Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Blog chaman ésotérisme

Blog chaman ésotérisme

Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #magie noire, #travaux de magie, #Rituels de magie, #jean pascal Bruno, #Esoterisme, #Sorcier chaman, #entités, #haute magie

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

Les dénominations des magies, rouge, blanche, noire et même parfois verte, bleue ou pourpre, peuvent parfois être assez contradictoires ou obscures pour les profanes mais il faut savoir que même chez les initiés ces qualificatifs ne sont perçus que comme des notions purement conventionnelles et n’apportant pas toujours la plus grande des clartés ou une vérité absolue de ce qu’elles représentent exactement, et ceci à juste titre. En effet, et par exemple, qu’en est-il d’une magie dite blanche, donc sensément positive et axée sur le soin, sur la divulgation (la révélation) et sur l’apport d’énergie, alors qu’elle sera assurément bénéfique pour une personne en ayant eu la satisfaction d’en avoir eu recours en connaissant une vérité cruciale sur une situation, alors que d’un autre côté, cette même magie aura apporté à une autre personne cette même révélation de vérité avec la venue de multiples déboires provenant de ce dévoilement dans cette même exacte situation ? Comme nous le voyons, même la plus anodine des magies, la plus positive en soi aura sa propre part d’ombre portée par la face cachée de l’envers visible de sa médaille étincelante. Comme le dit l’initié de haute magie : chaque situation pourra être perçue différemment, voire inversement, selon la position relative d’où on la regardera, selon l’angle de vue qui y sera porté, selon l’intensité toute relative qui permettra ou non d’entamer la superficialité d’une vérité sous la surface d’une réalité simplement visible. Il en ira de même des méthodologies utilisées en magie, donc des rituels qui y seront associés et par conséquent des typologies des magies intégrées dans les travaux. En d’autres mots, les magies telles qu’elles sont présentées de manières simplifiées ne sont pas toujours celles que l’on pourrait penser ou croire ni celles qui auront les effets escomptés en fonction de l’attente de leur dénomination initiale.

En magie d’ailleurs, tout est presque question de dévoilement de secrets ou d’interprétation de situations pour agir en conséquence, tout peut donc être lumineux et positif lorsque l’on regarde le soleil mais d’autant plus ténébreux si l’on se retourne pour percevoir l’ombre portée par cette même lumière : l’obscurité n’existerait pas sans cette même éclatante luminosité, et inversement, de même le Bien tel qu’il est envisagé et sensiblement perçu n’existerait pas sans sa ténébreuse part contraire que représente le Mal. L’un sans l’autre ne signifie rien, c’est de la toute relativité de leur éloignement ou proximité que l’on pourra juger de leur puissance relative, en bien ou en mal, selon des principes basiquement humains en fonction de curseurs éthiques ou moraux à géométries variables en fonction des époques, les traditions et les zones géographiques correspondantes. Ainsi, la plupart des rites animistes des sociétés dites primitives, lesquels sont généralement d’ordre sacrificiel, seront qualifiés comme autant de rituels dignes de figurer dans le registre de la magie noire au regard de nos sociétés dans presque toutes les obédiences magiques modernes ou contemporaines. Le sacrifice, c’est-à-dire le don du sang versé ou bien sa représentation symbolique, se rapporte presque directement au domaine de la sorcellerie avec ses rituels destructeurs, sortilèges, malédictions et autres sorts délétères. Pourtant, dans un registre plus naturel le sang représente aussi une vision physiologique de la vitalité et de l’énergie, à l’exact opposé de la mort et de la destruction… Comme nous le voyons, tout reste relatif encore une fois selon le "sens" que nous donnons, mais aussi selon l’autre sens, c’est-à-dire le positionnement initial sur une même notion, que l’on soit du côté face ou bien du côté pile. Et il est très rare qu’une pièce tombe sur la tranche et y reste bien longtemps…

Alors qu’en est-il de la magie noire exactement avec cette notion fondamentale de relativité du bien et du mal ? L’application des rituels sera-t-elle perçue uniquement selon l’axe du Mal ou sous d’autres angles moins extrêmes ou radicaux ? Enfin, cette magie noire aura-t-elle ses propres limites dans son application et surtout des risques non seulement pour le praticien qui opère mais aussi pour le demandeur, initiateur et commanditaire ? Ces questions sont presque toutes intimement liées, elles ne prennent sens que lorsque l’on replace dans un contexte spécifique les travaux de magie pour en percevoir la réelle portée, les limites qui en bornent l’horizon des possibles, ainsi que les éventuels risques à envisager (et donc à déjouer). Demeure aussi le mode opératoire de cette même magie noire dont les rituels s’apparentent plus à des invocations d’entités qu’à de simples évocations de forces élémentaires ou primordiales au service de ceux qui les appellent… Notons qu’en magie noire lesdites entités ne sont pas naturelles ou purement terrestres mais proviennent plus généralement de régions dimensionnelles normalement inaccessibles au commun des mortels puisque les travaux de magie noire s’exercent selon des processus cérémoniels où une assemblée (de sorciers ou d’assistants) associe la puissance nécessaire pour non seulement ouvrir une brèche vers cette dimension mais aussi en encadrer ce qui en sort pour en maîtriser le potentiel immensément magique qui se présente. Ainsi, même si c’est effectivement un praticien expérimenté qui sera le contact d’un commanditaire désirant des travaux de magie noire, il est assurément clair qu’il ne pourra jamais agir seul mais sera secondé par plusieurs assistants expérimentés, autant qu’il en faudra nécessairement en fonction de l’importance de la tâche à effectuer ou de l’ampleur de "la solution" à trouver.

Ce n’est pour ma part qu’avec une assemblée constitue de fidèles assistants, pour la plupart d’un excellent niveau, que je me prononce en amont d’une part sur la faisabilité des travaux de magie noire, d’autre part sur l’exact processus et parcours à effectuer pour réaliser avec la pleine et entière maîtrise l’ensemble de ces travaux de A à Z, du début à la fin de ceux-ci, puisque et il faut le souligner : des travaux de magie noire engagés ne peuvent pas être interrompus sans avoir été finalisés, ceci est une règle de haute magie dont il faut instamment informer le demandeur pour que justement personne ne court un danger (chocs en retour maîtrisés) dans cette manœuvre délicate qui pourrait s’illustrer ou s’imager à un plongeon du haut d’une falaise (l’on n’arrête pas le mouvement amorcé). Les champs d’application de la magie noire sont aussi bien entendu la toute première des préoccupations lorsque l’on me soumet une problématique, ainsi rien n’oblige l’utilisation d’une puissance démesurée si l’on peut avant tout y remédier avec d’autres moyens plus adaptés, tels que ceux qu’offre les magies plus conventionnelles (mais certes aussi moins radicales) que la magie blanche qui s’axe principalement sur le bienfait d’une énergie vitale amplifiée et sur ses rituels de révélation qui sont à la base de la plupart des résolutions classiques, de même pour la magie dite rouge par convention qui aura comme "périmètre" celui de l’amour, des relations sexuelles et de la libido (avec effectivement toutes les problématiques liées à ce domaine : jalousie, infidélité, impuissance, etc.). Notons, pour la forme, qu’il existe une magie bleue (généralement associée dans bien des cas à la magie blanche) qui aura comme principale tâche la protection de la personne par des rituels du même nom. Idem en ce qui concerne la magie verte (souvent intégré à la blanche) qui utilisera les énergies élémentaires ou telluriques pour agir à des fins de soins ou de rééquilibrage.

Enfin, il existe, et ceci nous intéresse bien plus, une magie intermédiaire entre la magie rouge et la magie noire que l’on appelle "magie pourpre" par convention afin justement de mieux imager cette lisière infime qui vient parfois à orienter les travaux vers des rituels plus radicaux, voire brutaux dans leur formulation et faisant appel en dernier recours, uniquement en ultime nécessité, à des entités plus puissantes pour obtenir des résultats. La magie noire peut et même devrait se qualifier comme un recours utile dans certaines situations extrêmement difficiles où le demandeur est lui-même en danger initialement et par conséquent en urgence (à bien analyser tout de même) d’une action radicale pour contrer le Mal par le Mal. Cette possibilité d’utiliser la magie noire dans des cas d’urgence ou d’extrêmes complexités se doit d’être effectués avec la plus grande des prudences car comme vous le savez il ne faut jamais confondre vitesse et précipitation, c’est ici la règle d’or à suivre que de toujours effectuer les travaux par paliers successifs, tout comme le ferait notre plongeur (évoqué précédemment) pour remonter à l’air libre et réussir son action, du début à la fin sans dommage. Pour finir je tiens à préciser qu’il n’existe presque pas de limites dans les travaux de magie noire, seules sont les entités qui s’y associent (par la force de cohésion de l’assemblé) seront à la hauteur de la résolution de ce qui devra être effectué, par contre le piège réside dans la démesure des demandes et justement dans le fait qu’il n’existe pas de limite d’action de ces entités si on ne les maîtrise pas… Étant sorcier-chaman depuis plusieurs décennies maintenant, je reste assez expérimenté avec l’ensemble de mes assistants pour juger jusqu’où nous devons aller afin de ne pas tenter le diable, en sachant ceci : que le diable se cache non seulement dans les détails mais qu’il sait surtout nous faire croire qu’il n’existe pas ! Par conséquent : un sorcier expérimenté et bien averti par sa longue expérience en la matière en vaut largement dix !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

Voir les commentaires

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

Lorsque le couple se trouve en difficulté ou bien désuni dans sa relation première, c'est-à-dire dans sa relation amoureuse initiale, alors c'est toute la cellule familiale, enfant(s) et prarents compris, qui s'en trouve complètement déstabilisée et fragilisée jusque dans ses fondements mêmes avec une possibilité d'effondrement ou d'explosion de l'ensemble de la structure relationnelle. Afin de ne pas en arriver à ce type d'extrémité où la situation pourrait aboutir à la dislocation complète de la famille, il sera nécessaire d'effectuer progressivement et très précisément une serie de travaux axés sur des rituels de restauration de la relation parentale dans un premier temps puis de consolidation de l'ensemble du tissu social de la famille, avec parfois aussi, en annexe, une magie plus offensive...


La principale cause de désunion et de déstabilisation de la relation de couple provient presque essentiellement de l'infidélité d'un des deux partenaires (voire des deux aussi), en ce sens ce sont les liens du couple qui se distandent ou qui se désagrègent au profit d'autres personnes extérieures qui en héritent. Vouloir resserrer ou bien recontituer les liens amoureux initiaux sera donc finalement une entreprise double : la première de re-légitimisation (rendre légitime de nouveau) du couple initial, la deuxième de déligitimisation (ne plus rendre légitime) la relation dite infidèle ou adultèrine. Il y a par conséquent deux actions certes opposées mais parfaitement complémentaires dans cette action de recontruction du couple initial et d'action sur l'infidélité à cibler aussi.


