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Blog chaman ésotérisme

Blog chaman ésotérisme

Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #Esoterisme, #sexualité sacrée, #transhumanisme, #couple, #jean pascal Bruno, #Amour, #énergie sexuelle, #orgone

Pour ceux qui ne me connaîtraient pas je suis Jean-Pascal Bruno, chaman professionnel, et pour les autres, très nombreux qui me suivent régulièrement sur ce blog, vous savez que j’aborde souvent des sujets plus ou moins polémiques ou complexes. Aujourd’hui avec la "sexualité sacrée" comme thème j’aurais pu finir comme Giordano Bruno à l’époque de l’inquisition, c’est-à-dire brûlé vif sur un bûcher ardent pour seulement avoir osé aborder un point essentiel de l’Humain que certaines religions ont préféré renier, condamner ou simplement voiler. De nos jours encore la sexualité pose des problèmes dans nos sociétés dites modernes qui se sont injustement approprié politiquement un sujet aussi vaste qui recoupe à la fois pêle-mêle la sexualité, la pornographie, les relations de couple, le mariage, l’éducation sexuelle des jeunes, l’appartenance à un genre ou bien encore l’onanisme, les relations sadomasochistes ou bien le libertinage et l’échangisme. Il faut bien savoir que je ne vais pas donner un cours pour orienter tels ou tels de vos choix puisqu’ils vous appartiennent intégralement et que chacun reste libre d’opter pour une ligne de vie et de conduite selon sa propre histoire personnelle et familiale, ceci dans un contexte unique qui est le vôtre et qui peut aussi fortement évoluer, ou pas du tout. Mais c’est justement parce que la sexualité est une liberté fondamentale et qu’elle est tombée bien bas de manière typiquement profane et livrée à toutes les injonctions qu’elle se voit autant décriée par les uns, si fortement revendiquée par les autres, ignorée et oubliée par la grande majorité de ce qu’elle recèle de véritablement sacrée après des siècles de polémiques stériles bien que presque guerrières et violentes à son sujet… Il était donc bon de remettre un peu d’ordre (d’idées), de manière sereine et clarifiée, dans toute cette cacophonie et tenter d’élever le débat en retrouvant des valeurs perdues, des vérités essentielles qui restent hermétiques voire ésotériques pour la plupart qui ne s’y sont pas encore penchés sérieusement ou n’en ont jamais pris le temps nécessaire. Et comme le dirait C.G. Jung : "Tous les problèmes les plus importants de la vie sont fondamentalement insolubles… Ils ne peuvent jamais être résolus mais seulement surpassés. Ce « surpassement » montre, après un examen plus attentif, qu’ils nécessitent un nouveau niveau de conscience…". Tentons donc ce surpassement avec l’humilité qu’il se doit d’être, en toute conscience bien éveillée si possible.

Mais tout d’abord pour être clair et direct, qui dit sexualité, et pour faire au plus simple et plus précisément en ce qui concerne la sexualité du couple, il faut déjà savoir comment définir et gérer dans les termes et aspects cette dualité entre deux individus, lesquels auront généralement, qu’ils soient hétérosexuels ou non, toujours deux polarités principales et opposées de l’ordre du Yin et du Yang, c’est-à-dire de l’ordre du féminin pour l’un et du masculin pour l’autre. Attention, il est à bien noter que ces polarités n’ont strictement rien à voir avec le genre puisqu’un couple homosexuel homme ou femme pourra tout autant disposer de cette double polarité, nous parlons ici d’individualité et non de sexe biologique où chacun revendiquera son orientation genrée plus féminine ou plus masculine dans le cadre relatif de ce même couple. Bien évidemment nous ne pouvons pas aborder toutes les catégories de typologie de couples ici et dans ce sens le couple biologique basique homme-femme où chacun se revendique aussi en genre comme tel sera la base du thème abordé, sachant que ceux qui ne se reconnaissent pas dans cette majorité se retrouveront tout de même par simple transposition… De même, et sur ce point j’y reviendrai en fin de cet exposé, il existe de nos jours des personnes qui se disent "non-genrés", peut-être des exceptions confirmant la règle, comme on le dit pour tenter de clore le sujet, mais ce point très intéressant sera comme je l’ai dit explicité plus bas avec comme perspective un horizon très spécial qui ouvrira un champ idéologique potentiellement à venir avec d’autres profondes problématiques sociétales et psychologiques, voire transhumanistes…

Pour la majorité des gens la sexualité demeure la partie émergée de ce que l’on appelle l’amour dans ce sens où c’est bien la partie réellement visible du comportement humain alors que les sentiments sont des expressions réfléchies plus intériorisées donc plus subtiles et mentales (dixit votre cortex préfrontal), moins visibles car sous ce niveau symbolique de ligne de flottaison de cet iceberg imagé. L’amour se compose aussi d’autres éléments pulsionnels encore plus "sous-marins" que l’on pourrait qualifier d’instinctifs et par conséquent non ou moins maîtrisables issus de notre archéo-cortex (ou cerveau reptilien primitif). Ainsi, pour expliciter très schématiquement ce qu’est l’amour l’on pourra sans difficulté comprendre qu’il dépend globalement de trois facteurs internes principaux: le corps sexuel, le mental désirant et l’attractif instinctif. Ces trois principes essayant sans arrêt de se tirer la couverture le plus possible avec les multiples et complexes conflits que chacun aura connus selon des configurations qui le sont autant dans les relations dites amoureuses où le mental se bat avec le désir pulsionnel, lesquels, ces deux précédents, sont aussi aux prises avec les besoins sexuels basiques du corps. Mais, et pour compliquer encore un peu plus, le couple forme à lui seul une entité mixte des deux individus qui le composent, une entité fusionnelle où ces forces individuelles précitées sont dictées par l’Ego de chacun et se côtoient avec une stabilité variable proche d’un relatif chaos imprévisible mais très dynamique. L’on pourra situer cette "entité-couple" au-dessus de notre iceberg à deux têtes, cette "entité-couple" survole et englobe en même temps les deux individus, elle use de ses propres composantes Yin et Yang pour rééquilibrer sans cesse cette dynamique, pour l’harmoniser selon des facteurs communs de stabilité avec comme outil principal la sexualité qui réalise ce Tao en mouvement, une dualité d’énergies individuelles axées sur plusieurs niveaux rivaux. Ainsi, ésotériquement le 2 de la dualité du couple rejoint le 3 de notre problématique relationnelle tripartite pour former ce 5 si représentatif de l’Humain selon de nombreuses sources ésotériques reconnues, "l’Homme de Vitruve" de Léonard de Vinci inscrit dans son pentagramme en est l’une des plus fameuses illustrations représentatives.

Comme nous le voyons, le grand paradoxe initial de l’Ego qui nous coupe d’autrui pour se protéger (forme de paranoïa normalisée) se voit attiré par sa complémentarité dans la relation amoureuse et par l’attraction de la polarité inverse qui se présente, ainsi la sexualité est une très puissante force d’union et de transformation à tous les niveaux où la friction des Égos engendre une entité tierce ayant des spécificités supérieures à chaque individu basique et même supérieures à leur somme (1 + 1 égal 3, avec le couple), et fonctionnant selon des modes opératoires véritablement d’ordre spirituel, et non plus uniquement biologiques, instinctifs ou mentaux. Il y a donc autre chose de généré qui dépasse la simple condition humaine pour en transmuter les éléments constitutifs, comme dans une décisive alchimie où la dynamique du Yin et du Yang des Égos mélangés dans cet athanor aboutit à une essence plus spirituelle, en ce sens cette transmutation dépasse le niveau profane et se drape définitivement des ors du sacré. Notons que l’on ne pourra jamais bien heureusement effacer l’Ego de chacun, il en restera toujours des scories utiles afin de ne pas dissoudre l’individu (principe entropique du "Solve") mais l’on doit avoir la volonté de le maîtriser pour le dépasser sur ses aspects négatifs et pour en partager l’amalgame sur ses aspects positifs, ceci sans aucune cristallisation (principe entropique du "Coagula"). Pour ceux qui aimeraient en savoir plus sur les voies de transmutation spirituelles autres que celle que peut apporter la relation amoureuse encore que celle-ci n’en soit pas si éloignée, l’on pourra s’orienter sans retenue sur la lecture instructive, riche et prolifique de René Guénon, notamment dans ses ouvrages "Aperçus sur l’initiation", "Initiation et réalisation spirituelle" ou "Symboles de la science sacrée".

Afin de poursuivre tout en terminant cet éclairage que j’ai voulu synthétique pour ne pas trop m’étendre, n’oublions pas que l’Homme est un animal, certes intelligent, sensitif et créatif mais que justement il possède aussi les défauts de ses qualités en voulant outrepasser ses propres limites et celles de la Nature qui l’entoure en cherchant toujours plus loin mais pas forcément toujours plus haut, des "mécanismes" pouvant se retourner contre lui… Ainsi, l’énergie vitale et sexuelle, au départ purement organique bien que plus universelle si l’on suit les raisonnements de Wilhelm Reich (sur ce qu’il appelait l’orgone et les bions) doit rester naturelle et donc ne pas être "dénaturée". Or, depuis quelques décennies l’on voit poindre, avec la technicité insufflée par un progrès que je qualifierais de sulfureux, une volonté de puissance hors norme qui pousse certains hommes à se croire au-dessus des autres et de la nature dont ils dépendent, en cela ils confondent aussi "l’être" avec "l’avoir" au profit du second avec cette immodestie prétentieuse de créer une nouvelle synergie entre le naturel et l’artificiel. "L’artifice", étant d’ailleurs par définition une chimère et une machination : personnifiée par la "machine", véritable illustration du robot ou du Golem physique de la tradition juive, de l’ultime I.A (intelligence artificielle) sans limites, voire hors limite, sorte "d’Egrégor réalisée" dans notre monde physique matériel, ce dont Stephen Hawking nous aura bien mis en garde juste avant de nous quitter… Nous voyons actuellement poindre ce transhumanisme digne d’un ange rebelle dont nous connaissons tous le nom, nous voyons l’humain dévoyé dans son corps même avec des substances transgéniques, nous voyons même cette humanité ne plus se reconnaître en l’homme ou en la femme avec le transgenrisme ou le "non-genrisme", tout ceci reflète une dangereuse "trans-ition" ou même une "trans-igni-tion" (littéralement "de l’autre côté, au-delà, du feu, de la combustion"), n’oublions pas Prométhée "l’apporteur du feu" qui est aussi assimilé à cet autre "porteur de lumière" en embuscade (Lucifer), lumière bien trop ardente pour être sage et juste, Hiroshima en est par exemple sa brûlante dérive atomique…

La décennie qui va arriver sera cruciale pour l’Humanité tout entière, nous y verrons un duel déjà visible entre la Nature, dont l’Homme est issu, et le "dénaturé" issu de l’esprit dégénéré de certains de ces mêmes hommes désirant dépasser les limites qui nous sont imparties et dont ils savent pertinemment qu’elles nous mèneront à notre perte, la leur assurément aussi, en ce sens ils ne sont déjà plus humains mais tendent vers le cyborg, l'intégration vers la machine, vers la puce silicium... Justement, quelle machination, quelle force obscure ou trop aveuglante pousse ces fous à détruire la planète à leur profit à coup d’extermination de la biodiversité ou à sa mutation génétique sous forme d’OGM, de produits génomiques ou d’ondes perturbatrices du rythme intracellulaire ? Je vous laisse y réfléchir et pointer d’ores et déjà votre regard éveillé sur ceux qui cherchent à nous voler notre humanité, la vôtre et celle du Monde sous un diktat trans-eugéniste dissimulé et qui ne porte pas encore ce nom mais dont la souvenance historique pas si éloignée laisse encore résonner lourdement ses bottes avec une même fureur dévastatrice. Sur ces derniers mots, je reste ouvert à vos questions et demandes professionnelles dans le cadre de mon activité en qualité de chaman spécialiste du couple et des relations amoureuses induites (résolution des crises et ruptures), ceci au 06.09.11.94.56 (numéro direct et non surtaxé) ou bien par écrit en passant par mon formulaire de site qui s’ouvre en cliquant ma bannière ci-dessous. Un seul mot d’ordre : résistance, et sachez surtout faire la différence entre la fausse morale que l’on cherche à vous imposer et l’éthique qui est la vôtre !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #Envoutement, #pacte d'amour, #Chamanisme, #Rituels de magie, #magie noire, #Magie sexuelle, #karma

