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Blog chaman ésotérisme

Blog chaman ésotérisme

Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

dimension etherique

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"… et le souvenir même d’une clairière s’évanouit avec la mort de ceux qui l’avaient défrichée".

De cette phrase emblématique et poétique de l'anthropologue Philippe Descola (dixit livre "Les Lances du crépuscule") nous sommes au cœur de la problématique du souvenir des défunts, du recueillement mais aussi des traditions et rituels. Entre ésotérisme, animisme et chamanisme, ou bien traditions plus occidentales, la question reste éternellement la même, celle du temps qui passe, de la mort, des vivants face à leur destin avec le souvenir de leurs défunts proches ou plus éloignés ancêtres. Quel type d’acte mémoriel doit-on opérer ? Sous quels dogmes ou rituels doit-il ou non s’effectuer ? Et surtout, d’un point de vue ésotérique qu’apporte cette volonté de réminiscence ou de dialogue (réel ou symbolique) avec les défunts ? C’est toute une éthique de la Vie et de la Mort qui se présente à nous, de la probable persistance de l’âme après l’existence terrestre et de ce que cela peut aussi engendrer comme réflexions ou autres agissements induits. De ces réflexions (pensée intellectuelles), ainsi que des agissements (rites ou rituels), il faut y voir a priori trois orientations majeures situées chacune sur différents niveaux d’existence ("d’ontologie") : une orientation individuelle (d’éthique personnelle), une orientation dogmatique plus générale (de religion ou de morale), et une orientation ésotérique et spirituelle (plus hautement métaphysique et karmique).

Au niveau individuel, avoir une pensée pour les personnes que l’on a connues, que ce soit à des dates prédéfinies comme la Toussaint ou autre "fête des Morts", c’est déjà disposer d’une réflexion intérieure sensiblement éthique sur autrui mais aussi et surtout sur sa propre existence avec comme projection sa propre fin, c’est-à-dire sa propre mort. À chacun son type de ressenti selon les expériences qui sont les siennes dans la vie tout en les confrontant à celles de ceux qui nous ont précédés, en règle générale les parents ou les amis proches qui auront joué un rôle déterminant dans ce processus de conscientisation de ce qu’il reste de souvenirs importants ou de ce qu’eux-mêmes laisseront. C’est donc durant ces instants de recueillement qu’un intéressant effet miroir apparait, celui de se pencher sur sa propre vie pour entrevoir ce qui en a été jusqu’à ce moment précis, une sorte de constat  souvent lourd de sens et de révélations pouvant apporter une soudaine lucidité sur l’essence même de l’existence et de ce qu’il serait bon d’entreprendre avant qu’il ne soit trop tard. Il n’est donc pas rare, en termes d’activités, de voir soudainement des personnes ayant cet éclair de lucidité changer de mode de vie ou se réorienter plus radicalement au niveau professionnel, culturel ou familial.

Dans une autre gamme plus large englobant des groupes entiers, voire des nations, ce sont les dogmes et religions qui amèneront à cet état d’esprit depuis l’extérieur en apportant à l’individu une certaine révélation bien encadrée selon un corpus défini. Ainsi, les dates de célébrations, notamment des défunts, seront autant de moments privilégiés pour instaurer un souvenir relié principalement à un culte, lequel en sera le porteur et donc l’instigateur principal. Une personne n’étant rattachée à aucune doctrine en particulier pourra se saisir de cet évènement pour se l’approprier au niveau personnel sans se fondre dans aucun dogme autre que le sien propre (son Ego, si l’on doit en donner une quelconque substance). Dans nos sociétés de plus en plus matérialistes et donc souvent bassement utilitaristes, il est plus que probable que ces dogmes et traditions ne soient que des prétextes pour ôter toute réflexion personnelle profonde sur l’existence afin d’en substituer toute la teneur originale et l’orienter sur un dogme unique socialement acceptable (de stabilité, d’ordre, de valeurs sociétales, etc.). Chacun verra à sa porte s’il désire ou non s’intégrer dans tels ou tels concepts plus artificiels qu’existentiels s’il en éprouve le besoin ou la nécessité pour évoluer car nous avons tous une nature différente face aux diverses facettes de la réalité pour en tirer une expérience…

D’un point de vue cette fois-ci beaucoup plus ésotérique et métaphysique, la célébration des défunts apportera une réflexion pleinement karmique à ceux qui ont cette conscience initiatique que l’existence se prolonge après la vie terrestre et que par conséquent il existe un dialogue constant et même une osmose réelle avec la dimension éthérée de ce qu’il est habituel d’appeler l’au-delà. En ce sens, l’initié aura pratiquement à chaque instant, s’il le désire, la conscience assidue qu’il est en contact avec l’invisible, il pourra même aller (selon son niveau et certaines lois universelles) converser avec des esprits, leur demander conseil et parfois obtenir des itinéraires karmiques, c’est-à-dire aller directement au but existentiel (mission de vie) sans perdre de temps pour évoluer par d’autres longs détours (jugés parfois inutiles, mais évidemment pas toujours…). L’on parle bien entendu ici d’évolution spirituelle et non pas intellectuelle ou même matérielle, sauf si ces deux dernières participent dûment à la première en respectant les limites imposées (par ces mêmes lois universelles karmiques). De même, sachons reconnaitre qu’il existe aussi dans une certaine mesure une forme de protection apportée par nos défunts qui veillent sur nous en cas de danger imminent, leurs petites voix pourront parler directement à notre conscience, il sera bon dans ce cas d’écouter son "intuition"…

Que l’on soit initié, croyant ou bien purement individualiste et athée, la simple mais primordiale pensée qui se tourne vers les défunts ou les ancêtres apportera à chacun la valeur intrinsèque dont il a besoin dans son existence, ceci au moment opportun dans l’acceptation évidente et essentielle qu’il est nécessaire d’expérimenter ce que la Vie nous propose pour non seulement en comprendre les rouages mais aussi se comprendre soi-même. La réflexion du soi se situe sur la surface de "ce miroir symbolique", il engendre la pensée créatrice ou la création de pensées, il apporte l’incommensurable substance invisible nécessaire pour rompre l’inertie du néant et du chaos en générant l’énergie propre à toute action ayant un but bien ordonné, propre à l’expérience de la Vie et des épreuves programmées pour ce faire. Chacun ainsi, selon son niveau d’existence dans cette matérialité, pourra à tout moment déambuler à son rythme sur le chemin et poursuivre son itinéraire. Tous n’auront bien évidemment pas le même niveau de conscience et d’acceptation des différentes lois karmiques encadrant l’existence et ses épreuves, tous seront par contre passés par ces mêmes épreuves un jour ou l’autre (une vie ou l’autre) pour en éprouver la teneur et les expérimenter dans l’ordre qui leur conviendra le mieux, spirituellement parlant.

