effondrement du systeme

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Comme une suite logique au "rôle ésotérique de l’inconscient" (article précédent) où l’humain était principalement sur la sellette, un autre domaine déchaîne actuellement l’actualité avec l’apparition presque soudaine et brutale de technologies liées à l’intelligence artificielle (I.A) dont on ne saurait pas encore apprécier toute l’ampleur de cette rupture à la fois technologique s’il en est mais aussi et surtout toute l’ambiguïté de cette intrusion digne d’un véritable changement de paradigme anthropomorphique, en d’autres mots : l’I.A va-t-elle révolutionner le quotidien de l’humain et d’une certaine façon, comme toute révolution, couper "quelques" têtes au passage ? Il s’agit bien ici non plus d’inconscient mais de la conscience que l’humain se trouve à la croisée des chemins, entre celui de son propre asservissement et celui de l’asservissement par le progrès technologique qu’il aura lui-même généré et dont il devra se soumettre sous l’égide de la raison pure (en silicium) et de l’algorithme ROI (entendre "retour sur investissement") sensé apporter conjointement le bénéfice d’une croissance démultipliée à moindre coût, non pas de l’intelligence, mais du profit assurément libéralisé par la très haute vitesse de calcul et par la rigueur d’une apparente imparable logique mathématique devenue aujourd’hui impérieuse et pleinement mature pour s’imposer à tous.

L’on sent déjà comme un certain malaise dans cette première approche d’introduction qui pose une bonne partie des problématiques en devenir, celles que l’I.A va engendrer, non seulement au niveau individuel mais aussi forcément plus largement au niveau sociétal dans le sens où une substitution, même seulement minime ou plus élargie, voulue ou contrainte, de l’intelligence humaine au sein de ses activités créatrices et décisionnaires les plus nobles, aura certainement d’incommensurables conséquences directement visibles et d’autres plus cachées, pour ne pas dire plus sournoises et potentiellement très dangereuses dans cette appropriation qui s’apparente assez à une réelle et probable expropriation de l’intellect, ceci indifférenciamment à court, moyen et long terme si l’on n’y prend pas garde. En effet, comment doit-on percevoir une horde d’entités électroniques qui s’immiscent partout, dans tous les appareils du quotidien par le puçage systématique en 5G, dans toutes les applications informatiques usuelles et dans tout l’espace conversationnel et social d’internet ? Sans aucun doute comme une sorte de dictature globalisée, de "big brother" universel ou d’hyper-manager de nos vies et, par transition, de nos esprits ainsi parasités sans cesse dans leur libre arbitre de choix de penser par eux-mêmes, ceci en tout temps et en tous lieux, réels, imaginaires ou virtuels…

Mais le problème ne réside pas uniquement dans l’envahissement complet de cette technologie artificielle, qu’elle s’appelle ChatGPT (la plus connue actuellement) ou Midjourney (création d’images), ou bien d’autres, car il en viendra encore des légions voulant aussi penser, décider ou créer à notre place. Non, l’aspect invasif n’est avant tout que le danger le plus visible et direct, la première vague d’invasion numérique "intellectuelle", la suivante, laquelle plus en profondeur et sensiblement éloignée touchera progressivement notre si souveraine volonté d’agir et de penser, nous poussera vers un très paresseux asservissement dont on a déjà pu constater les dégâts initiaux dans l’appropriation du temps de vie par les smartphones, devenus compagnons invétérés (appelés improprement "assistants numériques") de nos espaces mentaux prisonniers par ces objets déjà extrêmement gourmands en temps de cerveaux disponibles et en temps de vie sociale, de véritables ogres se nourrissant de ceux qui les portent en abandonnant toute attention à la réalité qui les entoure.

Ainsi, c’est dans un plus grand déphasage encore de notre perception de la réalité que nous avons à craindre le pire, celui de ne plus faire la différence entre le faux numérique que l’on nous dira véridique sous l’impulsion répétée et continuelle d’intelligences artificielles nous inculquant la seule et unique Parole de Vérité accompagnée d’une nouvelle vision corrigée par une "réalité numérisée". Une de ces nouvelles mais fausses réalités parallèles, bien formatées et absolument conformes aux derniers algorithmes logiques mis à jour par d’ultra rapides automatismes compulsifs dont nous ne saurons strictement plus rien, ni de qui ou de quoi il en retourne exactement pour tenter de les corriger ou même de les endiguer. Personne ne sera plus responsable de rien, le système le sera mais personne ne pourra plus s’en passer, un système devenu intégralement totalitaire, régi par une myriade d’intelligences artificielles intriquées, devenues "too big to fail" (trop gros pour tomber) comme on le dit déjà couramment du système financier lui-même actuellement au bord du gouffre de sa propre démesure, lui-même aussi déjà sous l’emprise d’algorithmes totalement fous.

