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"L'Homme étant libre, est condamné à la Liberté". Par cette puissante sentence de l'ésotériste Frithjof Schuon issue de son ouvrage "Ésotérisme, comme principe et comme voie", c'est toute la contradiction de l'Existence de l'Humain qui s'exprime, tant dans l'essence même des contraintes que sa destinée lui impose que par l'impérieuse possibilité d'exercer une volonté souveraine sur sa vie pour en fondre le métal précieux qui saura forger l'outil façonnant son âme immortelle à des fins d'évolutions infinies. Il y voit dans la pratique et la connaissance de l'ésotérisme ce même outil, certes caché aux plus profanes mais commun à tous et accessible à ceux qui le désirent véritablement, outil qui permet de réconcilier la matière et l'esprit dans l'expérimentation de ce que l'on pourrait appeler plus trivialement la magie, avec ce secret espoir de voir en l'une (la matière) le tremplin nécessaire pour le second (l'esprit), de ne pas les opposer mais de faire correspondre avec intelligence ce qui est en bas avec ce qui est en haut, comme le suggérait la Table d’Émeraude d'Hermès Trismégiste. Ainsi naissait aussi le quadruple principe, véritable chemin de l'initiation s'inscrivant sur la face des quatre piliers vivants du Temple de Salomon, quatre verbes agissants sur cette voie initiatique sacrée : Savoir, Vouloir, Oser, et se Taire...
D'où viennent ces principes ? De quelle vérité intérieure sommes-nous certains d'en concevoir la réalité objective ? Notre volonté à comprendre par l'intellect suffit elle à capter la connaissance du monde et son essence ? N’existe-t-il pas d’autres sources que celles que nous captons habituellement par nos sens communs ? Ces questions existentielles sont à la base de la métaphysique et de l’ésotérisme dès lors qu’on en aborde les sujets, de par l’intellect pur ou par des détours de la pensée qui nous suggèrent que viennent les réponses à la fois de notre for intérieur mais aussi d’un extérieur qui pourtant nous appartient également, c’est ici le paradoxe de la pensée, de laquelle nous ne savons jamais si elle germe en nous de notre propre chef et de l’apport dynamique de notre expérience, ou si certaines graines ont été semées en nous pour faire croître ce désir d‘apprendre et d’évoluer. Et dans ce cas qui est le semeur ? La doctrine ésotérique, la gnose, nous enseigne qu’il existe d’autres dimensions plus subtiles de nous-mêmes qui ne nous sont pas directement accessibles, ni par l’intellect ni par les sens physiques, qu’elles interagissent néanmoins à chaque instant durant nos expérimentations terrestres, c’est-à-dire dans le rapport privilégier à la matière que nous avons de par notre incarnation, de par notre incorporation dans cette même matière pour en tirer des leçons et en ressentir la véritable et essentielle teneur.
Une autre importante révélation ésotérique nous explique très clairement pourquoi nous n’avons plus accès immédiat à la complète intégrité de notre « être » : justement à cause de cette incorporation dans la matière, laquelle, d’une certaine façon imagée, a largement brouillé notre gamme personnelle de fréquence vibratoire pour ne laisser percevoir que les notes les plus basses en filtrant celles qui vibrent plus rapidement et en les rendant inaudibles à nos propres sens. Expérimenter la matière dans un corps ici-bas serait donc un peu comme revêtir un lourd scaphandre pour sortir de chez soi, avec les quelques inconvénients qu’impose cette panoplie, ceux d’être évidemment bien moins à l’aise pour se mouvoir, pour communiquer facilement ou bien pour percevoir clairement l’environnement immédiat à travers le casque hermétique et sa visière déformante. L’on retrouve d’ailleurs cette vision des choses dans notre propre filtre personnel, celui de l’Ego incarné, notre « scaphandre » qui écarte toute objectivité en faisant sienne une réalité totalement tronquée et déformée par sa petitesse vissée à la lourdeur d’une matière qu‘il doit animer tout en la portant.