En matière de rituels plus spécifiquement ésotériques et magiques, dans certaines conditions il est possible d’apporter des conseils karmiques à ceux (profanes) qui n’en sont pas entièrement habilités ou qui n’en comprendraient pas toute la portée initiatique ainsi que tous les bénéfices. Il s’agit aussi souvent d’une prise de contact avec de proches défunts ayant une vision intégrale depuis la dimension éthérique pour proposer certains itinéraires karmiques préférentiels pouvant aider les vivants dans leur quête existentielle. Il est parfois difficile de faire comprendre à un novice que durant ces travaux de magie il n’est pas forcément question d’apporter une réponse d’ordre matérielle, sociétale ou même intellectuelle mais une réponse d’ordre purement spirituelle qui souvent dépasse l’entendement et peut surprendre à première vue. Il en va de certaines réponses ou solutions qui apparemment semblent totalement futiles au premier abord mais qui s’avèreront par la suite véritablement cruciales dans un contexte que l’on n’aurait pas pu imaginer auparavant… En qualité de sorcier-chaman professionnel je reste bien évidemment à votre disposition si vous avez des questions ou des demandes de rituels spécifiquement en relation avec ce qui vient d’être abordé ici très succinctement de manière basique.

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

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La plupart des initiés, s’ils ont néanmoins vraiment beaucoup d’expérience, peuvent pressentir avec une quasi-certitude si une relation amoureuse pourra encore durer ou bien sera dans l’obligation de se terminer dans des délais plus ou moins relativement courts. Il n’y a que très peu de place au hasard dans l’édifice d’une structure relationnelle aussi complexe que celle du couple et les évènements qui l’accompagnent ont toujours une source, des causes et des effets cumulés, ce qui en fait un ensemble à la fois chaotique et dynamique avec, tout comme le ferait une balance en équilibre au gré d’un fort vent, une multitude de possibilités, bénéfiques ou plus négatives pour la relation. Alors, comment comprendre ces processus, non pas sous l’angle de la psychologie mais sous celui, plus aigu, de l’ésotérisme et de ses vérités universelles ? Il faut dans ce cas forcément inclure des paramètres qui dépassent le seul entendement de notre niveau existentiel, c’est-à-dire entrer dans une sphère supérieure qui commande les mécanismes subtils d’attraction et de répulsion, les mêmes qui sont régis par de grandes lois ésotériques, dont celles qui instaurent notamment les liens karmiques entre individus.

Trop souvent le concept même de "relation karmique" est totalement méconnu, voire complètement rejeté par la grande majorité des gens, il en va de même des liens existentiels programmés ou des itinéraires fixés par des choix karmiques préexistants à toutes autres décisions prises à un moment donné ici-bas. Cet aspect, effectivement très difficile à concevoir et surtout à accepter, va en effet à l’encontre d’un concept qui nous est tous très cher : celui du libre arbitre, des choix que nous pensons être foncièrement les nôtres, ceux dont nous sommes certains qu’ils proviennent de notre propre réflexion intérieure, du mental qui nous caractérise. C’est justement sur ce point qu’il y a erreur quand on sait que notre mental, c’est-à-dire notre Ego intellectualisé, ne peut qu’entrevoir des évènements sur un chemin déjà tracé et non décider du but réel de sa propre existence car aucun individu, au sens de personnalité sur ce plan d’existence, ne peut s’auto-analyser "intégralement" étant donné qu’il n’est ici-bas qu’une partie de son être véritable, en d’autres mots : l’individu sur ce plan d’existence n’est pas complet, il ne peut donc pas "se penser" sans sa partie supérieure qui en a instruit les itinéraires et les capacités utiles pour "exister".

Il est bien question, ésotériquement parlant, d’un Homme Multiple, ou plutôt de ce que nous sommes, en qualité non consciente dans un contexte normal : un être démultiplié sur plusieurs dimensions, dont celle qui nous caractérise tout en bas comme "humain terrestre incarné". Il est évident que cette notion n’est ni simple à concevoir ni intuitivement ni intellectuellement, et encore moins à accepter comme une vérité primordiale, surtout pour notre Ego toujours fier de se croire à la fois performant, visionnaire dans toutes ses décisions et donc maître de sa propre destinée, ce qui en un sens ne serait pas faux s’il prenait en considération l’entièreté de sa propre dimension supérieure, laquelle décide véritablement de tout ou presque… Alors, une fois que l’on a bien intégré cette vérité (multidimensionnelle de l’Être) qui tend à vouloir nous échapper à chaque pensée que nous avons pourtant dans l’instant terrestre, commencer à anticiper la notion même de rencontres et de liens entre individus sous cet angle plus élevé et complexe relève de l’exercice ésotérique pur, de ce que les initiés véritables ne nomment pas "compréhension d’une quelconque vérité" mais qu’ils qualifient de "quête initiatique", et, une fois la notion acquise par cette démarche ésotérique, vient immédiatement "à l’esprit devenu plus ouvert" celles de ces fameux liens karmiques et de l’existence de ces lois universelles sur plusieurs niveaux existentiels.

Penser autrement le couple, les rencontres et les ruptures, c’est-à-dire les liens relationnels humains terrestres, sera sous cet angle plus ésotérique que l’initié aura acquis, à la fois une révélation que ce qui est simplement visible et compréhensible n’est que superficiel et que la réalité de certains évènements apparemment hasardeux ou fortuits ne sont finalement essentiellement que des itinéraires déjà bien tracés d’avance et bien définis à un niveau supérieur, à l’image, certes ici volontairement très caricaturale mais forcément de facto très explicite : celle de placer deux animaux dans une pièce fermée pour qu’ils se rencontrent, ou dans un labyrinthe clos où ils se croiseront forcément à force de déambuler… Évidemment, deux humains, pour former un couple, se verront quant à eux plutôt placés dans un "contexte événementiel spécifique", équivalent à un réceptacle spatio-temporel d’où ils ne pourront pas échapper à leur rencontre programmée… Ce qu’il adviendra par la suite aura aussi été parfaitement orchestré, car encore une fois le hasard tel que nous le concevons n’existe pas dans de telles configurations. Le profane comprendra mieux pourquoi les véritables initiés peuvent très facilement relativiser toutes les épreuves existentielles, dont les pires en les surmontant sans "état d’âme", puisque celles-ci auront été finalement préparées par leur propre volonté supérieure, comme tout un chacun expérimentera d’ailleurs ses propres épreuves, dont vous-mêmes qui lisez ces lignes.