Deux actions, cela signifie de facto deux types de rituels différents, et ici deux types de magies aussi : l'une permettant d'effectuer un rapprochement et de "soigner la relation", l'autre étant plus "offensive" dans son action de déconstruction (pour ne pas dire de destruction) de la relation illégitime en question. L'on pourra aussi considérer que dans son ensemble la reconstruction de la relation de couple initiale pourra s'étendre à la famille au sens plus large, incluant les relations habiruelles parents-enfants s'il y a lieu, avec une évidente finalité de cohésion familiale retrouvée. Ce sera ici en grande partie à la magie blanche de fournir la plupart des rituels d'apport d'énergie positive pour ce faire, avec le soutien néanmoins assuré d'au moins un puissant rituel de magie rouge (magie de l'amour) centré uniquement sur la relation du couple pour sceller cette volonté de retour d'une relation non plus d'éloignement mais de rapprochement.


Par contre, en ce qui concerne la relation dite "infidèle", il faudra inversement agir avec des rituels de désunion, de rupture et d'éloignement, des objectifs à la fois partagés par deux magies dont l'une ne peut qu'être sensiblement proche de la magie noire ou bien alors d'une magie dite "pourpre" pour en signifier la proximité avec une magie rouge teintée du souffre de la magie noire. Il n'y a pas d'autre magie que celle de l'amour pour en orienter dans un sens ou dans l'autre l'activité, c'est-à-dire pour "faire ou défaire" une relation, et les praticiens de haute magie le savent bien : à toute magie correspond aussi sa face plus sombre qu'il faut parfois utiliser à dessein...


Dans cet ensemble complexe de travaux successifs, il sera judicieux de commencer par une première étape pleinement positive pour en tirer des conséquences pour la suite, en d'autres termes : commencer par la magie blanche pour tester les facteurs de cohésion de la famille sera cette première étape cruciale. Si le résultat s'avèrait améliorer, même de manière très minime la situation, alors la suite des travaux pourrait s'axer sur cette tendance prometteuse en continuant sur cette lancée; par contre, dans le cas inverse il faudrait alors passer à des rituels "plus incisifs" de l'ordre de cette magie pourpre qui permettrait une sorte d'insert "d'un peu de chaos" afin d'en voir toutes les cartes du jeu complètement rabattues, ceci pour obtenir une situation effectivement plus décousue qu'il sera aussi plus simple de "remettre en bon ordre" : après la pluie faisons apparaitre le soleil sur un paysage dégagé...


C'est uniquement, avec un savoir-faire et une exprérience professionnelle, que les travaux peuvent être effectués au cordeau des justes rtituels pour s'ancrer dans le présent et y jouer leurs rôles actifs, plus efficacement et de manière optimum en fonction de la situation réelle. Il n'y a pas de "travaux types" écrits à l'avance, il n'existe que des modalités de processus magiques où chaque magie, blanche, rouge ou noire aura successivement sa place exacte, ou non, ceci selon les évènements précis qui en ordonneront l'utilisation pour en orienter le but final : ici la reconstitution de la relation du couple au sein de la famille elle-même reconstituée, redynamisée et stabilisée.


C'est dans ce sens que je pratique les travaux de magie en qualité de sorcier-chaman depuis déjà plusieurs décennies, lesquelles m'ont apprises que, seuls les rituels, effectués aux bons moments, selon des magies prafaitement choisies et dosées (avec une volonté pleinement partagée avec la personne demandeuse), seront dignes de restituer pour chacun leur potentiel optimum afin de réussir l'objectif final !


Jean-Pascal Bruno, sorcier-chaman professionnel

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

Voir les commentaires

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

De la magie dans le monde quotidien du profane des mots sonnent comme des coups de tonnerre, et pour cause puisqu’il s’agit d’exorcisme, de possession, d’envoûtement et autres terribles malédictions, mais en ce qui concerne le sens précis de ces mots et des effets qui leur sont attribués il n’y a plus grand monde pour en parler, sauf bien entendu les initiés en haute magie car sur ces thèmes il faut un parcours sans faute non seulement pour opérer les bons rituels sans faillir ou défaillir, mais surtout savoir faire le bon diagnostic au risque de perdre rapidement le "patient" (qui ne l’est pas toujours)… Il s’agit ici principalement de magie noire, une magie dangereuse dans son application et assurément dans sa capacité à fortement nuire lorsqu’une personne se voit touchée par de tels sortilèges destructeurs dont il faudra une expérience certaine et un savoir-faire tout autant professionnel de très haut niveau pour en aborder toutes les facettes et ainsi sauver littéralement la situation parfois désespérée de ces personnes atteintes. Nous ne parlerons donc que de magie défensive face à ces puissants sorts pour en catégoriser les rituels, les magies et les grandes orientations.

Même pour le praticien expérimenté il n’est pas simple de connaître immédiatement la nature d’un mal qui ronge une personne, en effet la magie noire sait aussi se dissimuler sous des voiles opaques pour ne laisser filtrer que de maigres informations sur son mode opératoire et par conséquent sur l’essence même du mal, lequel peut aussi avoir diverses origines, soit via un rituel et dans ce cas il s’agit effectivement d’un sort de type envoûtement opéré par un sorcier, soit via un mal plus sournois encore puisque non-humain et issu d’une entité malfaisante (ou plus simplement parasite). Afin d’en définir justement la nature exacte, il est habituellement très utile d’effectuer en tout début de travaux de magie, c’est-à-dire dès la première séance, un rituel basique de dévoilement en magie blanche. Cette magie sert initialement de soin énergétique et d’équilibrage, ce sera nécessaire dans certaines situations où la personne touchée est en pleine déliquescence à la fois mentale et souvent physique car très fatiguée, mais ce sera surtout pour établir un tableau objectif des maux qui s’exercent en "éclairant la situation" (et ce n’est pas qu’une périphrase) via un véritable rituel de dévoilement salvateur qui apportera ces réponses cruciales pour la suite…

Notons tout d’abord un détail qui compte : est-ce que la personne vient d’elle-même pour être débarrassée de ces maux ou bien est-ce une tierce personne qui tente de la sauver pour que l’on s’en occupe ? Un détail qui n’en est pas un puisque dans la grande majorité des cas à ce stade les personnes atteintes par un sortilège de magie noire ne sont pas ou plus en capacité de saisir logiquement et consciemment ce qui leur arrive, elles sont désorientées à un tel point qu’il est rare d’en voir demander de l’aide sciemment, la raison et la douleur psychique et physique l’ont souvent emporté sur tout sursaut de lucidité, sauf dans certains cas précis où la personne sait qu’elle a touché à des domaines interdits qu’elle n’avait pas vraiment la capacité d’encaisser…

Mais revenons à nos causes principales : envoûtement (issu d’un rituel de magie noire) ou possession (par une entité négative ou parasite). Dans le premier cas, presque le plus simple à gérer pour un sorcier-chaman expérimenté, il s’agit d’effectuer un désenvoûtement, c’est-à-dire d’annihiler le sortilège par des rituels s’y opposant, avec en supplément comme dit précédemment l’adjonction de "soins rééquilibrants" en magie blanche pour redonner de l’énergie vitale et spirituelle afin de suppléer aux maux qui s’en nourrissent. Dans cette phase de premiers soins et d’évaluation des dégâts psychiques et physiques, l’on aura alors un répit de courte durée pour répondre de manière ciblée au sortilège en question en effectuant ensuite le contre-envoûtement, une action radicale de retour à l’envoyeur, tout comme un coup droit direct et pissant au tennis la balle ira droit au but pour marquer des points et peut-être l’emporter en un seul round en mettant KO le sorcier d’en face ! C’est généralement le cas lorsque j’opère ce type de représailles sur un confrère très mal intentionné… Il s’agit de chocs en retour, à la fois tapant très fort sur ce sorcier mais aussi sur le commanditaire du sort, ce qui fait coup double dans cette situation de contre-offensive utilisant la source même du mal tel un miroir le reflétant à son juste triple ou quadruple niveau initial en retour. À retenir les deux phases suivantes : désenvoûtement pour stabiliser et atténuer, puis contre-envoûtement pour supprimer les effets et les renvoyer !

Petite annexe en ce qui concerne les sortilèges qui s’attaquent aux biens ou aux espaces de vie, autrement dit des envoûtements "localisés" pour nuire à des groupes (souvent sur des entreprises dans des espaces de travail ou lieux de fabrication) ou nuire à des familles (suite à des différents d’héritage ou autres problèmes de voisinages compliqués), il s’agit ici d’effectuer non pas un désenvoûtement mais un "dégagement" du mal en se concentrant sur le lieu incriminé. Il était bon de le signaler car de nombreux praticiens ne sont pas en mesure de catégoriser un mal si celui-ci ne touche pas directement la personne, alors que finalement ce mal se situe dans le lieu de vie ou le lieu professionnel de cette personne. L’expérience, sur plusieurs décennies en qualité de sorcier-chaman, m’a appris que les deux peuvent aussi être ciblés en même temps, la personne et un lieu qu’elle côtoie habituellement, donc attention de ne pas aller trop vite sur l’un seulement ou sur l’autre ! En ce qui concerne les lieux, sachons reconnaître qu’il existe aussi dans certaines maisons (en cave, grenier, recoins) ce que l’on appelle des parasites énergétiques qui pourront être éloignés par ces rituels de dégagement, idem dans des lieux en pleine nature ou cette fois-ci des "forces élémentales" peuvent coexister plus ou moins bien avec les humains (dans ce cas il faudra souvent faire des compromis acceptables pour ne pas voir un fleuve se rebeller, un arbre tomber ou une terre s’effondrer…).

Maintenant abordons le difficile cas des possessions par des entités que l’on pourra d’emblée qualifier de démoniaques puisqu’elles existent bel et bien. Le diagnostic profane par les médecins s’apparente à la folie ou au désordre mental, certes cela peut être le cas suite à des malheurs dans le parcours d’une vie qui provoquent ces processus psychiques très perturbants et même handicapants, mais il faut aussi savoir que ces mêmes situations malheureuses provoquent un affaiblissement significatif des défenses du corps éthérique et du corps mental susceptible d’attirer des entités en quête de personnes ainsi perturbées. En général ce sont diverses entités parasites de bas niveau, lesquels une fois repues partiront d’elles-mêmes, dans d’autres situations plus exceptionnelles et très préoccupantes ce seront de puissantes entités malfaisantes, démoniaques et même sataniques (se référant à des démons de haute stature infernale) et dans cette posture il faudra effectivement rapidement penser à un exorcisme ou à une dépossession ritualistique puisqu’il s’agit ici de possession de l’esprit et du corps d’une personne qui n’a plus du tout la maitrise de son enveloppe physique ni de son intégrité mentale… La personne est toujours présente, au fin fond de son identité, dans un retranchement exigu où elle a été reléguée par l’entité squatteuse. Autant dire que cette spécialité d’exorcisme requiert toutes les ressources de la plus haute magie, celle d’ailleurs dont les prêtres de l’Église se défendent d’en user lors de ces cérémonials très éprouvants pour la personne possédée mais aussi pour le praticien !