La "Magie Noire", déjà, rien que de l’évoquer certains préfèrent tourner la page et fuir plutôt que de comprendre de quoi l’on parle, et c’est en ce sens que la terminologie exacte s’est progressivement perdue et a été définitivement connotée de manière intégralement négative, ceci par un excès de fausse prudence aboutissant au fil des temps passés à la méconnaissance soupçonneuse puis à la totale ignorance pour en rejeter finalement tous les principes, même les plus essentiels et importants. L'ésotériste et occultiste Stanislas de Guaita, dans sa Clef, donne un parfait éclairage de la Magie Noire que la plupart des initiés ont de nos jours perdu, il la situe dans un double contexte où celui qui opère se servira de cette extraordinaire puissance selon sa propre aptitude et attitude à en tirer partie pour une cause juste ou pour une orientation négative, ainsi il dissocie la "Haute Magie" de la "Sorcellerie" de cette magie dite noire non pas qu’elle soit par convention sombre mais qu’elle se cache de la lumière visible au simple profane qui ne peut la percevoir sous ce voile, et toute la différence tient en ce que l’initié véritable soit plutôt un "Mage invoquant la Haute Magie" ou bien un "Sorcier exhortant la Sorcellerie". De facto, les termes illuminent alors Magie Noire sous deux de ses aspects bien différents mais dont la source provient d’une même zone effectivement dangereuse située dans ce qui est dénommé ésotériquement le "bas astral".

Dans notre monde contemporain où les mots les plus ordinaires peuvent voir leur sens glisser parfois à l’inverse que ce qu’ils signifiaient la veille, l’on ne s’étonnera pas de voir une même approche encore plus marquée pour des signifiants encore plus hermétiques et moins courants, de ce fait l’on a substitué génériquement le "mage" comme étant une "sorte de sorcier" puis finalement dans l’esprit collectif comme étant à part entière un "sorcier puissant" sans en définir plus en avant son orientation exacte, positive ou négative en entremêlant indistinctement cette caractéristique fondamentale. Mais pour compliquer encore plus, ces mêmes notions d’orientation ne sont pas toujours celles que l’on pourrait croire au premier abord et seule une vue contextuelle plus large et plus aiguisée dans le temps ne peut que commencer à conceptualiser cette dualité du bien et du mal dont certains pensent qu’elle est une stricte évidence, ici négative pour la Magie Noire, alors que sa finalité peut assurément fluctuer selon le but réel recherché et les chemins parcourus pour y arriver. Ce qu’il faut retenir de tout ceci, en écartant les nouvelles croyances (ou incultures) qui ne voient dans le Mage qu’un sorcier strictement positif n’usant que la Magie dite Blanche, c’est que justement le Mage est aussi un sorcier pouvant utiliser la Magie Noire avec cette distinction qu’il capte la puissance que pour une orientation finale positive, ce qui n’est pas du tout le cas du "Sorcier Noir" dont le but est inverse.

Cet avant-propos clarifiant les termes, le sorcier n’est pas toujours celui que l’on croit et la nécessité de lui attribuer une orientation principale bien définie demeure une priorité. En ce sens le Mage-Sorcier ou le Sorcier-Chaman auront aussi cette capacité à user de magie noire mais principalement pour des rituels à finalité positive (dans le but de "vaincre le mal par le mal"), alors que le Sorcier-Noir n’ira quand dans l’unique orientation qu’exerce la pure destruction à finalité essentiellement négative. Les mots ont leur importance, qu’ils soient écrits en toutes lettres par le "signe" ou bien déclamés à haute voix par le "verbe", les initiés et praticiens y prennent grand soin de ne jamais laisser s’insinuer une inexactitude ou une ambivalence, surtout si ces mot-écrits et mot-dits le sont dans le cadre de l’exercice d’un rituel précis où le sens assure bien évidemment l’orientation, sans faire de jeu de mot. Car il est dit aussi que la Magie Noire est un "Art suicide et meurtrier", autant ne pas jongler trop souvent avec des grenades dégoupillées, même si l’on sait parfaitement décompter les secondes avant détonation…

L’envoûtement est exactement de cette même nature, à double sens, et lorsque l’on parle "d’envoûtement d’amour" l’on pourrait à juste titre y voir une très évidente et criante antinomie dans la tournure utilisée, pourtant encore une fois les mots peuvent s’avérer trompeurs s’ils ne sont pas mieux définis dans leur objectif final. Ainsi, généralement l’envoûtement d’amour se situe plutôt dans une gamme intermédiaire basique que l’on a inscrite par convention sur la Magie dite Rouge (magie de l’amour, de la sexualité, libido, etc..), et l’on pourrait donc croire qu’elle n’a rien à voir avec la Magie Noire, le rouge passe effectivement mieux, la couleur du cœur pour l’amour semble même tellement explicite et "tomber sous le sens". Or, un envoûtement reste tout de même un rituel de "semi-volontaire contrainte" si j’ose dire, effectivement si l’on cherche à envoûter une personne c’est la plupart du temps contre sa volonté première mais à cette distinction tout de même que l’on peut contraindre une personne à ne pas se faire de mal… Vous voyez toute l’ambiguïté de l’envoûtement, si je vous dis par exemple qu’un praticien assermenté va mettre sous camisole de force une personne pour restreindre ses mouvements afin qu’elle ne se blesse pas, le but devient évident et a priori positif. Maintenant si je vous dis que la même camisole permet d’asservir la personne pour en abuser (clin d’œil au film "Millénium"), alors l’orientation est toute autre.

Dans le but d’éclaircir cette ambivalence critique, le "pacte" définit assurément le but recherché et le partage des responsabilités entre le praticien (Mage, Sorcier, Chaman, Druide, etc.) et le demandeur (personne qui généralement consulte pour le rituel). Le "pacte d’envoûtement d’amour" aura cette grande utilité, d’une part en définissant clairement de qu’elle orientation est le dit sorcier, si c’est un Mage-Sorcier, un Sorcier Chaman ou un Sorcier-Noir, avec parfois d’autres dénominations plus modernes qu’il faudra aussi expliciter (par exemple "énergéticien", oui mais avec quel type d’énergie finalement ? "Magnétiseur", oui mais de quel magnétisme parle-t-on ?), d’autre part le consultant affirmera sa volonté et donc sa responsabilité propre d’engager des travaux de magie "dans le sens" qu’il définira explicitement. Le pacte est donc le meilleur moyen de clarifier ce que l’un demande et ce que l’autre va effectuer, tous les deux doivent assurément aller dans le "même sens" pour arriver au but rechercher, sinon il n’y aura pas de succès à la clef mais beaucoup de problèmes et de contrecoup fâcheux, voire dangereux. Ce qui présuppose que si le pacte d’envoûtement d’amour dispose d’une finalité positive (toute relativité à bien cadrer) pour les deux intervenants, consultant et praticien, alors l’harmonie des travaux sera au rendez-vous. Notez bien aussi que dans le cas d’un cas d’envoûtement d’amour ayant un but d’asservissement négatif, "l’harmonie" peut aussi très paradoxalement être présente si le demandeur et le praticien sont sur la même longueur d’onde négative, comme quoi la relativité des termes, des contextes et des buts s’illustrent pleinement et que chaque perspective se doit d’être définie clairement…

Le chaman professionnel dispose parfaitement de cette Connaissance, de ces paradoxes et de cette relativité de contexte, il ne s’affranchit pas de sa propre nature dont il connait l’orientation et les perspectives qu’il peut entrevoir dans la pratique de son art, il ne peut d’ailleurs pas trahir son propre serment mais connait les profondeurs du chaos, dont ceux de la magie Noire, qu’il sait dompter pour la cause qu’il s’est engagé de suivre. Dans chaque individu, profane ou initié, se profilent des chemins karmiques à emprunter et ce sont ces itinéraires qui ont un "sens" et qu’il ne faut pas dénaturer en les déviant de leurs buts assujettis à la destinée de celui qui les porte. Le chaman est conscient de ces cartes maitresses qui dessinent ces itinéraires et il ne peut concevoir de s’en détourner, ainsi il est un garant de la bonne marche des rituels, notamment ceux d’envoûtement d’amour si la finalité est en accord avec les lois karmiques et qu’elle est remise dans son contexte véritable, lequel demeure toujours relatif et à bien resituer précisément en terme d’orientation. Le chaman est un voyageur de l’esprit, il sait s’aventurer aux sombres frontières de terres astrales dangereuses et en revenir indemne, il sait aussi atteindre les sommets plus lumineux des sentiers éthériques où se dessinent les itinéraires karmiques qu’il saura décrypter pour en trouver les passages les plus adaptés.

Je pense et j’espère avoir quelque peu répondu à certaines questions laissées en suspend et dont l’approche, certes encore complexe, devait ici être approfondie du moins dans la terminologie qui impose aussi une lecture plus proche d’une vérité que les mots ont quelquefois perdu si l’on ne les explicite pas dans leur sens premier ou véritable. Je reste à votre disposition si néanmoins je n’avais pas été aujourd’hui d’une clarté limpide sur le sujet évoqué, donc n’hésitez pas à me joindre au 06.09.11.94.56 (numéro direct et non surtaxé) dans le cadre de mon activité professionnelle pour me poser des questions ou pour m’expliquer votre problématique afin que je puisse vous aider par des travaux adaptés à votre demande. Vous pouvez bien entendu aussi m’écrire de manière plus posée et précise en passant par mon formulaire de contact qui s’ouvre en cliquant sur ma bannière ci-dessous. Je vous dis à très bientôt, et en ce mois estival "compliqué" mais essentiel pour une perspective dynamique je vous transmets toute l’énergie positive dont nous aurons tous besoin pour un avenir en commun sous de meilleurs auspices de Libertés !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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En ces temps présents et à venir de grands désordres et de crises profondes à la fois sociétale, économique, sanitaire et environnementale, il est plus que d’actualité de trouver un équilibre puissant et durable qui puisse palier aux divers stress que nous endurons par la force des choses ou qui nous sont imposés, aussi, il était nécessaire de rappeler certaines règles fondamentales que le chamanisme dispense pour le bien de chacun personnellement mais aussi de proche en proche pour une communauté plus large, plus éclairée et plus résiliente. C’est par le maître mot de résistance que l’on s’oppose à des situations que l’on sait néfastes pour soi-même et pour autrui, c’est en propageant cet esprit de résistance positive que l’on rétablit un juste équilibre salvateur. Il en va de même avec ce que le chaman traditionnel réalise dans sa tribu pour le bien de celle-ci et tout autant du chaman plus urbain et moderne qui gère d’autres situations plus contemporaines, pourtant tous les deux utilisent exactement le même principe universel d’harmonie entre l’esprit (l’intellect, le mental, le cogito), la nature (l’environnement, l’espace vital, l’interdépendance) et le corps qui est le réceptacle intermédiaire et poreux aux affects extérieurs et intérieurs qui s’exercent sur nous. Notre entière fausse modernité nous a coupé dogmatiquement du monde réel en sectorisant ou compartimentant toutes les problématique existentielles alors qu’elles sont toutes inter-reliées de manière visible ou plus subtile, et c’est donc en puisant dans cette Connaissance des correspondances universelles que le chaman apporte et restitue des solutions qui sont des passerelles entre notre réalité intérieure, celles qui nous entourent et celles qui sont encore au-delà de nos perceptions communes, plus ésotériques et discrètes mais agissantes…

Pourquoi parler du chamanisme en ces temps troubles ? Depuis quelques décennies nous avons vu notre monde progressivement glisser vers l’uniformisation globalisée de l’humanité avec ce désir immodéré de transformer absolument tout ce qui nous entoure en marchandises avec un prix négociable, ceci au total bénéfice de structures financières et commerciales devenues au fil du temps de véritables puissances supranationales avec d’insidieux et délétères effets tout comme un poison lent qui s’infiltrerait sournoisement dans nos veines. A l’heure actuelle nous avons enfin pris conscience de la détérioration de ce monde où l’environnement s’appauvrit en ressources, où nos activités forcées à la surproduction et droguées à la croissance contaminent et polluent notre environnement de manière irréversible, où même le climat commence à se dérégler en provoquant de plus en plus régulièrement de véritables déluges mortels en tous lieux du globe, et enfin où la vie elle-même commence à disparaitre drastiquement avec l’immense perte de biodiversité galopante que nous avons engendrée à nos risques et périls. Il est clair que le chaman, homme profondément proche de la Nature, n’admet pas cette déchéance de notre humanité face au monde vivant en proie à la destruction programmée, il prône au contraire l’union avec la Terre-Mère, avec cette Gaïa qui nous a tout donné mais qui aujourd’hui pourrait devenir stérile et mourir à l’image de la planète rouge.