Dans cette vision karmique de l’existence, à savoir que chaque évènement se produit ici-bas pour chacun d’entre nous puisqu’il a été défini qu’il devait se produire à titre d’expérience, nous sommes néanmoins dans ce labyrinthe de la vie avec quelques choix pour tourner dans une direction ou dans une autre mais toujours pour aboutir au même endroit, ce qui nous amène à coup sûr à la rencontre au détour du chemin en circuit fermé. L’image du labyrinthe est elle-même grandement ésotérique et très parlante une fois que l’on en a les clefs, si l’on fait partir deux personnes chacune d’un côté vers le seul chemin qui va au centre, alors le contexte de la rencontre se réalisera (tout en restant surprenant pour les intéressés qui ne savent pas qu’il sont sur la même "trame spatio-temporelle", labyrinthe existentiel…). Si l’on imagine maintenant, assez facilement, que la rencontre dans notre labyrinthe aboutit à ce que l’on appelle communément un couple, alors nous verrons déambuler ces deux personnes ensemble dans cette même trame existentielle pour expérimenter le chemin, en d’autres termes ils seront "ensemble dans la vie". Je vous laisse maintenant imaginer s’il a été prévu d’intégrer d’autres individualités, à dessein, pour en expérimenter les effets, et potentiellement il sera probable que des ruptures (orchestrées) puissent voir le jour ou bien qu'elles puissent être évitées, surmontées.

Le secret des rencontres, notamment amoureuses, demeure pour la grande majorité des profanes un mystère total, mais pas pour l’initié qui sait que par quelques savantes synchronicités qu’il pourra percevoir le contour des liens karmiques des uns et des autres. Parfois aussi, et même encore plus s’il est sorcier-chaman, il pourra accéder à un niveau de conscience lui permettant d’aller chercher l’information nécessaire, ou du moins en demander l’autorisation à des entités supérieures qui pourront, ou non, alors apporter quelques solutions et des éclairages sur le contexte existentiel de certaines personnes à aider. Ce que l’on appelle des travaux de magie consiste justement, via des rituels spécifiques, à contacter ces entités, ceci, toujours en accord avec les grandes lois ésotériques universelles, auquel cas rien ne pourra être divulgué. C’est, en qualité de sorcier-chaman exerçant depuis plusieurs décennies déjà, ce en quoi j’applique les principes durant mon activité professionnelle pour aider à mieux comprendre mais surtout à révéler, la quintessence réelle de la relation dans un couple, ou bien lors d’une rencontre à venir, et parfois aussi le sens d’une potentielle rupture. La vision du réel que nous avons tous ici-bas est toute relative car faussée par notre mental individualisé (Ego), mais la Réalité karmique de nos existences en qualité d’Être multidimensionnel est une Vérité ésotérique certaine. Être initié c’est savoir surmonter et dépasser son propre Ego pour emprunter le chemin de l'évolution.

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

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S’il est bien un sujet qui nous intéresse absolument tous, parce que nous sommes sans aucune exception effectivement tous concernés par celui-ci, c’est un sujet qui nous interroge aussi au plus profond de notre être, un sujet qui dépasse même celui de la Vie puisqu’il s’agit de l’après, de l’au-delà, de Thanatos qui viendra nous chercher, en d’autres mots de la fin de l’existence ici-bas c’est-à-dire de la Mort. De nos jours l’on préfère passer sous silence cet ultime moment, ne pas trop y penser ni en discuter comme si notre monde contemporain avait repoussé l’ultime échéance et l’avait rangée dans le tiroir de l’oubli ou bien s’en était accommodé comme d’un fait relativement mineur. Il n’en a pas toujours été le cas et que ce soit l’Égypte qui nous rappelle que les pyramides sont censées être des tombeaux royaux ou bien la plupart des textes hindouistes qui relatent que nous sommes (im)mortels, de la même manière que le "Bardo Thödol" (Livre des Morts) des Tibétains nous enseignent "cet après vie", et même ce qu’il se passe durant et après cette transition…

Ainsi, notre curiosité intellectuelle personnelle devrait être à son zénith, du moins pour ceux qui seraient en quête de réponses pour, d’une part concevoir en toute conscience ce que représente la fin de l’existence terrestre, et si possible, sous un autre angle plus aigu, tenter de savoir s’il existe une continuation de la "conscience d’être encore soi" une fois que le corps n’est plus, à savoir : une "autre forme" de persistance de l’esprit hors de la matière biologique qui nous incarne physiquement, ce que l’on pourrait aussi concevoir sous la dénomination basique de l’âme, sans essayer de faire référence à aucun dogme qui soit typiquement religieux. Il est en effet extrêmement difficile de se détacher de toute doctrine religieuse lorsque l’on aborde ce délicat thème de la mort tant nous avons tous été habitués à ne pas avoir notre propre avis sur la question, à toujours ou presque laisser des institutions s’en charger à notre place. De là, peut-être, voire surement, toutes les potentielles dramatiques péripéties de ce monde… Mais ceci est justement une autre histoire qui n’a assurément rien à voir avec notre sujet, mais plus à faire avec une certaine forme dénaturée de Pouvoir ici-bas.

Très justement l’on s’apercevra, en étudiant notre Thanatos de plus près, que si l’on cherche des témoignages ou des réponses moins dogmatiques, l’on devra alors se tourner non plus vers les institutions (qui demeurent néanmoins des références à prendre en compte) mais vers des "expérienceurs", c’est-à-dire des personnes ayant vécu une E.M.I : une "Expérience de Mort Imminente". De même, dans un autre registre, certains très rares individus disposent de l’extraordinaire faculté de se souvenir de leur vie antérieure, souvent des enfants apportant des preuves tangibles et vérifiables d’une existence précédente. De ces deux types de témoignages, souvent déconcertants et effectivement troublants, de véritables sources de prise de conscience, voire de compréhension pourront voir le jour, non seulement de la part de l’entourage mais aussi pour toute personne en ayant eu la connaissance approfondie après quelques recherches. Sans être directement témoin, il existe aussi des personnes ayant des dons particuliers, ceux de jouer les intermédiaires entre les vivants et les morts; les personnes ayant cette capacité spéciale de communiquer avec l’au-delà sont ce que l’on appelle assez couramment des médiums.