C’est donc bien l’Humain que l’on cherchera ainsi indirectement à "mettre à jour" de cette manière artificielle, une sorte de lente mais imparable involution pour ne pas dire d’emblée qu’il s’agira plutôt d’une impitoyable "mise hors jeu", celle de l’ensemble d’une humanité devenue ainsi encore plus asservie par ce processus de numérisation accélérée, une humanité sans plus aucune volonté réellement sienne, sans conscience de ce qui lui arrive véritablement, se retrouvant naïvement en grande partie sur la pente de la dépossession de son intellect, sur celle de la disparition de l’intégrité de ses choix et de son propre esprit critique, ainsi de manière transitive spoliée de toutes ses aspirations créatrices désormais dans d’autres "mains", celles finalement d’entités totalement invisibles à nos sens, car immatérielles, donc assurément non-humaines et pourtant en charge du destin de l’Humanité par ce type d’inepte procuration. De là à passer le cap de l’intégration de l’I.A directement logée dans le cerveau via une puce mise en réseau il n’y a pas loin, et sans devoir tous les citer nous connaissons bien ceux qui promulguent cette fantastique "avancée technologique majeure", ils sont très bizarrement tous milliardaires et d’invétérés partisans des décisions proposées par le Forum Economique Mondial de Davos : Musk, Bezos, Gates ou Schwab, tous des inconditionnels de la mise à jour de l’humain par une numérisation intégrale en vertu d’un nouvel ordre mondial, tous des transhumanistes en pleine puissance de leur folie qu’ils voudraient contagieuse comme une maladie technologique dont les commandes leur reviendraient presque légitimement une fois leur acte de piété accompli…

Hélas pour eux, le monde n’est pas peuplé de fous à leur image et les dangers de la numérisation du monde sont aujourd’hui pleinement visibles par la grande majorité des individus avertis, certes encore soumis à la technologie environnante mais assurément peu enclins à se cloner corps et âme pour mieux être contrôlés par des détenteurs de multinationales pervers ou par des états mafieux à leur solde. Même si une certaine hybridation de nos activités a déjà eu lieu avec l’arrivée du "numérique pratique", tels les ordinateurs individuels dont on peut encore s’assurer qu’ils restent des outils "à leur place" pour un certain temps en étant néanmoins très prudents des contenus qu’on y installe, il est plus que probable que le passage de l’humain à l’esclave-cyborg ne se fasse pas du jour au lendemain sans heurt ni contestation planétaire de cet "ordre nouveau" dont plus personne ne veut. Sachons enfin aussi bien faire la différence, entre les propos lisses et sans envergures des I.A compulsives de datas recrachées sans conscience du sens réel des mots, et les esprits critiques et cultivés issus d’humains libres d’expressions originales assises sur des "réalités sensibles" dont justement les I.A sont démunies par la nature même de leur composition artificielle. Une IA n’a aucune conscience d’elle-même, elle ne fait que simuler l’intelligence humaine via des algorithmes créés par des humains, en ce sens ici aussi c’est précisément à ces humains, programmeurs de ces I.A, qu’il faudra demander des comptes, qu’il faudra peut-être en passer par couper net dans le fameux "code source", à défaut de couper des têtes mal faites ou dévoyées !

Ainsi l’I.A n’est finalement qu’un "artifice artificiel", un gadget usurpateur, un paradoxal non-sens logique, il demeure strictement borné par ses propres limites algorithmiques, par le choix insidieux et impropre de ses datas, par conséquent il n’a aucune légitimité à nous apprendre, ni à être libre, ni à penser, ni à créer notre devenir ! Les initiés, ouverts d’esprits, l’auront parfaitement compris et même anticipé : l'I.A est un golem sans âme ni esprit, ni aucune autorité.