Aujourd’hui la Nature se venge de notre inconsciente et immorale subversion à ses valeurs de vie, elle réveille ses plus fidèles alliés depuis des milliards d’années pour nous confronter à la réalité de nos actions destructrices et nous démontrer implacablement nos erreurs, l’aspect sanitaire qui nous préoccupe tant en est une résultante directe à la hauteur de notre délit, une punition qui sonne comme un avertissement solennel. Le chaman, "medicine-man", est aussi avant tout un prophète inspiré du vivant, d’abord des Hommes en qui il se doit d’apporter la sagesse des liens qu’il doit entretenir avec son environnement, hier immergé en forêt dense ou en steppe à perte de vue, aujourd’hui dans nos écosystèmes amoindris et en déséquilibre à cause de l’intensification de notre voracité insatiable. Le chaman sait donc plus que quiconque qu’il faut savoir respecter son milieu naturel pour se respecter soi-même, auquel cas si l’un est malade alors l’autre le sera aussi en contrecoup. Mais de nos jours même l’Homme ne se respecte plus lui-même, il s’en trouve qui veulent faire sécession d’avec tous les autres, ceux-là mêmes qui ont tout volé, tout exploité et tout ruiné et qui veulent maintenant asservir encore plus leurs semblables après s’être servi sur le dos de la planète entière, ce sont aussi les mêmes que l’on voit tels des déserteurs à bord de fusées pour dire au monde qu’ils veulent partir s’installer sur Mars… D’autres plus petites élites rêvent avec ces imposteurs milliardaires de suivre leurs traces d’esclavagistes profiteurs, espérons que l’avenir leur donnera tord et qu’un monde de partage solidaire et respectueux écartera ces forcenés de gré ou de force…

Le chaman peut aussi exercer une terrible violence légitime face à la violence illégitime de ceux dont le séparatisme avec la vie détruit tout ce qu’il touche ou bien l’assujettit à une corruption mentale et sociale de par des outils dévoyés à sa cause. Nous voyons actuellement très distinctement ce séparatisme à l’échelle de la planète entière dans des institutions politiques, financières et commerciales qui cherchent par l’abus de pouvoir à diviser pour mieux régner, à affaiblir le faible pour renforcer le puissant, à appauvrir le pauvre pour enrichir le très riche. C’est cette mondialisation que l’on nous a vendue, une extrême marchandisation du monde au profit de fanatiques et de psychopathes gouvernant pour eux-mêmes et qui nous cachent leurs véritables intentions d’exploitation et d’asservissement mondial. La spiritualité du chaman est "au-dessus" de toutes ces basses malversations, très au-dessus puisqu’il a pouvoir de dialoguer avec les esprits, avec Gaïa et avec les forces telluriques qui n’agissent qu’en ultime recours et défenses du principe absolu de la Vie sur notre globe. A l’heure actuelle ces forces de la Nature assistées des Anciens, lesquels sont les garants authentiques des grandes Lois naturelles, ont décidé d’envoyer un ultimatum aux Humains pour qu’ils corrigent entre eux leurs erreurs et fassent le tri du bon grain de l’ivraie pour rétablir le principe d’harmonie universelle, ils ont ainsi demandé aux plus sages d’entre nous et conscients des risques encourus d’agir dans ce sens, les chamans font partie intégrante de cette action purificatrice et salvatrice avec beaucoup d’autres initiés.

Pour que chacun agisse efficacement à son propre niveau, il est d’abord conseillé de refuser la subversion du principe de vie imposée par ceux qui ne la garantissent pas mais la pervertissent par leurs décisions, c’est-à-dire ceux qui ne respectent pas le droit légitime et souverain que chacun dispose de son propre corps, de plus il est indispensable de respecter le libre arbitre de ses décisions où chacun garde à l’esprit ses propres convictions intimes sans être soumis à de fausses nouvelles lois iniques et dangereuses pour le bien d’autrui et de soi-même. Retrouver son propre équilibre, entre son corps et son esprit, en plein discernement et pleine lumière, et non le voir assujetti à des puissances obscures qui travaillent dans l’ombre pour en tirer profit de pouvoir ou d’argent. Chacun doit comprendre que cette harmonie retrouvée passe par une résistance proportionnelle aux défis quotidiens et à venir contre ces forces du mal, sachant qu’ailleurs nous sommes observés de très près et que nos décisions personnelles sont aussi captées par des puissances spirituelles bien supérieures. Chaque chaman ou initié en est conscient aujourd’hui sur la planète, il faut agir avec cette conviction que l’Humain est digne de sa propre nature qu’il sait parfois combattre pour le meilleur de ce qu’il représente et de ce qu’il sera potentiellement dans un avenir universellement ouvert sur d’autres horizons prometteurs et positifs.

Comme d’habitude je reste à votre disposition et tout aussi ouvert à vos questions en ce qui concerne cet article important par les temps qui courent, ceci afin d’aider ceux qui cherchent à ne pas tomber sous le joug d’un quotidien non désiré et non désirable ainsi qu’aux conséquences sociales et familiales qui s’en trouveraient "de facto" grandement perturbées. Je suis joignable au 06.09.11.94.56 (numéro direct et non surtaxé) ou bien par écrit depuis mon formulaire de contact qui s’ouvre en cliquant sur ma bannière ci-dessous. Je vous dis à très bientôt, en toute résistance face à l’adversité que certains voudraient nous imposer par la force ou par une duperie orchestrée via un système perverti à la solde d’une élite arrogante auto-proclamée.

Jean-Pascal Bruno, chaman professionnel

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #Amour, #Envoutement, #couple, #karma, #retour affectif, #Rituels de magie

Et si nous parlions d’amour, de rituel, de couple et de karma, et des liens subtils qu’ils entretiennent secrètement ?! Comme pour tout domaine complexe l’esprit humain préfère généralement rechercher la simplicité au risque de contredire la finesse de sa propre raison afin de s’assurer une certaine basse sérénité et d’écarter le trouble de la complexité qui l’habite. Cette attitude apparemment paradoxale est néanmoins parfaitement compréhensible, d’une part pour des raisons purement psychologiques liées à la peur et au tourment d’aborder de front les problèmes avec cette potentialité de ne pas pouvoir les surmonter, d’autre part, et cela est moins évoqué, tout simplement la grande consommation d’énergie vitale nécessaire à cet exercice d’introspection, de cogitation et de confrontation avec le réel, l’humain préférant se raconter des histoires, certes fausses, mais personnelles et moins énergivores plutôt que d’affronter l’immensité labyrinthique de la réalité qui le touche et dont il ne peut entrevoir que rarement une sortie acceptable avec comme perspective sa propre finitude ou celle de son infime action sur le monde, une trop difficile confrontation intérieure le vidant à terme de toute sa substance et de son énergie. Pourtant de grands penseurs, philosophes, métaphysiciens, spiritualistes ou religieux ont été confrontés aux tourments de l’existence et nous ont offert des réponses intéressantes en y laissant parfois leur vie en échange à force d’un travail de recherche acharné et surtout à cause du déni de leurs contemporains à regarder certaines vérités complexes en face.

Dans cette perspective la relation à autrui, et plus précisément la relation amoureuse, permet d’approcher une vérité que l’on ne peut ni nier, ni réfuter ou refuser au risque d’abandonner tout challenge existentiel et "de facto" toute évolution personnelle puisque nous nous construisons d’abord grâce aux multiples miroirs du regard des autres, avec eux et réciproquement dans ce mouvement perpétuel qui nous pousse tantôt en position d’attraction et d’acceptation, tantôt en position inverse de répulsion et de contradiction avec ce que nous sommes ou voulons devenir. C’est dans ce choix délibéré et responsable, d’aller vers autrui ou bien de rejeter sa présence, que s’élabore l’humanité qui nous caractérise et qui nous éloigne de l’animalité, laquelle n’a pas pleinement conscience des choix complexes à intégrer mais reste principalement poussée par son instinct primaire. Pour autant, et nous le savons tous, l’humain n’est pas dénué d’affects qui en font aussi un animal, il peut en effet lui-même se contraindre de suivre ses propres instincts primaires ou basiques dans des conditions quotidiennes normales, par exemple durant l’acte sexuel, ou bien moins ordinaires lors d’événements extrêmes tels des guerres où la cruauté et la barbarie peuvent soudain resurgir d’un cerveau reptilien à l’affût d’un stimulus adéquat de défense ou d’attaque. J’ajouterais hélas, et on le voit aussi de plus en plus actuellement, que la "mise en veille" de l’esprit critique par le lavage de cerveau récurrent que la population subit n’apporte que son lot de simplifications radicales des idées et de comportements pouvant alors lentement glisser vers une vision également instinctive et animale qu’il est alors facile de dompter par quelques subterfuges politiques de bas étage… La manipulation des esprits par une pseudo élite est aussi une composante de l’existence, mais ceci est un autre sujet que j’ai déjà abordé.

Le "retour affectif" porte en lui les germes d’une complexe contradiction que je viens d’évoquer, celle que "l’on veut ce que l’on ne contrôle finalement pas consciemment" puisque nous serions comme ces marionnettes dont les ficelles sont principalement et initialement manipulées par nos instincts, esclaves de nos désirs et à la merci de nos pulsions primaires… C’est d’ailleurs majoritairement pour cette raison que beaucoup de gens se mettent dans des situations invraisemblables sans savoir comment ils en sont arrivés là, par exemple comment ils ont pu dépenser autant d’argent en choses inutiles et se retrouver endettés jusqu’au cou pour des années (par avidité primaire), ou bien comment il ont pu signer une assurance hors de prix pour se protéger de risques totalement improbables (par peur induite), ou bien encore comment ils ont pu se marier avec telle ou telle personne qui ne leur convient pas du tout (par pur et unique instinct sexuel), l’on pourrait d’ailleurs assurément faire le tour des vices existants pour s’apercevoir qu’ils sont tous issus de pulsions primaires non contrôlées.

