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Blog chaman ésotérisme

Blog chaman ésotérisme

Blog Chaman Esotérisme : Culture ésotérique et magique sur un véritable blog chamanique animé par un véritable sorcier chaman

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Avant d’entrer d’emblée dans le sujet pour comprendre, connaitre, puis enfin résoudre des problèmes de relations amoureuses (visibles ou sous-jacentes), il est assurément important d’élargir le contexte en ne partant pas uniquement des individus mais surtout du chemin sinueux qui les a porté non seulement à se rencontrer mais aussi à suivre les contraintes anciennes et présentes qui permettent de bien mieux définir la réelle et complexe sphère agissante qui dirige leur vie. Cette importante "sphère d’information" est elle-même sous influences d’autres types de contraintes extérieures multiples, de décisions périphériques à leur propre histoire mais ayant une incidence réelle. Enfin, cet ensemble est lui-même soumis à de grandes lois universelles supérieures non écrites (celles qui sont d’un ordre plus hermétique, à savoir karmique). L’Histoire elle-même, avec un grand H, fait aussi partie intégrante des paramètres à suivre selon un déroulement structuré pour en comprendre les effets, diverses répercutions et conséquences sur les individus, sur ce point l’exemple sociétal abondamment théorisé et le plus explicite bien que déjà ancien pour le sujet qui pourrait nous intéresser serait celui de ladite "libération sexuelle" d’après mai 68 et des mouvements sociaux en France (et ailleurs dans le monde par ricochet jusqu'à aujourd'hui) qui en ont résulté. Mais, sans vouloir trop compliquer une situation déjà multiforme, évolutive et non formelle, chacun sera aussi plus ou moins réceptif à l’ensemble de ces changements et de ces diverses contraintes, ce qui modèrera (sans simplifier pour le moins) toute démarche uniforme et trop généraliste pour en tirer de trop rigides conclusions.

Pour résumer clairement et pouvoir ainsi commencer à mieux cerner génériquement le problème et y répondre : nous avons ici en place une sphère contextuelle très structurée ayant au moins quatre grands paramètres qui jouent sur l’humain : spatiaux (pays et traditions, lieux, déplacements, etc.), temporels (dates importantes, histoire personnelle, mouvements Historiques et politiques, etc.), la prise de conscience de l’intéressé lui-même face à ces paramètres avec son essentielle rétroaction (1) psychique (réponse à l’ensemble des affects, subis, acceptés ou rejetés, voire neutralisés, qui accentuent ou modèrent les causes et/ou les effets), enfin et pas des moindres, l’influence décisive mais discrètement induite (notoirement invisibilisée au profane) d’un niveau supérieur axé sur la mission de vie et la part d’orientation karmique (2) avec ses épreuves (initiatiques et existentielles), sa route (sa destinée) et ses chaines (selon dette karmique, positive ou négative). Une fois que ces éléments sont préalablement posés nous pouvons commencer à travailler pour connaitre une situation dans le cadre d’un contexte réel proche d’une vérité sensiblement objective et bien cernée, notamment en ce qui concerne ici plus précisément ce qui nous intéresse : les relations amoureuses et leurs problématiques, lesquelles sont souvent, par essence comme nous le savons, relativement compliquées à comprendre et à aborder…

Afin de comprendre spécifiquement la relation amoureuse qui lie deux personnes, commençons par vérifier les potentiels points de frictions, c’est-à-dire les points qui pourraient s’opposer à cette relation ou la rendre plus difficile. La tradition de chacun : il est clair que deux individus n’ayant pas les mêmes bases sociétales, religieuses, ou traditionnelles auront plus de mal à "s’identifier dans l’autre" et donc à y percevoir les essentiels points communs pour s’apprécier d’autant plus. Ne dit on pas qui se ressemblent s’assemble ? Ce n’est heureusement vrai qu’en partie, sinon personne ne serait en couple tant nous sommes tous différents, ce qui est aussi un élément non pas à charge mais à l’avantage de ceux qui s’unissent que de revendiquer des différences pour les apporter, les offrir, à l’autre. Voyons d’ailleurs immédiatement dans cette "offrande" un véritable rituel à part entière et au sens strict, même si cela n’est pas visible ou ressenti comme tel pour un profane, elle l’est déjà parfaitement identifiée comme telle pour un initié ! D’offrande à sacrifice, il n’y a qu’un pas qui n’aura pas échappé à la sagacité intellectuelle et ésotérique pour relier deux concepts véritablement clé en magie opérative afin d'effectuer des rituels puisqu’une demande ritualistique se base à la fois sur l’élaboration orchestrée d’appels symboliques (demandes, prières, invocations, communications, etc.) et de dons qui sont multiples. La notion de don peut être de deux types : matériel (un objet usuel ou plus symbolique, une mèche de cheveux, une sécrétion sexuelle, du sang, des animaux, des plantes, etc.) ou bien des dons immatériels : ne serait-ce que le temps de cérémonie et de méditation, des pensées imagées (puissance de la volonté), des paroles répétées (mantra), des symboles tracés puis utilisés (brulés rituellement, dissous alchimiquement, enterrés, lavés, déplacés ou orientés, etc.).

"Savoir, Oser, vouloir, se taire", résume clairement aussi l’action de la volonté d’agir magiquement selon l’ésotériste mage Eliphas Levi (3) qui en définit ici des principes à suivre qui parlent d’eux-mêmes sans avoir à approfondir longuement. Ce que l’on pourra utilement en retirer de sagesse ésotérique c’est qu’effectivement avant toute action, comme dit précédemment, il sera nécessaire de savoir, de comprendre et d’analyser un tant soit peu la situation et le contexte réel avant tout travail de magie, ceci semble une évidence. Oser, demande que l’on dépasse certaines limites, notamment les habitudes lorsque l’on est "en demande" puisque ce n’est qu’en rupture (légère ou radicale) de son mode de vie ou de penser que l’on pourra aborder un changement, ceci aussi tombe sous le sens, il n’y a que ceux qui ne tentent rien qui ne gagnent pas au change. Enfin, "vouloir" apporte la clé indispensable, tant de la part du demandeur que du praticien, en effet rien ne se fera sans une volonté" préalable à l’acte, que ce dernier soit d’ailleurs concret et profane ou plus ritualistique et ésotérique. De plus, pour les initiés la volonté représente aussi une "matière subtile" à part entière qui se transmute et entre en sublimation pour transformer la réalité et changer le cours des choses… Se taire ensuite, car la notion de secret développe une puissance occulte participant à l’appel de forces invisibles qui ne veulent ni être nommées ouvertement à tout vent, ni être même pensées ou représentées à un niveau profane, ce qui serait alors littéralement une profanation d'un rituel en cours, une dégradation des effets attendus et enfin une terrible offense envers les entités en présence ou ayant participé aux travaux.

Vouloir améliorer une situation amoureuse compliquée et qui pourrait dégénérer, voire aboutir à une rupture, c’est donc mettre en oeuvre toute un complexe processus à la fois long, énergétiquement parlant assez lourd à supporter, rigoureusement échelonné selon des principes et des concepts à suivre à la lettre, et enfin avec la plus grande discrétion qui soit, voire avec un secret absolu si besoin. Il est clair, net et précis que dans ces termes seuls les professionnels auront assez de connaissances ésotériques et magiques, d’expertise dans l’expérience en la matière et en l’esprit du don de pouvoir obtenir des résultats satisfaisants ou significatifs. Sans oublier la notion de tempo, de séquençage des rituels, des appels aux bonnes (ou plus spécifiques) entités et des modulations ou ajustements à effectuer souvent en temps réel : aucun profane en activité dans un monde lui aussi profane n’en aura la pleine capacité, le temps, le savoir-faire, l’énergie et la volonté affirmée selon les principes évoqués précédemment. Bien au contraire, en exposant ici très sommairement les notions ritualistiques, il est strictement déconseillé de tenter d’effectuer seul pour soi-même des rituels de retour d’affection ou d’autres d’ordre de la magie rouge, cela serait à coup sûr dommageable pour la situation et pour celui ou celle qui opère sans les bons outils ni les connaissances requises. Ceci ne signifie pas qu’un profane puisse tout de même s’intéresser à ces problématiques hermétiques, qu’il en étudie les concepts et qu’il puisse, à son niveau, en récolter quelques fruits positifs par une attitude lui permettant d’entrevoir une certaine sagesse de l’amour pour que sa relation de couple en soit réellement bonifiée. N’oublions pas que le libre arbitre allié à la volonté, bien orientée et persévérante, seront les meilleurs atouts pour la réussite d’un projet, d’autant plus si celui-ci apporte l’harmonie et la stabilité demandée. Dans ce sens, et ce qu’il faut avant tout principalement retenir et appliquer : soyez toujours à l’écoute des élans primordiaux de votre coeur, parfois plus que de votre mental analytique ou de votre intellect purement logique, il est le seul indicateur à suivre sur le chemin de vos sentiments si ceux-ci sont effecitvement véritables !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel



(1) Rétroaction :
Une rétroaction est une interaction dans laquelle la perturbation d’une variable provoque le changement d'une seconde variable, qui influe à son tour sur la variable initiale. Une rétroaction forme une boucle fermée dans un diagramme de causalité. Une rétroaction positive est un processus qui a pour effet d’accentuer les perturbations, le processus s'autoalimente, par exemple dans le cas d'une explosion. Une rétroaction négative est un processus qui a pour effet d'atténuer les perturbations et provoque un amortissement qui permet une régulation. Ce processus intervient aussi comme agent causal sur sa propre origine, la séquence des expressions de la cause principale et des effets successifs formant une boucle de rétroaction.

(2) Le Karma : est l'action sous toutes ses formes, puis dans un sens plus religieux l'action rituelle. C'est aussi une notion désignant communément le cycle des causes et des conséquences liées à l'existence des êtres sensibles. Il est alors la somme de ce qu'un individu a fait, est en train de faire ou fera. Le karma est propre aux religions et spiritualités orientales ayant adopté le concept de renaissance (parfois nommée réincarnation ou transmigration), lié au fait que les êtres renaissent en fonction de la nature et de la qualité de leurs actes, dans cette vie-ci, mais aussi dans d'autres vies qui se sont déroulées antérieurement. Ainsi tout acte (karmique) induit des effets censés se répercuter sur les différentes vies d'un individu, formant ainsi sa destinée. Dans l'hindouisme et le bouddhisme, le karma permet finalement de se libérer du cycle des morts et des renaissances qui sont des épreuves initiatiques à expérimenter, l’état de libération est appelé nirvāna. En occident : pour les kabbalistes modernes, le karma est une série d'épreuves que l'on s'est choisi juste avant sa naissance, le but de la vie étant de réussir ces épreuves. Pour les théosophes l'usage de ce concept se résume sous la forme d'une loi de rétribution ou loi de cause et d'effet (positive ou négative).

(3) Eliphas Levi : est un ecclésiastique français et une grande figure de l'occultisme du 19e siècle (1810-1875). Auteur de nombreux essais ésotériques, notamment de : "l’Histoire de la magie", "Philosophie occulte : fables et symboles" et "Philosophie occulte : science des esprits".


 

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"Le sexe est une drogue et l’amour est son dealer", une phrase sans équivoque aucune qui résumerait assez bien la situation réelle inscrite au coeur même de notre génome depuis le début de l’Humanité si ce n’était, qu’à notre époque instable où le wokisme (1) ambiant bât son plein, ceci en toute désorientation, instrumentalisation et destruction mentale téléguidée, qu’il est devenu bon de nous expliquer avec grande force de conviction que finalement chacun est strictement libre de se revendiquer sexuellement sous n’importe quelle bannière, réfléchie ou non, sans exception, de celle asexuée à celle non genrée, en passant par la posture de se prendre très sérieusement pour une licorne, pour un elfe, plus "raisonnablement" pour tout autre animal domestique, sauvage ou à défaut imaginaire si on le souhaite, du moment que le choix est assumé en toute "véritable conscience personnelle"… Vouloir confondre le libre arbitre éclairé et une liberté infinie complètement en dehors des clous de la réalité, voilà ce à quoi nous arrivons lorsqu’une société est devenue définitivement malade de ses propres impossibles désirs égotiques qu’elle projette sournoisement sur ses gentils administrés afin de les promener au pays d’Alice et de ses Merveilles pour qu’ils ne réalisent pas (ou plus du tout) qu’ils sont devenus les instruments d’une volonté de masquer toutes vérités pour les noyer dans une illusion globale formatée à l’échelle d’un monde devenu unifié sous l’égide de ce nouvel ordre que l’on voudrait nous imposer, ou plutôt encore mieux : que l’on voudrait nous vendre au prix le plus cher, celui d’une très désirable idiocratie (2) libertarienne à l’excès et généralisée à tous les étages.

