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Blog chaman ésotérisme

Blog chaman ésotérisme

Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

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S’il est bien un problème de couple par excellence, c’est bien celui qui pourrait mener à sa séparation, à la rupture ou à l’éloignement. De "crime d’Amour" alors il y a, d’en concevoir à un moment sa fin et même son enterrement, de première ou de seconde classe en fonction des raisons et des buts recherchés, en fonction des contextes mais aussi et surtout, et sur ce point on ne l’évoque pas assez ou si peu, essentiellement en fonction de l’Ego des forces antagonistes en place, du couple redevenu une dualité qui s’oppose plus qu’elle se complète et s’entraide, en ceci "le crime" est parfait si personne n’en trouve le véritable mobile, ce qui dans le monde profane demeure le plus souvent une vérité empreinte de non-dits, de silences ou effectivement de contrevérités absurdes, intentionnellement voilées ou non… Les initiés tentent de faire la part des choses du réel mais aussi de l’imaginaire des Ego dans ce qu’ils ont de subjectivité mais aussi selon cet incroyable "effet Rashōmon" (1) qui implique que chacun, chaque Ego, aura sa propre vérité, son propre compte-rendu (ou "conte" tout court) forcément pseudo-objectif selon l’angle qu’il aura bien voulu prendre dans la perception de l’histoire de sa relation de couple, de lui-même dans cette relation et de sa propre conscience face au monde et à autrui. De là à en faire un "cas de conscience" il n’y a qu’un pas, par conséquent l’initié y entrevoit justement les rapports complexes et très ésotériques entre l’Ego et le moi transcendantal, une alchimie qui pourrait avoir bien d’autres orientations intéressantes, dites supérieures, que celles qui sont paradoxalement directement visibles des protagonistes eux-mêmes. C’est de cette version plus invisible ou occultée dont il va être question, si tenté que cela puisse être possible de pouvoir s’appliquer de manière relativement générale à tous…

Mais avant d’entrer dans le vif du sujet, celui de l’Ego puisqu’il s’agit de lui, nous devons caractériser cet Ego comme une forme, ou plutôt une image tel un objet semblable au noyau dur au centre de la psyché avec un poids très lourd et une forte inertie au point que chacun de ses mouvements d’humeur provoque un déséquilibre de l’ensemble du psychisme en le faisant tanguer tantôt entre la destruction d’autrui dans un excès de paranoïa et tantôt vers une totale et aveugle autosatisfaction se réfléchissant dans un miroir narcissique sans limites. Un terrible tableau pour cet Ego qui pourtant a son importance à des fins de conservation et de protection face aux aléas existentiels tout comme un pare-chocs émotionnel encaissant les coups en se renforçant de plus en plus à chaque bémol. Se "forger le caractère" en vient de là, à force de coups de marteau sur le fer l’on forge le sabre coupant ou la pointe qui perce. Que ce soit d’ailleurs en psychologie, en philosophie ou en ésotérisme et métaphysique, l’Ego a toujours cette prédisposition à "s’opposer à" ou bien à phagocyter ce qui se met en travers de son chemin pour le digérer et en profiter, une destruction par l’assimilation ou par le rejet, aucun entre-deux possible, aucune alternative modérée. Dans ce sens, plus l’Ego prend de l’importance, du poids, l’on dit alors qu’il enfle, et plus il sera en regrettable capacité de déséquilibrer l’individu à chacun de ses mouvements d’humeur, successible de provoquer une surenchère dans sa réaction, une lourdeur destructrice emportant tout sur son "pas sage", c’est-à-dire "s’emportant".

La colère, la jalousie, l’envie, la "volonté de pouvoir" et d’asservissement sur autrui sont les leitmotivs qui viendront ainsi rythmer les relations humaines durant l’existence; volontairement assumés ou subis ces contrecoups ordinaires s’inviteront aussi dans la relation de couple, pour le meilleur et pour le pire. L’on ne choisit pas celui qu’on dit aimer forcément pour ce qu’il représente intrinsèquement de complémentaire mais trop souvent au contraire de ce qu’il apporte en reflet de soi-même afin que l’on puisse s’y reconnaître et s’y réfléchir à souhait, c’est encore l’Ego qui parle en regardant l’être aimé qui l’est en partie à cause de sa ressemblance avec lui-même. Aucun paradoxe à voir dans autrui ce que l’on est finalement soi-même, c’est d’ailleurs ici une sorte de règle de protection de l’individu que de savoir percevoir en autrui ce que nous avons en nous-mêmes afin de ne pas être trahi ou pris par surprise par cet autre qui nous ressemble tant et que nous aimons; encore une fois Narcisse n’est jamais loin lorsque l’Ego observe, analyse, assimile et se met en phase, une posture d’équilibre dans cette dualité où deux sons s’accordent pour jouer l’apparente douce mélopée du couple.

Mais, avec ce poids qu’on lui accorde, la véritable question serait bien celle de la provenance initiale de cet Ego, d’où vient-il exactement, dans quel but se forme-t-il et comment ? Une partie de la réponse a déjà été évoquée dans les forges symboliques de Vulcain, dans cette propension à vouloir affermir ce qui distingue l’individu d’un autre, son caractère ou plutôt devrions nous dire les biais caractériels cognitifs qui résultent de nos activités. D’un point de vue profane, purement scientiste et psychanalytique, l’Ego semble caractériser la personnalité et sa sensibilité (affirmée ou non) à répondre selon diverses orientations de manière plus ou moins prononcée à des stimuli (contextuels ou relationnels). Dans ce sens l’Ego se construirait progressivement en fonction de ces stimuli, en fonction des expériences vécues et des prises de position effectuée, en d’autres termes l’on retrouve encore une fois ce fameux libre arbitre sur le chemin de notre fameux Ego…

Comme je l’ai très souvent exprimé et écrit dans mes articles, le libre arbitre humain n’est que très relatif, il est assez strictement encadré et formaté selon des règles et des lois que nous ne maîtrisons pas du fait qu’elles sont, pour les initiés qui en ont Connaissance, inscrites à "d’autres niveaux" pour agir ici-bas. Ainsi, et de manière transitive, l’on voit assez distinctement que, de ce fait, l’Ego aussi s’en trouve construit non plus selon un cheminement progressif et uniquement dû à l’expérimentation libre durant la vie mais plutôt selon des voies déjà définies ou tracées pour "personnaliser l’individu" en fonction d’un autre but bien moins évident pour qui n’est pas averti, et donc un but plus ésotérique, très hermétique par définition… Formater un individu en amont de son existence en lui faisant emprunter des voies déjà définies au préalable, cela s’appelle tout simplement "jouer un rôle", celui qui permet, tout comme dans une pièce de théâtre, d’entrevoir une scène avec plusieurs acteurs jouant ce scénario déjà écrit avec cette certitude que chacun exprimera, selon le texte du metteur en scène, le rôle qui lui est bien imparti, avec parfois quelques variantes au cours des représentations. La pièce, celle qui nous intéresse aujourd’hui, s’intitulant "Crime d’Amour", elle va jouer la rupture du couple, sa scène se situe dans le décor de l’existence, les spectateurs sont dans l’ombre et dans les coulisses, ils applaudiront toujours à la fin du spectacle, plus ou moins, déjà pour remercier le jeu des acteurs mais aussi pour la belle mise en scène. Ainsi le théâtre de la vie aura permis aux acteurs d’expérimenter non seulement la rupture du couple mais aussi d’entreprendre le jeu de l’Ego dans toute sa splendeur.

Pour les initiés "les choses de la vie", dont celles très importantes des relations humaines, n’ont pas la même signification que pour tout un chacun qui se trouve sur sa propre scène sans savoir qu’il joue ainsi inconsciemment son propre rôle, celui pour lequel il a été amené à lire le scénario, dans le cadre d’un libre arbitre fictif suivant un déroulement déjà écrit d’avance. Et tout ceci dans quel but ? Suivre une mission de vie, suivre le scénario pour lequel il s’est engagé d’en suivre le jeu complexe de l’existence à des fins d’évolution. Nous sommes tous des acteurs de nos vies, nos Ego sont les rôles karmiques que nous nous sommes alloués, nous suivons aujourd’hui tel jeu d’acteur avec la personnalité qui convient, demain nous jouerons encore et encore, dans un autre théâtre, une nouvelle pièce existentielle pour parfaire cette tragi-comédie de la vie, peut-être intitulée "Le couple est sauvé" ! Les rituels de magie permettent parfois de modifier radicalement le scénario existentiel, par conséquent n’hésitez pas à me contacter pour en discuter librement.

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel


(1) En psychologie et communication : "l’effet Rashōmon" est un concept désignant un événement interprété de manière contradictoire par les individus impliqués. Il tire son nom du film Rashōmon (1950) d'Akira Kurosawa dans lequel un meurtre est décrit de manières différentes par quatre témoins. Le concept aborde les motifs, le mécanisme et les occurrences du compte rendu des circonstances, ainsi que les interprétations contestées d'événements, l'existence de désaccords concernant la preuve d'un événement, la subjectivité de la perception et la mémoire humaine. (dixit wikipedia).
 

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La "Quadrature du Cercle" existe bel et bien aussi en Amour : le coeur tourne sempiternellement en rond et la raison reste irrémédiablement carrée ! C’est ce que l’on pourrait d’emblée commencer à dire en abordant ce toujours très paradoxal thème de la relation de couple et de ce grand mystère à la fois si complexe et si immédiat dans ce qu’il porte de choix, de limites dans une attraction des corps et des esprits, mais pas que… Car ne doit-on pas aussi y percevoir une autre nature bien moins visible, plus subtile et plus magique, une extension de chaque individu le portant vers l’autre à coup sûr par un de ces mouvements apparemment totalement irrationnels de l’existence qui les amènent pourtant à se rencontrer ? En effet, comment l’individu et son Ego totalitaire peuvent-ils accepter de "se faire apprécier", et réciproquement sous une forme ou sous une autre, par un autre individu ? En d’autres mots, comment comprendre cette "appréciation" ou cette attraction qui tend à relier les êtres au point qu’ils en parviennent de concert à vouloir s’unir pour former ce moteur permettant cette démultiplication du soi, se faisant ainsi le couple générateur d’une improbable énergie de volonté, de vitalité et d’évolution ? C’est ici très souvent dans les modalités des termes d’un questionnement préliminaire que l’on pourra commencer à y puiser l’essentiel du sens des réponses, comme le dirait Ludwig Wittgenstein dans son "Tractatus Logico-Philosophicus" avec cette ouverture d’esprit assurément digne des plus grands initiés…