Alors l’amour est-il aussi une pulsion? Bien heureusement non, la complexité d’une relation amoureuse complète et durable met en œuvre nos affects supérieurs tout en laissant néanmoins une marge de manœuvre raisonnable à nos instincts primaires dont on relâche la bride aux moments opportuns, c’est le cas de la plupart des gens même si certains comme je l’ai dit précédemment peuvent se laisser piéger. Les initiés savent aussi que "l’envoûtement amoureux" s’élabore de manière multiple et assurément complexe, que l’on soit dans une situation normale où les personnes "tombent amoureuses" ou bien dans une configuration plus construite où une des deux personnes s’affaire pour que l’envoûtement se concrétise et soit ensuite partagé, dans ce dernier cas la réciprocité est induite par un processus de contrôle, qu’on l’appelle séduction naturelle ou rituel de magie c’est exactement la même chose au final avec cette différence fondamentale que d’un côté elle est désirée par un charme d’attraction spontané, de l’autre par un rituel d’attraction effectué (en magie rouge). Et même pour aller encore plus loin, les praticiens expérimentés diront que le charme dit naturel et spontané ne l’est pas tant qu’il n’y parait mais qu’il est lui aussi instrumentalisé et induit par un autre phénomène invisible, complexe et subtil : le karma… Car comme le disait si bien Paul Eluard, grand initié, poète de l’amour et surréaliste: "il n’y a pas de hasard il n’y a que des rendez-vous", et donc des rencontres qui ne tiennent pas du hasard mais des unions prévues à l’avance et préparées sur des chemins d’existences qui se croisent à un carrefour élaboré tout spécialement: impossible de se manquer.

La réalité karmique est très certainement l’aspect le plus marquant et le plus complexe qui soit pour le profane qui n’y voit qu’une vue de l’esprit (forcément dérangé), à la fois difficile d’accès en terme de compréhension si l’on ne dispose pas pour ce faire du bagage intellectuel et ésotérique, mais aussi de cette conviction intime et formelle qui passe par une puissante expérience ésotérique de terrain ou par l’acquisition d’un don d’en percevoir la réalité objective dans un schéma global d’évolution bien orchestré. La grande question sera alors la suivante: mais qui donc organise tout ceci et gère cette réalité karmique supérieure? La réponse est elle-même dans la question: une autorité supérieure en guidance de nos actes mais en total accord avec le parcours existentiel à maintenir, ceci avec les bonnes personnes, au bon moment et au bon carrefour de la vie. Bien souvent le terme de synchronicités revient dans ces hasards qui n’en sont pas mais qui doivent être perçus comme des croisements karmiques détectables et assurément primordiaux, comme des points de repère à suivre, car chacun a pu expérimenter un jour ce moment surprenant et presque surnaturel où l’on sent qu’il va se passer quelque chose d’important et que cela arrive. La rencontre amoureuse fait partie de ces évènements karmiques préparés, de ces synchronicités qui se dévoilent et se concrétisent. Le rêve prémonitoire peut être assimilé à une sorte de vision karmique si l’on arrive néanmoins à s’en souvenir assez précisément pour en percevoir la profondeur et s’en saisir afin de guetter sa réalisation, c’est sur cette technique que les chamans opèrent leurs propres pratiques au sein de rituels de magie à la fois complexes et stricts durant lesquels la destinée d’autrui peut se dessiner et être (ou pas) révélée.

L’amour, le rituel, le couple et le karma : l’inséparable quatuor qui en dit toujours long lors de mes séances en qualité de chaman professionnel afin d’exposer à ceux qui en ont le besoin la réalité karmique qui se détache de synchronicités visibles très utiles pour trouver l’amour ou retrouver l’être aimé. Je vous propose de continuer ce court exposé si vous le voulez en prenant contact avec moi par téléphone au 06.09.11.94.56 (numéro direct et non surtaxé) ou bien par écrit depuis mon formulaire de contact (cliquez sur la bannière ci-dessous pour ouvrir ma page), de même pour ceux qui désirent une étude plus approfondie via des rituels dédiés que j’effectue selon le contexte en présence. Je vous dis à très bientôt et soyez à l’affût de vos rêves, ils sont peut-être et même certainement le reflet karmique d’une réalité à venir…

Jean-Pascal BRUNO

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #Chaman, #Chamanisme, #Esoterisme, #Rituels de magie, #jean pascal Bruno, #travaux occultes

Le chamanisme passionne notre monde occidental sans qu’il en comprenne les véritables rouages ésotériques qu’un vrai chaman peut actionner dans sa pratique, et l’on voit une sorte de mode un peu floue estampiller telle ou telle tendance de "chamanique" alors qu’elle n’en a pas ni attributs dans sa forme ni dans sa finalité. Il est donc bon de dégager les vérités de ce brouillard qui encombre les esprits et en pervertit une vision juste et bien équilibrée de ce qu’est exactement le chamanisme, de ce que fait un chaman et de ce que sont les rituels chamaniques. La confusion provient principalement de l’ignorance ou de la superficialité des connaissances du profane qui projette dans le chamanisme une version totalement fantasmée et mélangée de toutes les pseudo-magies issues du New-âge avec les incohérences logiques qui en découlent. Néanmoins, il faut savoir aussi qu’il n’existe pas qu’une seule sorte de chamanisme mais plusieurs, réparties à la fois géographiquement et historiquement, ce qui pourrait effectivement perdre le plus assidu des amateurs d’ésotérisme bien qu’une trame les relie toutes dans un unique sillon ésotérique dont la profondeur est proportionnelle à la valeur de l’enseignement dispensé par le chaman, ainsi que par les dons et pouvoirs qu’il a su acquérir ou bien qui lui ont été confiés. C’est ce que nous allons approfondir pour émettre un peu de clarté dans cet océan de fausses certitudes ou d’inexactitudes.

Cet article fait suite à celui, un peu dur mais totalement justifié, sur les marabouts où il est vrai qu’il fallait remettre à sa place la pratique de ces sorciers africains dans le contexte qui leur appartenait, et sans revenir sur ce point quelque peu polémique où les dénominations ont leur importance l’on pourra se poser la question de savoir si le chaman est un "sorcier" comme les autres, et si non quelles sont ses véritables attributions ? Mais dans un premier temps il faut bien savoir que le chamanisme est à la base une pratique magique rituelle commune à de nombreux peuples de nos jours ou plus anciennement dans l’Histoire. Par exemple les Amérindiens (Indiens d’Amérique du Nord) avaient des chamans comme guide de tribu, ce que les Occidentaux envahisseurs ont tout de suite apparenté à des sorciers en référence à une culture ésotérique plus proche du moyen-âge et de son inquisition que de la réalité, de même pour l’invasion plus ancienne de l’Amérique du Sud par des conquistadors espagnols avides d’or et d’évangélisation des peuples autochtones, ces derniers également complètement décimés physiquement mais aussi culturellement et spirituellement. Sur ce point l’on peut assurer que le chamanisme traditionnel n’est pas l’ami du culte des religions monothéistes occidentales.

Pour continuer rapidement en matière de géographie du chamanisme, dans les plaines de Mongolie jusqu’en Asie du Sud et en Indonésie la pratique est encore très active dans les contrées les moins touchées par l’uniformisation de notre modèle occidental, le chaman est encore consulté de manière traditionnelle avec le plus grand respect comme dépositaire du savoir des peuples et de leurs coutumes millénaires. Ce savoir ésotérique se transmet oralement à des initiés, le chaman qui est un "medecin man" demeure avant tout un guérisseur des maux du corps mais aussi de l’esprit, il est un conseiller précieux lors des cérémonies importantes, notamment de mariages et de rites funéraires. C’est sur ce dernier point crucial, du passage de la vie à la mort que se différencie selon moi le "sorcier magicien" du chaman, lequel est ce que l’on appelle un psychopompe, c’est-à-dire qu’il aide les âmes à passer les étapes de l’après-vie et en connaît tous les secrets, là où le sorcier n’en a pas forcément la Connaissance intime ni le pouvoir spécifique. Cette différence fondamentale entre le sorcier et le chaman permet d’affiner linguistiquement les termes afin mieux comprendre que les uns utilisent ponctuellement la magie via des rituels consacrés et des formulations extérieures empruntées, les autres sont réellement investis magiquement du pouvoir conféré "ad vitam" dans leur chair et dans leurs os suite à une initiation très dure qui les transforme radicalement, qui les transmute et les consacre jusqu’à leur mort.

Il est vrai que l’ambiguïté est forte (chez nous en occident) entre les pouvoirs du sorcier et du chaman tant il peuvent se ressembler, mais les deux ne vivent pas leur rôle de la même manière comme je viens de l’expliquer, de même l’on pourra attribuer au sorcier des forces plus sombres (pour ne pas parler de Magie Noire) là où le chaman n’ira que dans une seule direction strictement positive même si parfois les esprits démoniaques de l’infra-monde pourront l’y aider indirectement, surtout pour combattre le mal par le mal. De même, une autre confusion peut venir entraver la bonne compréhension des rôles et des pratiques puisque le chaman le devient pleinement par un rite d’initiation complexe et douloureux qui fait appel en premier lieu justement aux forces démoniaques afin de le faire mourir symboliquement (mais réellement en ressenti spirituel) par la destruction complète de son "être d’avant" et par son démembrement, pour en une deuxième phase renaître via des puissances célestes qui lui accordent un nouveau corps "reconstitué" plus fort et un esprit apte à contenir la magie pour l’exercice de ses rituels en vue du bien de la communauté. Pour faire plus simple et rapide : le sorcier sera un peu plus "personnel" (gardera son Ego dans sa pratique) en ayant acquis une connaissance de la magie généralement par l’étude ou la transmission, et le chaman disposera pour sa part d’une aura plus altruiste (Ego dompté et dominé) en ayant reçu en lui la source primordiale de la Magie, une ouverture directe sur l’Arbre Monde (l’Axis Mundi) qui permet de voyager sur les "trois niveaux": celui de l’infra-monde, celui du monde des hommes et celui du monde des esprits (des morts ou célestes). De ces voyages le chaman pourra interroger les esprits dont il connait le langage pour trouver les réponses et les actions à mener en vue de solutions aux problèmes à résoudre.

Les travaux "occultes" du chaman ne le sont que parce qu’ils ne sont pas accessibles aux profanes, pas pour d’obscures raisons qu’il voudrait cacher quoi que ce soit puisque son pouvoir magique est "en lui" et ne peut donc être transmis que par un passage initiatique consacré. Le sorcier, lui, préfère ne pas livrer ses secrets et qu’ils soient hermétiques afin de garder ses pouvoirs ou pour "protéger" ceux qui n’en seraient pas dignes… En ce qui concerne plus précisément l’Arbre Monde des chamans et ses trois niveaux, l’on pourrait y voir une comparaison avec les mondes infernaux, humains et angéliques qui sont évoqués aussi chez les sorciers; ce sont en effet les mêmes puissances qui portent aussi des noms différents selon les cultures ou coutumes. Les "voyages chamaniques" passent généralement par des rêves eux-mêmes provoqués par des transes chamaniques qui rappellent assurément les extases tantriques des lamas tibétains ou bouddhistes; ici aussi les correspondances sont nombreuses, le "modus operandi" pour y arriver est parfois très différent dans le fond ou au contraire similaire dans la forme avec par exemple les tambours rituels qui peuvent rythmer les cérémonies dans des lieux où des fumigations (encens ou herbes) apportent le climat propice à l’extra-corporalité, c’est-à-dire au voyage en question. Mircea Eliade, historien des religions et ésotérologue, a d’ailleurs très bien étudié toutes les communautés chamaniques du monde et celles qui s’en approchent pour que vous puissiez continuer d’approfondir ce sujet de manière très complète et savante si cela vous intéresse, je vous recommande donc vivement sa lecture passionnante !

Pour ma part, et ceux qui me connaissent bien le savent, je suis chaman professionnel depuis de nombreuses années déjà et je réponds aux sollicitations pour effectuer divers rituels pouvant aider ceux qui sont en souffrance ou qui n’arrivent pas à résoudre une problématique trop complexe ou lourde à porter. Par souci de clarté pour mes contemporains j’ai souvent utilisé le terme de "sorcier-chaman" afin qu’ils puissent comprendre à la fois l’étendue des possibilités qu’apportent la magie opérative et la magie traditionnelle chamanique qui peuvent se compléter ou se recouper selon les contextes en présence et les situations spécifiques. Dans tous les cas je reste à votre disposition par téléphone au 06.09.11.94.56 (numéro direct et non surtaxé) ou bien par écrit sur mon formulaire de contact qui s’ouvre en cliquant sur ma bannière ci-dessous. Je vous dis à très bientôt et n’hésitez pas à lire mes autres thèmes d’articles qui sont exposés sur la colonne de droite de ce blog, vous y trouverez certainement aussi des réponses !