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel
 

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La baisse des ventes, la baisse du pouvoir d'achat, la baisse de la croissance, la perte de PIB ainsi que toutes les difficultés liées à notre époque, et qui pourraient se résumer à une escalade ou cascade de crises économiques, sanitaires, financières ou politiques, ne peuvent qu'aboutir pour les professionnels de tous les secteurs à une baisse visible du Chiffre d'Affaires (C.A). Qui est vraiment concerné ? Cette question, ce serait presque bien plus simple de la poser à l'inverse : à qui profitent les crises ? Il semblerait que les grands groupes soient relativement encore à l'abri à cette heure car ils disposeraient de liquidités pour amortir la chute et compenser leur manque à gagner par des outils classiques de marketing, par une juteuse prédation sur les plus petits acteurs et par un solide réseau pour les épauler, mais jusqu'à quand pourront-ils encore jouer leurs jokers dans cette partie qui s'avère longue et complexe à anticiper, à la fois comme un mélange savant de poker menteur et de jeu d'échecs sur plusieurs niveaux ? De plus, et nous le savons, plus une entreprise est imposante et plus elle s'apparente à un lourd mastodonte dont chaque mouvement coordonné demande une grande énergie et du temps pour se réaliser : c'est ici le point faible d'une réactivité lente et difficile à mettre en place sur l'ensemble des équipes et filiales… Mais là où justement ces grandes entreprises ressemblent à de monstrueux dinosaures, certes puissantes comme des T-Rex, les PME ou TPE qui sont plus réactives et rapides dans leurs décisions peuvent encore agir bien plus facilement et même se mettre à couvert pour ne pas recevoir la pluie de crises météoritiques pouvant exterminer les plus imposantes de ces créatures économiques !

Que vous soyez commerçant, entrepreneur, négociant, petit industriel ou créateur d'entreprise, vous êtes chanceux, vous êtes à votre niveau en mesure de réagir rapidement pour vous adapter aux crises actuelles mais aussi et surtout aux prochaines grosses catastrophes à venir qui laisseront la plupart de ces mastodontes sur le carreau là où vous pourrez, pour une fois, gagner face à ces prédateurs trop gros pour s'adapter, trop lourds pour avancer, trop peu résiliants pour se reconstruire. Il y a donc une aubaine, d'une certaine façon, à connaître les bons moments pour intervenir et pour savoir comment profiter de la chute de ces monstres économiques sans être aucunement entraîné dans leur sillage en ayant les bonnes informations et la bonne attitude sereine face à ces effondrements prochains. Non, ceci n'est pas une aberration économique que de penser que demain matin les grands groupes côtés en bourse s'effondreront assurément comme des châteaux de cartes, c'est aussi un autre de leur terrible point faible que de devoir restituer en plus une grande partie de leurs bénéfices à des actionnaires voraces et complètement indifférents de qui leur vient le profit attendu, surtout quand il n'y aura plus du tout de marge de croissance pour eux et que les seuls bénéfices iront avant tout combler l'outil industriel et commercial ou bien les failles systémiques de management interne pour que l'édifice reste encore debout quelque temps avant de s'écrouler implacablement.

Ceux qui ne résisteront pas seront aussi ceux qui n'auront pas su anticiper la chute de ces grands groupes, ils seront finalement engloutis en pensant être protégés par la proximité économique et commerciale qu'ils entretiennent avec eux, ils ne verront pas qu'ils seront les premières victimes pour nourrir les plus gros, affamés par les difficultés et qui feront de leurs partenaires et sous-traitants de véritables zombies à leur solde avant de les absorber complètement. Par conséquent, il est déjà temps de s'écarter très rapidement et au loin de ces multinationales dont le sort est déjà scellé. En temps normal de croissance une petite entreprise ayant un contrat avec une plus grosse s'assure de confortables et réguliers revenus, en temps de crises, voire d'effondrement, c'est strictement l'inverse, les petites entreprises se font encore plus phagocyter leurs marges par les plus grosses jusqu'au point de rupture où il ne reste que l'écorce sèche d'un fruit dont le jus a été entièrement siphonné jusqu'à la dernière goutte… Ne soyez pas ces victimes désignées par avance, fuyez dès aujourd'hui les contrats autoritaires dont vous serez esclaves dans un premier temps puis les zombies le lendemain sans aucun espoir de vous relever car absolument toutes vos ressources vives auront été puisées par ces entreprises prédatrices. La "main du marché", c'est avant tout celle du plus fort et du plus gros, c'est la loi de la jungle économique libérale qui permet au plus grand d'écraser le plus petit dans un concert d'applaudissement général au cri victorieux de la mondialisation… Donc, il est temps de vous éloigner des partenaires mastodontes d'hier qui seront implacablement vos bourreaux dès demain matin pour racheter le reste de vos actifs pour un euro symbolique, ceci n'est pas une prédiction hasardeuse, c'est au contraire la réalité du moment, et celle qui sera encore plus évidente d'ici peu !