Issu du savoir des anciens, le spiritisme, c’est-à-dire la communication avec l’au-delà, a pris un réel essor avec Allan Kardec au 19e siècle qui en a transposé les grandes règles modernes en matière de médiumnité dans ses ouvrages de référence (Le Livre des Esprits, et Le Livre des Médiums). L’on peut dire sans se tromper que l’engouement pour le spiritisme à cette époque allait de paire avec les premières grandes découvertes scientifiques modernes et une certaine recherche de la vérité en allant directement interroger les défunts via différentes méthodes ne faisant plus appel spécifiquement aux stricts dogmes de la foi mais à un nouveau champ d’exploration de l’inconnu et de ce l’on pourrait  qualifier d’univers paranormal dans son ensemble. Ainsi, le médium, intermédiaire entre notre dimension terrestre et la "sphère éthérique" (ou astrale), demeure un outil vivant permettant de recevoir, tout comme une antenne, un ensemble de communications et d’en retranscrire la teneur de deux façons principales : directement en se laissant investir par l’esprit d’un défunt et en prenant la parole, ou bien de manière plus automatique par l’écriture ("psychographie").

Doit-on concevoir une certaine similitude entre la transe médiumnique et la transe chamanique et ainsi comprendre que nous avons ici affaire à un même type de dialogues entre deux mondes ? Cela semble évident à la différence que les cultures ne s’appuient pas sur des bases sociétales identiques, volonté de modernité d’un côté, transmission d’un savoir tribal et animique de l’autre, dans les deux cas la démarche demeure identique : la possibilité de dialoguer avec des ancêtres et des personnalités disparues. Notons aussi que le spiritisme aura su parfaitement s’intégrer à la société brésilienne dont nous avons tous qu’elle est le berceau du chamanisme amazonien, enfin, que le plus grand médium ayant jamais existé, à savoir Chico Xavier, a exercé ses immenses talents encore aujourd’hui reconnus pour avoir ouvert des chemins jusque là réservés aux seuls initiés. La retranscription de ces témoignages provenant directement de l’au-delà reste à ce jour, avec ceux de l’héritage d’Allan Kardec, d’une richesse spirituelle exceptionnelle que l’on peut retrouver dans ses très nombreux écrits (dont "Messages spirituels" et "Reportage avec l’au-delà") effectués intégralement en psychographie sous la direction d’entités lui ayant donné l’autorisation d’en révéler l’existence dans le détail, ceci à un très large public.

D’un point de vue contemporain, avec les très récentes avancées, d’une part en matière de champs quantiques et d’autre part avec les différentes recherches en cours sur la réalité de la conscience qui serait délocalisée et non créée uniquement au sein du cerveau (lequel ne serait qu’un récepteur très élaboré), c’est toute une science moderne qui vient finalement rejoindre ce que les anciens appelaient l’Akasha, cette dimension éthérique ou cet espace purement spirituel dont la science aura beaucoup spéculé sur l’aspect véridique d’une telle "dimension agissante". Nos sociétés sont assurément au tournant historique de cette croisée des chemins, même si en ce qui me concerne et en qualité de sorcier chaman j’ai pu expérimenter depuis plusieurs dizaines d’années de pratique la réalité de ces très diverses communications avec des entités de toutes catégories, dont pour certaines des personnalités défuntes qui se sont révélées à nos groupes médiumniques lors de séances essentiellement chamaniques (selon des rituels de magie ancestrale).

Si vous êtes un lecteur assidu de ce blog vous avez certainement fait le lien entre les archives akashiques que j’ai souvent évoquées et la dimension karmique de nos propres actions qui s’y trouvent inscrites, ces deux concepts, certes complexes à concevoir ou à maitriser, ont aussi été largement évoqués par les défunts ou lors de contact d’EMI, par contre, une mise en garde a toujours été formelle : ne jamais tenter l’expérience en étant seul ou même entre personnes inexpérimentées, il existe en effet un réel danger d’emprise durable par des entités négatives ou de perte d’énergie vitale pouvant causer de graves accidents. Par conséquent, abstenez-vous de toucher à ce domaine, si besoin je reste à votre disposition pour en discuter de manière déontologique et plus précise si vous désirez personnellement approfondir la question très sérieusement.

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

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La Magie Noire est unanimement jugée dangereuse et négative par la très grande majorité des gens, et ceci à juste titre, mais si l’on interroge les mêmes personnes pour définir ce qu’est exactement la Magie Noire, alors seule une toute petite minorité aura quelques véritables notions sur le sujet ou bien ne verra qu’une facette d’une discipline, certes dangereuse, mais parfois utile dans certains cas très précis qui requièrent une incommensurable puissance… Une définition sensée de la Magie Noire est en elle-même un réel exploit tant la connotation qu’on lui attribue reste intégralement négative, pourtant, tout comme la dynamite, image que j’utilise parfois, la Magie Noire doit être aussi utilisée comme un outil, avec une infinie précaution et une technicité parfaite, auquel cas effectivement elle explose littéralement, réduisant presque tout à néant sur son passage sans distinction, semant le chaos et la destruction sans tenir compte de qui a allumé la mèche !

Mais déjà, qu’est-ce que la Magie Noire ? Quelle différence avec les autres types de magie ? Pourquoi une telle réticence non seulement à en parler mais aussi évidemment à tenter d’en comprendre les rouages pour aller peut-être plus loin et ouvrir la boîte, d’allumettes ou de Pandore, au choix ? Un bref tableau de ce qui existe en termes de diverses magies éclairera définitivement ceux qui se posent des questions sur le sujet : tout d’abord les magies traditionnelles, parlons des deux principales, la magie blanche et la magie rouge, utilisent toutes deux des rituels bien encadrés, c’est-à-dire des cérémoniels ajustés au cordeau à chaque contexte pour des situations très bien définies. Par exemple la Magie Blanche, une magie de soins énergétiques, de révélation et de protection, sera d’une grande efficacité dans son registre relativement exclusif et en général perçu très positivement. De même pour la Magie Rouge, déjà un peu plus polémique puisqu’elle se fixera le but d’encadrer des rituels dont l’Amour est le domaine principal comme terrain, idem pour ce qui s’y rattache, à savoir les sentiments, le désir, la sexualité, la libido, c’est-à-dire les relations amoureuses au sens large.

