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Blog chaman ésotérisme

Blog chaman ésotérisme

Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

ego

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La plupart des initiés, s’ils ont néanmoins vraiment beaucoup d’expérience, peuvent pressentir avec une quasi-certitude si une relation amoureuse pourra encore durer ou bien sera dans l’obligation de se terminer dans des délais plus ou moins relativement courts. Il n’y a que très peu de place au hasard dans l’édifice d’une structure relationnelle aussi complexe que celle du couple et les évènements qui l’accompagnent ont toujours une source, des causes et des effets cumulés, ce qui en fait un ensemble à la fois chaotique et dynamique avec, tout comme le ferait une balance en équilibre au gré d’un fort vent, une multitude de possibilités, bénéfiques ou plus négatives pour la relation. Alors, comment comprendre ces processus, non pas sous l’angle de la psychologie mais sous celui, plus aigu, de l’ésotérisme et de ses vérités universelles ? Il faut dans ce cas forcément inclure des paramètres qui dépassent le seul entendement de notre niveau existentiel, c’est-à-dire entrer dans une sphère supérieure qui commande les mécanismes subtils d’attraction et de répulsion, les mêmes qui sont régis par de grandes lois ésotériques, dont celles qui instaurent notamment les liens karmiques entre individus.

Trop souvent le concept même de "relation karmique" est totalement méconnu, voire complètement rejeté par la grande majorité des gens, il en va de même des liens existentiels programmés ou des itinéraires fixés par des choix karmiques préexistants à toutes autres décisions prises à un moment donné ici-bas. Cet aspect, effectivement très difficile à concevoir et surtout à accepter, va en effet à l’encontre d’un concept qui nous est tous très cher : celui du libre arbitre, des choix que nous pensons être foncièrement les nôtres, ceux dont nous sommes certains qu’ils proviennent de notre propre réflexion intérieure, du mental qui nous caractérise. C’est justement sur ce point qu’il y a erreur quand on sait que notre mental, c’est-à-dire notre Ego intellectualisé, ne peut qu’entrevoir des évènements sur un chemin déjà tracé et non décider du but réel de sa propre existence car aucun individu, au sens de personnalité sur ce plan d’existence, ne peut s’auto-analyser "intégralement" étant donné qu’il n’est ici-bas qu’une partie de son être véritable, en d’autres mots : l’individu sur ce plan d’existence n’est pas complet, il ne peut donc pas "se penser" sans sa partie supérieure qui en a instruit les itinéraires et les capacités utiles pour "exister".

Il est bien question, ésotériquement parlant, d’un Homme Multiple, ou plutôt de ce que nous sommes, en qualité non consciente dans un contexte normal : un être démultiplié sur plusieurs dimensions, dont celle qui nous caractérise tout en bas comme "humain terrestre incarné". Il est évident que cette notion n’est ni simple à concevoir ni intuitivement ni intellectuellement, et encore moins à accepter comme une vérité primordiale, surtout pour notre Ego toujours fier de se croire à la fois performant, visionnaire dans toutes ses décisions et donc maître de sa propre destinée, ce qui en un sens ne serait pas faux s’il prenait en considération l’entièreté de sa propre dimension supérieure, laquelle décide véritablement de tout ou presque… Alors, une fois que l’on a bien intégré cette vérité (multidimensionnelle de l’Être) qui tend à vouloir nous échapper à chaque pensée que nous avons pourtant dans l’instant terrestre, commencer à anticiper la notion même de rencontres et de liens entre individus sous cet angle plus élevé et complexe relève de l’exercice ésotérique pur, de ce que les initiés véritables ne nomment pas "compréhension d’une quelconque vérité" mais qu’ils qualifient de "quête initiatique", et, une fois la notion acquise par cette démarche ésotérique, vient immédiatement "à l’esprit devenu plus ouvert" celles de ces fameux liens karmiques et de l’existence de ces lois universelles sur plusieurs niveaux existentiels.