Jean-Pascal BRUNO

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #Tantra, #trantrisme, #sexualité sacrée, #envoûtement amoureux, #Magie sexuelle, #Rituels de magie

Le sexe a toujours été une préoccupation majeure des êtres humains, hommes et femmes à égal niveau d’intérêt, tant pour le plaisir que pour la procréation avec cette différence que l’homo sapiens est un animal quelque peu plus évolué ayant croqué ce fameux fruit de la Connaissance avec tous les déboires que l’on sait mais aussi toutes les chances de mieux comprendre sa propre destinée (sans pour autant que tous en maîtrisent la subtile essence). Car ici-bas en effet tous les humains ne sont pas égaux en terme d’évolution spirituelle, ainsi qu’en savoir ésotérique ou en herméneutique. Dans ce sens les plus initiés seront pleinement conscients que la sexualité est aussi une source d’inspiration sacrée importante là où d’autres, plus novices ou plus profanes, n’y verront uniquement qu’une pulsion exaltée de la chair à assouvir dans l’effort d’un acte sexuel pour libérer des tensions et exulter en sécrétant voluptueusement divers fluides corporels. Une définition presque médicale pour signifier la notion d’orgasme lié à une union sexuelle dûment consommée. Bien évidemment presque tous seront d’accord, profanes et initiés, pour affirmer que la sexualité ne se résume pas juste à une affaire de sexe situé sous la ceinture mais que le cerveau y participe tout autant voire de manière prépondérante pour enclencher cet "obscur objet du désir" qui passe assurément par une volonté farouche, pour ne pas dire affirmée. Enfin, d’autres encore, assez peu nombreux seront capables de percevoir dans la notion de sexualité une perspective plus large aboutissant à une certaine forme de sublimation spirituelle afin d’évoluer, ce sont ici des initiés de haut niveau, des pratiquants de rituels tantriques proches de la magie rouge opérative.

Mais ne nous y trompons pas, la magie sexuelle (magie rouge) opère sur des modes de fonctionnement bien différent que le Tantrisme et les deux n’ont pas une même fonction ni un même "public". Les rituels de magie rouge ne peuvent être effectués que par des sorciers-chamans professionnels disposant d’une Connaissance ésotérique permettant d’opérer des rituels précis selon une gamme assez large en fonction de la problématique à résoudre. Ainsi, la magie rouge apporte d’excellentes réponses lors des tensions conjugales (que l’on appelle trivialement les "problèmes de couple") pour le retour d’affection ou le retour de l’être aimé si celui-ci est en rupture ou proche de la séparation. De même, les travaux en magie rouge jouant sur l’attraction (physique ou plus émotionnelle et sentimentale), les rituels qui lui sont attribués sont capables d’encourager fortement cette "attraction" ou au contraire dans d’autres cas plus spécifiques de provoquer une "répulsion". Prenons l’exemple d’une femme mariée qui veut se débarrasser de la maîtresse de son mari, alors la magie rouge lui sera de la plus grande utilité en passant par un travail à moyen ou long terme pouvant faire intervenir plusieurs rituels complémentaires comme la réduction de la libido de son mari ("nouer l’aiguillette") pour limiter ses escapades, avec en complément une action plus directe sur la maîtresse en question pour la repousser et garder l’exclusivité de son propre couple.

Dans un même registre "l’envoûtement amoureux" opérera via la magie rouge pour ceux qui chercheront un pouvoir d’attraction spécifiquement ciblé sur un individu en particulier, dans ce cas ce sont plutôt des hommes ou des femmes célibataires ayant jeté leur dévolu sur une personne pour s’en attirer les faveurs de manière ponctuelle ou plus durablement selon les types de rituels (ou "sortilèges"). L’on ne doit pas voir ici une quelconque "possession", la magie rouge n’est pas une magie noire de transgression ou d’agression, c’est au contraire une magie d’assimilation dont l’approche reste naturelle dans le sens où elle ne fait qu’effet de levier sur ce qui existe déjà en l’amplifiant ou en le révélant à autrui pour un rapprochement. Ainsi l’envoûtement amoureux ne fonctionne que sur les personnes déjà connues dans l’entourage dont le relationnel n’est pas négatif mais juste neutre ou positif pour dépasser un seuil vers une union plus proche et intime. C’est d’ailleurs le propre de la magie sexuelle que d’utiliser ce qui existe comme "outil de base" pour amplifier l’effet et l’adapter à chaque situation ou contexte. Dans certains cas, par exemple si l’on recherche l’âme soeur, alors une autre magie complémentaire de "révélation" (comme la magie blanche) pourra être invoquée comme rituel de départ des travaux afin d’orienter au mieux la suite à adopter en ce qui concerne les choix de rituels de magie rouge.

En ce qui concerne la sexualité dite "sacrée", elle est issue principalement d’une tradition tantrique d’origine hindouiste puis bouddhiste tibétaine, c’est-à-dire issue de certains textes sacrés appelés "tantras". En occident l’on a la fâcheuse tendance à confondre le texte avec la doctrine, et l’on perçoit donc dans le tantra ce que représente le tantrisme tout entier alors qu’il existe une multitude de textes (tantras) dont seul le "tantra de Guhyasamāja" fait appel à la pratique du yoga faisant référence à l’énergie sexuelle comme facteur de progression spirituelle et d’évolution. Il est donc assez bon de savoir, notamment pour les initiés, que tous les tantras ne sont pas orientés uniquement sur la sexualité mais ces des textes sont consacrés à des fins d’évolution selon de multiples voies pour la purification de l’esprit et du corps. Pour être parfaitement encore plus précis, nous devons donc employer la terminologie exacte de "tantrisme sexuel" et celle-ci coexiste en deux voies principales : le tantrisme de la main gauche (ou "Vamachara") qui effectivement utilisera la sexualité comme moyen opératif productif, et le tantrisme de la main droite (ou "Dakshinachara") qui sera plus ascétique, privilégiant la méditation en sublimant la pulsion sexuelle pour en retirer une énergie spirituelle conséquente. Les deux voies étant au choix, opposées ou complémentaires…

En occident nous n’avons évidemment retenu que la version purement sexuelle du tantrisme traditionnel, notamment avec la vague new-âge du début des années soixante, et même bien avant avec la "Golden Dawn" (Aube Dorée) et Aleister Crowley qui a su promouvoir avec outrance et débauche sa pratique rituelle axée à la fois sur la sexualité et sur l’utilisation de drogues psychotropes. Aujourd’hui l’on sait parfaitement que certaines substances sont psychoactives et potentiellement utilisées pour entrer en transe durant des rituels traditionnels : des drogues comme le "Peyotl" mexicain dont Carlos Castaneda aura su vanter les mérites dans ses ouvrages ou bien "l’Ayahuasca" des tribus amazoniennes dont se servent habituellement les chamans. En occident et de nos jours, en ce qui concerne typiquement la sexualité, les satanistes et les lucifériens ne sont pas en reste, pas toujours en leur honneur, leurs rituels sont en grande partie axés sur le sexe durant des réunions secrètes qui se terminent la plupart du temps dans le meilleur des cas en "parties fines" bien organisées mais aussi parfois pour le pire avec de graves dérives où ces "groupes sectaires" auraient utilisé des enfants durant non seulement leurs ébats ritualisés mais aussi en vue de réels sacrifices humains (affaires de "l’Alliance Kripten" et "d’Abraxas" en France par exemple)… Il faut donc aborder la magie sexuelle avec une grande prudence, d’une part pour ne pas finir tout simplement dans un club échangiste si l’on cherche avant un approfondissement spirituel, d’autre part pour ne pas entrer dans une secte en se retrouvant soi-même l’objet du rituel ou complice de pratiques réprouvées par la loi et généralement peu gratifiantes pour son karma…

Mais pour en rester à de saines pratiques, mieux vaut suivre un tantrisme traditionnel (main droite ou main gauche au choix, voire les deux) ou alors passer par la magie rouge opérative qui se base sur votre volonté avec comme guide un chaman sorcier professionnel qui a de l’expérience et une véritable Connaissance ésotérique. Ceux qui me suivent savent à quel point la magie opérative est complexe et n’autorise pas l’amateurisme, c’est pour cette raison que je me suis engagé depuis plus de trente ans dans cette orientation claire de magies apportant des solutions parfaitement adaptées aux demandes durant des travaux respectant celui ou celle qui fait appel à mon expertise pour l’aider dans sa démarche. Dans cette perspective je reste à votre disposition pour répondre à vos questions (sur le thème de cet article ou d’autres si besoin, voir sur la colonne de droite les thèmes en ligne), vous pouvez donc me joindre par écrit depuis mon formulaire de contact en cliquant sur ma bannière ci-dessous ou bien plus directement en me téléphonant au 06.09.11.94.56 (numéro direct et non surtaxé). Je vous souhaite un excellent Week-End en ce mois de mai ensoleillé et à bientôt pour une première prise de contact, si besoin !

Jean-Pascal BRUNO

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #marabout, #Esoterisme, #occultisme, #magie africaine, #guérisseurs, #marabouter, #mise en garde

Personnellement je n’ai rien contre les marabouts, ces sorciers africains tribaux, mais je vais expliquer pourquoi il est risqué de se faire marabouter en occident et plus précisément en France. Il faut déjà bien savoir qu’il existe deux sortes de marabout, le premier est un ascète religieux, celui-ci étudie le Coran mais n’exerce aucune magie car cela est d’ailleurs strictement déconseillé et assez bien stipulé dans les Écritures (et les savants musulmans ont condamné unanimement la magie), le deuxième est un sorcier qui assure exercer une certaine magie en totale infraction avec les convictions qu’il dit avoir en suivant les Écritures auxquelles il se réfère généralement, il y a donc un premier problème déterminant assez simple à comprendre à ce niveau… Pour résumer, deux marabouts : d’un côté un véritable croyant et un exégète savant respecté chez lui, de l’autre un sorcier mystificateur qui emprunte aux textes sacrés la substance dont il se revendique alors qu’elle en interdit formellement sa pratique. La différence est donc fondamentale mais il fallait en quelques mots déjà bien la rappeler à ceux qui ne le savaient pas encore pour qu’il n’y ait aucune confusion possible. Ceci dit, la problématique du marabout-sorcier s’amplifie encore lorsqu’il se clame guérisseur ou professeur au nom de ses propres ancêtres tribaux, ce qui ne serait pas une polémique en soi dans son pays et au sein de son propre clan mais ceci devient effectivement strictement inapplicable en dehors de son cercle restreint, d’autant plus en dehors de son pays d’origine. Les coutumes des uns n’étant ni compatibles ni transposables dans toutes les contrées du monde et encore moins dans un occident riche de ses propres solides traditions ésotériques ou occultistes. C’est le sens de cet article, non pas d’attaquer le maraboutage d’Afrique (de l’ouest subsaharien, région de sa principale activité) mais d’en comprendre que son exercice typique n’est non seulement pas du tout adapté en dehors de son continent initial mais surtout aussi totalement inefficace ou voire dangereux en dehors de sa propre zone géographique et culturelle.

