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Blog chaman ésotérisme

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Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

nature de la realite

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S’il est bien un domaine qui interroge l’Homme depuis des millénaires jusqu’à aujourd’hui, c’est bien la potentielle présence avérée d’entités invisibles provenant d’horizons que nous ne pouvons effectivement pas percevoir avec nos sens communs mais pressentir au plus profond de notre âme ou de notre esprit lorsque celui-ci sont apte à cette ouverture sur d’autres mondes. Que l’on ait pu les appeler d’une multitude de noms divins ou infernaux, ces entités issues de dimensions nous dépassant très largement disposent de capacités qui nous sont inconnues ici-bas, transcendant l’espace, le temps et l’intelligible tel que nous le concevons avec nos facultés humaines restreintes. Aussi, au-delà des simples préoccupations ou curiosités légitimes, qu’elles soient spirituelles, religieuses ou purement conceptuelles, les visions du profane et de l’initié sont presque à l’opposée tant la distance de points de vue demeure grande et la Connaissance ésotérique qui s’y réfère dépasse les conceptions les plus courantes et bassement quotidiennes en termes de raisonnements habituels ou de certitudes. Il est donc important, dans une juste limite, de redonner quelques notions de base sur ce sujet brûlant en exposant toute la complexité quant à l’existence de ces entités et surtout quant à leurs raisons d’être qui ne sont finalement pas si éloignées des nôtres, ceci à bien des égards et pour cause…

Deux points de vue, celui du profane au quotidien qui verra dans ces entités, a priori si le sujet l’intéresse néanmoins, une tranchante dualité, entre les bonnes qui seraient amies et les mauvaises qu’il faudrait à tout prix éviter de côtoyer, étant toujours dans une interprétation la plupart du temps erronée. De l’autre côté, le point de vue de l’initié, de celui ou celle qui aura pu s’élever suffisamment à un certain seuil de Connaissances ésotériques pour concevoir que ces fausses apparences binaires, du Bien et du Mal, ne sont que de pratiques et simplistes paravents occultant bien d’autres secrets plus essentiels, c’est-à-dire bien d’autres démarches plus universelles et initiatiques. En ce sens il est bon de rappeler très brièvement ce qu’il en est afin de regarder au-delà du miroir aux alouettes : vouloir caractériser d’emblée une idée, une pensée ou une action comme bonne ou mauvaise demeure, à notre niveau terrestre en un lieu unique mais aussi sur une temporalité longue, une simple et monumentale hérésie. En effet, personne ne peut réellement analyser, anticiper et comprendre qu’un seul infime et banal incident peut ouvrir une incalculable immensité de potentialités engendrées, ceci à chaque instant et en tous lieux, tant de manières quantitatives que qualitatives.

Le simple exemple, connu de presque tous, vu par des millions voire des milliards de personnes, modifiant de quelques millimètres ou millisecondes un certain présent, et toute une potentialité historique qui aurait pu modifier la face du monde. Dans cet exemple, certes des plus médiatisés et pourtant d’une banalité "physique" des plus évidente à comprendre immédiatement : la balle touchant seulement l’oreille d’un président à un instant T, cela aura suffi à entrevoir de suite la question qui nous intéresse… Qu’en est-il pour vous ? Pour votre propre quotidien : êtes-vous passé précisément à pied par cette rue plutôt que par celle-ci où une personne vous attendait par un "heureux hasard" ? Avez-vous suivi votre "intuition" à ce moment où justement la chance aurait pu changer toute votre vie en "mieux" ou en faire un terrible et durable calvaire ? Nous voyons en quelques mots seulement, en quelques concepts simples, ce que notre mental ne cherche pas d’ordinaire à capter, que l’existence s’avère pavée de bonnes et mauvaises directions à emprunter à chaque instant de notre vie, en tous lieux et même dans toutes pensées. Qui, quoi ou "autre", nous pousse vers telle ou telle réalité à vivre ? Un scénario préétabli à suivre ou bien ce très pratique "hasard" qui est cher à toute personne ne désirant pas véritablement creuser ladite question ? Il est vrai, qu’en apparence, il semble impossible d’y répondre puisque nous n’avons absolument pas la capacité de concevoir nos propres opportunités de futurs, "bonnes ou mauvaises" (à court, moyen ou plus long terme ?). Tout ceci défini le quotidien qui nous caractérise comme individualité totalement perdue sur son propre chemin dont elle-même ne perçoit strictement rien des infinies perspectives et autres potentialités sur le bout de son nez.