Penser autrement le couple, les rencontres et les ruptures, c’est-à-dire les liens relationnels humains terrestres, sera sous cet angle plus ésotérique que l’initié aura acquis, à la fois une révélation que ce qui est simplement visible et compréhensible n’est que superficiel et que la réalité de certains évènements apparemment hasardeux ou fortuits ne sont finalement essentiellement que des itinéraires déjà bien tracés d’avance et bien définis à un niveau supérieur, à l’image, certes ici volontairement très caricaturale mais forcément de facto très explicite : celle de placer deux animaux dans une pièce fermée pour qu’ils se rencontrent, ou dans un labyrinthe clos où ils se croiseront forcément à force de déambuler… Évidemment, deux humains, pour former un couple, se verront quant à eux plutôt placés dans un "contexte événementiel spécifique", équivalent à un réceptacle spatio-temporel d’où ils ne pourront pas échapper à leur rencontre programmée… Ce qu’il adviendra par la suite aura aussi été parfaitement orchestré, car encore une fois le hasard tel que nous le concevons n’existe pas dans de telles configurations. Le profane comprendra mieux pourquoi les véritables initiés peuvent très facilement relativiser toutes les épreuves existentielles, dont les pires en les surmontant sans "état d’âme", puisque celles-ci auront été finalement préparées par leur propre volonté supérieure, comme tout un chacun expérimentera d’ailleurs ses propres épreuves, dont vous-mêmes qui lisez ces lignes.

Dans cette vision karmique de l’existence, à savoir que chaque évènement se produit ici-bas pour chacun d’entre nous puisqu’il a été défini qu’il devait se produire à titre d’expérience, nous sommes néanmoins dans ce labyrinthe de la vie avec quelques choix pour tourner dans une direction ou dans une autre mais toujours pour aboutir au même endroit, ce qui nous amène à coup sûr à la rencontre au détour du chemin en circuit fermé. L’image du labyrinthe est elle-même grandement ésotérique et très parlante une fois que l’on en a les clefs, si l’on fait partir deux personnes chacune d’un côté vers le seul chemin qui va au centre, alors le contexte de la rencontre se réalisera (tout en restant surprenant pour les intéressés qui ne savent pas qu’il sont sur la même "trame spatio-temporelle", labyrinthe existentiel…). Si l’on imagine maintenant, assez facilement, que la rencontre dans notre labyrinthe aboutit à ce que l’on appelle communément un couple, alors nous verrons déambuler ces deux personnes ensemble dans cette même trame existentielle pour expérimenter le chemin, en d’autres termes ils seront "ensemble dans la vie". Je vous laisse maintenant imaginer s’il a été prévu d’intégrer d’autres individualités, à dessein, pour en expérimenter les effets, et potentiellement il sera probable que des ruptures (orchestrées) puissent voir le jour ou bien qu'elles puissent être évitées, surmontées.

Le secret des rencontres, notamment amoureuses, demeure pour la grande majorité des profanes un mystère total, mais pas pour l’initié qui sait que par quelques savantes synchronicités qu’il pourra percevoir le contour des liens karmiques des uns et des autres. Parfois aussi, et même encore plus s’il est sorcier-chaman, il pourra accéder à un niveau de conscience lui permettant d’aller chercher l’information nécessaire, ou du moins en demander l’autorisation à des entités supérieures qui pourront, ou non, alors apporter quelques solutions et des éclairages sur le contexte existentiel de certaines personnes à aider. Ce que l’on appelle des travaux de magie consiste justement, via des rituels spécifiques, à contacter ces entités, ceci, toujours en accord avec les grandes lois ésotériques universelles, auquel cas rien ne pourra être divulgué. C’est, en qualité de sorcier-chaman exerçant depuis plusieurs décennies déjà, ce en quoi j’applique les principes durant mon activité professionnelle pour aider à mieux comprendre mais surtout à révéler, la quintessence réelle de la relation dans un couple, ou bien lors d’une rencontre à venir, et parfois aussi le sens d’une potentielle rupture. La vision du réel que nous avons tous ici-bas est toute relative car faussée par notre mental individualisé (Ego), mais la Réalité karmique de nos existences en qualité d’Être multidimensionnel est une Vérité ésotérique certaine. Être initié c’est savoir surmonter et dépasser son propre Ego pour emprunter le chemin de l'évolution.

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #égrégore, #relations amoureuses, #Ego, #vie de couple, #sphère étherique, #retour affectif, #pacte d'amour, #magie rouge