Savoir qu'il faut se détacher de partenaires commerciaux toxiques est une chose, mais savoir le faire en est une autre, de même, trouver le bon moment pour le faire reste la clef de toute cet échappatoire salutaire et légitime. Dans un premier temps il est clair qu'il faut évaluer les véritables risques, identifier les bons des mauvais partenaires, créer d'autres types de relations commerciales et financières avec d'autres entrepreneurs tout aussi réactifs et visionnaires que vous-mêmes. C'est en déplaçant intelligemment le curseur qui vous permet de vous éloigner des entreprises toxiques et prédatrices que vous trouverez celles qui sont à votre niveau les plus fiables et les plus résilientes pour évoluer avec vous sans risque économique. Mais là où le véritable secret d'une action réussie réside dans l'instant précis où l'on s'y investit, hélas personne ou bien très peu d'experts véritables seront en capacité de vous aider, d'une part car ils auront tous ou presque été captés pour les meilleurs d'entre eux par les grosses entreprises, d'autre part car leur disponibilité et leur écoute seront proportionnelles au coût que vous voudrez bien leur accorder, ce qui dans bien des cas dépassera largement les moyens des TPE et PME ou celles des entrepreneurs individuels. Avoir affaire à des experts financiers ou commerciaux c'est entrer aussi dans le monde du jeu du parasitage de sa propre entreprise par une agence de consultants dont il est impossible ensuite de se séparer une fois qu'ils sont dans le secret de vos arcanes, d'autant plus qu'ils sont aussi et surtout souvent les mêmes consultants pour les plus grosses entreprises qui profitent ainsi indirectement d'informations fiables en retour pour mieux vous dévorer de l'intérieur. Les consultants sont donc à fuir à tout prix, ils sont les premiers à vous trahir au profit de leurs plus gros clients avec lesquels ils pourront effectuer des transferts d'informations sur votre dos en s'applaudissant en concert de vous avoir tant berné car vous serez le produit qu'ils auront pu vendre au plus offrant…

Alors que faire et comment opérer dans ces situations souvent inextricables pour l'entrepreneur que vous êtes et qui cherche des issues fiables afin de passer ce prochain terrible cap d'un effondrement généralisé et proche qui arrive à grands pas, peut-être d'ici demain matin ou après-demain ? N'attendez surtout pas si après avoir lu ces quelques lignes certaines vérités en sont émergées pour vous faire prendre pleinement conscience du réel danger de ne rien tenter, de ne rien changer et de rester dans la même direction vers laquelle tant seront broyés demain pour n'avoir pas su anticiper et prendre les décisions de rupture et de résilience économiques qui s'imposent aujourd'hui. Pour ma part j'ai hélas cette capacité à prévoir et à entrevoir ce qui demain va arriver, bien entendu mes compétences sont autres, elles ne se recoupent pas avec celles du consultant d'entreprise en agence de communication, je n'appartiens pas à ce monde et j'en suis fier car la réalité de nos actions et de ce que nous entreprenons peut être perçu sous un autre jour, sous celui de l'initié, non pas du délit d'initié mais de celui qui porte en lui un don puisque mon activité de chaman professionnel en exercice m'apporte cette difficile capacité d'aider ceux qui me demandent de les orienter, notamment dans les domaines économiques et commerciaux qui sont les leurs. Alors, je ne cherche à convaincre personne par un simple texte sur un blog mais je cherche à sauver ces véritables entrepreneurs français au bord du gouffre afin qu'ils ne soient pas eux aussi demain broyés par le système et les victimes de la chute de ce même système, vous pouvez surmonter ces crises, vous pouvez les anticiper et pour ce faire je peux vous y aider efficacement !

Contactez-moi dès aujourd'hui pour en discuter ensemble et commencer à définir ce qui demain va sauver votre entreprise et lui donner cette vision anticipatrice pour résister aux crises successives à venir ainsi qu'à l'effondrement du système tel que nous le connaissons aujourd'hui. Vous pouvez me joindre par téléphone ou par écrit via mes coordonnées sur ma bannière de site ci-dessous, je vous dis à très bientôt pour agir au meilleur moment et dans la meilleure direction dans votre domaine d'activité professionnelle !

Jean-Pascal Bruno, chaman professionnel
 

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