Mais n’est-ce pas finalement là le comble d’un ultralibéralisme forcené et apparemment inarrêtable, lequel après avoir happé goulument l’ensemble du marché des biens à la consommation existants et des ressources de la planète, se mettrait aujourd’hui soudainement aussi à dévorer ses propres potentiels consommateurs jusqu’au bout de son extraordinaire folie furieuse ? Chacun sera libre de juger de la pertinence de se questionner en répondant à cette formulation sociétale qui nous éclaire sur la triste fin de règne d’une pseudo-élite intellectuelle, financière et politique qui cherche à nous perdre définitivement dans ses fantasmes et dans ses déviations idéologiques dignes des meilleurs canulars, sauf que le débat semble bien sérieusement à "l’ordre du jour" surtout pour le meilleur du pire à venir si un sursaut de lucidité n’intervient pas assez rapidement pour ouvrir les yeux des rêveurs éveillés intoxiqués par ces fumeuses dérives savamment instillées. Mais dans tous les cas soyons certains que cette perte de conscience institutionnalisée sera très vite rentabilisée par ceux qui ont lancé avec une réelle malignité cette mode pour décérébrés volontaires, qu’ils en feront un surcroit de pouvoir sur ces pantins faussement libérés qui se seront pris au jeu en pensant en suivre les règles que d’autres ont écrites pour eux afin de mieux les asservir. Mais ici, après cet aparté, n’est pas principalement le propos puisqu’il est question de sexualité et de libido et non des dérives instrumentalisées que l’on cherche à inculquer aux plus faibles esprits ou aux non suffisamment avertis des incroyables malversations et innombrables aberrantes élucubrations de nos dénommés dirigeants.

De même que durant des siècles la sexualité a été relativement durement réprimée au quotidien et presque totalement bannie du débat public sous couvert d’une douce religiosité et d’une amère moraline (3), l’on a progressivement vu s’éloigner toute l’intelligence naturelle du corps à s’exprimer selon ses propres capacités à réguler une libido de manière stable et harmonieuse, engendrant ainsi diverses maladies mentales et autres déviations morbides dont se sont vite emparés les adeptes d’une psychanalyse freudienne pour tenter d’en rationaliser les effets. À défaut d’équilibre naturel, c’est bien l’inverse qui a eu lieu avec des notions de péché mortel purement inventées pour manipuler les masses et leur faire porter tout le fardeau d’une faute originelle elle-même véritablement digne des meilleurs contes de fées revisités… Il n’est donc pas illogique d’avoir vu, à l’extrême, un renversement des dites anciennes "valeurs" de nos jours à des fins paradoxalement identiques, en ce sens, toujours le même, qu’il faut cette fois-ci contrôler en laissant chacun non pas dans un carcan serré de dogmes moraux mais au contraire dans l’infinie dilution de normes amorales dans le but de faire perdre tout repère. En ésotérisme, et les initiés ne le savent que trop bien, ces deux extrêmes se recoupent sous un seul idiome hermétique, celui du "Solve" et du "Coagula" (voir note /!\), c’est-à-dire les deux principes inverses qui permettent la dislocation et le chaos : dissoudre (dans l’acide) ou figer (dans le marbre), autant dire que d’un côté comme de l’autre personne ne résiste longtemps à cette alchimie, luciférienne s’il en est une, par excellence…

C’est justement par le décryptage ésotérique, celui que l’on n’apprend pas à l’école, ni dont on parle sur les médias, que les initiés (terme générique nullement prétentieux de la part de ceux qui ont suivi un réel et long chemin initiatique) ont pu aborder les complexes méandres du corps, de l’esprit, de la sexualité et des puissantes forces naturelles qui tendent à maintenir la cohésion harmonieuse d’un individu réellement libre de ses choix au regard des défis à affronter non seulement dans sa propre vie mais aussi en côtoyant celle d’autrui, ceci en une difficile sérénité à assurément respecter au milieu du chaos ambiant et de l’entropie des systèmes complexes dont nous faisons tous partie. De corps, c’est-à-dire de matière, de forces qui s’exercent, c’est-à-dire d’énergies qui se diffusent, et d’espace comme terrain de jeu : voici ce en quoi chaque initié est confronté pour comprendre le monde selon des Lois universelles, à la fois physiques, psychiques et spirituelles, ce qui pourrait trop certainement échapper au commun des mortels bataillant la plupart du temps non pas pour entrevoir la complexité du monde et en saisir toute la quintessence par l’étude, mais pour tenter de s’extraire de complications technocratiques sans cesse assénées, véritables fléaux modernes que nos sociétés ont su générer pour nous "simplifier" la vie, avec la certitude aussi qu’ils suivent des principes lucifériens pour dissoudre nos esprits et figer notre liberté d’agir et de créer. Un peu d’humour sur ce point ne fera pas de mal pour comprendre d’autant plus facilement les enjeux en présence où nous sommes les premières victimes de nos propres systèmes d’organisation modernes et du "progrès" que nous revendiquons si haut et fort avec une telle démoralisante fierté d’en être les bienheureuses victimes dépravées !

Libido et sexualité, deux mots apparemment simples et concepts courants que tous revendiquent mais dont peu comprennent qu’il s’agit avant tout d’une gestion grandement qualitative de l’énergie qui ne s’arrête ni au physique pour en jouir, ni seulement au mental pour s’en contenter, mais dont le but est d’aller encore plus loin dans l’élévation successive, à l’image d’un minerai à raffiner et dont le métal précieux ainsi distillé apporterait en fin de processus "alchymique" la Pierre Philosophale, celle tant recherchée par les initiés s’exerçant à cette "œuvre au noir" (4) et dont certains lui ont trouvé une réelle application via l’Art Royal, c’est-à-dire via la Magie et ses très nombreux rituels opératifs. Bien entendu, nos sociétés modernes nous ont progressivement perdu dans leurs insolants méandres technoscientistes, ceci sous couvert du siècle des dites Lumières, celui d’un scientisme exacerbé certes très technicien et pratique mais s’éloignant résolument à grands pas des principes ésotériques pour s’y substituer complètement et laisser au loin de cruciales découvertes spirituelles de côté. Redécouvrir les processus élevés de la sexualité et de l’énergie qui s’en dégage via une libido sous contrôle par voie tantrique, c’est l’un des buts de la magie moderne que de restituer ces principes demeurés cachés au grand public de peur qu’il s’en serve pour libérer toute la puissance naturelle à sa disposition et ainsi jouir pleinement d’un libre arbitre recouvré, totalement défait des chaînes mentales apposées par nos sociétés en voie de dégénérescence rapide. Dans ce sens et afin de lutter efficacement contre la planification d’un nouvel ordre mondial non désiré ni désirable, il est nécessaire de retrouver une véritable voie initiatique dispensant un ésotérisme traditionnel digne d’une évolution spirituelle qui libère plus qu’elle n’asservit celui qui s’y prête, soyons donc nombreux à résister, retrouvons la liberté de ce feu sacré qui anime nos vies !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel



(1) Wokisme : terme apparu dans la littérature francophone à partir de la racine woke dans son sens péjoratif avec la terminaison -isme afin de "souligner ce qui serait son caractère idéologique, extrémiste et dangereux". Expression politique et polémique utilisée pour stigmatiser (à raison ou non) une vision radicale de la justice sociale et de la défense des groupes minorisés (qu’ils soient légitimés de manière rationnelle, ou non…).

(2) Idiocratie : mot composé de idiot et du suffixe -cratie. (généralement péjoratif) Régime politique dont le pouvoir souverain est sous le contrôle d’idiots (sous-entendu aussi : pour contrôler des idiots…).

(3) Moraline : dans l'œuvre de Friedrich Nietzsche, fait référence à la morale chrétienne, la morale dominante et bien-pensante, au XXIe siècle, on parlerait de "Morale de la pensée unique" ou de la pensée moralisatrice qui serait adepte d'une forme de terrorisme intellectuel (et qui l’est très certainement à juste titre…).

(4) Œuvre au noir : l'expression "œuvre au noir" désigne en alchimie la première des trois phases dont l'accomplissement est nécessaire pour achever le magnum opus. En effet, selon la tradition, l'alchimiste doit successivement mener à bien l'œuvre au noir, au blanc, et enfin au rouge afin de pouvoir accomplir la transmutation du plomb en or, d'obtenir la Pierre Philosophale ou de produire la panacée (remède universel à tous les maux humains).

/!\ Note complémentaire importante : les deux principes SOLVE et COAGULA font aussi partie des opérations alchimiques du Grand Oeuvre mais de manière équilibrée et successive afin d'extraire la quintessence qui en est la résultante, ils sont donc complémentaires et se doivent d'être "utilisés" ensemble et non séparément, auquel cas ils deviennent destructeurs et diviseurs, et aboutissent alors non pas à la quintessence unificartrice mais uniquement au pire déchet, à l'informe scorie de la plus basse extraction dont personne ne veut...
 

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Une petite introduction s’impose. Notre époque a généré un paradoxe assez incroyable où les sciences et les technologies sont devenues si complexes que la très grande majorité de la population, à moins d’être ingénieur ou chercheur de haut niveau, n’est absolument plus capable d’en expliquer ni d’en comprendre lesdits progrès : à titre d’exemple qui est encore capable d’expliquer clairement comment fonctionne exactement un ordinateur, comment se propage une onde radio et comment on la capte, ou bien encore de quoi est constitué un laser pour fonctionner ? Plus personne n’est d’ailleurs non plus capable de fabriquer à partir d’éléments "simples" (disponibles dans la nature) un ordinateur, un laser ou bien une radio, en effet, tous les éléments constitutifs de ces appareils nous sont finalement inconnu dans leur plus intime nature, dans leur fabrication, dans leur fonctionnement basique et donc compréhensible aisément. Tout ceci pour constater que le véritable paradoxe est de vivre avec un "progrès" qui s’invite à nos portes, pour ne pas dire qui s’installe chez nous, lequel est devenu strictement étranger à notre entendement commun, s’est transformé en une sorte magie technologique dont nous ignorons finalement tout ou presque. Là ou à l’époque des Lumières l’on cherchait à expliquer le monde et à le rendre sainement compréhensible à tous par les sciences et les techniques via des Encyclopédies didactiques, aujourd’hui ces mêmes technologies et sciences, certes beaucoup plus avancées, redeviennent mystérieuses, presque hermétiques à qui n’est pas initié à ces techniques et enseignements. En ce sens il existe bel et bien un occultisme technologique et scientiste, une sorte de techno-ésotérisme. Mais en ce sens, pouvons-nous dire qu’il existe ainsi un néo-ésotérisme avec l’apport insidieux des mondes virtuels dans nos vies réelles, avec la numérisation de tout ce qui peut l’être et des Intelligences Artificielles en embuscade ?