Pour la Magie Noire, rien de tout ceci, aucune contrainte, elle peut pratiquement "tout traiter" à la fois comme situation et comme contexte, mais attention au terme, elle traite assurément comme l’on aurait pu arroser un champ de blé avec des produits toxiques et inflammables, elle ne donne pas dans le détail, elle ne laisse rien sur le sol, c’est un "reset" complet de la situation, une terre redevenue vierge mais souvent rendue aride pour une durée assez indéterminée, quand elle n’est pas devenue tout simplement totalement infertile pour des lustres… L’image parle d’elle-même, mieux vaut ne pas tenter de mettre le feu au champ pour tenter ensuite d’en récolter quelque chose de tangible après coup ! Pourtant, il existe des situations bloquées, des impasses d’où rien ne ressortira qui pourraient justement avoir comme nécessité d’utiliser une magie explosive pour en faire tomber les murs obstruant l’horizon et aller de l’avant, cette puissante magie c’est la Magie Noire.

Par conséquent, dans son concept et présentée de cette manière, la Magie Noire semble avoir une certaine utilité de par sa puissance que d’autres magies plus spécialisées ne possèdent pas ou qui restent très en deçà. Pour autant l’exercice reste extrêmement périlleux car son mode opératoire est loin d’être ordinaire ou uniquement basé sur quelques rituels connus et bien encadrés, au contraire, il faudra jongler avec le Chaos personnifié et surtout avec ses sbires aux commandes… En d’autres mots, le praticien ouvrira des portes non conventionnelles pour "faire réaliser" à sa place le but d’une manœuvre qui pourra à tout moment lui échapper s’il ne sait pas garder le cap avec une poigne de fer et une vigilance renforcée, tout en demeurant grandement expérimenté en matière de protection et d’autorité. Encore une fois, une image vaut mille mots : avec la Magie Noire c’est un peu comme vouloir entrer directement dans la cage aux fauves, dans l’obscurité presque complète, sans savoir combien de bêtes affamées se trouvent exactement dans le lieu dans lequel on vient d’entrer, tout en jonglant avec des torches enflammées. Ces fauves, bien évidemment sont de l’ordre des démons ou des djinns, de ces créatures dimensionnelles à la fois puissantes, malicieuses et impétueuses qui ne s’en laissent pas conter…

Dans quelle mesure utiliser la Magie Noire et comment procèdent les (très rares) praticiens expérimentés qui s’y aventurent ? Il faut déjà savoir qu’avant de se lancer dans des cérémoniels de Magie Noire, c’est-à-dire faire appel à des forces des ténèbres sous un contrôle restant essentiellement relatif, il vaut mieux savoir à la fois se protéger en qualité de praticien (généralement des sorciers ou/et chamans très avertis) mais aussi savoir parfaitement protéger la personne demandeuse des travaux de magie, à savoir le commanditaire. La préparation des travaux de Magie Noire s’apparentent, pour rester encore une fois imagé, à la construction d’une forteresse aux remparts élevés avec un pont-levis résistant aux chocs et aux assauts, ainsi, mentalement, c’est une représentation a minima pour recevoir la visite de créatures imprévisibles qui ne disposent que de la violence comme base de dialogue ou la ruse et la duperie comme perspective diplomatique principale. Bien entendu les moyens de protection sont eux aussi d’ordre magique et sont au choix du praticien, pour ma part j’utilise un triple verrouillage sous la forme de rituels que j’ai créés et que j’adapte au contexte en présence selon le but recherché et la puissance à générer.

Dans un second temps, ce que je m’efforce toujours de suivre, c’est qu’il faut aussi absolument savoir intégralement se plier à l’éthique chamanique en respectant les Grandes Lois Universelles qui stipulent que l’on ne peut utiliser de tels moyens qu’en accord avec les orientations karmiques en jeu, celles qui autorisent ou non la pratique de ce type de magie terriblement puissante. À savoir : utiliser l’aide d’entités extérieures et de plans inférieurs pour résoudre une situation qui n’a de solution que l’exceptionnelle réinitialisation de certains paramètres pour que les principaux protagonistes puissent se réaliser (déblocage de l’évolution personnelle) ou réaliser leur quête (entamer une mission de vie le plus souvent en commun). Dans cette optique seule, l’utilisation d’une force destructrice est permise si finalement, comme le Phénix renaissant de ses cendres, il en résulte une nouvelle voie parfaitement dégagée pour un nouveau départ. Dans le cas inverse où il n’y aurait ni débouché prometteur, ni accord karmique clair et autorisé, alors l’utilisation de la Magie Noire ne serait pas recommandée, voire, elle serait strictement interdite au risque qu’il y ait, pour le praticien et le commanditaire, de se rendre responsables de très graves dégâts collatéraux à court, moyen et long terme.

Toutes les magies ont donc leur utilisation spécifique, la Magie Rouge et la Magie Blanche disposent néanmoins d’une grande marge de manœuvre pour résoudre la plupart des problématiques courantes, en ce qui concerne la Magie Noire, elle demeure dangereuse et soumise à de multiples conditions qui en font effectivement une "exceptionnelle magie d’exception" à ne pas mettre en toutes les mains, même les plus expertes si elles n’en ont pas l’autorisation formelle et la bonne orientation !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