Inefficace, le marabout "guérisseur" car s’il avait sauvé de la maladie des "patients" dans nos pays cela se saurait et nous serions tous en train de boire des décoctions d’écorces et de prier les ancêtres du marabout pour nous sauver. Bien entendu il est plus que probable que certaines herbes locales soignent de la diarrhée ou de la fièvre dans les tribus africaines éloignées des centres-ville et que ces problèmes de santé soient gravissimes dans ces contrées démunies de tout où le moindre petit bobo peut hélas dégénérer en s’aggravant et même aboutir à une mort certaine. L’on comprend alors mieux la ferveur et la dévotion des habitants de ces villages pour leurs marabouts locaux s’ils peuvent soulager ces maux qui chez nous se résolvent en quelques heures avec un comprimé d’aspirine ou d’imodium. De même, pour des maladies bien plus terribles comme le cancer, l’on n’a jamais vu ni connu aucun cas sérieux de guérison en passant par un marabout, certainement aussi parce que les "patients" qui l’ont testé ne sont plus là pour en parler, ayant rejoint bien vite les ancêtres invoqués par ce même marabout, au doux pays des morts… Sur ce point donc aucun mystère mais que des certitudes, celles qu’il vaut mieux passer par un médecin sérieux que de passer de vie à trépas dans les mains d’un marabout guérisseur. Donc "exit" le guérisseur qui maraboute des clients plutôt qu’il ne soigne des patients !

Inefficace, le "professeur" marabout ou le "maître" marabout. Les titres, de maître et professeur, ont un sens bien précis dans nos sociétés occidentales bien structurées, mais apparemment ils ne doivent pas avoir la même signification pour le marabout qui s’en octroie plus le symbole d’un statut personnel que la valeur qu’il préconise vraiment, il faut donc se méfier des adjectifs qui font partie du décorum auto-attribué plus que de l’autorité légale que l’on attendrait d’un professeur ou d’un maître, d’autant plus que le marabout se dit voyant ou médium mais ne joue pas trop dans le didactique professorale dans ses propos toujours peu clairs ou très hypothétiques… Donc "exit" le professeur et le maître, surtout s’il s’arroge de superlatifs d’autant plus douteux : Grand Maître Marabout ou Grand Professeur Marabout, nous ne sommes pourtant ici ni au prestigieux Collège de France ni au Grand Orient chez les frères trois-points de la rue Cadet. Notons au passage que nos doctrines, savantes, académiques ou bien plus ésotériques et maçonniques, peuvent en toute légitimité historique user des titres que je viens brièvement d’exposer. Il n’y a assurément pas de mal à remettre d’aplomb les mots exacts pour ce qu’ils sont et d’en écarter illico le dévoiement de leur utilisation par des usages trompeurs et forcément malhonnêtes. Trop de personnes profanes ne font plus attention au sens premier des mots; l’afflux d’information généré par nos réseaux dits sociaux n’arrange rien et même aggrave la situation avec des non-sens, des fake-news, des déviations et des approximations, dans cette perspective nous ne sommes pas loin de l’univers dystopique de George Orwell qui dénature et même inverse le discours et le langage commun.

Risqué, et même dangereux, ce même marabout qui dit vouloir vous aider. La seule certitude en allant voir un marabout est qu’il va "vous marabouter" et non s’occuper de votre problème, et c’est l’unique méthode en sa possession que de vous persuader, en montrant le Coran comme preuve, qu’il va agir pour votre bien. Or, et je l’ai souligné précédemment, les Écritures condamnent la magie des marabouts, alors comment ceux-ci pourraient se prévaloir d’un savoir qui n’autorise pas leur pratique ? Pour entrer un peu plus dans les détails, un marabout n’utilise que la référence à ses propres ancêtres locaux, il tente de puiser dans une force de mort, laquelle qui plus est, va à l’encontre de la croyance de ceux qu’il dit aider, ce n’est tout simplement pas possible. Le marabout n’est rien d’autre qu’une sorte de nécromancien (transcription dans notre terminologie occidentale) faisant appel à ses propres croyances, à ses références culturelles qui ne sont pas les nôtres ici en Occident, à ses auxiliaires qui ne sont rien d'autre que des "djinns" (des "démons" dans notre terminologie). Le risque principal est donc d’aboutir à une interprétation erronée de la problématique soumise par une personne dans le besoin, car cette interprétation n’est pas basée sur votre culture profonde mais sur celle du marabout d’Afrique qui ne jure que par ses ancêtres locaux décédés et par des sbires démoniaques, lesquels ne sont assurément pas les vôtres. Il n’y a néanmoins aucun conflit culturel à avoir, chacun est libre dans ses choix et ses cultures, il y a juste un conflit d’identité culturelle ésotérique, cela n’est pas du tout la même chose, l’on n’impose pas une culture différente à autrui, d’autant plus si l’on utilise une "magie locale" qui n’a aucune référence ni méthode adaptée pour le consultant. La dangerosité réside donc dans cette inadaptation entre les moyens et la problématique généralement soumise, ce décalage culturel et identitaire d’une magie pouvant dénaturer l’essence même de la personne qui consulte par ce déphasage spirituel, lequel impose beaucoup plus qu’il ne sait résoudre.

Ce "maraboutage" correspond donc à une prise de contrôle sur la personne consultant par le marabout qui use de sa magie pour lui-même et pour ses ancêtres dont il perpétue la mémoire, et non pour le bien de celui qui n’est pas de son clan ou de son village, encore moins de sa culture si celle-ci est occidentale… Concevoir que le marabout de tel village en Afrique puisse exercer sa magie ancestrale dans son village semble logique, mais qu’il exporte (pour ne pas dire colporte) sa magie spécifique d’un autre temps et dans d’autres lieux semble totalement inadapté voire risqué. A chaque outil sa spécification, l’on n’enfonce pas un clou avec des aiguilles à tricoter et l’on ne tricote pas avec un marteau. De même, les magies occidentales et les diverses formes d’ésotérismes qui en résultent ne sont pas compatibles avec des magies typiques et locales, notamment les magies purement africaines issues des marabouts subsahariens. Le marabout se dit aussi sorcier dans le sens d’une sorcellerie orientée vers ses ancêtres avec cette pointe de nécromancie dont je parlais, il n’en va pas de même des sorciers occidentaux qui n’utilisent pas les mêmes flux, ni les mêmes méthodologies dans les rituels. Là où le marabout parle d’un "travail", il sait qu’il va travailler sur vous, contrairement au sorcier occidental qui va effectuer des "travaux" avec vous, toute la différence est ici subtile mais reste bien évidemment fondamentale quant au résultat. D’un côté la magie du marabout "vous changera" car vous serez le problème à gérer, de l’autre la magie occidentale changera votre contexte pour qu’il s’adapte à votre demande et à votre problématique.

Comme d’habitude un simple article ne serait approfondir une thématique aussi complexe et même polémique à souhait puisque chacun verra midi à sa porte, mais j’ai ici présenté un point de vue très largement partagé par la majorité de ceux qui exercent ce métier lié à l’ésotérisme et à l’occultisme pour une magie opérative plus ouverte sur le monde et respectant avant tout la volonté de la personne consultant pour son unique bien, c’est en ce sens que moi-même je conçois mon métier de sorcier-chaman exerçant en France depuis maintenant plusieurs décennies avec pour seul but de vous expliquer la valeur d’une Connaissance qui est universelle et donc qui se doit d’être partagée selon le niveau de chacun. Je reste à votre disposition pour toute question sur le sujet abordé ou sur un autre (voir les articles sur la colonne de droite de ce blog) sans oublier que vous pouvez me soumettre vos propres problématiques en sachant que je réponds à tous les messages si ceux-ci sont complets et précis. Pour ce faire merci de me joindre via mon formulaire de contact (qui s’ouvre en cliquant ma bannière web ci-dessous) ou bien en me téléphonant directement au 06.09.11.94.56 (numéro direct et non surtaxé). Je vous souhaite une bonne journée et à très bientôt lors de notre prochain contact (inscrivez-vous si besoin à ma newsletter pour être au courant des prochains articles édités).

Jean-Pascal Bruno

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #Esoterisme, #Rituels de magie, #protection, #chamanisme et bouddhisme, #désenvoûtement, #entités, #karma, #Akasha

Il n’y a jamais de hasard ! Si un "problème" existe c’est qu’il a une cause mais aussi une vraie raison d’être qui doit sa résolution à notre façon de le comprendre puis de l’aborder avec une volonté d’en extraire une leçon significative afin d’évoluer. Ainsi, si nous refusons de comprendre une situation, si nous refusons d’aborder une problématique, si nous refusons d’en insuffler la volonté nécessaire et suffisante à son étude alors nous sommes coupables "en nous-mêmes" de ne pas avoir cherché à évoluer avec comme conséquences une inertie invalidante, un cercle vicieux interminable ou bien une involution en spirale (notez bien la géométrie de ces trois cas). Pourquoi une telle entrée en matière? Dans nos sociétés nous avons faussement réponse à tout, notamment lorsqu’un problème se présente nous devons toujours chercher une "solution", mais la plupart du temps la résolution réside dans le contournement ou dans la résistance afin de contrer ledit problème sans véritablement savoir le pourquoi exact de celui-ci, sa réelle source ni sa "motivation"; de même l’acte de résolution ne devient presque jamais une prise de conscience mais au contraire le plus souvent un acte délibéré de déviation, un éloignement volontaire afin qu’il ne touche plus au contexte immédiat de notre réalité subjective.

En ce sens, "se protéger" des problèmes devient en soi aussi une problématique, celle de l’évitement, du détournement et de la non-acceptation de ce qui devait arriver, c’est une sorte de renoncement déguisé avec de potentielles multiples conséquences à bien analyser ou à sérieusement envisager avant de prendre une décision finale. D’un autre côté, accepter d’emblée et sans y prêter plus d’attention qu’il y a un problème sous-jacent ou à venir est aussi un renoncement, c’est choisir délibérément d’en subir pleinement toutes les conséquences sans autrement réfléchir plus loin, c’est une forme d’asservissement volontaire dans la perte d’un libre arbitre actif, ce qui n’est pas évidemment non plus la bonne solution en soi, alors comment réagir et qu’en penser vraiment pour avancer ? Marcher pour avancer. Toute notre vie peut d’ailleurs être résumée à une petite histoire: nous marchons sur des chemins plus ou moins escarpés et à un moment une épine s’enfonce dans l’un de nos pieds, soit nous continuons à avancer, avec plus de mal et beaucoup plus lentement en souffrant, soit nous nous arrêtons de marcher pour tenter d’enlever l’épine, ce qui ne signifiera pas que ce soit forcément possible non plus de le faire en une seule fois ou très facilement… Dans ce sens nos parcours existentiels sont jonchés de buissons épineux, de chemins difficiles à parcourir et donc d’épreuves à subir avant d’atteindre le but que nous avons fixé.

Qu’il soit bien entendu aussi, et cela est facilement vérifiable, que dans nos sociétés la majorité de la population n’a plus aucun véritable "but existentiel" que celui de vivre confortablement en s’entourant d’un grand nombre d’objets matériels censés apporter la paix de l’âme et le plus grand bien en évitant les souffrances d’une vie moins opulente... C’est ici déplacer fondamentalement la problématique existentielle en utilisant le mental pour glisser vers la matérialité au détriment d’une évolution plus spirituelle, laquelle demeure pourtant la véritable boussole de notre évolution pour nous guider. Cette surprotection, par l’accumulation matérialiste, n’est que le point d’entrée dans ce cercle vicieux qui fait tourner en rond ceux qui se sont fait happer par un consumérisme effréné qui n’a aucun sens pour les véritables initiés, sauf peut-être celui de prouver que ce dérivatif abaisse le niveau de conscience et n’apporte aucun progrès spirituel, bien au contraire il retarde ou annule la majorité des évènements susceptibles d’une avancée propre à exercer un gain karmique en surmontant la venue d’une épreuve existentielle probante apportant une réelle problématique à résoudre. Par conséquent, même si nous ne pouvons pas vivre comme des reclus ou des ermites, le monde dit moderne apporte un confort qui s’apparente à une toile d’araignée, véritable "piège protecteur" qui détourne de la route et englue celui qui s’y complait trop.