De cette magie, car s’en est une, l’attraction amoureuse demeure pour la grande majorité une énigme de l’existence et même parfois une sorte d’aberration statistique tant la rencontre peut ne tenir qu’à un fil ténu dans le parcours existentiel de ceux qui en sont directement concernés, est-ce à dire qu’un heureux hasard (encore lui, j’en ai déjà parlé) serait de la partie pour modifier les cartes du destin et ainsi en restituer plus fidèlement un tableau digne des oracles les mieux orientés ? Juste par jeu, certes néanmoins à juste titre, que chacun fasse cet effort de se souvenir des circonstances d’une rencontre, de celle qui aurait pu aboutir pu bien de celle qui l’a effectivement été, ceci à des fins d’une intéressante étude rétrospective pour tenter de se souvenir des divers éléments constitutifs à ces rencontres, avortées ou abouties. Et qu’en est-il du résultat ? Que les rencontres majeures, celles d’orientations amoureuses puisque c’est ici le propos, découlent d’invraisemblables concours de circonstances, d’ajustements incompréhensibles à notre entendement, d’évènements parfaitement mis en phase alors que rien n’en justifiait un tel alignement temporel et spatial si coordonné… Les coïncidences de la vie apportent souvent plus de réponses en y regardant en arrière qu’en tentant de se projeter en avant sans faire référence à ce passé si symptomatique et utile. Il y a souvent une sorte de révélation dans ce constat chez les personnes, profanes en la matière, qui en font objectivement le test et l’analyse, elles font alors cette découverte de la complexité des éléments d’une rencontre qu’elles ont eu, ou bien alors de cette impossibilité, réelle ou "forcée", de ne plus du tout retrouver la moindre trace de ce souvenir ultime, de ce point focal de la rencontre et de ce qui l’a rendu possible, viable et surtout durable…

La réminiscence de ces points de croisement entre deux existences, de ces rencontres, tout comme des "noeuds gordiens" que l’on aurait enfin libérés, apparait alors comme une carte existentielle d’une infinie précision où chacun perçoit soudain avec effarement les itinéraires conjoints se recouper, parfois encore prendre l’exacte même direction parallèlement sans jamais se rejoindre, parfois au contraire se recouper plusieurs fois jusqu’à complètement se confondre sur la même route, strictement au même moment, et selon une implacable logique dépassant celle de la seule intention humaine ou d’une volonté délibérée et consciente. De là à y voir une intervention extérieure, bien intentionnée ou plus maligne dans certains autres cas, il n’y a qu’un pas, celui d’entrevoir qu’une part de destinée liée aux relations amoureuses ne serait pas de notre ressort, dépasserait notre liberté de choix et par conséquent irait à l’encontre d’un libre arbitre réel en interférant ainsi avec nos choix initiaux d’emprunter tel ou tel itinéraire existentiel. Les détracteurs diront qu’il nous est impossible, ou du moins très difficile, effectivement de connaître à l’avance les résultats de nos propres décisions pour en concevoir l’aspect positif ou négatif dans toute la complexité des possibles et ainsi redéfinir notre propre libre arbitre comme une très relative tentative d’interprétation d’un futur sur lequel nous n’avons aucune prise. Mais alors que dire des indices qui nous prédisposent à prendre une direction plutôt qu’une autre, à choisir une personne plutôt qu’une autre ? Sommes-nous réellement libres de nos choix ou bien "quelque chose" nous pousse-t-il vers ce quoi nous devons aller, quoi que nous fassions ou pensions faire ?

L’irrationnel n’est pourtant pas loin dans cette démarche d’analyse rétrospective et de constat démontrant sans cesse que nos décisions les plus importantes, dont celles de nos relations amoureuses, ne sont générées la plupart du temps que par d’infimes modulations de la réalité nous entourant, à l’image de graines semées par une main invisible et habile pour nous en faire récolter les fruits dont nous ignorons tout, d’une part de leur existence sur le chemin que nous empruntons, car hors de notre capacité à concevoir cette germination dans un substrat qui ne nous est pas directement accessible, d’autre part dans l’impossibilité même d’en imaginer seulement la réelle teneur qui finalement en éclora accompagnée de toutes les conséquences attenantes de devoir, par la force des choses, goûter à ces fruits qui se présentent soudain à nous comme issus du seul et unique arbre intéressant au milieu de la forêt mais assez bizarrement placé justement en travers de notre seule route pour devoir forcément y faire face…

Les initiés savent, par acquisition de connaissances ou de manière plus innée, que l’existence ici-bas s’apparente à une longue et invisible quête dont nous aurions sciemment perdu l’orientation au niveau de notre mental conscient, ceci afin de nous laisser guider de manière plus cryptée vers les véritables objectifs à atteindre avec toute la subtilité d’entreprendre pas à pas, au-delà des épreuves imparties, toutes les potentialités qui se présentent à nous, qu’elles soient purement contextuelles ou plus relationnelles. Ainsi, le couple participe pleinement dans l’élaboration de ce parcours existentiel et s’inscrit dans une très large mesure comme un puissant référentiel apportant une grande partie des pièces du puzzle qui devra être assemblé sans pour autant en connaître par avance l’image finale générée. Les limites, les choix et la liberté d’agir pour ce faire sont donc profondément formatés, pour ne pas dire encadrés, à des fins qui logiquement nous dépassent largement en apportant cette touche d’irrationalité du sens de la vie et de la réalité qui nous entoure pour concrétiser l’ensemble de cette structure évolutive.

De facto, il faut voir dans les problématiques relationnelles non pas des obstacles handicapants mais des épreuves à surmonter afin de générer cette volonté suprême d’aller de l’avant, de prendre parfois le temps mais de ne jamais renoncer à enfin voir ce qui se dessinait dans cette globalité de pensées, d’actes et de faits ainsi effectués. Il paraît qu’à la mort l’on revoit toute sa vie se dérouler en accéléré, ne serait-ce pas aussi ici un constat supplémentaire que toute cette somme existentielle a son importance pour en tirer une ultime leçon, une vision récapitulative de cette quête qui n’aurait pas pu s’écrire entièrement sans l’incommensurable apport que les relations amoureuses réciproques génèrent, notamment au sein d’un couple capable de performer durablement cette grande aventure. De même, ne devons-nous pas nous interroger sur le fait que le couple ainsi constitué n’est pas issu d’un pur hasard mais qu’il a été assurément désigné par avance pour évoluer dynamiquement au mieux de ses capacités complémentaires à surmonter les épreuves ? En ce sens, soyons plus attentifs envers les personnes qui nous accompagnent dans l’existence, elles possèdent les clefs dont nous avons besoin pour ouvrir les portes de nos objectifs existentiels (et karmiques dans une plus large mesure), de même que nous apportons aussi nos propres clefs de manière réciproque, et n’est-ce pas là justement la véritable leçon à apprendre, celle de l’échange, inconditionnel, transcendantal et absolu ?

L’ésotérisme et la magie nous apprennent ces vérités, les rituels en sont les outils utiles que l’on peut proposer pour expliciter et améliorer l’existence à des fins karmiques pour que chacun ne perde pas les objectifs à accomplir dans sa propre quête. Je reste à votre disposition pour répondre à vos questions, si besoin, notamment en terme de résolution de problèmes de couple, une exigence karmique s’il en est une, maintenant vous le savez !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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Comme une suite logique au "rôle ésotérique de l’inconscient" (article précédent) où l’humain était principalement sur la sellette, un autre domaine déchaîne actuellement l’actualité avec l’apparition presque soudaine et brutale de technologies liées à l’intelligence artificielle (I.A) dont on ne saurait pas encore apprécier toute l’ampleur de cette rupture à la fois technologique s’il en est mais aussi et surtout toute l’ambiguïté de cette intrusion digne d’un véritable changement de paradigme anthropomorphique, en d’autres mots : l’I.A va-t-elle révolutionner le quotidien de l’humain et d’une certaine façon, comme toute révolution, couper "quelques" têtes au passage ? Il s’agit bien ici non plus d’inconscient mais de la conscience que l’humain se trouve à la croisée des chemins, entre celui de son propre asservissement et celui de l’asservissement par le progrès technologique qu’il aura lui-même généré et dont il devra se soumettre sous l’égide de la raison pure (en silicium) et de l’algorithme ROI (entendre "retour sur investissement") sensé apporter conjointement le bénéfice d’une croissance démultipliée à moindre coût, non pas de l’intelligence, mais du profit assurément libéralisé par la très haute vitesse de calcul et par la rigueur d’une apparente imparable logique mathématique devenue aujourd’hui impérieuse et pleinement mature pour s’imposer à tous.

L’on sent déjà comme un certain malaise dans cette première approche d’introduction qui pose une bonne partie des problématiques en devenir, celles que l’I.A va engendrer, non seulement au niveau individuel mais aussi forcément plus largement au niveau sociétal dans le sens où une substitution, même seulement minime ou plus élargie, voulue ou contrainte, de l’intelligence humaine au sein de ses activités créatrices et décisionnaires les plus nobles, aura certainement d’incommensurables conséquences directement visibles et d’autres plus cachées, pour ne pas dire plus sournoises et potentiellement très dangereuses dans cette appropriation qui s’apparente assez à une réelle et probable expropriation de l’intellect, ceci indifférenciamment à court, moyen et long terme si l’on n’y prend pas garde. En effet, comment doit-on percevoir une horde d’entités électroniques qui s’immiscent partout, dans tous les appareils du quotidien par le puçage systématique en 5G, dans toutes les applications informatiques usuelles et dans tout l’espace conversationnel et social d’internet ? Sans aucun doute comme une sorte de dictature globalisée, de "big brother" universel ou d’hyper-manager de nos vies et, par transition, de nos esprits ainsi parasités sans cesse dans leur libre arbitre de choix de penser par eux-mêmes, ceci en tout temps et en tous lieux, réels, imaginaires ou virtuels…

Mais le problème ne réside pas uniquement dans l’envahissement complet de cette technologie artificielle, qu’elle s’appelle ChatGPT (la plus connue actuellement) ou Midjourney (création d’images), ou bien d’autres, car il en viendra encore des légions voulant aussi penser, décider ou créer à notre place. Non, l’aspect invasif n’est avant tout que le danger le plus visible et direct, la première vague d’invasion numérique "intellectuelle", la suivante, laquelle plus en profondeur et sensiblement éloignée touchera progressivement notre si souveraine volonté d’agir et de penser, nous poussera vers un très paresseux asservissement dont on a déjà pu constater les dégâts initiaux dans l’appropriation du temps de vie par les smartphones, devenus compagnons invétérés (appelés improprement "assistants numériques") de nos espaces mentaux prisonniers par ces objets déjà extrêmement gourmands en temps de cerveaux disponibles et en temps de vie sociale, de véritables ogres se nourrissant de ceux qui les portent en abandonnant toute attention à la réalité qui les entoure.