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J’ai déjà plusieurs fois longuement parlé de l’Ego et des divers problèmes que l’on peut lui attribuer en termes d’excès et de narcissisme, l’on sait pertinemment qu’une personne principalement dirigée par un Ego trop vorace ou puissant verra irrémédiablement son attitude vis-à-vis d’autrui dévier vers une sorte d’autoritarisme unilatéral teinté de dédain et d’un complexe de supériorité ne lui permettant paradoxalement pas d’obtenir de quiconque une relation viable sans recourir à la force de la persuasion ou à la menace. Dans ce sens notre époque encourage sans équivoque cet excès d’hybris (1), cette volonté ambigüe voire malsaine de faire pression sur autrui pour se satisfaire d’une situation provoquée et en tirer avantage, c’est, d’une certaine façon si l’on va plus loin dans le raisonnement, le propre du management et de ses méthodes de coercition, certes initialement à des fins "commerciales et professionnelles" mais tout de même issues des stratagèmes de contrôles inventés par le 3e Reich et les nazis (comme l’explique l’excellent livre de l’historien Johann Chapoutot : "Libres d'obéir : Le management, du nazisme à aujourd'hui"). Inversement, sans Ego, ou sans aucune volonté de mettre en avant une personnalité qui sait s’affirmer, l’individu gagne effectivement en empathie et en ouverture d’esprit mais se voit aussi directement visée et exclu par une société qui ne n’accepte que peu la tolérance et l’altruisme pour n’encourager que la compétition la plus extrême et la loi de la jungle sociale dans sa construction pyramidale, inégalitaire par principe…

Bien entendu, chacun sera libre d’exprimer son propre Ego selon ses règles dûment réfléchies et dans les contextes qui s’y prêtent véritablement pour ne pas finir esclave de toutes personnes croisées sur son chemin dans l’environnement socialement corrompu et dévoyé qui est le notre de nos jours, d’ailleurs, espérons tous que cette situation globale s’améliore un tant soit peu pour ne pas dépasser un point de non-retour où les peuples se retourneraient très violemment les uns contre les autres pour exercer leurs "Egos Collectifs", ce qui, pour les initiés, représente "l’égrégore des peuples", avec pour ceux-ci l’exercice de leurs penchants nationalistes, revendicateurs et souvent guerriers par nature et par obligation. L’avenir nous le dira bien plus tôt qu’attendu pour nous en prévenir ou nous y projeter… Mais pour l’heure d’autres combats plus modestes à notre échelle nous concernent, ceux qui, tout comme les agrégats spirituels le permettent dans une dimension plus éthérée, génèrent à leur niveau de petits "égrégores" (2), souvent fugaces ou éphémères, parfois plus durables si la volonté y est entretenue avec ferveur, il s’agit des "égrégores des couples", ils existent et disposent d’une activité à ne pas négliger, tant pour ceux qui en sont directement concernés que ceux qui côtoient d’assez près ces derniers dans leur entourage. Peut-on percevoir dans la création de cet "égrégore de couple" la mise en place d’une quelconque protection ou d’une force dont l’orientation serait originale ou unique ? Ce sont effectivement des pistes à suivre mais en ésotérisme il ne faut pas s’arrêter aux simples évidences.

Comment définir l’égrégore pour une personne profane qui n’en aurait jamais entendu parler ? Il n’est en effet pas facile d’expliquer l’invisible mais la meilleure définition serait à l’image des pensées que l’on ne voit pas non plus et qui auraient cette capacité à se regrouper dans un espace non matériel et symbolique mais actif dans ce sens où l’accumulation d’un certain type de pensées générées par un groupe pourrait par effet boomerang influencer mentalement d’autres personnes ou bien les rallier à une même cause. Le meilleur exemple se situe au Tibet où chaque année des centaines de milliers de moines se réunissent pour prier en même temps afin d’influencer positivement (via un la création d’un égrégore commun) l’ensemble de la planète afin de tenter d’en corriger les maux et ainsi de changer les mentalités pour contrebalancer et rééquilibrer le Bien et le Mal. Dans une moindre mesure et dans un contexte bien plus restreint les pensées d’un petit groupe de personnes ayant les mêmes objectifs auront d’une certaine façon leur égrégore spécifique rayonnant aussi depuis un lieu emblématique situé dans l’éther à un niveau dit "astral" assez bas. L’on pourrait aussi prendre comme image celle d’une vibration, comme un son sur une gamme de fréquences bien précises, qui se conjuguerait depuis plusieurs sources distinctes pour ensuite se renforcer en un point et ainsi s’amplifier pour rebondir vers d’autres directions et se faire entendre afin d’être imité en réaction en chaine dans le meilleur des cas. Pensées, sons et vibrations peuvent d’ailleurs parfaitement être associés dans un schéma dit vibratoire, la parole est elle-même une forme-pensée audible dans notre espace matériel, dans un autre registre approchant l’égrégore est aussi une forme-pensée dans un espace éthérique invisible.