Ce monde techno-scientiste, empli d’une volonté exacerbée de numériser nos environnements immédiats et même dans un futur proche de s’insérer dans notre biologie via des nano-robots ou des molécules pilotables, n’est-ce pas finalement une dérive fondamentale vers un transhumanisme débridé dont on ignore encore les prochaines étapes dangereuses, n’est-ce pas foncièrement une volonté imposée à l’image d’une secte ou d’une religion qui ne dirait pas son nom ? D’une certaine façon, LA Science est devenue cette religion d’un monde qui axe son développement et son évolution sur la route d’un progrès qui se veut incontournable et apparemment incontrôlable aux vues des dégâts sur la biodiversité et l’environnement. Il est clair, logique et indubitable qu’une croissance se basant sur la technologie à outrance, sur la numérisation forcenée de toute information circulant et sur la modélisation virtuelle des idées et des esprits ne pourra qu’entrainer une surconsommation drastique d’énergie dont nous manquerons bientôt si cruellement à l’échelle planétaire ainsi qu’une destruction ordonnée er systématique de l’ensemble des ressources du monde vivant. Nous devons d’ores et déjà nous poser l’essentielle question : est-ce ici un but satisfaisant et positif que d’en arriver à cette échéance dite (faussement) progressiste, laquelle semble plus digne d’une très rapide et certaine déchéance globale du vivant que de son évolution naturelle avec d’heureuses perspectives ?

Bien entendu, s’il existait un véritable néo-ésotérisme issu d’un ésotérisme éclairé plus ancien, celui-ci combattrait et s’opposerait farouchement à cette vision d’un monde déshumanisé, systémique et dirigiste à l’opposé des potentialités d’un libre arbitre humain et d’un naturel substrat que la planète a su offrir à profusion jusqu’ici presque gratuitement. Nous devons aujourd’hui parfaitement comprendre l’enjeu et bien l’assimilé avant qu’il ne soit trop tard, celui que le techno-scientisme comme dogme unique n’est finalement que l’outil d’une sorte de religion factice que l’on nomme "Progrès illimité", que ses déités à vénérer avec la plus grande ferveur sont double : le "Dieu Commerce" et sa parèdre la "Déesse Consommation", que sa principale gnose s’appelle la Globalisation par la Loi du Marché où absolument tout est à vendre sans conscience, même l’Humanité dans ses plus nobles aspirations, ceci à son détriment le plus total si cela sert la cause de la marchandisation du monde jusqu’à son ultime fin. Alors, le point de vue d’un techno-ésotérisme se comprend dans le sens où effectivement l’on en arrive à ne plus ni comprendre la course effrénée de la technologie et de ses dérives, ce que l’on aurait pu appeler le Progrès, où l’on perçoit distinctement l’impasse de cette même technologie face aux défis des ressources qui manqueront demain et dont personne ne pourra les remplacer, où enfin ce même dit progrès nous aura amené au bord du gouffre de l’extinction de toutes les espèces vivantes avec comme seule perspective d’être la toute dernière sur la liste d’une Apocalypse anticipée et déjà pourtant annoncée comme hautement probable. Dans quelle logique entre donc ce progrès s’il n’aboutit finalement qu’à sa propre destruction en entraînant avec lui tout ce qui existe sur son délirant sillage ?

Délire et hallucination. Ces deux mots pourraient définir la voie sur laquelle nous nous dirigeons avec l’assurance des fous. Tout d’abord le délire, d’accélérer notre destruction en sciant la branche sur laquelle nous sommes tous sans exception assis, par la surexploitation de précieuses ressources non renouvelables dont demain matin nous verrons qu’elles ne sont plus du tout disponibles et provoqueront une débâcle mondiale avec les errements guerriers qui sont l’apanage de nos violentes mentalités habituelles. Ensuite l’hallucination, collective et hypnotique, comme si l’entendement et le bon sens de l’humanité avaient été soudainement balayés depuis quelques décennies par une trop rassurante détermination que rien ne pourrait jamais entraver la marche d’un progrès qui assurément serait intégralement positif jusqu’à en imposer les lois sur l’ensemble du globe en pensant même pouvoir en instituer légitimement une gouvernance mondiale à tous. Mais la réalité ne se décrète pas, on ne légifère pas sur les lois de la physique ou des cycles de la nature dont on dépend, et dans ce sens l’Homme ne doit pas se prendre pour le grand architecte qui n’est qu’une construction imaginaire d’un esprit malade de ne rien avoir compris ni de ce qu’il est, ni d’où il vient, c’est-à-dire de la plus petite particule en passant par la cellule la plus simple mais pourtant des plus complexes toutes deux à comprendre encore à ce jour. L’étincelle de la Vie, ce grand mystère qui nous anime pourtant à chaque instant, nous est entièrement inconnue dans son processus de création, de réel fonctionnement et de véritable évolution naturelle future.

L’ésotérisme, le seul, l’unique qui a su poser les questions fondamentales à une Humanité en quête d’elle-même (et non l’obscurantisme qu’une certaine science progressiste à outrance tente d’imposer par un transhumanisme délirant) saura aujourd’hui répondre à ces mêmes capitales questions existentielles en s’opposant frontalement à l’hypnotisme en cours et à cette hallucination collective qui nous éloigne d’une réalité qui crie sa souffrance face au déni des enjeux actuels. Autant de défis à surmonter avec détermination et lucidité dans un futur proche puisqu’il est plus que probable que si nous n’agissons pas de manière concrète et intelligente, nous qui nous disons "Sapiens", alors nous aurons exterminé les prochaines générations à venir sans en avoir ni manifestement pris conscience ni sérieusement tenté d’en comprendre que nous en étions très directement la cause principale de par nos abus. notre ignorance et notre démesure à nous croire des dieux. C’est ce travail ésotérique, celui de révéler ce qui est caché, que les initiés du monde entier doivent mettre en oeuvre dès aujourd’hui pour rééduquer les mentalités dépravées par notre insuffisance à concevoir un véritable progrès, non pas axé sur la dévoration irraisonnée du monde mais sur sa conservation afin d’y vivre en harmonie, pleinement et durablement. En cela la postmodernité sera positive, auquel cas elle ne sera pas...

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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Nous avons, généralement, une vision du monde avec ce sentiment de très grande complexité qui en émane et dont la logique humaine et ses diverses cogitations ne font que renforcer à l’extrême cet aspect à la fois confus et inextricable qu’ont les évènements à s’entrechoquer de manière compliquée selon des schémas souvent incompréhensibles à cette même logique. C’est ainsi, en effet, que la grande majorité des gens capte le monde par le biais d’une réalité entièrement reconstruite intérieurement par leurs facultés cognitives, lesquelles ont cette étonnante fonction d’accumuler consciemment mais aussi inconsciemment une immense foule d’informations hétérogènes pour tenter d’en construire une histoire, apparemment sensée à notre échelle, et par conséquent d’en accepter le résultat obtenu comme parfaitement conforme à la seule et unique vérité à concevoir. Pourtant cette vision profane du monde, et donc des choses qui nous entourent, est parfaitement fausse par définition puisque nous-mêmes ne sommes pas parfaits pour en élaborer une vérité totalement dénuée d’erreurs, que notre pouvoir de captation n’est que la résultante de sens que nous avons faillibles, et qu’enfin notre capacité d’analyse est elle-même grandement limitée, entachée d’inexactes interprétations et de convictions la plupart du temps notoirement infondées ou déformées.

Alors, comment oser comprendre que nous ne savons rien de ce que représente la Réalité, que nous ne voyons que l’illusion de celle-ci qu’à travers des filtres qui nous composent, et comment dépasser cette limitation qui nous empêche de voir l’invisible ou ce qui nous est caché ? C’est ici même la définition de l’ésotérisme que d’aller chercher ce qui semble parfaitement hermétique et occulté, d’aller au-delà de la superficialité qui nous subjugue par ses fausses images, par ses sons imprécis et ses ressentis infidèles, tel l’incohérent montage amateur d’un premier film d’auteur, forcément fictif,  simpliste et rudimentaire. De nombreux signes indiquent pourtant, qu’au-delà des limitations imposées par notre incohérence humaine à saisir l’entièreté de la Réalité, nous pouvons parfois à de rares instants percevoir l’envers du décor et les coulisses du film de l’existence, ce sont dans ces moments que surgissent, telles de surprenantes synchronicités (1), d’ultimes vérités auparavant cachées ou bien des portes qui s’étaient habilement dérobées à notre vue tronquée. Qui contrôle ces nouveaux espaces invisibles ou bien qui cherche à nous les dissimuler ? Et dans quel but malicieux ou bien inavoué ? Les initiés ont depuis des millénaires cherché ces réponses, elles sont à double tranchant, à la fois très proches de nous et si éloignées de nos concepts courants, elles appartiennent à ceux, qui humains ne veulent pas les dévoiler mais aussi à d’autres sphères qui nous en imposent le silence, chacun de ces deux pôles pour des raisons parfois diamétralement opposées…

Qu’il existe des mondes invisibles à nos sens, cela est démontré par la science et très communément admis, par contre ce qui l’est moins c’est que certains humains initiés à des pratiques "d’ordre magique" (pour utiliser à ce stade une tournure générique non différentiée) disposent de cette faculté, de ce don ou sixième sens si l’on veut, pour entrer en contact avec des environnements autrement inaccessibles au commun des mortels ainsi qu’aux entités qui peuplent ces nouveaux horizons. Qui sont ces initiés ? L’on pourrait épiloguer longuement sur toutes ces castes de sorciers, de magiciens ou de druides, voire de chamans pour tenter d’expliquer pour chacun leurs spécificités et leurs orientations, bonnes ou moins bonnes, mais le principal à retenir c’est que certains d’entre eux préfèrent ne rien dévoiler des dits secrets qu’ils ont pu acquérir alors que d’autres en font profiter plus librement des bienfaits potentiels à ceux qui en ont besoin. Pour cataloguer très sommairement : d’un côté des initiés de l’ombre, c’est-à-dire bien souvent issus des forces obscures et ne désirant conserver leur pouvoir pour ne servir égocentriquement que leur propre compte, de l’autre les initiés de la lumière ou plus prosaïquement des praticiens plus ouverts au partage afin d’exercer une magie plus bénéfique et lumineuse. Dans nos sociétés occidentales nous retrouvons ces schémas relativement dissociés, apparemment simplistes, à deux strictes facettes, noire et blanche, radicalement opposées ou très rarement réunies.

Notons rapidement (car il y en aurait beaucoup à dire) qu’il en est tout autrement dans les sociétés orientales, ou non occidentalisées, qui possèdent des doctrines plus mitigées, du moins dans cet aspect où le mélange du noir et du blanc n’est pas si radical, l’exemple le plus parlant étant l’image symbolique du Tao dans laquelle nous retrouvons un point noir dans la surface blanche et inversement un point blanc dans la surface noire, ce qui caractérise ainsi une vue plus nuancée non seulement de la vision du monde mais aussi des pratiques magiques ou spirituelles qui s’y rattachent.  Cette notion assez binaire que nous avons en occident est elle-même à l’image de nos sciences où tout est soit vrai soit faux, sans intermédiaire ou zone grise, tout comme l’informatique avec ses 0 et ses 1 qui ne laisse aucun entre-deux, quoi qu’avec les informations quantiques nous découvrons enfin qu’il existe aussi  une troisième voie, celle du ni l’un ni l’autre ou des deux à la fois ! Ce dernier point est en soi une révolution scientifique qui rejoint paradoxalement des concepts spirituels très avancés qui ont eu cours depuis des millénaires chez les hindouistes avec la Trimurti (2), pour ne citer qu’eux (au passage aussi : les hexagrammes chinois basés sur la transformation sont aussi un exemple de "non-binarité" et de modulation), de même dans bien d’autres dogmes où rien n’est ni complètement noir ou blanc. Ainsi, la spiritualité reste l’apanage plus malléable et ouvert des sociétés non occidentales alors que chez nous s’opère une scission très nette entre la sombre et sulfureuse sorcellerie, problématique "magie noire" de destruction orientée "Thanatos" (3) et la magie opérative blanche, ou rouge si plus orientée "Eros" (4), se positionnant en pleine lumière assurément positive et bénéfique pour résoudre des problèmes, sans en poser d’autres…

Mais, de ces faces cachées ou que l’on ne voudrait pas forcément voir au quotidien dans nos sociétés occidentales via des positionnements plus spirituels ou même magiques, il coexiste aussi la réalité véritablement invisible d’une toute autre nature bien plus inaccessible à nos esprit humains, c’est une réalité située sur une dimension non matérielle, un plan absolument inaccessible à notre entendement logique car son essence dépasse notre imagination et transcende notre esprit captif de notre matérialité. Nous parlons ici d’une dimension karmique, éthérique de haut niveau dont même les plus aguerris d’entre les initiés ne peuvent en concevoir la puissance et les buts qui ne s’énoncent que ne manière symbolique par delà notre compréhension. Cet autre monde véritablement invisible à tous ne nous est pourtant pas étranger, bien au contraire puisque c’est, d’une certaine façon, une autre partie de nous-mêmes, bien plus grande, qui s’y trouve avec une logique d’évolution dépassant de très loin nos quelques dimensions spatiales et temporelle pour définir un mode existentiel infiniment supérieur, immensément complexe et à des années-lumière de notre entendement le plus élaboré. Cet autre nous-mêmes faisant partie d’un Grand Tout doit être considéré comme la trame d’un tissu dont nous ne serions qu’un des multiples fils tissés par des Lois Universelles, véritables entités dans un univers inconcevable où les symboles sont plus vivants que nous-mêmes qui ne sommes qu’un reflet fugace sur la vague mouvante d’un océan infini. Les initiés, qu’ils soient de sombres engeances ou plus éclairés savent qu’une dimension éthérique nous surplombe à l’image d’un lecteur lisant une bande dessinée en passant d’une case à l’autre où nous serions platement inscrits.