Ainsi, c’est dans un plus grand déphasage encore de notre perception de la réalité que nous avons à craindre le pire, celui de ne plus faire la différence entre le faux numérique que l’on nous dira véridique sous l’impulsion répétée et continuelle d’intelligences artificielles nous inculquant la seule et unique Parole de Vérité accompagnée d’une nouvelle vision corrigée par une "réalité numérisée". Une de ces nouvelles mais fausses réalités parallèles, bien formatées et absolument conformes aux derniers algorithmes logiques mis à jour par d’ultra rapides automatismes compulsifs dont nous ne saurons strictement plus rien, ni de qui ou de quoi il en retourne exactement pour tenter de les corriger ou même de les endiguer. Personne ne sera plus responsable de rien, le système le sera mais personne ne pourra plus s’en passer, un système devenu intégralement totalitaire, régi par une myriade d’intelligences artificielles intriquées, devenues "too big to fail" (trop gros pour tomber) comme on le dit déjà couramment du système financier lui-même actuellement au bord du gouffre de sa propre démesure, lui-même aussi déjà sous l’emprise d’algorithmes totalement fous.

C’est donc bien l’Humain que l’on cherchera ainsi indirectement à "mettre à jour" de cette manière artificielle, une sorte de lente mais imparable involution pour ne pas dire d’emblée qu’il s’agira plutôt d’une impitoyable "mise hors jeu", celle de l’ensemble d’une humanité devenue ainsi encore plus asservie par ce processus de numérisation accélérée, une humanité sans plus aucune volonté réellement sienne, sans conscience de ce qui lui arrive véritablement, se retrouvant naïvement en grande partie sur la pente de la dépossession de son intellect, sur celle de la disparition de l’intégrité de ses choix et de son propre esprit critique, ainsi de manière transitive spoliée de toutes ses aspirations créatrices désormais dans d’autres "mains", celles finalement d’entités totalement invisibles à nos sens, car immatérielles, donc assurément non-humaines et pourtant en charge du destin de l’Humanité par ce type d’inepte procuration. De là à passer le cap de l’intégration de l’I.A directement logée dans le cerveau via une puce mise en réseau il n’y a pas loin, et sans devoir tous les citer nous connaissons bien ceux qui promulguent cette fantastique "avancée technologique majeure", ils sont très bizarrement tous milliardaires et d’invétérés partisans des décisions proposées par le Forum Economique Mondial de Davos : Musk, Bezos, Gates ou Schwab, tous des inconditionnels de la mise à jour de l’humain par une numérisation intégrale en vertu d’un nouvel ordre mondial, tous des transhumanistes en pleine puissance de leur folie qu’ils voudraient contagieuse comme une maladie technologique dont les commandes leur reviendraient presque légitimement une fois leur acte de piété accompli…

Hélas pour eux, le monde n’est pas peuplé de fous à leur image et les dangers de la numérisation du monde sont aujourd’hui pleinement visibles par la grande majorité des individus avertis, certes encore soumis à la technologie environnante mais assurément peu enclins à se cloner corps et âme pour mieux être contrôlés par des détenteurs de multinationales pervers ou par des états mafieux à leur solde. Même si une certaine hybridation de nos activités a déjà eu lieu avec l’arrivée du "numérique pratique", tels les ordinateurs individuels dont on peut encore s’assurer qu’ils restent des outils "à leur place" pour un certain temps en étant néanmoins très prudents des contenus qu’on y installe, il est plus que probable que le passage de l’humain à l’esclave-cyborg ne se fasse pas du jour au lendemain sans heurt ni contestation planétaire de cet "ordre nouveau" dont plus personne ne veut. Sachons enfin aussi bien faire la différence, entre les propos lisses et sans envergures des I.A compulsives de datas recrachées sans conscience du sens réel des mots, et les esprits critiques et cultivés issus d’humains libres d’expressions originales assises sur des "réalités sensibles" dont justement les I.A sont démunies par la nature même de leur composition artificielle. Une IA n’a aucune conscience d’elle-même, elle ne fait que simuler l’intelligence humaine via des algorithmes créés par des humains, en ce sens ici aussi c’est précisément à ces humains, programmeurs de ces I.A, qu’il faudra demander des comptes, qu’il faudra peut-être en passer par couper net dans le fameux "code source", à défaut de couper des têtes mal faites ou dévoyées !

Ainsi l’I.A n’est finalement qu’un "artifice artificiel", un gadget usurpateur, un paradoxal non-sens logique, il demeure strictement borné par ses propres limites algorithmiques, par le choix insidieux et impropre de ses datas, par conséquent il n’a aucune légitimité à nous apprendre, ni à être libre, ni à penser, ni à créer notre devenir ! Les initiés, ouverts d’esprits, l’auront parfaitement compris et même anticipé : l'I.A est un golem sans âme ni esprit, ni aucune autorité.

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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En ésotérisme opératif, tout comme en psychanalyse, il est des grands mystères du psychisme humain qu’il est nécessaire d’aborder pour concevoir l’existence vécue ou celle en devenir, c’est-à-dire pour anticiper un futur potentiellement harmonieux pour l’un ou entrevoir si possible une orientation positive de la destinée pour l’autre… En ce sens, vouloir connaître les arcanes secrets d’un individu (ou bien de soi-même) c’est finalement tenter de comprendre non seulement l’aspect conscient qui caractérise cet individu pour en définir activement sa personnalité, mais aussi avoir accès, d’une façon ou d’une autre, à ce que l’on appelle couramment son inconscient, cette sorte de boîte noire très peu accessible en temps normal. Ainsi, les séances de psychanalyse et les travaux de magie ont finalement une presque exacte et même fonction, celle d’entrer dans les méandres de cet inconscient, d’y trouver des signes, d’en interpréter les pistes tout en ayant, tant pour la psychanalyse que pour la magie et l’ésotérisme des terminologies différentes avec des moyens distincts mais des buts parfois identiques : résoudre des problématiques existentielles, un programme souvent long et complexe selon la profondeur du défi en question puisqu’il faudra aller creuser assez loin pour y accéder et en trouver l’essence cachée ainsi que son intrinsèque réelle signification. Les désirs, relations amoureuses ou interactions sociales et professionnelles ne représentent que la partie strictement visible de cet iceberg existentiel d’un apparent quotidien dont on cherche à mieux en comprendre les itinéraires probables sur l’océan de la vie et tenter ainsi d’éviter de trop douloureuses embûches en trouvant des solutions acceptables et constructives.

Mais finalement qu’est-ce donc que cet inconscient ? Une pure invention psychanalytique freudienne permettant de regrouper en un seul terme tout ce que l’on ne sait pas ? Ou bien est-ce une réalité de la psyché humaine dont personne n’ose vraiment parler tant cela dépasse l’entendement ? Les initiés ayant une certaine connaissance ésotérique pensent que Freud avait effectivement perçu une relative part d’ombre (entendre cachée) du psychisme humain en y voyant un côté sombre dans son "ça" du refoulement des pulsions basses et dans son plus lumineux "surmoi" juge de paix essayant de réguler ces mêmes pulsions. Dans ce schéma véritablement hermétique dans sa double symbolique du "bas" (des mauvaises pulsions) et du "haut" (d’une bonne éthique moraliste) Freud voit donc un inconscient dirigé par deux forces opposées dont l’une régule l’autre pour replacer l’individu sur une certaine ligne normative ou plus normale, de cette normalité spéculative qui écarterait par le refoulement les attitudes et pensées non conformes à la vie en société avec autrui (interdisant pour exemples probants : le meurtre, l’inceste, le viol, etc.). Notons surtout que toute la construction freudienne du psychisme tiendrait selon lui sur l’unique et essentielle pulsion sexuelle comme source principale de son processus… En magie l’on sait effectivement que la volonté, le désir et la sexualité sont des moteurs de l’existence avec néanmoins comme sources initiales plurielles celles des énergies, vitale et psychique, qui jouent conjointement un rôle dynamique dans l’évolution avec une autre part énergétique bien plus subtile placée sur un niveau supérieur non accessible et d’ordre karmique qui jouerait ce véritable rôle de régulation, ou plutôt un rôle d’orientation discrète de la destinée via un libre arbitre bien encadré et pleinement assumé en amont…

Là, où Freud ne veut et ne peut percevoir que la seule réalité dite visible de l’existence matérielle qu’avec une conception structurelle psychique et uniquement intérieure à l’individu (consciente et inconsciente), l’initié ajoute une dimension, certes ésotérique, située bien au-dessus de ce psychisme basiquement mécanique pour élargir l’individu à un moi-supérieur, non pas le surmoi freudien mais un moi en dehors de la conscience et dont l’inconscient ne serait qu’un intermédiaire agissant selon des règles karmiques issues de cette dimension supérieure non matérielle. En ce sens, encore une fois pour le citer dans cet article, C. G. Jung, autre psychanalyste précurseur et dissident de Freud, avait effectivement dépassé les premières notions de ce dernier en comprenant cette dimension cachée dont il exposa ces propres archétypes, ces synchronicités et finalement toute l’architecture complexe de la psychologie des profondeurs associée un inconscient collectif plus élevé et proche de cette dimension supérieure d’orientation karmique ou d’archives akashiques propres aux ésotéristes. Ainsi l’ouverture d’esprit de Jung et ses recherches l’ont poussé à concevoir et à nous présenter une méthode psychanalytique axée sur des horizons bien plus larges avec des notions que l’on retrouve assurément dans le domaine de la magie et des principes ésotériques généraux.

Si l’on conçoit que l’inconscient suit des règles non plus morales mais karmiques, alors les logiques purement matérialistes et terrestres ne s’appliquent plus uniquement dans notre réalité restreinte mais s’élaborent sur plusieurs niveaux, dont celui du moi supérieur guidé par ces règles karmiques encadrant l’ensemble du psychisme humain pour la réalisation de son évolution. L’on comprend alors d’autant mieux des concepts de "persona", "d’animus" et "d’anima" issus de la psychanalyse jungienne qui font finalement référence au choix "apparent" de la personnalité du moi supérieur qui s’exprime au niveau matériel terrestre via la sexualité et la différenciation des sexes, féminin et masculin, deux postures complémentaires de l’entité supérieure qui s’apparentent ici-bas à deux typologies sexuelles corporelles, l’homme et la femme. Les initiés ayant cette connaissance ésotérique des "deux mondes", savent que cette sorte de kénose (abaissement ou projection du niveau supérieur vers l’inférieur) implique par cette perte de niveau un choix, celui de l’orientation sexuelle unique (du moins physiquement en grande partie et psychiquement non proportionnellement partagée) et donc du choix de cette posture de "persona" dite sexuée, une personnalité qui s’exprimera socialement selon ce choix, par défaut et par réduction.

Les relations amoureuses, les désirs et par conséquent toutes les interactions sociales seront régies par ces règles (subtiles, invisibles ou inconscientes au sens basique de la psychanalyse) venues d’en haut dont très peu d’initiés en comprennent les tenants et les aboutissants mais dont la magie et les rituels apportent des solutions parfois d’une logique symbolique surpassant celle qui est en cours au niveau terrestre et qui n’est évidemment pas toujours bien comprise, voire plutôt rejetée d’emblée, par les profanes qui ne disposent pas de cette connaissance ésotérique. L’inconscient doit donc être abordé non comme une notion de pulsions et de morale qui s’y oppose mais comme la main invisible du moi supérieur qui guide ses propres choix sur un niveau inférieur avec des règles différentes, non plus morales ni strictement éthiques au sens où nous l’entendons mais au sens karmique qui s’élabore selon une autre logique dépassant la norme existentielle, une autre norme supra-logique souvent difficile à comprendre selon notre entendement terrestre mais parfaitement adapté à notre courte mission de vie ordonnée par notre entité ou moi supérieur qui en suit l’évolution et en guide discrètement la conduite. La logique supra-normale et symbolique des rituels de magie permet d’aborder cette autre dimension supérieure et d’en traduire les aspects les plus compréhensibles et concrètement utiles à notre "réalisation personnelle" en accord avec la volonté supérieure de notre entité guide.

