telle que communément reconnue mais de fournir au contraire des itinéraires personnalisés dont la personne aura spécifiquement besoin pour son évolution, c'est en cela que la véritable Chance agit : elle n'indique que la "part de chance" manquante et nécessaire pour se réaliser pleinement dans l'existence et ainsi réussir ses objectifs karmiques, lesquels induisent par un "heureux hasard" (diverses synchronicités) des actions bien concrètes ayant ces répercutions positives dans la vie. C'est donc en étant à l'affût de ces synchronicités, lesquelles sont néanmoins complexes à interpréter, que chacun pourra en tirer des avantages conséquents sous la forme de situations où cet "heureux hasard" apportera la bonne opportunité, au bon moment, avec les bonnes personnes au bon endroit. Chacun a déjà vécu ces instants ou ces périodes où tout "semble rouler" parfaitement et s'enchaîner comme les pièces d'un puzzle que l'on pose successivement et dont on découvre l'image finale avec cette fierté d'avoir réussi une étape importante et positive.

Comme je viens de le signifier assez clairement, la Chance est donc un facteur de réussite unique et propre à chacun selon son histoire personnelle, et plus conséquemment selon son orientation karmique que l'on doit considérer comme une main invisible guidant avec justesse la personne dans l'infini des possibles d'un labyrinthe existentiel auquel elle est confrontée chaque jour. Évidemment, et comme je l'ai aussi dit précédemment, tout le monde n'est pas sensiblement à l'écoute de ses fugaces synchronicités pour en saisir ou même en comprendre tout l'intérêt et y voir s'incarner la vision discrète des messages du karma. Dans tous les cas, juste un premier conseil : soyez à l'écoute de certaines pensées apparemment inhabituelles ou saugrenues, celles-ci sont peut-être de cruciales informations à interpréter, idem pour les rêves qui peuvent (pour ceux néanmoins qui s'en souviennent) être très instructifs même s'ils semblent totalement incohérents à première vue… Deuxième conseil pour ceux et celles qui n'auraient ni le temps, ni la possibilité de se pencher sur cette problématique de la Chance, surtout si pour vous celle-ci se fait absente ou semble s'éloigner : il existe des rituels de magie permettant de dévoiler (en partie seulement) les grandes orientations karmiques et ainsi commencer à entrevoir les bons itinéraires existentiels à emprunter pour "réussir sa vie", du moins vous l'aurez compris "réussir les bons objectifs pour évoluer positivement".

Dans cet ordre d'idée, et si vous me suivez sur ce blog vous savez que je propose mon savoir-faire professionnel en qualité de chaman, par conséquent vous pouvez à tout moment me contacter librement et sans engagement pour que je puisse répondre à toutes vos questions, notamment celles qui traitent des sujets des articles que vous lisez et qui je l'espère vous apportent déjà quelques lumières "ésotériques" utiles pour la compréhension de cet univers pour le moins hermétique pour la plupart des profanes (et même pour certains initiés !). Pour ce faire voyez les informations sur ma bannière ci-dessous. Je vous dis à très bientôt et ne laissez pas passer votre Chance en saisissant les opportunités qui se présentent ouvertement à vous !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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