Face à ces mondes, intermédiaires ou plus éloignés nous surveillant de haut, l’exigence d’humilité est de rigueur pour ne pas sombrer dans une égocentrique folie furieuse ne menant qu’à la destruction de soi et d’autrui là où au contraire la direction qui nous est suggérée impose l’entraide et la concertation, le partage et la sérénité de l’esprit et de l’âme. Bien entendu, à chaque secret ésotérique il convient de modérer le pouvoir ainsi acquis et d’en faire bon usage, à défaut le pouvoir mal utilisé se retournera contre celui qui tente de s’en accaparer des bienfaits usurpés en oubliant qu’il n’est pas seul au monde, monde humain, monde symbolique de l’éther et monde karmique qui présuppose une initiation bien intentionnée pour perdurer et évoluer. Le profane, pour sa part, aura ce droit de regard et d’information sur ce que sa propre route existentielle lui promet, il pourra de lui-même trouver des réponses ou bien les demander avec les précautions d’usage aux initiés en ayant le droit et les capacités. En qualité de chaman je me suis engagé sur cette voie de l’entraide, elle requiert une grande vigilance face aux forces s’opposant au bien, de même qu’un savoir-faire et une Connaissance que je remercie de m’avoir donné une vision plus large du monde en pouvant élaborer des travaux et rituels utiles aux personnes demandeuses. Comme d’habitude je réponds à toutes les questions concernant cet article, donc n’hésitez pas à me joindre pour plus d’information !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel


(1) Synchronicité : la synchronicité est l'occurrence simultanée dans l'esprit d'un individu d'au moins deux événements mentaux qui ne présentent pas de lien de causalité physique, mais dont l'association prend un sens pour la personne qui les perçoit. Cette notion s'articule avec d'autres notions de la psychologie jungienne, comme celles d'archétype et d'inconscient collectif.

(2) Trimurti : dans l'hindouisme, la Trimurti (trois formes en sanskrit) est la partie manifestée de la divinité suprême qui se fait triple pour présider aux différents états de l'univers.  Les dieux Brahmâ, Vishnou et Shiva symbolisent respectivement la création, la préservation et la destruction.

(3) Thanatos : dans la mythologie grecque, Thanatos (en grec ancien Thánatos) est la personnification de la Mort.

(4) Éros : (en grec ancien Érōs) est la divinité primordiale de l’Amour et de la puissance créatrice dans la mythologie grecque.

 

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Le mot "crise" est dans toutes les bouches actuellement mais aussi déjà depuis plusieurs décennies, que ce soit sur les plateaux TV, dans les médias de presse écrite ou entre amis et connaissances, d’ailleurs l’on ne parle pas d’une seule crise mais de crises très diverses à différentes échelles : crise sociale, crise économique, crise climatique, crise financière, crise diplomatique, crise de l’eau, crise énergétique, crise du travail, crise sanitaire, etc. Nous sommes donc littéralement submergés de ces crises et toutes résonnent comme autant de problèmes à résoudre à un niveau planétaire, international ou bien plus proche de chacun par répercutions comme le feraient des boules de billard s’entrechoquant (exemple souvent repris par le physicien Philippe Guillemant dans ses propres expériences scientifiques sur le temps, l’entropie et le chaos). Alors, comment chacun peut-il réagir face à toute cette avalanche de crises, comment plus précisément le couple lui-même arrive à gérer (ou non) ces problèmes qui engendrent aussi des tensions et souvent même des peurs ou des angoisses ? Le point de vue des initiés ne sera bien entendu pas tout à fait identique à celui des profanes dans cette vision que les crises semblent imposer, c’est justement en étudiant sous un angle plus ésotérique qu’une aide tangible pourra être apportée à ceux qui ne voient pas le bout du tunnel, notamment lorsque la relation de couple en est affectée.

Les dégâts, directs ou indirects, sur les individus seront très différents, assurément en fonction du niveau social de chacun qui sera alors dans une situation bien plus facile dans un milieu aisé que dans un milieu plus modeste ou avec peu de ressources financières, ceci est une certitude que sans moyens l’on a plus de difficultés à anticiper les crises et à les gérer qu’avec une situation financière plus prospère. Pour autant cela ne suffit pas, il est clair que même mes plus aisés, et surtout eux, auront bien plus à perdre en patrimoine en temps de crise que ceux qui n’ont rien ou si peu, par conséquent la peur de perdre est paradoxalement aussi bien présente chez les plus aisés. De même, et c’est ici un point capital, il existe des personnes qui sont "hors système" avec très peu de moyens et qui pourtant restent très sereins face aux crises car elles ne les touchent finalement que très peu… Par conséquent l’on s’aperçoit qu’il n’existe pas de règles définies en ce qui concerne l’impact réel des crises sur les individus en fonction de leurs ressources matérielles mais que par contre il doit bien exister une règle d’or, plus existentielle, qui permet d’(envisager les crises avec plus de sérénité, moins d’angoisse ou de peur, et en général ces personnes disposent d’une vision du monde qui apporte une résilience (1) mentale face à presque tous les problèmes existentiels, qui leur permet de surmonter les crises sans en subir les contrecoups, ce sont généralement des individus initiés à une forme de spiritualité ou à une connaissance ésotérique de haut niveau.

En ce qui concerne le couple, nous savons que plus la relation est forte plus "l’Ego de couple" l’est aussi dans ce sens où il y a comme une puissante fusion en action lui apportant une très grande protection et une stabilité à toute épreuve (relire sur ce point l’article précédent et la notion d’Égrégore si besoin). L’aspect fondamental à retenir ici est que cette force qui resserre les liens dans la relation se présente comme une puissance existentielle à l’oeuvre, certains diront une force spirituelle permettant d’envisager justement sous un angle plus aiguisé les crises qui surviennent pour en désamorcer les effets néfastes sur le mental, et donc sur le comportement qui sera plus résilient et apte à surmonter plus facilement les problèmes. Le point principal étant de ne pas être "impacté" au niveau de ses propres ressources mentales, intellectuelles, spirituelles et par contrecoup éviter les retombées sur le physique (l’on connait tout l’impact psychosomatique pouvant toucher le corps et ses organes lorsqu’il y a une crise ou un traumatisme psychique). Dans un monde où personne n’a plus le temps de prendre véritablement soin de soi, par un repos complet du corps, par un mental paisible et fort, par quelques notions spirituelles simples à mettre en oeuvre comme la méditation, l’on se retrouve vite avec des personnes à la fois exténuées physiquement, déséquilibrées mentalement et inaptes à se construire un "for intérieur" (2) apportant une distanciation existentielle nécessaire et une réelle plénitude spirituelle : dans ces conditions, ces personnes, aisées ou non, n’auront que très peu de chance de sortir totalement indemnes d’une des crises citées précédemment…

Surmonter les crises et contrer les problèmes dans sa relation de couple c’est déjà fortifier chacun des individus constituant ce couple pour les rendre résilients sur plusieurs des niveaux mentionnés, c’est-à-dire : au niveau physique, au niveau mental et intellectuel, enfin à un niveau plus spirituel, ce dernier point étant plus complexe à entreprendre si l’on n’a pas déjà de bonnes bases sur les précédents niveaux, c’est la pierre d’achoppement permettant de sceller durablement l’édifice personnel. Comme déjà dit, le corps ne supporte qu’une quantité de stress minime s’il ne sait pas restituer ses ressources physiques par un repos complet, c’est un point capital à respecter que de laisser le corps récupérer, ne pas sans arrêt le pousser à ses limites sans qu’il puisse recharger ses batteries (l’image parle d’elle-même). En ce qui concerne le mental, il est évident qu’il est absolument préférable d’éviter les activités ayant un impact négatif, à savoir se détourner de tout ce qui pourrait perturber l’intellect ou l’affaiblir, voire le contrôler inconsciemment, dans ce sens éviter par exemple la majorité des programmes tv de bas niveaux ou bien les personnes clivantes, stressantes ou évidemment perverses narcissiques (voir article sur le sujet si besoin). En ayant déjà deux piliers solides et basiques, celui du physique et du mental, alors la phase suivante pourra naturellement se positionner, nous parlons ici d’un niveau supérieur, celui que les initiés savent entretenir : le niveau spirituel, véritable béton armé de l’individu résilient et ouvert d’esprit pour affronter les crises et évoluer sans entrave.

Dans une situation dite normale, tout un chacun devrait pouvoir satisfaire les deux piliers du niveau physique et du niveau mental tant il semble évident qu’un corps a besoin de repos pour reconstituer son potentiel énergétique et tant le mental a lui-même besoin d’un espace intellectuel favorable pour se développer et pouvoir penser juste. Dans les faits nous savons qu’il est de plus en plus difficile dans nos sociétés modernes de ne pas se voir littéralement squatté mentalement et vidé de son énergie après une journée de travail et pour beaucoup des trajets en transport en commun ou dans les embouteillages des grandes villes surpeuplées. Il ya donc ici un effort à tenter de prendre sur soi pour se dégager un minimum de ces contraintes et recouvrer un potentiel acceptable afin de passer à l’étape suivante. Qu’un couple arrive de concert à s’accorder ensemble cet espace de liberté physique et intellectuelle, alors il aura d’autant plus de facilité à entrer en phase pour progresser sur une voie spirituelle positive et ainsi s’initier à la plénitude de son être sur tous les niveaux. Cette aptitude du couple à progresser plus rapidement qu’une personne seule est compréhensible puisque les liens relationnels étant forts les échanges le seront aussi à tous les niveaux, tant physique via les relations sexuelles, qu’intellectuel via les échanges d’idées, puis enfin au niveau spirituel avec le terreau fertile permettant d’évoluer sur ce terrain supérieur en terme d’échange avec le monde sans en subir les méfaits, juste en percevant l’essence de ce qui se cache derrière le simple visible : une réalité surdimensionnée apportant les réponses existentielles, dont celles de la plupart des crises en devenir ou déjà présentes.

