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Nous vivons actuellement dans un monde au carrefour de redoutables dangers que nos sociétés ont générés à cause de notre volonté exacerbée de confort matériel et de progrès technologiques dont finalement nous ne maîtrisons plus du tout les dégâts collatéraux à la fois sur nous-mêmes et sur la planète entière. Que dire de cette fuite en avant en matière de surconsommation qui produit des myriades de déchets impérissables et inutiles dont certains sont mortels, que dire encore de l’aliénation grandissante au travail qui se résume la plupart du temps à des activités professionnelles illusoires ou néfastes pour ceux qui s’y adonnent ? Devons nous encore entretenir l'injuste système de concurrence mondialisée où chaque entreprise est tenue en esclavage par la valeur qu’on lui attribue pécuniairement en banque ou en bourse ? Certes, le sujet ne date pas d’aujourd’hui, des hommes sages, travailleurs et responsables philosophaient déjà dans l’antiquité pour trouver la société idéale, du moins équitable pour le plus grand nombre, en somme une réelle démocratie en devenir, laquelle prônait pourtant aussi de manière institutionnelle un véritable esclavage dans ses propres classes sociales pour "fonctionner correctement"... Comme quoi rien n'est simple.

Les temps ont changé, en apparence, mais rien n’a jamais été intégralement résolu dans un sens globalement positif pour tous et dans une harmonie réelle avec la Nature qui nous environne. Bien au contraire tout s’est soudain accélèré en une spirale d'une vertigineuse chute. Un sérieux constat doit être effectué : la grande majorité des peuples du monde vit dans l’oppression, la guerre, le stress ou le malheur le plus complet, en outre nous détruisons systématiquement tout ce qui nous entoure pour le transformer en de fausses richesses, d’immenses profits souvent futiles étant engloutis par une toute petite minorité, se disant élitiste, mais totalement irresponsable, corrompue et égotique. De tout cela nous en sommes bien plus conscients aujourd’hui qu’il y a seulement quelques années, les esprits se réveillent enfin, ou plutôt ils sortent lentement d’une longue torpeur instillée, d’une léthargie institutionnalisée.

En ésotérisme il faut pourtant comprendre que, très paradoxalement, cette désastreuse situation généralisée n’est autre qu’une conséquence qu’il faut savoir pleinement relativiser pour mieux l’aborder sous un angle initiatique assez difficile à comprendre pour les profanes. Ces derniers ne perçoivent, mais on ne peut pas les blâmer, effectivement que les pires effets de notre déchéance humaine actuelle. Il y a, dans tout ce dangereux marasme, dans toute cette injustice existentielle et cette destruction organisée, une réalité dont les initiés savent qu’elle engendre une réaction à la fois universelle et personnelle pour chacun d’entre nous. Cette réalité s’aborde avec une vision karmique de l’existence, avec ce que les anciens appelaient la sagesse, avec néanmoins une supra-conscience des évènements difficile à appréhender pour tout un chacun. C’est du savoir de cette autre face occultée que sont générés des travaux de protection, des solutions et surtout une prise de conscience élargie de notre univers. Le quotidien est une aventure méconnue qu’il faut absolument soigneusement de nouveau décrypter, complètement reconstruire en dehors des sentiers habituels et de toutes les fausses connaissances précédemment inculquées…

Les plus pénalisés par les crises économiques sont aujourd’hui aussi ceux, professionnels, investisseurs et entrepreneurs, qui ont eu foi dans ce système qui les a portés à des responsabilités censées les rendre prospères avec les personnes dont ils avaient directement ou indirectement la charge. Aujourd’hui aussi, ces mêmes entrepreneurs, ces artisans, commerçants, agents immobiliers et autres dirigeants de petites et moyennes entreprises se retrouvent pris dans la tourmente que d’autres ont provoquée sans aucune considération pour leur travail, leur dévouement et leur investissement. Ils sont souvent dans des situations au bord du précipice, pouvant du jour au lendemain emmener dans leur sillage l’ensemble de leurs collaborateurs, de leurs prestataires et sous-traitants, et surtout de leurs clients qui leur ont fait confiance durant de longues années.

Combien d’entreprises ont fait faillite et combien encore sombreront dans le flot d’une crise sans fin ? Faut-il craindre un effondrement complet de nos sociétés occidentales ou dites "modernes" ? Faut-il voir la situation s’aggraver encore sans tenter des solutions innovantes ou inhabituelles ? A ces questions il existe des réponses mais surtout des connaissances à mettre en œuvre, elles sont en ce qui me concerne bien évidemment plus ésotériques qu’intégralement cartésiennes afin de se sortir d’une terrible ornière qui nous a été imposée par ce même système économico-sociétal basé sur une logique de destruction guidée par un profit immodéré. J’ai déjà aussi parlé de l’I.A (Intelligence Artificielle, à relire ici) qui sera une épreuve considérable à surmonter tant l’Humanité ne semble pas prête pour gérer et encadrer raisonnablement une telle puissance, au demeurant elle aussi destructrice et infiniment énergivore.