Comme d’habitude j’espère vous avoir ouvert l’esprit sur quelques notions fondamentales en magie et ésotérisme, n’hésitez pas à me contacter si vous avez des questions et surtout si vous avez à résoudre des problématiques aussi lourdes que celles que j’ai abordées aujourd’hui… n’attendez pas si c’est le cas, ne laissez pas d’autres (sorciers ou entités) nuire à votre personne ou nuire à vos proches si vous en avez le pressentiment ou ne serait-ce que le simple doute !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

Voir les commentaires

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

Dès que l’on parle de "magie sexuelle", le profane devient dubitatif et presque inquiet avec l’air interloqué en pensant immédiatement à mal, il imagine d’emblée une mauvaise action, une sorte d’envoûtement libidineux avec des rituels dignes des films d’horreur scabreux où une victime intégralement pervertie s’adonne à de diaboliques automutilations ou vices innommables et dégradants, pourtant au risque de décevoir ceux qui s’attendent à de croustillantes révélations il n’en est rien, ou presque… En effet la magie dite sexuelle se présente plutôt comme une aide du plus grand secours pour les couples en perte de désir et de libido, ou bien, plus largement, pour toute personne ayant un problème d’acceptation des besoins de son corps, lequel ne serait pas en phase ni avec son esprit ni dans son quotidien en terme de relation amoureuse. Exit donc les phantasmes à propos de la magie rouge, elle propose des solutions, ne force personne à agir contre son propre intérêt ou besoin, n’a strictement rien à voir avec une autre magie, bien plus pernicieuse effectivement : la magie noire…

Approfondir et expliquer les rituels de magie rouge revient finalement à mieux accepter sa sexualité et à aborder aussi ce que le ou la partenaire désire véritablement pour restituer ou conforter l’harmonie d’un couple épanoui dans une relation pleine et entière, durable et sans aucun tabou réciproquement inacceptable, ni pour l’un ni pour l’autre. En ce sens la magie sexuelle apporte l’équilibre, resserre des liens d’acceptation d’une relation ouverte qui n’a rien à voir avec des entraves, bien au contraire la magie rouge apaise les esprits et soulage les corps en y exaltant l’attraction naturelle dont la révélation devient une réelle expérience ésotérique agissante, tantrique dans sa définition plus affinée puisqu’elle rapproche l’essence même du féminin et du masculin, du yin et du yang.

Tout comme une alchimie subtile, la relation amoureuse doit absolument être abordée comme une infinie et complexe émulsion contenant plusieurs substances interagissantes, immédiatement réactives et ayant de multiples potentialités en devenir selon les ingrédients se retrouvant dans le creuset ainsi constitué. Parfois explosives, parfois inertes ou passives ou bien encore électriques et catalysantes, ces réactions subliment à la fois les corps comme autant de particules en mouvement et excitent les esprits pour envisager d’autres expériences, d’autres formules alchimiques compatibles pour tenter, pourquoi pas, de trouver une sorte de pierre philosophale dans cette conjugaison entre matière, pensées et volonté de les mêler. La magie rouge représente donc cette formulation, une voie royale avec ses secrets, une révélation de ce que chacun représente pour l’autre dans le devenir d’une sublimation dont on aura trouvé les bons éléments à distiller pour réussir l’expérience. Pour l’initié c’est cette vision d’un code caché, d’une matrice invisible qui intervient dans ces rituels de magie rouge pour assurément débloquer une problématique où l’attraction amoureuse se trouve figée, inactive ou entravée par quelques éléments perturbateurs qu’il faudra intégralement extirper de la relation pour lui redonner pleinement son attractivité initiale et son élan d’harmonie à la fois sensuelle et spirituelle.

C’est cette double propension à agir sur plusieurs niveaux, sur le corps et sur l’esprit, qui permet à la magie sexuelle de positionner en excellente phase et très naturellement ces deux aspects humains indissociables dans leurs essences étant à même de se transmuter encore plus haut en terme de fréquence, c’est-à-dire de transformer l’acte sexuel et l’intrinsèque volonté d’agir à deux en une expérience spirituelle duale, celle, que de manière profane ou plus triviale l’on appelle tout simplement "l’amour". Bien entendu il n’est pas toujours aisé d’expliquer sous cet angle les rituels de magie rouge à une personne en urgence de demande d’aide, souvent désorientée par une expérience amoureuse difficile (éloignement de l’être aimé, infidélité, doute) ou blessante (rejet, dédain, rupture), il faut alors passer par une étape de réparation ou de soin psychique, entrevoir des travaux commençant par une série de rituels de magie blanche pour rétablir non seulement une confiance en soi mais aussi restituer une énergie vitale assez satisfaisante pour passer à une étape plus active, celle justement de la magie rouge à part entière. C’est pourquoi tout ce processus s’apparente à des "travaux", à une reconstruction de la personne, à l’établissement d’une architecture personnelle pouvant soutenir le poids de sa propre histoire pour pouvoir envisager positivement une suite, c’est-à-dire pour envisager un futur où le corps et l’esprit accepteront de renouer avec une expérience amoureuse, où de facto et dans cette capacité à la réaliser ils trouveront ce même futur déjà anticipé et sur le point d’advenir.

Les processus de réalisation, ou en d’autres termes les processus pour transformer et modifier un futur non encore imaginé, sont en ce sens des rituels, des orientations existentielles que le praticien capte essentiellement pour la personne demandeuse d’une aide pour concevoir son propre schéma, son propre édifice via cette complexe alchimie que l’on nomme la magie. Le praticien n’est que le réactif dans ce processus, il représente le catalyseur, avec son savoir-faire, de cette expérimentation magique qui n’appartient qu’à la personne demandeuse d’en utiliser ses propres ingrédients (son histoire, ses capacités, ses qualités, ses orientations) pour trouver sa propre volonté de transmutation et sa propre voie, certes parfois plus inconsciemment mais toujours inscrite dans la réalité qui grave en toutes lettres la formulation de ce qui devra advenir. Les rituels de magie rouge agissent donc comme de puissants révélateurs de potentialités, en magie sexuelle (ou rouge) ces révélateurs abordent des orientations effectivement plus axées sur l’attraction, le désir et la libido, via une énergie vitale restituée en vue d’une projection vers l’autre, c’est-à-dire vers une union au sein d’une relation dite amoureuse. L’ensemble de ce chemin représente, du début à sa finalité, les "travaux de magie", ce en quoi beaucoup de profanes s’interrogent sur leur définition exacte.

J’espère vous avoir un tant soit peu éclairé sur la magie rouge, sur les processus en oeuvre qui ne sont pas souvent expliqués simplement ni d’ailleurs faciles à aborder au quotidien pour en diffuser la réalité tangible d’un travail que l’on qualifie d’ésotérique alors qu’il serait presque plus juste de lui attribuer une orientation plus naturelle, notamment en amour où l’attraction n’est pas un mythe mais une réalité que personne, je pense, ne remet en cause !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

Voir les commentaires

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

En amour aussi : "Chat échaudé craint l'eau froide"

"Chat échaudé craint l'eau froide !". Voici un dicton qui ne laisse pas indifférent, du moins ceux qui en connaissent d’une part le sens et d’autre part l’expérience puisqu’il s’agit ici de l’expression qui signifie en un sens que lorsqu’on a expérimenté quelque chose de négatif alors par la suite l’on se méfie que cela ne se répète, avec en plus une crainte anticipatrice encore plus grande et parfois exagérée, voire totalement fausse… Evidemment, avec l’histoire du chat qui s’est ébouillanté, ce dernier regardera ensuite l’eau d’une autre façon, même si celle-ci est froide, ce qui fait presque penser à ce que l’on pourrait de manière plus scientifique et plus constructive appeler une expérience dite "pavlovienne" (1) (avec cette fois-ci non pas un chat mais un chien comme interprète). Une petite digression qui n’en est pas vraiment une pour expliquer qu’en amour aussi l’on peut être "échaudé" ou plutôt refroidi après avoir expérimenté quelques déconvenues amoureuses, que ce soit de l’ordre de la jalousie, des mensonges, des trahisons ou bien des tromperies, que de "petits problèmes", restons faussement ironiques, pour ceux qui les ont vécus, avec l’amer souvenir de ne pas y revenir ou bien de s’assurer d’en régler les problématiques potentialités à venir bien avant que celles-ci n’adviennent de nouveau ! C’est donc le thème de cet article que de lister ensemble des plus symptomatiques de ces expériences amoureuses, déjà advenues, réellement anticipées ou bien complètement imaginées, ainsi que d’en trouver aussi et surtout des portes de sorties ou des solutions adaptées (ici, ésotériquement parlant) pour ne pas avoir à subir une situation dont le feu peut refroidir durablement l’esprit et le corps, si j’ose dire.

Par quoi commencer, si ce n’est chronologiquement, dans toutes ces affaires amoureuses qui empoisonnent les coeurs, notamment lorsque l’on est en couple ? La réponse la plus objective est la suivante : le doute ! En effet, douter de l’être aimé est déjà l’étape qui fait "déborder l’eau du vase" tout comme la goutte de trop qu’on y ajoute, le doute s’immisce au détour d’une conversation ou d’une rumeur, le doute est à l’origine de tout le reste s’il n’est pas dissipé très vite, ce qui est rarement le cas car il s’accroche à l’esprit comme un parasite mental ne voulant pas lâcher prise. Hélas, rien n’existe apparemment comme dans les transports, mais cette fois-ci pour les transports amoureux, pour tirer l’ultime manette d’urgence en cas de doute ! Alors que faire en cas de doute sur la sincérité des sentiments ou de la conduite (amoureuse) de l’être aimé ? Dans le monde profane il est assez triste et déroutant de constater que la grande majorité des gens se divise en deux catégories strictement opposées : ceux qui doutent de tout et ceux qui ont des certitudes sur tout. Le fait de ne presque jamais changer d’attitude, c’est-à-dire d’une des deux catégories précitées, s’avère être un terrible handicap contraire non seulement à toute logique mais, disons le franchement, un redoutable ennemi de l’intelligence. Qui ne change jamais d’avis risque assurément de ne jamais évoluer, de ne jamais disposer de la flexibilité de l’esprit pour comprendre toute la complexité du monde, mais ceci est une autre affaire… Pour ce qui nous intéresse, douter en amour peut devenir le poison violent qui finira par tuer définitivement la relation si rien ne vient "ôter le doute". En ce sens, en magie il existe plusieurs types de rituels permettant "d’ôter ce doute", ce sont des rituels de magie blanche, de très efficaces rituels de "révélation", ils sont donc à opérer en premier lieu dans presque tous les travaux afin d’éclaircir une situation, voire de régler définitivement ce problème majeur du doute. Un rituel de révélation joue donc précisément un rôle d’antidote, s’il est utilisé à temps, pour ne pas voir à défaut la situation empirer, avec un doute qui s’installe durablement…