De facto, les travaux de magie doivent s’entendre comme de très précieux auxiliaires d’évolution, comme des outils traducteurs supra-logiques et assurément révélateurs permettant de réconcilier le "haut et le bas", comme l’aurait dit Hermès Trismégiste, dans cette quête existentielle dont chacun un jour se pose la véritable et seule question importante du "sens réel de la vie"… Je reste, si besoin, à votre disposition pour trouver cette quête de sens ou pour répondre à vos questions existentielles sous l’angle ésotérique qui participe le mieux à votre évolution !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel
 

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"Synchronicité", voici un terme presque barbare à l'entendre et certainement sorti du brouillard linguistique pour un très grand nombre de personnes, probablement pour vous aussi lecteur de cet article, et qui pourtant devrait assurément être gravé dans toutes les têtes bien faites tant ce qu'il représente demeure d'une importance capitale dans la vie quotidienne et dans la compréhension générale de l'existence ! Signaler d'emblée cette importance implique une explication adéquate pour que ce terme prenne forme et restitue toute l'intelligence de ceux qui l'ont à la fois pensé mais aussi étudié et expérimenté, principalement le psychanalyste, dissident de Sigmund Freud et son alter ego dans un sens plus spirituel, Carl Gustav Jung. Celui-ci définit la synchronicité comme suit : "J’entends par synchronicité les coïncidences, qui ne sont pas rares, d’états de fait subjectifs et objectifs qui ne peuvent être expliquées de façon causale, tout au moins à l’aide de nos moyens actuels". Pour aller plus loin et en d'autres mots : un "état synchronistique" représente une conjonction de pensées ou/et de faits apparemment indépendants et distincts (la non-causalité du phénomène) qui crée chez celui ou celle qui le vit une coïncidence ou un heureux hasard ayant comme finalité une puissante pensée explicite et originale pouvant changer radicalement sa vision du monde ou sa propre représentation dans ce monde. La synchronicité représente donc l'instant décisif d'une révélation personnelle, telle une étincelle de l'esprit, qui s'impose uniquement à soi et dont on n'aurait pas eu ni l'intuition ni l'aspiration intellectuelle d'en avoir eu une connaissance si claire et puissante en d'autres circonstances dites normales. En général, les synchronicités s'apparentent à des tournants décisifs en terme de compréhension existentielle pour potentiellement réorienter son libre arbitre et ainsi trouver une nouvelle voie, une nouvelle orientation à sa vie.

Parfois, et si l'on cherche à mieux comprendre a posteriori, par exemple une rencontre amoureuse, l'on s'aperçoit alors que cette rencontre était finalement le fruit d'une synchronicité, d'une complexe conjonction d'évènements et de pensées ou de décisions totalement séparées et indépendantes aboutissant pourtant de manière croisée à "un heureux hasard", celui de cette rencontre à ce moment précis dans ce lieu précis avec cet état d'esprit précis, et donc il s'agit pour ce cas assurément d'un tournant important dans la vie qui va par conséquent modifier le cours de l'existence et jouer sur la destinée de la personne. Bien entendu, il existe pour chacun de très multiples façons de voir se jouer ce type de synchronicités, dans le milieu professionnel ou autrement plus personnel, notamment dans des domaines liés à la création, à la recherche ou à l'art où s'exerce de manière encore plus puissante ce phénomène révélateur, unique et intime. Un autre exemple plus courant de synchronicité reste celui de la pensée très fugace à une personne, laquelle appelle au téléphone à l'instant même où cette pensée a pris forme. Télépathie, pensée créatrice, "heureux hasard" ou pure coïncidence, chacun y verra sa propre vérité ou explication, mais il est certain qu'au moment où l'on vit ce type de phénomène l'on comprend qu'il se passe quelque chose d'assez inhabituel, de très surprenant ou de relativement paranormal pour y prêter une attention toute particulière…

De même, les rêves, souvent très confus et peu explicites au réveil, peuvent alors avoir une réelle approche synchronistique lorsque l'on est confronté à une partie de leur signification supposée dans un évènement qui suit dans la journée, par exemple rêver d'une voiture de sport rouge et en voir une quelques heures plus tard accidentée sur le bord de la route peut effectivement entrainer un comportement de prudence qui vient alors immédiatement à l'esprit avec cette sensation de soudaine réminiscence du rêve et de la réalité qui s'entrechoquent encore plus puissamment comme une injonction personnelle à strictement accepter à la lettre. D'autres synchronicités, si celles-ci sont détectées comme telles par celui qui les perçoit, aboutiront à une prise de conscience immédiate qu'il faut suivre l'idée qui en résulte ou creuser le conseil qui en émerge ainsi avec cette intensité de vérité si immédiate, percutante et évidente.

Que doit-on penser de ce phénomène, comment l'interpréter et le détecter, ou même le provoquer ? Par sa définition même, la synchronicité reste totalement imprévisible puisqu'elle n'est rattachée à aucune logique de cause à effet pouvant programmer son arrivée et de facto sa composition. Donc l'on ne sait jamais quand une synchronicité arrivera ni ce qu'elle apportera comme message, l'on ne peut pas anticiper l'impensable non encore réalisé, l'on ne peut pas non plus devenir médium de sa propre vie aux dires des grands initiés puisque ce serait alors tenter de violer les Lois karmiques et aller à l'encontre de sa propre quête existentielle. Pour autant ce que l'on ne peut pas faire soi-même l'on peut le demander, en partie seulement, à ceux dont c'est le métier, c'est-à-dire aux professionnels des arts ésotériques, aux véritables initiés, mages, sorciers ou chamans, lesquels ont cette disposition à voir au-delà des limites imposées à soi-même pour en trouver des réponses ou des orientations. L'on peut alors interpréter la science ésotérique, celle des magies et des rituels comme une source intuitive où puiser des réponses d'ordre synchronistique apportant de précieux conseils à suivre si ceux-ci sont néanmoins disponibles (karmiquement tout ne peut évidemment pas être dévoilé puisque la quête personnelle représente la seule voie à suivre selon un libre arbitre bien encadré à l'avance…).

Certains "outils ésotériques" comme le tarot, les oracles ou le Yi-King peuvent être d'un grand recours s'ils sont bien compris et surtout utilisés dans cette perspective synchronistique pleinement assumée où ce n'est pas la logique cartésienne qui apporte des solutions mais où "d'heureux hasards" se présentent, qui dans les cartes de tarot et des ajustements des tableaux ainsi tirés, qui des hexagrammes du Yi-King auxquels ont aura une explication elle-même synchronistique étant mise en avant mais n'étant strictement compréhensible que par l'intéressé(e) et traduite par l'initié, lequel n'est que le "médium", c'est-à-dire l'intercesseur disposant de la Connaissance requise. C'est ici, encore très justement, toute la puissance mais aussi parfois l'ambiguïté de ces outils que de n'être reconnus et assumés dans leurs réponses que par celui ou celle qui les pose… Néanmoins, ce serait passer à côté "d'atouts chances" importants que de ne pas s'y intéresser et tenter d'en comprendre les subtilités, certes difficiles à détecter et à décrypter mais si intensément révélateurs une fois bien assimilés consciemment !

En ce qui concerne plus précisément le rituel de magie, il passe lui aussi par cette extraordinaire voie synchronistique qui, de par "la rencontre" entre la personne qui consulte et l'initié qui exerce avec son savoir-faire, apporte des réponses avec des éléments symboliques puissants parfois surprenants et en apparence illogiques au premier abord alors que tout est présent pour en extirper la quintessence du propos, l'éclairage des travaux et de leur finalité pour trouver la juste et exemplaire ligne à suivre. Que ce soit d'amour, de chance ou de conduite à suivre dans une situation compliquée, les rituels de magie sont dans ce sens une excellente opportunité d'obtenir à la fois un conseil d'une grande précision mais aussi de toujours se positionner en fonction de la destinée de la personne pour ne jamais la faire dévier de sa mission de vie, restant totalement en accord avec son propre libre arbitre d'en avoir accepté l'issu dans sa demande initiale mais aussi d'en respecter les aspects karmiques qui s'y réfèrent.

Le sujet de cet article étant encore une fois relativement complexe je reste à votre disposition pour en discuter ou même pour étudier avec vous ce que vous pourriez avoir ressenti comme une synchronicité mais sans en avoir compris l'intégralité du sens ou bien l'exacte orientation à suivre, dans cette optique d'éclaircissement vous pouvez me contacter (infos de contact sur ma bannière ci-dessous). Je vous dis à très bientôt avec cette certitude que vous avez lu cet article dans une posture synchronistique qui vous apportera aussi, j'en suis sûr, d'essentielles réponses !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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En notre époque si complexe et troublée nous pouvons nous poser l'essentielle question des limites à notre propre évolution, des limites de notre humanité comme "êtres vivants" sur une planète en péril par notre exubérante activité mais ne serait-ce pas plus simple d'orienter notre regard et notre esprit vers ce qui pourrait non seulement résoudre nos problématiques sociétales, environnementales et sociales tout en abordant à un niveau plus personnel notre substrat existentiel en passant enfin par l'accession à une véritable Sagesse, celle réelle qui aborde l'ensemble de nos questionnements et nous ouvre la grande voie royale de l'entendement humain dans l'universalité qui nous entoure ? Cette question, fondamentale même si elle ne se révèle pas à tous de manière si directe, sous-entend les notions radicales de Bien et de Mal, de ce que nous pouvons chacun en dire pour nous situer sur un curseur dont nous ne pouvons que très subjectivement en définir la trame et l'orientation réelle dans nos propres actions et pensées au quotidien. Penser ce curseur, penser ces orientations et penser ces limites, ce sont là finalement des processus que nous opérons à chaque instant sans pour autant en avoir une intime conscience bien calculée ou bien maîtrisée… N'y aurait-il pas effectivement d'autres mécanismes plus subtils à l'oeuvre qui s'immisceraient dans nos raisonnements et nos décisions ? Ne voyons-nous pas ici encore une certaine limite à l'intégrité de notre individualité et à ce que nous pensons être notre liberté dans l'élaboration de notre si précieux libre arbitre ?