Bien entendu, encore une fois ces quelques mots ne seront que le fil conducteur pour montrer la bonne voie mais personne ne pourra transformer ces mots en action à votre place, seuls quelques rares initiés pourront vous aider en affinant un travail personnel ou en couple par l’adjonction de travaux d’ordre plus spirituel ou même magique axé sur des rituels spécifiques pour dynamiser la relation de couple et la faire progresser selon son propre potentiel sans dépasser des limites et rester dans la ligne naturelle qui caractérise les besoins réels. Dans le cadre de mon activité professionnelle et en qualité de chaman je propose ces travaux, lesquels sont toujours adaptés au contexte et aux problématiques rencontrées par les personnes en demande. N’hésitez pas à me contacter pour en discuter librement et ainsi commencer à travailler avec cette première approche sur des réponses pour surmonter les crises qui vous préoccupent le plus. A très bientôt pour vaincre l’inertie du quotidien et aller de l’avant avec lucidité et sérénité !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel



(1) "résilience" : La résilience est un phénomène psychologique qui consiste, pour un individu affecté par un traumatisme, à prendre acte de l'événement traumatique de manière à ne pas, ou plus, vivre dans le malheur et à se reconstruire d'une façon socialement acceptable. La résilience serait rendue possible grâce à la structuration précoce de la personnalité… [dixit Wikipedia]

(2) "for intérieur" 
: Jugement de la conscience, au plus profond de soi-même, de sa partie la plus intime. De nos jours on l'utilise pour qualifier un jugement et une conviction très personnels.
 

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Publié le par Sorcier Chaman
Publié dans : #égrégore, #relations amoureuses, #Ego, #vie de couple, #sphère étherique, #retour affectif, #pacte d'amour, #magie rouge

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J’ai déjà plusieurs fois longuement parlé de l’Ego et des divers problèmes que l’on peut lui attribuer en termes d’excès et de narcissisme, l’on sait pertinemment qu’une personne principalement dirigée par un Ego trop vorace ou puissant verra irrémédiablement son attitude vis-à-vis d’autrui dévier vers une sorte d’autoritarisme unilatéral teinté de dédain et d’un complexe de supériorité ne lui permettant paradoxalement pas d’obtenir de quiconque une relation viable sans recourir à la force de la persuasion ou à la menace. Dans ce sens notre époque encourage sans équivoque cet excès d’hybris (1), cette volonté ambigüe voire malsaine de faire pression sur autrui pour se satisfaire d’une situation provoquée et en tirer avantage, c’est, d’une certaine façon si l’on va plus loin dans le raisonnement, le propre du management et de ses méthodes de coercition, certes initialement à des fins "commerciales et professionnelles" mais tout de même issues des stratagèmes de contrôles inventés par le 3e Reich et les nazis (comme l’explique l’excellent livre de l’historien Johann Chapoutot : "Libres d'obéir : Le management, du nazisme à aujourd'hui"). Inversement, sans Ego, ou sans aucune volonté de mettre en avant une personnalité qui sait s’affirmer, l’individu gagne effectivement en empathie et en ouverture d’esprit mais se voit aussi directement visée et exclu par une société qui ne n’accepte que peu la tolérance et l’altruisme pour n’encourager que la compétition la plus extrême et la loi de la jungle sociale dans sa construction pyramidale, inégalitaire par principe…

Bien entendu, chacun sera libre d’exprimer son propre Ego selon ses règles dûment réfléchies et dans les contextes qui s’y prêtent véritablement pour ne pas finir esclave de toutes personnes croisées sur son chemin dans l’environnement socialement corrompu et dévoyé qui est le notre de nos jours, d’ailleurs, espérons tous que cette situation globale s’améliore un tant soit peu pour ne pas dépasser un point de non-retour où les peuples se retourneraient très violemment les uns contre les autres pour exercer leurs "Egos Collectifs", ce qui, pour les initiés, représente "l’égrégore des peuples", avec pour ceux-ci l’exercice de leurs penchants nationalistes, revendicateurs et souvent guerriers par nature et par obligation. L’avenir nous le dira bien plus tôt qu’attendu pour nous en prévenir ou nous y projeter… Mais pour l’heure d’autres combats plus modestes à notre échelle nous concernent, ceux qui, tout comme les agrégats spirituels le permettent dans une dimension plus éthérée, génèrent à leur niveau de petits "égrégores" (2), souvent fugaces ou éphémères, parfois plus durables si la volonté y est entretenue avec ferveur, il s’agit des "égrégores des couples", ils existent et disposent d’une activité à ne pas négliger, tant pour ceux qui en sont directement concernés que ceux qui côtoient d’assez près ces derniers dans leur entourage. Peut-on percevoir dans la création de cet "égrégore de couple" la mise en place d’une quelconque protection ou d’une force dont l’orientation serait originale ou unique ? Ce sont effectivement des pistes à suivre mais en ésotérisme il ne faut pas s’arrêter aux simples évidences.

Comment définir l’égrégore pour une personne profane qui n’en aurait jamais entendu parler ? Il n’est en effet pas facile d’expliquer l’invisible mais la meilleure définition serait à l’image des pensées que l’on ne voit pas non plus et qui auraient cette capacité à se regrouper dans un espace non matériel et symbolique mais actif dans ce sens où l’accumulation d’un certain type de pensées générées par un groupe pourrait par effet boomerang influencer mentalement d’autres personnes ou bien les rallier à une même cause. Le meilleur exemple se situe au Tibet où chaque année des centaines de milliers de moines se réunissent pour prier en même temps afin d’influencer positivement (via un la création d’un égrégore commun) l’ensemble de la planète afin de tenter d’en corriger les maux et ainsi de changer les mentalités pour contrebalancer et rééquilibrer le Bien et le Mal. Dans une moindre mesure et dans un contexte bien plus restreint les pensées d’un petit groupe de personnes ayant les mêmes objectifs auront d’une certaine façon leur égrégore spécifique rayonnant aussi depuis un lieu emblématique situé dans l’éther à un niveau dit "astral" assez bas. L’on pourrait aussi prendre comme image celle d’une vibration, comme un son sur une gamme de fréquences bien précises, qui se conjuguerait depuis plusieurs sources distinctes pour ensuite se renforcer en un point et ainsi s’amplifier pour rebondir vers d’autres directions et se faire entendre afin d’être imité en réaction en chaine dans le meilleur des cas. Pensées, sons et vibrations peuvent d’ailleurs parfaitement être associés dans un schéma dit vibratoire, la parole est elle-même une forme-pensée audible dans notre espace matériel, dans un autre registre approchant l’égrégore est aussi une forme-pensée dans un espace éthérique invisible.

Mais revenons à notre couple, peut-il à lui seul générer son égrégore spécifique pour d’une part s’auto-alimenter de ses propres pensées et ainsi vibrer sur la même fréquence, et d’autre part influencer via cet égrégore son entourage pour le rallier à "sa cause" (ici entendre : un schéma original de pensée) ? Le couple étant formé de deux individus ayant pou chacun un Ego bien défini, si ce couple s’accorde (terme vibratoire) alors leurs deux Ego iront de concert dans la même direction, c’est d’une certaine façon une reconnaissance de leurs similitudes d’esprit et de pensée, un actif en commun que l’on pourrait tout aussi bien appeler "l’Amour" en ce que cette entente est représentative d’un lien fort, d’une unique corde vibrant entre deux individus. L’on voit d’ailleurs aussi toute la proximité des mots dans cette "reliance" (3), dans cette relation pour faire plus simple, ici une relation de couple. Alors effectivement une relation puissante avec des pensées n’appartenant qu’à deux personnes au même moment et dans un contexte identique auront cette potentialité de créer un égrégore à leur image, ou plutôt à leur forme-pensée. Il est à bien noter que la plupart des couples ont leurs "habitus" (4) qui s’apparente en ésotérisme finalement à des rituels de couple ayant (pour les initiés) de véritables pouvoirs actifs, bien que symboliques ici-bas dans leur aspect initial, mais très actifs dans la sphère éthérique où justement se forment les égrégores dans le cercle de l’astral bas.

Ego et Égrégore, la puissance de l’un entraîne-t-elle obligatoirement celle de l’autre ?  Comme déjà remarqué plus haut, il ne faut pas en ésotérisme toujours voir à la cause un effet direct, ainsi Ego et Égrégore sont bien différents et l’un ne génère pas forcément l’autre. A titre de contre-exemple, des égrégores peuvent parfaitement se former sans qu’il y ait la moindre pensée consciente directement issue de l’Ego d’un individu s’en attribuant la paternité, il existe dans ce sens de très puissants égrégores d’affects, c’est-à-dire qui sont alimentés par nos attitudes, positives ou négatives, lesquelles sont souvent ponctuelles et non réfléchies : la colère, la jalousie, le mensonge, le vice, sont des conséquences indirectes de nos actes et pensées mais ne nous représentent pas intégralement comme pourrait l’exprimer notre Ego, lequel est dans une certaine mesure bien plus générique de ce que nous sommes réellement. En d’autres mots : ce n’est pas parce que nous avons pu être colérique à un moment donné et dans une situation précise que nous serons étiquetés ad vitam de nature colérique, par contre l’énergie de cette colère ponctuelle ira amplifier la forme-pensée, la structure représentative de l’égrégore de cette colère, laquelle sera un point focal très persistant, car la colère est une attitude humaine assez répandue sur la planète. De même et à l’inverse des individus avertis pourront parfaitement générer un égrégore spécifique uniquement via la force de la pensée, tout comme nos moines tibétains, ou, et c’est plus problématique, tout comme d’autres groupes moins positifs ayant des pensées très égocentriques, négatives par définition si celles-ci ne vont pas dans le sens du bien commun, par exemple des élites sécessionnistes ne jurant que pour elles-mêmes…

A son échelle, en ce qui concerne le couple, sa puissance réside essentiellement dans sa relation amoureuse fusionnelle d’où une volonté affirmée pourra alors émerger pour générer la graine de son propre environnement égrégorique, ceci à des fins d’auto-alimentation de son amour comme le dirait la célèbre phrase : "bien plus qu'hier et bien moins que demain". Cette attitude emplie de pensées d’amour sera la pierre d’achoppement d’un égrégore pouvant lui-même apporter en retour les conditions à ce mouvement perpétuel d’équilibre et de mise en phase de la relation pour qu’elle dure et s’amplifie, se bonifie au cours du temps. Dans ce sens, la création d’un égrégore de couple représente un atout considérable pour conserver cet amour, pour éviter les écueils ou les embûches de la vie pouvant entamer la relation. C’est pourquoi, en qualité de chaman professionnel je préconise aux couples d’affiner cette atout ou bien de le construire s’il n’est pas présent ou entièrement finalisé, ceci via des rituels spécifiques et des travaux de magie rouge apportant cette matière spirituelle pour faire germer cette graine égrégorique d’amour si importante. Les pactes d’amour et rituels de retour d’affection sont des outils précieux pour y parvenir, aussi n’hésitez pas à me poser des questions dans le but de faire prospérer votre propre égrégore de couple, véritable miroir de votre relation amoureuse !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel


(1) Hybris : également appelé hubris ou ubris, est une notion grecque qui se traduit le plus souvent par « démesure ». Elle désigne un comportement ou un sentiment violent inspiré par des passions, particulièrement l'orgueil et l’arrogance, mais aussi l’excès de pouvoir et de ce vertige qu’engendre un succès trop continu. [Dixit Wikipedia]

(2) Égrégores : Un égrégore (ou eggrégore) est un concept désignant un esprit de groupe constitué par l'agrégation des intentions, des énergies et des désirs de plusieurs individus unis dans un but bien défini. [Dixit Wikipedia]

(3) Reliance : en sociologie, acte de relier, de créer des liens entre des personnes ou des systèmes. Relation interpersonnelle, état de ce qui est relié, connecté, pour indiquer un "besoin psychosocial (d'information). [Dixit Wiktionnaire]

(4) Habitus : en sociologie, un habitus désigne une manière d'être, une allure générale, une tenue, une disposition d'esprit. Cette définition est à l'origine des divers emplois du mot habitus en philosophie et sociologie. [Dixit Wikipedia]

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Test de Rorschach, image réinterprétée...