Mais comme vous l’imaginez bien, tout comme pour une maladie, cette fois-ci une maladie d’amour, l’on attend d’avoir vraiment mal avant de consulter… C’est exactement, ou du moins souvent le cas, en ce qui concerne aussi les consultations en magie : la plupart des demandes d’aide se font bien après le doute, c’est-à-dire lorsque l’étape suivante est abordée, celle de la goutte qui a débordé, celle de la jalousie. Il s’agit ici d’un poison encore plus violent, d’autant plus si l’on est devenu jaloux (ou jalouse) pour rien, en d’autres mots le doute à joué son rôle d’empoisonnement basique de l’esprit en allant encore plus loin en s’exprimant dans la conscience par une jalousie prête à détruire de l’intérieur la relation avec l’être aimé. C’est effectivement à partir de cette étape, véridique ou imaginée (qu’il y ait un problème ou pas) que se joue la survie de la relation car les dommages collatéraux seront ensuite potentiellement beaucoup plus difficiles à gérer pour la personne qui en est affectée, pour ne pas dire infectée. De cette maladie de la jalousie nous l’avons tous (et toutes) connu, cette indéfectible rage intérieure loin de toute raison qui pousse aux plus extravagantes situations pour confirmer ce que l’on croit être, ou ce qui est, ou même si cela n’est pas alors s’en persuader par une preuve qui ne pourrait qu’exister. La jalousie peut effectivement être paradoxalement aussi une preuve, mais cette fois-ci une preuve d’amour, mais lorsque celle-ci dépasse toutes les limites en s’acharnant sur l’être aimé alors elle devient éminemment destructrice de la relation. En magie, et à ce stade il faut de plus grands et puissants moyens, c’est la magie rouge qui va devoir opérer ses rituels, ils sont d’une précision chirurgicale, ils ciblent cette jalousie (celle du demandeur ou celle qui est subie) pour, d’une certaine façon, en transmuter l’énergie négative en une réponse positivée allant dans le sens de la réconciliation (déjà avec soi-même), de l’explication (de la situation) et de la résolution (du problème réel). C’est en quoi la magie rouge demeure la magie de l’amour par excellence.

Quelles sont ces problématiques de l’amour pour aller plus loin ? Hormis le fait qu’un doute puis une jalousie puissent effectivement n’être qu’une extrapolation imaginaire dans certains cas, pour d’autres cas il existe effectivement, derrière ce doute et cette jalousie qui en découle, une réalité des faits : celle d’une tromperie (infidélité) ou de mensonges pouvant aller sur un chemin contraire à la relation, ou bien encore ce que l’on appelle un éloignement de l’être aimé, c’est-à-dire pour ce dernier les prémisses d’une potentielle rupture à venir, même si rien n’est encore jamais ni toujours définitif en affaire d’amour et de relations. Le schéma étant presque toujours le même, ceci en des termes directs : des certitudes, de la confiance et de l’espérance, peuvent donc rapidement germer le doute, la méfiance et la trahison. Ce processus peut heureusement être stoppé ou même inversé lorsque l’on y travaille sérieusement en ayant l’énergie et la lucidité pour aborder les problèmes mais aussi en ayant la complète compréhension, l’expertise la plus juste et la résolution la plus adaptée. C’est ce qu’abordent les travaux de magie avec une succession de rituels, en magie blanche et rouge (parfois en magie noire mais assez rarement en amour…). Le problème principalement rencontré étant l’intrusion d’une tierce personne dans l’histoire amoureuse d’un couple, alors, si cela est établi les travaux se porteront tout naturellement sur la cause de cette intrusion, qu’elle soit fortuite ou voulue, il faudra en définir les éléments constitutifs pour agir. La magie rouge reste, encore une fois, la meilleure des magies pour régler un problème de "concurrence amoureuse", pour ne pas dire un problème d’adultère avec les conséquences que cela implique pour le couple initial ou pour une relation établie auparavant.

De même que les problèmes amoureux surviennent souvent de l’extérieur, il ne faut surtout pas négliger ceux qui peuvent advenir directement dans le couple, à savoir les problèmes de désir, de libido ou de sexualité en général. Ce sont effectivement de légitimes causes qui peuvent entrainer, in situ, de l’intérieur de la relation de couple, une réelle dégradation, une sorte d’entropie amoureuse entrainant un éloignement progressif des partenaires avec à terme une potentielle rupture. Dans cette circonstance précise où la situation est endogène, c’est-à-dire interne, ici aussi les deux magies, blanche et rouge, seront présentes chacune avec ses spécificités pour inverser une tendance négative, réparer une histoire en perte de vitesse, resserrer des liens amoureux distendus par des causes multiples dont ce que l’on appelle parfois "la routine", laquelle peut aussi être une redoutable ennemie du couple malgré son apparente bonhomie… Voici donc le tour d’horizon des problématiques de couple, certes rapidement abordé de manière générique mais qui donne néanmoins un bref mais réel aperçu de ce à quoi un chaman est confronté en matière de demandes à des fins de travaux de magie, sans compter les autres rituels, plus agressifs, provenant d’envoûtement ou de possession, mais ceci est une autre histoire… N’hésitez pas à me contacter si vous avez des questions ou une demande précise à me soumettre !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel


Note (1) Ivan Pavlov :
prix Nobel de médecine (physiologie) pour ses travaux sur les "réflexes conditionnés" ont eu une grande influence non seulement sur la science, mais également sur la culture populaire. On utilise souvent l'expression "chien de Pavlov" pour décrire quelqu'un qui réagit de façon instinctive à une situation, plutôt que d'utiliser son esprit critique. Le conditionnement pavlovien était un thème important dans les romans dystopiques d'Aldous Huxley, Le Meilleur des mondes et d'Orwell, 1984. (dixit Wikipédia)

 

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

Voir les commentaires

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

Lorsque deux mondes se rencontrent l’on pourrait s’attendre, comme l’Histoire nous l’a généralement démontré, à un choc des civilisations avec le plus souvent une perte de savoir traditionnel au bénéfice de la culture la plus puissante ou invasive. Il en a notamment été de l’Amérique latine avec les conquêtes espagnoles du XVe au XVIe siècle dont le terme de conquistador s’apparente assez justement à une invasion et à une destruction des peuples autochtones ne pouvant ni rivaliser avec les forces militaires adverses ni résister à la domination culturelle imposée alors, en grande partie avec le soutien de l’Église, c’est-à-dire avec l’apport opportuniste d’un dogme religieux venant violemment se substituer à l’ancien… Pour autant, tout un continent ne serait tombé sous le joug de l’envahisseur sans résistance et sans protéger farouchement sa propre culture, ce fût le cas de la tradition chamanique avec ses rituels et ses règles ésotériques qui ont su par delà les siècles résister à l’adversité de la colonisation pour nous en restituer aujourd’hui encore très activement toute la teneur d’une sagesse immémoriale, à la fois transcendantale dans sa vision de la réalité et profondément humaine dans son approche initiatique ancestrale reliée au passé pour nous la faire perdurer au temps présent. De cette vision traditionnelle, deux hommes ont su en offrir avec brio au monde occidentalisé une intime Connaissance via leurs remarquables ouvrages littéraires, il s’agit principalement de Carlos Castaneda dans les années 60 avec son premier livre "L'Herbe du diable et la Petite Fumée" et de Don Miguel Ruiz, presque quarante ans plus tard en 1997, avec "Les quatre accords toltèques, une voie de la liberté personnelle".

Deux ouvrages notables et incontournables (parmi tant d’autres ultérieurs) et deux voies spirituelles allant dans une seule et même direction essentiellement positive, deux puissantes voix exprimant toute la sagesse du chamanisme avec le réel talent confirmé de ceux qui ont vécu à la fois l’expérience, l’initiation et le savoir des maîtres par leur transmission directe à leur côté. Ainsi, Carlos Castaneda, anthropologue de formation, aura été le disciple attentif du sorcier chaman Don Juan Matus avec lequel durant plusieurs décennies il aura dans un premier temps recueilli toute la sagesse pour ensuite non seulement nous en faire brillamment part, puis pour en exercer un néo-chamanisme certes personnellement revisité et occidentalisé mais sans jamais omettre la quintessence initiale de ce qu’il avait appris auprès de son maître spirituel d’alors. En ce qui concerne Don Miguel Ruiz c’est bien directement le chaman qu’il est devenu, par la force de circonstances exceptionnelles, qui s’adresse à nous en exprimant avec clarté et simplicité "quatre accords" qui sont autant d’importants principes personnels à assimiler et à vivre au quotidien dans le profond respect de ce qu’ils nous enseignent pour savourer pleinement notre liberté humaine sans se nuire à soi-même ni à autrui, une véritable leçon de vie, une initiation en 4 accords à mettre immédiatement en application chaque jour et à chaque instant. C’est donc de ces "Quatre Accords Toltèques" dont il va principalement être question, un peu plus dans le détail (car je les avais précédemment déjà présentés brièvement en 2015, pour rappel dans cet article ici à relire si besoin).

Premier Accord Toltèque : "Que votre parole soit impeccable".
Afin de mieux cerner le sens de cet accord, en latin le mot "impeccable" signifie - sans péché - mais évidemment il faut en dépasser la terminologie basique pour en saisir une notion plus large et plus chamanique dont l’essence et la portée seront à réellement interpréter autrement. Ainsi, chaque chaman en exercice sait par expérience que la parole est magique et que chaque mot prononcé s’apparente à une graine qui peut germer pour offrir la nature de son fruit, avec les effets bénéfiques si ce fruit est bon et comestible mais aussi avec des conséquences négatives si ce fruit est vénéneux, voire mortel… Dans cette image du fruit et de sa graine il faut bien évidemment y voir qu’une parole peut semer la discorde, la peur, la jalousie et même la guerre, mais dans le bon sens elle peut aussi apporter la paix l’amour et la sérénité, voire la sagesse et la Connaissance. Il faut donc faire très attention à ce que l’on dit à autrui mais aussi à ce que l’on se dit à soi-même pour ne pas voir advenir les maux que l’on aura prononcés, à l’exacte image d’une incantation psalmodiée ou d’un sort lancé, puisque chaque mot, chaque phrase, pourra semer l’ombre du chaos sur vous et sur autrui ou bien inversement délivrer la lumière de la sagesse à tous ! Faites donc toujours de votre parole responsable l’intention positivement orientée que vous désirez lui donner.