Alors qui et comment ? Oui, qui pourrait anticiper, choisir et suivre sa "meilleure destinée" ? Et, surtout comment cela pourrait être seulement possible ? Mais posons, avant tout, la question qui dérange encore plus : qu’est-ce qu’une "meilleure destinée" que celle qui est déjà en place et dont nous n’avons pas conscience ? C’est ici justement que se ferment toutes nos certitudes d’en percevoir le début du bout du chemin puisque nous n’avons aucune idée par quelle voie l’emprunter pour aller là où nous devrions aller, ce qui reste aussi un grand mystère… Tout se complique donc, et nous entrons doucement, progressivement mais assurément, dans le domaine de la métaphysique, ou, pour l’initié dans le domaine qui est le sien : l’ésotérisme, dans le but de lever un coin du voile de la réalité sous-jacente, une sorte de "dés-occultisme", un éclairage nouveau, parfois aussi une dangereuse "illumination" pour les plus téméraires s’approchant un peu trop des limites ultimes de leur esprit surconscientisé. C’est ici aussi qu’entrent en jeu, afin de mieux envisager des réponses plus adéquates, d’autres acteurs qui auraient une vue démultipliée sur nos potentialités futures (le schéma étant écrit ou tracé comme un itinéraire, explicite pour eux) : nos fameuses entités, lesquelles évidemment sont d’une dimension ou d’une autre sphère de réalité, leur permettant de voir clairement l’autre bout du chemin à suivre, tout ce qu’il faut écarter, et même le but final qui nous préoccupe tant !

En général c’est ici que s’arrête le profane, il est persuadé que sa destinée est un mirage, que plus il cherchera et moins il comprendra l’illusion de la Réalité dans laquelle il est plongé, la tête immergée pour ne pas voir la berge venir ni quel courant le pousserait à s’y échouer, ce qui serait pourtant une réussite. Pour l’initié, c’est le début de pagayer dur sur un radeau de convictions qu’il aura difficilement dû déconstruire, il va donc ramer, déjà pour comprendre les concepts ésotériques qui surnagent autour de son socle de compréhension, ensuite, encore plus pour tenter d’expliciter l’inexplicable à d’autres, au risque que ces derniers coulent encore plus profondément pour s’éloigner de la surface qui pourrait un tant soit peu les aveugler…

Mais d’expériences vécues en Connaissances acquises, d’autres éléments essentiels pourront survenir sans véritablement prévenir : d’une part "l’intuition ésotérique" venant juste à point nommé pour suggérer une piste à suivre, d’autre part une "insaisissable synchronicité", portant en elle d’ultimes et précieuses réponses à capter sur le champ avant qu’elles ne s’effacent de notre perception mentale prise au dépourvu. De la provenance des ces deux éléments d’information non ordinaires, les initiés de tous les horizons auront cette même réponse : qu’ils proviennent chacun de ce l’on pourra appeler "des états supérieurs de l’être". Ainsi, au bout du chemin, ou bien sur son parcours souvent chaotique, anges et démons pourraient finalement n’être que les ombres portées depuis notre propre Réalité dimensionnelle supérieure, une supra-entité, un autre nous-mêmes nous inspirant tantôt la crainte de ne pas aller dans la bonne direction, tantôt celle de nous diriger vers un but d’ordre karmique qui brille au loin et dont, très certainement, nous avons nous-mêmes installé le phare pour nous guider dans les ténèbres. De ces "états multiples de l’être", bien des initiés, qu’ils soient proches d’une tradition primordiale à redécouvrir comme René Guénon ou bien issus d’un syncrétisme spirituel révélateur comme Helena Blavatsky, tous disposeront d’une part plus ou moins grande de Vérité à explorer consciencieusement afin d’entrevoir notre propre multiplicité existentielle. La Magie en est un instrument sacré pour transcender cette ultime révélation, ainsi l’âme... agit.

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

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Au-delà des drogues psychédéliques et des mondes rencontrés par les chamans durant des voyages ("trips") ou des rêves, c’est finalement la nature même de la réalité qui est essentiellement en jeu et dont la science "physicaliste" s’est emparée en décrétant unilatéralement que le matérialisme était le seul et unique chemin, non seulement à emprunter mais aussi à étudier en ne prenant en compte que les bases de ses propres dogmes purement cartésiens. Mais les toutes dernières recherches scientifiques expérimentales, en particulier celles issues du monde de l’infiniment petit, des particules subatomiques et quantiques, ont tout remis en cause et à plat tant les expériences effectuées contredisent l’intégralité des conventions habituelles et des normes admises depuis les siècles précurseurs du matérialisme (siècle des "Lumières") jusqu’à très récemment avec de toutes nouvelles théories révolutionnant notre vision du monde et surtout celui des sciences dites dures. C’est ce que nous allons voir dans cette deuxième partie 2/2 qui en résume d’incroyables et bouleversantes perspectives métaphysiques et humaines (Première partie 1/2 : ici à lire avant).