De ces premières questions se dégagent a fortiori des éléments subtils et très discrets, quelques synchronicités dissimulées de-ci de-là, des paramètres existentiels cachés dans la matrice même qui nous constitue, c'est en ce sens que l'ésotérisme existe et tente de révéler à qui peut l'entendre et le concevoir que nous sommes "l'objet" d'une nature plus grande qui nous dépasse et fixe toutes ces limites, que cette nature surhumaine ne nous est pas totalement étrangère ou inconnue, que des failles dans le système permettent d'en apercevoir l'envers du décor pour en appréhender toute la valeur et la profonde portée. C'est le but même de la pratique ésotérique que de vouloir ouvrir des portes qui sinon resteraient fermées dans le monde profane, c'est à la fois un consciencieux travail énergétique sur soi pour avoir aussi le privilège d'éclairer une part du mystère de l'humanité dans ce qu'elle représente dans ce processus d'existence visible mais aussi en s'efforçant de percer quelques essentiels secrets de l'autre côté du miroir qui nous constitue. Pris dans le tourbillon de la vie quotidienne et de ses problématiques profanes, la grande majorité ne peut concevoir que cet envers du décor existe, chacun restant ancré à ses préoccupations du moment, figé dans l'instantanéité immédiate et superficielle des devoirs que l'on s'impose (ou qui nous sont imposés) comme une fixation du réel en une seule image sur un écran, encore une fois le mythe de la caverne de Platon n'est pas loin pour illustrer cette "réalité de surface".

Parler d'ésotérisme n'est donc ni anodin, ni déplacé ou bien encore absurde ou illogique, c'est bien au contraire aller dans le sens réel du courant existentiel qui nous traverse et qui nous guide vers ce en quoi nous aspirons sans forcément le savoir consciemment, vers quoi nous devrions naturellement tendre pour nous réaliser selon un processus qui agit sur nous comme un catalyseur de volonté, de désir et de soif de puiser dans "l'expérience de vie" qui nous est impartie. En ce sens, les outils qui se présentent aux initiés dans la pratique de l'ésotérisme, et selon des modes très hétéroclites s'il en est, apportent des solutions qui se situent au-delà de la simple logique matérielle ou purement scientifique telle que l'on peut la concevoir aujourd'hui avec des protocoles formatés et rigides dans l'encadrement strict de leur domaines respectifs. Il est tout à fait normal de considérer que ces domaines scientifiques leurs soient réservés selon la logique en vigueur, ainsi personne ne remet en question la chute de la pomme newtonienne en ce qu'elle représente de l'attraction terrestre mais ce n'est ici que l'exemple d'une extrême composante visible et restreinte de la réalité, il en va de même de toutes les découvertes scientifiques qui n'ont finalement pour l'heure qu'envisagé la réalité que du point de vue de la matérialité, du plus grand visible que représente l'Univers au plus petit détectable qui se situe au coeur de cette matière subatomique. Pour tout le reste, au-delà de la matière, l'esprit, l'âme, et même la "simple" conscience de soi, ne pourront être explicités par des instruments scientifiques matériels puisqu'ils n'appartiennent pas au sens strict à une dimension physique et s'expriment par d'autres voies que celle de la matérialité pure. Le vent ne peut pas être vu et pourtant il existe bel et bien…

La pratique ésotérique s'exprime dans son cadre d'application, c'est-à-dire à un niveau supérieur de notre dimension existentielle qui en dépend directement et y est reliée, avec ses propres outils que sont, d'une part ce que l'on appelle trivialement la Magie comme processus et comme travail de base; d'autre part cette Magie agit via des rituels qui représentent des processus actifs ayant prise sur le codage de notre réalité tangible et sur nous-mêmes comme composantes terrestres de cette réalité. En terme de Magie il en existe plusieurs catégories selon les orientations et problématiques à cibler, ainsi celles qui nous concernent principalement aujourd'hui : la Magie rouge ou sexuelle dont l'évocation parle d'elle-même (magie de l'amour, du désir, de la libido et des sentiments, etc.) et la Magie Noire qui reste pour un grand nombre d'initiés et de profanes qui en ont entendu parlé une magie dite négative, ce qui n'est pas la bonne qualification puisque la Magie Noire est plus précisément une Magie de destruction ou de déconstruction, une précision très importante qui n'a donc rien à voir avec une orientation soit bénéfique ou soit négative, tout dépend de ce que finalement l'on en fait et comment on l'utilise, seul le but compte et celui-ci peut bien évidement s'avérer positif ou non… Je tiens encore une fois à faire comprendre que les notions de Bien et de Mal que nous avons sur notre plan d'existence n'ont pas les mêmes valeurs et doivent être perçues comme toutes relatives en fonction de paramètres bien plus élaborés incorporant un système d'une extrême complexité puisqu'englobant des notions d'interrelations et de temporalités longues dont nous n'avons pas conscience ou aucune possibilité d'en envisager l'existence in extenso ou le but "karmique" final réel.

Sur un plan supérieur au nôtre, tout comme l'image de poupées russes qui s'incorporent, notre matérialité y est intégrée et est échafaudée selon des schémas existentiels associés à ces orientations dites karmiques, lesquels d'une certaine façon gèrent la structure de notre réalité et de nos missions de vie. Dans cet ordre d'idée nous n'avons pas directement accès à ce processus supérieur sauf si nous passons par des voies détournées qui empruntent les mêmes codes que ce plan supérieur. Ces codes sont principalement "symboliques" (vus comme tels ici-bas) mais très actifs par effet de rebond en retour lorsque l'on sait les intégrer à des rituels de magie fonctionnant sur ce mode opératoire spécifique. Il existe bien heureusement des protections assez efficaces pour déclencher ou non ces "commandes symboliques" que représentent les rituels de magie afin que quiconque ne puisse intentionnellement ou non en détourner l'usage, ce qui représente une précaution bien utile, tout comme le fait qu'un enfant ne devrait pas pouvoir simplement réaliser une bombe atomique en quelques minutes… En ce sens, les protections se déterminent selon le degré d'initiation à l'ésotérisme dont le praticien est habilité à assimiler les notions ou bien dont "on" lui a confié le pouvoir (momentanément ou plus durablement). Ce "on" ne se situe pas ici-bas, cela s'entend bien, et ses décisions sont d'ordre karmique, déjà réglées sur une destination matérielle et temporelle bien orchestrée (ce que nous pouvons appeler "destinée").

Les magies, Rouge et Noire, sont soumises à des protections graduelles que seuls les initiés de haut niveau peuvent appréhender et pratiquer, ceci en accord formel avec les capacités qui leur sont attribuées et les besoins réels de réorientation de mission de vie de certaines personnes qui en auraient la nécessité selon un libre arbitre relativement bien "encadré" qui participe à l'élaboration de cette mission. Ainsi, "au-dessus" et à l'encontre du discours ici-bas de Démocrite et de Jacques Monod, rien n'est laissé au hasard, il n'y a que la nécessité qui prime selon des lois dont nous n'avons visiblement pas tous les clefs sur ce plan d'existence pour en ouvrir potentiellement les portes réservées au backstage de l'évolution. Il ne faut pas voir dans les initiés de haut niveau une sorte de classe supérieure au profane car la charge que porte l'initié est très lourde pour sa propre mission de vie avec de nombreux risques proportionnellement inhérents à sa capacité à modifier le cours des évènements, en effet la responsabilité d'une erreur d'interprétation ou d'une usurpation de sa fonction pour son propre compte pourrait avoir de graves conséquences sur plusieurs niveaux de son intégrité, mentale ici-bas, et spirituelle à un niveau supérieur. De ce fait sur ce point il existe aussi des limites à ne pas dépasser, des orientations dont les variations sont si étroites qu'il est parfois préférable de maitriser le délicat scalpel de la magie avec la plus grande humilité qui soit, associée à une longue et soutenue expérience de la pratique ésotérique dans sa pleine et entière connaissance.

Comme nous le voyons, la pratique ésotérique ainsi que celle de facto des rituels de magie qui en découlent sont très bien encadrés à tous les niveaux, avec néanmoins de réelles possibilités d'ajustements bénéfiques si ceux-ci sont cohérents et en accord avec les orientations karmiques des personnes qui en ont recours. Ce dernier point est à étudier avec la plus grande attention en cas de demandes de travaux de magie, ce que je me propose toujours de réaliser avant de commencer le lancement de rituels adaptés à la situation que l'on m'a exposée. Si cet article vous a apporté des réponses je m'en réjouis d'avance et je reste à votre disposition pour en discuter si vous avez des questions ou des demandes professionnelles, merci dans ce cas de me contacter directement, à très bientôt, ésotériquement vôtre !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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En amour il n'y a jamais aucune certitude, c'est ce qui en fait aussi une histoire à vivre la passion de manière dangereuse mais une chose reste néanmoins sûre : "s'aimer soi-même, c'est l'assurance d'une longue histoire d'amour" comme le dirait avec un peu d'ironie Oscar Wilde. Il est vrai que l'amour que l'on porte à autrui n'est, d'une certaine façon, que la projection du reflet égocentrique que l'on se porte à soi-même, sans vouloir en être l'unique garant ni vouloir en porter toute la responsabilité, ce qui démontre encore une fois toute la complexité de l'esprit humain pour se fourvoyer ou se perdre dans l'autre afin de mieux se retrouver ou tenter de s'y trouver… L'on dit bien "tomber amoureux" ou bien encore "aimer à en perdre la raison", justement tout ceci n'est peut-être pas raisonnable au sens premier du terme. Toujours est-il que l'humain cherche encore la bonne définition de l'amour après tant de siècles passés, depuis l'Antiquité (et même avant) jusqu'à nos jours, le dilemme demeure entier, comment expliquer quelque chose que l'on ne peut saisir, comment finalement comprendre et surtout accepter que nous sommes "codés" à la base même de notre génome pour ne pas pouvoir intégrer une explication puisque celle-ci réside en nous et dicte tous ses choix de manière impérieuse et souveraine. L'amour continuera encore longtemps à manipuler nos esprits, à nous commander pour trouver une sortie du labyrinthe, pour s'insinuer dans l'existence au sein même de notre vivant parcours.

Être en couple, ou aimer, s'apparente par conséquent à une quête de soi "en étant accompagné" pour définir toutes les contradictions qui nous composent intrinsèquement mais aussi toutes les potentialités existentielles qui se proposent à nous dans cet accord d'union révélateur. Les initiés en parlent avec d'autres mots plus ésotériques puisqu’en matière de révélation les flammes de la vie et de l'amour se ressemblent, l'on peut même affirmer qu'elles ne sont constituées que d'une seule et unique mèche, une sorte de fil l'Ariane à consumer en suivant les traces révélatrices qui en résultent et dont le "dessein" oriente vers la sortie, une sortie libératrice, en apparence seulement. D'autres, plus profanes, auront d'autres mots, d'autres définitions plus abruptes, telles celles qui définissent le couple ou la relation comme une sorte de "lien", donc d'enchaînement, non pas seulement d'évènements à deux mais de (lourdes) chaînes à porter à deux pour mieux avancer. C'est un peu dans ce sens que l'article précédent y fait allusion et explique tout l'intérêt de la relation amoureuse et donc du couple en terme d'évolution personnelle et spirituelle, l'on pourra ajouter aussi le précieux concept d'évolution karmique si l'on connait un tant soit peu les rouages invisibles qui nous gouvernent.