Mais revenons à notre couple, peut-il à lui seul générer son égrégore spécifique pour d’une part s’auto-alimenter de ses propres pensées et ainsi vibrer sur la même fréquence, et d’autre part influencer via cet égrégore son entourage pour le rallier à "sa cause" (ici entendre : un schéma original de pensée) ? Le couple étant formé de deux individus ayant pou chacun un Ego bien défini, si ce couple s’accorde (terme vibratoire) alors leurs deux Ego iront de concert dans la même direction, c’est d’une certaine façon une reconnaissance de leurs similitudes d’esprit et de pensée, un actif en commun que l’on pourrait tout aussi bien appeler "l’Amour" en ce que cette entente est représentative d’un lien fort, d’une unique corde vibrant entre deux individus. L’on voit d’ailleurs aussi toute la proximité des mots dans cette "reliance" (3), dans cette relation pour faire plus simple, ici une relation de couple. Alors effectivement une relation puissante avec des pensées n’appartenant qu’à deux personnes au même moment et dans un contexte identique auront cette potentialité de créer un égrégore à leur image, ou plutôt à leur forme-pensée. Il est à bien noter que la plupart des couples ont leurs "habitus" (4) qui s’apparente en ésotérisme finalement à des rituels de couple ayant (pour les initiés) de véritables pouvoirs actifs, bien que symboliques ici-bas dans leur aspect initial, mais très actifs dans la sphère éthérique où justement se forment les égrégores dans le cercle de l’astral bas.

Ego et Égrégore, la puissance de l’un entraîne-t-elle obligatoirement celle de l’autre ?  Comme déjà remarqué plus haut, il ne faut pas en ésotérisme toujours voir à la cause un effet direct, ainsi Ego et Égrégore sont bien différents et l’un ne génère pas forcément l’autre. A titre de contre-exemple, des égrégores peuvent parfaitement se former sans qu’il y ait la moindre pensée consciente directement issue de l’Ego d’un individu s’en attribuant la paternité, il existe dans ce sens de très puissants égrégores d’affects, c’est-à-dire qui sont alimentés par nos attitudes, positives ou négatives, lesquelles sont souvent ponctuelles et non réfléchies : la colère, la jalousie, le mensonge, le vice, sont des conséquences indirectes de nos actes et pensées mais ne nous représentent pas intégralement comme pourrait l’exprimer notre Ego, lequel est dans une certaine mesure bien plus générique de ce que nous sommes réellement. En d’autres mots : ce n’est pas parce que nous avons pu être colérique à un moment donné et dans une situation précise que nous serons étiquetés ad vitam de nature colérique, par contre l’énergie de cette colère ponctuelle ira amplifier la forme-pensée, la structure représentative de l’égrégore de cette colère, laquelle sera un point focal très persistant, car la colère est une attitude humaine assez répandue sur la planète. De même et à l’inverse des individus avertis pourront parfaitement générer un égrégore spécifique uniquement via la force de la pensée, tout comme nos moines tibétains, ou, et c’est plus problématique, tout comme d’autres groupes moins positifs ayant des pensées très égocentriques, négatives par définition si celles-ci ne vont pas dans le sens du bien commun, par exemple des élites sécessionnistes ne jurant que pour elles-mêmes…

A son échelle, en ce qui concerne le couple, sa puissance réside essentiellement dans sa relation amoureuse fusionnelle d’où une volonté affirmée pourra alors émerger pour générer la graine de son propre environnement égrégorique, ceci à des fins d’auto-alimentation de son amour comme le dirait la célèbre phrase : "bien plus qu'hier et bien moins que demain". Cette attitude emplie de pensées d’amour sera la pierre d’achoppement d’un égrégore pouvant lui-même apporter en retour les conditions à ce mouvement perpétuel d’équilibre et de mise en phase de la relation pour qu’elle dure et s’amplifie, se bonifie au cours du temps. Dans ce sens, la création d’un égrégore de couple représente un atout considérable pour conserver cet amour, pour éviter les écueils ou les embûches de la vie pouvant entamer la relation. C’est pourquoi, en qualité de chaman professionnel je préconise aux couples d’affiner cette atout ou bien de le construire s’il n’est pas présent ou entièrement finalisé, ceci via des rituels spécifiques et des travaux de magie rouge apportant cette matière spirituelle pour faire germer cette graine égrégorique d’amour si importante. Les pactes d’amour et rituels de retour d’affection sont des outils précieux pour y parvenir, aussi n’hésitez pas à me poser des questions dans le but de faire prospérer votre propre égrégore de couple, véritable miroir de votre relation amoureuse !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel


(1) Hybris : également appelé hubris ou ubris, est une notion grecque qui se traduit le plus souvent par « démesure ». Elle désigne un comportement ou un sentiment violent inspiré par des passions, particulièrement l'orgueil et l’arrogance, mais aussi l’excès de pouvoir et de ce vertige qu’engendre un succès trop continu. [Dixit Wikipedia]

(2) Égrégores : Un égrégore (ou eggrégore) est un concept désignant un esprit de groupe constitué par l'agrégation des intentions, des énergies et des désirs de plusieurs individus unis dans un but bien défini. [Dixit Wikipedia]

(3) Reliance : en sociologie, acte de relier, de créer des liens entre des personnes ou des systèmes. Relation interpersonnelle, état de ce qui est relié, connecté, pour indiquer un "besoin psychosocial (d'information). [Dixit Wiktionnaire]

(4) Habitus : en sociologie, un habitus désigne une manière d'être, une allure générale, une tenue, une disposition d'esprit. Cette définition est à l'origine des divers emplois du mot habitus en philosophie et sociologie. [Dixit Wikipedia]

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Test de Rorschach, image réinterprétée...

Très à la mode, le "pervers narcissique" se retrouve dans toutes les bouches pour en définir l’individu entrant idéalement dans la catégorie des psychopathes malfaisants, agissant de manière très autonome avec l’intelligence du malin, s’attaquant presque artistiquement avec une certaine jouissance malsaine à ses victimes dont l’impuissance à échapper à ses griffes renforce encore plus sa conviction de repousser ses limites dans la torture mentale, dans le mensonge construit et la violence bien orchestrée. Pourtant, à en croire la définition initiale qu’en donne la psychanalyse le pervers narcissique n’existe pas en soi, il correspond à une définition bien encadrée dont la subtilité n’échappera pas à celui qui s’en saisira en la découvrant : "ce n’est pas un type de personnalité mais une pathologie relationnelle qui consiste en une déstructuration de la personnalité dans laquelle la notion d'altérité n'existe pas". Au sens strict, et en d’autres termes plus clairs, par conséquent seule la pathologie (c’est-à-dire la maladie mentale) qualifiée de perversion narcissique existerait, l’individu "qui en souffrirait" ne concevrait pas autrui comme un être humain identique à lui-même (défaut d’altérité) mais au contraire comme une chose, comme un objet pouvant parfaitement être manipulable, ou plutôt manipulé, à loisir. Cette sorte de distanciation, aboutissant à vouloir "chosifier" autrui, apporte en effet, selon le corpus psychanalytique ainsi défini, de "graves problèmes relationnels", si du moins l’on peut encore qualifier de la sorte une si lourde et destructrice pathologie déviante…

Sans vouloir nous accrocher à la seule définition qui ainsi semblerait dédouaner assez allègrement le pervers narcissique puisqu’il serait lui-même la victime de sa pathologie, les véritables victimes de ce type de psychopathe ne l’entendront certainement pas vraiment de la même oreille que celle de la psychanalyse… Au-delà des mots et tournures syntaxiques ils préféreront s’attarder sur les maux subis reconnaissant plutôt dans le pervers narcissique une personnalité éminemment consciente de ses actes, parfaitement rodé dans son extrême capacité à provoquer la souffrance chez autrui. C’est d’ailleurs cette notion qui prédomine lorsque l’on parle de pervers narcissique : une sorte de monstre égotique n’ayant aucune empathie pour sa victime, jouant comme le chat avec la souris sans autre égard que celui qu’il tire lui-même de ses actions avec cette satisfaction d’avoir toujours fait le bon choix, le bien, mais d’abord et uniquement pour lui-même.

Le Bien, le Mal, justement tout dépend de ces notions à géométrie variable selon les individus et les contextes en présence mais aussi les angles qui permettent d’entrevoir un point de vue s’approchant d’une certaine vérité elle aussi toute relative. Il existe donc bien des personnalités, des individus mus par des choix avec des volontés propres de faire ou non le Mal, de préférer le Bien pour autrui, le partage constructif et altruiste ou au contraire cette prédominance à la déstructuration entraînant une orientation pervertie exerçant la destruction et l’avilissement d’autrui. Dans cette analyse ou dans ce positionnement devons-nous seulement concevoir qu’il existe des degrés dans les maux subis, des échelles de valeurs du Mal pour tenter d’en dédouaner ceux qui les perpétuent ? De quelles limites ou variables parlons-nous dans ce cas et le pervers narcissique ne serait-il pas finalement lui aussi pris dans une spirale infernale dont il souffrirait ? La majorité des personnes sensées seront heureusement catégoriques en n’acceptant difficilement cette vision pathologique que la psychanalyse propose, il n’existe pas de demi-maux, de petites tortures, de gentils avilissements ou bien de sympathiques mises en esclavage, ceci est une certitude, sauf pour les pervers narcissiques eux-mêmes qui ne regrettent aucun de leurs méfaits et pour les psychiatres qui cherchent inlassablement à les classer dans de beaux tableaux XL…