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Suite à vos demandes, voici un thème suffisamment complexe pour ceux, un peu plus initiés, qui se sentent l’envie de l’aborder plus frontalement en ayant déjà quelques bases afin d’aller plus loin dans la compréhension de ce qu’est "un symbole en magie" et par conséquent comprendre les processus ritualistiques qui en découlent… Donc, vouloir parler des symboles en magie c’est un peu comme tenter de traverser une étendue de sables mouvants tout en s’y enfonçant un peu plus à chaque pas pour s’apercevoir du véritable poids qu’impose le sens du terme et de ses correspondances multiples et changeantes. Comme le sable, le symbole glisse des mains pour s’éparpiller en mille grains selon le contexte en présence, au grès des vents, parfois même contraire au sens initial que l’on aurait voulu lui attribuer. Pourtant la magie n’existerait pas sans sa teneur symbolique, sans ces passages complexes et hermétiques qui permettent d’entrevoir une certaine réalité pour mieux en saisir l’essence et en prévoir la finalité. Toute l’intelligence du symbole tient dans sa multitude, il n’est jamais UN, il coexiste en chacun de ceux qui l’envisagent, il appartient à une lointaine sphère supérieure dont nous n’entrevoyons que le reflet d’une vérité parmi tant d’autres dans le prisme orienté de notre existence assujettie à notre imparfaite humanité. Un symbole peut ainsi rayonner d’une évidence qui lui donnera une signification, porter aussi une immense ombre cachée derrière l’éclat de cette lumineuse certitude qui s’expose à notre fugace entendement. Rien n’est donc jamais simple, immédiat et durable avec le symbole, il est de ce fait vivant et nous devons savoir l’apprivoiser au risque de mal l’interpréter et de le voir s’échapper au loin de notre intellect si allègrement versatile et inconstant.

En magie, et plus précisément durant les rituels, le symbole constitue l’élément essentiel de cette codification du monde pour mieux agir sur ce dernier, il devient ce qu’il représente, il en est le double éthérique, la substance vivante correspondant à la cible du but recherché, selon un contexte, un tempo et un espace précis. Comme nous le voyons, définir "le symbole" en magie ne peut passer que par la périphrase imagée puisqu’il n’existe en réalité pas physiquement comme une entité tangible appartenant à notre monde mais peut être néanmoins tout de même visible par "ce qui le représente", c’est-à-dire par un "élément symbolique" utile à celui qui va en user pour en faire émaner l’essence de ce qu’il devrait être au moment du rituel, avec le contexte imposé par celui-ci, dans le lieu consacré pour qu’il s’active et enfin en fonction d’une "orientation" prédéfinie : d’un point de départ initial préalablement bien analysé vers un but précisément ciblé, étudié et surtout désiré. Le symbole n’est par contre strictement rien sans l’indispensable volonté qu’il représente véritablement "ce qui doit l’être" à la fois pour l’opérateur du rituel (généralement le praticien parfaitement initié aux travaux de magie) ainsi que pour le demandeur par lequel (homme ou femme évidemment) le besoin de résolution d’une problématique se concrétise par la nécessité d’effectuer ces mêmes travaux de magie adaptés à cette résolution. Une volonté duale, celle du demandeur et du praticien, afin de concrétiser (ou cristalliser intellectuellement et psychiquement) ce désir de voir évoluer une situation dans un sens que chacun d’eux a bien saisi pour en entrevoir le contexte de départ avec l’ensemble de ses paramètres ainsi que ce fameux but recherché dont la clef est la résolution en elle-même.

Bien entendu, entre le contexte de départ et la finalité concrétisée par le but recherché il y a parfois un long chemin à parcourir ou plutôt un itinéraire à anticiper avec assurément plusieurs routes à emprunter, c’est exactement ce qui est défini par ces "travaux de magie" successifs pour y arriver, des travaux car c’est aussi une construction, de la première pierre jusqu’à la dernière de cet édifice mental qui aura ainsi circonscrit la problématique pour la résoudre en transformant la réalité par le biais d’une dimension intermédiaire symbolique agissante. De facto, l’on pourrait même dire que la magie s’apparente essentiellement à l’orchestration du ou des symboles utilisés dans ses rituels durant les travaux, la magie est d’ailleurs elle-même son propre symbole, celui que l’esprit agit sur la matière, que la réalité se plie finalement à la volonté si celle-ci est à la fois véridique et assez puissante pour s’exprimer pleinement sans entraves. Sur ce dernier point, la volonté est aussi énergie pour s’activer, elle nécessite une transformation ou plutôt une sublimation d’énergie vitale en énergie mentale que l’on appelle trivialement "volonté"… Tout le monde ne perçoit pas les situations existentielles avec la même force de volonté, bien au contraire nous avons tous selon notre propre essence personnelle des prédispositions pour désirer en puissance certaines choses plutôt que d’autres, nous sommes tous sur ce point différents en terme d’orientation de nos besoins, de nos désirs et donc de notre volonté d’agir en puissance dans une direction précise. La magie et ses rituels bien organisés dans des travaux spécifiques permettent chacun à leur niveau d’action de rétablir ou de focaliser l’orientation de cette volonté vers le but recherché pour résoudre une situation dite problématique (ou jugée comme telle par le demandeur).

D’un point de vue plus concret et explicite, pour ceux qui aiment des exemples, il existe une multitude de types de symboles très actifs et efficaces qui peuvent être utilisés durant des rituels de magie; vous les connaissez certainement puisque personne n’en fait mystère, des images circulent sur tous les médias internet ou dans toutes les publications. Néanmoins, encore une fois à titre d’exemple, voici quelques "objets symboliques" qui permettent de poser les bases des rituels habituels les plus courants, du moins pour faire entrer dans un espace dédié aux travaux de magie une sphère symbolique assez représentative qui apportera la quintessence des rituels si la personne qui les opère dispose aussi d’une volonté exercée à en saisir tous les contours. Premièrement, comme déjà expliqué, il faut effectivement un lieu, celui-ci devrait préférentiellement se trouver dans un espace privé où très peu fréquenté, une pièce ou un petit espace dans une pièce où seul l’opérant aura accès pour que les divers objets qui y seront entreposés ne soient pas touchés ou même vus. Dans cet espace une table, de la dimension qui vous semble adaptée (certains aiment les petits guéridons, d’autres de grandes tables en bois massif ou en marbre, à chacun son choix), a priori ne prenez pas une table avec des éléments métalliques qui pourraient interférer par la suite avec d’autres objets. Sur cette table, et ceci est important, à vous d’y placer un tissu dont vous jugerez de la bonne couleur en fonction du rituel (je ne m’étends pas ici sur la symbolique des couleurs à utiliser ni de la matière), de plus à vous de voir si ce tissu dispose lui-même de symboles tracés ou pas… Il existe des tissus déjà ornementés de symboles magiques, je vous recommande vivement de créer les vôtres sur un tissu vierge. Ces symboles géométriques tracés sont évidemment infinis en types et formes, en puissance et objectifs, mais sachez que finalement ils ne seront efficaces que si vous avez foi en eux, alors créez vos propres "sigils" ou signes, ou bien utilisez sciemment ceux que vous connaissez et en lesquels vous avez toute confiance.