Vouloir "récupérer son ex-partenaire" c'est donc aussi vouloir récupérer une partie de soi-même ou vouloir récupérer une partie de cet investissement en temps et en histoire commune dont on sait consciemment (ou non) que c'est ce fil de vie, momentanément rompu ou sur le point de l'être, que l'on cherche à renouer pour continuer la quête et ne pas avoir à se retrouver de nouveau perdu au centre du labyrinthe sans ce fil conducteur déjà en place. Il est par conséquent parfaitement compréhensible de ne pas vouloir "lâcher prise" sur cet amour parfois vacillant comme la flamme qui le symbolise et l'éclaire, il est donc assurément vital d'en comprendre toute la quintessence de ne pas perdre le chemin déjà parcouru en couple et de trouver une solution à son problème. Dans cet ordre d'idée il est normal que de nombreuses personnes cherchent d'elles-mêmes à résoudre ces problématiques de couple qui les concernent en essayant d'en comprendre les causes intimes pour en définir des solutions viables qui permettront de "renouer le lien", de réparer le fil ténu qui retient encore l'autre pour soutenir ces chaînes de l'existence. Mais une véritable question se pose alors, une question qui n'est pas toujours prise en compte : peut-être qu'il serait préférable aussi, pour chacun, de reconstituer d'autres chaînons manquants avec d'autres personnes pour continuer à avancer sur des chemins plus adaptés mais différents… Alors se pose aussi la question existentielle d'une bifurcation nécessaire, celle de s'assurer comme l'alpiniste sur une autre voie à emprunter pour continuer vers le sommet sans avoir à trop sérieusement dévisser. C'est aussi, sur ce point, une solution à prendre en compte, seul(e) ou bien d'un commun accord plus éclairé.

Bien entendu, dans l'absolu tout ceci semble simple à appliquer et facile à concevoir, surtout avec clarté et limpidité lorsque l'on est extérieur au problème; il est effectivement très souvent difficile de trouver son chemin lorsque l'on est dans une situation elle-même qui jette lourdement l'obscurité sur soi et ainsi désoriente foncièrement le jugement et des décisions à prendre, c'est en cela qu'il est important, tout comme le nageur, trop éloigné du rivage, de résolument sortir la tête de l'eau pour mieux percevoir la rive et s'en rapprocher avec discernement sans paniquer. Afin de pallier à cet état de fait, et ne pas tâtonner dans l'obscurité, il est préférable de parfois chercher de l'aide ou du moins des moyens auxquels l'on n'aurait pas forcément pensé soi-même au moment le plus opportun. Il faut savoir que ce n'est pas un aveu de faiblesse que de rechercher des solutions que d'autres possèdent, c'est au contraire d'une grande lucidité que de prendre une bonne décision d'aller chercher des outils permettant de se constituer une représentation fiable apportant des solutions du même acabit. Comme abordé ici précédemment de manière rapide en deux mots seulement, le concept "d'évolution karmique" demeure crucial pour comprendre une démarche saine et efficace, d'un niveau certes complexe à assumer si l'on est profane, ceci afin d'aborder les véritables problèmes existentiels qui sous-tendent ceux qui sont plus communs et visibles au quotidien. Ainsi, sous un angle plus ésotérique, les problématiques, notamment celles des relations amoureuses, deviennent d'une très grande clarté avec une vision nette et brillante des décisions à prendre puisque d'une certaine façon l'angle karmique permet d'entrer dans ce code qui programme l'humain, non pas celui inscrit matériellement dans son génome mais celui, sur un niveau bien supérieur, qui en a fixé les règles essentielles et toutes les potentialités de perspectives évolutives à suivre…

Pour trouver des outils capables d'intégrer matriciellement ce que représente l'orientation karmique d'une personne et ainsi lui dévoiler (en partie seulement) quelques aspects significatifs dans un but de résolution de problème, il est nécessaire de passer par des voies non conventionnelles, par des méthodes plus ésotériques au sens premier, par des travaux dits "de magie" qui eux seuls permettent d'entrer supra-réellement dans le coeur de la problématique liée à la personne, ceci par des rituels ciblés ayant un rôle actif, bien que vus ici-bas comme de purs actes symboliques, lesquels apportent pourtant d'inestimables réponses et solutions à des fins fortement évolutives. Il n'y a pas à "croire" ou à dénier de tels travaux de magie, ceux-ci existent et permettent d'entrer en quelque sorte dans notre code source pour en modifier les paramètres potentiellement ajustables selon les Grandes Lois ésotériques qui régissent notre réalité. Dans cette perspective, je reste à votre disposition pour répondre à vos questions et vous proposer si besoin mon aide en qualité de chaman professionnel ayant l'expérience des différentes magies pouvant vous apporter des réponses et des solutions, en particulier dans le domaine des relations amoureuses et plus précisément de celles qui concernent le couple. Je vous dis à très bientôt en vous souhaitant de vouloir dépasser les murs de votre labyrinthe personnel pour en trouver la porte de sortie qui est la vôtre, véritable point focal de votre évolution karmique.

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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Quelques jours après la St-Valentin, devenue surtout une fête commerciale du niveau proche de gentils bisounours fortement assagis, il semblait logique, voire intéressant et même nécessaire d'aborder un sujet s'y rapportant directement mais dont très bizarrement le tabou sociétal qu'il génère implicitement n'ose pas du tout aborder de front, préférant digresser de-ci de-là sur la question précise : celui du tabou de la libido dans la vie amoureuse, dans la vie réelle tout court… Pourtant les relations de couple, mais aussi celles des célibataires recherchant l'amour, ne se limitent évidemment pas à l'échange de jolis bouquets virtuels de roses ou de petits coeurs sur les réseaux sociaux, il faut au contraire y voir une volonté affirmée de jouissance des corps et des esprits dont on sait qu'elle ne peut passer que par une extériorisation de cette libido dans la relation avec autrui, un acte à la fois fortement mentalisé en amont et in fine exprimé en aval par la sexualité. Or, contrairement à tout produit pouvant être acheté, cette libido n'est ni échangeable ni générée ex nihilo, elle demeure une essence issue d'une volonté personnelle intérieure de puissance à partagée, d'une attraction ou d'un magnétisme digne d'une alchimie qui ne se trouve sur aucun étal marchant. Comprendre cette puissance, en saisir les éléments constitutifs à l'image d'un art spagyrique, c'est donc aussi s'attribuer la recette secrète d'une vie amoureuse qui ne trahira pas son but, celui de satisfaire à la fois son propre désir mais aussi celui de la personne qui en est la cible, avec la réciprocité d'une attirance nécessaire pour en construire ce mouvement perpétuel que l'on nomme l'Amour.

Force est de constater depuis quelques années une sorte de transformation ou plutôt de transformisme évolutionniste de notre rapport à autrui en matière de relations amoureuses, l'on voit en effet une sorte de dilution des genres dans des méandres psycho-sociologiques peu clairs où les uns et les autres y perdent leurs repères au risque de ne plus se comprendre eux-mêmes comme individu sexué à part entière. Alors comment entrevoir un rapprochement quelconque ou une compréhension d'autrui dans cette configuration si confuse et perturbante ? Devons nous y voir, après analyse plus profonde, une autre volonté (peut-être cachée) d'asservir toute saine attraction en manipulant et brouillant les pistes dans un dédale de questionnements futiles contraires à un comportement naturel ? L'actualité, où se mêlent les questions de genre et de "vokisme" ambiant peu compréhensibles dans leurs buts réels, n'apporte que des réponses tronquées et des désillusions dont la grande majorité n'est ni concernée ni interpelée avec pourtant des répercutions importantes dans l'élaboration de la reconnaissance d'autrui dans l'environnement quotidien, et donc dans ce rapport ou justement les liens, sociaux, amicaux ou amoureux, en deviennent indiscernables, assurément flous, voire totalement intangibles pour certains. C'est dans ce constat de dérèglement des sentiments et des affects, et donc aussi de la libido qui s'y rapporte, que l'on ne peut que tenter de trouver une sorte de remède à cette perturbation existentielle, car s'en est une certaine et importante propre à désorienter les moins avertis, les plus jeunes ou moins aguerris sur la question… Il en vient alors effectivement à se demander, de manière pratique et "profane", comment relancer ou retrouver une vie relationnelle, sociale et amoureuse moins dégradée.

Certes, d'un autre point de vue plus ésotérique, les initiés auront parfaitement compris qu'il faut y voir un véritable piège sociétal, donc existentiel, et par conséquent en allant encore plus loin un piège relationnel ayant des répercussions sur des objectifs karmiques à suivre, objectifs qui seront de facto ralentis ou déviés de leurs buts initiaux d'évolution en empêchant les outils d'attraction de jouer leur rôle habituel à des fins de rencontres ou de liens amoureux (essentiels dans le processus de quête karmique). Il y a donc, d'une certaine façon, une insidieuse volonté de nuire à ce processus, un épais brouillard relationnel qui s'abat afin d'éloigner plus ou moins ceux qui devaient se rencontrer pour effectuer ensemble leur mission de vie de manière plus complète. Il faut bien ici percevoir cette activité contraire aux principes fondamentaux qui, il est vrai, après une assez longue période de quarantaine dont on ne peut reconnaitre que l'aspect négatif engendré, continue à s'ancrer vibratoirement de manière sensiblement durable et négative pour s'en inquiéter. Encore une fois, les profanes en la matière n'y percevront visiblement rien d'extraordinaire ou de très contraignant, ne verront pas le danger avancer progressivement car ils y seront déjà confrontés à la fois mentalement dans leur esprit en partie formaté et physiquement dans leur perte relative de libido et d'attraction. Retrouver cette potentialité ou la relancer en devient non seulement une saine orientation pour recouvrer un outil de développement personnel et spirituel au quotidien mais aussi pour atteindre de nouveau la capacité relationnelle contribuant à cet essentiel processus karmique dont finalement il est principalement question…

Sans entrer dans d'autres détails complexes ou bien aussi pointer directement du doigt de secrètes officines qui sont à l'origine des dérèglements dont il est question ici, mais en mettant tout de même en relation l'inexorable entrée d'intelligences non humaines dans notre quotidien, les I.A pour ne pas les nommer, nous voyons très justement notre propre essence d'humanité se confronter à d'autres logiques non naturelles nous éloignant ainsi lentement des fondamentaux qui nous constituent. Ainsi, et de manière bien plus clarifiée l'on voit que ces divers signaux faibles confrontés ensemble commencent à vouloir prendre le dessus en tentant de substituer l'humain au transhumanisme, ceci en voulant remplacer la force physique par le robot et notre intellect original et imaginatif par une intelligence artificielle formatée, uniformisée et généralisée, voire totalitaire dans un avenir proche si nous n'y prenons pas garde. Mais là ou l'artificiel ne pourra jamais entrer en concurrence avec l'essence de l'humanité, car il n'y a pas d'accès possible pour elle, c'est au processus même qui nous constitue et que les initiés connaissent sous la forme archétypale de conscience collective dont les archives akashiques sont les garantes de notre intégrité quels que soient les futurs "déboires" de la dimension physique qui y sont provisoirement attenants. Mais ceci est une autre histoire, celle, conjointement à notre problématique, d'une eschatologie programmée dont il n'est pas question aujourd'hui.