Mais une autre notion plus générale et fondamentale existe aussi, elle est consubstantielle à notre évolution, elle se cache au plus profond de nous et rôde à chaque instant dans les méandres de nos neurones, qui est-elle et d’où agit-elle ? Un petit détour en territoire scientifique nous apprendra que notre cortex, notre cerveau, n’est pas constitué d’un seul bloc mais s’est forgé tout au long des temps une structure étagée assez remarquable pour en dégager un constat digne des histoires originelles issues des textes anciens… En effet, la bête se tapie dans notre tête, à sa base coexiste un archéo-cortex (ou archicortex) aussi appelé "cerveau reptilien" et dont la spécificité initiale, très importante, serait de nous préserver pour conserver notre intégrité, une sorte de cerveau agressif avec tout ce qui vient de l’extérieur et qui pourrait nous nuire. Au-dessus, bien entendu, vient se greffer un cerveau plus évolué, le néo-cortex avec ces lobes frontaux qui caractérisent l’ensemble de notre individualité propre et notre personnalité unique, nos capacités d’analyses et de prises de contact avec le réel qui nous entoure, dont les autres individus font aussi partie. Nous avons maintenant que la régulation de notre Ego se trouve principalement sous l’emprise du "cerveau reptilien," que cette prédominance à jouer de pulsions parfois violentes caractérise l’Humain tel qu’il est constitué dans sa nature propre à interférer avec autrui, ce qui pourrait alors expliquer pourquoi ce serpent qui est en nous peut parfois, voire souvent, être tenté de mordre et d’infuser son si mortel venin à autrui !

Nul besoin de relire L’Enfer de Dante avec son étalage complet des péchés bien explicités ou bien d’aller chercher trop loin cet autre serpent, plus malin encore dans son Jardin d’Éden pour commencer à entrevoir quelques probables secrets ou allégories quant à la nature de l’Homme et de la Femme, à cette histoire originelle dont nous ne savons pratiquement rien, sauf peut-être à en interpréter sous divers angles, parfois aussi ésotériques, les aspects tortueux susceptibles de nous éclairer un tant soit peu sur cette notion de Bien et de Mal chevillée au corps et à l’esprit qui est le nôtre. Encore une fois l’Ego se trouve en position centrale dans cette possible révélation, il domine et assujetti celui qui ne sait pas dompter la bête en lui ou l’assagir pour qu’elle ne morde pas. Devons-nous y voir, dans cette optique de volonté de restreindre la puissance de l’Ego, cette habilité à avancer vers une sagesse difficile à acquérir, vers un degré de spiritualité qui nous éloignerait de l’animalité pour nous rapprocher d’une sorte d’élévation plus humaine, pour nous faire prendre conscience de notre véritable essence supérieure ? N’est-ce finalement pas LA question fondamentale dont découle toute l’Histoire de l’Humanité avec ses guerres, ses souffrances et ses dérives, mais aussi ses espoirs en un monde plus juste et équilibré, hors d’un chaos généralisé et d’une entropie destructrice ?

S’il devait y avoir une échelle de valeurs, préférons ensemble celle qui serait basée sur l’évolution positive, sur des degrés de spiritualité nous apportant un regard apaisé sur autrui, redéfinissant ainsi et sous un angle plus juste et sage le monde tel qu’il devrait l’être en suivant une évolution constructive au-delà des conflits inutiles et des perversions orchestrées et subies. Le pervers narcissique est peut-être un peu en chacun de nous, certains savent contenir ce monstre qui cherche à sortir de sa cage, certains ont atteint cette sagesse communicative via une Connaissance, certes encore trop peu diffusée, trop peu mise en pratique, mais dont nous sommes sûrs qu’un jour que nous y serons tous initiés pour vaincre l’adversité, la tentation du mal pour le mal et l’égoïsme ancré au plus profond de cet Ego déviant à combattre au quotidien. De l’Alpha des origines nous allons vers un Oméga plus radieux en devenir, comme l’aurait dit Teilhard de Chardin dans son remarquable ouvrage Le Phénomène Humain.