La véritable puissance des objets symboliques sera d’autant plus proportionnelle et efficace que vous aurez un rapport particulier avec ces objets, par conséquent il est préférable d’utiliser des objets ritualistiques strictement personnels, qui sont déjà assez anciens ou en votre possession depuis une assez longue période (de vieux objets familiaux par exemple), ou mieux : si possible les fabriquer entièrement vous-mêmes. Dans cette perspective n’achetez évidemment pas des objets fabriqués à la chaine, privilégiez les objets artisanaux ou uniques, voire parfois des oeuvres artistiques… Parmi les objets symboliques les plus emblématiques utilisés pour les rituels, pelle-mêle : des bougeoirs, des récipients (coupelle, bol, fiole, verre, etc.), des cristaux ou pierres de votre choix, des éléments naturels (bois, plantes, os, terres, liquides, etc.), des statuettes significatives (uniquement si elles ont un sens pour vous et dans le but recherché…), des encens ou autres parfums, des cordelettes ou fils divers, parfois des cartes de tarot (si les arcanes n’ont plus de secrets pour vous), des dagues rituelles ou autres objets pointus (uniquement si cela apporte un plus), enfin pour certains rituels il est nécessaire d’avoir des photos des personnes impliquées dans le rituel ou dans les travaux, d’avoir aussi certains de leurs objets personnels qui "symboliquement" apportent une caractéristique unique aux travaux. De même, chacun sera libre de prononcer ses formulations ou incantations si celles-ci renforcent le processus symbolique. La liste n’a pas de limite ou uniquement celle de votre imagination et surtout de votre volonté de voir dans ces objets symboliques une réelle puissance en action qui en émanera. Le principal n’est pas l’objet en lui-même mais la force de la représentation symbolique que vous en ferez en vue d’une projection mentale vers le but qui aura été décidé sur le chemin de la résolution. La puissance des rituels dépend d’abord de vous, de votre volonté, de votre puissance mentale et spirituelle à transcender l’objet pour en restituer son symbole actif puis le laisser interagir dans le cadre du rituel… Je reste à votre disposition pour en discuter, ou si vous préférez pour me demander de réaliser plus directement des travaux de magie pour vous, avec maîtrise, savoir-faire et déontologie.

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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Nous avons, généralement, une vision du monde avec ce sentiment de très grande complexité qui en émane et dont la logique humaine et ses diverses cogitations ne font que renforcer à l’extrême cet aspect à la fois confus et inextricable qu’ont les évènements à s’entrechoquer de manière compliquée selon des schémas souvent incompréhensibles à cette même logique. C’est ainsi, en effet, que la grande majorité des gens capte le monde par le biais d’une réalité entièrement reconstruite intérieurement par leurs facultés cognitives, lesquelles ont cette étonnante fonction d’accumuler consciemment mais aussi inconsciemment une immense foule d’informations hétérogènes pour tenter d’en construire une histoire, apparemment sensée à notre échelle, et par conséquent d’en accepter le résultat obtenu comme parfaitement conforme à la seule et unique vérité à concevoir. Pourtant cette vision profane du monde, et donc des choses qui nous entourent, est parfaitement fausse par définition puisque nous-mêmes ne sommes pas parfaits pour en élaborer une vérité totalement dénuée d’erreurs, que notre pouvoir de captation n’est que la résultante de sens que nous avons faillibles, et qu’enfin notre capacité d’analyse est elle-même grandement limitée, entachée d’inexactes interprétations et de convictions la plupart du temps notoirement infondées ou déformées.

Alors, comment oser comprendre que nous ne savons rien de ce que représente la Réalité, que nous ne voyons que l’illusion de celle-ci qu’à travers des filtres qui nous composent, et comment dépasser cette limitation qui nous empêche de voir l’invisible ou ce qui nous est caché ? C’est ici même la définition de l’ésotérisme que d’aller chercher ce qui semble parfaitement hermétique et occulté, d’aller au-delà de la superficialité qui nous subjugue par ses fausses images, par ses sons imprécis et ses ressentis infidèles, tel l’incohérent montage amateur d’un premier film d’auteur, forcément fictif,  simpliste et rudimentaire. De nombreux signes indiquent pourtant, qu’au-delà des limitations imposées par notre incohérence humaine à saisir l’entièreté de la Réalité, nous pouvons parfois à de rares instants percevoir l’envers du décor et les coulisses du film de l’existence, ce sont dans ces moments que surgissent, telles de surprenantes synchronicités (1), d’ultimes vérités auparavant cachées ou bien des portes qui s’étaient habilement dérobées à notre vue tronquée. Qui contrôle ces nouveaux espaces invisibles ou bien qui cherche à nous les dissimuler ? Et dans quel but malicieux ou bien inavoué ? Les initiés ont depuis des millénaires cherché ces réponses, elles sont à double tranchant, à la fois très proches de nous et si éloignées de nos concepts courants, elles appartiennent à ceux, qui humains ne veulent pas les dévoiler mais aussi à d’autres sphères qui nous en imposent le silence, chacun de ces deux pôles pour des raisons parfois diamétralement opposées…

Qu’il existe des mondes invisibles à nos sens, cela est démontré par la science et très communément admis, par contre ce qui l’est moins c’est que certains humains initiés à des pratiques "d’ordre magique" (pour utiliser à ce stade une tournure générique non différentiée) disposent de cette faculté, de ce don ou sixième sens si l’on veut, pour entrer en contact avec des environnements autrement inaccessibles au commun des mortels ainsi qu’aux entités qui peuplent ces nouveaux horizons. Qui sont ces initiés ? L’on pourrait épiloguer longuement sur toutes ces castes de sorciers, de magiciens ou de druides, voire de chamans pour tenter d’expliquer pour chacun leurs spécificités et leurs orientations, bonnes ou moins bonnes, mais le principal à retenir c’est que certains d’entre eux préfèrent ne rien dévoiler des dits secrets qu’ils ont pu acquérir alors que d’autres en font profiter plus librement des bienfaits potentiels à ceux qui en ont besoin. Pour cataloguer très sommairement : d’un côté des initiés de l’ombre, c’est-à-dire bien souvent issus des forces obscures et ne désirant conserver leur pouvoir pour ne servir égocentriquement que leur propre compte, de l’autre les initiés de la lumière ou plus prosaïquement des praticiens plus ouverts au partage afin d’exercer une magie plus bénéfique et lumineuse. Dans nos sociétés occidentales nous retrouvons ces schémas relativement dissociés, apparemment simplistes, à deux strictes facettes, noire et blanche, radicalement opposées ou très rarement réunies.