Très à la mode, le "pervers narcissique" se retrouve dans toutes les bouches pour en définir l’individu entrant idéalement dans la catégorie des psychopathes malfaisants, agissant de manière très autonome avec l’intelligence du malin, s’attaquant presque artistiquement avec une certaine jouissance malsaine à ses victimes dont l’impuissance à échapper à ses griffes renforce encore plus sa conviction de repousser ses limites dans la torture mentale, dans le mensonge construit et la violence bien orchestrée. Pourtant, à en croire la définition initiale qu’en donne la psychanalyse le pervers narcissique n’existe pas en soi, il correspond à une définition bien encadrée dont la subtilité n’échappera pas à celui qui s’en saisira en la découvrant : "ce n’est pas un type de personnalité mais une pathologie relationnelle qui consiste en une déstructuration de la personnalité dans laquelle la notion d'altérité n'existe pas". Au sens strict, et en d’autres termes plus clairs, par conséquent seule la pathologie (c’est-à-dire la maladie mentale) qualifiée de perversion narcissique existerait, l’individu "qui en souffrirait" ne concevrait pas autrui comme un être humain identique à lui-même (défaut d’altérité) mais au contraire comme une chose, comme un objet pouvant parfaitement être manipulable, ou plutôt manipulé, à loisir. Cette sorte de distanciation, aboutissant à vouloir "chosifier" autrui, apporte en effet, selon le corpus psychanalytique ainsi défini, de "graves problèmes relationnels", si du moins l’on peut encore qualifier de la sorte une si lourde et destructrice pathologie déviante…

Sans vouloir nous accrocher à la seule définition qui ainsi semblerait dédouaner assez allègrement le pervers narcissique puisqu’il serait lui-même la victime de sa pathologie, les véritables victimes de ce type de psychopathe ne l’entendront certainement pas vraiment de la même oreille que celle de la psychanalyse… Au-delà des mots et tournures syntaxiques ils préféreront s’attarder sur les maux subis reconnaissant plutôt dans le pervers narcissique une personnalité éminemment consciente de ses actes, parfaitement rodé dans son extrême capacité à provoquer la souffrance chez autrui. C’est d’ailleurs cette notion qui prédomine lorsque l’on parle de pervers narcissique : une sorte de monstre égotique n’ayant aucune empathie pour sa victime, jouant comme le chat avec la souris sans autre égard que celui qu’il tire lui-même de ses actions avec cette satisfaction d’avoir toujours fait le bon choix, le bien, mais d’abord et uniquement pour lui-même.

Le Bien, le Mal, justement tout dépend de ces notions à géométrie variable selon les individus et les contextes en présence mais aussi les angles qui permettent d’entrevoir un point de vue s’approchant d’une certaine vérité elle aussi toute relative. Il existe donc bien des personnalités, des individus mus par des choix avec des volontés propres de faire ou non le Mal, de préférer le Bien pour autrui, le partage constructif et altruiste ou au contraire cette prédominance à la déstructuration entraînant une orientation pervertie exerçant la destruction et l’avilissement d’autrui. Dans cette analyse ou dans ce positionnement devons-nous seulement concevoir qu’il existe des degrés dans les maux subis, des échelles de valeurs du Mal pour tenter d’en dédouaner ceux qui les perpétuent ? De quelles limites ou variables parlons-nous dans ce cas et le pervers narcissique ne serait-il pas finalement lui aussi pris dans une spirale infernale dont il souffrirait ? La majorité des personnes sensées seront heureusement catégoriques en n’acceptant difficilement cette vision pathologique que la psychanalyse propose, il n’existe pas de demi-maux, de petites tortures, de gentils avilissements ou bien de sympathiques mises en esclavage, ceci est une certitude, sauf pour les pervers narcissiques eux-mêmes qui ne regrettent aucun de leurs méfaits et pour les psychiatres qui cherchent inlassablement à les classer dans de beaux tableaux XL…

Mais une autre notion plus générale et fondamentale existe aussi, elle est consubstantielle à notre évolution, elle se cache au plus profond de nous et rôde à chaque instant dans les méandres de nos neurones, qui est-elle et d’où agit-elle ? Un petit détour en territoire scientifique nous apprendra que notre cortex, notre cerveau, n’est pas constitué d’un seul bloc mais s’est forgé tout au long des temps une structure étagée assez remarquable pour en dégager un constat digne des histoires originelles issues des textes anciens… En effet, la bête se tapie dans notre tête, à sa base coexiste un archéo-cortex (ou archicortex) aussi appelé "cerveau reptilien" et dont la spécificité initiale, très importante, serait de nous préserver pour conserver notre intégrité, une sorte de cerveau agressif avec tout ce qui vient de l’extérieur et qui pourrait nous nuire. Au-dessus, bien entendu, vient se greffer un cerveau plus évolué, le néo-cortex avec ces lobes frontaux qui caractérisent l’ensemble de notre individualité propre et notre personnalité unique, nos capacités d’analyses et de prises de contact avec le réel qui nous entoure, dont les autres individus font aussi partie. Nous avons maintenant que la régulation de notre Ego se trouve principalement sous l’emprise du "cerveau reptilien," que cette prédominance à jouer de pulsions parfois violentes caractérise l’Humain tel qu’il est constitué dans sa nature propre à interférer avec autrui, ce qui pourrait alors expliquer pourquoi ce serpent qui est en nous peut parfois, voire souvent, être tenté de mordre et d’infuser son si mortel venin à autrui !

Nul besoin de relire L’Enfer de Dante avec son étalage complet des péchés bien explicités ou bien d’aller chercher trop loin cet autre serpent, plus malin encore dans son Jardin d’Éden pour commencer à entrevoir quelques probables secrets ou allégories quant à la nature de l’Homme et de la Femme, à cette histoire originelle dont nous ne savons pratiquement rien, sauf peut-être à en interpréter sous divers angles, parfois aussi ésotériques, les aspects tortueux susceptibles de nous éclairer un tant soit peu sur cette notion de Bien et de Mal chevillée au corps et à l’esprit qui est le nôtre. Encore une fois l’Ego se trouve en position centrale dans cette possible révélation, il domine et assujetti celui qui ne sait pas dompter la bête en lui ou l’assagir pour qu’elle ne morde pas. Devons-nous y voir, dans cette optique de volonté de restreindre la puissance de l’Ego, cette habilité à avancer vers une sagesse difficile à acquérir, vers un degré de spiritualité qui nous éloignerait de l’animalité pour nous rapprocher d’une sorte d’élévation plus humaine, pour nous faire prendre conscience de notre véritable essence supérieure ? N’est-ce finalement pas LA question fondamentale dont découle toute l’Histoire de l’Humanité avec ses guerres, ses souffrances et ses dérives, mais aussi ses espoirs en un monde plus juste et équilibré, hors d’un chaos généralisé et d’une entropie destructrice ?

S’il devait y avoir une échelle de valeurs, préférons ensemble celle qui serait basée sur l’évolution positive, sur des degrés de spiritualité nous apportant un regard apaisé sur autrui, redéfinissant ainsi et sous un angle plus juste et sage le monde tel qu’il devrait l’être en suivant une évolution constructive au-delà des conflits inutiles et des perversions orchestrées et subies. Le pervers narcissique est peut-être un peu en chacun de nous, certains savent contenir ce monstre qui cherche à sortir de sa cage, certains ont atteint cette sagesse communicative via une Connaissance, certes encore trop peu diffusée, trop peu mise en pratique, mais dont nous sommes sûrs qu’un jour que nous y serons tous initiés pour vaincre l’adversité, la tentation du mal pour le mal et l’égoïsme ancré au plus profond de cet Ego déviant à combattre au quotidien. De l’Alpha des origines nous allons vers un Oméga plus radieux en devenir, comme l’aurait dit Teilhard de Chardin dans son remarquable ouvrage Le Phénomène Humain.

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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Confrontés chaque jour aux petits et grands chaos ordinaires de nos sociétés modernes, nos contemporains aspirent de plus en plus à se dégager d’un monde qui par bien des aspects leur semble sombrer peu à peu dans une indescriptible folie multiforme dont ils ne seraient plus véritablement les acteurs de leur propre vie mais plutôt devenus de simples objets employables et interchangeables perdus dans le vaste univers de la marchandisation, lequel controlé par des systèmes économiques et politiques qui seraient entièrement assujettis à ce culte du profit, à celui de la concurrence exacerbée et de la croissance forcenée à tous les étages. Il n’est donc pas surprenant de clairement constater qu’un mouvement inverse, basé sur une ouverture plus spirituelle, est actuellement en cours avec l’objectif affiché de revenir à des valeurs plus équilibrées, à des existences globalement plus en phase avec la Nature et dans un sens de partage positif plus altruiste. C’est surtout chez les jeunes que cette tendance est la plus visible, ce qui augure assurément d’un changement progressif des mentalités mais aussi finalement de l’ensemble du système même si le vieux monde voudra encore s’accrocher à ses anciens démons puisant leurs forces dans ce déséquilibre mental et sociétal instauré jusqu’ici et en cours depuis le début des civilisations avec comme point d’orgue notre siècle techno-scientiste finalement si chaotique et violent qu’il ne correspond plus à aucune attente réelle, à aucune volonté sensée d’aller encore plus loin dans l’accélération de cette folie.

Nul besoin de revenir sur la longue liste des très problématiques défis majeurs de notre époque, chaque ligne qui la constitue est un terrible danger potentiel, chaque mot de cette liste entraine un écocide ou même un génocide dans une partie du monde soumis à la guerre ou à l’indigence provoquée par les uns sur les autres. Tout ceci nous le savons parfaitement aujourd’hui, nous ne pouvons plus nous cacher derrière notre ignorance, celle de ne pas savoir alors que nous sommes sans cesse massivement informés à chaque seconde des moindres évènements sur toute la planète. Bien entendu le danger vient aussi de cette surabondance d’informations qui nous submerge, de la réalité des faits parfois (souvent) tronqués ou complètement déformés par certains afin d’en tirer soit un profit quelconque soit un destructeur pouvoir éphémère sur autrui. Mais tôt ou tard la Vérité surgit et les esprits s’éclairent plus durablement sous un nouveau jour, et c’est, depuis quelque temps déjà, un constat avéré de voir la grande majorité des populations du globe prendre enfin pleinement conscience de ces maux dont nous avons laissé envahir chaque parcelle de notre espace viable mais aussi de notre temps de vie, lequel reste néanmoins compté si l’on en juge des quelques minutes symboliques restantes sur ladite "l’Horloge de l’Apocalypse" (1), à bien considérer que même si elle ne représente forcément qu’une construction intellectuelle totalement subjective au départ, elle n’en reste pas moins une réalité fondamentale de plus en plus concrète et bien visible par ailleurs partout où notre regard se porte.

Spirituellement, puisque le mot est lâché, la perception d’une (r)évolution assez radicale est en cours, elle se caractérise par une prise de conscience existentielle qui pose plus de questions qu’elle n’y répond actuellement pour ceux qui viennent de s’éveiller, elle pousse chaque individu à se positionner non plus comme un centre dans le monde mais comme un point parmi tant d’autres reliés entre eux par les mêmes valeurs, par les mêmes ambitions de partage à la fois de cette ouverture d’esprit mais aussi de partage de connaissances. Rien n’a jamais strictement opposé la science à ésotérisme, l’une n’est que le reflet matérialiste et visible d’une réalité que l’autre conçoit à un niveau plus éthéré et moins accessible aux sens communs et aux instruments scientifiques, ainsi, et c’est une réalité corroborée par les faits, cette science en est arrivée aux limites extrêmes de la matière, elle frôle de plus en plus les portes quantiques des niveaux d’énergie de l’éther sans pouvoir néanmoins les franchir avec ses appareillages. Les initiés savent depuis bien longtemps que l’outil le plus performant et le seul qui soit dans cet interstice entre la matière et d’autres niveaux plus subtils reste l’Humain, sa grande capacité à transcender l'espace et le temps, son extraordinaire potentialité à dépasser toutes les limites s’il se place dans des états de conscience modifiée pour y parvenir, ce qu’aucun autre appareillage industriel n’arrivera à réaliser aussi bien et aussi loin en précision et en portée.