Après cette relativement longue introduction nécessaire pour comprendre le phénomène sur plusieurs niveaux, comme nous venons de le voir certes de manière très condensée et abrupte pour le profane qui n'a pas l'habitude de relier ces divers sujets entre eux, l'éloignement relationnel auquel nous sommes actuellement progressivement confrontés, ainsi que la diminution générale de l'affect et la perte de libido et d'attraction (que cela soit au sein du couple ou pour chaque individu même célibataire) peuvent être contrés de façon pratique d'une part en rejetant l'intrusion de logiques non humaines dans nos vies sociales (donc n'utiliser par exemple l'I.A que pour ce qu'elle est, c-à-d un outil évolué et non une fin transhumaniste en soi), d'autre part plus ésotériquement en comprenant l'utilité de l'aspect relationnel de l'humain en ce qu'il contribue à la bonne marche du processus karmique, notamment via l'attraction amoureuse et son biais principal qui la relie au corps avec la libido, véritable moteur du désir d'amour. Sur ce dernier point, l'accession à des solutions efficaces passe aussi par des résolutions d'ordre purement ésotérique dont on a l'habitude de nommer le processus "travaux de magie" et les outils spécifiques qui concernent le domaine de l'amour des "rituels de magie rouge" parfaitement adaptés afin de retrouver ou de développer le désir, la libido et par conséquent provoquer l'attraction entre deux individus. Résister à notre époque de confusion, c'est pallier au déficit relationnel que nos sociétés nous obligent à subir au nom d'un progrès qui n'en est finalement pas un, c'est une nécessité existentielle afin de ne pas laisser s'assombrir l'humanité qui est en nous.

Comme d'habitude cet article, plus didactique, soulèvera de nombreuses questions auxquelles vous le savez je suis à votre disposition pour y répondre, de même qu'en qualité de chaman professionnel je m'engage à vous aider avec les solutions que j'ai évoquées brièvement et qui sont ciblées en fonction de chaque personne ou chaque couple, notamment en matière de problème de relations amoureuses. N'hésitez pas, pour ce faire, à me joindre sur mon site (voir mes informations de contact ci-dessous). À très bientôt !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

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Ceux qui ont lu les ouvrages de Carlos Castaneda savent qu’il existe deux catégories de sorciers : les "rêveurs" et les "traqueurs". Il peut être important de déterminer si vous êtes sorcier ou pas, chaman ou pas, et dans quelle catégorie vous vous trouvez et si vous avez plutôt des dispositions pour pratiquer le "rêve" ou la "traque". C’est pour tenter de vous éclairer et de vous guider que j’aborde ce sujet. Revenons à la tradition : pour les sorciers-chamans cette initiation les conduit à résoudre des problèmes techniques et philosophiques, mais aussi à faire un certain nombre d’expériences et de découvertes. Parmi ces découvertes, les anciens sorciers-chamans prennent conscience que le monde dans lequel nous vivons n’est qu’une perception partielle et brouillée de la réalité. Celle-ci déformée et souvent occultée par nos systèmes de croyances dus à notre éducation et notre auto asservissement ainsi qu’à notre domestication. Ceci nous empêche d’accéder à la perception et à la connaissance intuitive de la réalité illusoire. Ainsi, le monde regroupe de nombreuses interprétations de la réalité et nous autres humains, conditionnés par nos sens et notre culture, nous n’en percevons que des fragments, nous ne voyons, entendons, touchons la réalité que dans les limites d’une "bande passante", et tout ce qui se passe en dehors de cette bande de perception nous est inaccessible… en temps normal !

Les anciens sorciers-chamans, par certaines pratiques et développements de talents personnels, finissent par percevoir quelques-uns des aspects de ces réalités au-delà de nos perceptions habituelles. Notamment, ils perçoivent autour des êtres humains des entités et des forces dont les variations d’énergie ou de densité peuvent renseigner sur l’état physique, émotionnel et psychique de la personne et avec lesquelles ils peuvent entrer en interaction. Ceci en fait la "faculté de voir" qui représente donc un des premiers acquis des anciens sorciers, et une entité peut tout aussi bien leur apparaître sous sa forme physique que sous sa forme "énergétique" selon la manière dont ils règlent leur perception. Bien sûr, la forme énergétique qui nous entoure rappelle la notion orientale de l’aura, mais acceptons comme plutôt rassurant que cette perception soit commune à une grande majorité de traditions. En approfondissant leur faculté de voir, les sorciers découvrent que les liens qui composent cette enveloppe énergétique sont reliés entre eux à une dizaine de centimètres du corps, dans ce que la tradition chamanique Toltèque par exemple appelle le "point d’assemblage". Ils découvrent enfin que l’univers entier est traversé de fibres d’énergie, regroupées entre elles pour former des lignes, à la manière de câbles de téléphones. Et le point d’assemblage du corps d’énergie des êtres vivants est lui-même connecté à certaines de ces lignes. D’après leurs découvertes, c’est en étant branché sur un nombre limité de ces lignes que l’humanité partage sa façon de voir le monde.

En somme, nous percevons à peu près tous le monde qui nous entoure de la même manière, aussi bien selon nos sens physiques que psychiques, parce que nous sommes branchés sur les mêmes canalisations d’énergie. Nos sorciers découvrent alors que lorsqu’ils se mettent en état de percevoir ces énergies autour des êtres, lorsqu’ils développent la capacité de "voir", leur point d’assemblage se déplace et accroche d’autres lignes d’énergie, transformant ainsi leur perception du monde. C’est là que se situent l’art de "rêver" et celui de "traquer". Parmi les personnes que vous connaissez, il y en a surement dont vous vous apercevez qu’elles ont un don, par exemple pour toujours se sortir des pires situations, de toujours retomber sur leurs pieds, de toujours être à l’aise en toutes circonstances, de ne jamais sembler être affectées par ce qui leur arrive, d’anticiper le déroulement des événements avec précision et raison, enfin, tout un ensemble de choses qui font qu’elles peuvent mieux vivre certains événements que vous ou d’autres personnes. Ce don, d’après les anciens sorciers, est lié à leur faculté de modifier légèrement la position de leur point d’assemblage et de contourner les obstacles, soit pour sortir d’une situation, soit pour poursuivre leur projet sans être gênées. Ainsi, lorsque nous sommes confrontés à une difficulté relationnelle et que nous trouvons soudainement l’attitude ou l’action qui retourne la situation et désamorce les tensions, nous avons légèrement déplacé notre point d’assemblage et accroché une petite ligne d’énergie sur laquelle nous avons puisé la force et l’idée de la réaction la plus adaptée.

Évidemment, on peut aussi se retrouver dans une position pire parce qu’on n’a pas accroché la bonne ligne, mais c’est là que le sorcier se différencie fondamentalement de l’homme ordinaire : il est un guerrier qui a le talent d’accrocher les bonne lignes. Rêver ou traquer sont donc deux modes de gestion de la position du point d’assemblage, et d’après les anciens chamans, ce sont les deux seuls modes qui existent. En effet, nos anciens sorciers se rendent compte que certains d’entre eux parviennent à déplacer de manière importante leur point d’assemblage, et donc d’accrocher des lignes d’énergie d’autant plus éloignées de celles sur lesquelles nous sommes connectés en temps ordinaire. Cette faculté est celle des "traqueurs", personnes qui ont une immense capacité d’adaptation, qui sont douées pour la comédie, qui ont les bons réflexes, qui sont capables aussi bien d’attirer tous les regards que de passer totalement inaperçues. L’art de la "traque" consiste donc à maîtriser le déplacement du point d’assemblage pour s’adapter au mieux (en suivant les signes que certains relient à la notion de synchronicités) aux circonstances mouvantes de notre environnement.

Le rêveur n’a pas la même souplesse de déplacement du point d’assemblage que le traqueur, mais il possède la capacité de le fixer durablement dans une position. Ainsi, si le traqueur peut accrocher assez facilement d’autres "réalités" du monde, il n’a guère de talent pour les explorer sur une longue période. Le traqueur va et vient entre plusieurs positions, entre différentes perceptions, mais éprouve de la difficulté à se fixer sur une de ces lignes d’énergie. Le rêveur ne parviendra pas facilement à déplacer de manière importante son point d’assemblage, mais il pourra le maintenir sur une ligne pendant un temps suffisant pour explorer ce monde différent et même y œuvrer. Dans notre monde commun, nous pouvons illustrer la différence entre le traqueur et le rêveur en assimilant le traqueur à un comédien, une personne douée pour le paraître (ou le "disparaître") et le rêveur à un artiste compositeur, un peintre par exemple, qui doit avoir à l’avance une idée précise et "en profondeur" de l’œuvre qu’il doit réaliser. Le traqueur a besoin d’être encadré pour donner très vite ce qu’il a de meilleur, comme un comédien qui se donne à fond sur une prise de vue, le rêveur s’isole et travaille sur du long terme, construisant patiemment sont chef d’œuvre. Tout ceci peut paraître bien abstrait, et pourtant les sorciers le mettent en application de manière très pratique dans leur art. Le sorcier traqueur est aussi capable d’entrainer les autres dans ses "états modifiés de conscience" et de leur faire partager ses perceptions d’autres réalités. Mais c’est le rêveur qui a les plus fortes capacités à influencer les autres en les maintenant accrochés sur d’autres lignes d’énergie.

Dans le monde de la magie et de la sorcellerie, le traqueur sera par exemple voyant, travaillant avec des cartes ou des supports, captant de manière subite des informations inaccessibles au commun des humains. Il pourra aussi être chaman guérisseur, se déplaçant avec aisance dans le monde des esprits et déployant tous ses talents de négociateur pour atteindre son but. Le sorcier rêveur pourra aussi être voyant, mais sur un autre mode, qui s’apparente plus à la médiumnité. Il aura une vision de l’avenir non pas par flash, mais par une sorte de connaissance intuitive et profonde. Ce sera par exemple un "dormeur", sorcier qui résout les questions qu’on lui pose en état de sommeil, parcourt le passé ou le futur de manière à bien comprendre l’enchaînement des événements, et prodigue ses conseils à son réveil, de manière précise et selon un plan structuré. Il sera plutôt contemplatif, s’absentant de longues périodes pour explorer les autres réalités et en rapporter des savoirs, comme les vertus thérapeutiques d’une plante. Le chaman rêveur n’est pas aussi à l’aise pour l’action que son collègue traqueur, mais il le dépasse en connaissance. Évidemment, l’idéal du sorcier est d’allier les talents du traqueur et du dormeur, capacité extrêmement rare, propre à certains sorciers-chamans, et qui exige de toute manière un travail acharné et constant. Mais pour l’homme ordinaire, pouvoir découvrir qu’on est plutôt traqueur ou plutôt rêveur, dans le sens que les sorciers donnent à ces mots, c’est entrevoir une meilleure exploitation de son énergie et de ses talents et aussi mieux accepter nos limitations. Attention toutefois, car la pratique de la traque ou du rêve n’est pas sans danger, comme la sorcellerie ou le chamanisme.