En bref, à partir des XVIe et XVIIe siècles la science a imposé une vision matérialiste du monde fondée principalement sur l’observation et la rationalité, portée entre autres par Galilée, Descartes, Newton ou Darwin. Mais depuis ces quelques dernières décennies cette approche empirique et cartésienne se heurte à des phénomènes défiant toutes les lois établies de la physique fondamentale, on ne parlait alors que très peu de physique quantique et encore moins du "phénomène de décohérence", une frontière de la matière dont émerge notre réalité et donc la nature même de notre espace-temps. Paradoxalement, le chamanisme dispose de certaines réponses, du moins dans sa pratique issue des psychédéliques, c’est ce que nous allons voir dès maintenant…

Et comme le dit si bien Philippe Bobola, physicien, biologiste et anthropologue : "Tout comme la physique quantique, le chamanisme bouleverse la physique classique et nous encourage à sortir du déterminisme dans laquelle notre pensée occidentale a tendance à s’enliser. Percevoir le savoir des peuples indigènes non plus comme des valeurs inadaptées à la modernité mais plutôt comme un laboratoire d’expérimentation de la physique la plus avancée pourrait élargir considérablement notre vision du monde tant visible qu’invisible qui nous entoure." L’intérêt est donc d’approfondir cette pensée, d’interagir sur cette attrayante réflexion, c’est-à-dire sur la nature intrinsèque de notre monde, sur notre propre nature humaine, et finalement sur ce que nous appelons la Réalité : une rencontre entre nouvelles sciences fondamentales (sciences dures) et chamanisme traditionnel (spiritualité ancestrale). D’autres scientifiques de renom ont bien entendu étudié la question dans leurs domaines respectifs, à noter l’excellent ouvrage "Par delà Nature et Culture" de Philippe Descola, anthropologue, étudiant les frontières culturelles artificielles échafaudées au fil des siècles pour décrire notre monde selon des stéréotypes anthropocentriques via des dogmes sociétaux imposés à tous, ou bien encore l’ingénieur physicien Philippe Guillemant et sa saisissante approche d’un espace-temps flexible influencé par la conscience (ouvrage : "La physique de la conscience"). 

Mais c’est surtout avec Bernardo Kastrup, ingénieur en informatique et philosophe de réputation mondiale, que dernièrement la démonstration est encore plus impressionnante de clarté et d’évidence, notamment sur la notion de nature de la Réalité, sur ce que les sciences "physicalistes" n’ont pas encore su intégrer ou comprendre, contrairement au chamanisme qui en a fait régulièrement l’expérimentation en utilisant rituellement des substances psychédéliques, ceci pour dépasser de loin la commune et profane vision, principalement occidentale et cartésienne. Afin d’entrer dans ce sujet passionnant, Bernardo Kastrup (dans son livre : "L’idéalisme analytique"), aborde le sujet de manière à la fois très progressive et "circumambulatoire", comme il dit, c’est-à-dire en y revenant en tournant autour afin de mieux s’en approcher, et la méthode semble excellente tant les descriptifs et exemples donnés au fil des pages sont pertinents et frappent immédiatement l’esprit du lecteur attentif.

Ainsi, plusieurs questions en préambule sont nécessaires pour comprendre le sujet dans son intégralité, son livre s’axe sur celles-ci : qu’est-ce qui caractérise la méthode scientifique pour saisir le monde qui nous entoure et pourquoi le physicalisme est-il une impasse ? Pourquoi le matérialisme et le cartésianisme n’ont pas été remis en cause plus tôt pour aborder le sujet de ce qu’est la Réalité du monde ? Que déduire de l’impasse actuelle du matérialisme, justement face à ses propres expérimentations contradictoires sur la matière (au niveau quantique) ? Que dire de l’expérimentateur et de l’expérimentation du visible, de la nature du lien qui les unit, le monde existe-t-il s’il n’est pas observable, quantifiable, prédictible ? Finalement, la conscience est-elle un produit de la matière, ou l’inverse ? Existe-t-il un "champ de subjectivité" sous-jacent à la matière ? Pourquoi le chamanisme a-t-il une vision plus complète et vraie du monde et de la Réalité qui se cache derrière le visible matérialiste?

