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Blog chaman ésotérisme

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Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

sigmund freud

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

En matière de conscience, de psychologie ou de thérapie, l’hypnose a tenu une place à la fois à la marge du dogme médical officiel et pourtant est aujourd’hui parfaitement intégrée à l’ensemble des questionnements concernant l’humain et à sa spécificité de pouvoir interagir avec son environnement et avec autrui, spécificité d’un animal certes évolué, pensant et construisant sa propre réalité intérieure pour la redéfinir et en créer un "persona", c’est-à-dire un individu faisant face à une société multiculturelle complexe dans laquelle il se fonde ou tente de le faire. L’hypnose, qui n’est autre en soi qu’un "état modifié  de conscience", devient de ce fait un précieux lien non seulement à étudier mais aussi à pratiquer sous de bien diverses formes car elle se cache là où parfois on ne l’attend pas, ainsi, par l’hypnose l’homme retrouve son animalité basique, celle de la vérité qu’exprime directement son corps, et par conséquent elle permet d’évacuer le filtre de l’Ego (et de ses douloureux "problèmes narcissiques"), cet impérieux esprit toujours raisonnant qui se trouve sans cesse consciemment perturbé par ses propres analyses intérieures très souvent exagérées, dénaturées ou complètement inventées dans des souvenirs pour la plupart en grande partie reconstruits de toutes pièces…

Mais tout d’abord, je pense que pour comprendre ce qu’est l’hypnose il faut en revenir très rapidement à son histoire, laquelle est relativement récente dans un cadre thérapeutique formel, notamment au sein de la naissance de la psychanalyse, pour mieux s’en séparer ultérieurement… Le premier qui posera le fondement de ce que deviendra l’hypnose est Franz Anton MESMER à la fin du XVIIe siècle qui théorisera le magnétisme (ou fluide animal) dont il tentera de comprendre les mécanismes en posant le postulat que c’est le fluide (ou magnétisme) du praticien qui soigne le patient, du moins "qui peut agir sur sa guérison". Il aura de nombreux détracteurs non seulement parmi ses confrères mais aussi de la part des autorités religieuses et politiques qui y verront du charlatanisme là où au contraire MESMER voulait en cette époque des Lumières apporter un éclairage scientifique pour réfuter toutes autres formes d’obscurantisme et de superstitions, de ce fait il restera comme le précurseur de l’hypnose et d’une certaine relation "psychothérapeutique" entre praticien et patient, même si le terme n’existait pas encore.

C’est à un médecin français exerçant à La Salpétrière au XIXe siècle, Jean-Martin CHARCOT que reviendra l’initiative de soigner en milieu hospitalier les cas d’hystérie par la suggestion et donc par des moyens d’induction de transe hypnotique; par la suite son confrère, le médecin-neurologue Hippolyte BERNHEIM, étendra sa propre méthodologie de l’hypnose dans un premier temps pour ensuite s’en éloigner et définir la psychothérapie qui selon lui est une forme de suggestion sans utiliser l’état de veille induit par l’hypnose, ainsi était presque sur le point de naitre la psychanalyse, sachant que Sigmund FREUD aura été un très court temps son élève… Pour mémoire, fait important concernant H. BERNHEIM, il est le découvreur de "l’effet placebo" (1), ce qui sera ici grandement utile afin de comprendre "l’influence" du thérapeute dans le fonctionnement mental du patient, ce qui va nous servir pour comprendre aussi bien plus précisément le phénomène de l’induction hypnotique et des rapports réciproques complexes entre patient et praticien (transfert / contre-transfert)… Sans vouloir alourdir de longs propos historiques avec toutes les différentes écoles et autres thérapies, écoles de Nancy, de Palo Alto, PNL et "modèles VAKOG" (2), le nom de Milton ERICKSON, fondateur de l’hypnose thérapeutique, ne pourra bien évidemment pas être omis, il en sera donc question dans l’analyse qui suit.