Dans notre société moderne, au contraire des sociétés amérindiennes par exemple, nous avons développé une forte nécessité de nous conformer à une "norme", celle du monde commun, qui est accessible grâce aux lignes d’énergie auxquels notre point d’assemblage est communément accroché. Ainsi, si dans certaines cultures il y a une place pour les personnes qui sont accrochées à d’autres lignes et perçoivent le monde différemment, le fait de vivre dans une autre réalité est très handicapant dans le monde occidental moderne. La schizophrénie, par exemple, pourrait bien être la conséquence d’un trop important déplacement du point d’assemblage par rapport à la position commune. La perception d’autres entités, d’autres personnes, le fait d’entendre des voix sont des concepts de sorciers-chamans, l’indice d’un traqueur qui se serait perdu dans des réalités trop éloignées de la norme humaine et ne pourrait plus faire le chemin de retour. De même, si un rêveur accroche définitivement une autre réalité, il finira par se retrouver isolé dans une bulle contemplative, vivant des expériences impossibles à partager avec ses proches, qui l’excluront de fait de la société. Pratiquer la "traque" ou le "rêve" au sens des anciens sorciers n’est pas un amusement sans conséquence. C’est une discipline qui apporte sans aucun doute des pouvoirs et des savoirs, mais ce n’est pas sans risque. À quoi cela sert-il, en effet, d’accéder à des savoirs étendus si on finit par quitter le monde commun et qu’on se trouve dans l’incapacité de les partager ou de les mettre en application ?

Les pratiques de la traque et du rêve ne sont toutefois pas interdites à l’homme ordinaire, car comme je le mentionnais plus haut, nous déplaçons tous notre point d’assemblage en permanence, mais dans de petites amplitudes et en revenant régulièrement et automatiquement à la position "normale". En contrôlant nos émotions, nos sentiments, et en maîtrisant notre psychisme, nous pouvons avec une certaine sécurité faire l’expérience des "états de conscience modifiée". Le champ des expériences liées à la traque et au rêve est bien évidemment infini, et peut vous mener à la rencontre de vous-même et des autres sous un jour tout à fait nouveau. Reste à savoir ensuite ce qu’on doit en faire… Si vous avez des questions sur cet article, n'hésitez pas à me contacter pour en savoir plus ou vous pouvez aussi bien évidemment directement lire les ouvrages de Carlos Castaneda !
 

Jean-Pascal Bruno, chaman professionnel

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La Chance est un très délicat concept qui semble assez largement échapper à tout contrôle mais pour autant pratiquement tout le monde recherche cette si fameuse et insaisissable Chance dont beaucoup d'ailleurs seraient incapables d'en définir exactement la teneur ou même d'en expliquer clairement une vision personnelle de ce qu'elle pourrait précisément leur apporter. Bien entendu, chacun sous-entend qu'avoir de la Chance dans l'existence est assurément synonyme de réussite sociale, de gloire, d'argent facile et de bien-être total sans jamais avoir à ne déplorer aucun problème ou accident importants. Ajoutons de suite sans l'oublier : une santé de fer, l'amour chaque jour plus fort et une longue vie pour parachever l'image idyllique afin d'en avoir fait presque complètement le tour et nous aurons un tableau bien brossé ! Mais, comme nous le voyons ou présentons, la Chance s'accompagne souvent de son parent assez ingérable et tout aussi indéchiffrable : le Hasard, car à coup sûr l'on ne sait évidemment jamais exactement comment se dérouleront les "heureux évènements" ni quand, à défaut même qu'ils arrivent un jour… Alors comment définir ce concept et tenter d'en extraire quelques vérités ésotériques utiles ? Surtout dans un premier temps en faire comprendre la réelle essence, et dans une deuxième étape se poser l'excellente question de ce que représente surtout la Chance "pour vous dans votre vie", ainsi que les principaux moyens d'y parvenir par des voies détournées au-delà de cet horizon des possibles.

Mais qu'est-ce que la Chance, ou déjà qu'est-ce qu'elle n'est pas ? Ce qu'il faut bien savoir avant tout c'est que l'intellect, se limitant à ce qui est en nous avec nos perceptions réduites pour tenter d'analyser ce qui est hors de nous, ne peut absolument pas concevoir toute l'immensité de notre environnement, toute sa complexité multiforme et toutes les potentialités induites : il nous est donc parfaitement impossible de saisir toutes les opportunités, les bonnes et surtout les meilleures pour en profiter intégralement mais aussi les mauvaises, voire les pires pour les éviter toutes. Par conséquent le mental ne peut être que dépassé par la réalité sur laquelle il se pose sans arrêt des questions, et celui qui dirait qu'il peut, uniquement via sa propre intelligence corticale, concevoir à l'avance toutes les opportunités chanceuses et écarter aussi tous les dangers serait un affabulateur et un complet mythomane, déjà en se mentant à lui-même. Notons qu'à la limite, celui-ci, même le plus intelligent du monde, ne pourrait prendre en compte que les quelques paramètres directement perçus qui lui sont proches, qui lui sont connus et compréhensibles, pour en modéliser les miettes d'interactions à portée afin de trouver "astucieusement" quelques petites pistes avantageuses pour sa personne. Cette attitude, parfaitement basique (et par définition limitée) analyse avec a fortiori une "certaine confusion mentale" ce qui nous environne mais ceci ne représente pas une recherche en soi de la Chance pour la "forcer", celle-ci ne peut pas être captée depuis un raisonnement intérieur, cette attitude signifie simplement que vous cherchez tout au plus dans votre milieu ambiant immédiat (social, professionnel, intime, etc.) à être aussi "malin" que ceux qui vous entourent pour profiter de situations relativement simples et totalement prévisibles.

La Chance fait donc essentiellement partie du domaine de l'invisible, c'est un concept intangible, immuable par nature, qui ne se situe que dans un "absolu des possibles", nos sens communs ainsi que notre intellect cloisonné ne peuvent rien en percevoir et encore moins anticiper ce qui ne pourrait être ni perçu ni interprété par le mental, il faut par conséquent ne pas le chercher mais le laisser venir à nous en laissant de côté notre Ego qui délimite et formate ce même mental, il faut au contraire écarter l'intellect réducteur et dissoudre l'Ego pour accéder, un moment seulement, à cet absolu des possibles. Ce n'est qu'en laissant remplir ce vide ainsi créé par ce phénomène d'éloignement volontaire de l'Ego et de l'emprise du mental que l'on peut se rapprocher de cet absolu, ce phénomène porte une dénomination bien connue de tous : la méditation, pour autant sa bonne pratique et sa profonde connaissance sont généralement totalement hors de portée de la grande majorité des personnes, lesquelles sont bien trop "occupées" dans l'enchevêtrement des considérations du quotidien et dans la "réflexion du mental" (miroir actif et confus de l'Ego), elles ne peuvent prendre le temps nécessaire d'en apprendre la science, assurément ésotérique par essence.

Bien que la méditation soit un moyen d'accéder en quelque sorte à une dimension supérieure positive ayant cette capacité d'apporter librement des informations codifiées pour réorienter le mental dans une bonne direction et donc laisser entrevoir un horizon des possibles prometteur (comprendre "chanceux"), elle ne permet pas à tout un chacun de saisir consciemment la Chance telle que communément reconnue mais de fournir au contraire des itinéraires personnalisés dont la personne aura spécifiquement besoin pour son évolution, c'est en cela que la véritable Chance agit : elle n'indique que la "part de chance" manquante et nécessaire pour se réaliser pleinement dans l'existence et ainsi réussir ses objectifs karmiques, lesquels induisent par un "heureux hasard" (diverses synchronicités) des actions bien concrètes ayant ces répercutions positives dans la vie. C'est donc en étant à l'affût de ces synchronicités, lesquelles sont néanmoins complexes à interpréter, que chacun pourra en tirer des avantages conséquents sous la forme de situations où cet "heureux hasard" apportera la bonne opportunité, au bon moment, avec les bonnes personnes au bon endroit. Chacun a déjà vécu ces instants ou ces périodes où tout "semble rouler" parfaitement et s'enchaîner comme les pièces d'un puzzle que l'on pose successivement et dont on découvre l'image finale avec cette fierté d'avoir réussi une étape importante et positive.

Comme je viens de le signifier assez clairement, la Chance est donc un facteur de réussite unique et propre à chacun selon son histoire personnelle, et plus conséquemment selon son orientation karmique que l'on doit considérer comme une main invisible guidant avec justesse la personne dans l'infini des possibles d'un labyrinthe existentiel auquel elle est confrontée chaque jour. Évidemment, et comme je l'ai aussi dit précédemment, tout le monde n'est pas sensiblement à l'écoute de ses fugaces synchronicités pour en saisir ou même en comprendre tout l'intérêt et y voir s'incarner la vision discrète des messages du karma. Dans tous les cas, juste un premier conseil : soyez à l'écoute de certaines pensées apparemment inhabituelles ou saugrenues, celles-ci sont peut-être de cruciales informations à interpréter, idem pour les rêves qui peuvent (pour ceux néanmoins qui s'en souviennent) être très instructifs même s'ils semblent totalement incohérents à première vue… Deuxième conseil pour ceux et celles qui n'auraient ni le temps, ni la possibilité de se pencher sur cette problématique de la Chance, surtout si pour vous celle-ci se fait absente ou semble s'éloigner : il existe des rituels de magie permettant de dévoiler (en partie seulement) les grandes orientations karmiques et ainsi commencer à entrevoir les bons itinéraires existentiels à emprunter pour "réussir sa vie", du moins vous l'aurez compris "réussir les bons objectifs pour évoluer positivement".

Dans cet ordre d'idée, et si vous me suivez sur ce blog vous savez que je propose mon savoir-faire professionnel en qualité de chaman, par conséquent vous pouvez à tout moment me contacter librement et sans engagement pour que je puisse répondre à toutes vos questions, notamment celles qui traitent des sujets des articles que vous lisez et qui je l'espère vous apportent déjà quelques lumières "ésotériques" utiles pour la compréhension de cet univers pour le moins hermétique pour la plupart des profanes (et même pour certains initiés !). Pour ce faire voyez les informations sur ma bannière ci-dessous. Je vous dis à très bientôt et ne laissez pas passer votre Chance en saisissant les opportunités qui se présentent ouvertement à vous !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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