Deuxième Accord Toltèque : "Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle".
Dans une certaine mesure nous savons que l’opinion de chacun demeure de sa propre responsabilité, de sa liberté de penser et de son libre arbitre, ainsi chacun est différent car son histoire personnelle associée au contexte de sa vie et de ses rencontres l’ont formaté pour devenir ce qu’il est aujourd’hui, aussi, ce qu’il pense de vous lui importe à son strict niveau d’interprétation, il n’est donc pas juge de votre propre existence, de ce que vous êtes et de ce que vous faites ou même pensez. Dans cette perspective vous n’avez pas à prendre pour vous-mêmes les croyances d’autrui, la façon dont les gens pensent les regarde uniquement et cela ne devrait pas vous toucher, notamment s’ils parlent de vous. De cette manière vous contrerez très aisément la médisance des autres, leurs fausses certitudes et n’assimilerez pas leurs erreurs de jugement infondées, vous n’en pâtirez donc absolument pas et ne suivrez que votre propre chemin, clair et serein, d’autant plus que vous aurez vous-même suivi le premier accord toltèque ! Beaucoup trop de personnes se trouvent directement ou indirectement affectées par les avis des uns et des autres, par conséquent si vous suivez cet accord vous pourrez vous libérer de ce lourd fardeau et de ses conséquences sur votre santé physique et mentale, vous serez aussi libre de réaliser toute activité sans avoir à tenir compte des arrières pensés et opinions d’autrui, ce que les autres jugeront impossible deviendra tout à fait faisable pour vous, sans entraves ou autres doutes inutiles et pernicieux !


Troisième Accord Toltèque : "Ne faites pas de suppositions".
Tout comme vous aurez su contrer aussi les médisances d’autrui avec le deuxième accord toltèque, il vous sera nécessaire de votre côté de ne pas faire de suppositions dans ce sens qu’elles ne sont finalement que de fausses hypothèses engendrant de fausses croyances ou un savoir erroné, aussi, n’interprétez pas au hasard ou trop rapidement une situation ou ne jugez pas une personne à la légère, ne vous fiez pas aux fausses certitudes qui viendraient à vous sans y avoir clairement réfléchi, cela est aussi bon en ce qui vous concerne : ne supposez rien, ni de vos capacités ni de vos choix, au contraire posez-vous les bonnes questions déjà sur vos propres orientations puis si nécessaire sur celles de ceux qui vous entourent avec certitude et pleine objectivité. Cet accord écarte d’emblée les quiproquos, les incohérences et des erreurs d’interprétation, au contraire posez des questions pour être certain de comprendre un contexte ou une situation, voire pour comprendre ce que veulent véritablement les gens qui vous entourent, cela évitera finalement aussi tous les conflits potentiels ! Être clair c’est être responsable et consciemment bien orienté pour soi-même et pour autrui, cela apporte avant tout des solutions constructives et non des interrogations sans fin, vous gagnerez à la fois grandement du temps et une très précieuse énergie à pointer essentiellement ce qui doit l’être et à écarter le superficiel, l’ingrat et le faux !


Quatrième Accord Toltèque : "Faites toujours de votre mieux".
La société occidentale, dans son rêve devenu un cauchemar, nous a poussés sans cesse à toujours faire plus et à toujours aller plus loin, or nous ne sommes justement pas toujours à tout instant dans cette capacité à nous dépasser sur ce que nous avions précédemment réussi à entreprendre, ce serait donc une fondamentale erreur que de se blâmer soi-même de ne pouvoir faire encore mieux et toujours plus, ceci à notre détriment. Bien au contraire et plus précisément : il faut savoir faire "de son mieux", ceci en fonction des circonstances présentes, du contexte donné et de la situation qui nous amènera à aimer ce que l’on fait avec un plaisir personnel véridique, et non à faire les choses "soi-disant mieux" mais dans la souffrance, dans la peur de ne pas réussir ou dans la contrainte perpétuelle de le faire à tout prix. De même, et dans le sens inverse, se contenter de trop peu dans son activité serait en deçà du bien et par conséquent aussi une erreur que de gaspiller ses capacités, de perdre son temps et son énergie à des choses futiles et inutiles ou à simplement "faire mal" en bâclant une activité… Pour le chaman, "faire de son mieux" est un véritable rituel à part entière, c’est une action d’excellence où l’on s’investit pleinement à sa juste capacité en étant conscient de finalement aller dans le sens du bien, du nécessaire et suffisant, ni plus ni moins, un juste effort parfaitement adapté, tout un art en somme, toute une véritable sagesse en oeuvre ! Cet accord toltèque nous apprend à être nous-mêmes dans ce que nous faisons, à aimer ce que l’on fait et à en recueillir une satisfaction personnelle sans avoir à nous trouver dans une contrainte dont l’apport ne pourrait qu’être que négatif pour soi et pour le résultat de l’activité entreprise !


Je vous souhaite, bien évidemment à votre libre choix, d’apprendre et de suivre ces quatre accords toltèques d’une grande profondeur d’esprit, ainsi votre vie n’en sera qu’assurément meilleure, emplie de joie, d’amour, de liberté et d’évolution personnelle, le tout en pleine conscience et en toute sagesse assumée ! Si néanmoins vous aviez besoin de plus amples explications alors je reste à votre disposition pour vous les transmettre, n’hésitez pas à me contacter !

Jean-Pascal BRUNO, sorcier chaman professionnel

 

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

Voir les commentaires

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

Suite à vos demandes, voici un thème suffisamment complexe pour ceux, un peu plus initiés, qui se sentent l’envie de l’aborder plus frontalement en ayant déjà quelques bases afin d’aller plus loin dans la compréhension de ce qu’est "un symbole en magie" et par conséquent comprendre les processus ritualistiques qui en découlent… Donc, vouloir parler des symboles en magie c’est un peu comme tenter de traverser une étendue de sables mouvants tout en s’y enfonçant un peu plus à chaque pas pour s’apercevoir du véritable poids qu’impose le sens du terme et de ses correspondances multiples et changeantes. Comme le sable, le symbole glisse des mains pour s’éparpiller en mille grains selon le contexte en présence, au grès des vents, parfois même contraire au sens initial que l’on aurait voulu lui attribuer. Pourtant la magie n’existerait pas sans sa teneur symbolique, sans ces passages complexes et hermétiques qui permettent d’entrevoir une certaine réalité pour mieux en saisir l’essence et en prévoir la finalité. Toute l’intelligence du symbole tient dans sa multitude, il n’est jamais UN, il coexiste en chacun de ceux qui l’envisagent, il appartient à une lointaine sphère supérieure dont nous n’entrevoyons que le reflet d’une vérité parmi tant d’autres dans le prisme orienté de notre existence assujettie à notre imparfaite humanité. Un symbole peut ainsi rayonner d’une évidence qui lui donnera une signification, porter aussi une immense ombre cachée derrière l’éclat de cette lumineuse certitude qui s’expose à notre fugace entendement. Rien n’est donc jamais simple, immédiat et durable avec le symbole, il est de ce fait vivant et nous devons savoir l’apprivoiser au risque de mal l’interpréter et de le voir s’échapper au loin de notre intellect si allègrement versatile et inconstant.

En magie, et plus précisément durant les rituels, le symbole constitue l’élément essentiel de cette codification du monde pour mieux agir sur ce dernier, il devient ce qu’il représente, il en est le double éthérique, la substance vivante correspondant à la cible du but recherché, selon un contexte, un tempo et un espace précis. Comme nous le voyons, définir "le symbole" en magie ne peut passer que par la périphrase imagée puisqu’il n’existe en réalité pas physiquement comme une entité tangible appartenant à notre monde mais peut être néanmoins tout de même visible par "ce qui le représente", c’est-à-dire par un "élément symbolique" utile à celui qui va en user pour en faire émaner l’essence de ce qu’il devrait être au moment du rituel, avec le contexte imposé par celui-ci, dans le lieu consacré pour qu’il s’active et enfin en fonction d’une "orientation" prédéfinie : d’un point de départ initial préalablement bien analysé vers un but précisément ciblé, étudié et surtout désiré. Le symbole n’est par contre strictement rien sans l’indispensable volonté qu’il représente véritablement "ce qui doit l’être" à la fois pour l’opérateur du rituel (généralement le praticien parfaitement initié aux travaux de magie) ainsi que pour le demandeur par lequel (homme ou femme évidemment) le besoin de résolution d’une problématique se concrétise par la nécessité d’effectuer ces mêmes travaux de magie adaptés à cette résolution. Une volonté duale, celle du demandeur et du praticien, afin de concrétiser (ou cristalliser intellectuellement et psychiquement) ce désir de voir évoluer une situation dans un sens que chacun d’eux a bien saisi pour en entrevoir le contexte de départ avec l’ensemble de ses paramètres ainsi que ce fameux but recherché dont la clef est la résolution en elle-même.

Bien entendu, entre le contexte de départ et la finalité concrétisée par le but recherché il y a parfois un long chemin à parcourir ou plutôt un itinéraire à anticiper avec assurément plusieurs routes à emprunter, c’est exactement ce qui est défini par ces "travaux de magie" successifs pour y arriver, des travaux car c’est aussi une construction, de la première pierre jusqu’à la dernière de cet édifice mental qui aura ainsi circonscrit la problématique pour la résoudre en transformant la réalité par le biais d’une dimension intermédiaire symbolique agissante. De facto, l’on pourrait même dire que la magie s’apparente essentiellement à l’orchestration du ou des symboles utilisés dans ses rituels durant les travaux, la magie est d’ailleurs elle-même son propre symbole, celui que l’esprit agit sur la matière, que la réalité se plie finalement à la volonté si celle-ci est à la fois véridique et assez puissante pour s’exprimer pleinement sans entraves. Sur ce dernier point, la volonté est aussi énergie pour s’activer, elle nécessite une transformation ou plutôt une sublimation d’énergie vitale en énergie mentale que l’on appelle trivialement "volonté"… Tout le monde ne perçoit pas les situations existentielles avec la même force de volonté, bien au contraire nous avons tous selon notre propre essence personnelle des prédispositions pour désirer en puissance certaines choses plutôt que d’autres, nous sommes tous sur ce point différents en terme d’orientation de nos besoins, de nos désirs et donc de notre volonté d’agir en puissance dans une direction précise. La magie et ses rituels bien organisés dans des travaux spécifiques permettent chacun à leur niveau d’action de rétablir ou de focaliser l’orientation de cette volonté vers le but recherché pour résoudre une situation dite problématique (ou jugée comme telle par le demandeur).

D’un point de vue plus concret et explicite, pour ceux qui aiment des exemples, il existe une multitude de types de symboles très actifs et efficaces qui peuvent être utilisés durant des rituels de magie; vous les connaissez certainement puisque personne n’en fait mystère, des images circulent sur tous les médias internet ou dans toutes les publications. Néanmoins, encore une fois à titre d’exemple, voici quelques "objets symboliques" qui permettent de poser les bases des rituels habituels les plus courants, du moins pour faire entrer dans un espace dédié aux travaux de magie une sphère symbolique assez représentative qui apportera la quintessence des rituels si la personne qui les opère dispose aussi d’une volonté exercée à en saisir tous les contours. Premièrement, comme déjà expliqué, il faut effectivement un lieu, celui-ci devrait préférentiellement se trouver dans un espace privé où très peu fréquenté, une pièce ou un petit espace dans une pièce où seul l’opérant aura accès pour que les divers objets qui y seront entreposés ne soient pas touchés ou même vus. Dans cet espace une table, de la dimension qui vous semble adaptée (certains aiment les petits guéridons, d’autres de grandes tables en bois massif ou en marbre, à chacun son choix), a priori ne prenez pas une table avec des éléments métalliques qui pourraient interférer par la suite avec d’autres objets. Sur cette table, et ceci est important, à vous d’y placer un tissu dont vous jugerez de la bonne couleur en fonction du rituel (je ne m’étends pas ici sur la symbolique des couleurs à utiliser ni de la matière), de plus à vous de voir si ce tissu dispose lui-même de symboles tracés ou pas… Il existe des tissus déjà ornementés de symboles magiques, je vous recommande vivement de créer les vôtres sur un tissu vierge. Ces symboles géométriques tracés sont évidemment infinis en types et formes, en puissance et objectifs, mais sachez que finalement ils ne seront efficaces que si vous avez foi en eux, alors créez vos propres "sigils" ou signes, ou bien utilisez sciemment ceux que vous connaissez et en lesquels vous avez toute confiance.