L’on voit bien que la question centrale est "la nature de la Réalité" pour l’auteur, lequel explique patiemment avec de nombreux exemples et références scientifiques ou historiques que "la réalité physicaliste est une fiction" et n’est que la représentation visible et quantifiable d’une certaine autre réalité qui se cache derrière ce qu’il appelle "notre tableau de bord", à l’image de ce que nous voyons de la réalité avec nos sens et nos instruments, c’est-à-dire une certaine vision "en surface" dont on pourrait définir des lois ("physicalistes") et des schémas de pensée (sociétaux et anthropocentriques). Ces représentations du monde ne sont QUE notre "tableau de bord" dont nous suivons les instruments et leurs "données sur le monde environnant" mais ne sont absolument PAS le monde en soi. La meilleure interprétation de cette logique est dans l’exemple suivant : "la carte (routière) n’est pas le territoire" ! La science physicaliste nous a habitués à confondre ses "données de tableau de bord" avec la réalité seulement visible de ce qui est expérimenté par ces mêmes instruments… Une erreur fondamentale, donc, une terrible confusion qui devient une évidence au niveau des particules subatomiques constituant le monde de la matière; lesquelles ne suivent plus aucune de ses propres lois matérialistes ("de la matière" !) puisque la méthode scientifique est elle-même erronée à la base pour expérimenter "ce qu’elle perçoit", et qui n’est PAS la Réalité, mais uniquement la "représentation de la réalité" avec ses instruments, formant ce fameux tableau de bord.

Expliquer sa théorie de "l’idéalisme analytique" en un paragraphe après une longue introduction sur le thème, certes complexe mais essentiel à appréhender à petits pas, n’est évidemment pas simple même si les exemples parlent d’eux-mêmes pour exprimer assez rapidement son intuition métaphysique (ou une "Réalité supra-physique", au choix des mots qui vous conviendront). Maintenant, quel rapport avec le chamanisme et les psychédéliques !?

C’est ici que Bernardo Kastrup apporte des éléments radicaux à sa théorie, en entrant dans le domaine de la biologie du cerveau, de la conscience et de la nature de la réalité vécue. Il explique que les psychédéliques, au-delà de l’expérimentation normale des sens communs, font entrer la personne dans un état modifié de conscience permettant de dépasser la frontière du soi, c’est-à-dire d’entrer au-delà de l’expérimentation des sens normaux, lesquels sont d’ailleurs physiquement éteints (activité du cerveau presque nul, contrairement à ce que l’on nous a dit et redit). Ainsi sous l’effet de psychédéliques se crée une porosité de notre conscience intérieure, laquelle privée de l’expérimentation habituelle de nos sens (notre tableau de bord biologique expérientiel étant éteint, en quelque sorte - car le cerveau perçoit le monde de manière codée comme le ferait les instruments d'un tableau de bord). Ceci aboutit alors à faire vivre directement l’esprit (une "sur-conscience") avec une dimension plus large (une "supra-conscience universelle"), une Réalité de la Nature environnante de l’Univers telle que nous ne pouvons pas la percevoir par les sens communs, pas plus d’ailleurs que par des instruments scientifiques expérimentant la matière physique "en surface codée" en créant des illusions de "réalité physicaliste", des "représentations", des données de tableaux de bord lisibles mais "non véridiques" au sens absolu du terme.

Pour finir, il serait cohérent de penser, tout comme les traditions chamaniques le soulignent, que les "états réels du monde" sont d’ordre non physiques mais plutôt expérientiels, qualitatifs, symboliques, voire informationnels et même émotionnels, ce que les paramètres scientifiques quantitatifs ne savent pas et ne peuvent pas révéler. La réalité du monde se trouve au-delà de sa simple physicalité, c’est-à-dire dépassant sa représentation conventionnelle matérialiste et schématique. Ainsi, la physicalité (la science matérialiste) est un "produit de la mesure qu’elle effectue", et non une réalité en soi. Il en va de même de nos propres instruments biologiques de mesure (c.-à-d. nos sens) qui ne peuvent pas percevoir, en état normal de leur usage, la Réalité Universelle de la Nature du Monde. Je vous conseille bien évidemment la lecture des ouvrages cités et celui en particulier de Bernardo Kastrup pour suivre directement sa très étonnante et percutante démarche "idéaliste analytique", je reste néanmoins à votre disposition pour répondre à toutes vos questions !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

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