Dans ce sens, parler d’une époque dans laquelle nous entrons avec une nouvelle vision de la réalité, plus ouverte et véritable, semble apporter une plus grande compréhension du monde dans lequel nous vivons mais aussi et surtout une nouvelle manière d’appréhender la place de l’individu dans un tout, notre place à tous dans l’univers et par conséquent redéfinir le paradigme même du sens de la vie avec un nouveau corpus de paramètres plus proches d’une vérité existentielle universelle. À l’inverse aussi des forces contraires sont incroyablement à la manoeuvre pour s’opposer à cette vision transcendantale propre à l’humain, elles sont d’une tout autre nature basée sur une technicité faussement hybride, prête à vouloir parasiter l’humain dans sa propre perception, assidument dans une direction "transhumaniste", mot trompeur, où l’homme devient lui-même non plus sont propre instrument mais le support instrumental de la machine, de cette artificialisation du réel par "l’image déformée de la réalité", de la copie mimétique, du clonage numérique des attitudes humaines, d’un transfert vers la matière inerte de l’humain a contrario de sa libération de la matière pour la dépasser. Le progrès tel qu’il se présente est l’antithèse d’une ouverture, il se présente comme une intelligence malfaisante jouant contre l’intelligence humaine en tentant de phagocyter son mental, son attention et sa capacité de concentration, en deux mots : son ouverture d’esprit créatif et critique.

Un ésotérisme 2.0, dont découlerait un néo-chamanisme plus adapté à cette nouvelle menace de "faux progrès", serait lui-même basé sur des rituels autrement plus ciblés ou réajustés avec des travaux de magie comportant in situ cette notion de risque existentiel que nous fait courir le transhumanisme pour le combattre à la source et protéger l’humain de ce qui n’est rien d’autre qu’une involution dans la matière et le matérialisme, à comparer à une sorte de religion de la matière. Ce transhumanisme néfaste ne propose rien d’autre comme dogme que l’enfermement dans un scientisme ayant la forme d’un dictat de la pensée axée sur une réduction comportementale, encadrée dans des normes bornées, dans des algorithmes de formatage de l’intelligence naturelle au profit d’une intelligence purement artificielle… J’ai déjà parlé du danger de l’IA dans cet article si besoin pour mieux cerner l’ampleur du problème qui se joue actuellement de nous et peut-être dans le futur si nous n’agissons pas avant. Concevoir des magies plus holistiques, c’est-à-dire plus globales en prenant en compte la sournoise et maline menace de l’IA ainsi que celle plus générale du transhumanisme rampant qui l’accompagne, devient une nécessité pour tout praticien éclairé d’en saisir à la fois l’urgence dans son exercice mais aussi dans sa capacité à en expliquer les ravages à ceux qui disposent de cette conscience qu’un avenir désirable ne peut passer que par une évolution de l’humain en ce qu’il est intrinsèquement et non en dissipant son esprit par des subterfuges artificiels, tels des appareillages de virtualisation ou autres puces informatiques implantées…

La véritable "mise à jour" de l’humain passera plutôt par sa légitime volonté de dépassement et l’ouverture naturelle de sa propre conscience et non par l’intrusion d’un système informatique annexe dans sa chair pour lui dicter ses pensées et les formater dans une direction unique, forcément réductrice et amorphe comme le silicone. Elaborer un néo-chamanisme ce n’est évidemment pas renoncer aux Grandes Lois universelles, bien au contraire c’est aller dans le sens d’une accélération de cette conscientisation du monde qui est déjà en cours, de ce que certains appellent la "reliance" à d’autres réalités, non à celles de systèmes artificiels invasifs, à celles nous entourent de manière invisible rendus accessibles par une évolution déjà en cours, une accession à un degré supérieur de l’esprit, ceci en accord avec cette pluralité de mondes plus vastes nous environnant, s’ouvrant à nous et se présentant pour chacun le moment venu au terme d’une réelle prise de conscience plus globale. Certains manuscrits de la bibliothèque de Nag Hammadi (2) nous avaient déjà bien avant avertis de la puissance aveugle de ces Archontes dirigeant indument la matière, ils sont actuellement à l’oeuvre plus que jamais pour nous inféoder à celle-ci dans un ultime sursaut de "Luci-dité" en espérant nous tromper par de fausses promesses, par de faux espoirs de progrès, d’intelligences et de pouvoirs sur les éléments, sachons dès aujourd’hui démasquer leurs plans pour éviter cet avenir irradié et non radieux comme ils cherchent à nous le faire entendre et croire… Les néo-chamans sont d’ores et déjà à l’affût de leurs infâmes manigances, nous saurons prouver que leur rayonnement provient d’une fausse lumière déchue pour pleinement le déjouer et entrer dans une nouvelle ère où ils n’auront plus leur place. N'hésitez-pas à me contacter pour plus d'informations ou si vous avez besoin de travaux de magie et de ces rituels 2.0 !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 


(1) L’horloge de la fin du monde ou horloge de l'Apocalypse ("Doomsday Clock" en anglais) est une horloge conceptuelle créée en 1947, peu de temps après le début de la guerre froide, et mise à jour régulièrement depuis par les directeurs du Bulletin of the Atomic Scientists de l'université de Chicago, sur laquelle « minuit » représente la fin du monde, l'apocalypse. Depuis 2007, l'horloge prend également en considération les perturbations dues … à de « nouveaux développements dans les sciences du vivant qui pourraient infliger des dommages irrévocables », c'est-à-dire les risques liés aux nouvelles technologies (nanotechnologie, biotechnologie, etc…) - dixit Wikipédia

(2) La bibliothèque de Nag Hammadi est un ensemble de douze codex de papyrus reliés en cuir, et partie d'un treizième (un traité en huit folios), du milieu du IVe siècle. … Ces codex (les plus anciens connus), contiennent une cinquantaine de traités en copte, traductions de textes écrits initialement en grec ancien. Ils datent vraisemblablement du IIe au IIIe siècle. La majorité sont des écrits dits gnostiques, mais on trouve également trois textes de la tradition hermétique, dans la lignée du Corpus Hermeticum, et une traduction partielle de La République de Platon. La plupart de ces textes n'étaient pas connus par ailleurs, ou seulement de façon fragmentaire. - dixit Wikipédia

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S’il est bien un problème de couple par excellence, c’est bien celui qui pourrait mener à sa séparation, à la rupture ou à l’éloignement. De "crime d’Amour" alors il y a, d’en concevoir à un moment sa fin et même son enterrement, de première ou de seconde classe en fonction des raisons et des buts recherchés, en fonction des contextes mais aussi et surtout, et sur ce point on ne l’évoque pas assez ou si peu, essentiellement en fonction de l’Ego des forces antagonistes en place, du couple redevenu une dualité qui s’oppose plus qu’elle se complète et s’entraide, en ceci "le crime" est parfait si personne n’en trouve le véritable mobile, ce qui dans le monde profane demeure le plus souvent une vérité empreinte de non-dits, de silences ou effectivement de contrevérités absurdes, intentionnellement voilées ou non… Les initiés tentent de faire la part des choses du réel mais aussi de l’imaginaire des Ego dans ce qu’ils ont de subjectivité mais aussi selon cet incroyable "effet Rashōmon" (1) qui implique que chacun, chaque Ego, aura sa propre vérité, son propre compte-rendu (ou "conte" tout court) forcément pseudo-objectif selon l’angle qu’il aura bien voulu prendre dans la perception de l’histoire de sa relation de couple, de lui-même dans cette relation et de sa propre conscience face au monde et à autrui. De là à en faire un "cas de conscience" il n’y a qu’un pas, par conséquent l’initié y entrevoit justement les rapports complexes et très ésotériques entre l’Ego et le moi transcendantal, une alchimie qui pourrait avoir bien d’autres orientations intéressantes, dites supérieures, que celles qui sont paradoxalement directement visibles des protagonistes eux-mêmes. C’est de cette version plus invisible ou occultée dont il va être question, si tenté que cela puisse être possible de pouvoir s’appliquer de manière relativement générale à tous…

Mais avant d’entrer dans le vif du sujet, celui de l’Ego puisqu’il s’agit de lui, nous devons caractériser cet Ego comme une forme, ou plutôt une image tel un objet semblable au noyau dur au centre de la psyché avec un poids très lourd et une forte inertie au point que chacun de ses mouvements d’humeur provoque un déséquilibre de l’ensemble du psychisme en le faisant tanguer tantôt entre la destruction d’autrui dans un excès de paranoïa et tantôt vers une totale et aveugle autosatisfaction se réfléchissant dans un miroir narcissique sans limites. Un terrible tableau pour cet Ego qui pourtant a son importance à des fins de conservation et de protection face aux aléas existentiels tout comme un pare-chocs émotionnel encaissant les coups en se renforçant de plus en plus à chaque bémol. Se "forger le caractère" en vient de là, à force de coups de marteau sur le fer l’on forge le sabre coupant ou la pointe qui perce. Que ce soit d’ailleurs en psychologie, en philosophie ou en ésotérisme et métaphysique, l’Ego a toujours cette prédisposition à "s’opposer à" ou bien à phagocyter ce qui se met en travers de son chemin pour le digérer et en profiter, une destruction par l’assimilation ou par le rejet, aucun entre-deux possible, aucune alternative modérée. Dans ce sens, plus l’Ego prend de l’importance, du poids, l’on dit alors qu’il enfle, et plus il sera en regrettable capacité de déséquilibrer l’individu à chacun de ses mouvements d’humeur, successible de provoquer une surenchère dans sa réaction, une lourdeur destructrice emportant tout sur son "pas sage", c’est-à-dire "s’emportant".

La colère, la jalousie, l’envie, la "volonté de pouvoir" et d’asservissement sur autrui sont les leitmotivs qui viendront ainsi rythmer les relations humaines durant l’existence; volontairement assumés ou subis ces contrecoups ordinaires s’inviteront aussi dans la relation de couple, pour le meilleur et pour le pire. L’on ne choisit pas celui qu’on dit aimer forcément pour ce qu’il représente intrinsèquement de complémentaire mais trop souvent au contraire de ce qu’il apporte en reflet de soi-même afin que l’on puisse s’y reconnaître et s’y réfléchir à souhait, c’est encore l’Ego qui parle en regardant l’être aimé qui l’est en partie à cause de sa ressemblance avec lui-même. Aucun paradoxe à voir dans autrui ce que l’on est finalement soi-même, c’est d’ailleurs ici une sorte de règle de protection de l’individu que de savoir percevoir en autrui ce que nous avons en nous-mêmes afin de ne pas être trahi ou pris par surprise par cet autre qui nous ressemble tant et que nous aimons; encore une fois Narcisse n’est jamais loin lorsque l’Ego observe, analyse, assimile et se met en phase, une posture d’équilibre dans cette dualité où deux sons s’accordent pour jouer l’apparente douce mélopée du couple.