La véritable puissance des objets symboliques sera d’autant plus proportionnelle et efficace que vous aurez un rapport particulier avec ces objets, par conséquent il est préférable d’utiliser des objets ritualistiques strictement personnels, qui sont déjà assez anciens ou en votre possession depuis une assez longue période (de vieux objets familiaux par exemple), ou mieux : si possible les fabriquer entièrement vous-mêmes. Dans cette perspective n’achetez évidemment pas des objets fabriqués à la chaine, privilégiez les objets artisanaux ou uniques, voire parfois des oeuvres artistiques… Parmi les objets symboliques les plus emblématiques utilisés pour les rituels, pelle-mêle : des bougeoirs, des récipients (coupelle, bol, fiole, verre, etc.), des cristaux ou pierres de votre choix, des éléments naturels (bois, plantes, os, terres, liquides, etc.), des statuettes significatives (uniquement si elles ont un sens pour vous et dans le but recherché…), des encens ou autres parfums, des cordelettes ou fils divers, parfois des cartes de tarot (si les arcanes n’ont plus de secrets pour vous), des dagues rituelles ou autres objets pointus (uniquement si cela apporte un plus), enfin pour certains rituels il est nécessaire d’avoir des photos des personnes impliquées dans le rituel ou dans les travaux, d’avoir aussi certains de leurs objets personnels qui "symboliquement" apportent une caractéristique unique aux travaux. De même, chacun sera libre de prononcer ses formulations ou incantations si celles-ci renforcent le processus symbolique. La liste n’a pas de limite ou uniquement celle de votre imagination et surtout de votre volonté de voir dans ces objets symboliques une réelle puissance en action qui en émanera. Le principal n’est pas l’objet en lui-même mais la force de la représentation symbolique que vous en ferez en vue d’une projection mentale vers le but qui aura été décidé sur le chemin de la résolution. La puissance des rituels dépend d’abord de vous, de votre volonté, de votre puissance mentale et spirituelle à transcender l’objet pour en restituer son symbole actif puis le laisser interagir dans le cadre du rituel… Je reste à votre disposition pour en discuter, ou si vous préférez pour me demander de réaliser plus directement des travaux de magie pour vous, avec maîtrise, savoir-faire et déontologie.

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

Voir les commentaires

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

Avant d’entrer d’emblée dans le sujet pour comprendre, connaitre, puis enfin résoudre des problèmes de relations amoureuses (visibles ou sous-jacentes), il est assurément important d’élargir le contexte en ne partant pas uniquement des individus mais surtout du chemin sinueux qui les a porté non seulement à se rencontrer mais aussi à suivre les contraintes anciennes et présentes qui permettent de bien mieux définir la réelle et complexe sphère agissante qui dirige leur vie. Cette importante "sphère d’information" est elle-même sous influences d’autres types de contraintes extérieures multiples, de décisions périphériques à leur propre histoire mais ayant une incidence réelle. Enfin, cet ensemble est lui-même soumis à de grandes lois universelles supérieures non écrites (celles qui sont d’un ordre plus hermétique, à savoir karmique). L’Histoire elle-même, avec un grand H, fait aussi partie intégrante des paramètres à suivre selon un déroulement structuré pour en comprendre les effets, diverses répercutions et conséquences sur les individus, sur ce point l’exemple sociétal abondamment théorisé et le plus explicite bien que déjà ancien pour le sujet qui pourrait nous intéresser serait celui de ladite "libération sexuelle" d’après mai 68 et des mouvements sociaux en France (et ailleurs dans le monde par ricochet jusqu'à aujourd'hui) qui en ont résulté. Mais, sans vouloir trop compliquer une situation déjà multiforme, évolutive et non formelle, chacun sera aussi plus ou moins réceptif à l’ensemble de ces changements et de ces diverses contraintes, ce qui modèrera (sans simplifier pour le moins) toute démarche uniforme et trop généraliste pour en tirer de trop rigides conclusions.

Pour résumer clairement et pouvoir ainsi commencer à mieux cerner génériquement le problème et y répondre : nous avons ici en place une sphère contextuelle très structurée ayant au moins quatre grands paramètres qui jouent sur l’humain : spatiaux (pays et traditions, lieux, déplacements, etc.), temporels (dates importantes, histoire personnelle, mouvements Historiques et politiques, etc.), la prise de conscience de l’intéressé lui-même face à ces paramètres avec son essentielle rétroaction (1) psychique (réponse à l’ensemble des affects, subis, acceptés ou rejetés, voire neutralisés, qui accentuent ou modèrent les causes et/ou les effets), enfin et pas des moindres, l’influence décisive mais discrètement induite (notoirement invisibilisée au profane) d’un niveau supérieur axé sur la mission de vie et la part d’orientation karmique (2) avec ses épreuves (initiatiques et existentielles), sa route (sa destinée) et ses chaines (selon dette karmique, positive ou négative). Une fois que ces éléments sont préalablement posés nous pouvons commencer à travailler pour connaitre une situation dans le cadre d’un contexte réel proche d’une vérité sensiblement objective et bien cernée, notamment en ce qui concerne ici plus précisément ce qui nous intéresse : les relations amoureuses et leurs problématiques, lesquelles sont souvent, par essence comme nous le savons, relativement compliquées à comprendre et à aborder…

Afin de comprendre spécifiquement la relation amoureuse qui lie deux personnes, commençons par vérifier les potentiels points de frictions, c’est-à-dire les points qui pourraient s’opposer à cette relation ou la rendre plus difficile. La tradition de chacun : il est clair que deux individus n’ayant pas les mêmes bases sociétales, religieuses, ou traditionnelles auront plus de mal à "s’identifier dans l’autre" et donc à y percevoir les essentiels points communs pour s’apprécier d’autant plus. Ne dit on pas qui se ressemblent s’assemble ? Ce n’est heureusement vrai qu’en partie, sinon personne ne serait en couple tant nous sommes tous différents, ce qui est aussi un élément non pas à charge mais à l’avantage de ceux qui s’unissent que de revendiquer des différences pour les apporter, les offrir, à l’autre. Voyons d’ailleurs immédiatement dans cette "offrande" un véritable rituel à part entière et au sens strict, même si cela n’est pas visible ou ressenti comme tel pour un profane, elle l’est déjà parfaitement identifiée comme telle pour un initié ! D’offrande à sacrifice, il n’y a qu’un pas qui n’aura pas échappé à la sagacité intellectuelle et ésotérique pour relier deux concepts véritablement clé en magie opérative afin d'effectuer des rituels puisqu’une demande ritualistique se base à la fois sur l’élaboration orchestrée d’appels symboliques (demandes, prières, invocations, communications, etc.) et de dons qui sont multiples. La notion de don peut être de deux types : matériel (un objet usuel ou plus symbolique, une mèche de cheveux, une sécrétion sexuelle, du sang, des animaux, des plantes, etc.) ou bien des dons immatériels : ne serait-ce que le temps de cérémonie et de méditation, des pensées imagées (puissance de la volonté), des paroles répétées (mantra), des symboles tracés puis utilisés (brulés rituellement, dissous alchimiquement, enterrés, lavés, déplacés ou orientés, etc.).

"Savoir, Oser, vouloir, se taire", résume clairement aussi l’action de la volonté d’agir magiquement selon l’ésotériste mage Eliphas Levi (3) qui en définit ici des principes à suivre qui parlent d’eux-mêmes sans avoir à approfondir longuement. Ce que l’on pourra utilement en retirer de sagesse ésotérique c’est qu’effectivement avant toute action, comme dit précédemment, il sera nécessaire de savoir, de comprendre et d’analyser un tant soit peu la situation et le contexte réel avant tout travail de magie, ceci semble une évidence. Oser, demande que l’on dépasse certaines limites, notamment les habitudes lorsque l’on est "en demande" puisque ce n’est qu’en rupture (légère ou radicale) de son mode de vie ou de penser que l’on pourra aborder un changement, ceci aussi tombe sous le sens, il n’y a que ceux qui ne tentent rien qui ne gagnent pas au change. Enfin, "vouloir" apporte la clé indispensable, tant de la part du demandeur que du praticien, en effet rien ne se fera sans une volonté" préalable à l’acte, que ce dernier soit d’ailleurs concret et profane ou plus ritualistique et ésotérique. De plus, pour les initiés la volonté représente aussi une "matière subtile" à part entière qui se transmute et entre en sublimation pour transformer la réalité et changer le cours des choses… Se taire ensuite, car la notion de secret développe une puissance occulte participant à l’appel de forces invisibles qui ne veulent ni être nommées ouvertement à tout vent, ni être même pensées ou représentées à un niveau profane, ce qui serait alors littéralement une profanation d'un rituel en cours, une dégradation des effets attendus et enfin une terrible offense envers les entités en présence ou ayant participé aux travaux.