Quelles sont les solutions, vers quoi se positionner, personnellement et professionnellement, pour affronter les dangers à venir mais aussi ceux déjà présents à notre porte car ils sont nombreux, sans parler des décisions sociales et économiques désastreuses de nos gouvernants, en France et sur tous les continents, tous plus corrompus et incompétents les uns que les autres, étant uniquement focalisés sur leur propre petite personne, leurs courtisans et leur carrière politique au mépris des citoyens toujours régulièrement bernés ! Dans ce sens, déjà il vous faut penser aux autres avant d’avoir une attitude tout aussi égocentrique que nos dirigeants actuels, c’est une Règle d’Or qui s’applique universellement selon les Grandes Lois ésotériques pour que l’entièreté de l’édifice ne s’écroule pas sur lui-même. Ensuite il existe des méthodes efficaces et radicales par leurs résultats, elles sont issues des anciennes traditions chamaniques, ce sont des rites ancestraux qui ont su préserver et protéger durablement toutes les anciennes civilisations, qu’elles soient tribales ou plus évoluées, avant l’arrivée si déstabilisatrice des Occidentaux dans l’Histoire.

En qualité de sorcier chaman professionnel exerçant depuis de très nombreuses années, j’essaie de préserver ce qui peut encore l’être, pour les entrepreneurs, artisans, investisseurs responsables et commerçants, véritables forces vives de nos pays et de nos nations. Ils sont en effet soucieux de l’avenir et cherchent avec lucidité des solutions viables, à la fois pour changer de paradigme dans leur activité, pour la sauver du désastre, mais aussi en passant un indispensable cap initiatique d’évolution personnelle afin de comprendre la véritable marche du monde, celle qui se cache à la très grande majorité des profanes. La Vérité se situe derrière la face visible de nos sociétés totalement instrumentalisées, "tout en haut" de la pyramide sociale pour en contrôler l’ensemble, par une force totalitaire en action et une destruction savamment orchestrée. Il faut donc savoir protéger et résister, la résistance passe par le savoir et l’action, la protection passe par l’initiation à la Connaissance pour restituer l’harmonie du monde pour tous et pour la sienne !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel
 

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En occident, les substances psychédéliques ont non seulement presque toujours eu très mauvaise presse mais sont, ou ont été pour la plupart, interdites et durement réprimées par les états y voyant avant tout un facteur de désordre social et un grand danger sanitaire. Pour autant, l’ensemble des produits issus de ces substances chimiques psychoactives pourraient très bien faire partie de la pharmacopée usuelle ou le font déjà sous d’autres formes et d’autres noms, passant ainsi du registre de drogues illicites à celui plus commode et surtout plus vendeur de "médicament"… Ainsi, et pour être plus réaliste, le statut de ces substances ne dépend bien entendu que d’une volonté politique d’en accepter les effets souvent positifs s’ils sont encadrés par une médecine dite conventionnelle et par des officines pharmaceutiques pouvant en tirer un certain profit évidemment commercial. Mais l’intérêt véridique, pratique et bien réel pour ces substances ne date absolument pas d’hier, elles font partie intégrante de traditions multi-millénaires, avec, de plus, une répartition géographique sur tous les continents, ceci sans aucune exception. D’où tout l’intérêt de nous y pencher sérieusement, de manière certes plus orientée selon ces traditions, lesquelles, pour la grande majorité, étant pleinement et fondamentalement chamaniques par essence.

Mais déjà, qu’est-ce donc qu’une substance psychédélique ? De psychédélique à psychotrope, nous sommes dans une même trame qui se caractérise significativement et principalement par une modification de l’activité mentale, ceci comporte bien évidemment une multitude d’états intermédiaires, d’effets positifs ou moins désirables, de changements ponctuels ou plus durables sur l’état d’esprit de la personne s’y étant adonnée, et même pour aller plus loin dans la définition allons dans le sens de nombreux spécialistes pour dire qu’un "état modifié de conscience" pourrait survenir et engendrer des effets pour le moins surprenants, pour ne pas dire paranormaux… Ainsi, Albert Hoffmann, découvreur du LSD dans les années 1940, en aura non seulement décrypté la formule exacte mais aussi testé toute sa longue vie durant (mort à 102 ans) l’ensemble des effets dits psychédéliques. Très prisée dans les années 60, cette substance chimique (acide lysergique diéthylamide) s’avère être un puissant psychédélique hallucinogène et psychostimulant utilisé à cette époque de manière à la fois récréative et spirituelle, mais aussi souvent assimilée comme un signe de contestation de la société (mai 1968, guerre du Vietnam, etc.).