En ce qui concerne nos fondamentaux, hypnose, psychothérapie et chamanisme, notons quels sont finalement les "liens essentiels" qui les unissent dans leurs pratiques respectives : le corps, l’esprit et "la personne" (son conscient, inconscient et autres "subtilités freudiennes"). C’est grâce au regard expert de deux psychothérapeutes français, François ROUSTANG et Bernard SENSFELDER, lesquels se sont résolument rapprochés de l’hypnose thérapeutique à leur manière, que j’ai pu discerner plus précisément ces liens essentiels sous la forme des prises de position exposées en détail dans leurs ouvrages respectifs (3) très pertinents. Tous deux sont, à raison et en s’expliquant clairement, extrêmement critiques concernant à la fois FREUD et ERICKSON tout en leur rendant la très légitime importance historique qu’ils ont pu avoir mais qui aujourd’hui se doit d’être "mise à jour" sous un angle différent qu’il convient de préciser pour chacun d’entre eux, et par conséquent, pour mieux comprendre nos "liens essentiels" de manière encore plus éclairante.

FREUD a pratiqué un temps l’hypnotisme mais a très vite construit sa propre méthodologie sous la forme de la psychanalyse, c’est-à-dire en soignant les maux par la parole du patient qui ainsi "exorcisait" par cette expression sortie de son inconscient le ressenti refoulé d’un évènement douloureux encore actif. De ce fait c’est par l’entremise du praticien que s’exerce cette résurgence, laquelle étant mise en lumière consciente par le patient s’en voit explicitée à des fins de résolution. Ce serait, selon François ROUSTANG et Bernard SENSFELDER, sans compter sur l’effet du transfert et du contre-transfert, c’est-à-dire des relations réciproques d’influences et autres inductions entre le patient et le praticien qui viendraient d’une certaine façon évidente parasiter la thérapie, à un tel point que ces interférences pourraient a fortiori induire de grandes erreurs d’analyse de part et d’autre, voire fausser l’ensemble de la méthode. C’est ici, évidemment, un extrême raccourci des centaines de pages des écrits des auteurs mais la finalité du propos n’en est pas moindre. De même pour Milton ERICKSON, utilisant l’hypnose comme l’impérieux "moyen du praticien" pour imposer le soin qu’il aura su discerner par sa propre analyse savante, privant ainsi directement (et secrètement) le patient de sa propre responsabilité dans le choix volontaire de se guérir (puisqu’il en aura été dépouillé par la seule volonté du praticien)… Selon Milton ERICKSON : "la fin (des maux) justifie les moyens (de suggestion hypnotique)", ce qui pose un problème évident d’éthique quant à la méthode utilisée qui ne respecte pas le patient, même s’il guérit sans comprendre ni pourquoi, ni comment et sans son aval quant au processus réel utilisé…

Nos deux thérapeutes français préconisent pour leur part une méthodologie beaucoup moins invasive basée sur une induction hypnotique relativement différente où le praticien se rend presque invisible dans son propre discours tout en laissant au patient sa propre et seule responsabilité curative en passant d’abord par le ressenti de son corps, seul maitre réel des maux dont par la suite ceux-ci seront "conscientisés". La théorie des trois cerveaux du neurologue psychologue Antonio DAMASIO est ici évoquée longuement par Bernard SENSFELDER, elle définit scientifiquement que "le corps est au fondement de l’esprit conscient", c’est-à-dire que le corps est précurseur des maux, lesquels sont traduits en sensations, puis en émotions selon des strates cervicales successives allant du cervelet (cerveau "reptilien"), en passant par le cerveau limbique pour finir son chemin sur le néocortex, siège de la pensée dite consciente. C’est donc, d’une certaine façon au patient de s’autohypnotiser, d’entrer dans une transe hypnotique lui permettant de faire remonter du plus profond du corps ses maux afin de s’en saisir et de les inhiber volontairement par cette méthode où le libre arbitre de haut niveau est seul juge.