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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S’il est bien un problème de couple par excellence, c’est bien celui qui pourrait mener à sa séparation, à la rupture ou à l’éloignement. De "crime d’Amour" alors il y a, d’en concevoir à un moment sa fin et même son enterrement, de première ou de seconde classe en fonction des raisons et des buts recherchés, en fonction des contextes mais aussi et surtout, et sur ce point on ne l’évoque pas assez ou si peu, essentiellement en fonction de l’Ego des forces antagonistes en place, du couple redevenu une dualité qui s’oppose plus qu’elle se complète et s’entraide, en ceci "le crime" est parfait si personne n’en trouve le véritable mobile, ce qui dans le monde profane demeure le plus souvent une vérité empreinte de non-dits, de silences ou effectivement de contrevérités absurdes, intentionnellement voilées ou non… Les initiés tentent de faire la part des choses du réel mais aussi de l’imaginaire des Ego dans ce qu’ils ont de subjectivité mais aussi selon cet incroyable "effet Rashōmon" (1) qui implique que chacun, chaque Ego, aura sa propre vérité, son propre compte-rendu (ou "conte" tout court) forcément pseudo-objectif selon l’angle qu’il aura bien voulu prendre dans la perception de l’histoire de sa relation de couple, de lui-même dans cette relation et de sa propre conscience face au monde et à autrui. De là à en faire un "cas de conscience" il n’y a qu’un pas, par conséquent l’initié y entrevoit justement les rapports complexes et très ésotériques entre l’Ego et le moi transcendantal, une alchimie qui pourrait avoir bien d’autres orientations intéressantes, dites supérieures, que celles qui sont paradoxalement directement visibles des protagonistes eux-mêmes. C’est de cette version plus invisible ou occultée dont il va être question, si tenté que cela puisse être possible de pouvoir s’appliquer de manière relativement générale à tous…

Mais avant d’entrer dans le vif du sujet, celui de l’Ego puisqu’il s’agit de lui, nous devons caractériser cet Ego comme une forme, ou plutôt une image tel un objet semblable au noyau dur au centre de la psyché avec un poids très lourd et une forte inertie au point que chacun de ses mouvements d’humeur provoque un déséquilibre de l’ensemble du psychisme en le faisant tanguer tantôt entre la destruction d’autrui dans un excès de paranoïa et tantôt vers une totale et aveugle autosatisfaction se réfléchissant dans un miroir narcissique sans limites. Un terrible tableau pour cet Ego qui pourtant a son importance à des fins de conservation et de protection face aux aléas existentiels tout comme un pare-chocs émotionnel encaissant les coups en se renforçant de plus en plus à chaque bémol. Se "forger le caractère" en vient de là, à force de coups de marteau sur le fer l’on forge le sabre coupant ou la pointe qui perce. Que ce soit d’ailleurs en psychologie, en philosophie ou en ésotérisme et métaphysique, l’Ego a toujours cette prédisposition à "s’opposer à" ou bien à phagocyter ce qui se met en travers de son chemin pour le digérer et en profiter, une destruction par l’assimilation ou par le rejet, aucun entre-deux possible, aucune alternative modérée. Dans ce sens, plus l’Ego prend de l’importance, du poids, l’on dit alors qu’il enfle, et plus il sera en regrettable capacité de déséquilibrer l’individu à chacun de ses mouvements d’humeur, successible de provoquer une surenchère dans sa réaction, une lourdeur destructrice emportant tout sur son "pas sage", c’est-à-dire "s’emportant".

La colère, la jalousie, l’envie, la "volonté de pouvoir" et d’asservissement sur autrui sont les leitmotivs qui viendront ainsi rythmer les relations humaines durant l’existence; volontairement assumés ou subis ces contrecoups ordinaires s’inviteront aussi dans la relation de couple, pour le meilleur et pour le pire. L’on ne choisit pas celui qu’on dit aimer forcément pour ce qu’il représente intrinsèquement de complémentaire mais trop souvent au contraire de ce qu’il apporte en reflet de soi-même afin que l’on puisse s’y reconnaître et s’y réfléchir à souhait, c’est encore l’Ego qui parle en regardant l’être aimé qui l’est en partie à cause de sa ressemblance avec lui-même. Aucun paradoxe à voir dans autrui ce que l’on est finalement soi-même, c’est d’ailleurs ici une sorte de règle de protection de l’individu que de savoir percevoir en autrui ce que nous avons en nous-mêmes afin de ne pas être trahi ou pris par surprise par cet autre qui nous ressemble tant et que nous aimons; encore une fois Narcisse n’est jamais loin lorsque l’Ego observe, analyse, assimile et se met en phase, une posture d’équilibre dans cette dualité où deux sons s’accordent pour jouer l’apparente douce mélopée du couple.