D’ailleurs pour en revenir à notre épine dans le pied, celui qui s’arrête de marcher n’aura jamais l’occasion de tomber sur ce problème et par conséquent ne saura jamais ce qu’est une épine ni son effet sur le pied. Tout ceci pour dire qu’en voulant "se protéger de tout" finalement l’Homme moderne en oublie de vivre les expériences qu’il devrait subir pour en tirer des leçons spirituelles à but karmique. De la même façon que prendre un livre pour le lire est une dépense d’énergie et parfois une souffrance pour les yeux, voire pour le cerveau pour certains, alors il ne faudrait plus ouvrir un seul livre pour ne plus souffrir… Nous retrouvons aussi d’ailleurs ce même dilemme sociétal dans la gestion du Covid avec les restrictions sans fin qui permettent de "protéger" tout en empêchant de vivre normalement… Alors bien entendu il y a un juste milieu, c’est aussi ce qu’enseigne le Tao, avec la voie du bon sens, et surtout ce qu’enseigne le bouddhisme de Siddhartha Gautama avec la voie du milieu qui permet à la fois l’éveil spirituel et la libération de la souffrance en passant néanmoins par un "noble sentier octuple" (un chemin à huit voies que je vous laisse découvrir…). En ce sens la meilleure des protections reste la sagesse face à l’adversité, encore faut-il en avoir Connaissance, en avoir Volonté et Oser s’en servir avec discernement sans ostentation, c’est-à-dire sans en faire état. L’on retrouve ici l’adage ésotérique SAVOIR VOULOIR OSER et SE TAIRE, les quatre fondements de la magie, les quatre piliers du Temple de Salomon, je vous laisse aussi sur cette piste éclairée pour trouver par vous-même l’initiation propre que ces termes contiennent.

Dans ma pratique, en qualité de Sorcier Chaman professionnel, je reçois depuis plusieurs décennies des demandes associées à des problématiques très diverses et parfois extrêmement complexes à traiter. Il faut bien savoir alors dévoiler la véritable source intrinsèque du problème et ne pas y déceler uniquement un simple "mal", lequel pourtant paraît au premier abord comme une évidence au profane qui souffre et ne perçoit pas la chance qu’il a d’avoir cette opportunité personnelle de devoir surmonter cet écueil existentiel qui lui apportera la volonté de chercher et de trouver une solution (cette solution qui sera à jamais gravée dans le fil conducteur de son Akasha, permettant d’évoluer selon les lois karmiques). Il faut donc voir dans toute épreuve le "script caché" qui a été écrit pour chacun d’entre nous en fonction de notre niveau d’évolution, ce qui formera notre histoire présente dans cette existence et en construira d’ailleurs l’essentiel de ce qui devra en être retenu (nous sommes tous principalement en souvenance dans nos vies de ce qui a réellement compté et qui passe par une volonté d’agir et de surmonter une difficulté particulière qui nous a marqués, qui est donc fortement marquée dans notre mémoire, et dans notre Akasha). C’est dans ce sens que l’analyse d’une problématique soumise qui s’accompagne d’une demande de protection se doit d’être ajustée selon l’aulne de la sagesse qui impose un regard plus subtil et éclairé sur la cause et la fonction du problème qui se présente, parfois la solution est effectivement de contrer un mal agissant, tantôt il est bon de laisser agir ce mal agissant afin d’en percevoir la leçon existentielle, ce qui n’est effectivement pas toujours du goût ni du potentiel de compréhension directe du profane, ce qui nécessite une explication de la part de l’initié, une sorte d’apprentissage du problème, ce que l’on nomme aussi l’initiation.

D’autres maux que ceux du commun existent et sont néanmoins d’une nature plus dangereuse à ne pas laisser en suspens et demandent de facto que l’on s’y occupe par le biais d’une puissante "protection magique". L’on peut concevoir aisément que le danger de se voir pousser par autrui sur la voie de l’inertie (le point fixe), du cercle vicieux ou de la spirale involutive, demande de contrer rapidement cette volonté de nuire à l’évolution naturelle d’une personne selon la logique initiale de son karma. Les maux dont je parle sont principalement ceux issus d’entités malfaisantes profitant d’une faiblesse physique ou énergétique pour s’insinuer dans l’existence d’un individu par possession complète ou en partie de sa volonté souveraine, il faut alors restituer l’intégrité de cette volonté en effectuant les rituels appropriés avec les protections adéquates. De même, d’autres méfaits peuvent provenir de magie noire ou de sortilèges d’envoûtement et se doivent eux aussi d’être contrés par des contre-sorts et des travaux pour rétablir l’ordre naturel des choses, c’est-à-dire de l’existence selon le cours karmique normale.

Comme nous le voyons, un problème n’en est pas toujours un s’il s’accompagne de la solution ou à défaut de la prise de conscience qui permet de surmonter l’épreuve qui se transmute alors en "expérience spirituelle", laquelle devient un atout karmique pour évoluer et passer son chemin sur une autre voie pour avancer. Il est souvent compliqué au profane de décrypter ces problématiques et d’en extraire l’essentiel, aussi je propose mon aide et mon savoir-faire pour "éclairer" quand cela est un besoin et "protéger" quand cela est une nécessité. Pour ce faire vous pouvez me joindre pour en discuter par téléphone au  06.09.11.94.56 (numéro direct et non surtaxé) ou bien par écrit en passant via mon formulaire de contact qui s’ouvre en cliquant ma bannière web ci-dessous. Je vous dis à très bientôt et sachez dorénavant que tout ce qui vous arrive a été programmé par vous-même pour votre propre évolution, donc voyez-y d’abord des opportunités et non forcément des problèmes!

Jean-Pascal BRUNO

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #couple, #sauver son couple, #harmonie, #énergie, #Rituels de magie

Il est presque toujours difficile pour le profane d’imaginer la complexe intrication entre sa propre relation de couple et son karma, à savoir entre son vécu présent et le passif de ses vies antérieures, lesquelles jouent un rôle majeur au cœur de son histoire tant personnelle que relationnelle avec autrui. Le concept karmique est lui-même en soi une quasi-folie à expliquer pour qui ne conçoit pas la possibilité de la métempsycose, c’est-à-dire cette notion de réincarnation successive nécessaire à notre évolution afin de corriger nos erreurs passées et d’avancer vers des buts fixés à l’avance pour compléter l’expérience de la matière au sein d’un corps physique et plus largement d’une dimension vibratoire planétaire (pour nous, la Terre). Pourtant, de plus en plus je constate avec une certaine sérénité une avancée sur une voie prometteuse, non pas celle d’une Connaissance ésotérique démystifiée mais celle d’une Reconnaissance de la complexité du principe vital avec la place réservée à l’humain dans son environnement. Je constate ceci de la part d’une population en général plus avertie et plus réceptive aux changements, ce qui augure, même en ces temps éprouvants et confus, une excellente perspective d’évolution globale des mentalités afin d’améliorer le monde, du moins d’en avoir la volonté et l’espérance. Mais c’est aussi sans compter la forte adversité de notre époque incertaine qui apporte son lot de crises relationnelles multiples à tous les niveaux de la société, notamment dans le couple parfois au bord de la rupture ou bien en complète dysharmonie; alors comment gérer ces déphasages et ces "mauvaises énergies" qui sont dans l’air du temps pour y voir au contraire un moyen d’en saisir l’opportunité d’en retourner la polarité négative afin de bénéficier d’un gain de vitalité et de clarté; doit-on y voir une sorte de transmutation à opérer sur son propre Ego et pour le bien du couple ? C’est le but de cet article que d’apporter quelques pistes et aussi quelques conseils que j’espère utiles.

Dans toute volonté de résolution de problématique la Connaissance est l’outil indispensable pour ne pas s’égarer dans la jungle des possibles ou dans le labyrinthe des hypothèses couteuses en énergie et en temps, par conséquent le premier conseil est toujours de figer le contexte, d’en extraire les points forts et les points faibles puis d’en analyser les causes, les sources et les conséquences. En cela un premier travail essentiel doit être effectué, soit seul avec concentration, soit avec l’aide d’un professionnel qui saura orienter plus directement et rapidement cette première phase préparatoire. Dans un deuxième temps il est clair qu’après avoir dégagé le chemin il faut avancer mais nous n’avons pas tous à notre disposition les bons outils ni les modes d’emploi pour créer cette avancée vers la résolution, et celle-ci se situe dans la Connaissance, c’est-à-dire dans le savoir afin d’en appliquer la bonne méthode dans l’expérience en soi. Pour être plus terre à terre il faut donc avoir la volonté d’acquérir le savoir exact qui correspond à la problématique en question. Bien entendu, encore une fois le temps joue aussi contre celui qui cherche à résoudre une situation qui potentiellement se dégrade progressivement, il y a donc aussi une analyse secondaire à effectuer, celle de gérer au mieux cette "prise de temps" (et non "perte de temps") afin d’accéder à la bonne méthode, aux outils adéquats et à l’exécution précise dans l’action juste. Certains verront d’ailleurs ce petit préambule comme une perte de temps ou une pure lapalissade, qu’ils se détrompent en lisant la suite…

Revenons à notre couple à la dérive. Si nous savons tous bien une chose, c’est qu’agir dans la précipitation, dans l’ignorance ou en état proche de la colère n’arrange strictement rien à la situation, bien au contraire à chaque action non évaluée, à chaque mot dit de travers et à chaque pensée mal orientée correspond un décalage malencontreux, un déphasage avec ce qui aurait dû être effectué dans la réalité de manière plus judicieuse et plus réfléchie… C’est, la plupart du temps, à cause de ces imprécisions accumulées et répétées que les couples créent d’inextricables quiproquos et des erreurs de jugement dommageables qui n’améliorent pas une situation déjà chancelante, laquelle n’a alors besoin que d’une infime goute d’eau pour faire sombrer la barque déjà pleine. Mais comme si cela ne suffisait pas, et je le répète, un contexte négatif ne fait qu’amplifier chaque erreur commise et démultipliant les conséquences, en créant d’autres brèches dans cette barque prête à couler, il convient alors d’écoper au plus vite, c’est-à-dire d’effectuer une mise en abîme de la situation, prendre le recul nécessaire avec le temps d’analyse essentielle dont je parlais précédemment. Effectuer cette "pause" est la condition sine qua non pour stopper cette tendance au désastre et l’inverser dans une deuxième phase, cette fois de résolution bien déterminée et ciblée.

Pourquoi le contexte joue-t-il d’ailleurs ce rôle de catalyseur, et comment utiliser ce phénomène notable ? S’il est un secret que tout le monde connaît mais que personne ne met véritablement en pratique (sauf les initiés), c’est bien que l’être humain est un réceptacle, il absorbe par l’ensemble de ses sens tout ce qui l’environne, il n’en est pas toujours pleinement conscient et c’est justement sur ce point qu’il ne perçoit pas toujours consciemment les signaux faibles qui peuvent le déstabiliser, il ne voit clairement que ce qui se présente juste devant son nez, il ignore tout des prémisses invisibles qui constitueront l’architecture de la réalité future, laquelle construira son présent. En d’autres mots l’Homme anticipe assez peu, ou bien trop peu avec justesse et sagacité, il est avant tout un être sensitif de l’immédiateté et de la réaction dans l’impulsivité naturelle qui le caractérise. Ce qui n’arrange pas les choses c’est qu’en plus de ses sens habituels il est aussi un "animal énergétique", ses muscles utilisent de l’énergie, son cerveau est une dynamo cellulaire neuronale, il dispose de centres énergétiques (chakras) reliés sur tout son corps, c’est aussi une véritable antenne à ondes, il émet et reçoit des signaux et des fréquences… Dans notre monde surchargé d’information, saturé le plus souvent d’absurdités créées de toute pièce dans un but de manipulations (mercantiles ou autres…), l’Homme est comme noyé dans un flux continu qui vient aussi constituer son environnement et donc perturber le contexte dans lequel il doit vivre et prendre des décisions. Mon conseil: débranchez vite la télévision et en quelques jours vous y gagnerez en clarté et en intelligence (cela aussi vous le savez tous mais vous ne le faites pas). Effectuer une pause contextuelle c’est se détacher du brouhaha ambiant et se recentrer sur l’essentiel, déjà sur soi, effectuer une véritable "réflexion", retrouver une densité, une "concentration", les mots ont un sens caché réel pour qui les écoute ou les lit autrement.