Très proche des effets d’un LSD synthétisé les peuples traditionnels chamaniques n’avaient pas attendu la chimie moderne pour expérimenter leurs propres substances psychédéliques à des fins bien plus initiatiques et ésotériques en vue de très divers rituels de haute magie. De nos jours, archéologues, ethnologues et autres scientifiques spécialisés ou historiens ont pu répertorier de nombreuses substances dont les médias se sont parfois emparés dans un but de sensationnalisme en les nommant, ainsi le grand public a pu entendre parler du Peyotl, de l’Ayahuasca, de l’Iboga, de Psilocybine et d’autres dérivés d’alcaloïdes comme la mescaline ou le DMT. Bien entendu cette médiatisation biaisée n’aura su promouvoir que le côté dangereux de ce que l’on peut effectivement appeler de manière plus générique "drogues psychédéliques", ceci presque toujours à la suite d’accidents tragiques d’Occidentaux en mal de sensations fortes ayant testé divers produits dans des conditions pour le moins hasardeuses et imprudentes…

Dans le monde plus codifié des chamans l’on était initialement très éloigné des préoccupations festives d’aujourd’hui en matière de drogues sacrées, d’une part sachons que la liane amazonienne dont est élaboré l’Ayahuasca était déjà utilisée il y a plus de deux millénaires par les autochtones d’Amérique du Sud et central, d’autre part l’utilisation en était strictement réservée aux cérémonies orchestrées par les grands prêtres ou chamans de l’époque, lors de sacrifices rituels ou de sorcellerie à l’encontre d’un clan ennemi. De même, dans la plupart des initiations de haut niveau, de passation de pouvoir entre chamans et durant des rites de divination ou de dialogues avec les ancêtres, des substances issues de champignons à base de principes actifs comme la Psilocybine ou le DMT (diméthyltryptamine) étaient couramment utilisées pour leurs vertus psychédéliques permettant d’accéder à des mondes supérieurs (célestes ou divins) ou inférieurs (démoniaques ou infernaux).

Encore aujourd’hui, que ce soit en Afrique, au Cameroun ou au Gabon, avec l’Iboga (puissant hallucinogène et psychostimulant) pour entrer en contact avec le royaume des morts ou bien avec le Peyotl (alcaloïde et mescaline d’un cactus local) chez les Amérindiens et au Mexique (indiens Yaquis, Tarahumaras, Huichols, etc.), l’on a encore couramment recours aux effets psychotropes et psychédéliques pour invoquer des esprits, soigner spirituellement les maux de l’âme afin d’éloigner les maladies du corps et de l’esprit. Les guérisons de possessions ou bien "tout simplement" le dialogue avec la "Pachamama" (mère Nature ou Gaïa) font aussi partie d’un très large éventail de rituels magiques et sacrés, ou plus occultes et ésotériques, dont certains occidentaux célèbres ont pu expérimenter l’extrême puissance en utilisant régulièrement ces drogues, à savoir : Carlos Castaneda, Antonin Artaud, Aleister Crowley, Aldous Huxley pour ne nommer qu’eux.

De nos jours encore, et cette fois-ci du côté des scientifiques suisses et américains, les laboratoires pharmaceutiques de ces pays ont commencé depuis une dizaine d’années à étudier très sérieusement l’ensemble des propriétés de ces substances psychédéliques avec un notable succès dans des domaines aussi divers que ceux permettant de contrer la dépendance aux autres drogues plus dures, de minimiser ou de supprimer les troubles psychologiques d’ordre post-traumatiques, de guérir de maladies psychiques telles les dépressions et les psychoses ou les angoisses. L’on voit donc parfaitement qu’au-delà des interdits initiaux assez bassement suscités par nos sociétés, une nouvelle étape plus sage et respectueuse des traditions ancestrales s’offre à nous pour en restituer les bienfaits en cherchant à en découvrir les connaissances secrètes où les sciences anciennes des chamans se joignent à celles plus contemporaines de nos scientifiques actuels. Ne doutons pas un seul instant qu’un jour ces mêmes scientifiques devront entièrement se réconcilier avec les grandes doctrines chamaniques qui ont su ouvrir les portes sur de nouveaux mondes auparavant invisibles aux yeux des profanes !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel
 

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