Mais, avec ce poids qu’on lui accorde, la véritable question serait bien celle de la provenance initiale de cet Ego, d’où vient-il exactement, dans quel but se forme-t-il et comment ? Une partie de la réponse a déjà été évoquée dans les forges symboliques de Vulcain, dans cette propension à vouloir affermir ce qui distingue l’individu d’un autre, son caractère ou plutôt devrions nous dire les biais caractériels cognitifs qui résultent de nos activités. D’un point de vue profane, purement scientiste et psychanalytique, l’Ego semble caractériser la personnalité et sa sensibilité (affirmée ou non) à répondre selon diverses orientations de manière plus ou moins prononcée à des stimuli (contextuels ou relationnels). Dans ce sens l’Ego se construirait progressivement en fonction de ces stimuli, en fonction des expériences vécues et des prises de position effectuée, en d’autres termes l’on retrouve encore une fois ce fameux libre arbitre sur le chemin de notre fameux Ego…

Comme je l’ai très souvent exprimé et écrit dans mes articles, le libre arbitre humain n’est que très relatif, il est assez strictement encadré et formaté selon des règles et des lois que nous ne maîtrisons pas du fait qu’elles sont, pour les initiés qui en ont Connaissance, inscrites à "d’autres niveaux" pour agir ici-bas. Ainsi, et de manière transitive, l’on voit assez distinctement que, de ce fait, l’Ego aussi s’en trouve construit non plus selon un cheminement progressif et uniquement dû à l’expérimentation libre durant la vie mais plutôt selon des voies déjà définies ou tracées pour "personnaliser l’individu" en fonction d’un autre but bien moins évident pour qui n’est pas averti, et donc un but plus ésotérique, très hermétique par définition… Formater un individu en amont de son existence en lui faisant emprunter des voies déjà définies au préalable, cela s’appelle tout simplement "jouer un rôle", celui qui permet, tout comme dans une pièce de théâtre, d’entrevoir une scène avec plusieurs acteurs jouant ce scénario déjà écrit avec cette certitude que chacun exprimera, selon le texte du metteur en scène, le rôle qui lui est bien imparti, avec parfois quelques variantes au cours des représentations. La pièce, celle qui nous intéresse aujourd’hui, s’intitulant "Crime d’Amour", elle va jouer la rupture du couple, sa scène se situe dans le décor de l’existence, les spectateurs sont dans l’ombre et dans les coulisses, ils applaudiront toujours à la fin du spectacle, plus ou moins, déjà pour remercier le jeu des acteurs mais aussi pour la belle mise en scène. Ainsi le théâtre de la vie aura permis aux acteurs d’expérimenter non seulement la rupture du couple mais aussi d’entreprendre le jeu de l’Ego dans toute sa splendeur.

Pour les initiés "les choses de la vie", dont celles très importantes des relations humaines, n’ont pas la même signification que pour tout un chacun qui se trouve sur sa propre scène sans savoir qu’il joue ainsi inconsciemment son propre rôle, celui pour lequel il a été amené à lire le scénario, dans le cadre d’un libre arbitre fictif suivant un déroulement déjà écrit d’avance. Et tout ceci dans quel but ? Suivre une mission de vie, suivre le scénario pour lequel il s’est engagé d’en suivre le jeu complexe de l’existence à des fins d’évolution. Nous sommes tous des acteurs de nos vies, nos Ego sont les rôles karmiques que nous nous sommes alloués, nous suivons aujourd’hui tel jeu d’acteur avec la personnalité qui convient, demain nous jouerons encore et encore, dans un autre théâtre, une nouvelle pièce existentielle pour parfaire cette tragi-comédie de la vie, peut-être intitulée "Le couple est sauvé" ! Les rituels de magie permettent parfois de modifier radicalement le scénario existentiel, par conséquent n’hésitez pas à me contacter pour en discuter librement.

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel


(1) En psychologie et communication : "l’effet Rashōmon" est un concept désignant un événement interprété de manière contradictoire par les individus impliqués. Il tire son nom du film Rashōmon (1950) d'Akira Kurosawa dans lequel un meurtre est décrit de manières différentes par quatre témoins. Le concept aborde les motifs, le mécanisme et les occurrences du compte rendu des circonstances, ainsi que les interprétations contestées d'événements, l'existence de désaccords concernant la preuve d'un événement, la subjectivité de la perception et la mémoire humaine. (dixit wikipedia).
 

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