Loin de FREUD "qui suggère" fortement par son discours extérieur incursif (induisant des transferts parasites), loin d’ERICKSON "qui impose" sans aucune éthique sa seule volonté de thérapeute (dépouillant le patient de sa propre volonté de guérison), François ROUSTANG et Bernard SENSFELDER disposent d’une méthodologie saine utilisant l’induction hypnotique qui se rapproche de la spiritualité du chaman, lequel va laisser la volonté du demandeur décider d’utiliser l’essence même qui est en lui pour trouver les ressources (son énergie vitale) via l’aide discrète du praticien qui n’est que l’outil, le catalyseur ou le médium de la résolution du problème à finaliser. La résolution est ainsi la captation de l’instant, la captation des sens du corps ou d’un sixième sens qui apporte l’ultime et radicale information pour trouver la porte, le chemin, le catalyseur hypnotique pour soi-même ou en qualité de thérapeute aidant qui en fait ici don mais ne l’impose pas.  Le maitre mot thérapeutique est qu’il faut savoir remettre la pensée au corps. Pour François ROUSTANG : "le thérapeute doit s’effacer face au thérapisant", il s’en imprègne, le capte et le ressent. L’état hypnotique s’obtient par une attention soutenue qui provoque la confusion (du mental au bénéfice du corps pour un retour vers l’esprit conscientisé). Pour Bernard SENSFELDER : c’est le cerveau qui induit le mal-être et les problèmes, il faut un lâcher-prise, une libération et cesser de vouloir tout contrôler, il faut le "centrage" du corps (de ses sensations) en ralentissant la pensée, sa méthode "d’eïnothérapie" en est la résultante, une pratique d’hypnose qu’il a créée, la définissant par : il faut "Devenir qui nous sommes, plutôt que ce que nous voulons être".

Le mental étant le réceptacle des maux, réels, arrangés ou inventés, il faut surtout ne pas chercher à analyser logiquement directement par ce mental, c’est ici l’inverse de la pensée scientiste qui tend à subdiviser, à séparer chaque élément pour les décortiquer, ici on préfère avoir une vue d’ensemble, un recul englobant la situation pour mieux l’appréhender in extenso, de manière holistique en pleine conscience. La complexification de l’analyse des maux nuit indubitablement à la fluidité d’un ressenti plus unifié, global et presque de facto universel. Au même titre, lorsque le chaman induit de son côté cet état modifié de conscience en lui, il le donne et le transmet, tout comme le thérapeute discret dont la présence s’estompe jusqu’à devenir invisible en proposant l’auto-hypnose à son patient. N’oublions pas que le chaman est avant tout un "medicine man", qu’il reconnait le corps comme transmetteur primordial pour accéder à l’esprit, il en a été témoin dans sa propre quête où il s’est vu renaitre d’ultimes douleurs physiques dans son démembrement initiatique pour arriver à la plénitude de l’esprit assortie d’une forme de conscience universelle, ce qui définit l’essence même de la spiritualité et du respect de la vie en soi et pour autrui.

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

Note (1) : Un placebo ou placébo (du latin placebō : « je plairai », de placeō : « je plais ») est un procédé thérapeutique n'ayant pas d'efficacité propre ou spécifique mais agissant sur le patient par des mécanismes psychologiques et physiologiques. (Dixit Wikipédia)

Note (2) PNL et modèles VAKOG : La PNL, "Programmation neuro-linguistique" se présente comme l'étude des processus comportementaux acquis, considérés comme une Programmation Neurologique représentée par la Linguistique. S'intéressant exclusivement aux informations émises sans interpréter les causes, la PNL formalise des protocoles permettant l'exploration et l'évolution de ces structures comportementales. Le modèle dit des "canaux sensoriels" (ou VAKOG, acronyme pour : Visuel, Auditif, Kinesthésique, Olfactif, Gustatif) pose que la relation au monde extérieur passe nécessairement par au moins l’un des cinq sens. (Dixit Wikipédia)

Note (3) Livres de référence : pour François Roustang "La fin de la plainte", "Influence", "Il suffit d’un geste", et pour Bernard Sensfelder "Votre corps en sait plus que votre cerveau" et "Vaincre peur et culpabilité grâce à l'auto-hypnose et aux neurosciences".
 