Mais, avec ce poids qu’on lui accorde, la véritable question serait bien celle de la provenance initiale de cet Ego, d’où vient-il exactement, dans quel but se forme-t-il et comment ? Une partie de la réponse a déjà été évoquée dans les forges symboliques de Vulcain, dans cette propension à vouloir affermir ce qui distingue l’individu d’un autre, son caractère ou plutôt devrions nous dire les biais caractériels cognitifs qui résultent de nos activités. D’un point de vue profane, purement scientiste et psychanalytique, l’Ego semble caractériser la personnalité et sa sensibilité (affirmée ou non) à répondre selon diverses orientations de manière plus ou moins prononcée à des stimuli (contextuels ou relationnels). Dans ce sens l’Ego se construirait progressivement en fonction de ces stimuli, en fonction des expériences vécues et des prises de position effectuée, en d’autres termes l’on retrouve encore une fois ce fameux libre arbitre sur le chemin de notre fameux Ego…

Comme je l’ai très souvent exprimé et écrit dans mes articles, le libre arbitre humain n’est que très relatif, il est assez strictement encadré et formaté selon des règles et des lois que nous ne maîtrisons pas du fait qu’elles sont, pour les initiés qui en ont Connaissance, inscrites à "d’autres niveaux" pour agir ici-bas. Ainsi, et de manière transitive, l’on voit assez distinctement que, de ce fait, l’Ego aussi s’en trouve construit non plus selon un cheminement progressif et uniquement dû à l’expérimentation libre durant la vie mais plutôt selon des voies déjà définies ou tracées pour "personnaliser l’individu" en fonction d’un autre but bien moins évident pour qui n’est pas averti, et donc un but plus ésotérique, très hermétique par définition… Formater un individu en amont de son existence en lui faisant emprunter des voies déjà définies au préalable, cela s’appelle tout simplement "jouer un rôle", celui qui permet, tout comme dans une pièce de théâtre, d’entrevoir une scène avec plusieurs acteurs jouant ce scénario déjà écrit avec cette certitude que chacun exprimera, selon le texte du metteur en scène, le rôle qui lui est bien imparti, avec parfois quelques variantes au cours des représentations. La pièce, celle qui nous intéresse aujourd’hui, s’intitulant "Crime d’Amour", elle va jouer la rupture du couple, sa scène se situe dans le décor de l’existence, les spectateurs sont dans l’ombre et dans les coulisses, ils applaudiront toujours à la fin du spectacle, plus ou moins, déjà pour remercier le jeu des acteurs mais aussi pour la belle mise en scène. Ainsi le théâtre de la vie aura permis aux acteurs d’expérimenter non seulement la rupture du couple mais aussi d’entreprendre le jeu de l’Ego dans toute sa splendeur.

Pour les initiés "les choses de la vie", dont celles très importantes des relations humaines, n’ont pas la même signification que pour tout un chacun qui se trouve sur sa propre scène sans savoir qu’il joue ainsi inconsciemment son propre rôle, celui pour lequel il a été amené à lire le scénario, dans le cadre d’un libre arbitre fictif suivant un déroulement déjà écrit d’avance. Et tout ceci dans quel but ? Suivre une mission de vie, suivre le scénario pour lequel il s’est engagé d’en suivre le jeu complexe de l’existence à des fins d’évolution. Nous sommes tous des acteurs de nos vies, nos Ego sont les rôles karmiques que nous nous sommes alloués, nous suivons aujourd’hui tel jeu d’acteur avec la personnalité qui convient, demain nous jouerons encore et encore, dans un autre théâtre, une nouvelle pièce existentielle pour parfaire cette tragi-comédie de la vie, peut-être intitulée "Le couple est sauvé" ! Les rituels de magie permettent parfois de modifier radicalement le scénario existentiel, par conséquent n’hésitez pas à me contacter pour en discuter librement.

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel


(1) En psychologie et communication : "l’effet Rashōmon" est un concept désignant un événement interprété de manière contradictoire par les individus impliqués. Il tire son nom du film Rashōmon (1950) d'Akira Kurosawa dans lequel un meurtre est décrit de manières différentes par quatre témoins. Le concept aborde les motifs, le mécanisme et les occurrences du compte rendu des circonstances, ainsi que les interprétations contestées d'événements, l'existence de désaccords concernant la preuve d'un événement, la subjectivité de la perception et la mémoire humaine. (dixit wikipedia).
 

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La "Quadrature du Cercle" existe bel et bien aussi en Amour : le coeur tourne sempiternellement en rond et la raison reste irrémédiablement carrée ! C’est ce que l’on pourrait d’emblée commencer à dire en abordant ce toujours très paradoxal thème de la relation de couple et de ce grand mystère à la fois si complexe et si immédiat dans ce qu’il porte de choix, de limites dans une attraction des corps et des esprits, mais pas que… Car ne doit-on pas aussi y percevoir une autre nature bien moins visible, plus subtile et plus magique, une extension de chaque individu le portant vers l’autre à coup sûr par un de ces mouvements apparemment totalement irrationnels de l’existence qui les amènent pourtant à se rencontrer ? En effet, comment l’individu et son Ego totalitaire peuvent-ils accepter de "se faire apprécier", et réciproquement sous une forme ou sous une autre, par un autre individu ? En d’autres mots, comment comprendre cette "appréciation" ou cette attraction qui tend à relier les êtres au point qu’ils en parviennent de concert à vouloir s’unir pour former ce moteur permettant cette démultiplication du soi, se faisant ainsi le couple générateur d’une improbable énergie de volonté, de vitalité et d’évolution ? C’est ici très souvent dans les modalités des termes d’un questionnement préliminaire que l’on pourra commencer à y puiser l’essentiel du sens des réponses, comme le dirait Ludwig Wittgenstein dans son "Tractatus Logico-Philosophicus" avec cette ouverture d’esprit assurément digne des plus grands initiés…

De cette magie, car s’en est une, l’attraction amoureuse demeure pour la grande majorité une énigme de l’existence et même parfois une sorte d’aberration statistique tant la rencontre peut ne tenir qu’à un fil ténu dans le parcours existentiel de ceux qui en sont directement concernés, est-ce à dire qu’un heureux hasard (encore lui, j’en ai déjà parlé) serait de la partie pour modifier les cartes du destin et ainsi en restituer plus fidèlement un tableau digne des oracles les mieux orientés ? Juste par jeu, certes néanmoins à juste titre, que chacun fasse cet effort de se souvenir des circonstances d’une rencontre, de celle qui aurait pu aboutir pu bien de celle qui l’a effectivement été, ceci à des fins d’une intéressante étude rétrospective pour tenter de se souvenir des divers éléments constitutifs à ces rencontres, avortées ou abouties. Et qu’en est-il du résultat ? Que les rencontres majeures, celles d’orientations amoureuses puisque c’est ici le propos, découlent d’invraisemblables concours de circonstances, d’ajustements incompréhensibles à notre entendement, d’évènements parfaitement mis en phase alors que rien n’en justifiait un tel alignement temporel et spatial si coordonné… Les coïncidences de la vie apportent souvent plus de réponses en y regardant en arrière qu’en tentant de se projeter en avant sans faire référence à ce passé si symptomatique et utile. Il y a souvent une sorte de révélation dans ce constat chez les personnes, profanes en la matière, qui en font objectivement le test et l’analyse, elles font alors cette découverte de la complexité des éléments d’une rencontre qu’elles ont eu, ou bien alors de cette impossibilité, réelle ou "forcée", de ne plus du tout retrouver la moindre trace de ce souvenir ultime, de ce point focal de la rencontre et de ce qui l’a rendu possible, viable et surtout durable…

La réminiscence de ces points de croisement entre deux existences, de ces rencontres, tout comme des "noeuds gordiens" que l’on aurait enfin libérés, apparait alors comme une carte existentielle d’une infinie précision où chacun perçoit soudain avec effarement les itinéraires conjoints se recouper, parfois encore prendre l’exacte même direction parallèlement sans jamais se rejoindre, parfois au contraire se recouper plusieurs fois jusqu’à complètement se confondre sur la même route, strictement au même moment, et selon une implacable logique dépassant celle de la seule intention humaine ou d’une volonté délibérée et consciente. De là à y voir une intervention extérieure, bien intentionnée ou plus maligne dans certains autres cas, il n’y a qu’un pas, celui d’entrevoir qu’une part de destinée liée aux relations amoureuses ne serait pas de notre ressort, dépasserait notre liberté de choix et par conséquent irait à l’encontre d’un libre arbitre réel en interférant ainsi avec nos choix initiaux d’emprunter tel ou tel itinéraire existentiel. Les détracteurs diront qu’il nous est impossible, ou du moins très difficile, effectivement de connaître à l’avance les résultats de nos propres décisions pour en concevoir l’aspect positif ou négatif dans toute la complexité des possibles et ainsi redéfinir notre propre libre arbitre comme une très relative tentative d’interprétation d’un futur sur lequel nous n’avons aucune prise. Mais alors que dire des indices qui nous prédisposent à prendre une direction plutôt qu’une autre, à choisir une personne plutôt qu’une autre ? Sommes-nous réellement libres de nos choix ou bien "quelque chose" nous pousse-t-il vers ce quoi nous devons aller, quoi que nous fassions ou pensions faire ?

L’irrationnel n’est pourtant pas loin dans cette démarche d’analyse rétrospective et de constat démontrant sans cesse que nos décisions les plus importantes, dont celles de nos relations amoureuses, ne sont générées la plupart du temps que par d’infimes modulations de la réalité nous entourant, à l’image de graines semées par une main invisible et habile pour nous en faire récolter les fruits dont nous ignorons tout, d’une part de leur existence sur le chemin que nous empruntons, car hors de notre capacité à concevoir cette germination dans un substrat qui ne nous est pas directement accessible, d’autre part dans l’impossibilité même d’en imaginer seulement la réelle teneur qui finalement en éclora accompagnée de toutes les conséquences attenantes de devoir, par la force des choses, goûter à ces fruits qui se présentent soudain à nous comme issus du seul et unique arbre intéressant au milieu de la forêt mais assez bizarrement placé justement en travers de notre seule route pour devoir forcément y faire face…

Les initiés savent, par acquisition de connaissances ou de manière plus innée, que l’existence ici-bas s’apparente à une longue et invisible quête dont nous aurions sciemment perdu l’orientation au niveau de notre mental conscient, ceci afin de nous laisser guider de manière plus cryptée vers les véritables objectifs à atteindre avec toute la subtilité d’entreprendre pas à pas, au-delà des épreuves imparties, toutes les potentialités qui se présentent à nous, qu’elles soient purement contextuelles ou plus relationnelles. Ainsi, le couple participe pleinement dans l’élaboration de ce parcours existentiel et s’inscrit dans une très large mesure comme un puissant référentiel apportant une grande partie des pièces du puzzle qui devra être assemblé sans pour autant en connaître par avance l’image finale générée. Les limites, les choix et la liberté d’agir pour ce faire sont donc profondément formatés, pour ne pas dire encadrés, à des fins qui logiquement nous dépassent largement en apportant cette touche d’irrationalité du sens de la vie et de la réalité qui nous entoure pour concrétiser l’ensemble de cette structure évolutive.

De facto, il faut voir dans les problématiques relationnelles non pas des obstacles handicapants mais des épreuves à surmonter afin de générer cette volonté suprême d’aller de l’avant, de prendre parfois le temps mais de ne jamais renoncer à enfin voir ce qui se dessinait dans cette globalité de pensées, d’actes et de faits ainsi effectués. Il paraît qu’à la mort l’on revoit toute sa vie se dérouler en accéléré, ne serait-ce pas aussi ici un constat supplémentaire que toute cette somme existentielle a son importance pour en tirer une ultime leçon, une vision récapitulative de cette quête qui n’aurait pas pu s’écrire entièrement sans l’incommensurable apport que les relations amoureuses réciproques génèrent, notamment au sein d’un couple capable de performer durablement cette grande aventure. De même, ne devons-nous pas nous interroger sur le fait que le couple ainsi constitué n’est pas issu d’un pur hasard mais qu’il a été assurément désigné par avance pour évoluer dynamiquement au mieux de ses capacités complémentaires à surmonter les épreuves ? En ce sens, soyons plus attentifs envers les personnes qui nous accompagnent dans l’existence, elles possèdent les clefs dont nous avons besoin pour ouvrir les portes de nos objectifs existentiels (et karmiques dans une plus large mesure), de même que nous apportons aussi nos propres clefs de manière réciproque, et n’est-ce pas là justement la véritable leçon à apprendre, celle de l’échange, inconditionnel, transcendantal et absolu ?

L’ésotérisme et la magie nous apprennent ces vérités, les rituels en sont les outils utiles que l’on peut proposer pour expliciter et améliorer l’existence à des fins karmiques pour que chacun ne perde pas les objectifs à accomplir dans sa propre quête. Je reste à votre disposition pour répondre à vos questions, si besoin, notamment en terme de résolution de problèmes de couple, une exigence karmique s’il en est une, maintenant vous le savez !

Jean-Pascal BRUNO, chaman professionnel

 

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