Notons rapidement (car il y en aurait beaucoup à dire) qu’il en est tout autrement dans les sociétés orientales, ou non occidentalisées, qui possèdent des doctrines plus mitigées, du moins dans cet aspect où le mélange du noir et du blanc n’est pas si radical, l’exemple le plus parlant étant l’image symbolique du Tao dans laquelle nous retrouvons un point noir dans la surface blanche et inversement un point blanc dans la surface noire, ce qui caractérise ainsi une vue plus nuancée non seulement de la vision du monde mais aussi des pratiques magiques ou spirituelles qui s’y rattachent.  Cette notion assez binaire que nous avons en occident est elle-même à l’image de nos sciences où tout est soit vrai soit faux, sans intermédiaire ou zone grise, tout comme l’informatique avec ses 0 et ses 1 qui ne laisse aucun entre-deux, quoi qu’avec les informations quantiques nous découvrons enfin qu’il existe aussi  une troisième voie, celle du ni l’un ni l’autre ou des deux à la fois ! Ce dernier point est en soi une révolution scientifique qui rejoint paradoxalement des concepts spirituels très avancés qui ont eu cours depuis des millénaires chez les hindouistes avec la Trimurti (2), pour ne citer qu’eux (au passage aussi : les hexagrammes chinois basés sur la transformation sont aussi un exemple de "non-binarité" et de modulation), de même dans bien d’autres dogmes où rien n’est ni complètement noir ou blanc. Ainsi, la spiritualité reste l’apanage plus malléable et ouvert des sociétés non occidentales alors que chez nous s’opère une scission très nette entre la sombre et sulfureuse sorcellerie, problématique "magie noire" de destruction orientée "Thanatos" (3) et la magie opérative blanche, ou rouge si plus orientée "Eros" (4), se positionnant en pleine lumière assurément positive et bénéfique pour résoudre des problèmes, sans en poser d’autres…

Mais, de ces faces cachées ou que l’on ne voudrait pas forcément voir au quotidien dans nos sociétés occidentales via des positionnements plus spirituels ou même magiques, il coexiste aussi la réalité véritablement invisible d’une toute autre nature bien plus inaccessible à nos esprit humains, c’est une réalité située sur une dimension non matérielle, un plan absolument inaccessible à notre entendement logique car son essence dépasse notre imagination et transcende notre esprit captif de notre matérialité. Nous parlons ici d’une dimension karmique, éthérique de haut niveau dont même les plus aguerris d’entre les initiés ne peuvent en concevoir la puissance et les buts qui ne s’énoncent que ne manière symbolique par delà notre compréhension. Cet autre monde véritablement invisible à tous ne nous est pourtant pas étranger, bien au contraire puisque c’est, d’une certaine façon, une autre partie de nous-mêmes, bien plus grande, qui s’y trouve avec une logique d’évolution dépassant de très loin nos quelques dimensions spatiales et temporelle pour définir un mode existentiel infiniment supérieur, immensément complexe et à des années-lumière de notre entendement le plus élaboré. Cet autre nous-mêmes faisant partie d’un Grand Tout doit être considéré comme la trame d’un tissu dont nous ne serions qu’un des multiples fils tissés par des Lois Universelles, véritables entités dans un univers inconcevable où les symboles sont plus vivants que nous-mêmes qui ne sommes qu’un reflet fugace sur la vague mouvante d’un océan infini. Les initiés, qu’ils soient de sombres engeances ou plus éclairés savent qu’une dimension éthérique nous surplombe à l’image d’un lecteur lisant une bande dessinée en passant d’une case à l’autre où nous serions platement inscrits.

Face à ces mondes, intermédiaires ou plus éloignés nous surveillant de haut, l’exigence d’humilité est de rigueur pour ne pas sombrer dans une égocentrique folie furieuse ne menant qu’à la destruction de soi et d’autrui là où au contraire la direction qui nous est suggérée impose l’entraide et la concertation, le partage et la sérénité de l’esprit et de l’âme. Bien entendu, à chaque secret ésotérique il convient de modérer le pouvoir ainsi acquis et d’en faire bon usage, à défaut le pouvoir mal utilisé se retournera contre celui qui tente de s’en accaparer des bienfaits usurpés en oubliant qu’il n’est pas seul au monde, monde humain, monde symbolique de l’éther et monde karmique qui présuppose une initiation bien intentionnée pour perdurer et évoluer. Le profane, pour sa part, aura ce droit de regard et d’information sur ce que sa propre route existentielle lui promet, il pourra de lui-même trouver des réponses ou bien les demander avec les précautions d’usage aux initiés en ayant le droit et les capacités. En qualité de chaman je me suis engagé sur cette voie de l’entraide, elle requiert une grande vigilance face aux forces s’opposant au bien, de même qu’un savoir-faire et une Connaissance que je remercie de m’avoir donné une vision plus large du monde en pouvant élaborer des travaux et rituels utiles aux personnes demandeuses. Comme d’habitude je réponds à toutes les questions concernant cet article, donc n’hésitez pas à me joindre pour plus d’information !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel


(1) Synchronicité : la synchronicité est l'occurrence simultanée dans l'esprit d'un individu d'au moins deux événements mentaux qui ne présentent pas de lien de causalité physique, mais dont l'association prend un sens pour la personne qui les perçoit. Cette notion s'articule avec d'autres notions de la psychologie jungienne, comme celles d'archétype et d'inconscient collectif.

(2) Trimurti : dans l'hindouisme, la Trimurti (trois formes en sanskrit) est la partie manifestée de la divinité suprême qui se fait triple pour présider aux différents états de l'univers.  Les dieux Brahmâ, Vishnou et Shiva symbolisent respectivement la création, la préservation et la destruction.

(3) Thanatos : dans la mythologie grecque, Thanatos (en grec ancien Thánatos) est la personnification de la Mort.

(4) Éros : (en grec ancien Érōs) est la divinité primordiale de l’Amour et de la puissance créatrice dans la mythologie grecque.

 

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