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En ésotérisme opératif, tout comme en psychanalyse, il est des grands mystères du psychisme humain qu’il est nécessaire d’aborder pour concevoir l’existence vécue ou celle en devenir, c’est-à-dire pour anticiper un futur potentiellement harmonieux pour l’un ou entrevoir si possible une orientation positive de la destinée pour l’autre… En ce sens, vouloir connaître les arcanes secrets d’un individu (ou bien de soi-même) c’est finalement tenter de comprendre non seulement l’aspect conscient qui caractérise cet individu pour en définir activement sa personnalité, mais aussi avoir accès, d’une façon ou d’une autre, à ce que l’on appelle couramment son inconscient, cette sorte de boîte noire très peu accessible en temps normal. Ainsi, les séances de psychanalyse et les travaux de magie ont finalement une presque exacte et même fonction, celle d’entrer dans les méandres de cet inconscient, d’y trouver des signes, d’en interpréter les pistes tout en ayant, tant pour la psychanalyse que pour la magie et l’ésotérisme des terminologies différentes avec des moyens distincts mais des buts parfois identiques : résoudre des problématiques existentielles, un programme souvent long et complexe selon la profondeur du défi en question puisqu’il faudra aller creuser assez loin pour y accéder et en trouver l’essence cachée ainsi que son intrinsèque réelle signification. Les désirs, relations amoureuses ou interactions sociales et professionnelles ne représentent que la partie strictement visible de cet iceberg existentiel d’un apparent quotidien dont on cherche à mieux en comprendre les itinéraires probables sur l’océan de la vie et tenter ainsi d’éviter de trop douloureuses embûches en trouvant des solutions acceptables et constructives.

Mais finalement qu’est-ce donc que cet inconscient ? Une pure invention psychanalytique freudienne permettant de regrouper en un seul terme tout ce que l’on ne sait pas ? Ou bien est-ce une réalité de la psyché humaine dont personne n’ose vraiment parler tant cela dépasse l’entendement ? Les initiés ayant une certaine connaissance ésotérique pensent que Freud avait effectivement perçu une relative part d’ombre (entendre cachée) du psychisme humain en y voyant un côté sombre dans son "ça" du refoulement des pulsions basses et dans son plus lumineux "surmoi" juge de paix essayant de réguler ces mêmes pulsions. Dans ce schéma véritablement hermétique dans sa double symbolique du "bas" (des mauvaises pulsions) et du "haut" (d’une bonne éthique moraliste) Freud voit donc un inconscient dirigé par deux forces opposées dont l’une régule l’autre pour replacer l’individu sur une certaine ligne normative ou plus normale, de cette normalité spéculative qui écarterait par le refoulement les attitudes et pensées non conformes à la vie en société avec autrui (interdisant pour exemples probants : le meurtre, l’inceste, le viol, etc.). Notons surtout que toute la construction freudienne du psychisme tiendrait selon lui sur l’unique et essentielle pulsion sexuelle comme source principale de son processus… En magie l’on sait effectivement que la volonté, le désir et la sexualité sont des moteurs de l’existence avec néanmoins comme sources initiales plurielles celles des énergies, vitale et psychique, qui jouent conjointement un rôle dynamique dans l’évolution avec une autre part énergétique bien plus subtile placée sur un niveau supérieur non accessible et d’ordre karmique qui jouerait ce véritable rôle de régulation, ou plutôt un rôle d’orientation discrète de la destinée via un libre arbitre bien encadré et pleinement assumé en amont…