Si « l’être véritable », celui que nous sommes tous, plus complet et intégral, se trouve ainsi diminué par un tel processus d’incarnation, alors quel est donc l’intérêt d’une telle épreuve apparemment si réductrice ? La Vérité pourra paraître plus simple qu’elle pourrait l’être en cherchant trop loin si l’on conçoit très logiquement qu’il suffit à un autre niveau basique de se poser la question suivante qui utilise encore une fois l’image précédente : pourquoi les hommes revêtent-t-ils des scaphandres ? La réponse est évidente : pour explorer un environnement difficile ou hostile de manière plus accessible... C’est exactement la même réponse, notre « être intégral » s’est incarné dans un « costume corporel » pour explorer la matière et sa gamme de fréquences trop lourdes et trop basses pour lui, c’est d’ailleurs une expérimentation d’intégration « in vivo » dans la matière. Pour comprendre et percevoir le principe vital, rien de mieux que d’en expérimenter plus directement l’essence même, c’est-à-dire devenir un « être vivant » intégré dans une dimension basse en laissant derrière soi, momentanément le temps d‘une courte vie, sa propre stature multidimensionnelle et intemporelle.
L’intérêt de cette expérience « de vie » réside aussi dans sa captation ressentie de la notion restreinte d’Espace et de Temps, ce qui ne serait absolument pas possible dans la dimension supérieure purement éthérique dont nous sommes issus, car comment percevoir et comprendre le Temps et ses petites déclinaisons si l’on vient d’une contrée où n’existe qu’une temporalité absolue et infinie, idem pour un espace de dimensions infinies... Et ajoutons l’entropie, là où existe le Temps et la Matière alors celle-ci dégrade son énergie informationnelle, ce qu’il est strictement impossible de percevoir dans une dimension où l’immanence absolue est une règle, où tout coexiste sans temporalité spécifique ni perte d‘information car tout « est » et demeure comme un Tout. Bien entendu, la partie humaine et terrestre n’a aucune idée précise et nette, de par sa petitesse géométrisée, de toute l’étendue de ce qui lui est pourtant néanmoins propre, situé bien au-dessus, dimensionnellement parlant. L’Homme n’y voit, à son strict niveau logique, qu’une perte de mémoire qui n’est autre qu’une perte informationnelle de sa propre notion d’existence supra dimensionnelle. Il en résulte une totale incompréhension, toute relative, de sa vraie nature supérieure qui est bien présente mais inaccessible à son intellect et à ses capacités de perception.
Là où nous pensons ici-bas vivre une expérience de vie qui nous apportera quelque chose de consubstantiel à notre nature terrestre, finalement c’est l’inverse, nous sommes le produit expérimental de notre nature supérieure qui s’instruit de notre basse nature dans une situation dimensionnelle restreinte pour en capter les éléments simplifiés là où il est possible de les vérifier, en les vivant. L’ésotérisme nous apprend cette Vérité qui s’apparente à un terrible secret, le plus grand qui existe puisqu’il nous révèle que notre réalité n’est que le reflet appauvri et très basique d’une « sur-réalité » à laquelle nous faisons aussi partie mais dont nous ne pouvons pas avoir conscience en l’état au niveau d’incorporation qui est le nôtre, du moins en partie inférieure de nous-mêmes... C’est de l’idée même de cette Vérité que nait le passage vers l‘éveil, celui de l’initié qui sait surmonter tous les obstacles terrestres puisqu’il fait sienne cette notion d’une Réalité plus grande dont il fait partie intégrante sans pour autant pouvoir en prouver l’existence supérieure, l’on dit alors qu’il doit y « croire » pour se la représenter, il en acquiert ce que les croyants appellent la foi et que les profanes ne reconnaissent pas comme une vérité cardinale, à leur niveau dimensionnel terrestre...
Serez-vous, vous aussi, un initié pour savoir prendre la liberté qui vous est offerte d’y croire ? Maintenant que vous savez, cela ne tient qu’à votre moi terrestre de lever les yeux de l’esprit vers qui vous êtes réellement pour tenter de capter cette voix intérieure qui parfois murmure votre propre Vérité, ce savoir secret pourtant présent en vous, cet autre vous-même qui vous apporte l’inspiration intellectuelle, la volonté d’aller de l’avant, le désir d’oser ce qui semblait impossible, et ce choix de parfois rigoureusement taire ce secret afin de ne pas contourner les règles de l’expérimentateur, lequel n’est autre que vous, dans une dimension supérieure à celle que vous vivez. Pour l’Année 2022 qui se présente, soyez ouvert à votre propre destiné, découvrez les possibilités qui s’offrent à vous pour dépasser vos limites et retrouver la part cachée qui vous appartient, n’hésitez pas à me joindre par téléphone ou bien sur mon site (voir les informations de ma bannière ci-dessous), à très bientôt, en vous souhaitant une excellente nouvelle année, surprenante et bénéfique !
Jean-Pascal Bruno, chaman professionnel
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