Vouloir améliorer une situation amoureuse compliquée et qui pourrait dégénérer, voire aboutir à une rupture, c’est donc mettre en oeuvre toute un complexe processus à la fois long, énergétiquement parlant assez lourd à supporter, rigoureusement échelonné selon des principes et des concepts à suivre à la lettre, et enfin avec la plus grande discrétion qui soit, voire avec un secret absolu si besoin. Il est clair, net et précis que dans ces termes seuls les professionnels auront assez de connaissances ésotériques et magiques, d’expertise dans l’expérience en la matière et en l’esprit du don de pouvoir obtenir des résultats satisfaisants ou significatifs. Sans oublier la notion de tempo, de séquençage des rituels, des appels aux bonnes (ou plus spécifiques) entités et des modulations ou ajustements à effectuer souvent en temps réel : aucun profane en activité dans un monde lui aussi profane n’en aura la pleine capacité, le temps, le savoir-faire, l’énergie et la volonté affirmée selon les principes évoqués précédemment. Bien au contraire, en exposant ici très sommairement les notions ritualistiques, il est strictement déconseillé de tenter d’effectuer seul pour soi-même des rituels de retour d’affection ou d’autres d’ordre de la magie rouge, cela serait à coup sûr dommageable pour la situation et pour celui ou celle qui opère sans les bons outils ni les connaissances requises. Ceci ne signifie pas qu’un profane puisse tout de même s’intéresser à ces problématiques hermétiques, qu’il en étudie les concepts et qu’il puisse, à son niveau, en récolter quelques fruits positifs par une attitude lui permettant d’entrevoir une certaine sagesse de l’amour pour que sa relation de couple en soit réellement bonifiée. N’oublions pas que le libre arbitre allié à la volonté, bien orientée et persévérante, seront les meilleurs atouts pour la réussite d’un projet, d’autant plus si celui-ci apporte l’harmonie et la stabilité demandée. Dans ce sens, et ce qu’il faut avant tout principalement retenir et appliquer : soyez toujours à l’écoute des élans primordiaux de votre coeur, parfois plus que de votre mental analytique ou de votre intellect purement logique, il est le seul indicateur à suivre sur le chemin de vos sentiments si ceux-ci sont effecitvement véritables !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel



(1) Rétroaction :
Une rétroaction est une interaction dans laquelle la perturbation d’une variable provoque le changement d'une seconde variable, qui influe à son tour sur la variable initiale. Une rétroaction forme une boucle fermée dans un diagramme de causalité. Une rétroaction positive est un processus qui a pour effet d’accentuer les perturbations, le processus s'autoalimente, par exemple dans le cas d'une explosion. Une rétroaction négative est un processus qui a pour effet d'atténuer les perturbations et provoque un amortissement qui permet une régulation. Ce processus intervient aussi comme agent causal sur sa propre origine, la séquence des expressions de la cause principale et des effets successifs formant une boucle de rétroaction.

(2) Le Karma : est l'action sous toutes ses formes, puis dans un sens plus religieux l'action rituelle. C'est aussi une notion désignant communément le cycle des causes et des conséquences liées à l'existence des êtres sensibles. Il est alors la somme de ce qu'un individu a fait, est en train de faire ou fera. Le karma est propre aux religions et spiritualités orientales ayant adopté le concept de renaissance (parfois nommée réincarnation ou transmigration), lié au fait que les êtres renaissent en fonction de la nature et de la qualité de leurs actes, dans cette vie-ci, mais aussi dans d'autres vies qui se sont déroulées antérieurement. Ainsi tout acte (karmique) induit des effets censés se répercuter sur les différentes vies d'un individu, formant ainsi sa destinée. Dans l'hindouisme et le bouddhisme, le karma permet finalement de se libérer du cycle des morts et des renaissances qui sont des épreuves initiatiques à expérimenter, l’état de libération est appelé nirvāna. En occident : pour les kabbalistes modernes, le karma est une série d'épreuves que l'on s'est choisi juste avant sa naissance, le but de la vie étant de réussir ces épreuves. Pour les théosophes l'usage de ce concept se résume sous la forme d'une loi de rétribution ou loi de cause et d'effet (positive ou négative).

(3) Eliphas Levi : est un ecclésiastique français et une grande figure de l'occultisme du 19e siècle (1810-1875). Auteur de nombreux essais ésotériques, notamment de : "l’Histoire de la magie", "Philosophie occulte : fables et symboles" et "Philosophie occulte : science des esprits".


 

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

Voir les commentaires

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

"Le sexe est une drogue et l’amour est son dealer", une phrase sans équivoque aucune qui résumerait assez bien la situation réelle inscrite au coeur même de notre génome depuis le début de l’Humanité si ce n’était, qu’à notre époque instable où le wokisme (1) ambiant bât son plein, ceci en toute désorientation, instrumentalisation et destruction mentale téléguidée, qu’il est devenu bon de nous expliquer avec grande force de conviction que finalement chacun est strictement libre de se revendiquer sexuellement sous n’importe quelle bannière, réfléchie ou non, sans exception, de celle asexuée à celle non genrée, en passant par la posture de se prendre très sérieusement pour une licorne, pour un elfe, plus "raisonnablement" pour tout autre animal domestique, sauvage ou à défaut imaginaire si on le souhaite, du moment que le choix est assumé en toute "véritable conscience personnelle"… Vouloir confondre le libre arbitre éclairé et une liberté infinie complètement en dehors des clous de la réalité, voilà ce à quoi nous arrivons lorsqu’une société est devenue définitivement malade de ses propres impossibles désirs égotiques qu’elle projette sournoisement sur ses gentils administrés afin de les promener au pays d’Alice et de ses Merveilles pour qu’ils ne réalisent pas (ou plus du tout) qu’ils sont devenus les instruments d’une volonté de masquer toutes vérités pour les noyer dans une illusion globale formatée à l’échelle d’un monde devenu unifié sous l’égide de ce nouvel ordre que l’on voudrait nous imposer, ou plutôt encore mieux : que l’on voudrait nous vendre au prix le plus cher, celui d’une très désirable idiocratie (2) libertarienne à l’excès et généralisée à tous les étages.

Mais n’est-ce pas finalement là le comble d’un ultralibéralisme forcené et apparemment inarrêtable, lequel après avoir happé goulument l’ensemble du marché des biens à la consommation existants et des ressources de la planète, se mettrait aujourd’hui soudainement aussi à dévorer ses propres potentiels consommateurs jusqu’au bout de son extraordinaire folie furieuse ? Chacun sera libre de juger de la pertinence de se questionner en répondant à cette formulation sociétale qui nous éclaire sur la triste fin de règne d’une pseudo-élite intellectuelle, financière et politique qui cherche à nous perdre définitivement dans ses fantasmes et dans ses déviations idéologiques dignes des meilleurs canulars, sauf que le débat semble bien sérieusement à "l’ordre du jour" surtout pour le meilleur du pire à venir si un sursaut de lucidité n’intervient pas assez rapidement pour ouvrir les yeux des rêveurs éveillés intoxiqués par ces fumeuses dérives savamment instillées. Mais dans tous les cas soyons certains que cette perte de conscience institutionnalisée sera très vite rentabilisée par ceux qui ont lancé avec une réelle malignité cette mode pour décérébrés volontaires, qu’ils en feront un surcroit de pouvoir sur ces pantins faussement libérés qui se seront pris au jeu en pensant en suivre les règles que d’autres ont écrites pour eux afin de mieux les asservir. Mais ici, après cet aparté, n’est pas principalement le propos puisqu’il est question de sexualité et de libido et non des dérives instrumentalisées que l’on cherche à inculquer aux plus faibles esprits ou aux non suffisamment avertis des incroyables malversations et innombrables aberrantes élucubrations de nos dénommés dirigeants.

De même que durant des siècles la sexualité a été relativement durement réprimée au quotidien et presque totalement bannie du débat public sous couvert d’une douce religiosité et d’une amère moraline (3), l’on a progressivement vu s’éloigner toute l’intelligence naturelle du corps à s’exprimer selon ses propres capacités à réguler une libido de manière stable et harmonieuse, engendrant ainsi diverses maladies mentales et autres déviations morbides dont se sont vite emparés les adeptes d’une psychanalyse freudienne pour tenter d’en rationaliser les effets. À défaut d’équilibre naturel, c’est bien l’inverse qui a eu lieu avec des notions de péché mortel purement inventées pour manipuler les masses et leur faire porter tout le fardeau d’une faute originelle elle-même véritablement digne des meilleurs contes de fées revisités… Il n’est donc pas illogique d’avoir vu, à l’extrême, un renversement des dites anciennes "valeurs" de nos jours à des fins paradoxalement identiques, en ce sens, toujours le même, qu’il faut cette fois-ci contrôler en laissant chacun non pas dans un carcan serré de dogmes moraux mais au contraire dans l’infinie dilution de normes amorales dans le but de faire perdre tout repère. En ésotérisme, et les initiés ne le savent que trop bien, ces deux extrêmes se recoupent sous un seul idiome hermétique, celui du "Solve" et du "Coagula" (voir note /!\), c’est-à-dire les deux principes inverses qui permettent la dislocation et le chaos : dissoudre (dans l’acide) ou figer (dans le marbre), autant dire que d’un côté comme de l’autre personne ne résiste longtemps à cette alchimie, luciférienne s’il en est une, par excellence…

C’est justement par le décryptage ésotérique, celui que l’on n’apprend pas à l’école, ni dont on parle sur les médias, que les initiés (terme générique nullement prétentieux de la part de ceux qui ont suivi un réel et long chemin initiatique) ont pu aborder les complexes méandres du corps, de l’esprit, de la sexualité et des puissantes forces naturelles qui tendent à maintenir la cohésion harmonieuse d’un individu réellement libre de ses choix au regard des défis à affronter non seulement dans sa propre vie mais aussi en côtoyant celle d’autrui, ceci en une difficile sérénité à assurément respecter au milieu du chaos ambiant et de l’entropie des systèmes complexes dont nous faisons tous partie. De corps, c’est-à-dire de matière, de forces qui s’exercent, c’est-à-dire d’énergies qui se diffusent, et d’espace comme terrain de jeu : voici ce en quoi chaque initié est confronté pour comprendre le monde selon des Lois universelles, à la fois physiques, psychiques et spirituelles, ce qui pourrait trop certainement échapper au commun des mortels bataillant la plupart du temps non pas pour entrevoir la complexité du monde et en saisir toute la quintessence par l’étude, mais pour tenter de s’extraire de complications technocratiques sans cesse assénées, véritables fléaux modernes que nos sociétés ont su générer pour nous "simplifier" la vie, avec la certitude aussi qu’ils suivent des principes lucifériens pour dissoudre nos esprits et figer notre liberté d’agir et de créer. Un peu d’humour sur ce point ne fera pas de mal pour comprendre d’autant plus facilement les enjeux en présence où nous sommes les premières victimes de nos propres systèmes d’organisation modernes et du "progrès" que nous revendiquons si haut et fort avec une telle démoralisante fierté d’en être les bienheureuses victimes dépravées !

Libido et sexualité, deux mots apparemment simples et concepts courants que tous revendiquent mais dont peu comprennent qu’il s’agit avant tout d’une gestion grandement qualitative de l’énergie qui ne s’arrête ni au physique pour en jouir, ni seulement au mental pour s’en contenter, mais dont le but est d’aller encore plus loin dans l’élévation successive, à l’image d’un minerai à raffiner et dont le métal précieux ainsi distillé apporterait en fin de processus "alchymique" la Pierre Philosophale, celle tant recherchée par les initiés s’exerçant à cette "œuvre au noir" (4) et dont certains lui ont trouvé une réelle application via l’Art Royal, c’est-à-dire via la Magie et ses très nombreux rituels opératifs. Bien entendu, nos sociétés modernes nous ont progressivement perdu dans leurs insolants méandres technoscientistes, ceci sous couvert du siècle des dites Lumières, celui d’un scientisme exacerbé certes très technicien et pratique mais s’éloignant résolument à grands pas des principes ésotériques pour s’y substituer complètement et laisser au loin de cruciales découvertes spirituelles de côté. Redécouvrir les processus élevés de la sexualité et de l’énergie qui s’en dégage via une libido sous contrôle par voie tantrique, c’est l’un des buts de la magie moderne que de restituer ces principes demeurés cachés au grand public de peur qu’il s’en serve pour libérer toute la puissance naturelle à sa disposition et ainsi jouir pleinement d’un libre arbitre recouvré, totalement défait des chaînes mentales apposées par nos sociétés en voie de dégénérescence rapide. Dans ce sens et afin de lutter efficacement contre la planification d’un nouvel ordre mondial non désiré ni désirable, il est nécessaire de retrouver une véritable voie initiatique dispensant un ésotérisme traditionnel digne d’une évolution spirituelle qui libère plus qu’elle n’asservit celui qui s’y prête, soyons donc nombreux à résister, retrouvons la liberté de ce feu sacré qui anime nos vies !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel



(1) Wokisme : terme apparu dans la littérature francophone à partir de la racine woke dans son sens péjoratif avec la terminaison -isme afin de "souligner ce qui serait son caractère idéologique, extrémiste et dangereux". Expression politique et polémique utilisée pour stigmatiser (à raison ou non) une vision radicale de la justice sociale et de la défense des groupes minorisés (qu’ils soient légitimés de manière rationnelle, ou non…).