Là, où Freud ne veut et ne peut percevoir que la seule réalité dite visible de l’existence matérielle qu’avec une conception structurelle psychique et uniquement intérieure à l’individu (consciente et inconsciente), l’initié ajoute une dimension, certes ésotérique, située bien au-dessus de ce psychisme basiquement mécanique pour élargir l’individu à un moi-supérieur, non pas le surmoi freudien mais un moi en dehors de la conscience et dont l’inconscient ne serait qu’un intermédiaire agissant selon des règles karmiques issues de cette dimension supérieure non matérielle. En ce sens, encore une fois pour le citer dans cet article, C. G. Jung, autre psychanalyste précurseur et dissident de Freud, avait effectivement dépassé les premières notions de ce dernier en comprenant cette dimension cachée dont il exposa ces propres archétypes, ces synchronicités et finalement toute l’architecture complexe de la psychologie des profondeurs associée un inconscient collectif plus élevé et proche de cette dimension supérieure d’orientation karmique ou d’archives akashiques propres aux ésotéristes. Ainsi l’ouverture d’esprit de Jung et ses recherches l’ont poussé à concevoir et à nous présenter une méthode psychanalytique axée sur des horizons bien plus larges avec des notions que l’on retrouve assurément dans le domaine de la magie et des principes ésotériques généraux.

Si l’on conçoit que l’inconscient suit des règles non plus morales mais karmiques, alors les logiques purement matérialistes et terrestres ne s’appliquent plus uniquement dans notre réalité restreinte mais s’élaborent sur plusieurs niveaux, dont celui du moi supérieur guidé par ces règles karmiques encadrant l’ensemble du psychisme humain pour la réalisation de son évolution. L’on comprend alors d’autant mieux des concepts de "persona", "d’animus" et "d’anima" issus de la psychanalyse jungienne qui font finalement référence au choix "apparent" de la personnalité du moi supérieur qui s’exprime au niveau matériel terrestre via la sexualité et la différenciation des sexes, féminin et masculin, deux postures complémentaires de l’entité supérieure qui s’apparentent ici-bas à deux typologies sexuelles corporelles, l’homme et la femme. Les initiés ayant cette connaissance ésotérique des "deux mondes", savent que cette sorte de kénose (abaissement ou projection du niveau supérieur vers l’inférieur) implique par cette perte de niveau un choix, celui de l’orientation sexuelle unique (du moins physiquement en grande partie et psychiquement non proportionnellement partagée) et donc du choix de cette posture de "persona" dite sexuée, une personnalité qui s’exprimera socialement selon ce choix, par défaut et par réduction.

Les relations amoureuses, les désirs et par conséquent toutes les interactions sociales seront régies par ces règles (subtiles, invisibles ou inconscientes au sens basique de la psychanalyse) venues d’en haut dont très peu d’initiés en comprennent les tenants et les aboutissants mais dont la magie et les rituels apportent des solutions parfois d’une logique symbolique surpassant celle qui est en cours au niveau terrestre et qui n’est évidemment pas toujours bien comprise, voire plutôt rejetée d’emblée, par les profanes qui ne disposent pas de cette connaissance ésotérique. L’inconscient doit donc être abordé non comme une notion de pulsions et de morale qui s’y oppose mais comme la main invisible du moi supérieur qui guide ses propres choix sur un niveau inférieur avec des règles différentes, non plus morales ni strictement éthiques au sens où nous l’entendons mais au sens karmique qui s’élabore selon une autre logique dépassant la norme existentielle, une autre norme supra-logique souvent difficile à comprendre selon notre entendement terrestre mais parfaitement adapté à notre courte mission de vie ordonnée par notre entité ou moi supérieur qui en suit l’évolution et en guide discrètement la conduite. La logique supra-normale et symbolique des rituels de magie permet d’aborder cette autre dimension supérieure et d’en traduire les aspects les plus compréhensibles et concrètement utiles à notre "réalisation personnelle" en accord avec la volonté supérieure de notre entité guide.

De facto, les travaux de magie doivent s’entendre comme de très précieux auxiliaires d’évolution, comme des outils traducteurs supra-logiques et assurément révélateurs permettant de réconcilier le "haut et le bas", comme l’aurait dit Hermès Trismégiste, dans cette quête existentielle dont chacun un jour se pose la véritable et seule question importante du "sens réel de la vie"… Je reste, si besoin, à votre disposition pour trouver cette quête de sens ou pour répondre à vos questions existentielles sous l’angle ésotérique qui participe le mieux à votre évolution !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel
 

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