Nous voyons que pour commencer à résoudre un problème "de couple" (deux), il faut déjà se résoudre soi-même à de bonnes résolutions, la méthode de la "pause" est essentielle pour y arriver. Qui ne sait pas prendre le temps se fait prendre par lui et emporter. Cette phase de repos, de ralentissement du flux, de tri de l’utile et de rejet du superficiel, permet à l’individu de retrouver une sérénité personnelle propre à mettre en pratique des méthodes d’analyse claire et d’action précise. L’on peut, si l’on veut aussi en savoir plus sur la maîtrise du contexte, de ses flux d’énergie et d’ondes, se renseigner (le point "Connaissance") sur les fréquences telluriques, la résonance de Schumann, les oscillations vitales de Lakhovsky, et certaines méthodes très efficaces de luminothérapie (les couleurs et leurs influences) ou bien tout ce qui concerne la lithothérapie (les cristaux et leurs effets), de même le reiki peut être une voie à suivre, d’ailleurs à deux. Encore une fois, gérer le contexte est primordial pour gérer un problème de couple, et s’affranchir des effets négatifs d’un contexte est déjà une victoire et une avancée significative sur le chemin de la résolution. Évidemment, apprendre dans l’urgence n’est souvent pas possible, par manque de temps et parfois par manque d’énergie ou de volonté pour le faire, c’est ici que peut être utile de s’engager dans un travail sur soi via un professionnel qui vous aidera dans cette voie. C’est ce que je propose en qualité de Chaman Sorcier, ayant une Connaissance des arcanes que je viens rapidement d’évoquer avec l’expérience de plusieurs décennies (déjà) de pratique des Arts Majeurs, ce que l’on appelle plus communément la Magie et ses rituels, ou l’occultisme (les choses cachées ou invisibles au profane).

La résolution des problèmes de couple passe d’abord par une exigence qui se situe déjà dans une discipline personnelle pour une pleine conscience du contexte réel et de ce qui se joue en soi afin de mieux appréhender la réalité du couple pour ensuite trouver les moyens ("normaux" ou plus ésotériques) d’agir efficacement. L’aspect karmique des situations vécues n’est pas à négliger non plus mais c’est ici une autre phase bien plus complexe car difficile ou impossible à interpréter par soi-même mais dans le cadre de mon activité professionnelle je peux vous aider à éclairer ce point existentiel et à mettre en œuvre des travaux si votre couple est en crise: n’hésitez pas à me joindre au 06.09.11.94.56 (numéro direct et non surtaxé) ou bien par écrit en passant par mon formulaire de contact qui s’ouvre en cliquant sur ma bannière ci-dessous. Je vous dis à très bientôt ou à tout de suite pour un premier contact!

Jean-Pascal BRUNO

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #Envoutement, #Magie Blanche, #couple, #magie rouge, #retour d'affection

Les problèmes de couple proviennent en grande majorité d’un déphasage entre les partenaires, que ce soit d’ordre physique, énergétique ou bien plus complexe à des niveaux spirituels ou purement contextuels, tout se situe dans l’amplitude du déséquilibre qui est présent à un moment donné pour desserrer les liens amoureux existants. Par conséquent, penser résoudre cet état de fait (qui conjugue souvent plusieurs facteurs additionnels) par une unique réponse n’aura que peu de chance d’aboutir à un résultat probant et efficace, c’est pourquoi dans un premier temps l’analyse de ces facteurs et du contexte reste une opération cruciale pour définir le déroulement des travaux à venir via les meilleurs rituels, du moins les plus adaptés au tissu complexe qui se présente. Voyons la problématique conjugale comme une pelote de ficelle très précisément enroulée au début de la relation puis qui commence à s’effilocher progressivement (sorte de relâchement habituel dû à la routine qui s’installe), pour ensuite commencer à créer des nœuds enchevêtrés étant de plus en plus difficiles à démêler. Ce sont, symboliquement parlant, ces nœuds qui brouillent la relation en créant des blocages, des "pertes de fil conducteur", des éloignements de cette fluidité nécessaire au rapprochement amoureux. Afin de ne pas s’empêtrer complètement dans des situations déstabilisantes pour le couple il convient donc de défaire ces nœuds existentiels, de rétablir le "fil de l’histoire" avec des liens visiblement plus nets, de lisser ces écueils afin de retrouver un juste équilibre émotionnel, c’est-à-dire ce fameux "retour d’affection" dont tout le monde parle.

Mais d’un point de vue encore plus complexe et certainement plus proche d’une réalité tangible, l’on pourrait voir en l’amour une sorte d’intrication quantique, une similitude vibratoire entre deux individus qui se retrouvent alors "en phase" pour coexister, pour exister ensemble tout simplement sur un même niveau émotionnel, énergétique et spirituel, et évidement aussi sur un même socle de plan physique et temporel comme base de référence. Ce serait donc à la manière de ce que la physique quantique nous apprend sur les particules élémentaires, que celles-ci pourraient à une échelle infiniment petite vibrer de concert, ce qui arriverait à l’une se répercuterait sur l’autre et inversement, une liaison quantique que l’on pourrait assimiler à une liaison amoureuse en parfaite réciprocité. Bien entendu il faut voir en chaque personne dans une dimension bien plus imposante que celle de l’atome, peut-être en concevoir l’unification de l’ensemble de tous les atomes la constituant, peut-être aussi quantifier cette unité d’ensembles atomiques en une fréquence énergétique unique caractérisant chaque individu. De facto, nous pouvons alors concevoir l’attraction amoureuse entre deux individus comme une représentation plus énergétique qui les rapproche dans leur spécification à interagir harmonieusement, en bon équilibre, en phase.

En ésotérisme l’on parle couramment et sans détour d’énergie spirituelle et de niveaux énergétiques pour qualifier un tant soit peu l’état émotionnel et physique d’une personne, l’on y perçoit alors des aspects fluctuants en terme de ressources énergétiques, à l’image de l’exaltation ou de son inverse la dépression, chacun sera dans ce flux ondulatoire constamment en mouvement, tantôt à un haut niveau, tantôt plus bas en cas de problème puisant dans les ressources vitales qui nous sont propres pour en affaiblir le taux vibratoire général et donc l’énergie basique qui génère ce même taux. Voir dans tout ce qui nous entoure une représentation vibratoire et énergétique n’est pas une absurdité issue de l’occultisme le plus obscur qui soit, c’est aussi et surtout une vision très récente du monde tel que les physiciens le perçoivent, à la fois au niveau atomique mais aussi à un tout autre niveau infiniment plus grand puisqu’il s’agit ici de l’univers entier, sous la forme vibratoire des diverses théories des cordes où se fondent l’énergie, la matière et temps dans une structure plus universelle de la relativité. Mais tout ceci pourrait sembler nous détourner de notre sujet principal, or il n’en est rien, bien au contraire ces quelques lignes d’avant propos éclaireront les esprits quant au rapprochement des diverses disciplines scientifiques et ésotériques, lesquelles finalement parlent exactement de la même chose, mais évidemment sous des angles différents avec des "outils" qui le sont tout autant…

Plus particulièrement en magie opérative et durant les travaux, "l’outil" principal à mettre en oeuvre n’est rien d’autre que la personne elle-même qui recèle en son sein de ses propres moyens d’agir, de ses propres ressources à dispenser ou à emmagasiner, et comme nous l’avons vu aussi, de ses propres énergies et taux vibratoires à gérer. C’est sur ces aspects intérieurs à l’être humain que résident les solutions, que les rituels se fixent en rehaussant les énergies de manière plus harmonieuse, en rééquilibrant le psychisme avec son alter ego physique qui le porte comme véhicule existentiel lui permettant d’interagir avec son environnement ainsi qu’avec autrui, c’est-à-dire d’échanger de l’intérieur vers l’extérieur de soi tout en comprenant intimement que cet ensemble forme un Grand Tout uni. Le sentiment amoureux et la relation qui en découle directement ne sont que les effets de ces multiples interactions différentes, de l’interpénétration de ces énergies différentes qui se mettent en phase pour retrouver un équilibre sur un même taux vibratoire sur le chemin de contextes parcourus et de personnes rencontrées. Ainsi, l’amour est une vibration constamment en mouvement, une réverbération du monde en soi et du soi vers le monde, tout ce qui est en bas est comme tout ce qui est en haut, l’intérieur est comme l’extérieur, il y a du zen dans cette vision pénétrante en yin et en yang des choses de la vie qui nous entourent, et Hermès n’est pas très loin avec sa Table d’Émeraude pour nous montrer la couleur de la réalité environnante.

Durant des travaux de Magie Blanche, ce sont les rituels axés sur l’apport d’énergie ou bien sur sa bonne gestion interne qui sont à l’œuvre afin de rééquilibrer les ressources d’une personne qui en a besoin, notamment en cas de problème de couple lorsque l’harmonie n’est plus présente et déstabilise la relation. En ce sens la magie blanche agit principalement comme un catalyseur d’énergie positive pour un retour d’affection en faisant appel à la Loi d’attraction pour resserrer les liens distendus des deux partenaires. De même, la Magie Rouge va pour sa part encore plus loin en favorisant le rapprochement amoureux en jouant principalement sur les désirs, sur la libido, sur la sexualité et sur les sentiments, par ces principes directeurs qui agissent sur la relation la magie rouge dispose d’un levier puissant afin d’engendrer l’attraction à un niveau supérieur même si parfois l’on parle d’envoûtement amoureux en ce qui concerne les rituels pratiqués pour ce faire puisqu’ils peuvent aussi cibler des instincts plus primaires pour une efficacité complète. Un mixte "magie blanche et magie rouge" permet une action conjuguée encore plus globale et équilibrée afin d’aboutir à la réussite de l’effet recherché, à savoir le retour affectif de l’être aimé et la consolidation durable du couple dans une harmonie partagée. Certains voient dans la terminologie d’envoûtement amoureux une négation même de l’amour alors qu’en définitive ce n’est que l’appellation d’un moyen qui permet aussi à chacun des partenaires de faire le chemin vers l’autre, il n’y a par conséquent aucune force noire contraire ou négative dans ce type de rituels, de plus le fait d’y adjoindre la magie blanche comme "travail starter" ne peut qu’être un aspect positif en terme de remise à niveau énergétique et de réharmonisation réciproque des partenaires dans ce qu’ils sont en commun vibratoirement.

En qualité de praticien j’exerce ce mixte "magie blanche et magie rouge" en qualité de chaman-sorcier depuis plusieurs décennies avec d’excellents résultats et sans jamais avoir eu de chocs en retour comme c’est le cas pour la plus sulfureuse Magie Noire, laquelle recèle assurément en elle la destruction et le chaos qui ne sont effectivement pas véritablement compatibles avec la notion positive et constructive d’une relation amoureuse harmonieuse digne de ce nom pour remettre d’aplomb un couple. Je ne cacherais pas que la Magie Noire fait aussi partie de mes compétences lors de contextes extrêmement encadrés et dans des buts cibler pour contrer le mal par le mal en toute protection et assurance. Si vous désirez plus d’informations sur le thème de cet article ou me poser des questions alors n’hésitez pas en me téléphonant au 06.09.11.94.56 (numéro direct et non surtaxé) ou bien en me joignant par écrit depuis mon formulaire de contact qui s’ouvre en cliquant ma bannière ci-dessous. Je vous dis à très bientôt, et ne perdez jamais de vue votre idéal, surtout si celui-ci passe par une relation de couple harmonieuse qui peut être redynamisée par d’efficaces rituels mixtes de magie blanche et de magie rouge complémentaires !

Jean-Pascal BRUNO

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