(2) Idiocratie : mot composé de idiot et du suffixe -cratie. (généralement péjoratif) Régime politique dont le pouvoir souverain est sous le contrôle d’idiots (sous-entendu aussi : pour contrôler des idiots…).

(3) Moraline : dans l'œuvre de Friedrich Nietzsche, fait référence à la morale chrétienne, la morale dominante et bien-pensante, au XXIe siècle, on parlerait de "Morale de la pensée unique" ou de la pensée moralisatrice qui serait adepte d'une forme de terrorisme intellectuel (et qui l’est très certainement à juste titre…).

(4) Œuvre au noir : l'expression "œuvre au noir" désigne en alchimie la première des trois phases dont l'accomplissement est nécessaire pour achever le magnum opus. En effet, selon la tradition, l'alchimiste doit successivement mener à bien l'œuvre au noir, au blanc, et enfin au rouge afin de pouvoir accomplir la transmutation du plomb en or, d'obtenir la Pierre Philosophale ou de produire la panacée (remède universel à tous les maux humains).

/!\ Note complémentaire importante : les deux principes SOLVE et COAGULA font aussi partie des opérations alchimiques du Grand Oeuvre mais de manière équilibrée et successive afin d'extraire la quintessence qui en est la résultante, ils sont donc complémentaires et se doivent d'être "utilisés" ensemble et non séparément, auquel cas ils deviennent destructeurs et diviseurs, et aboutissent alors non pas à la quintessence unificartrice mais uniquement au pire déchet, à l'informe scorie de la plus basse extraction dont personne ne veut...
 

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

Voir les commentaires

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

Une petite introduction s’impose. Notre époque a généré un paradoxe assez incroyable où les sciences et les technologies sont devenues si complexes que la très grande majorité de la population, à moins d’être ingénieur ou chercheur de haut niveau, n’est absolument plus capable d’en expliquer ni d’en comprendre lesdits progrès : à titre d’exemple qui est encore capable d’expliquer clairement comment fonctionne exactement un ordinateur, comment se propage une onde radio et comment on la capte, ou bien encore de quoi est constitué un laser pour fonctionner ? Plus personne n’est d’ailleurs non plus capable de fabriquer à partir d’éléments "simples" (disponibles dans la nature) un ordinateur, un laser ou bien une radio, en effet, tous les éléments constitutifs de ces appareils nous sont finalement inconnu dans leur plus intime nature, dans leur fabrication, dans leur fonctionnement basique et donc compréhensible aisément. Tout ceci pour constater que le véritable paradoxe est de vivre avec un "progrès" qui s’invite à nos portes, pour ne pas dire qui s’installe chez nous, lequel est devenu strictement étranger à notre entendement commun, s’est transformé en une sorte magie technologique dont nous ignorons finalement tout ou presque. Là ou à l’époque des Lumières l’on cherchait à expliquer le monde et à le rendre sainement compréhensible à tous par les sciences et les techniques via des Encyclopédies didactiques, aujourd’hui ces mêmes technologies et sciences, certes beaucoup plus avancées, redeviennent mystérieuses, presque hermétiques à qui n’est pas initié à ces techniques et enseignements. En ce sens il existe bel et bien un occultisme technologique et scientiste, une sorte de techno-ésotérisme. Mais en ce sens, pouvons-nous dire qu’il existe ainsi un néo-ésotérisme avec l’apport insidieux des mondes virtuels dans nos vies réelles, avec la numérisation de tout ce qui peut l’être et des Intelligences Artificielles en embuscade ?

Ce monde techno-scientiste, empli d’une volonté exacerbée de numériser nos environnements immédiats et même dans un futur proche de s’insérer dans notre biologie via des nano-robots ou des molécules pilotables, n’est-ce pas finalement une dérive fondamentale vers un transhumanisme débridé dont on ignore encore les prochaines étapes dangereuses, n’est-ce pas foncièrement une volonté imposée à l’image d’une secte ou d’une religion qui ne dirait pas son nom ? D’une certaine façon, LA Science est devenue cette religion d’un monde qui axe son développement et son évolution sur la route d’un progrès qui se veut incontournable et apparemment incontrôlable aux vues des dégâts sur la biodiversité et l’environnement. Il est clair, logique et indubitable qu’une croissance se basant sur la technologie à outrance, sur la numérisation forcenée de toute information circulant et sur la modélisation virtuelle des idées et des esprits ne pourra qu’entrainer une surconsommation drastique d’énergie dont nous manquerons bientôt si cruellement à l’échelle planétaire ainsi qu’une destruction ordonnée er systématique de l’ensemble des ressources du monde vivant. Nous devons d’ores et déjà nous poser l’essentielle question : est-ce ici un but satisfaisant et positif que d’en arriver à cette échéance dite (faussement) progressiste, laquelle semble plus digne d’une très rapide et certaine déchéance globale du vivant que de son évolution naturelle avec d’heureuses perspectives ?

Bien entendu, s’il existait un véritable néo-ésotérisme issu d’un ésotérisme éclairé plus ancien, celui-ci combattrait et s’opposerait farouchement à cette vision d’un monde déshumanisé, systémique et dirigiste à l’opposé des potentialités d’un libre arbitre humain et d’un naturel substrat que la planète a su offrir à profusion jusqu’ici presque gratuitement. Nous devons aujourd’hui parfaitement comprendre l’enjeu et bien l’assimilé avant qu’il ne soit trop tard, celui que le techno-scientisme comme dogme unique n’est finalement que l’outil d’une sorte de religion factice que l’on nomme "Progrès illimité", que ses déités à vénérer avec la plus grande ferveur sont double : le "Dieu Commerce" et sa parèdre la "Déesse Consommation", que sa principale gnose s’appelle la Globalisation par la Loi du Marché où absolument tout est à vendre sans conscience, même l’Humanité dans ses plus nobles aspirations, ceci à son détriment le plus total si cela sert la cause de la marchandisation du monde jusqu’à son ultime fin. Alors, le point de vue d’un techno-ésotérisme se comprend dans le sens où effectivement l’on en arrive à ne plus ni comprendre la course effrénée de la technologie et de ses dérives, ce que l’on aurait pu appeler le Progrès, où l’on perçoit distinctement l’impasse de cette même technologie face aux défis des ressources qui manqueront demain et dont personne ne pourra les remplacer, où enfin ce même dit progrès nous aura amené au bord du gouffre de l’extinction de toutes les espèces vivantes avec comme seule perspective d’être la toute dernière sur la liste d’une Apocalypse anticipée et déjà pourtant annoncée comme hautement probable. Dans quelle logique entre donc ce progrès s’il n’aboutit finalement qu’à sa propre destruction en entraînant avec lui tout ce qui existe sur son délirant sillage ?

Délire et hallucination. Ces deux mots pourraient définir la voie sur laquelle nous nous dirigeons avec l’assurance des fous. Tout d’abord le délire, d’accélérer notre destruction en sciant la branche sur laquelle nous sommes tous sans exception assis, par la surexploitation de précieuses ressources non renouvelables dont demain matin nous verrons qu’elles ne sont plus du tout disponibles et provoqueront une débâcle mondiale avec les errements guerriers qui sont l’apanage de nos violentes mentalités habituelles. Ensuite l’hallucination, collective et hypnotique, comme si l’entendement et le bon sens de l’humanité avaient été soudainement balayés depuis quelques décennies par une trop rassurante détermination que rien ne pourrait jamais entraver la marche d’un progrès qui assurément serait intégralement positif jusqu’à en imposer les lois sur l’ensemble du globe en pensant même pouvoir en instituer légitimement une gouvernance mondiale à tous. Mais la réalité ne se décrète pas, on ne légifère pas sur les lois de la physique ou des cycles de la nature dont on dépend, et dans ce sens l’Homme ne doit pas se prendre pour le grand architecte qui n’est qu’une construction imaginaire d’un esprit malade de ne rien avoir compris ni de ce qu’il est, ni d’où il vient, c’est-à-dire de la plus petite particule en passant par la cellule la plus simple mais pourtant des plus complexes toutes deux à comprendre encore à ce jour. L’étincelle de la Vie, ce grand mystère qui nous anime pourtant à chaque instant, nous est entièrement inconnue dans son processus de création, de réel fonctionnement et de véritable évolution naturelle future.

L’ésotérisme, le seul, l’unique qui a su poser les questions fondamentales à une Humanité en quête d’elle-même (et non l’obscurantisme qu’une certaine science progressiste à outrance tente d’imposer par un transhumanisme délirant) saura aujourd’hui répondre à ces mêmes capitales questions existentielles en s’opposant frontalement à l’hypnotisme en cours et à cette hallucination collective qui nous éloigne d’une réalité qui crie sa souffrance face au déni des enjeux actuels. Autant de défis à surmonter avec détermination et lucidité dans un futur proche puisqu’il est plus que probable que si nous n’agissons pas de manière concrète et intelligente, nous qui nous disons "Sapiens", alors nous aurons exterminé les prochaines générations à venir sans en avoir ni manifestement pris conscience ni sérieusement tenté d’en comprendre que nous en étions très directement la cause principale de par nos abus. notre ignorance et notre démesure à nous croire des dieux. C’est ce travail ésotérique, celui de révéler ce qui est caché, que les initiés du monde entier doivent mettre en oeuvre dès aujourd’hui pour rééduquer les mentalités dépravées par notre insuffisance à concevoir un véritable progrès, non pas axé sur la dévoration irraisonnée du monde mais sur sa conservation afin d’y vivre en harmonie, pleinement et durablement. En cela la postmodernité sera positive, auquel cas elle ne sera pas...

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

téléphonez au   06.09.11.94.56  (appel non surtaxé)

Voir les commentaires

<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 40 > >>

Etude Gratuite

 Pour toute demande de rituel

 magique ou d'étude gratuite

 téléphonez au 06.09.11.94.56

 (appel direct et non surtaxé)

 ou bien   cliquez ici 

Archives

Articles récents

Hébergé par Overblog